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  • "Non, je ne sollicite pas le parrainage d'élus Front national", assure NKM

     

     
    BFMTV

    Nathalie Kosciusko-Morizet a jusqu'au 9 septembre pour réunir les parrainages des 250 élus et 2.500 adhérents nécessaires afin de valider sa candidature à la primaire de la droite et du centre. Alors qu'il lui manque encore près de 500 signatures d'adhérents, une trentaine d'élus et 5 parlementaires, a-t-elle annoncé sur BFMTV, la députée de l'Essonne ratisse large... au point d'aller chasser sur les terres du Front national.

    Steeve Briois, le maire d'Hénin-Beaumont et vice-président du parti d'extrême droite, a révélé ce jeudi sur Twitter que la conseillère LR de Paris lui avait envoyé un mail afin de l'appeler à soutenir sa candidature.

    "Je soutiens une autre candidate"

    Sur la capture d'écran du message, Nathalie Kosciusko-Morizet demande son soutien pour "représenter une sensibilité politique faite de modernité et éprise de liberté". Et ajoute: "On peut partager ou pas cette sensibilité, mais cette voix doit pouvoir être entendue". 

    Le député européen a répondu, déclinant la proposition et rappelant qu'il soutenait "une autre candidate à la présidentielle."

    "Bien entendu, c'est une erreur"

    Nathalie Kosciusko-Morizet a assuré sur BFMTV que ce message avait bien été envoyé à l'élu frontiste mais a précisé que c'était une erreur.

    "On envoie des mails aux maires sur la base d'un fichier d'adhérents aux Républicains, centristes ou sans étiquette/non inscrit. Je ne sais...

     

    Lire la suite sur BFMTV.com

  • Marion Maréchal-Le Pen dénonce les «calculs politiciens sans avenir» de son grand-père

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    >Politique|Propos recueillis par Olivier Beaumont @olivierbeaumont |06 septembre 2016, 7h00 | MAJ : 06 septembre 2016, 11h18|22

     ARCHIVES. Marion Maréchal-Le Pen, le 25 novembre 2015. 

    LP / Matthieu de Martignac
     
      

    La jeune (26 ans) députée du Vaucluse brocarde les adversaires du FN, englués dans leur « bataille d'ego ». En ciblant un Nicolas Sarkozy «qui ne doute de rien».

    Marion Maréchal-Le Pen, désormais presque aussi populaire que sa tante Marine auprès des sympathisants du FN, balaie l'actualité.

     

    Le parquet a demandé le renvoi de Nicolas Sarkozy dans l'affaire Bygmalion. Ça vous étonne ?
    MARION MARÉCHAL-LE PEN.
    Je respecte la présomption d'innocence, mais manifestement il y a quand même suffisamment de preuves pour qu'il y ait des poursuites. Au-delà de cette affaire qui va continuer à rebondir, il est tout de même invraisemblable qu'un homme dont les comptes de campagne ont été annulés, qui a violé la loi, puisse se présenter en toute conscience devant le suffrage des Français.


     

    Samedi, Marine Le Pen a beaucoup cogné sur lui. Le FN le redoute tant que cela ?
    Il a été un mauvais dirigeant, mais reconnaissons que c'est un très bon candidat. Il sait faire campagne, sans jamais se départir de son incroyable culot. Le voir se draper en chantre de l'identité française, après le bilan qui a été le sien à l'Elysée sur les questions d'immigration et de sécurité, c'est stupéfiant. Il ne doute de rien.

     

      

    Il cherche surtout à récupérer ses électeurs qui sont partis au FN. Ça peut marcher ?
    La ficelle n'est pas grosse, elle est énorme. C'est même une corde ! Je ne comprends pas sur quelle légitimité il va s'appuyer. Mais Nicolas Sarkozy a une force médiatique indéniable, alors on reste vigilants.

     

    L'université d'été du FN se déroule à Fréjus les 17 et 18 septembre. N'est-ce pas un peu tard pour un parti qui aspire à être au pouvoir en 2017 ?
    Pas du tout. Nous avons décidé de ne pas être contraints par le temps médiatique. Vu les circonstances dramatiques qui touchent le pays, on a besoin de temps pour travailler sur nos idées. Pas comme nos adversaires qui sont actuellement secoués par une guerre des ego terrible, entre une primaire de revenants à droite et une primaire de fantômes à gauche.

     

    «Je dépose vendredi mon dossier pour intégrer la réserve opérationnelle»


     

    Plus de flamme, plus de logo sur les affiches de Marine Le Pen : le FN n'est plus une marque qui fait vendre ?
    Ce n'est pas révolutionnaire qu'en période présidentielle les candidats se détachent du parti. Mais je ne crois pas que le Front national soit un boulet dans une campagne. C'est même un levier très porteur pour 2017.

     

    Votre grand-père a annoncé vouloir présenter des candidats aux prochaines législatives. Vous comprenez sa démarche ?
    Non, je la regrette même. Ce n'est pas son rôle et c'est un peu dommage qu'il se perde dans des calculs politiciens qui n'ont pas beaucoup d'avenir. Ce n'est pas à la mesure de l'homme.

     

    Vous vouliez intégrer la réserve opérationnelle nationale ? Où en êtes-vous ?
    J'ai fait les démarches ! J'ai rencontré la semaine dernière le colonel du régiment dans lequel je veux entrer, le 21e RIMa de Fréjus. Je dépose mon dossier vendredi. Puis il sera transmis au ministère de la Défense. Je souhaiterais faire la formation initiale des officiers à Coëtquidan, dans le Morbihan, qui implique trois semaines de formation, plus dix-neuf jours de formation à côté.

     

    Vous comprenez le combat de NKM qui redoute l'absence d'une femme à la primaire de la droite ?
    Je n'ai jamais compris les combats qui enferment dans des communautés, des catégories. J'ai toujours le sentiment qu'à travers ces combats féministes on s'enferme dans une espèce de logiciel victimaire qui me dérange beaucoup. Il fut un temps où on s'enorgueillissait d'être des héros. Aujourd'hui, on s'enorgueillit d'être des victimes.

    LE PARISIEN

  • JOURNAL TVL DU 06 SEPTEMBRE 2016

  • Plus de 14% des Français vivent sous le seuil de pauvreté

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    >Société|06 septembre 2016, 19h12|54

    Le seuil de pauvreté s'établit à 1 008 euros par mois.

    LP/ ARNAUD JOURNOIS
     
     
     
     
    SociétéInseePauvretéSalairesStatistiques
     

    La France compte 8,8 millions de personnes pauvres. C'est l'un des enseignements d'une étude sur les niveaux de vie publiée mardi par l'Insee. Selon elle, le taux de pauvreté est resté stable en 2014 à 14,1% de la population. L'année précédente, ce taux s'établissait à 14% un an plus tôt.
     

    Ces 8,8 millions de personnes vivent en-dessous du seuil de pauvreté de 1 008 euros par mois. Ce seuil correspond à 60% du niveau de vie médian de la population, qui s'établissait à 1 679 euros mensuels en 2014. Cela signifie que la moitié de la population disposait d'un niveau de vie inférieur à ce montant et que l'autre moitié disposait d'un niveau de vie supérieur.
     

    Une légère augmentation «qui n'est pas significative»

     

    D'après les auteurs de l'étude, la légère augmentation du taux de pauvreté constatée en 2014 de 0,1 point n'est pas «significative d'un point de vue statistique (...) compte tenu de l'incertitude inhérente à l'utilisation d'une enquête par sondage». Le «niveau de vie médian» des personnes pauvres s'est par ailleurs maintenu, atteignant 805 euros par mois en 2014, contre 806 euros en 2013 en euros constants.

    LE PARISIEN

     

     

     

  • Burkini : l'arrêté de Sisco validé par le tribunal administratif de Bastia

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    >Faits divers|06 septembre 2016, 16h25 | MAJ : 06 septembre 2016, 18h08|58

    (A gauche) Le maire de Sisco (Haute-Corse)  

     
     
      

    Le tribunal administratif de Bastia a validé ce mardi l'arrêté de Sisco interdisant le port du burkini sur les plages de cette commune de Corse. Depuis la décision du Conseil d'Etat, plus haute instance administrative française, de suspendre ce type d'arrêtés, c'est la première fois qu'un tribunal administratif en valide un. La Ligue des Droits de l'Homme, à l'origine de la requête, va une nouvelle fois se tourner vers le Conseil d'Etat.  
     

    Dans sa décision, le Conseil d'Etat avait précisé que les arrêtés anti-Burkini pris dans 30 communes seraient tous suspendus une fois contestés en justice. Il a également rappelé à tous les maires qui ont invoqué le principe de laïcité qu'ils ne peuvent se fonder sur « d'autres considérations » que « des risques avérés » pour l'ordre public pour interdire de se rendre à la plage avec cette tenue de bain islamique couvrante.


     Le juge de Bastia estime qu'« en l'espèce, compte tenu des récents événements (...), la présence (...) d'une femme portant un costume de bain de la nature de ceux visés par l'arrêté (...) serait (...) de nature à générer des risques avérés d'atteinte à l'ordre public qu'il appartient au maire de prévenir ».
     

      

    Le maire de Sisco ne se sent pas concerné


    Après cette décision, le maire de Sisco avait annoncé son intention de maintenir son arrêté survenu après des affrontements entre une famille d'origine maghrébine et habitant Furiani, et des villageois. Pourtant, cette rixe n'avait pas été déclenchée par une photo d'une musulmane se baignant en burkini comme cela avait été avancé au départ.  



    « Je ne me sens pas concerné par la décision du Conseil d'Etat», avait déclaré l'édile. «Mon arrêté n'était pas de la prévention, je l'ai pris pour la sécurité des biens et personnes de ma commune, je risquais d'avoir des morts !», avait-il expliqué. Ange-Pierre Vivoni avait déclaré avoir pris cet arrêté «pour protéger toute la population, y compris les musulmans». Il estimait que, dans le contexte actuel, «il ne peut y avoir aucune provocation, de qui que ce soit». «Des musulmans m'ont remercié d'avoir pris cet arrêté, car leur religion prône la paix et l'entente des peuples», avait-il ajouté.

    Reste désormais à savoir si le Conseil d'Etat estime que le Sisco est un cas à part.

     

    LE PARISIEN

  • Florian Philippot sur BFM-TV

    http://www.bfmtv.com/mediaplayer/video/calais-cazeneuve-s-est-engage-au-demantelement-total-en-une-etape-de-la-jungle-853685.html

  • Robert Ménard : « Etre Français, c’est aussi être Européen, blanc et catholique » (MàJ)

    http://www.fdesouche.com/762739-robert-menard-etre-francais-cest-aussi-etre-europeen-blanc-et-catholique-maj-titre-mensonger-de-lci

    + VIDEO

    Déroulez!

  • Alain Juppé et son mentor Tareq Oubrou, l’islamiste pur jus

       

     

    Il est une vidéo qui circule sur les réseaux sociaux et notamment sur Riposte Laïque et le Salon Beige auxquels d’ailleurs je vous recommande vivement de vous abonner. Cette vidéo de 16 minutes est le résultat du beau travail d’investigation et de montage de Joachim Veliocas, animateur du site islamisation.fr, qui démontre l’islamophilie incontestable d’Alain Juppé. Un penchant qu’il essaye de dissimuler depuis qu’il s’est porté candidat aux primaires de la Présidentielle. L’art de la taqiya, en somme, vu par le maire de Bordeaux.

    On y voit tout d’abord Alain Juppé annoncer que ses bombardiers lancés sur la Libye de Khadafi vont pourvoir redonner à ce pays la liberté et la démocratie (sic). « C’est un investissement pour l’avenir parce qu’une Libye démocratique, c’est un pays qui va se développer ». Un tel visionnaire peut-il diriger la France ? Vient ensuite l’épisode de la Grande Mosquée de Bordeaux à qui il a concédé un immense terrain en bordure de la Gironde. « Il est normal que les musulmans de la région puissent pratiquer leur culte dans une mosquée moderne ». Peu lui importe que la loi de 1905 soit toujours en vigueur. A la fin de cette vidéo, Benoist Apparu, son porte-parole, va même insister au micro de J.-J. Bourdin, sur l’évidente obligation que la République doit avoir pour non seulement financer les mosquées, mais en encourager la construction. « Quitte à réviser la loi de 1905 » !

    Après avoir déclaré, en 2011 que l’islamisme était parfaitement compatible avec la démocratie, le maire de Bordeaux remettait la Légion d’Honneur à son imam préféré parce que celui-ci est le symbôle d’un islam modéré. Oubliant que la devise de l’UOIF dont est membre le récipiendaire n’est rien d’autre que « Le coran est notre constitution ».

    Mais Tareq Oubrou ira beaucoup plus loin lors d’un colloque sur Hassan al-Banna, fondateur des Frères Musulmans dont il fait partie, en se déclarant pour le califat. A l’époque, en février 2011, le Califat Islamique n’existait pas encore, mais Tareq Oubrou l’appelait de ses vœux.

    « Il faut un Califat politique car Mahomet était lui-même un chef d’état. D’ailleurs, l’islam n’est pas une religion. C’est un mode de vie. L’islam touche à tous les domaines de la vie. Comme le veut le Coran, C’est un Etat, c’est un pays, dans le sens géographique, c’est à dire qu’il regroupe toute la communauté dans une géographie où il n’y a pas de frontières. La frontière entre deux pays musulmans est une hérésie méprisable par l’Islam… La politique des Musulmans ce n’est pas la politique des autres, la politique des autres est construite sur le mensonge… Nous, frères musulmans, nous sommes des salafistes affirmant que la pouvoir d’Allah est au dessus de tout pouvoir. »

    Tareq Oubrou le modéré poursuivit sa conférence en affirmant que « tout homme qui réfute un seul verset du Coran n’est pas musulman. Allah nous a demandé de construire des familles, des sociétés, des états islamiques. Et il faut comprendre que construire un état islamique prend ses siècles ».

    Pensait-il alors à la France ? Pensait-t-il alors à nous convertir de force, un jour ou l’autre, avec la bénédiction d’hommes politiques comme Alain Juppé, Benoist Apparu et tant d’autres ?

    L’art de la dissimulation, du mensonge, de la taqiya, auquel notre indulgence ne nous permet pas de croire peut nous coûter très cher. J’attends avec impatience la décision des juges sur ce malheureux restaurateur de Tremblay-en-France qui s’est fait piéger par deux provocatrices envoyées par cette organisation très contestée du CCIF. Après la soumission du Conseil d’Etat sur l’affaire du Burkini, elle nous montre à quel point nous sommes devenus aveugles.

    NDF

  • Ce racisme antiasiatique dont on ne nomme pas les acteurs

     

     

    Communiqué. “Par milliers nos compatriotes d’origine indochinoise et aussi des ressortissants chinois ont manifesté hier pour clamer leur exaspération après le dernier assassinat de l’un des leurs à Aubervilliers, faisant suite à tous les actes de violence raciste toujours plus nombreux, sans cesse perpétrés contre eux.

    Faut-il rappeler que chrétiens, confucéens ou bouddhistes, ces concitoyens, globalement ne s’illustrent, dans la discrétion qui leur est coutumière, que par leur acharnement au travail et le calme dans leurs communautés ? On ne peut que les approuver totalement dans leur élémentaire revendication que l’État doit assurer leur sécurité.

    Mais, étonnamment, les médias et les politiques taisent les origines sociologiques et ethnico-religieuses de ceux qui les agressent.

    Or, d’ordinaire ce n’est pas du fait d’individus d’origine européenne ou de différentes populations chrétiennes qu’ils subissent des agressions, des vols, des viols et des meurtres, le dernier en effet n’étant pas le premier.

    La vérité c’est que dans l’immense majorité des cas ce sont des délinquants, des racailles issus de mouvances islamo-racistes qui exercent sur eux leur terreur. Tout le monde sait cela. Mais les politiciens et les responsables des organisations idéologiques de l’antiracisme (qui n’est qu’un racisme en sens contraire) le taisent.

    L’AGRIF dénonce cet état de fait et assure les paisibles communautés venues de l’Extrême-Orient de tout son soutien, avec ses avocats, face aux actes racistes qui les frappent.

    L’AGRIF qui se portera partie civile dans l’affaire de l’assassinat d’Aubervilliers, charge par ailleurs tout spécialement une de ses militantes expérimentée, d’origine indochinoise, de suivre particulièrement les délits du racisme anti-jaune.”

    > le site de l’AGRIF

  • VIDEO - Les touristes anglais désertent Calais à cause des clandestins

    http://www.ndf.fr/nos-breves/06-09-2016/les-touristes-anglais-desertent-calais-a-cause-des-clandestins/

  • Marseille; un homme de 89 ans battu à mort pour son collier

    http://www.laprovence.com/article/faits-divers-justice/4101588/marseille-un-homme-de-80-ans-battu-a-mort-pour-son-collier.html

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    Tout a l'air tranquille... Mais trois salopards ne sont pas loin.

  • Robert Ménard s'indigne à nouveau de la proportion d'élèves musulmans à Béziers

    Le maire de Béziers Robert Ménard a une fois de plus évoqué la proportion des enfants de confession musulmane, lundi 5 septembre, dans une classe de sa ville de Béziers. Sur LCI, l’élu de l’Hérault proche du FN a déclaré: 

    « Dans une classe du centre-ville de chez moi, 91% d’enfants musulmans, évidemment que c’est un problème, il y a des seuils de tolérance »

    Il avait déjà suscité la polémique en mai 2015 en évoquant « 64,6% d’enfants musulmans scolarisés dans les écoles publiques de Béziers, une estimation basée sur « les chiffres de (la) mairie ». Une enquête avait été ouverte pour vérifier l’existence éventuelle de fichiers illégaux à la mairie, avant d’être classée sans suite. Dans un tweet le jour de la rentrée des classes, le 1er septembre dernier, Robert Ménard avait déjà écrit: 

    Le maire de Béziers, élu en 2014 avec le soutien du FN, a rappelé que pour lui,

    « Marine Le Pen est la seule qui incarne la possibilité qu’on change de politique (…). Les gens en ont ras-le-bol de l’immigration, des clandestins », a-t-il assuré, ajoutant que « l’islam et la chrétienté n’ont pas le même statut dans notre pays et ne doivent pas l’avoir ».    


    En savoir plus sur http://www.bvoltaire.fr/breves/robert-menard-sindigne-a-nouveau-de-la-proportion-deleves-musulmans-a-beziers,281172#uRqibjAf4CvEEYgp.99
  • Corse: des femmes voilées refoulées à l'entrée d'une école maternelle

    L’année scolaire 2016-2017 ne démarre pas de la manière des plus apaisées qui soient. Lundi 5 septembre, plusieurs parents d’élèves ont bloqué l’accès à une école maternelle de Bonifacio en Corse, à cinq femmes voilées « portant une djellaba et un voile sur les cheveux », selon l’un de ces parents d’élèves.

    Corse-Matin rapporte que la gendarmerie et la direction de l’école maternelle ont du intervenir, et qu’une réunion-débat est prévue en mairie cet après-midi. Les parents d’élèves réclament « une explication », selon le quotidien, car ils estiment que leurs « enfants sont réprimandés si l’on voit leur croix ».


    En savoir plus sur http://www.bvoltaire.fr/breves/corse-des-femmes-voilees-refoulees-a-lentree-dune-ecole-maternelle-2,281217#BfgTAI59rwTYRLHu.99
  • Pour aider le restaurateur du Tremblay, allez manger au Cénacle (et aussi parce que c'est bon!)

    http://ripostelaique.com/aider-restaurateur-tremblay-allez-manger-cenacle.html

    Contrairement à des informations erronées, le restaurant est ouvert! Pas de changement!

    Lisez l'article de Riposte Laïque.

  • VIDEO - Élection régionale en Allemagne : le parti anti-immigration AfD devant la CDU de Merkel (Màj)

     

     

    20h13

     


    Le parti anti-migrants allemand AfD est arrivé avec environ 21% en deuxième position lors de l’élection régionale en Mecklembourg-Poméranie occidentale (nord-est), devançant la CDU de la chancelière Angela Merkel, selon des sondages réalisés à la sortie des bureaux de vote.

    Les sociaux-démocrates du SPD arrivent en tête avec envrion 30%, soit cinq points de moins qu’en 2011. Le parti de Mme Merkel, pourtant élue de la région, se classe donc 3e avec de 19 à 20% des voix, selon les sondages des chaînes publiques ARD et ZDF.

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    Le Nouvel Obs

     

  • Allemagne : le parti d'Angela Merkel vaincu par les populistes

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    • Par Nicolas Barotte
    • Mis à jour
    • Publié
     

    La chancelière allemande (ici à Berlin le 28 août) perd lourdement dans sa terre d'élection. Crédits photo : STEFANIE LOOS/REUTERS

    La CDU a été reléguée dimanche derrière les sociaux-démocrates et le parti antimigrants AfD, lors d'une élection régionale test en Mecklembourg-Poméranie Occidentale.

    Correspondant à Berlin

    Le bonus Merkel s'est transformé en malus. Dimanche soir, la CDU a enregistré son pire résultat en Mecklembourg-Poméranie Occidentale lors de l'élection régionale, et même l'un des plus mauvais de toute son histoire. Avec seulement 19%, selon l'estimation disponible à 21h30, le parti d'Angela Merkel a aussi subi l'humiliation d'être relégué en troisième position, derrière la formation AfD, qui a obtenu 21,4%. La campagne de l'Alternative für Deutschland contre la politique d'asile et contre la chancelière a fonctionné. Le parti a bénéficié plus que les autres de l'augmentation de la participation, qui s'est élevée à 61% contre 51,5% en 2011. Selon un sondage Infratest Dimap, 67% des électeurs de l'AfD ont choisi d'exprimer leur mécontentement lors de leur vote plutôt qu'une conviction. «Trop longtemps, les électeurs n'ont pas été entendus», a déclaré Frauke Petry, la chef de file de l'AfD, pour expliquer le résultat de son parti. Sur twitter, la présidente du FN Marine Le Pen s'est félicitée du résultat outre-Rhin: «Ce qui était impossible hier est devenu possible: les patriotes de l'AFD balaient le parti de Mme Merkel».

    Angela Merkel, qui se trouve actuellement au G20 en Chine, n'a pas commenté le camouflet. «C'est un résultat amer», a déclaré le secrétaire général de la CDU, Peter Tauber. Le résultat est symboliquement fort: c'est la première fois que le parti conservateur est devancé par l'AfD. Et même si le Mecklembourg-Poméranie Occidentale est un terrain électoral défavorable historiquement à la CDU, c'est néanmoins la terre d'élection de la chancelière. Sa circonscription se trouve à Stralsund, près de la mer Baltique.

    Mais au sein de la formation chrétienne-démocrate, on cherchait aussi à relativiser: en recul de 3,7 points par rapport à la dernière élection, le parti conservateur enregistre une sanction paradoxalement moins forte que celle du SPD. Avec 30,3%, les sociaux-démocrates ont certes remporté l'élection, mais reculent de 5,3 points. «La CDU est responsable de la progression de l'AfD», accuse-t-on du côté des sociaux-démocrates en regrettant les tiraillements internes aux conservateurs sur la politique migratoire. «C'est Angela Merkel qui fournit le fonds de commerce de l'AfD», a ironisé dans Der Spiegel l'ancien responsable du parti, Hans-Olaf Henkel.

    Un signal d'alarme tiré

    Tous les partis ont pâti de l'essor des populistes. À gauche, Die Linke, traditionnellement fort dans ce Land d'ex-Allemagne de l'Est, subit le revers le plus important en passant de 18,4 % à 12,6 %. Les Verts, quant à eux, ne franchissent pas la barre des 5%. Ils n'auront pas d'élus. Deux solutions sont désormais possibles pour gouverner la région du Mecklembourg-Poméranie Occidentale: reconduire la coalition SPD-CDU au pouvoir depuis dix ans ou tenter une alliance à gauche SPD et Die Linke.

    À court terme, le vote en Mecklembourg-Poméranie Occidentale n'aura pas de conséquence sur Angela Merkel, qui n'a pas l'intention de modifier sa ligne politique. Avec seulement 1,6 million d'habitants, le Land pèse par ailleurs peu sur la scène nationale. Mais le signal d'alarme a été tiré. Sans attendre le résultat de dimanche, Angela Merkel avait fixé la ligne lors d'une réunion avec des parlementaires de la CDU jeudi. «Nous allons devoir travailler à regagner la confiance perdue», a-t-elle déclaré, selon le compte rendu des médias allemands.

    À un an des élections fédérales, les conservateurs chancellent. Avec 34% d'intentions de vote dans le dernier baromètre Emnid pour Bild, l'alliance CDU-CSU continuerait d'arriver largement en tête, devant le SPD à 23%. Mais elle serait loin des 41,5% obtenus en 2013. Cette situation de faiblesse entrave le leadership d'Angela Merkel.

    Portés par leurs succès à chaque élection régionale, les populistes de l'AfD sont en route pour entrer au Bundestag en 2017. Ils devraient obtenir largement plus que les 5 % requis. Le dernier baromètre pour Bildleur promet 12%, ce qui ferait d'eux la troisième force politique du Parlement allemand. Paradoxalement, Angela Merkel pourrait tirer parti d'une situation la plaçant au centre d'un jeu de coalition compliqué et empêchant ses adversaires de construire une alliance adverse.


    Les néonazis perdent leurs élus

    Les néonazis perdent leurs élus en Mecklembourg-Poméranie Occidentale, les derniers dont ils disposaient dans un Parlement régional. Avec seulement 3,5%, le NPD a obtenu clairement moins que le seuil requis de 5% pour être représenté. Lors de l'élection de 2011, il avait obtenu 5 élus régionaux avec 6% des voix. Le parti néonazi n'a pas résisté à la concurrence de l'AfD, qui a offert un visage plus respectable aux électeurs les plus en colère contre les formations traditionnelles. En 2014, le NPD avait aussi été chassé du Parlement régional de Saxe, un autre Land d'Allemagne de l'Est où son implantation était forte. Avec 4,9%, contre 5,6% en 2009, le NPD avait raté de peu la marche d'entrée et perdu ses 8 députés, cette fois encore au profit du parti antimigrants de l'AfD. Durant toute la campagne, l'AfD a flirté avec les limites pour séduire les électeurs du NPD sans toutefois tendre la main au parti néonazi. Dans un souci d'ambiguïté, l'un de ses leaders, Jörg Meuthen, avait ainsi laissé ouvert la possibilité de soutenir des propositions du NPD au sein du Parlement régional. «Si le NPD fait une proposition sérieuse, alors nous la voterions, comme nous le ferions si elle venait de Die Linke», avait-il expliqué. Dans le jeu politique allemand, marqué par l'histoire, le NPD reste ostracisé. Une procédure d'interdiction nationale est même en cours. La Cour constitutionnelle devrait rendre son avis cet automne.

    LE FIGARO

  • Un tweet d'Eléonore Bez sur l'abattage rituel

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    Affiche vue à Villeneuve-Saint-Georges (94)