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  • Contournement de la loi 1905, mode d’emploi (par François Baroin)

                  

    19h23

    BFMTV | Bourdin | 28/01/2015
    - la laïcité, je sais que vous êtes un défenseur de la laïcité; comment ça se passe à Troyes ? Vous avez 1 mosquée et je crois qu’il y a 1 autre mosquée en construction, une grande mosquée
    - on a un lieu de prière qui s’appelle une mosquée et il y a des projets d’aménagements
    - vous les encouragez ces projets ?
    - on les accompagne

    - donc on ne finance pas, on accompagne

    - je ne suis pas pour le financement des établissements religieux : la loi 1905 (bla bla) séparation très stricte entre l’Eglise et l’Etat, alors on dit depuis, la religion musulmane s’est développée etc
    On a les moyens juridiques parfaitement pour accompagner les représentants musulmans qui veulent pratiquer à ciel ouvert et non plus dans les caves comme par le passé et encore aujourd'hui d’ailleurs dans certaine parties de notre territoire; donc on peut pratiquer des baux emphytéotiques,

    des accompagnements dans des financements des associations culturelles : il y a des moyens qui ne sont pas des contournements mais qui sont des moyens d’accommodements intelligents pour permettre à une religion de pratiquer son culte : c’est aussi ça l’esprit de la loi de 1905

    - mais on ne va pas plus loin ?
    - on ne va pas plus loin, en revanche …

    FDS

    Mais qui va croire ça? Les veaux, les bobos?

     

  • Pour Manuel Valls « le départ de cent mille juifs infligerait un coup plus dur à la France que celui de cent mille chrétiens »

     

    L’écrivain israélien Avraham B. Yehoshua a publié dans Libération du 22 janvier une tribune sans intérêt, aussi délirante que déplacée, affirmant avec un culot extrême que « L’antisémitisme chrétien de droite nourrit indirectement l’antisémitisme islamiste ».

    Une assertion nullement étayée dans cette haineuse tribune publié par le quotidien rothschildien.
    Mais celle-ci recèle une autre pépite.

    L’auteur écrit en effet que « le Premier ministre français, Manuel Valls, avec une grande générosité d’esprit, a proclamé que le départ de cent mille juifs infligerait un coup plus dur à la France que celui de cent mille chrétiens ».

    Dans ce cas-là, il faut savoir que ce ne sont pas des propos discriminatoires, non.
    En revanche, l’inverse relèverait d’un racisme et d’un antisémitisme effroyables, passibles des tribunaux : c’est cela, la logique républicaine.
    Idem lorsque ce même homme disait que « les juifs sont à l’avant-garde de la République ».

  • L’État Islamique en déroute ?

     


    Les revers successifs infligés par l’armée syrienne, les Kurdes, les Irakiens et la coalition internationale pourraient expliquer cette nouvelle vidéo (ci-dessus). Les barbus promettent aux Français, aux Belges et aux Américains de nouveaux attentats sur leurs sols avant d’égorger un soldat kurde.

    Lu sur le Réseau Voltaire :

    La ville de Kobané a été presque entièrement libérée par les forces du PYG (Syriens kurdes alliés du PKK turc) avec le soutien de l’aviation de la Coalition internationale anti-Daesh.

    Il semble que deux tiers de la totalité des bombardements effectués par la Coalition l’aient été à Kobané.

    On compte au moins 1 200 morts du côté des jihadistes et 800 du côté syrien, mais le bilan pourrait être beaucoup plus lourd.

    Au même moment, l’armée arabe syrienne a terminé l’encerclement des zones occupées par les jihadistes à Alep et sa banlieue. Ceux-ci ne devraient donc plus pouvoir être ravitaillés depuis la Turquie.

    Enfin, l’armée arabe syrienne poursuit son attaque contre Daesh à Deir-es-Zor où les jihadistes tiennent encore l’aéroport militaire.

    En définitive, les jihadistes se replient sur Raqqa où la bataille a commencé.

  • Florian Philippot invité de Mardi Politique


    F. Philippot: «Le clivage gauche-droite est... par rfi

     

    Florian Philippot était l’invité de Mardi Politique. Le Vice-président du Front National était interrogé par Pierre Firtion (RFI), Roselyne Febvre (France 24), Christophe Forcari (Libération).

     

  • L’Iran organise un concours international de dessins sur le thème de l’Holocauste

     

    En réponse à la « Charlie-mania » qui s’est emparée de l’Occident, la République islamique d’Iran, dans un esprit finalement très « Charlie », lance un concours international de dessins sur le thème de l’Holocauste.

    Organisé par la Maison de la bande dessinée de l’Iran et le complexe culturel de Sarcheshmeh, ce concours est le deuxième dans son genre. Le premier s’était déroulé en 2006 suite à la publication de caricature de Mohammed dans un journal d’extrême droite danois.

    « L’organisation de ce 2e concours international de dessins sur l’Holocauste est une protestation à la récente publication récente de caricatures offensant le prophète Mohammed dans le journal français Charlie Hebdo », a indiqué le secrétaire du concours, Masud Shojaei-Tabatabaii, directeur de la Maison de la bande dessinée de l’Iran, lors d’une conférence de presse le 24 janvier dernier. Shojaei-Tabatabaii a ajouté que les dessinateurs du monde entier sont invités à soumettre leurs œuvres avant le 1er avril 2015.

    Les thèmes du concours sont les suivant :

    1. Si l’occident ne connaît pas de limite à la liberté d’expression, pourquoi ne permet-il pas aux chercheurs et historiens de travailler sur l’Holocauste ?

    2. Pourquoi les Palestiniens opprimés devraient compenser l’Holocauste, alors qu’ils n’ont eu aucun rôle durant la Seconde Guerre mondiale ?

    3. La préoccupation d’autres holocaustes tels que l’Holocauste atomique ou encore l’Holocauste irakien, syrien ou en cours dans la bande de Gaza.   Le premier prix est de 12 000 dollars, le second de 8 000 dollars et le troisième de 5 000 dollars. Les meilleurs œuvres sélectionnées seront exposés au Musée d’art contemporain de la Palestine à Téhéran et dans plusieurs autres emplacements de la capitale iranienne.

    Pour plus d’informations :
    http://www.irancartoon.com/the-second-holocaust-international-cartoon-contest-2015/#

     

    E&R

  • Nice : à 8 ans, un écolier convoqué pour "apologie de terrorisme"

     

    Mis à jour : 28-01-2015 20:03
    - Créé : 28-01-2015 17:47

    POLEMIQUE – L'écolier niçois avait dit "Je suis avec les terroristes". Il a été entendu par un officier de police judiciaire en présence de son avocat. Selon le rectorat, le père de l'c'est évidentlève s'était montré menaçant avec le directeur de l'école.

  • Christine Lagarde lèche-babouche (Présent 8281)

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    27/01/2015 – RIYAD (NOVOpress)
    Après les condoléances appuyées de François Hollande au nouveau roi Salmane, c’est Christine Lagarde qui a rendu hommage samedi au roi Abdallah d’Arabie saoudite, décédé la veille. Un hommage honteux. Scandaleux. Au cours duquel la présidente du FMI est allée jusqu’à saluer ce « grand leader » qui « était, de manière discrète, un grand défenseur des femmes » !

    Une véritable provocation

    Une du numéro 8281 de "Présent"

    Une du numéro 8281 de “Présent”

    Une véritable et insupportable provocation quand on sait que sous cette tyrannie wahhabite, fondée sur l’application la plus stricte de la charia, les femmes sont, de leur naissance jusqu’à leur mort, sous la tutelle permanente et légale des hommes. Pour étudier, se marier, voyager, pratiquer l’une des très rares professions qu’elles ont le droit d’exercer, subir une opération chirurgicale… Rien ne se fait sans l’autorisation du père, du mari, du frère, de l’oncle ou encore du fils. Et puis, il y a la liste interminable des interdits : activité sportive, conduite automobile… Pensez qu’il aura fallu attendre 2013 pour que ces dames soient autorisées à faire… du vélo ! Et encore : à condition d’être accompagnées d’un homme de leur famille et dans les zones de faible affluence.

     

    Barbarie institutionnalisée

    Dans ce beau pays où la plupart des bâtiments ont une entrée pour les hommes et une autre pour les femmes, les violences conjugales sont quasiment impunies. Et gare à celles qui tombent entre les mains de la sinistre Muttawa : flagellations, lapidations et même décapitations sont monnaie courante.

    Une barbarie dont les femmes, d’ailleurs, ne sont pas les seules victimes : pour avoir défendu la liberté d’expression, considérée comme « une insulte à l’islam », le blogueur Raif Badawi a ainsi été condamné en novembre 2014 à dix ans de prison, une amende de 1 000 riyals et 1 000 coups de fouet. Il s’est d’abord vu infliger, le 9 janvier dernier, devant une mosquée de Jeddah, les 50 premiers coups de fouet et devait en recevoir 50 autres vendredi. Mais en raison d’une cicatrisation lente de ses premières plaies, la seconde flagellation a dû être reportée…

    Franck Delétraz

  • Provence: la récolte des violettes a commencé à Tourettes-sur-Loup

    Rafraîchissant!

  • RER A : Elle s’endort dans le train et se fait violer par des « Roumains »

    2h20

    Une jeune femme qui s’était endormie dans un train de banlieue parisienne a été agressée par deux hommes. Ils ont été remis à la justice.

     

    Deux hommes ont été arrêtés et déférés devant la justice, soupçonnés d’avoir violé, pendant qu’elle dormait, une femme dans une rame du RER A entre Paris et Cergy (dans le département du Val-d’Oise), a-t-on appris lundi 26 janvier de source policière.

    La jeune femme de 21 ans a expliqué aux policiers s’être assoupie après avoir pris son RER A dimanche 18 janvier vers 8 heures du matin à la station Charles de Gaulle en direction de Cergy-Préfecture «un jour et une heure où peu de gens sont présents dans le RER», selon cette source.

    Elle a assuré aux policiers qu’à son réveil, un homme était en train de la violer tandis que son complice était en train de lui voler son téléphone portable. Elle est parvenue à sortir du RER à la station Cergy-Préfecture.

    Les deux hommes ont été retrouvés

    Grâce aux images de vidéo-surveillance et à l’exploitation du téléphone de la victime, les enquêteurs de la sûreté régionale des transports sont parvenus à «loger» le violeur présumé, un "Roumain" de 20 ans, aux abords d’un hôtel désaffecté de Villiers-le-Bel, et à l’interpeller mercredi.

    Son complice, un "Roumain de 18 ans, se sachant recherché, s’est lui rendu aux enquêteurs vendredi. Après avoir été placés en garde à vue, les deux ont été déférés devant le parquet de Pontoise.

    TdG.ch

  • Au camp des Milles, Denise témoigne de l'horreur d'Auschwitz

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    Mardi 27/01/2015 à 20H10 Les Milles
     
    Déportée à l’âge de seize ans, Denise Toros Marter se fait un devoir de raconter son histoire aux plus jeunes. Photo Serge Mercier

     

     
     
     

    Dans le silence du Site-Mémorial des Milles, 70 ans jour pour jour après la libération du camp d’Auschwitz, de jeunes lycéens ont rendez-vous avec l’Histoire. Encore sonnés par l’éprouvante cérémonie donnée plus tôt près du wagon du souvenir, ils visionnent à présent "Auschwitz, voyage au bout de l’enfer" ; leurs visages tirés trahissent leur effroi. Le film est interrompu. Une vieille dame apparaît dans la pénombre, sous un épais chapeau de velours côtelé. Si petite, dans son manteau bleu pâle, et pourtant impressionnante de charisme, Denise Toros Marter promet de tout dire. Mais vite.

    "La cérémonie de ce matin m’a beaucoup fatiguée, il faisait si froid !" Le froid, à 87 ans, Denise s’en souvient encore. Ses orteils surtout, lorsqu’à sa libération du camp d’Auschwitz, il a fallu lui en amputer quatre parce qu’ils étaient atteints de gangrène. "Pourquoi vous a-t-on déportées, vous et votre et votre famille ?", demande simplement une élève. "Parce que nous étions de confession israélite, pas particulièrement pratiquants, traditionalistes. On respectait simplement les grandes fêtes." Denise oublie sa fatigue. Elle veut témoigner à tout prix, en détail, depuis son enfance et le plaisir qu’elle avait à écouter ses arrière-grands-parents parler en provençal. "On se croyait protégés des occupants nazis", lâche-t-elle.

    Et puis non. Le 23 mai 1944, Denise, ses parents, un de ses frères et sa grand-mère sont arrachés à leur vie marseillaise. Déportés. L’effroyable séjour au camp, le travail, l’usure, Denise raconte tout. Jusqu’à la libération du camp, le 27 janvier 1945 et son retour en France, cinq mois après. "Nous revenions mes frères et moi, orphelins. Nos parents et notre grand-mère, on les avait mis dans une chambre à gaz puis dans les fours crématoires."

    Au centre de rapatriement, dans l’hôtel le Lutetia, on lui montre des photos. Avez-vous vu ma fille ? Avez-vous vu ma mère ? "Sur les images, il n’y avait que de superbes femmes aux cheveux longs... Ce que j’avais vu à Auschwitz, ce n’était que des femmes amaigries et tondues. Je ne pouvais rien leur dire..." Et cela durera vingt ans. Vingt ans de silence, le temps de se reconstruire, d’essayer, au moins. "Avant de parler, il fallait trouver un équilibre, reconstituer une famille, l’heure était à l’apaisement des esprits." Puis, les premiers films, les premiers documents et les premiers négationnistes, aussi. "Là, on a compris qu’il fallait parler." Depuis, Denise Toros-Marter ne s’est plus arrêtée.

    Mais hier, plus que d’habitude, un mot revenait souvent dans son discours : vigilance. "Malheureusement, d’année en année, on est confronté à des événements qui nous meurtrissent. On avait dit plus jamais ça et on est obligé de reconsidérer qu’il y a une nouvelle forme de racisme et d’antisémitisme qui se propage. Il faut absolument s’élever contre ça, il faut qu’on arrive à déceler le danger que ça représente, il faut que vous, les jeunes, fassiez très attention. Vous êtes nos héritiers, les témoins des témoins et vous devez être vigilants à toute percée du racisme parce que ça commence comme ça et puis vous voyez comment ça aboutit...

    La Provence

  • La récompense du FN sème le trouble lors de la cérémonie du Trombinoscope !

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    LE SCAN POLITIQUE - Le maire frontiste Steeve Briois a reçu le prix de l'élu local 2014 dans la résidence officielle du président de l'Assemblée nationale. Celui-ci a boycotté l'événement. Les ministres primés se sont, eux, fait excuser.

     
     

    Il est arrivé en avance, à l'Hôtel de Lassay, la résidence du président de l'Assemblée nationale. Steeve Briois, maire FN d'Hénin-Beaumont, a invité les parlementaires frontistes Marion Maréchal Le Pen, Gilbert Collard et Stéphane Ravier à venir avec lui recevoir son prix d' «élu local» de l'année 2014 décerné par Le Trombinoscope, mardi soir. En 20 ans, c'est la première fois que le Front national est récompensé lors de cette cérémonie, dont le jury est composé de journalistes.

    «On se met où? On n'est pas habitués!», plaisante Marion Maréchal Le Pen. Les quatre élus avancent d'un pas hésitant mais fier dans les salles pompeuses. Ils prennent place aux premiers rangs, alors que la salle se remplit lentement. Visiblement enchantés d'être conviés, ils plaisantent entre eux, prennent des selfies, tandis que la cérémonie tarde à débuter.

    Le président UMP du Sénat Gérard Larcher, ainsi que le député PS frondeur Laurent Baumel, également primés, arrivent quelques minutes plus tard. Mais les caméras et appareils photo sont braqués sur les frontistes. Alors que la cérémonie a lieu chez lui, Claude Bartolone a fait savoir plus tôt dans la journée qu'il boycotterait l'événement, qu'il aurait normalement dû introduire par un mot d'accueil. En cause: la récompense accordée au maire d'Hénin-Beaumont et vice-président du parti de Marine Le Pen, Steeve Briois.

    Un geste rapidement soutenu par 10 députés socialistes du Pas-de-Calais, qui ont publié un communiqué pour condamner le «choix sensationnaliste» du Trombinoscope susceptibles de «blesser» les élus locaux. «Nous saluons la décision du président Bartolone de ne pas participer» soutiennent-ils.

    Valls excusé, Macron et Royal prétextent l'indisponibilité

    Avant de livrer un hommage aux «confrères de Charlie Hebdo», Arlette Chabot, présidente du jury du Trombinoscope, a jugé nécessaire de faire une mise au point sur la polémique. «Le jury est influencé par l'actualité politique. Nous avons fait nos choix en décembre», se justifie la journaliste visiblement embarrassée. D'ordinaire festive, la cérémonie se déroule dans une ambiance pesante. Les habituelles badineries qui ponctuent les discours ont cédé face au malaise, les applaudissements sont timides.

    Les distinctions décernées à Laurent Baumel, socialiste frondeur, pour le titre de «député de l'année» et à Gérard Larcher, président du Sénat, pour le «sénateur de l'année», n'ont pas fait de vagues. Alors qu'elle était restée floue sur sa présence, la ministre Ségolène Royal, décorée du titre de «ministre de l'année 2014», s'est fait représenter au dernier moment par un chargé de mission. «Ségolène Royal est retenue au ministère», prétend-il, évoquant une rédaction sur la conférence environnementale COP21. Même scénario pour le ministre de l'Economie Emmanuel Macron, attendu jusqu'au dernier moment. «Il est au banc», élude à la tribune une assistante parlementaire. En séance dans l'Hémicycle pour le débat portant sur sa loi, tout près de l'Hôtel de Lassay, Emmanuel Macron a visiblement lui aussi choisi le boycott. Quant à Manuel Valls, «personnalité politique de l'année», selon le Trombinoscope, il avait une bonne excuse: il était retenu dans le Doubs, pour un meeting.

     

    Le président de Public Sénat refuse de donner le prix à Steeve Briois de ses propres mains

    C'est Gilles Leclerc, président de la chaîne de télévision Public Sénat, qui est chargé de remettre le prix à Steeve Briois. La scène est scrutée et attendue par l'ensemble de l'assistance. Sur l'estrade, le journaliste, gêné, prend soin de préciser qu'il n'était pas forcément «volontaire» pour «cet exercice particulier». «Il est rare que le jury remette un prix à un politique non pas pour ce qu'il a fait», argumente Gilles Leclerc. «Il fallait souligner le symbole», poursuit-il, soulignant les victoires électorales du FN aux élections européennes et municipales en 2014. «Où étiez-vous le 11 janvier monsieur Briois?», a conclu le journaliste, dans une interrogation qui sonne comme une accusation. Le président de Public Sénat a quitté l'estrade avant que Steeve Briois le rejoigne, laissant une hôtesse de la cérémonie remettre elle-même le prix.

    Les parlementaires frontistes exultent. Le discours de Gilles Leclerc les fait rire aux éclats. Steeve Briois reçoit son prix en condamnant «l'interrogatoire de police», auquel il a été soumis, selon lui. «Ce prix, attribué visiblement à contrecœur, me va droit au cœur», a-t-il célébré, se disant «fier» de cette récompense d'élu local de l'année, «qui met fin à une certaine injustice».

    Marion Maréchal Le Pen: «On est remontés à bloc»

    À l'issue de la cérémonie, les parlementaires FN crient au loup. «Gilles Leclerc aurait pu recevoir le prix de l'aplaventrisme! Le prix de la carpette! Il est minable!», s'égosille Stéphane Ravier, sénateur FN des Bouches-du-Rhône et maire du 7ème secteur de Marseille. L'élu s'en prend directement au journaliste, qui passe à côté de lui: «Vous avez rampé! Vous auriez du être neutre mais vous êtes un militant! C'est de l'impolitesse! Vous auriez du envoyer directement le prix à Hénin-Beaumont», s'énerve Ravier, qui estime que le président de Public Sénat a «jugé» les bilans municipaux du FN notamment à Marignane et à Toulon. «Ce n'est pas un jugement personnel, les maires FN n'ont pas été reconduits», se défend Gilles Leclerc. «On a assumé ce prix».

    «On a bien rigolé, j'ai même remercié ‘monsieur Clavel'(Leclerc, Ndlr)», résume Marion Maréchal Le Pen, qui n'a manifestement pas retenu le nom du président de Public Sénat. «Maintenant, on est remontés à bloc». Au buffet, Arlette Chabot, Laurent Joffrin, Gilles Leclerc et Christophe Barbier, membres du jury du prix du Trombinoscope, se sont déjà éclipsés.

    LE FIGARO

    HONTEUX !

     
  • [Communiqué du Bloc Identitaire] Déchéance de nationalité pour les djihadistes : 81% des Français soutiennent notre proposition !

     

     

    27/01/2015 – PARIS (NOVOpress)
    Dès avril 2014, le Bloc Identitaire a été le premier mouvement à réclamer la déchéance automatique de la nationalité française et l’interdiction absolue de revenir sur le territoire national pour les binationaux impliqués dans une entreprise djihadiste.
    Dans leur campagne pour l’application de cette mesure forte, prévue dans notre code civil, et encore validée la semaine passée par le Conseil Constitutionnel, les identitaires ont depuis été rejoints par le Front National et des élus patriotes indépendants comme Jacques Bompard, une large partie des députés UMP, et même Manuel Valls a évoqué cette possibilité du bout des lèvres. Bien moins tièdes que le Premier ministre, ce sont désormais une majorité de Français qui soutiennent cette proposition !

    En effet, selon un sondage Ifop effectué les 16 et 17 janvier pour le JDD, 81 % des Français interrogés souhaitent que les islamistes binationaux condamnés pour terrorisme soient déchus de leur nationalité française ! Car, comme le note le JDD, « les Français ont eu le sentiment » après les attaques terroristes effectués par trois Français d’origine afro-maghrébine, « de vivre une trahison. » Notre proposition complémentaire sur l’interdiction de revenir en France pour les djihadistes partis se battre à l’étranger recueille quant à elle 68 % d’avis favorables, dont 78 % parmi les sympathisants UMP et même 71 % des sympathisants PS.

    Des résultats démontrant bien que les Français ne sont pas dupes des manipulations et diversions politico-médiatiques mises en place pour les empêcher de tirer les conclusions logiques des événements dramatiques que vient de traverser notre pays.
    Cette prise de conscience du danger islamiste en France restera lettre morte si elle ne s’accompagne pas d’une remise en cause claire et radicale de l’immigration massive et de l’islamisation progressive de la France et de l’Europe à travers celle-ci.

    C’est pourquoi, plus que jamais, nous allons dans les mois à venir continuer à démontrer la réalité du Grand Remplacement en cours, à pointer l’échec total du multiculturalisme, et à promouvoir la remigration, c’est-à-dire le retour dans leurs pays d’origine d’une grande partie des immigrés et descendants d’immigrés comme seule solution politique et pacifique permettant de mettre un terme aux tensions et aux violences qui traversent notre société.

  • Quelle tristesse, ce monde pourri !

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    Italie : le haut clergé se voile la face après une profanation dans une église de Pérouse

     

    27/01/2015 – PÉROUSE (NOVOpress) - Quelques jours seulement après l’attaque de Charlie Hebdo à Paris, une bande de cinq jeunes immigrés a profané, la cassant et urinant dessus, une statue de la Vierge Marie dans la paroisse de San Barnaba, dans la ville italienne de Pérouse. Le pasteur de l’église, le père Alessandro Scarda, affirme que les voyous ont brisé la statue en deux et ont commencé à la frapper “à coups de pied comme dans un ballon de football”, après quoi ils ont uriné sur les morceaux éparts, qui ont été par la suite récupérées, nettoyées et collées. La statuette est maintenant retournée dans sa grotte, un lieu où les habitants se retrouvent souvent dans la prière.

    Quand les jeunes gens sont arrivés, un homme priait au pied de la statue, tenant à la main la photo de son épouse décédée. Les assaillants lui ont arraché et déchiré sa photo avant de la bruler sur la Madonnina.

    D’après des témoins oculaires l’acte de vandalisme a été perpétré par « un petit groupe de personnes d’origine nord-africaine». Les coupables sont toujours en liberté et n’ont pas été identifiés.

    L’évêque local s’est empressé de dissocier ces actes de violence d’une quelconque motivation religieuse.

    « Nous devons condamner ces actes de vandalisme, » a-t-il déclaré, « mais pas leur attribuer une signification qu’ils n’ont pas, » mais il a également reconnu d’autres « épisodes récents d’intolérance envers les chrétiens de notre ville. » « Nous ne pouvons pas attribuer cet acte de vandalisme, » dit-il, « à la haine religieuse. »

    L’évêque a souligné l’importance de ne pas alimenter la « méfiance réciproque » entre musulmans et chrétiens. Pourtant certains habitants ont critiqué le pape François pour son discours conciliant envers les immigrés — pour la plupart musulmans — et de nier les dangers de la violence à motivation religieuse. De son côté le pape a déclaré mercredi dernier que « Nous prions pour que le sentiment religieux ne devienne jamais une occasion de destruction, d’oppression et de violence. Vous ne pouvez pas faire la guerre au nom de Dieu ! »

    Sources : Perugia Today / imolaoggi.it / umbria24.it

  • Race et intelligence: le dernier tabou de la science

    http://www.fdesouche.com/558065-race-et-intelligence-le-dernier-tabou-de-la-science

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  • Rennes (35) : agé de 32 ans et père de 26 enfants, il est jugé pour trafic de cocaïne

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    BREIZATAO – NEVEZINTIOU (23/01/2015) Cinq personnes, trois Guyanais et deux Surinamiens (Wikipédia), comparaissaient mercredi devant le tribunal correctionnel de Rennes pour trafic de stupéfiants, rapporte Ouest-France. Ils avaient été interceptés le 5 décembre 2014 lors d’un contrôle douanier au péage de la Gravelle en Mayenne. Les agents avaient découvert 650 grammes de cocaïne planqués sous la roue de secours de leur voiture. Deux des suspects cachaient également plusieurs boulettes de cocaïne avec respectivement 182 grammes et 170 grammes dans leur ventre. Ces deux « mules » avaient ingéré la drogue à Cayenne avant leur départ en avion.

    Parmi les accusés, un homme âgé de 32 ans a déclaré avoir 26 enfants à élever. Les cinq passagers du véhicule ont tous été condamnés à des peines de prison, dont deux ans ferme pour les deux hommes venus réceptionner la marchandise à l’aéroport. Ils devront également s’acquitter d’une amende douanière de 45.225 euros.

    (source)

  • Le rabbin Mordechai Frizis craint pour l’avenir des juifs grecs

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    20h02

    Le Rabbin Mordechai Frizis, ancien grand rabbin de Salonique, en Grèce, a déclaré lundi que les résultats des récentes élections en Grèce ne sont pas de bonnes augures pour la communauté juive de cette ile de méditerranée.

    «Les résultats montrent une révolution dans la politique grecque. Pour la première fois le parti radical de gauche Syriza a remporté la majorité avec la moitié des sièges au parlement sans compter les néo-nazis qui arrivent troisième»

    Le rabbin a ajouté que le parti Syriza « est un parti anti-sioniste qui est contre Israël. Un juif de Grèce ne peut pas être heureux aujourd’hui avec les résultats des élections. Le parti néo-nazi Aube dorée s’élève à la troisième place et cela effraie vraiment les juifs grecs« .

     

    La communauté juive de Grèce est préoccupé par ces développements et craint que le résultat de l’élection modifie les relations entre Israël et la Grèce .

    Se référant aux récentes attaques terroristes à Paris où quatre juifs ont été assassinés dans un supermarché casher, le rabbin Frizis remarque « qu’en Grèce les choses pourraient échapper à tout contrôle« .

    « En raison des difficultés financières de la Grèce, il y a de plus en plus d’accusations contre les Juifs. Il y a quelques années, un dirigeants grecs avait dit dit que les juifs ne paient pas d’impôts, cela nous rappelle des périodes sombres de l’histoire de la communauté juive » .

    Tribune juive

    FDS

  • Lu cet excellent commentaire sur NDF

    jpr

     

    Les responsables politiques français qui ont, avec l’argent pris dans la poche du contribuable, contribué à répandre ce numéro de Charlie hebdo ont désormais sur les mains le sang des chrétiens du Niger. Resteront-ils impunis, responsables mais pas coupables ?

  • Doubs: Valls plongé dans le noir pour son discours

     

     

     

    Le Premier ministre Manuel Valls s'est retrouvé plongé dans le noir, ce mardi soir, devant plus de 750 personnes venues l'écouter, à Audincourt dans le Doubs. Le Premier ministre Manuel Valls s'est retrouvé plongé dans le noir, ce mardi soir, devant plus de 750 personnes venues l'écouter, à Audincourt dans le Doubs.                                                   
     

    En déplacement dans le Doubs pour soutenir le candidat du PS à l'élection législative partielle qui débute dimanche, le Premier ministre s'est vu dans l'incapacité de démarrer son meeting à la suite d'une coupure de courant. Un acte délibéré de la CGT, comme l'a confirmé le syndicat à BFMTV.