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L'élection de Clinton entraînerait la guerre, selon Marine Le Pen
"Je crois qu'Hillary Clinton, c'est la guerre. Hillary Clinton, c'est la dévastation, c'est le déséquilibre du monde", a lancé la présidente du Front national (FN) dans cette entretien réalisé en français et diffusé mercredi.
Hillary Clinton à la tête des Etats-Unis, "ce sont des choix économiques qui sont ravageurs pour le bonheur de mon peuple", poursuit-elle. "Ce sont des choix géostratégiques qui vont engager à des conflits mondiaux qui risquent d'être très lourds."
Marine Le Pen, elle-même en lice pour la présidentielle française de 2017, a fait le parallèle entre sa candidature et celle du magnat de l'immobilier Donald Trump, à qui elle avait déjà apporté son soutien en juillet.
"Nous ne sommes pas du sérail, nous ne participons pas du système, nous ne dépendons de personne, nous n'allons pas prendre d'ordres auprès de telle puissance financière ou de tels intérêts de multinationales", a-t-elle assuré.
A huit mois de la présidentielle en France, tous les sondages assurent que Marine Le Pen, dont le parti progresse à chaque élection depuis quelques années, se qualifiera pour le second tour, comme l'avait fait son père, le tribun Jean-Marie Le Pen en 2002.
Le candidat républicain Donald Trump est actuellement distancé dans les sondages par Hillary Clinton, bien qu'une nouvelle étude Fox News montre un resserrement des intentions de vote pour le scrutin de novembre.
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Donald Trump exclut toute régularisation de clandestins s'il est élu président
Donald Trump a proposé mercredi un véritable arsenal répressif contre l'immigration clandestine lors d'un discours applaudi par la base conservatrice, quelques heures après avoir rencontré dans une ambiance plus apaisée le président mexicain.
Le candidat républicain à la Maison Blanche a notamment contredit le président Enrique Peña Nieto, qui a affirmé sur Twitter que le Mexique refuserait quoi qu'il arrive de financer la construction du mur que Donald Trump promet de construire à la frontière pour tarir le flot de clandestins en provenance d'Amérique latine.
"Le Mexique paiera pour le mur, croyez-moi, à 100%", a déclaré Donald Trump lors d'un grand meeting consacré exclusivement à l'immigration clandestine à Phoenix, dans l'Arizona, frontalier du Mexique.
Quelques heures plus tôt, à Mexico, Donald Trump avait vanté lors d'une courte conférence de presse les qualités de l'"incroyable" peuple mexicain et témoigné de son admiration pour les Américains d'origine mexicaine.
Lors de cette visite éclair de trois heures, à l'invitation du président Peña Nieto, M. Trump a tenté de convaincre les Américains de sa stature d'homme d'Etat, avec une certaine réussite: c'était la première fois qu'il rencontrait, en tant que candidat, un dirigeant étranger.
"L'immigration illégale est un problème pour le Mexique ainsi que pour nous", avait-il déclaré, cherchant à trouver un terrain d'entente, notamment sur le trafic de drogues.
"Beaucoup de vies pourraient être sauvées des deux côtés de la frontière" a dit M. Peña Nieto, qui a tout de même fait valoir que les Mexicains vivant aux Etats-Unis méritaient "le respect de tous".
Mais la visite surprise a été vivement critiquée au Mexique, où Donald Trump est impopulaire.
"Voici la phrase qui résume la visite de #Trump à Mexico: Humiliation à domicile", a tweeté la chroniqueuse Denise Dresser.
Le parti de gauche PRD a déploré sur Twitter "la honteuse et déplorable image présidentielle donnée par Enrique Peña Nieto".
- Expulsions massives -
A Phoenix, Donald Trump a mis la barre à droite et dénoncé pendant une heure et quart le coût et le danger de l'immigration clandestine, ruinant les espoirs de ceux qui pensaient que le milliardaire adopterait un ton, sinon un programme, plus conciliant afin de remonter sa cote auprès des électeurs modérés.
Il est actuellement distancé dans les sondages par la démocrate Hillary Clinton, bien qu'une nouvelle étude Fox News montre un resserrement des intentions de vote, sous le coup de l'affaire des messages de l'ancienne cheffe de la diplomatie.
La semaine dernière, Donald Trump avait entr'ouvert la porte de régularisations pour les familles de clandestins résidant ici depuis 15 ou 20 ans, avant de faire machine arrière.
Mercredi, dans une salle chauffée à blanc, il a longuement cité des affaires de meurtres perpétrés par des clandestins, comme cet homme de 90 ans battu à mort dans sa propre maison.
Puis le candidat républicain a décliné un plan en dix points pour réformer le système d'immigration. Et il a exclu toute régularisation pour les 11 millions de clandestins présents aux Etats-Unis.
"Notre message au monde sera: vous ne pourrez pas obtenir de statut légal ou devenir citoyen des Etats-Unis en entrant illégalement dans notre pays", a-t-il déclaré.
Il commencera par expulser, "dès la première heure", deux millions de clandestins "criminels". Il annulera les décrets de régularisation temporaire signés par Barack Obama.
Donald Trump entend tripler le nombre d'agents du service fédéral d'immigration (ICE) et créer 5.000 postes de policiers aux frontières, en plus des quelque 20.000 existants.
Le républicain veut aussi renforcer les contrôles sur les visiteurs pour empêcher le dépassement de visas, réformer le système de visas et limiter le regroupement familial.
Comment les clandestins installés ici depuis des années et sans casier judiciaire pourront-ils obtenir des papiers?
"Ils auront un moyen et un seul: retourner chez eux et faire une demande de ré-entrée, selon les règles du nouveau système d'immigration que je viens de décrire", a expliqué Donald Trump.
Dans "plusieurs années", a-t-il ensuite dit, une fois le mur construit et l'immigration clandestine tarie, des "mesures appropriées" pourraient être envisagées pour les personnes qui resteraient.
"Il n'y a pas d'autre Donald Trump. Il n'a pas changé", a réagi Hillary Clinton.
"Ce discours est une occasion manquée", a regretté le directeur du National Immigration Forum et militant d'une réforme migratoire Ali Noorani. "L'Amérique vaut mieux que la véhémence de Donald Trump contre les immigrés".
Mais à droite de la droite, on se réjouissait. L'activiste Ann Coulter a estimé qu'il s'agissait du "plus beau discours jamais prononcé".
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Pour la sécurité de la France, face à l'islamisme radical
Pursuivant une politique d'immigration massive, désarmant matériellement et moralement nos forces de sécurité, faisant preuve de faiblesse face aux islamistes, tant le gouvernement socialiste que son prédécesseur sont responsables de la dramatique situation actuelle.
En cinq ans, Nicolas Sarkozy a permis l'entrée d'un million de nouveaux immigrés sur notre sol (sans parler des clandestins), il a restreint les possibilités d'expulsion des criminels étrangers, il a affaibli nos capacités de sécurité et de défense en supprimant 12 500 postes dans les forces de l'ordre, 2 500 dans les douanes et 54 000 dans l'armée !
Nicolas Sarkozy a fait des islamistes de l'Union des Organisations Islamiques de France (liée aux Frères Musulmans) des partenaires de l’État, et a noué des relations privilégiées avec le Qatar, grand financier des djihadistes.
En déstabilisant la Libye, il a provoqué la crise des « migrants » illégaux. Comment ce même Nicolas Sarkozy espère-t-il aujourd'hui faire croire aux Français qu'il va les sauver d'une situation qu'il a largement engendrée ?
Hollande et Valls ont poursuivi, parfois amplifié, cette politique désastreuse. Que l'on pense seulement au comportement totalement irresponsable en Syrie, où les armes livrées aux « rebelles » ont parfois fini entre les mains des soldats de l’État Islamique ou d'Al-Qaïda, ou à la politique pénale qui n'a fait qu’accroître le laxisme des lois Dati.
Quant à la lutte contre l'islamisme, Bernard Cazeneuve a annoncé avoir fermé 20 mosquées radicales alors que nos services de renseignement en ont identifié au moins 100. En Tunisie, le gouvernement avait fermé 80 mosquées salafistes dans la semaine ayant suivi l'attaque islamiste de Sousse !
A l'opposé de la faiblesse et du renoncement dont ont fait preuve les gouvernements successifs, le Front National rétablira l'autorité de l’État à travers des mesures fortes pour en finir avec la menace islamiste :- La fermeture des mosquées radicales et la dissolution des organisations islamistes, qu'elles soient salafistes ou liées aux Frères Musulmans.
- L'expulsion des étrangers liés à la mouvance islamiste et l'expulsion automatique des étrangers ayant commis un délit ou un crime dans notre pays.
- Le retrait de la nationalité française pour les djihadistes binationaux et l'interdiction pour eux d'entrer sur notre territoire.
- L'emprisonnement préventif des djihadistes et de leurs complices au titre de l'intelligence avec l'ennemi.
- Le rétablissement de nos frontières pour contrôler et décider qui peut rentrer sur notre sol et lutter contre les trafics qui bénéficient aux réseaux criminels et terroristes (armes, drogues).
- La fin du laxisme judiciaire avec l'abrogation des lois Dati et Taubira et la suppression des remises de peine automatiques en prison.
- La reconstitution de nos effectifs de police et de gendarmerie.
- Le retour à une immigration soutenable avec 10 000 entrées par an au lieu des 200 000 entrées actuelles et l'arrêt du regroupement familial tout comme de l'acquisition de la nationalité française à travers le droit du sol. Être Français s'hérite ou se mérite !
L'application de ces mesures demande du courage politique. Ce ne sont pas ceux qui ont failli et trahi hier qui feront preuve de ce courage demain ! Seule Marine Le Pen possède la volonté nécessaire pour protéger la France et les Français.
Rejoindre le Front National, c'est non seulement lui apporter votre soutien dans son action mais aussi participer personnellement au redressement de notre pays.Nicolas BAY
Secrétaire Général du Front NationalCopyright © 2016 Front National, Tous Droits Réservés.
FRONT NATIONAL 78 Rue des Suisses - 92000 NANTERRE www.frontnational.com -
Pour une vraie justice à Tremblay et non un lynchage médiatique!
http://www.mesopinions.com/petition/social/vraie-justice-tremblay/24544
Je viens de signer la pétition et de la partager sur Facebook et Twitter.
Signez-la vous aussi!
La présomption d' innocence existe en France
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Polémique sur le port du burkini...
(merci à Dirk)
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Laurent Wauquiez fait distribuer le Pass contraception
Reçu ce matin dans les boites aux lettres de la région Auvergne Rhone Alpes, à l'attention des enfants qui ont ou auront bientôt 15 ans. Incitation à la débauche dès cet âge :
Le Salon Beige
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Grand Remplacement: la France menacée sur tous les fronts
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Canada : la première ministre de l’Ontario s’affuble d’un hijab pour rencontrer des musulmanes
20h47Lors d’une rencontre avec des femmes de la communauté musulmane à Scarborough en Ontario, la première ministre de la province, Kathleen Wynne, a porté le hijab. Une photo la montrant au milieu de femmes portant divers voiles, hijab, niqab…) a créé une controverse.
Elle a, entre autres, affirmé que c’était un honneur de rencontrer Zunera Ishaq, la «femme au niqab» qui avait catégoriquement refusé de montrer son visage lors de la cérémonie d’assermentation lui accordant sa citoyenneté canadienne [...]
Merci à QuebecFrance
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Europe : où chercher les racines de notre civilisation ?
Bernard Plouvier, auteur, essayiste ♦
À l’occasion des faits islamiques qui ont, depuis l’année 2014, souillé notre pays, ensanglanté notre Nation et déshonoré l’État, la fraction la moins sotte des Français de souche européenne (estimons-la aux alentours de 25 – 30%) a débuté une réflexion sur la guerre des races et des religions qui empuantit notre vie publique.
On comprend qu’un lecteur du Monde ou de Libération, un spectateur assidu des actualités télévisées des chaînes publiques ou mondialistes – il n’existe nulle différence entre elles -, soient décérébrés, admirablement formatés au point de nier la réalité du fait : la guérilla civile qui est en train de basculer vers la guerre ouverte. Nier l’évidence des faits, c’est la définition même du délire et celui-ci est organisé par les vrais maîtres : les patrons de la production des biens de consommation et de leur distribution.
Comme ce fut toujours le cas de l’histoire humaine, seule compte l’élite de la pensée et surtout de l’action. Toutefois, il ne faut pas se tromper dans sa réflexion de fond et confondre civilisation et choix individuel qui, pour être authentique, doit être librement adopté (et sûrement pas « consenti »).
L’adhésion à une religion, ou son refus, est affaire purement personnelle et ne devrait jamais être imposée à autrui. Même le port ostentatoire de symboles religieux – et beaucoup de fidèles se croient investis de la mission divine de propager leur croyance – est une atteinte à la liberté des autres, une nuisance identique à celle des vêtures bizarres, du rap ou des musiques gitanes que les immigrés imposent aux Français de souche européenne.
En aucun cas, une religion ne peut être considérée comme la ou l’une des « racine(s) » d’un peuple. Si elle est considérée comme telle, de fait ou de droit, c’est qu’elle a été imposée comme mythe fondateur. C’est le cas pour la religion juive, particulariste à l’extrême, pratiquant l’exclusion des autres.Ni le christianisme, ni le crétinisme marxiste, ni la religion des droits de l’homme ne font partie des racines de l’Europe et l’islam n’a pas vocation pour le devenir. Une foi n’est un fondement spirituel et moral que pour celles et ceux qui l’ont librement choisie, idéalement après mûre réflexion et pas seulement par héritage familial.
Il en va tout autrement des sources d’une civilisation.
Celles-ci sont un mélange d’usages domestiques et communautaires, de culture juridique, intellectuelle et artistique, enfin d’heurs et de malheurs vécus en commun au fil des siècles. La religion n’en fait partie qu’à titre individuel pour les conduites morales, à titre collectif par ses créations architecturales et ses éventuelles œuvres d’art non grotesques.
En Athènes, au 5e siècle avant J.-C., on tolérait qu’un Démocrite fût athée. Il demeure l’immortel auteur d’une phrase parfaitement adaptée à notre monde aléatoire et à la programmation génétique des comportements animaux (remaniée, chez l’homme, par l’intervention du libre-arbitre et de la transcendance) : « Tout ce qui existe est le fruit du hasard et de la nécessité ». Un siècle et demi plus tard, le plus grand philosophe de l’Antiquité, Épicure – le vrai, pas celui des légendes colportées par ses ennemis stoïciens -, pouvait soutenir que les essences supérieures, si elles existent, ne se soucient nullement de l’humanité.
Les racines de l’Europe ne sont en aucun cas « judéo-chrétiennes », ni même chrétiennes, comme des convaincus veulent nous le faire accroire, en pitoyable réaction au fanatisme des sectaires de l’islam conquérant. Nos racines, ce sont la culture gréco-romaine, bien connue des humanistes, et la celto-germanique, dont on commence seulement à comprendre la grandeur. Ce sont aussi la féérie de la grande Renaissance, celle du Quattrocento italien et de sa poursuite en Europe occidentale au XVIe siècle, ainsi que les progrès scientifiques et techniques ininterrompus depuis l’aube du XVIIIe siècle.
En revanche, la religiosité hypocrite des Droits de l’homme est une invention britannique et nord-américaine, et, comme tout ce qui vient de ces cyniques contrées, c’est une croyance entachée d’argent et de manipulation de l’opinion publique à des fins commerciales. On peut donc la négliger.
Enfin et surtout, la principale racine d’un continent, c’est sa race. On comprend que les Chinois, les Mongols ou les Japonais puissent se glorifier de leurs ancêtres et de leurs civilisations respectives. On ne trouve que les Européens, depuis l’année 1945 – l’An Zéro de la réflexion politique, historique et sociologique sur notre continent –, pour cracher sur leur histoire et en renier des pans entiers… comme l’apport de la civilisation technique et scientifique moderne aux peuples arriérés (Afrique et Océanie) ou assoupis après un départ grandiose (Asie et Amériques du centre et du sud).
Cette repentance, absurde et grotesque, n’est rien d’autre qu’un délire de négation, à soigner par un regain d’orgueil et une cure d’action. Il est évident qu’il ne manque pas de points d’application à cette dernière mesure : nettoyer notre continent, devenu porcherie ; renvoyer illico presto et sans exception les extra-Européens dans leur continent d’origine ; lutter contre toute forme de fanatisme religieux.
Certes, il est nécessaire de créer une communauté eurasiatique, amplement justifiée par une égalité de comportement des Européens et des Extrêmes-Orientaux face au travail, mais cette institution devra être précédée par l’établissement de l’Empire européen, de l’Atlantique à Vladivostok, exclusivement peuplé de ressortissants de la race européenne.
Chacun chez soi : l’expérience des sinistres années qui ont suivi l’An 1976 en France démontre à l’évidence l’intelligence profonde de ce dogme. Les amateurs de métissage et de melting pot ont l’immense continent des Trois Amériques pour assouvir leur passion.
La religion de l’agapè – soit l’amour supposé d’un dieu pour ses créatures et, en retour, la pratique de l’amour entre « enfants de dieu », toutes races confondues – est une utopie, que des naïfs peuvent considérer comme « admirable ». On peut, à l’inverse, estimer la charité – soit le don absolu, sans espoir de réciprocité – comme une pratique absurde, si l’on considère l’espèce humaine comme elle est, si on la juge par ce qu’elle a produit depuis des millénaires.
Au XXIe siècle du comput actuel, l’Europe est envahie de barbares avides et conquérants, d’incendiaires et de vandales, d’incultes et de sous-doués. Que les chrétiens absolvent s’ils le jugent bon, à la suite d’un pape curieux et d’une chancelière allemande luthérienne, les violeurs, les assassins et les terroristes, cela ne regarde que leur conscience. En aucun cas, ce choix dogmatique ne doit influer sur la conduite des affaires politiques et militaires. « Pardonner aux terroristes, c’est le rôle de dieu. Les envoyer auprès de lui, c’est le mien » a fort bien dit Vladimir Poutine, en novembre 2015.
Une saine réflexion sur les racines d’une civilisation ne doit surtout pas se tromper de définition, pour ne pas errer dans les mesures à prendre.
Illustration : pour une Europe empire
METAMAG
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Méditerranée: environ 3.000 migrants secourus mardi après une journée record
Après un « triste record » lundi avec 6.500 migrants secourus, les opérations de sauvetage se sont poursuivies mardi au large de la Libye avec 3.000 personne sauvées dans des opérations coordonnées par les gardes-côtes italiens.
Ce afflux, lié à un temps plus clément pour la navigation, n’est pour autant pas inédit, le nombre total d’arrivées en Italie étant proche de celui des dernières années.
« Environ 3.000 migrants ont été secourus mardi au cours de 30 opérations de secours coordonnées par les gardes-côtes », a indiqué dans la soirée un communiqué officiel. De nombreux navires ont participé à ces opérations, dont un remorqueur, ont précisé les gardes-côtes.
Après quelques semaines relativement calmes, plus de 1.100 personnes ont été secourues dimanche et 6.500 lundi, grâce à l’aide des navires des gardes-côtes et de la marine italienne, de l’opération européenne anti-passeurs Sophia, de l’agence européenne Frontex ou d’organisations humanitaires.
En savoir plus sur http://www.bvoltaire.fr/breves/mediterranee-environ-3-000-migrants-secourus-mardi-apres-une-journee-record,280296#d2f1VFOieAMq0flL.99