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  • Manifestation anti-loi Travail: "plus de 2.000" policiers mobilisés jeudi, indique le préfet de police

    Alors que des violences avaient émaillé la dernière mobilisation contre la loi Travail, le préfet de police de Paris a adressé mercredi un message très clair de fermeté à la veille de la manifestation – finalement autorisée – prévue ce jeudi dans la capitale: « Toute exaction donnera lieu à des interpellations immédiates », a-t-il prévenu, précisant que « les syndicats se sont engagés à renforcer leur service d’ordre ».

    Les participants « invités à ne pas prendre de sac à dos »

    Lors de ce point presse, le préfet de police Michel Cadot a détaillé le dispositif mis en place pour encadrer le cortège: plus de 2.000 fonctionnaires de police » – des forces mobiles (CRS) mais aussi autres services comme la brigade fluviale – seront mobilisés.

    Il sera interdit de se masquer et un « dispositif de filtrage » sera mis en place « en amont de la Place de la Bastille, pour éviter que ne soient introduits des projectiles ou masques », a-t-il précisé. D’autre part, « les participants sont invités à ne pas prendre de sac à dos ». 

    Comme lors d’occasions précédentes, des arrêtés d’interdiction de paraître aux abords de la manifestation ont été pris à l’égard d’une centaine de personnes, a-t-il ajouté, expliquant que la mesure concernait des personnes interpellées précédemment dans des manifestations, dont certaines seront convoquées ultérieurement par la justice.

    Station Bastille fermée, retrait des véhicules et des bateaux

    Des mesures seront également prises pour les riverains. « On sera amené à enlever les véhicules » en stationnement sur la zone de manifestation « et notamment boulevard Bourdon et boulevard Bastille ». De même, la préfecture de police assurera sur Twitter et sur son site internet une information continue « sur les conditions de circulation et les conséquences ». 

    Le préfet de police a également évoqué un retrait du port de l’arsenal des bateaux qui souhaiteraient s’éloigner, qui seront regroupés dans une zone proposée par Ports de Paris.

    Enfin, la station de métro Bastille sera entièrement fermée. Les manifestants devront emprunter d’autres stations. 

    BV

  • Philippe de Villiers : « La question identitaire est la question centrale »

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    18/06/2016 – FRANCE (NOVOpress) : « La question identitaire est la question centrale et toutes les autres sont secondaires. Un pays peut perdre sa souveraineté, mais il ne peut survivre en perdant son identité », assène Philippe de Villiers dans le numéro 2 du magazine France, où il succède, en couverture, à Marion Maréchal-Le Pen.

    L’entretien exclusif que Philippe de Villiers a accordé à France s’étale sur dix pages. Le fondateur du Puy du Fou y cite ce propos que lui avait tenu Alexandre Soljenitsyne en 1993 : « Un pays peut perdre sa souveraineté et c’est grave, mais le plus grave c’est s’il perd son identité. » Soljenitsyne avait ajouté : « Mais vous avez, à l’est de l’Europe, des pays qui ont perdu leur souveraineté (on se souvient de la souveraineté limitée de Brejnev) mais qui ont gardé leur identité. Ces pays s’en sortiront. » Mais la France ? Mais le reste de l’Europe ? Extraits de ce magnifique entretien avec Philippe de Villiers.

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    France : Vous diriez que la double menace dont vous parlez est historique pour la France, vitale peut-être même ?

    Philippe de Villiers : La menace est vitale, unique et inédite, oui. La France a connu des périodes extrêmement difficiles, parfois de guerre civile, souvent de guerres extérieures et elle a très souvent été occupée depuis la Révolution française. On a transformé le peuple français en chair à canon au nom d’une idéologie du genre humain avec laquelle la patrie devenait non pas la terre charnelle, mais un outil au service même de l’idéologie.

    Mais jamais une telle menace d’implosion et d’explosion à la fois n’a pesé sur la France. Nous n’avons jamais vu s’installer sur notre territoire, avec l’aide de la cinquième colonne de nos élites, une population appartenant à une autre civilisation incompatible avec la nôtre et avec un taux de fécondité différentiel qui laisse peu de doute sur l’issue démographique.

    La seule question importante pour les quelques années qui viennent, avant qu’il ne soit trop tard, c’est la question de l’identité française. La question identitaire est la question centrale et toutes les autres sont secondaires. Un pays peut perdre sa souveraineté, mais il ne peut survivre en perdant son identité. Un pays peut être accablé d’impôts, mais s’il garde son identité, il pourra se libérer.

    Car un pays qui perd son être, sa substance, la science exacte de son passé et de son patrimoine, qui perd sa langue, porte d’accès à ses chefs d’œuvre et vecteur de la compréhension de lui-même, ne peut survivre.

    Je ne dis pas ça pour paraître romantique, mais parce que l’Histoire nous l’enseigne. Nous connaissons des cas glorieux de nations, de grandes cités, et même de civilisations qui ont disparu. Il ne faut jamais oublier le mot de Paul Valéry : « Nous autres, civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles. » Les Amérindiens, les Spartiates, les Grecs, Athènes et Rome ont disparu.

    Philippe de Villiers

    France : Pour vous, il faudrait donc défendre l’identité avant la souveraineté ?

    Philippe de Villiers : La question identitaire est liée à la question de la souveraineté, mais elle prime sur cette dernière et je vais vous expliquer pourquoi. Un pays qui n’a plus le pouvoir ne peut plus se commander lui-même. Quand il est commandé par d’autres, il est une colonie. C’est notre cas, nous sommes une colonie des firmes a-nationales qui conduisent la politique américaine, puisque les commissaires de Bruxelles ne sont que des pantins.

    Les Polonais ont connu cette situation, les Hongrois aussi, mais ils n’ont pas perdu leur identité. Ils ont cultivé leurs souvenirs, leurs affections, leurs us et coutumes, leurs traditions, leurs équilibres, ils ont gardé leurs tissus.

    Dans le cas français, c’est au moment où nous perdons notre souveraineté que nous perdons également notre identité. Prenons un exemple : la ministre de l’Éradication Nationale, Najat Vallaud-Belkacem, fait bien son travail, elle détruit tout. C’est l’Attila de l’éducation, il ne repousse pas d’herbes derrière elle et c’est bien la mission qui est la sienne : détruire les humanités, la langue française et l’histoire de France et en finir avec la liberté de l’école.

    Alors la question est simple : combien de temps un pays peut-il vivre en tenant ses enfants dans l’ignorance de sa propre histoire ? Ou pire encore : combien de temps un pays peut-il survivre quand il donne à ses enfants une image ignominieuse de son propre passé ? Est-ce qu’un pays peut survivre lorsqu’il pratique ad nauseam la honte de lui même ?

    Nous sommes devenus un pays dans lequel on ne propose plus nos drames, nos larmes, nos gloires, nos fiertés. Nous prenons donc le risque que des jeunes qui habitent chez nous aillent chercher ailleurs d’autres drames, d’autres larmes, d’autres gloires et d’autres fiertés. Aujourd’hui, les héros qui sont mis à la dispositions de la jeunesse française sont doubles : les héros consuméristes sans âme de la Coca-colonisation ou alors les héros du djihad.

    Je me souviens avoir dit un jour à Pasqua : « Toi et moi voulons le retour à la souveraineté, très bien. Mais après, qu’est ce qu’on en fait de la souveraineté ? » Il nous faut bien sûr rétablir la souveraineté mais surtout retrouver notre identité, la préserver tant qu’il est encore temps.

  • Un arrêt de travail pour une IVG, ou la banalité du mal…

     

     

    Le Syndicat national des gynécologues et obstétriciens est devenu le porte-étendard de la « réaction » et du « sexisme » en France !

    Docteur en droit, journaliste et essayiste
     
     

    On savait que l’interruption volontaire de grossesse, en France, était devenue une méga-foire à la brocante où les vies de petits êtres en formation valaient bien moins que les désirs de s’en débarrasser au nom de mille motifs exposés sur les étals obscènes de cet hypermarché des droits-créances.

    On sait encore, horresco referens, que, depuis le 5 juin 2016, un simple décret élargit le champ de compétences des sages-femmes qui pourront, désormais, réaliser ces mêmes IVG par voie médicamenteuse (ou létale, c’est selon) et – comble de l’hypocrisie – vacciner l’entourage de la mère et du nouveau-né (pour vil prix du rachat d’une pseudo-mauvaise conscience ?).

    On saura, dorénavant, que le Syndicat national des gynécologues et obstétriciens de France (SYNGOF) est devenu, via les réseaux sociaux, notamment, le porte-étendard de la « réaction » et du « sexisme » en France. Pour avoir effectué un don massif à la fondation Jérôme-Lejeune ? Vous n’y êtes pas ! Alors, plus modestement, pour avoir porté ce décret en annulation devant le Conseil d’État ? Nenni ! Vous faites fausse route, derechef. Plus tristement banal, pour avoir contesté auxdites sages-femmes le pouvoir d’administrer un abortif ? Vous brûlez, mais ce n’est pas tout à fait ça.

    Bon, allez, on vous dit tout, par la voix d’une représentante de ce « SYNGOF » qui considère que les sages-femmes n’auraient pas les compétences pour délivrer un arrêt de travail de quatre jours ni le renouveler. Sur sa page Facebook, ce médecin se justifie :

    Soit il y a une complication et la patiente a dû être vue aux urgences gynécologiques pour hémorragie et l’arrêt de travail est prescrit pour complications ; soit tout se passe bien et on propose à la patiente de choisir le jour de l’expulsion un jour férié avec un adulte, si possible le compagnon ou une amie, ou de poser un jour de congé (cela lui évite de donner un arrêt de travail à son employeur et de craindre de devoir s’expliquer avec ses collègues). […] Si on considère que la femme est l’égale de l’homme au sein du travail et qu’elle puisse enfin être payée comme l’homme et avec égalité, il faut que les professionnels de santé évitent les arrêts de travail injustifiés à leurs patientes. »

    Hourvari médiatique. Ou peu s’en faut. Sans rire, avec la componction funèbre qui sied aux gardiens du temple de l’ordre moral progressiste, Slate (19 juin) commente avec emphase et sur le ton infantile du type « Oh la la ! Je vais le dire à la maîtresse ! » : « La docteure (sic) Élisabeth Paganelli a écrit quelques mots pleins (re-sic) de sexisme sur la page Facebook du Syndicat national des gynécologues et obstétriciens de France. […) Un discours plein de mépris pour les sages-femmes […] mais aussi envers les femmes dont l’IVG “se passe bien”. » La praticienne ainsi mise à l’index se voit même « félicitée » par un de ses bienveillants confrères pour être aussi « profondément réactionnaire ».

    Voilà où nous mène la banalité du mal. Alors que l’on s’attendrait à un minimum de compassion (sinon un silence gêné, à tout le moins) de la part du « SYNGOF », celui-ci s’offre le luxe indigne d’une polémique dérisoire sur le sexe des (faiseuses d’)anges. La communion unanimiste, uniforme, univoque sur l’avortement, ses causes et ses conséquences psycho-physiologiques et socio-anthropologiques (quelle est la valeur de la vie ?) inhibe toute réaction saine sur un sujet sculpté dans le granite d’un dogme d’État.

    Sans doute la République tressera-t-elle des couronnes de lauriers mortuaires à la féministe Benoîte Groult, qui vient de décéder à l’âge honorable de 96 ans, tandis que les plus faibles d’entre nous, perdus dans les limbes de l’oubli anonyme, attendront encore d’entrer au Panthéon d’une patrie si peu reconnaissante à leur égard.

    BV

  • Le Printemps des Patriotes

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    C’est au cœur de l’ancienne capitale impériale que le Mouvement européen des nations et libertés (MENL) s’était donné rendez-vous pour marquer le 1er anniversaire de sa création.

    Vienne, où un vent de liberté s’est levé il y a quelques jours à l’occasion d’une élection présidentielle historique. Election à l’issue de laquelle nos amis du FPO et son candidat Norbert Hofer ont incarné cet élan formidable de renouveau, cette soif insatiable des peuples européens à recouvrer le cours de leur destin et à reprendre leur avenir en main.

    Certes, la victoire électorale a échappé pour quelques voix douteuses au camp patriote, résultat qui fait d’ailleurs l’objet d’un recours, mais le succès idéologique n’en est pas moins là. En Autriche, tout comme chez nous, ceux qui rabâchent comme pour mieux se rassurer, de l’existence d’un plafond de verre, voient se rapprocher inéluctablement leur défaite.

    D’élections en élections, le basculement patriotique se précise, de scrutins en scrutins, l’espérance grandit.

    Il fallait être à Vienne durant ces trois jours pour percevoir ce changement, cet état d’esprit, cet enthousiasme propre aux peuples qui touchent du doigt cette liberté bientôt retrouvée.

    Nos amis du FPO et son dynamique président Heinz-Christian Strache ont porté cet élan pendant toute la campagne, l’extraordinaire accueil qui nous a été réservé, cet engouement patriotique qui a accompagné ces journées où se sont retrouvés les représentants des différents courants patriotiques élus au Parlement européen, ne laissent planer aucun doute : l’avenir appartient aux peuples, les Nations sont de retour.

    De Vienne à Paris, la liberté guide nos pas. Face à une caste européiste s’enfonçant chaque jour un peu plus dans un totalitarisme étouffant, jamais mot d’ordre n’avait résonné avec autant de ferveur : Patriotes de tous les pays, unissez-vous !

    Marine Le Pen

    Carnets d'espérances

  • Voter Clinton, c'est voter pour de stupides guerres éternelles !

    http://www.bvoltaire.fr/hildegardvonhessenamrhein/voter-clinton-cest-voter-pour-de-stupides-guerres-eternelles,263494?mc_cid=8c428171ac&mc_eid=0b0d8f3739

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  • Louis Aliot sur France 5

  • Toulouse : «Je vais vous égorger et vous mettre une balle dans la tête, vous et vos enfants» (Màj : Hassen condamné)

     

    0h59

    L’homme qui avait menacé des policiers de la brigade anticriminalité, mardi soir, place des Pradettes à Toulouse, est passé en comparution immédiate, jeudi dernier, devant le tribunal correctionnel, qui l’a condamné, pour menaces de mort, outrages et rébellion, à 30 mois de prison ferme.

    Le ministère public avait requis 24 mois de prison à l’encontre du prévenu, Hassen Koufa, 44 ans, dont le casier judiciaire comporte 32 condamnations.

    Les faits se sont déroulés 24 heures après l’attaque meurtrière de Magnanville, durant laquelle deux policiers ont été assassinés par un terroriste se réclamant de l’organisation État islamique. C’est dans ce contexte très particulier et tendu que des fonctionnaires de la BAC ont été pris à partie alors qu’ils contrôlaient un groupe de jeunes gens. C’est à ce moment-là que l’homme est arrivé. «Je vais vous égorger et vous mettre une balle dans la tête, vous et vos enfants !» Interpellé et placé en garde à vue, cet homme avait d’abord refusé d’être entendu. [...]

    La Dépêche


    24 heures après l’attaque meurtière de Magnanville, durant laquelle deux policiers ont été assassinés par un terroriste ayant prêté allégeance à l’organisation Etat islamique, un homme a menacé des policiers mardi soir place des Pradettes à Toulouse.

     

    Alors que des agents de la BAC, la brigade anti-criminalité de Toulouse, contrôlaient un individu qui consommait de l’alcool sur la voie publique, vers 22 heures 30 place des Pradettes, ce dernier s’est mis à les invectiver d’une manière pour le moins menaçante. Il a en effet affirmé qu’il allait « égorger » les policiers et « mettre une balle dans la tête de leurs femmes et de leurs enfants ».

    L’homme âgé de 44 ans, qui était sous l’emprise de l’alcool, a été interpellé et placé en garde à vue à Toulouse. Il devrait être déferré au parquet dans la journée.

    La Dépêche

  • Toulouse : «Je vais vous égorger et vous mettre une balle dans la tête, vous et vos enfants» (Màj : Hassen condamné)

     

    0h59

    L’homme qui avait menacé des policiers de la brigade anticriminalité, mardi soir, place des Pradettes à Toulouse, est passé en comparution immédiate, jeudi dernier, devant le tribunal correctionnel, qui l’a condamné, pour menaces de mort, outrages et rébellion, à 30 mois de prison ferme.

    Le ministère public avait requis 24 mois de prison à l’encontre du prévenu, Hassen Koufa, 44 ans, dont le casier judiciaire comporte 32 condamnations.

    Les faits se sont déroulés 24 heures après l’attaque meurtrière de Magnanville, durant laquelle deux policiers ont été assassinés par un terroriste se réclamant de l’organisation État islamique. C’est dans ce contexte très particulier et tendu que des fonctionnaires de la BAC ont été pris à partie alors qu’ils contrôlaient un groupe de jeunes gens. C’est à ce moment-là que l’homme est arrivé. «Je vais vous égorger et vous mettre une balle dans la tête, vous et vos enfants !» Interpellé et placé en garde à vue, cet homme avait d’abord refusé d’être entendu. [...]

    La Dépêche


    24 heures après l’attaque meurtière de Magnanville, durant laquelle deux policiers ont été assassinés par un terroriste ayant prêté allégeance à l’organisation Etat islamique, un homme a menacé des policiers mardi soir place des Pradettes à Toulouse.

     

    Alors que des agents de la BAC, la brigade anti-criminalité de Toulouse, contrôlaient un individu qui consommait de l’alcool sur la voie publique, vers 22 heures 30 place des Pradettes, ce dernier s’est mis à les invectiver d’une manière pour le moins menaçante. Il a en effet affirmé qu’il allait « égorger » les policiers et « mettre une balle dans la tête de leurs femmes et de leurs enfants ».

    L’homme âgé de 44 ans, qui était sous l’emprise de l’alcool, a été interpellé et placé en garde à vue à Toulouse. Il devrait être déferré au parquet dans la journée.

    La Dépêche

  • Magnanville : le proche d’Abballa remis en liberté avait été déchu de sa nationalité française

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    22h21

    Cet homme de 41 ans avait été placé en garde à vue ce mardi à l’issue d’une série de six perquisitions menées aux Mureaux dans l’entourage de Larossi Abballa. Cette enquête, distincte du double meurtre de Magnanville, concernait de « possibles menaces sur des policiers ».

     

    [...] Ce suspect est présenté comme un « proche » du djihadiste qui a tué un couple de policiers le 13 juin à Magnanville. Comme le meurtrier de 25 ans, il a vécu aux Mureaux. Tous deux ont été condamnés par la justice pour avoir participé à une association de malfaiteurs en vue de la préparation d’un acte de terrorisme, le premier en 2013 dans une filière pakistano-afghane, le second en 2007 pour des liens plus ou moins directs avec le groupe responsable des attentats de Casablanca en 2003. [...]

    Franco-marocain déchu de sa nationalité française [...] Le suspect – deux autres personnes perquisitionnées n’ont pas été interpellées- avait fait parler de lui ces derniers mois. Cette connaissance franco-marocaine de Larossi Abballa, avait en effet été déchu de sa nationalité française par un décret du 7 octobre 2015. Cette information de RMC a été confirmée à L’Express par des sources concordantes.

    L’Express

  • Usa : et si Trump avait été assassiné ?

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    Jean Bonnevey, journaliste ♦

    Un jeune britannique voulait le tuer à Las Vegas, il espère recommencer

    La démocratie aurait-elle été en danger, comme après l’assassinat de l’élue travailliste pro- immigration en Grande-Bretagne, si le candidat Trump aux Usa avait été tué ?

    On nous permettra d’en douter. Et pourtant le futur candidat républicain a bien été l objet d’une tentative d’assassinat qui sera, on en fait le pari, passé quasiment sous silence, contrairement au meurtre de Jo Cox. On sait comment raisonnent les médias. Dans le cas de Cox, c’est le discours de haine qui pousse au meurtre, son discours à elle n’y est bien sûr pour rien.

    Dans le cas de Trump, c’est son discours qui provoque la violence, le candidat tueur ayant donc d’énormes excuses.

    L’un sera jugé motivé politiquement et l’autre sans doute seulement déséquilibré…. Tournez manège.

    On reviendra donc sur cette tentative indiscutable d’assassinat qui n‘aurait pas relancé le débat sur les armes…. Michael Sandford l’a trouvé sur place.
    Il était déterminé à abattre le candidat à la présidentielle américaine. Michael Sandford est en ce moment détenu sans possibilité de libération sous caution car il est considéré comme dangereux et présentant un risque d’évasion, a indiqué, à l’Agence France-Presse, Nathalie Collins, porte-parole du bureau du procureur.

    La prochaine audience dans cette affaire aura lieu le 5 juillet. Si Michael Sandford est reconnu coupable d' »acte de violence sur un terrain privé » il risque plus de dix ans de prison et 250 000 dollars d’amende.

    « Sandford a révélé qu’il avait fait des plans pour venir à Las Vegas afin de tuer Donald Trump », précise la plainte du gouvernement américain, qui cite  un agent du Secret Service, le service de protection du président américain et d’autres personnalités, y compris les candidats à l’élection présidentielle.

    Le jeune homme a confié aux enquêteurs après son interpellation qu’il s’était rendu dans un stand de tir à Las Vegas pour apprendre à tirer avec une arme à feu, car il n’en avait jamais utilisé. L’accusé a reconnu qu’il n’aurait probablement pas pu tirer plus d’une ou deux balles et s’est dit convaincu qu’il aurait été tué par les forces de l’ordre pendant sa tentative, précise la plainte.

    Michael Sandford a également confié aux enquêteurs qu’il avait acheté un billet pour un autre rassemblement à Phoenix, en Arizona (sud-ouest), avec l’intention « d’essayer à nouveau de tuer (Donald) Trump » si son plan échouait à Las Vegas. Le jeune homme, qui vit aux États-Unis depuis un an et demi, a vécu dans le New Jersey (est) avant de venir en Californie (ouest). Il a affirmé aux enquêteurs que « s’il était remis dans la rue demain, il essaierait à nouveau ». Le jeune homme a précisé qu’il planifiait de tuer Trump « depuis un an ». Michael Sandford s’est approché d’un agent du Secret Service, Ameel Jacob, affirmant vouloir « demander un autographe à Trump », puis a « tenté de saisir son arme ». Le jeune homme a expliqué avoir choisi cet agent parce qu’il avait une arme en position déverrouillée.

    Pour quelqu’un qui ne connait rien aux armes, pas mal.

    Suivez dans les médias la couverture de cet événement entre silence et présentation biaisée et vous serez conforté de notre conviction : les médias désinforment pour formater l’opinion selon leur idéologie.

    METAMAG

  • L’ancien président tchèque s’exprime sur l’UE, l’immigration et George Soros


    Entretien avec Václav Klaus (sous-titres français) par LaPravdaCH

     

    "Monsieur Soros incarne le mal"

    Joseph Navratil et Alimuddin Usmani se sont entretenus pour LaPravda.ch avec Václav Klaus, Premier ministre (1992-1998) et président (2003-2013) de la République tchèque, au sujet de l’immigration, de George Soros, du groupe de Visegrád (V4) et du Brexit.

     

    Pour activer les sous-titres français, cliquer sur « CC » dans la barre de contrôle de la vidéo 

  • Eric Zemmour : « Mais qui est Anatole France ? Une station de métro ? »


    Les réseaux sociaux se sont déchaînés contre la... par rtl-fr

     

     

    21/06/2016 – FRANCE (NOVOpress) : Grosse, très grosse colère, ce matin, d’Eric Zemmour, mais une colère froide qui s’exprime par une ironie amère, après que, sur les réseaux sociaux, des lycéens, et d’autres, se sont déchaînés en se moquant de cet Anatole France dont un texte a été proposé au Bac français, dans les sections scientifiques. « Mais tu es qui toi, Anatole France, pour venir t’incruster au bac ? », a-t-on pu lire par exemple sur Twitter en 67 signes, largement moins que le minimum requis, résumant l’inculture générale – et la béatitude de l’être.

    « Cet insolent gazouilleur n’a pas tort, réagit Eric Zemmour. Mais qui est Anatole France ? Une station de métro ? De tramway ? Une enseigne d’optique ? Une compagnie de gaz ? Ces jeunes gens furieux s’offusquent légitimement : on leur demande de commenter Anatole-France alors que le match n’a pas encore commencé. Aucun personnage de House of Cards ne se prénomme Anatole, c’est dire si ce prénom est ridicule. Personne ne s’appelle France en France. Cela sent son pseudo ringard à plein nez, une parodie d’électeur du Front national pour comique en manque d’inspiration. »

    Anatole France

    « Renseignements pris, poursuit Eric Zemmour, Anatole France serait un écrivain. Mais que vient faire un écrivain au Bac, et au Bac français de surcroît ? Depuis que notre ministre de l’Education nationale nous a expliqué que les leçons de théâtre doivent enseigner l’improvisation chère à Jamel Debbouze, on devine que les textes du Bac français devront rassembler une compilation des chansons immortelles de Raphaël ou des raps rimbaldiens de Booba. La cohérence pédagogique est à ce prix. »

    Il faut se rendre à la raison : Anatole France n’avait pas sa place au Bac. Il n’y avait pas sa place puisqu’il « n’est ni une femme ni un représentant de la diversité. Encore un homme blanc de plus de cinquante ans à envoyer illico au cimetière des éléphants. Anatole France a défendu le capitaine Dreyfus […] mais qu’a-t-il fait pour les enfants palestiniens ? Anatole France a écrit un roman d’amour superbe, Le Lys rouge, mais il n’était pas homosexuel…

    La colère monte encore quand Eric Zemmour rappelle – ou apprend à ses auditeurs – qui était Anatole France : « Anatole France est aussi l’auteur des Dieux ont soif, un des plus grands romans historiques sur la Révolution française, une dénonciation au scalpel de la Terreur sous Robespierre. Jean-Luc Mélenchon y a vu aussitôt, dans cette attaque perfide contre son grand homme, la main de l’Elysée et des médias à sa botte pour saboter sa campagne présidentielle. De toute manière, il n’y a qu’un seul Dieu et Mahomet est son prophète… »

    « Anatole France a reçu le prix Nobel de littérature en 1921 ; Michel Platini jure que le Qatar n’y est pour rien. […] Anatole France écrivait dans un style admirable, une prose simple et limpide héritière de la grande tradition littéraire française. Il faut vraiment être un pervers polymorphe pour dénicher un texte poussiéreux d’Anatole France, alors que l’on possède en magasin les œuvres admirables de Christine Angot. Avant même la mort du grand écrivain, les surréalistes se moquaient déjà d’Anatole France, de son style trop clair, de ses histoires trop romanesques, de sa qualité trop française. Le surréalistes avaient cent ans d’avance. Le texte choisi pour les lycéens était l’hommage funèbre prononcé par Anatole France à la mort d’Emile Zola. C’est la solidarité bien connue des stations de métro »…

  • L’immigration est bien la raison centrale du vote pour Marine Le Pen

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    21/06/2016 – FRANCE (NOVOpress) : La dernière enquête de BVA pour Orange et la presse régionale ne laisse pas de place au doute : le vote en faveur de Marine Le Pen est un vote résolument motivé par la question de l’immigration. A la rubrique des « sujets ayant le plus impacté les intentions de vote », BVA établit en effet que le sujet de l’immigration a été cité par 92 % des électeurs ayant l’intention de voter pour la présidente du Front national ! A 90 %, ils ont également expliqué leur vote par leur inquiétude face à la « crise des migrants » ! Et à 88 %, ils ont cité « la menace terroriste ». A titre de comparaison, les électeurs de Jean-Luc Mélenchon placent, eux, le projet de loi El Khomri en tête de leurs préoccupations, à 90 %.

    A moins de onze mois du premier tour de l’élection présidentielle de 2017, ce sondage vient renforcer l’analyse selon laquelle la campagne de Marine Le Pen, actuellement créditée de 26 à 29 % des intentions de vote, doit être résolument axée sur la thématique identitaire. Face à l’invasion migratoire, face au Grand Remplacement – et face au terrorisme islamique –, le reste, tout le reste, devient secondaire.

  • Seine-Saint-Denis (93) : un homme tué à coup de barre de fer en pleine rue

     

    20h58

    Hebergeur d'imageUn homme de 31 ans a été tué lundi en fin d’après-midi en pleine rue à Neuilly-sur-Marne par un inconnu qui l’a frappé avec une barre de fer avant de prendre la fuite.

    « L’homme marchait dans la rue lorsque, pour une raison inconnue, un autre homme lui a porté un coup à l’abdomen avec une barre de fer pointue et a pris la fuite », selon une source policière, précisant que les secours avaient été avisés par une passante, vers 17h30. La victime a été transportée à l’hôpital dans un état critique et a succombé à ses blessures dans la nuit. (…)

    Source

  • TVL - Les droits de l’homme contre le peuple

    Olivier Pichon reçoit Jean-Louis Harouel professeur agrégé de droit, professeur émérite Panthéon-Assas (Paris II) pour son livre «  Les droits de l’homme contre le peuple » (Editeur Desclée de Brouwer) et Philippe Simonnot Economiste, libertarien, historien (Economie du droit, les personnes et les choses éd Les Belle-lettres).

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  • «Les droits de l'homme érigés en religion détruisent les nations». Entretien avec Jean-Louis Harouel

     

     

     

    FIGAROVOX/GRAND ENTRETIEN - À l'occasion de la sortie de son livre Les droits de l'homme contre le peuple, Jean-Louis Harouel a répondu au FigaroVox. Il dénonce une nouvelle religion séculière centrée sur l'obsession de la non-discrimination qui paralyse la politique des pays occidentaux.

     

    Jean-Louis Harouel est professeur agrégé de droit à Paris II et auteur de «La grande falsification. L'art contemporain», «Le vrai génie du christianisme» et «Revenir à la nation» (Editions Jean-Cyrille Godefroy). Son dernier ouvrageLes droits de l'homme contre le peuple est paru aux éditions desclée de Brouwer.


    FIGAROVOX. - Après le massacre d'Orlando, les commentaires et les mises en accusation se sont succédé. On s'est focalisé sur l'aspect homophobe du crime, on a pointé du doigt les mouvements conservateurs et les religions monothéistes. L'islamisme est passé au second plan. Les démocraties occidentales sont-elles de nouveau tombées dans le piège de ce que vous appelez «la religion des droits l'homme»?

    Jean-Louis HAROUEL. - Autant il est aisé de condamner au nom de l'Évangile les violences provoquées ou cautionnées par la religion chrétienne, autant il n'est guère possible de condamner la violence musulmane au nom des textes saints de l'islam, dès lors que l'invitation à la violence y est expressément et abondamment inscrite. Concernant l'homosexualité masculine - la seule ayant été prise en compte -, les sociétés chrétiennes l'ont certes longtemps réprouvée et punie sévèrement au motif que la Bible (Genèse, 19) rapporte que Yahvé a lancé le feu du ciel sur Sodome et Gomorrhe. Mais, déjà dans la France de Louis XV, ainsi que l'a constaté l'historien Maurice Lever dans son livre Les bûchers de Sodome (1985) où il notait l'absence des bûchers à cette époque, la royauté de droit divin faisait preuve d'une grande modération. Au contraire, les textes saints de l'islam sont féroces. Il y a en particulier un hadith terrible du Prophète qui invite les croyants à tuer les homosexuels: «L'envoyé d'Allah - Bénédiction d'Allah et Salut sur Lui - a dit: Qui que vous trouviez qui agit à la manière des gens de Loth, tuez l'actif et le passif». Ce texte figure dans la Sunna (rassemblant les actes, dires et approbations de Mahomet: les hadiths) dont la réunion avec le Coran constitue la Charia. Or celle-ci est le guide de ceux qui veulent revenir au respect de la loi divine. Le lien avec le massacre d'Orlando est plus qu'évident.

    C'est un déni de réalité que de mettre systématiquement sur le même plan les religions monothéistes afin de ne pas avoir à prononcer de critique envers l'islam. Ce déni de réalité est pratiqué par les démocraties occidentales au nom d'un «politiquement correct» qui n'est qu'un aspect d'une religion séculière que l'on peut appeler religion des droits de l'homme.

     

    Dans la seconde moitié du XXe siècle, cette religion a très largement occupé le vide creusé en Europe occidentale à la fois par l'effondrement de la pratique religieuse chrétienne et par l'implosion du communisme soviétique.

    Avatar de la religion de l'humanité, le culte des droits de l'homme a remplacé depuis quelques décennies le communisme - dont il partage la nature de religion séculière - dans son rôle d'utopie censée instaurer le règne du bien sur la terre. Dans cette nouvelle religion séculière, les droits de l'homme sont en charge de la promesse du royaume de Dieu sur la terre, en charge du projet d'une humanité réconciliée grâce à l'instauration d'une société parfaite, au moyen de la mutation du monde ancien en un monde nouveau entièrement cosmopolite et fondé exclusivement sur les droits des individus.

    À la suite de François Furet, l'historien américain Samuel Moyn a confirmé en 2010 dans The last Utopia que l'hégémonie de l'idéologie des droits de l'homme depuis les dernières décennies du XXe siècle s'est édifiée sur les ruines des idéologies révolutionnaires. C'est de l'implosion des utopies antérieures qu'est née la «dernière utopie» que sont les droits de l'homme comme norme suprême censée faire advenir un monde meilleur.

    En quoi les islamistes se servent-ils des droits de l'homme pour accroître leur influence?

    Dans la mesure où ils favorisent le succès des revendications musulmanes, les droits de l'homme contribuent à la montée en puissance de l'islam en France et dans les autres pays occidentaux. Lorsque, au nom du principe de non-discrimination, des droits individuels sont reconnus (par la loi, le juge ou l'administration) à des membres d'un groupe identitaire au titre de leur appartenance à ce groupe, ces droits deviennent des droits du groupe, et donc des droits collectifs. La sacralisation des droits individuels par la religion séculière des droits de l'homme aboutit finalement à la mise en place de droits identitaires, ce dont l'islam a su tirer un grand profit.

    L'islam ne manque jamais d'utiliser l'arme des droits de l'homme pour contraindre les pays européens à adopter un profil bas face à la population musulmane qui y vit. Sous couvert de non-discrimination et de respect de la liberté religieuse, c'est une civilisation antagoniste de la civilisation européenne qui poursuit son entreprise de conquête et de domination.

    En Europe occidentale, l'islam a profité à plein des droits de l'homme. C'est sur eux que se fondent les revendications vestimentaires, alimentaires et autres des musulmans, lesquelles relèvent en réalité d'une prise de pouvoir de nature politique, d'une appropriation de territoires, d'une domination de secteurs de la société. L'islam combinant en lui le politique, le juridique et le religieux, toute concession faite à l'islam comme religion est aussi une concession faite à l'islam politique et juridique, avec pour effet de transformer peu à peu les pays européens concernés en terres musulmanes.

    Selon vous, les droits de l'homme sont mis au service d'une «immigration colonisatrice». Beaucoup d'immigrés viennent en Europe et en France pour mieux vivre ou par attrait pour le modèle occidental et non pour nous coloniser ….

    Je suis bien d'accord avec vous: beaucoup d'immigrants s'introduisent et s'incrustent en Europe occidentale simplement pour des raisons d'intérêt personnel, pour jouir d'un niveau de vie et de conditions d'existence infiniment meilleurs que dans leur pays. Ils n'ont pas d'arrière-pensées colonisatrices ou conquérantes. Mais les Wisigoths, les Burgondes et les Francs jadis autorisés par le pouvoir impérial à trouver refuge et à s'installer sur le territoire de l'Empire romain d'Occident n'avaient pas non plus d'intentions conquérantes. Simplement, deux générations plus tard, ils avaient pris le pouvoir et s'étaient taillé des royaumes sur le territoire de l'Empire anéanti. L'histoire montre par de nombreux exemples qu'une immigration numériquement minoritaire mais vigoureuse peut s'emparer durablement du pouvoir et dominer la population autochtone.

    Aussi bien certaines personnalités musulmanes ne cachent-elles pas leurs intentions conquérantes en Europe. Tel le cheikh Youssouf al Quaradawi, l'un des principaux de l'UOIE (Union des organisations islamiques européennes, dont la branche française est l'UOIF), qui déclarait en 2002: «Avec vos lois démocratiques nous vous coloniserons. Avec nos lois coraniques nous vous dominerons.»

    Que faites-vous des réfugiés?

    On ne peut pas ne pas secourir les réfugiés. Pour autant, nous n'avons pas les moyens de les accueillir sur la base des niveaux de vie et modes de vie occidentaux. Ils ne peuvent raisonnablement attendre de nous que des conditions de logement ainsi que des prestations sociales et médicales minimales. De plus, il ne faut pas leur laisser penser qu'ils vont s'installer durablement chez nous. Il faut leur faire savoir que, dès que la situation sera rétablie dans leur pays, ils seront invités à y repartir. D'ailleurs, autant l'accueil s'impose moralement pour les enfants, les mères et les vieillards, autant la place normale des hommes jeunes et adultes n'est pas ici mais dans leur pays, sur le sort duquel ils semblent avoir bien vite tiré un trait. Dans bien des cas, la qualité même réelle de réfugié dissimule plus ou moins une immigration motivée par la recherche d'une vie plus facile, c'est-à-dire une immigration économique.

    Or, étant donné l'énorme accroissement démographique au sud de la Méditerranée, l'Europe doit s'attendre à voir prochainement déferler une immigration économique d'une ampleur encore jamais vue, se comptant en dizaines de millions d'individus s'invitant dans nos pays dans l'espoir d'y améliorer leurs conditions de vie. Mais l'Europe occidentale sera incapable d'absorber une telle masse d'immigrés. Elle périra à moins que les immigrants économiques ne soient systématiquement reconduits dans leur pays. Cependant, pour que les États concernés acceptent de favoriser la reconduite de leurs ressortissants, il est évident qu'il sera indispensable de rétribuer leur bonne volonté par une énorme augmentation de l'aide au développement. Spécialiste reconnu des questions de développement, Claude Sicard, dans un article de la Revue politique et parlementaire (n° 1076, décembre 2015), préconise la création par les pays européens d'une taxe de 50% sur les dépenses publicitaires, destinée à financer le retour le retour dans leurs pays respectifs des immigrants économiques reconduits chez eux.

    En quoi les droits de l'homme nous condamnent-ils à l'impuissance collective?

    Pour mettre fin à l'appel d'air permanent qui attire par millions les immigrants d'origine extra-européenne, il faut restaurer la discrimination fondatrice de l'idée de cité: celle qui traite différemment le citoyen et le non-citoyen, le national et l'étranger. Il faudrait idéalement qu'il n'y ait plus d'intérêt matériel à s'incruster illégalement sur le sol français. Or cela va à l'encontre de la religion séculière des droits de l'homme.

    Dès l'aube des années 1980, Marcel Gauchet avait bien vu que, si les démocraties européennes faisaient des droits de l'homme leur politique, elles se condamneraient à l'impuissance collective. La religion des droits de l'homme handicape très dangereusement la France face au déferlement de l'immigration et à la présence sur son sol d'un islam de masse. Instaurant une morale d'État vertueusement suicidaire, la religion des droits de l'homme interdit à nos dirigeants d'envisager ces problèmes et d'y répondre d'un point de vue politique.

    La religion des droits de l'homme est la négation des droits collectifs des nations européennes. Elle refuse à la collectivité nationale le droit de vivre comme elle le souhaite. La souveraineté démocratique consiste dans la propriété d'un groupe humain sur lui-même, son destin, son identité, son sol, son patrimoine matériel et immatériel. Refusant cette souveraineté, la religion des droits de l'homme détruit l'idée de patrimoine d'un groupe humain, elle prétend le contraindre à le partager, le mettre en commun. Bref, c'est une nouvelle forme de communisme.

    Pour combattre la menace islamiste, faut-il renoncer à ce que nous sommes, nous trahir? Les droits de l'homme ne font-ils pas partie des fondamentaux de l'Occident au même titre que les racines chrétiennes?

    La religion séculière des droits de l'homme n'est pas, malgré les apparences, d'origine chrétienne, car elle découle de deux grandes hérésies: la gnose et le millénarisme. Les droits de l'homme comme religion ne sont pas un prolongement du christianisme: c'est un système de croyances post-chrétien.

    La religion (ou utopie) des droits de l'homme qui règne aujourd'hui ne relève pas des «fondamentaux de l'Occident» au même titre que ses racines chrétiennes. Inspirée par une compassion cosmique indifférente aux États et aux nations, sa conception des droits individuels est profondément différente de la conception classique, celle des déclarations américaines et française de la fin du XVIIIe siècles, lesquelles ont établi avant tout les libertés publiques des citoyens au sein des États-nations démocratiques. D'ailleurs, ces deux réalités très différentes sont désignées dans la langue anglaise par des appellations distinctes: pour les droits de l'homme actuels, human rights, terme apparu seulement au milieu du XXe siècle ; tandis que, pour les droits individuels reconnus aux citoyens en 1776 et 1789, on parlait de rights of man. À cela répond en France la distinction entre d'une part les «libertés publiques», centrées sur les seuls nationaux, et d'autre part les «droits fondamentaux» - terme introduit dans les années 1970 - dont les grands bénéficiaires sont les étrangers, systématiquement admis à tous les acquis et avantages des peuples européens

    La fidélité aux «fondamentaux de l'Occident» passe par le rejet du délire anti-discriminatoire suicidaire de la religion séculière des droits de l'homme et le retour aux droits de l'homme conçus comme protecteurs des citoyens contre le pouvoir, c'est-à-dire aux libertés publiques - centrées sur les seuls nationaux - qui sont notre patrimoine juridique.

    Pour «résister» aux droits de l'homme, vous allez jusqu'à prôner des mesures dérogatoires ou discriminatoires. Le risque n'est-il pas tout simplement de renoncer à la démocratie pour aller vers des régimes autoritaires, voire totalitaires?

    Nous sommes confrontés à deux impératifs vitaux: bloquer d'urgence les flux migratoires et arrêter le processus de la conquête musulmane. Pour cela, il nous faut résister à la religion séculière des droits de l'homme qui favorise notre submersion par une immigration extra européenne sans limite et la domination d'une civilisation musulmane conquérante qui veut imposer ses mœurs et son droit. Pour tenter de survivre comme peuple, nous n'avons pas le choix: nous sommes dans l'obligation de rétablir ou de créer des discriminations, lesquelles ne contredisent d'ailleurs nullement la démocratie, bien au contraire.

    Les fanatiques d'une immigration érigée en droit de l'homme prétendent mener en faveur des étrangers entrés clandestinement un combat citoyen. C'est une imposture: leur combat est un combat contre la cité et la citoyenneté, un combat anti-citoyen et anti-démocratique.

    La démocratie repose sur l'idée de discrimination. En son article 3, la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen du 26 août 1789 énonce que «le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la Nation». Il n'y a pas de démocratie possible en l'absence d'un cadre territorial et humain bien précis. Ainsi que l'écrit Rousseau au début de l'Émile, «où il n'y a pas de patrie, il ne peut plus y avoir de citoyens». Patrie, démocratie: dans les deux cas, il s'agit du peuple, d'un peuple particulier. L'existence d'une démocratie suppose une discrimination entre citoyens et non-citoyens, entre nationaux et étrangers.

    Quant à une discrimination à l'égard de l'islam, elle n'est pas davantage contraire à la démocratie. D'ailleurs, c'est la démocratie la plus ancienne et la plus exemplaire du monde, la démocratie helvétique, qui nous en donne l'exemple et nous montre la voie. En interdisant la construction de minarets, le peuple suisse n'a aucunement restreint la liberté religieuse, il a instauré une discrimination d'ordre symbolique destinée à faire comprendre aux musulmans vivant dans le pays que la Suisse n'était pas une terre d'islam, que la civilisation arabo-musulmane n'y était pas chez elle et ne devait pas chercher à y imposer ses mœurs et ses règles de droit prétendument divines. Dans le même esprit, il est vital d'adopter en France et dans les autres pays européens des mesures discriminatoires l'égard de l'islam. C'est une discrimination amplement justifiée par le fait que l'islam est avant tout un système politique et juridique, qui fonctionne en France et dans les autres pays européens comme une machine de guerre dirigée contre la civilisation européenne dans le but de lui substituer la civilisation arabo-musulmane.

    De toute manière, si nous laissons se poursuivre la conquête musulmane, nous sortirons purement et simplement des droits de l'homme, car les textes fondateurs de l'islam sont porteurs d'un système structurellement ultra-discriminatoire (à l'encontre des non-musulmans, des femmes, des esclaves) et négateur de la liberté d'expression. La Déclaration sur les droits de l'homme en islam de 1990 interdit d'exprimer toute opinion «en contradiction avec les principes de la Charia».

    (merci à anonyme)

  • Traite des Noirs: loi Gayssot bis ?

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    Les députés ont voté en commission le principe de sanctionner d’un an d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende l’apologie ou la négation de la traite et de l’esclavage. C’est déjà le cas des propos révisionnistes. «Quinze ans après avoir reconnu la traite négrière et l’esclavage comme crime contre l’humanité, le législateur comble un vide juridique qui empêchait jusqu’ici les juges de condamner l’atteinte portée à la mémoire des victimes de l’esclavage et à l’honneur de leurs descendants par des propos littéralement odieux.» Victorin Lurel, député PS de Guadeloupe et accessoirement ancien ministre des Outre-mer est heureux.

    La commission spéciale mise en place à l’Assemblée nationale a adopté son amendement jeudi soir dans le cadre de l’examen du projet de loi «Egalité et citoyenneté». Mais pour être certain que cette terrible période de l’Histoire tombe définitivement dans le néant, il a aussi fait voter, à l’unanimité de la commission, l’abrogation, à portée symbolique, de plusieurs textes qui ne sont plus en vigueur.

    Etaient concernés la loi du 30 avril 1849 qui établissait le principe d’un droit à l’indemnisation des anciens maîtres, après l’abolition de l’esclavage en 1848, ainsi que l’ordonnance du 17 avril 1825 qui imposait à Haïti, nouvel Etat indépendant, de payer 150 millions de francs or pour dédommager «les anciens colons français de Saint-Domingue».

    Selon le parlementaire, cet événement se fait dans la continuité d’un processus entamé l’année dernière lorsque François Hollande a inauguré le Mémorial ACTe, un musée consacré à l’esclavage en Guadeloupe.

    Sur un autre sujet, il a obtenu l’adoption d’un amendement qui risque de changer les habitudes musicales de nos concitoyens. Il souhaite qu’au minimum 4% d’«oeuvres musicales interprétées dans une langue régionale en usage en France», soient diffusées dans le quota obligatoire de 40% de chansons d’expression française sur les radios.

    Si elle est confirmée, l’adoption de la loi «Egalité et citoyenneté» permettrait de condamner les propos niant la traite des noirs. Ce qui est déjà le cas pour la Shoah.

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