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  • Alain Drach, les Rothschild et le cerf abattu à bout portant dans une propriété privée

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    L’affaire est sensible, aussi allons-nous rester dans le factuel, autant que faire se peut.

    Nous sommes le samedi 21 octobre 2017 à Lacroix-Saint-Ouen, dans l’Oise, quand soudain, quelque chose d’inhabituel se produit. Un cerf franchit la barrière d’une propriété privée et se réfugie dans une descente de garage. Il s’avère qu’il cherche à échapper à un équipage de chasse à courre, connu dans le coin, celui de La Futaie des amis. Les badauds accourent, les chasseurs cernent l’animal, un homme franchit la barrière de la propriété, essaye de déloger l’animal, puis l’abat à bout portant, au grand dam des témoins.

     

    Les gendarmes appelés témoignent de la légalité de cet abattage. Pour eux, « les chasseurs font jouer leur droit de suite ». Le maître d’équipage, en gros le meneur de la chasse, argue qu’« un cerf aux abois est un animal dangereux ». Il estime qu’en abattant l’animal coincé, il a épargné « la voisine qui vient tous les jours ouvrir les volets ». Pourtant, les propriétaires, joints sur leur mobile pendant la scène par un témoin, assurent qu’ils ne voulaient pas que le cerf soit abattu. Mais Alain Drach, fort de son principe de précaution, est passé outre.

    Alors, goût du sang ou simple fin de chasse un peu foireuse ? C’est là où l’affaire se corse. Quand cela avait lieu en 1850 aux abords de la forêt de Compiègne, personne n’y trouvait à redire, puisque les chasseurs étaient des nobles. Mais en 2017, les réseaux sociaux sont passés par là : Alain Drach reçoit, d’après lui, « 150 menaces de mort ». Il porte plainte.

    « J’ai reçu 150 menaces de mort. Un internaute a mis mes coordonnées sur une affiche noire, avec ma tête dessus et le mot “assassinat” et c’est parti en vrille. J’ai reçu 500 messages sur Messenger, 50 SMS, 150 mails… J’ai déposé une lettre recommandée pour exiger que soient retirés les propos diffamatoires tenus à mon encontre. Je me réserve le droit de porter plainte. J’ai rendez-vous dès demain avec les gendarmes. On peut ne pas aimer la chasse, ne pas la connaître… Mais on ne peut pas dire des choses fausses et encore moins proférer des menaces de mort. Là, ça dégénère. »

    Question : est-ce le chasseur qui est visé ou le fils de Monique de Rothschild ? Car il faut le dire, Alain est un Rothschild. Ce qui ne fait pas de cette affaire un match entre « juifs » et « antisémites ». Ce sont les amis des animaux qui ont déclenché cette bataille sur l’Internet, et ils ne lâchent pas prise, parfois avec une certaine violence dans les propos.

     

      Ceux qui connaissent la Bardot et sa fondation savent qu’elle ne transige pas avec la souffrance animale. Elle déteste la chasse, et ne se prive pas de « tirer » à vue sur les chasseurs, surtout ceux qui font fi de la souffrance animale. 
    Alain Drach, lui, persiste et signe. La chasse a ses codes qui échappent au tout-venant, ou aux manants. Le monde dans lequel il baigne n’est pas le monde d’en bas.

    « De 1990 à 2000 j’ai eu le bonheur d’allier passions et profession en dirigeant le développement international de la marque Holland & Holland. Non pas au seul niveau de la fabrique d’armes de luxe mais à celui de la création d’un univers et d’un style. »

    La marque Holland & Holland appartient à la famille Wertheimer, des industriels de confession juive originaires d’Alsace, et considérés comme les plus riches exilés fiscaux français en Suisse. Ces propriétaires de la marque Chanel, entre autres, sont assis sur une fortune de 21 milliards d’euros. Ils ont récemment défrayé la chronique parisienne en s’emparant de la maison d’édition de La Martinière.

    C’est maman – Monique de Rothschild – qui a inculqué le plaisir de la chasse à son fils Alain. C’est elle qui a remonté l’équipage de La Futaie des amis et ce, en 1961. Laissons la parole au site Sputniknews en français, qui a publié un article sur la grande passion familiale en 2013 :

    « Ces “amis” de la Baronne ont regroupé en meute une centaine de chiens de chasse anglo-français. Des chiens de race évidemment… Les chemins forestiers de son domaine ont été barrés pour éviter la présence des gueux habitant les environs. Madame peut donc, deux fois par semaine, s’amuser avec son équipage à chasser les cerfs et autres animaux de nos bois.

    Il ya une bonne dizaine d’années, la baronne se faisant âgée donna les “rênes” de l’équipage à son fils. Cependant, hors de question pour Madame de rater le spectacle de la vènerie (terme officiel de la chasse à courre).

    La chasse à courre s’avère toutefois dénoncée comme un héritage sanglant et désuet par des associations de protection des animaux. Ce plaisir douteux est d’ailleurs souvent réservé à une caste de nobles et de fortunés qui n’a rien à apprendre des roturiers locaux et de leur cause animale incompréhensible pour ces châtelains.

    Avec Madame la Baronne et sa descendance, cette chasse à courre semble pourtant atteindre des sommets dans l’horreur et la souffrance du gibier qui a le malheur de croiser le chemin de ces véritables psychopathes déguisés en chasseurs. »

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    Et de citer le cas où, le 15 janvier 2015, un cerf vint se faire massacrer en plein Compiègne, devant les habitants ébahis, avec leurs enfants... Description de la scène :

    « Ils voulaient égorger de la manière la plus immonde un cerf, bel animal hébété, perdu et résigné. Ils lui ont d’abord jeté des pierres pour qu’il reste acculé le long de la clôture, puis avec une barre de fer, ont essayé de lui faire plier les pattes arrières ; deux hommes lui ont attrapé les bois, lui tordant la tête jusqu’à terre pendant que le troisième lui enfonçait une lame dans le cou, ceci à plusieurs reprises. Ne parvenant pas à finir l’animal, toujours debout et blessé, ils l’ont tiré sur plusieurs mètres pour l’égorger loin des regards indiscrets. »

    Le site de poser la question de l’éducation à la cruauté pour les hommes de la dominance, qui seraient ainsi délestés de tout sentiment envers les animaux ou les humains. 
    L’année suivante, un cerf se réfugie dans une propriété, et les propriétaires, présents, s’opposent à l’halali.

    « Il s’ensuivit une colère monstre de la baronne qui arriva en tout-terrain chez les propriétaires et vitupéra contre ces manants qui osent interférer dans le libre exercice sanglant des veneurs et du maître d’équipage. Des insultes sont lancées et provoquent l’intervention de policiers qui débarquent et neutralisent l’accès à la propriété où l’animal s’est réfugié. Le cerf s’échappe miraculeusement par l’arrière, reprenant le chemin à l’envers sous l’applaudissement des habitants. L’animal fut sauvé. »

    La fin de l’interview d’Alain Drach dans Le Courrier Picard du 23 octobre 2017 est savoureuse :

    Le Courrier picard : « D’après des voisins, les propriétaires ne souhaitaient pas que le cerf soit tué dans leur jardin. Qui a pris la décision de mettre fin à la vie de l’animal ? »

    Alain Drach : « Les gendarmes, avec mon accord – cela devenait trop dangereux –, que ça plaise ou pas aux propriétaires. »

  • CARENCO, PRÉFET “STALINIEN”!

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    Dire que Jean-François Carenco, actuel préfet d’Ile-de-France, a un goût prononcé pour la provocation relève presque de l’euphémisme tant ses dérapages sont nombreux. Dernière incongruité en date ? Alors que de nombreuses communes refusent de se voir imposer par l’Etat des centaines de clandestins et sont aujourd’hui au bord de l’explosion, ce proche de Borloo, avec la morgue et le mépris du peuple typiques de l’énarque, n’a rien trouvé de mieux à déclarer au sujet des maires protestataires que « beaucoup gueulent », mais « je m’en fous » !

    Ouvrez, ouvrez la porte aux migrants…
    Intervenant lors d’une conférence de presse, ce préfet aux méthodes staliniennes a en effet expliqué la semaine dernière qu’il ne comptait pas changer de tactique pour la mise en place des 79 centres d’hébergement attendus en IDF. En effet, a-t-il précisé, « je ne vais pas commencer à en parler six mois à l’avance. Je préviendrai trois mois à l’avance. Après, ce sera à chaque préfet de communiquer ou pas ». Et pas question de traîner, a ajouté Carenco. Car, « si d’autres migrants arrivent, nous les prendrons. (…) Le flux risque d’augmenter ? Ce n’est pas un problème, a-t-il expliqué. Le monde est comme ça ».

    Et qu’importe la colère des communes concernées : le préfet s’est dit prêt à « passer outre l’avis des maires ». Car, a-t-il confié, « beaucoup gueulent » mais « je m’en fous ».

    Devoir de réserve ? Connais pas !
    Il faut dire que Carenco n’est plus à un dérapage près. Invité en 2014 sur la radio Lyon Première, celui qui était alors préfet du Rhône n’avait pas hésité à s’asseoir sur son devoir de réserve en déclarant vouloir combattre le FN « au nom de la cohésion nationale, de l’Europe et de la paix ». Des propos qui avaient poussé ce dernier à rappeler très justement que « le préfet Carenco n’a jamais exercé sa fonction dans la neutralité ». Qu’en 2013, déjà, lorsque sa fédération du Rhône, à la suite d’une nouvelle dégradation de son local, lui avait demandé d’intervenir, le préfet lui avait répondu : « qui sème le vent récolte la tempête » ! Et à demander – en vain – à Hollande de « prendre toutes les mesures qui s’imposent » à l’encontre de Carenco qui, « faisant fi de son devoir de réserve, se mue ainsi en activiste politique ».

    Un activisme qui devait même le conduire devant un juge d’instruction pour « injure publique », après avoir déclaré au sujet de manifestants anti « mariage » gay que « la République sera plus forte que ces imbéciles »…

     

    Franck Deletraz – Présent

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    Pour la démission du Préfet Carenco

    Carenco “s’en fout” des opposants aux camps de migrants : Génération Identitaire Paris demande sa démission !

    La semaine dernière, lors d’une conférence de presse, le préfet de la région Ile-de-France, Jean-François Carenco, a affiché son mépris devant l’inquiétude soulevée par la question des migrants clandestins du camp de Stalingrad. De sa réponse transpirait un dédain non dissimulé pour ses administrés : « […] Beaucoup gueulent pour la forme. Je m’en fous. […] » et sa volonté de poursuivre son plan de distribution des migrants à travers la région « le plus vite possible » et, si besoin, en « pass[ant] outre l’avis des maires ».

    Loin de la démagogie aveugle de M. le préfet, Génération Identitaire Paris est pleinement conscient des enjeux identitaires, sécuritaires et sociaux que représente cette invasion migratoire pour les Franciliens.

    Les propos de monsieur le préfet illustrent l’immense déconsidération des élites mondialistes et immigrationnistes pour le peuple français

    Génération Identitaire Paris demande la démission du préfet Jean-François Carenco et réclame de son successeur le respect des prérogatives attachées à la mission de prefet : l’application stricte de la loi et donc l’expulsion de tous les clandestins.

    Signer la pétition.

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  • Tomio Okamura : « Nous pensons que l’intégration des musulmans en Tchéquie est impossible »

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    11h05

    INTERVIEW – Le patron de l’extrême droite tchèque, d’origine japonaise, défend une «politique patriote» qui n’obéisse pas aux vœux des oligarques de son pays et de Bruxelles.

     

    LE FIGARO. – On vous dit grand admirateur de Marine Le Pen, est-ce vrai?

    Tomio OKAMURA. – Mon parti, le SPD, est membre de la fraction européenne «Europe des nations et des libertés», dont le moteur est le Front national et sa présidente, Marine Le Pen. On se réunit régulièrement avec elle, et aussi le Parti de la liberté autrichien, le parti du Néerlandais Geert Wilders et Matteo Salvini, de la Ligue du Nord italienne. Je connais personnellement Marine Le Pen et je l’aime bien. Nous avons des points communs: promouvoir la démocratie directe via le référendum, défendre une politique patriote, qui réponde aux vœux des citoyens et non à ceux des oligarchies des partis et de Bruxelles. Nous sommes aussi pour que l’Europe redevienne aussi sûre qu’avant.

    Il y a très peu d’immigrés et pas de musulmans en République tchèque. Mais vous plaidez pour une immigration zéro et voulez interdire l’islam, ce qui n’est pas conforme à la Constitution… Ce sont les difficultés du multiculturalisme qui vous ont poussé à cette approche extrême?

    -Je parle du danger de l’islam et de l’immigration excessive depuis déjà cinq ans. L’islam est une idéologie expansionniste et hostile, un racisme religieux qui dit que les fidèles sont supérieurs aux infidèles. Cette religion prône la supériorité des hommes sur les femmes, ce qui est en contradiction avec la Constitution tchèque. Nous voulons protéger nos traditions judéo-chrétiennes et la sécurité des citoyens tchèques. Nous pensons que l’intégration des musulmans est impossible

    Vous voulez aussi sortir de l’Union européenne. N’est-ce pas très dangereux pour la Tchéquie, qui a une histoire tourmentée?

    -Je ne comprends pas votre question! Quand la Hongrie a été confrontée à une vague d’immigration illégale, son premier ministre en a appelé à l’Union européenne et à l’Otan, qui n’ont rien fait. Résultat, Viktor Orban a construit une clôture. Je constate que l’Allemagne est devenue un partenaire à risques car le courant politique dominant d’Angela Merkel est en opposition avec la vision des pays du groupe de Visegrad (Pologne, Hongrie, Slovaquie, République tchèque). C’est avec eux, et l’Autriche, que nous devons établir le dialogue pour garantir notre sécurité. (…)

    Le Figaro

    Merci à valdorf

  • JOURNAL TVL DU 27 0CTOBRE

  • Dans une vidéo pour son homologue tchèque , Marine Le Pen évoque « une submersion migratoire programmée »

     

    22h02

    Marine Le Pen parle dans une vidéo destinée à son homologue tchèque, Tomio Okamura, de « submersion migratoire programmée par l’Union européenne », à l’occasion des dernières élections en République Tchèque. Elle avait pourtant gommé ce type de discours à l’occasion de la campagne présidentielle de 2017.

    Membre du groupe politique européen Europe Nation et Liberté (ENL) fondé par Marine Le Pen, le Tchèque Tomio Okamura a diffusé sur sa chaîne vidéo Youtube un message de soutien de la présidente du Front national le 20 octobre, à l’occasion des élections législatives en République Tchèque les 20 et 21 octobre.

    Dans cette vidéo visionnée par 50 000 personnes, Marine Le Pen tient une ligne dure sur l’immigration et parle de « submersion migratoire organisée » par les dirigeants européens.

    La cheffe du FN y développe ses thèmes politiques habituels : peuples européens opprimés par l’Union européenne, rejet de tout modèle multiculturaliste, trahison des élites et peur du fondamentalisme islamiste. Elle cite Milan Kundera et Vaclav Havel, deux figures de l’Histoire de ce pays.

    Elle développe cependant un discours plus tranchant qu’habituellement sur les immigrés : « tout comme vous, nous refusons cette submersion migratoire programmée par l’Union européenne qui prend la forme, en République Tchèque, d’incroyables vagues de migrants incessantes, auxquelles se résignent, quand elles ne les appellent pas, vos prétendues élites corrompues et soumises », explique-t-elle dans cette vidéo.

    (…)

    Ouest-France

  • JOURNAL TVL DU 26 0CTOBRE 2017

     

  • Michel Audiard a écrit des textes antisémites dans des revues collabos

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    RÉVÉLATIONS La revue «Temps Noir» dévoile des écrits antisémites publiés dans plusieurs revues collaborationnistes en pleine Seconde Guerre mondiale par le célèbre dialoguiste Michel Audiard...

    C.B.

       

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    2 COMMENTAIRES 4PARTAGES 

    Michel Audiard pendant le tournage de «Canicule», en 1983.

    Michel Audiard pendant le tournage de «Canicule», en 1983. — Odile/Sipa

    Apprécié pour ses talents de dialoguiste, Michel Audiard, la plume, entre autres, des Tontons flingueurs, a également écrit des textes qui font moins l’unanimité. En effet, la revue Temps Noir, parue aujourd’hui, affirme qu’il aurait écrit des propos antisémites dans plusieurs revues collaborationnistes en pleine Seconde Guerre mondiale et que son nom apparaît sur une fiche d’adhésion au mouvement Collaboration datée de 1942.

    Et ce n’est pas la première fois que le nom du dialoguiste, mort à l’âge de 65 ans en 1985, est associé à la collaboration. En 1980, le livre Les collaborateurs, de Pascal Ory mentionnait déjà ses publications dans L’AppelL’Appel, revue collabo dirigée par Robert Courtine, un « ardent collaborateur », antisémite violent, également chroniqueur dans Au pilori et Pariser Zeitung. Son lien avec Michel Audiard ? Il lui a permis de « passer quelques contes et nouvelles dans L’Appel », confie Michel Audiard à la police en 1944.

    Le « petit youpin de Joseph Kessel »

    En 1943, Michel Audiard écrit une nouvelle, Le Rescapé du Santa Maria, récit humoristique d’un trois-mâts conquis à l’abordage. Le propriétaire du bateau est Jacob Brahm, qui se définit par « une veulerie suante » et « une odeur de chacal ». On lui demande : « Juif, hein ? – Juste un tout petit peu, du côté de mon père. » Un autre homme, Ephraïm, est « une synthèse de fourberie ». Un antisémitisme diffus, qui correspond bien au style de la revue.

    Puis Michel Audiard devient critique de théâtre. Il soutient l’auteur Jean-Pierre Liausu, qui plaide pour l’arrêt des « machinations de la juiverie omniprésente » dans le théâtre et dans le cinéma, déteste Léon Blum « chez qui se putréfient toutes les essences judéïques » et constate que, dans le monde du spectacle, « le juif a triomphé ». Le jeune journaliste écrit, en soutien à l’auteur : « Le monde qu’il est convenu d’appeler "artistique" et qui demeure dans sa majorité le plus coquet ramassis de faisans, juifs (pardonnez le pléonasme), métèques, margoulins… » Dans sa rubrique littérature, Audiard critique le « petit youpin Joseph Kessel » et Elsa Triolet qui a cette « prédilection pour tout ce qui est veule, fangeux, équivoque ».

    Une adhésion à son insu

    Une fiche d’adhésion au groupe Collaboration, numéro 74.208, datée de 1942, a été retrouvée. Ce groupe milite pour une Europe allemande. Interrogé par la police en mars 1947, Michel Audiard affirme que son adhésion s’est faite « à son insu », et qu’il n’a jamais signé. Nul ne sait si c’est vrai.

    Plus tard, il tape sur les résistants en étrillant les films qui privilégient « les Don Juan du macadam, les pédérastes intellectuels, les résistants vaudevillesques et les aventurières en panne d’affection ». En revanche, il aime Disney et souligne l’existence d’un « authentique chef-d’œuvre : Les Dieux du stade, de Leni Riefenstahl ». Des écrits pas très connus qui éclairent le réalisateur d’un nouveau jour…

    20Minutes

  • 92 députés d'extrême droite font une entrée remarquée au Bundestag


    92 députés d’extrême droite font leur entrée au parlement allemand

    L’AfD (Alternative für Deutschland ou Alternative pour l'Allemagne) est désormais le troisième groupe politique du parlement, en Allemagne, depuis l’entrée de ses 92 députés, dont la ligne politique affiche une forte direction nationaliste.

    Une référence aux nazis dès le premier discours

    Outre l’aspect historique de leur arrivée au Bundestag, les députés de l’Afd ont provoqué la polémique, notamment en citant Hermann Göring (l’une des figures les plus importantes du parti nazi durant la seconde guerre mondiale) dès leur première intervention dans l’hémicycle.

    Traditionnellement, le discours d’ouverture du Bundestag est prononcé par le doyen des députés, dans ce cas Wilhelm von Gotberg, âgé de 77 ans. Mais l’homme politique a perdu ce privilège pour avoir ouvertement qualifié l’holocauste de mythe, et le discours a finalement échu à Hermann Otto-Solms, 76 ans, plus vieux député non pas en terme d’âge mais d’ancienneté au parlement.

    Le vice président du parti de l'AfD, était déjà intervenu plus tôt dans l’année pour faire l’apologie de la Wehrmacht, l’armée allemande durant la Seconde Guerre mondiale. "Si les Français ont le droit d’être fiers de leur empereur et les Britanniques de l’amiral Nelson et de Churchill, alors nous avons le droit d’être fiers des performances des soldats allemands durant la Seconde Guerre mondiale", avait déclaré Alexander Gauland.

    Une politique nationaliste avant tout

    Les objectifs de l’AfD sont très clairs, leur élection étant le résultat du mécontentement d’une partie de la population qui a vu arriver plus d’un million de demandeurs d’asile. "Nous voulons récupérer notre pays, c'est inscrit dans notre programme. Je ne veux pas abandonner l'Allemagne face à une invasion d'étrangers issus de cultures étrangères", affirme le vice-président du parti, décrivant du même coup clairement sa ligne politique.

     

     Franceinfo  26.10.2017

     

  • JOURNAL TVL 25 OCTOBRE 2017

    Tous les articles sont intéressant! A regarder! 

  • Mosquée de Poitiers : la déclaration intégrale de Damien Rieu devant le tribunal

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    25/10/2017 – FRANCE (NOVOpress) : Poursuivi dans l’affaire de l’occupation du toit de la mosquée de Poitiers en octobre 2012, Damien Rieu s’est présenté, vendredi dernier, cinq ans après les faits, devant le tribunal correctionnel de Poitiers. Avant de garder le silence, comme il en tout à fait le droit, il a tenu à lire une déclaration, ce que le procédure lui permettait également. Nous publions ci-dessous cette intervention dans son intégralité, accompagnée de notes en bas de page de Novopress.

    Damien Rieu Mosquée de Poitiers

    Damien Rieu

    « Je vous remercie de m’accorder un temps de parole. J’ai en effet choisi de ne pas répondre à vos questions, non par irrespect à l’égard du Tribunal, mais considérant d’une part que les explications qui vont suivre se suffisent à elles-mêmes, et d’autre part parce que j’estime que ma place n’est pas dans ce tribunal aujourd’hui. 

    Je voudrais tout d’abord vous dire toute ma fierté d’être renvoyé devant le tribunal par les islamistes de l’UOIF, pour avoir participé à l’occupation pacifique du chantier de l’une de leur mosquée, le 20 octobre 2012. Il est important de rappeler que l’UOIF est l’antenne française des Frères musulmans en France, une organisation classée comme terroriste et interdite dans de nombreux pays.

    L’imam de la Grande Mosquée de Poitiers, Boubaker El Hadj Amor, sans doute présent aujourd’hui dans le public, est d’ailleurs le vice-président de cette organisation. (1)

    Youssef Al Qaradawi

    Youssef Al Qaradawi

    Il est également le directeur de l’IESH, un sulfureux institut de formation des imams qui a reçu le cheik Youssef Al Qaradawi, un dangereux prédicateur islamiste recherché par Interpol et désormais interdit de séjour aux USA, au Royaume-Uni et en France.

    Pour bien situer, Youssef Al Qaradawi légitime les attentats suicides, la mise à mort des juifs et des homosexuels, la violence contre les femmes et a participé au financement d’Al Qaïda.

    Aujourd’hui encore, quand on se rend sur le site internet de l’institut présidé par l’imam de la Grande Mosquée de Poitiers, Iesh.orgon trouve son nom inscrit en référence dans l’onglet Conseils et Fatwas. (2)

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    Boubaker el Hadj Amor

    Je rappelle également qu’en novembre 2014, l’imam de la Grande Mosquée de Poitiers, également professeur, s’était opposé à la diffusion d’un fascicule par le rectorat sur « la prévention de la radicalisation en milieu scolaire ». J’ai également ici des photos extraites de la page Facebook de la mosquée de Poitiers, où nous pouvons voir des fillettes de 6 ans en hijab (3) et des publicités de conférences avec les prédicateurs Hani Ramadan et Hassan Iquioussen, notamment connus pour ses sorties antisémites et ses propos sur les apostats auquel il faudrait mettre, je cite, 12 balles dans la peau.

    J’invite donc chacun à ne pas se laisser avoir par l’habile vernis de tolérance régulièrement utilisé par Boubaker El Hadj Amor, pour cacher la vraie nature de sa mosquée. 

    Ne soyons pas naïfs : oui la mosquée de Poitiers est radicale, oui les plaignants veulent interdire la critique de l’islamisme.

    Maintenons que nous savons qui est qui, je souhaite revenir sur les faits qui me sont reprochés. Après cinq longues et intenses années d’instruction, il n’en reste que deux :

    Tout d’abord les dégradations.On nous reproche d’avoir déplacé des tapis de prières. Aussi je demande aux plaignants de nous expliquer : que faisaient des tapis de prières sur ce chantier ? Ce chantier était-il utilisé comme une salle de prière annexe en toute illégalité ? C’est probable. Je tiens également à rappeler que ces tapis n’ont d’ailleurs été ni volés ni dégradés : ils ont simplement été déplacés et ont pris l’eau, car il pleuvait ce 20 octobre 2012 à Poitiers.

    Ensuite, concernant les faits d’incitations à la haine, on nous reproche notamment d’avoir utilisé le nom d’un personnage historique (4). Faut-il le retirer des livres d’Histoire au nom du politiquement correct et interdire aux Français de prononcer son nom ? 

    Vous en déciderez.

    Je tiens néanmoins à souligner que le premier à avoir inscrit la mosquée de Poitiers dans cette dimension historique, c’est son imam lui même, qui, pour récolter des fonds pour sa construction, avait fait référence à la symbolique de l’histoire de la ville.

    udc_minarets_ge_resultatJe rappelle enfin que cette occupation citoyenne d’un chantier s’est déroulée de manière totalement pacifique, et que les participants réclamaient un référendum sur l’immigration et la construction de mosquée, comme cela a été fait chez nos voisins suisses.

    Alors si la méthode peut paraître un peu cavalière, j’en conviens, et même si depuis, ne faisant plus partie de Génération identitaire, j’ai choisi d’exprimer mes convictions patriotes sur d’autres terrains et avec des méthodes plus conventionnelles, il n’y a objectivement rien dans ce dossier qui puisse nous être reproché aux yeux de la loi, hormis peut être le fait d’avoir eut raison trop tôt. 

    Car si en 2012 la chose était peut être moins évidente, personne ne peut aujourd’hui, en 2017, nier le fait que les problématiques de l’islamisme et de l’immigration soient au cœur des débats de société et des enjeux de sécurité qui préoccupent les Français.

    Si votre tribunal décide de nous condamner, alors il offrira une victoire symbolique à des islamistes radicaux et enverra un signal terrible à toutes les victimes du terrorisme islamiste et à tous ceux qui risquent leur vie pour dénoncer cette menace dans notre pays.

    Un islamisme qui, faut-il le rappeler, a tué des centaines de Français, de Charlie Hebdo au Bataclan, de la promenade des Anglais à Marseille.

    Je finis d’ailleurs cette intervention en demandant au tribunal et au public de bien vouloir respecter une minute de silence en la mémoire de Laura et Maurane, tuées il y a 15 jours par un migrant clandestin islamiste. (5) »

    Damien Rieu

    Notes de Novopress :

    (1) Effectivement présent, il s’est même constitué partie civile à l’audience. Il a confirmé avoir été vice-président de l’UOIF mais a déclaré ne plus l’être.

    (2) L’imam El Hadj Amor a confirmé la présence de Youssef al Qaradawi dans l’organigramme de l’IESH, comme président de son « conseil scientifique », mais a expliqué avec art que celui-ci n’y figurait pas à titre personnel mais en vertu de sa fonction au sein du Conseil européen de la fatwa !

    (3) Là encore, l’imam a confirmé mais a expliqué que ces fillettes étaient ainsi vêtues sur décision de leurs parents, et que d’autres n’étaient pas couvertes.

    (4) Il s’agit bien sûr de Charles Martel. Voir à ce propos le long compte-rendu d’audience publié par l’hebdomadaire Minute dans son numéro de cette semaine.

    (5) Minute de silence qui n’a pas été respectée.

  • Procès Merah : "Ma vie n'est que douleur", raconte Loïc Liber, sur qui Merah a tiré à Montauban

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     Affaire Merah

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    Loïc Liber, aujourd'hui tétraplégique, a témoigné par visio-conférence au procès.

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    Le procès d'Abdelkader Merah, frère du terroriste Mohammed Merah, et de Fettah Malki, un délinquant toulousain, entre ce mercredi dans sa dix-huitième journée. Les deux hommes sont jugés devant la cour d'assises spéciale de Paris jusqu'au 2 novembre. Le premier est poursuivi pour complicité des sept assassinats commis par son frère en mars 2012 à Toulouse et Montauban, pour association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste et vol en réunion. Le second est jugé pour association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste et vol en réunion, pour avoir fourni à Mohammed Merah un pistolet-mitrailleur et un gilet pare-balles.

    Vivez cette dix-huitième journée d'audience avec nos envoyés spéciaux à Paris, Jean Cohadon et Frédéric Abéla.


    En savoir plus sur http://www.ladepeche.fr/article/2017/10/25/2672383-proces-merah-suivez-direct-dix-huitieme-journee-audience-devant-cour.html#AP9BkdCBXSLbMyEg.99

  • Eric Zemmour célèbre « le bonheur des nations homogènes » à l’Est de l’Europe

     

     
     
     
     

    24/10/2017 – FRANCE (NOVOpress) : « La République tchèque vient après l’Autriche qui vient après la Pologne, qui vient après la Slovaquie, qui vient après la Hongrie », a égrené Eric Zemmour ce matin sur RTL, analysant le nouveau succès électoral des « populistes ». Partout à l’Est en effet, les mêmes causes produisent les mêmes effets :

    « Mêmes élections qui tournent autour de la question migratoire et de l’islam. Même victoire d’une droite qui les rejette sans état d’âme. Même rapprochement électoral avec une extrême droite qui fait fi de tous les tabous issus de la Seconde Guerre mondiale. Même bras de fer avec la Commission de Bruxelles qui dénonce les atteintes à l’état de droit. » Mais aussi « même mépris des Etats européens contre les populistes. Et mêmes leçons de morale des dirigeants français et allemands. »

    Mais qui sont-ils vraiment, ces peuples qui votent comme bon leur semble ? En fait, « ces peuples rejettent un libéralisme qui serait obligatoirement libertaire comme il l’est chez nous depuis Mai 68. Ils refusent aussi des institutions européennes qui leur imposeraient un quota de migrants ou le mariage gay » :

    « Les joies de la diversité qui font le bonheur de la France, de l’Allemagne et de l’Angleterre ne leur font nulle envie. Ils ne veulent ni des mosquées, ni du djihad. »

    Et puis, poursuit Eric Zemmour, qui a de la mémoire et sait que ces pays sont tous issus de l’empire des Habsbourg, « l’histoire [aussi] les rassemble » et les a conduits à vouloir retrouver

    « le bonheur des nations homogènes où la confiance règne parce qu’on partage la même culture et la même histoire »

    Or leur histoire, justement, a longtemps croisé la route de l’islam, raconte Eric Zemmour :

    « La Hongrie a été occupé trois siècles par l’empire ottoman. Vienne a subi deux sièges, le dernier remonte à 1683. Alors, c’est une troupe européenne dirigée par un général polonais qui repoussa l’envahisseur musulman. Le roi de France, Louis XIV, ne leva pas le petit doigt. Trois siècles… c’était hier. »

  • Défendons notre drapeau !

  • "Je peux me regarder dans la glace" : un an après la fin de la "jungle" de Calais, Simone héberge un migrant en Creuse

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    Un an après le démantèlement de la "jungle" de Calais, que sont devenus les 6 500 migrants qui ont été évacués en bus ? Rencontre avec Abbas et Simone, un Kurde irakien et une Française que la Creuse a réunis par hasard.

    Simone, institutrice à la retraite installée dans la Creuse, a pris sous son aile quatre jeunes évacués de la "jungle" de Calais, dont Abbas (ci-contre), originaire de Kirkouk, au Kurdistan irakien. 
    Simone, institutrice à la retraite installée dans la Creuse, a pris sous son aile quatre jeunes évacués de la "jungle" de Calais, dont Abbas (ci-contre), originaire de Kirkouk, au Kurdistan irakien.  (GAELE JOLY / RADIO FRANCE)
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    Gaële JolyRadio France

    Mis à jour le 
    publié le 

    Il y a près d'un an, le 24 octobre 2016, le plus grand bidonville de France était démantelé. Au total, 6 500 personnes quittaient, en bus, la "jungle" de Calais. Direction les centres d'accueil et d'orientation (CAO) à travers toute la France. Un an après, le quotidien a parfois repris ses droits dans leur vie peu banale. Rencontre avec Simone, institutrice à la retraite installée à Crozant, un petit village de la Creuse. Elle a pris sous son aile quatre jeunes réfugiés kurdes irakiens venus de la "jungle" et tissé avec eux des liens quasi-familiaux.

    Monter dans un bus à destination de l'inconnu

    Tous les midis, au volant de sa Twingo blanche, Simone va chercher Abbas, bénévole quelques heures par jour au Secours populaire de Guéret. Originaire de Kirkouk, au Kurdistan irakien, le jeune garçon (sic) ne s'épanche pas mais on devine les quatre mois d'enfer qu'il a vécus dans la jungle de Calais, avant d'arriver un peu par hasard en Creuse, avec trois compagnons de galère. 

     

     

     

    Quand il est monté dans le bus, il ne savait pas du tout où il allait. "Je n'ai eu aucune info", se souvient le jeune homme. Le première rencontre avec ces quatre jeunes, Simone s'en souvient avec émotion. "J'ai eu l'impression qu'ils étaient frigorifiés mais souriants quand même." Elle éclate de rire : "Ce n'est pas tous les jours qu'on rencontre quatre garçons comme ça !"

    Une colocation riche pour tous les deux

    Au début, Simone leur a donné quelques cours de français, avant d'accueillir Abbas chez elle, dans sa jolie petite maison en pierre, en bordure de village. "J'habite avec Simone maintenant. J'ai vraiment trouvé beaucoup d'humanité en Creuse parce que j'ai beaucoup d'amis. Simone, c'est comme ma grand-mère", explique Abbas dans un français hésitant. Cette colocation leur a redonné le sourire à tous les deux. Simone venait de perdre son mari.

    J'avais besoin de donner. Ça a été très riche dès le départ.

    Simone, habitante de Crozant qui héberge Abbas, un Kurde irakien

    à franceinfo

    Pourtant, il n'est pas toujours facile d'accueillir des migrants en Creuse, raconte Simone. "Tout le monde n'est pas d'accord avec moi mais je suis persuadée que ce que je fais, c'est bien." En accueillant Abbas et en aidant ses trois compatriotes, Simone est en accord avec ses convictions. "Le matin, quand je me lève, je peux me regarder dans la glace. Je suis en accord avec moi-même."

    Derrière le quotidien, la peur de l'expulsion

    Si l'un des quatre garçons a pu obtenir l'asile, les autres attendent toujours. Abbas vient d'essuyer son second refus. Son dernier recours a été déposé à la préfecture de la Creuse. Il aura la réponse d'ici un mois et il angoisse : "C'est la dernière possibilité. S'ils disent non, pour moi, ce sera très difficile parce que je vais devoir partir." Simone est tout aussi désemparée à l'idée qu'Abbas puisse être expulsé. "Il ne souhaite qu'une chose, c'est travailler. Peu importe le travail qu'on lui proposera." Elle ne doute pas de la détermination du jeune Kurde.

    Il est prêt à rouler des brouettes s'il le faut. Il veut rester avec nous !

  • JOURNAL TVL 23 octobre

  • Nouvelle publicité d'IKEA

    20 octobre 2017

    (merci à Dirk)