Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 7

  • Avec nous, avant qu’il ne soit trop tard

     21 janvier 2015 

    caspar david friedrich

    Lundi à Cologne (Allemagne), dans la cadre de la promotion de son livre Soumission (interrompue en France et largement ailleurs à la suite des attentats),  Michel Houellebecq a été amené à répondre à de nombreuses questions  sur l’opposition nationale a constaté le journal Libération. «Depuis à peu près quarante ans a ainsi expliqué l’écrivain, l’histoire politique de la France est une tentative générale de tous les partis, tous les médias et tout le pouvoir culturel de freiner l’ascension du Front National, et l’échec de cette tentative» . Le FN «est parti avec deux trucs (sic): lutte contre l’immigration et lutte contre l’insécurité». «Entre-temps, il a récupéré à lui tout seul le sentiment antieuropéen parce que les autres partis de gauche et de droite ont liquidé leur opposition interne à l’Europe (…) tout récemment, il a rajouté une protestation anti-islam, une protestation antirigueur, il est un peu tous azimuts (…) ça fait beaucoup de choses pour attirer ».  Last but not least, le Front National «a récupéré, arme suprême, une nostalgie de l’époque où la France se vivait comme indépendante, non soumise à l’Europe et non soumise aux Etats-Unis, donc l’époque de De Gaulle, en fait ».

     Fort de cette analyse rapide,  taillée à la serpe mais plutôt honnête,  Michel Houellebecq en tire comme conclusion que la prochaine présidentielle est «dangereuse, potentiellement». Pourquoi ? Parce que si cette poussée nationale-souverainiste, populiste est  insuffisante (ce qu’il croit ?) pour permettre à Marine Le Pen de l’emporter au second tour, l’affaiblissement de la droite juppéiste ou sarkozyste ne lui  permettra pas de rafler la mise,  ce qui entrainera  le maintien de la gauche au pouvoir.  Or, « en 2017, la France sera encore plus à droite qu’elle ne l’était en 2012, si François Hollande est encore réélu, cela peut tourner mal ».

     Nous le constatons, l’écrivain inscrit encore sa réflexion politique sur un très dépassé et artificiel  clivage droite-gauche auquel de moins en moins de Français adhère, au lieu de lui substituer le seul qui vaille aujourd’hui. En l’occurrence celui opposant d’un côté les défenseurs des frontières, des protections, des  identités,  des valeurs helléno-chrétiennes, des souverainetés nationales  et de l’autre celui des ultra libre échangistes, les adeptes du  laisser faire laisser passer, qu’ils se revendiquent  du camp atlanto-bruxellois, du mondialisme,   ou encore de l’internationalisme à la sauce altermondialiste.

     Exemple parmi une foultitude d’autres, les routiers Français en grève ces derniers jours, matraqués par la crise, soumis à une inexorable baisse de leur salaire et de leur pouvoir d’achat,  sont en train d’être mis à mort par l’UE.  Notamment du fait de l’application de la directive sur les travailleurs détachés , soutenue  par l’UMPS,  tandis que des patrons n’hésitent pas à délocaliser  leurs entreprises dans les pays de l’est pour tirer bénéfice  de prestations sociales moins avantageuses pour les salariés.  Dans ces conditions, quelles raisons auraient nos compatriotes routiers  de voter en 2017 pour  Hollande ou  Sarkozy, Valls ou Juppé ? Au-delà du bla-bla habituel, ces derniers ne bougeront pas le petit doigt en leur faveur,  au nom de leur soumission idéologique aux dogmes de l’Europe de Bruxelles, quand  bien même ladite directive achève  de ruiner de paupériser de nombreux artisans et petites entreprises.

     Ce danger FN pointé par la caste polico-médiatique, est tout simplement  la prise de conscience par le peuple français que la société ouverte, diluée par le haut dans l’européisme et sapée  par le bas par  l’immigration de peuplement, la doxa multiculturaliste, la société bâtie, voulue, imposée par les partis du Système ne fonctionne pas et mène la France à sa perte.

    Hier, lors de ses vœux à la presse, et à la  lumière des derniers attentats,  Manuel Valls a dressé le bilan de quarante ans de cogestion  droite-gauche: « Ces derniers jours ont souligné beaucoup des maux qui rongent notre pays ou des défis que nous avons à relever. A cela, il faut ajouter toutes les fractures, les tensions qui couvent depuis trop longtemps et dont on parle uniquement par intermittence » « Après on oublie, c’est ainsi… Les émeutes de 2005, qui aujourd’hui s’en rappelle et pourtant… Les stigmates sont toujours présents ».

     Le Premier ministre a évoqué quelques unes des conséquences de cette délirante poursuite de l’immigration de peuplement, qui empêche toute assimilation, a fortiori en période de crise et de chômage de masse. A savoir  « la relégation péri-urbaine, les ghettos (…), un apartheid territorial, social, ethnique, qui s’est imposé à notre pays », « la misère sociale », «les discriminations quotidiennes parce que l’on n’a pas le bon nom de famille, la bonne couleur de peau, ou bien parce que l’on est une femme ».

    M. Valls a bien intégré les recommandations du cercle de réflexion Terra Nova incitant le PS à jouer la carte du clientélisme en direction de toutes les minorités, puisque le Français de souche, périurbain, issu des catégories populaires mais aussi désormais de la classe moyenne, s’est détourné de la gauche et vote désormais FN.

    Une France d’en bas, des invisibles , une France périphérique décrite par les travaux de Christophe Guilluy, elle aussi en voie de paupérisation, accablée par le crise, mais certes, qui ne brûle pas de voitures, n’agresse pas policiers et pompiers, ne stocke pas des armes. Le criminologue Xavier Raufer l’avait en outre déjà relevé, les départements qui concentrent le plus de pauvreté sont la Creuse et la Corrèze, pas la Seine Saint-Denis…

     Bien sûr, courageux mais pas téméraire, M. Valls n’en tirera pas  les conclusions qui s’imposent. Il poursuit au contraire avec opiniâtreté  les mêmes objectifs antinationaux , au sens large, qu’Alain de Benoist sur le site Boulevard Voltaire a assez  bien  résumé, dans la ligne de la stratégie mise  en place par la manifestation du 11 janvier.

    " Celle-ci avait au moins six objectifs: « marginaliser le Front National et neutraliser l’UMP (qui est évidemment tombée dans le panneau la tête la première) au nom de l’ union sacrée, solidariser les Français autour d’une classe politique gouvernementale discréditée, justifier l’engagement de la France dans une nouvelle guerre d’Irak où elle n’a rien à faire, mettre en place un espace policier européen où l’on sait d’avance que ce ne sont pas seulement les islamistes qui seront surveillés (Manuel Valls affirmant sans rire que les mesures exceptionnelles  qu’il s’apprête à prendre ne seront pas des mesures d’exception!), faire croire que le terrorisme auquel nous sommes aujourd’hui confrontés a plus à voir avec le Proche-Orient qu’avec l’immigration et la situation des banlieues, enfin persuader l’opinion que,  face au terrorisme , la France, fidèle vassale du califat américain, ne peut qu’être solidaire de pays occidentaux qui n’ont jamais cessé d’encourager l’islamisme, tout en noyant leurs erreurs et leurs crimes derrière le rideau de fumée du  choc des civilisations  (Poutine n’avait bien sûr pas été invité !) ".

     « Dans une France plongée en état d’apesanteur et noyée dans la moraline poursuit-il,  on aura tout vu. Les cloches de Notre-Dame de Paris sonnant le glas pour les bouffeurs de curé. L’ union nationale  sans le Front National. La  liberté d’expression  réduite au droit au blasphème et s’arrêtant à Dieudonné. Celle des caricaturistes dépendant de la personne visée (Mahomet en train de sodomiser un porc : tellement drôle ! Christiane Taubira en guenon : intolérable !). Des bataillons de chefs d’État (deux fois le G20 !) chantant les louanges d’un titre dont ils n’avaient jamais entendu parler huit jours plus tôt. Des millions de zombies se ruant dans les kiosques pour acheter, tel le dernier smartphone, un journal qu’ils n’avaient jamais eu la curiosité d’ouvrir depuis vingt ans. Le badge  Je suis Charlie  succédant au ruban pour le SIDA et à la petite main de  Touche pas à mon pote . Spectacle surréaliste ! »

     Surréaliste mais aussi pour certains, une sorte de répétition générale de ce à quoi nous devons nous attendre lors de la prochaine présidentielle si Marine se qualifie pour le second tour. Le Monde et Marianne ont relevé le caractère très monocolore des défilés du 11 janvier , l’absence  évidente de « la France des banlieues »  qui n’est pas venue défiler avec « les bourgeois », les «blancs »; n’en déplaisent  aux médias qui ont filmé les trois ou quatre  imams présents et autres jeunes issus des minorités pour persuader le bon peuple du contraire.

    Mais à  voir la sociologie de la manif parisienne du 11 janvier, principalement  la génération qui avait une vingtaine d’années en 68, des enseignants, des fonctionnaires, des bobos, et une jeunesse, toujours manipulable et proie facile du totalitarisme compassionnel évoqué dernièrement par Bruno Gollnisch, on la devine assez semblable à celle qui défilera contre le  FN quand la caste politico-médiatique en lancera la consigne.

     Sur son blogue, Guillaume Faye a rappelé les propos de  Jean-Marie Le Pen: « je n’ai pas envie de soutenir l’action gouvernementale impuissante et incohérente face à un problème (le terrorisme musulman) qui touche évidemment de très près à l’immigration massive subie par notre pays depuis quarante ans ». Car le cœur du problème est là poursuit M. Faye : la France est le déversoir d’une immigration invasive de peuplement en très grande majorité musulmane et  à forte fécondité. Et l’on ne s’attaque pas à cette vraie cause, du fait de l’idéologie cosmopolite et antiraciste».

    « Le déni de réalité et la stupidité poursuit-il,  ont atteint un paroxysme pathologique qui n’a été égalé dans l’histoire qu’au IVe siècle lorsque les élites romaines faisaient entrer dans la romanitas les Barbares pour les protéger des …invasions barbares», Guillaume Faye  invitant à la lecture à ce sujet de l’excellent livre de  Michel De Jaeghere, Les derniers jours, la fin de l’empire romain d’Occident.  

    Mais il est surtout temps d’agir. Les Français ont (encore) leur avenir entre les mains, et jamais le vieux slogan du FN n’a été autant d’actualité: Avec nous avant qu’il ne soit trop tard! 

    Bruno GOLLNISCH

  • Netanyahu frôle l'incident diplomatique devant le Congrès américain

    1789993.jpg

    21/01/2015 à 21:26

    Source: Belga

    La Maison Blanche a exprimé son exaspération mercredi après l'annonce surprise que le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, avec qui les relations sont fraîches, avait été invité par les républicains au Congrès, en plein débat sur l'Iran.

     

     

     

    Le président de la Chambre des représentants, le républicain John Boehner, a annoncé mercredi que Benjamin Netanyahu avait été invité, pour la troisième fois, à prononcer le 11 février un discours devant les deux chambres du Congrès, une tribune prestigieuse. La Maison Blanche a semble-t-il été prise de court, n'ayant été informée que peu avant le communiqué républicain.

    En termes diplomatiques mais sans équivoque, le porte-parole de Barack Obama a fait part de l'agacement américain à l'encontre du Premier ministre israélien.

    "Le protocole classique est que le dirigeant d'un pays prenne contact avec le dirigeant du pays dans lequel il se rend, c'est certainement la façon dont les voyages du président Obama à l'étranger sont organisés, et cet événement semble donc être un écart au protocole", a déclaré Josh Earnest. "Les Israéliens ne nous ont pas informés du tout de ce voyage", a-t-il ajouté.

    Les deux dirigeants s'étaient parlé au téléphone le 12 janvier. L'invitation s'assimile effectivement à un geste de défiance.

    Outre l'incident protocolaire, la venue du Premier ministre israélien interviendra en plein débat américain sur le nucléaire iranien.

    Une bonne partie des élus sont favorables à l'adoption préventive de sanctions contre l'Iran, pour contraindre Téhéran à signer avant la date-butoir du 1er juillet un accord sur le nucléaire. Mais Barack Obama ne veut rien céder de son pouvoir de négociation, et a promis d'opposer son veto à une telle législation.

    Les propos de John Boehner justifiant l'invitation ne laissent guère de doutes quant à son but: ajouter la puissante voix de M. Netanyahu, très sceptique des pourparlers avec Téhéran, à celles des nombreux parlementaires qui veulent défier l'administration.

    "Le Premier ministre Netanyahu est un grand ami de notre pays, et cette invitation est la marque de notre engagement sans faille en faveur de la sécurité et du bien-être de son peuple", a déclaré John Boehner. "Face aux défis actuels, je demande au Premier ministre de s'exprimer devant le Congrès sur les graves menaces que l'islam radical et l'Iran représentent pour notre sécurité et notre mode de vie".

    Le discours de M. Netanyahu aura lieu à un peu plus d'un mois des élections législatives israéliennes du 17 mars, lors desquelles il espère être reconduit.

    L'incident illustre la mésentente notoire entre les deux dirigeants dans les dossiers iranien et palestinien, notamment sur la construction de logements à Jérusalem-Est.

    Assis dans le Bureau ovale près de Barack Obama en octobre dernier, Benjamin Netanyahu l'avait mis en garde devant les caméras contre un accord faible qui mènerait l'Iran "au seuil de la puissance nucléaire".

    L'Israélien dispose de solides alliés aux Etats-Unis, en particulier parmi les républicains. Parfaitement bilingue, il est régulièrement invité dans les grandes émissions politiques du dimanche, en duplex de Jérusalem, pour peser sur le débat américain sur l'Iran. La visite de M. Netanyahu risque ainsi de prendre un tour partisan, le Congrès étant passé sous contrôle républicain en janvier.

  • SOS Racisme veut faire cesser les tournées "Génération Solidaire" auprès des SDF !

    gslill.jpg

     

    Communiqué du 21 janvier 2015

     

    Depuis le début de l'hiver, dans de nombreuses villes,  les militants de Génération Identitaire ont repris les tournées de solidarité après des SDF. A travers la distribution d'habits chauds, de matériel de première nécessité, autour d'un thermos de café, les jeunes identitaires entendent par leur action amener un peu de réconfort mais aussi dénoncer les aides et logements d'urgence souvent attribués à des immigrés clandestins alors que des Français passent l'hiver dans la rue, et que certains y meurent.

     

     

     

    C'est pour avoir rappelé cette injustice lors d'une intervention médiatique l'an passé que Damien Rieu, ancien porte-parole de Génération Identitaire, a été convoqué hier devant le Tribunal correctionnel de Lyon suite à une plainte déposée par SOS Racisme Rhône-Agir. Il s'agit bien entendu d'une manœuvre d'intimidation scandaleuse !

     

    Cela ne nous impressionne pas et nous entendons bien continuer de battre le pavé pour venir en aide aux plus démunis de notre peuple, pendant que SOS Racisme continue pour sa part de vivre grassement des subventions publiques.

     

    Vous pouvez faire un bras d'honneur à SOS Racisme en soutenant notre campagne "Génération Solidaire" en faisant un don ou en contactant nos sections pour nous rejoindre sur le terrain.

     

    (merci à Dirk)

     

  • Les zombis existent, je les ai rencontrés – par Michel Geoffroy

    les-zombis-existent.jpg

     

     

    22/01/2015 – PARIS (via Polémia)
    D’après la légende, les zombis sont des morts qu’un sorcier a réveillés pour les mettre à son service. Mais les zombis ne sont pas que des créations du folklore haïtien. Ils existent bel et bien. D’après les préfectures il y en avait environ 3,7 millions dans nos rues le 11 janvier dernier. De quoi frissonner.


    Comment reconnaître un zombi ?

    Les zombis se reconnaissent au fait qu’ils marchent périodiquement en foule silencieuse, à l’appel de leurs envoûteurs médiatiques. Les zombis s’émeuvent, mais à la condition de se trouver en foule.

    Parfois aussi ils s’arrêtent, le visage absent : on appelle cela des « minutes de silence ». Des fois ils allument des bougies.

    Et puis ils psalmodient en cadence : « Je suis charlie » et « Pas d’amalgame, pas d’amalgame, pas d’amalgame »

    Ce sont les hommes (ou les femmes) en gris dont l’écrivain Jean Raspail avait aussi prévu l’avènement, dans son roman onirique Septentrion.

    Les zombis se reconnaissent aussi au fait qu’ils regardent et écoutent en permanence les médias grâce à leurs prothèses électroniques qu’ils ne quittent plus. Et le matin ils se jettent sur les « journaux gratuits », qu’ils dévorent. Les zombis font la queue pour acheter Charlie Hebdo cette semaine.

    Les zombis se reconnaissent enfin au fait qu’ils s’habillent tous de la même façon : pantalon jean et veste ou blouson noirs, sac au dos. Ce sont les hommes (ou les femmes) en gris dont l’écrivain Jean Raspail avait aussi prévu l’avènement, dans son roman onirique Septentrion.

    Les zombis sont activés quand leurs envoûteurs médiatiques prononcent certaines incantations particulières : république, droit de l’homme, liberté (sans S), fâââscisme. Par contre, d’autres incantations ne parviennent jamais à mettre en mouvement ces golems : comme Nation, Souveraineté, Chrétienté ou Identité, par exemple.

     

    Les zombis sont serviables

    Les zombis sont serviables : ils viennent par leurs « marches » d’apporter à François Hollande et à son gouvernement l’état de grâce qui leur avait toujours manqué. Grâce aux zombis, les premiers sondages montrent déjà une progression d’opinions favorables en leur faveur (ex. : le sondage TNS-SOFRES des 8 au 12 janvier donne une cote de confiance de 20% pour François Hollande, soit 5 points de plus). (*)

    Grâce aux zombis, les revenants de la gauche et de la droite ont été remis en selle comme par magie. Une magie qui a pour nom Union Nationale : une union qui se caractérise par le fait qu’elle exclut tous les autres Français, mais cela ne choque pas les zombis, puisqu’ils ont perdu l’esprit.

    Les zombis sont aveugles

    Les zombis piétinent longuement dans les rues au nom de la liberté d’expression.

    Mais ils viennent d’offrir à l’oligarchie l’occasion qu’elle attendait pour museler définitivement Internet et les réseaux sociaux ; pour mettre des micros et des « écoutes administratives » partout ; pour réglementer le droit de rire ; pour vérifier ce que nous disons et ce que nous pensons ; pour lutter encore plus, comme l’a dit notre Premier ministre devant l’Assemblée nationale le 13 janvier, contre « le terrorisme, l’intolérance, l’antisémitisme et le racisme ».

    Grâce aux marcheurs, les luttes contre l’islamophobie et la « politique de la ville » ont de beaux jours devant elles.

    Grâce aux zombis, la France va prendre l’habitude de vivre dans un climat de contrôle permanent, ce qui renforcera l’autocensure, pour le plus grand profit du Système. Comme, depuis l’affaire Dieudonné, on habitue les Français à l’idée que la liberté d’expression devrait être restreinte (cf. article dans le 20 Minutes du 15 janvier 2015 intitulé significativement « L’expression, un droit limité » !).

    Les zombis marchent, pour mieux réduire les autres au silence. L’état de zombi est contagieux.

    Les zombis sont soumis

    Grâce à leur marche, les zombis français ont éclipsé celle des Allemands de Pegida. C’est d’ailleurs un peu pour cela que Mme Merkel est venue marcher avec les zombis, avec tous ses amis européens venus en renfort.

    Car les zombis viennent de faire de l’islam une religion intouchable, inattaquable, non critiquable en France et bientôt en Europe, et dont il faudra encore plus favoriser l’exercice au nom du « vivre ensemble ». Il faudra encore « mieux intégrer ceux qui veulent s’intégrer », comme dit déjà l’UMP Hervé Novelli, afin d’éviter que « les jeunes des quartiers ne dérivent vers le djihadisme ».

    Grâce aux marcheurs, les luttes contre l’islamophobie et la « politique de la ville » ont de beaux jours devant elles.

    On reparle aussi d’une modification de la loi de 1905 pour faciliter l’édification de lieux de culte : on imagine lesquels. Notre Premier ministre n’a-t-il pas déclaré à l’Assemblée nationale que « l’autre urgence est de protéger nos compatriotes musulmans » ?

    Car les envoûteurs cathodiques ont bien expliqué aux zombis que les musulmans étaient des victimes des terroristes et qu’ils avaient peur.

    Le serment zombi

    Grâce à la marche des zombis, toute critique de l’immigration sera encore plus diabolisée, cette fois sous le signe de l’atteinte au « vivre ensemble ».

    Peut-être d’ailleurs que le gouvernement profitera de ce climat d’unanimisme zombi pour tenter de faire passer son projet de vote des étrangers aux élections locales, afin de donner à la gauche les électeurs qui lui manquent.

    On peut imaginer en effet qu’un tel vote serait acquis par les parlementaires chantant debout la Marseillaise, les larmes aux yeux, dans une version zombie du serment du Jeu de Paume !

    Grâce à la marche des zombis, toute critique de l’immigration sera encore plus diabolisée, cette fois sous le signe de l’atteinte au « vivre ensemble ».

    « La France debout », titrait Le Figaro du 12 janvier 2015. « Debout » titrait le 20 minutes du même jour. Ils avaient raison : le 11 janvier les morts vivants se sont bien levés.

    Michel Geoffroy

    Note de Polémia :

    (*) Depuis, la cote de François Hollande a rebondi de 21 points, à 40% d’opinions favorables, et retrouvé son niveau de février 2013 dans le baromètre Paris Match-Sud Radio Ifop Fiducial de janvier publié sur le site de l’hebdomadaire. Soixante pour cent des personnes interrogées estiment que le chef de l’Etat, dont la gestion des attentats et de leurs suites a été largement saluée, défend bien les intérêts de la France à l’étranger, soit 13 points de plus que dans le précédent sondage de décembre. L’approbation de sa politique économique progresse également mais reste à un niveau faible (+7 points à 24%), et 23% des Français souhaitent aujourd’hui la réélection de François Hollande, contre 14% un mois plus tôt. Le taux d’approbation du premier ministre Manuel Valls a progressé de son côté de 17 points à 61%, soit un plus haut depuis son arrivée à Matignon en mars dernier. L’enquête a été réalisée les 16 et 17 janvier auprès d’un échantillon représentatif de 1.003 personnes interrogées par téléphone. (Le Figaro.fr)

    Crédit photo : Olivier06400 via Wikipédia (cc).

  • La République tentée de se transformer en une nouvelle religion

     

    Liberte-dexpression-Censure-Fermeture-eclair-500p-partie.jpg

      

     

    21/01/2015 – PARIS (NOVOpress via Bulletin de réinformation)
    Le président socialiste de l’Assemblée nationale Claude Bartolome disait récemment « Il y a une religion suprême pour chacun d’entre nous, c’est la religion de la République ». Rama Yade le rejoint en affirmant que la République doit redevenir un messianisme avec tout ce qu’il a de « Transgressif, de collectif, de discipliné, d’exigeant, de moral ».

    En ce 21 janvier, on peut se poser quelques questions sur les racines de cette nouvelle religion du républicanisme.

    Selon Maurras, la République gouverne mal, mais se défend bien ; c’est peut-être ce qui se passe avec la lutte contre le terrorisme qui sert en tout cas à nouveau de prétexte pour tenter d’étouffer les voix dissidentes.

    Le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve annonce en effet la publication très rapide des décrets d’application de la loi qui permettra l’intrusion sans contrôle judiciaire dans les ordinateurs privés, la fermeture administrative de sites Internet et des pressions sur les grands opérateurs. Les cibles de la répression seront larges. Le ministre a déclaré hier qu’il visait « de véritables appels à la haine, de l’antisémitisme, mais aussi de l’islamophobie ». L’association La Quadrature du Net dénonce des mesures inefficaces et qui risquent d’encore mieux faire connaître les sites djihadistes.

    Crédit photo : DR.

  • Le producteur d’un film dénonçant le Nouvel Ordre Mondial et l’état policier retrouvé mort avec sa famille

     

    « C’est un producteur de film indépendant qui a été retrouvé mort avec sa famille, son épouse de 28 ans et sa fille de 5 ans. Officiellement, il se serait suicidé après avoir tué sa femme et sa fille, ce qui n’empêche pas les enquêteurs de trouver cette mort suspecte.
    Les questions concernant son décès tournent autour du film qu’il réalisait sur le « Nouvel Ordre Mondial » tel qu’il s’annoncerait, avec toute son horreur et sa violence. Le véritable souci, c’est que si des films et des livres existent sur le sujet, un film réunissant un grand nombre de faits transposables dans la réalité, et qui puisse être compris par le plus grand nombre, cela n’est pas vraiment souhaité. Demandez aux masses de s’informer sur la mise en place du NWO, ils ne le feront pas, si on leur propose cela de manière « distrayante » via un film, ils seront des millions à le voir, et à pouvoir comparer le film et la réalité.
    686f131b7513ad3c39ca801a68424c40_400x400C’est typiquement le genre de fait divers qui pue au plus haut point. Bien sûr, la version qui prévaut à ce stade est que le père aurait tué sa famille et qu’il se serait donné la mort ensuite. Sauf que son entourage réfute un quelconque état dépressif et sachant la thématique ultra sensible sur laquelle travaillait ce producteur indépendant, cela ressemble fortement à une exécution pour le faire taire.

    Ce type de méthode expéditive n’est pas une première et les assassins mandatés pour ces opérations en black op sont très doués pour maquiller leurs meurtres en suicides (rappelez-vous du cas de Aaron Swarz ou de Michael Hastings). D’ailleurs, la police qui enquête sur cette affaire la considère également suspecte. Lorsque vous verrez la bande-annonce, vous comprendrez que le scénario de ce film n’est pas réellement de la science fiction.

    Voici la description du film par son auteur:

    Le monde est sous la tourmente de la guerre, les catastrophes géologiques et l’effondrement économique, tandis que les Américains continuent de sombrer dans l’illusion de la sécurité et de l’immunité. Alors que les droits et libertés sont vendus en échange de la sécurité, le gouvernement fédéral, investi de pouvoir, commence à ôter systématiquement la liberté afin de parvenir à un nouvel ordre mondial. Les Américains, confinés dans les districts militarisées en quarantaine, deviennent une population sous contrôle tyrannique.

    Exploitation de la peur, terrorisme, état policier, loi martiale, guerre, arrestation, détention, faim, oppression, violence, résistance, ce sont les nouveaux termes par lesquels les Américains définiront leur existence.

    Le voisin se retourne contre son voisin lorsque le dollar plonge à zéro, les approvisionnements alimentaires sont épuisées, et tout le monde peut être soupçonné de terrorisme. Il y a des arrestations, des disparitions et des attaques biologiques.

    Des exécutions publiques pour les dissidents présumés. Il y a même des rumeurs de camps de concentration sur le sol américain …Dans Gray State, la perpétuation de la liberté humaine sera mise à l’oeuvre ou annihilé.

     

    Source et liens connexes sur Fawkes-News
    Via Les moutons enragés

  • Nice: un militaire tire accidentellement près d'un centre culturel juif

    4469957_nice_545x460_autocrop.jpg

     22 Janv. 2015, 18h36 | MAJ : 22 Janv. 2015, 19h00

    0
     
     
     
     
    réagir
    2
                                                         Le soldat a tiré accidentellement jeudi une rafale de trois balles devant ce centre culturel juif.
    Google street view

    Un militaire en faction devant le centre culturel juif Habad Loubavitch de Nice (Alpes-Maritimes) a tiré accidentellement jeudi une rafale de trois balles qui n'a pas fait de blessé, selon une source proche du dossier.

     

    Sur le même sujet

    Plan Vigipirate : avec les réservistes appelés en renfort

    Plan Vigipirate : avec les réservistes appelés en renfort

    Armée : 7 500 postes épargnés pour lutter contre le terrorisme

    Armée : 7 500 postes épargnés pour lutter contre le terrorisme

    Ce militaire avait été déployé devant ce centre, situé dans le quartier des Musiciens en plein centre-ville, dans le cadre des opérations de sécurisation des sites sensibles, écoles juives et mosquées notamment, décidées après les attentats survenus du 7 au 9 janvier.

    L'arme était dirigée vers le sol, et l'incident n'a occasionné aucun dégât, selon cette source, confirmant une information de France 3 Nice.

    NdB: C'est un non-événement ! Pourquoi en faire une information?

  • 21 janvier : anniversaire du régicide

     

    Vu chez Thibaut de Chassey :

    Le 21 janvier 1793, la racaille révolutionnaire, ivre de haine et de rage, assassinait le roi de France, Louis XVI, âgé de 38 ans.
    Cet acte sauvage recelait une grande force symbolique : en décapitant celui qui était le père de la nation organique et le sommet de l’Etat monarchique, c’était l’ordre ancien qui était abolit, en profondeur, au profit d’une contre-civilisation qui allait s’instaurer progressivement et inexorablement et dont nous connaissons aujourd’hui une certaine étape.

    Pour l’anecdote, et contrairement à ce que laissait espérer l’innovation technique que constituait la guillotine, l’exécution du roi martyr fut particulièrement horrible.
    Revenons donc à ce triste épisode, au cœur des heures les plus sombres de notre histoire.

    Craignant un ultime rebondissement si le roi faisait un discours devant la foule, le commandant de la garde nationale donna l’ordre de faire jouer tous les tambours au pied de l’échafaud, qui était d’ailleurs fortement protégé.
    Sur la dernière marche cependant, le roi fit un signe impérieux aux tambours qui, surpris, cessèrent de battre, et cria d’une voix tonnante : « je meurs innocent de tous les crimes qu’on m’impute. Je pardonne aux auteurs de ma mort, et je prie Dieu que le sang que vous allez répandre ne retombe jamais sur la France. Et vous, peuple infortuné… »
    Déjà, des ordres étaient donnés et les tambours reprenaient.
    Un journaliste de l’époque écrivit : « est-ce bien le même homme que je vois bousculé par quatre valets de bourreau, déshabillé de force, dont le tambour étouffe la voix, garrotté à une planche, se débattant encore, et recevant si mal le coup de la guillotine qu’il n’eut pas le col mais l’occiput et la mâchoire horriblement coupés ? »

    D’après certains témoignages, il fallut s’y reprendre à deux fois pour trancher la tête, tandis que d’autres affirment que le bourreau dut appuyer de tout son poids sur la lame qui avait à peine entamé le crâne – au lieu du cou – afin de détacher la tête…
    Le prêtre présent raconta qu’ensuite « le plus jeune des gardes, qui semblait avoir dix-huit ans, saisit immédiatement la tête, et la montra à la populace en faisant le tour de l’échafaud ; il accompagna cette monstrueuse cérémonie des gestes les plus atroces et les plus indécents ».

    On notera avec inquiétude que l’idéologie républicaine, contre-nature et forgée dans le sang de très nombreux Français, connaît aujourd’hui un regain de popularité dans la « mouvance nationale », même si certaines structures comme le Renouveau français y ferraillent inlassablement contre la doctrine mortifère issue des Loges.

    Ci-dessous, le beau testament de Louis XVI, rédigé le 25 décembre 1792, envoyé à la Commune de Paris le 21 janvier 1793 :
    Lire la suite

  • Valls et son “apartheid” (Présent 8277)

    Present-Chard.jpg

     

     

    21/01/2015 – PARIS (NOVOpress)
    Présentant mardi ses vœux aux journalistes, le Premier ministre n’a pas hésité à employer l’expression « d’apartheid territorial, social et ethnique » pour évoquer la situation catastrophique des banlieues françaises. Une expression à la fois anachronique et géographiquement inappropriée qui, non contente de montrer l’inculture de ceux qui nous gouvernent, abonde dans le sens de la culpabilisation de notre pays.

    Valls et son “apartheid” (Présent 8277)« Les mots ont un sens »

    Ce n’est pas la première fois que Valls se hasarde à cette comparaison. En 2005 déjà, au lendemain des émeutes qui avaient mis à feu et à sang les banlieues, celui qui était alors maire d’Evry établissait ce parallèle douteux dans son livre La Laïcité en face. Depuis, il nous le ressert régulièrement, expliquant notamment en 2009, sur la chaîne Direct 8, « qu’un véritable apartheid s’est construit, que les gens bien-pensants voient de temps en temps leur éclater à la figure, comme ça a été le cas en 2005, à l’occasion des émeutes de banlieues ». Mardi, le Premier ministre est donc revenu à la charge en déclarant que « ces derniers jours ont souligné beaucoup des maux qui rongent notre pays » et « qu’à cela, il faut ajouter toutes les fractures, les tensions qui couvent depuis trop longtemps et dont on parle peu, (…) la relégation périurbaine, les ghettos, (…) un apartheid territorial, social, ethnique, qui s’est imposé à notre pays ».

     

    Des mots qui ont, bien sûr, suscité de vives réactions dans la classe politique. Ainsi le député UMP Philippe Gosselin, jugeant ces propos « vraiment excessifs », a-t-il rappelé que « les mots ont un sens » et que « la France aujourd’hui ne connaît pas l’apartheid que pratiquaient les dirigeants de l’Afrique du Sud ». Et de son côté, Florian Philippot a estimé pour le FN que le Premier ministre « a tenu des propos aussi irresponsables qu’insultants pour notre pays », ajoutant que Valls « ne peut ignorer que ses propos ne feront que jeter de l’huile sur le feu ».

    « Renforcer les processus de victimisation »

    En fait, comme le rappelait très justement le géographe Laurent Chalard, cité par le Figarovox, ces propos « sont particulièrement maladroits », parce que le Premier ministre « fait référence à un contexte historique et géographique très particulier (…) qui n’a strictement rien à voir avec la France et qui, si l’on suit sa définition stricto sensu, laisserait entendre que l’Etat français est responsable de cette situation, ayant volontairement “parqué” certaines populations dans des territoires réservés (nos grands ensembles étant nos bantoustans) et les empêchant de participer au reste de la vie de la société à travers une législation spécifique suivant l’origine ethnique des individus ». Une « interprétation erronée », ajoutait-il, qui « risque de renforcer les processus de victimisation et de déresponsabilisation déjà à l’œuvre parmi les personnes censées subir ce soi-disant apartheid ».

    Franck Delétraz


  • Gilad Atzmon rencontre Robert Faurisson


    Gilad Atzmon rencontre Robert Faurisson - 10... par kontrekulture

     

    Entretien exclusif pour Kontre Kulture

    Le jazzman et essayiste britannique Gilad Atzmon a rencontré le professeur Robert Faurisson chez lui, à Vichy, le 10 juin 2014, pour un entretien inédit sur son travail d’historien et les persécutions qui ont jalonné sa carrière.

    E&R

    NdB: Cet entretien est évidemment très important. Le regarder et l'écouter jusqu'au bout.

  • Lorraine: le maître des chiens "Itler" et "Iva" a dû les rebaptiser

    4460131_american-stafforshire-terrier_545x460_autocrop.jpg

    http://www.leparisien.fr/societe/lorraine-le-maitre-des-chiens-itler-et-iva-a-du-les-rebaptiser-19-01-2015-4460131.php

     

  • Marion Maréchal-Le Pen relaye sur Twitter la vidéo que Marine Le Pen ne souhaite pas voire relayée

    Capture.PNG

     

    et qui a coûté à Aymeric Chauprade sa place de conseiller aux affaires internationales de la présidente du Front national.

    NDF

  • La question du jour

    sans-titre.png

    NDF

  • Enlevez les lapins, il reste le brouillard

    mardi 20 janvier 2015

     

     

    « Certains croient que - excusez le terme, hein – pour être de bons catholiques nous devons être comme des lapins, non ? Non. Paternité responsable. »

    Le propos de François a fait le tour de la terre. Sauf au Vatican. Il a été pieusement supprimé du texte officiel de la conférence de presse dans l’avion.

    Ce propos qui fait des parents de familles nombreuses des « lapins » va de pair avec la – semble-t-il – reprise à son compte par le pape que le nombre raisonnable d’enfants est de trois par famille.

    Comment limiter le nombre d’enfants ?

    Il l’explique immédiatement : « Paternité responsable. C’est clair, et c’est pourquoi il y a dans l’Eglise des groupes de mariage, il y a des experts en la matière, il y a des pasteurs, et on cherche. Je connais tant et tant de voies qui sont licites et qui ont aidé en cela. »

    Tant et tant de voies licites ?

    Le pape serait bien bon d’informer les familles de toutes ces voies licites. Car jusqu’à présent on n’en connaissait que deux : l’abstinence sexuelle, et la régulation naturelle. Qui n’en font d’ailleurs qu’une seule, à moins de vivre dans la continence.

    On souligne ici et là que François, aux Philippines, a fait l’éloge de l’encyclique Humanae Vitae de Paul VI. Si l’on veut, oui. Mais on constate surtout qu’il n’en a pas dit un mot. Il a dit du bien de Paul VI qui avait promulgué cette encyclique, il a dit que les familles devaient être « ouvertes à la vie », et c’est tout. Ou plutôt, sans avoir rappelé l’essentiel de l’encyclique, il a insisté sur le travail des pasteurs qui devaient, comme l’avait dit ensuite Paul VI, être très « miséricordieux » avec les gens… sous-entendu, qui devaient permettre aux couples de ne pas appliquer l’encyclique (d’où sa sortie sur la femme enceinte de son huitième enfant, à l’origine de la phrase sur les « lapins »). Toujours sans dire de quoi il s’agit.

    Bref, les journalistes n’ont retenu que la phrase sur les lapins. Qui est la première phrase d’un pape semblant à la fois condamner les familles nombreuses et légitimer la contraception. Du pain bénit pour les rédactions de la pensée unique. François a gagné un nouveau tour de pape superstar dans les médias.

    Le blog d'Yves Daoudal

  • VIDEO - Pape François: "Les couples catholiques ne doivent pas procréer comme des lapins"

    Ce ne sont pas les catholiques qui se reproduisent comme des lapins!