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  • L’apostrophe de Minute à Danièle Obono : « Mais qu’on la fasse taire, bordel ! » Partager sur Facebook Tweeter

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    11/10/2017 – FRANCE (NOVOpress) : Ulcéré par les saillies indécentes et idiotes de Danièle Obomo, l’hebdomadaire Minute n’y va pas par quatre chemin en titrant cette semaine sur une photo de « l’afri-féministe » de Mélenchon : « Mais qu’on la fasse taire, bordel ! », ce dernier mot étant accompagné, en petits caractères, de cette précision malicieuse : « ©Macron ». Extraits de l’un des articles consacrés, dans ce numéro, à la porte-parole de la France insoumise.

    Minute Danièle ObonoOn peut, comme Jacques Prévert, dire « tu » à tous ceux qu’on aime. A « Minute », on tutoierait plutôt ceux qu’on n’aime pas, mais alors pas du tout. Parce que « ta gueule ! », ça résonne un peu mieux que « je vous demande de vous arrêter ». Danièle Obono, député de Paris et porte-parole nationale de la France insoumise, les enfile, les collectionne, les arbore, fière d’elle, fière de son « afro-féminisme » agrémenté d’« islamo-gauchisme », en boucle sur les télés. Alors oui, ferme-la, plutôt que de débiter connerie sur connerie.

    Oui, c’est con de refuser de dire « Vive la France », surtout quand on est un élu, surtout qu’on a été gentiment accueilli et tout aussi gentiment naturalisé français, et qu’on se retrouve député parce que dans ce pays raciste qu’est la France, on peut être gabonais et tout de même député français.

    Oui, c’est con, très con, ce parallèle « entre toutes les religions » qui toutes auraient « une idéologie discriminante », la preuve par les djihadistes et par… la Manif pour tous ! Lis ci-contre, ça t’instruira, toi qu’on aurait presque envie de plaindre d’avoir été élevée dans un milieu si religieux puisque, à t’en croire, ton papa croyait (il était protestant, le bougre !), ta maman croyait (elle était catholique), une de tes sœurs avait un papa (un autre, c’est compliqué chez vous) qui croyait aussi, mais lui en Allah, et « tout ce petit monde était aussi animiste » as-tu confié à « Libération ».

    Oui, c’est con de dire qu’un chauffeur de bus qui ne veut pas prendre le volant après une femme est un « sexiste pas forcément radicalisé ». Mais non, Obono, ce n’est pas un sexiste. Un sexiste, c’est juste les femmes son problème. Ton chauffeur de bus, son problème, c’est tout ce qui n’est pas islamiste. Tu comprends la différence ou il faut te le dire en anglais ?

    Oui, en anglais, parce que ton idéologie, ce n’est pas la France, et, comme dirait Manuel Valls, ce n’est pas la république non plus. Ton idéologie, c’est l’Amérique, et pas celle des cow-boys, celle de la guerre des races, celle des dingos du KKK et des tarés de la Nation of Islam. Et ne me dis pas, Obono, que tu ne vois pas ce que je veux dire. Ton blog, « camaradobono », devrait être sous-titré. La moitié des articles est en anglais. Et que je te cite Malcom X, tu sais le gars sympa qui voulait qu’on bute des Blancs, et que je te cause des Black machin, et que je discute pour savoir si les femmes africaines peuvent être représentées par une femme à la peau noire claire,

    Non mais tu crois vraiment que tu as été élue pour ça ? Au passage, je te remercie. Si, il faut. Tu as éliminé au premier tour un sacré sectaire, Ian Brossat du parti communiste. Tu étais sa suppléante à l’élection précédente et là, tu lui as piqué la vedette. Un petit remplacement en quelque sorte… Bien joué, Obono !

    Danièle Obono MélenchonTu es fière d’être noire ? Pas de problème. Manquerait plus que tu en aies honte. Mais là, c’est de l’obsession. Tu t’es fait tatouer une carte d’Afrique sur la peau. Après tout, pourquoi pas. A l’origine, tu es gabonaise. Tu n’es française que depuis 2011. Les racines, c’est important, je comprends. Mais là, tu es en France. Tu as été élue par des Français et donc pas que des Africains même s’il y en a de plus en plus qui votent, comme cela n’a pas dû t’échapper, et certainement pas des Américains.

    Tu dis que tu n’as jamais adhéré aux Indigènes de la République. Tu sais, ceux qui veulent lutter contre une « Europe impériale blanche » (ah les mythos !). Pourquoi l’aurais-tu fait ? Tu ne serais jamais devenue député. Comme ça, tu dépasses ton papa qui n’a jamais réussi à faire mieux que 0,5 % à l’élection présidentielle gabonaise en 1998. Comme quoi, la France « blanche et impérialiste », elle vote plus Obono que le Gabon.

    A propos de ton papa, il a été un cadre important de la banque Paribas-Gabon. Un point commun entre toi et la plupart des gauchistes blancs. Tu es une fifille à papa de la bonne bourgeoisie. Quand il t’a envoyée en France faire tes études à Montpellier – c’était paschezles curés au moins ? –, tu n’as pas eu besoin d’entrer clandestinement. Tu es peut-être venue avec Air Gabon où maman travaillait.

    Tout ça pour dire quoi ? Que tu n’es pas une fille de la banlieue mais bien un pur produit de la mondialisation qui réussit. Tu fantasmes sur Malcolm X, mais la société qui t’a produit politiquement, c’est Arnold et Willy.

    Tu vois, Obono, pour nous le problème, ce n’est pas que tu sois noire, que tu sois une femme, que tu sois cultivée comme un champ de patates pour disette intellectuelle. Le problème est que, au fond, ce que tu dis est bête, que c’est une insulte à la classe ouvrière que Jean-Luc, ton patron, prétend défendre.

    Quand tu dis […]

    Extrait d’un article de Philippe Martin à lire en intégralité
    dans Minute n° 2842 daté du 11 octobre 2017

  • Accepter la Terreur Islamique comme une Nouvelle Normalité ?

    • « L'utilisation de la terreur tirée de cette doctrine [Targhib wal tarhib, « appâter et terroriser »] est une obligation légitimée par la charia ». — Salman Al Awda, cheikh musulman, prédicateur de l'émission « La Charia et la vie » sur Al Jazeera.

    • Le tarhib ou « action de terroriser » préconise des châtiments exemplaires contre ceux qui ne se plient pas aux exigences de l'islam. C'est pourquoi des pays comme l'Arabie saoudite et l'Iran, ou des entités comme l'Etat islamique (Isis), font de chaque décapitation, flagellation ou amputation une cérémonie publique.

    • Dans les territoires conquis, le djihad islamique a toujours misé sur le fait que les populations finissent par céder, abandonner et accepter le terrorisme comme un élément de leur cadre de vie, comme une catastrophe naturelle, comme un tremblement de terre ou une inondation.

    Après les attentats terroristes, les médias occidentaux et nombre de politiciens répètent que nous devons accepter les attaques terroristes comme une « nouvelle normalité ».

    Pour les citoyens occidentaux, cette phrase est dangereuse.

    La doctrine islamique du djihad, de la conquête et de la dawah (propagande islamique, prosélytisme) repose sur la tromperie et la terreur. Targhib wal tarhib est une doctrine islamique qui signifie « appâter (leurrer) et terroriser » et qui se présente comme un outil pour la da'wah, soit la conquête des nations et la soumission de leurs populations à la charia islamique. Le but est de manipuler les parties instinctives du cerveau en exerçant des pressions contraires qui alternent sans transition plaisir et douleur - récompense, puis châtiment – afin d'aboutir à un lavage de cerveau qui amène au respect de l'islam.

    Les musulmans ordinaires ignorent généralement tout de cette doctrine, mais plusieurs livres islamiques ont théorisé le sujet. Des prédicateurs en vue tels que Salman Al Awda en ont même développé les grands thèmes sur Al Jazeera TV. A l'occasion d'une émission appelée « La Sharia et la vie », Al Awda a ainsi recommandé l'utilisation d'extrêmes « pour amplifier successivement... la récompense et la punition, le moral et le physique... ». « L'usage de la terreur au moyen de cette doctrine », a-t-il expliqué, « est une obligation légitimée par la charia ».

    Les Occidentaux croient que les djihadistes pratiquent la terreur sur les seuls non-musulmans, et c'est généralement le cas. Mais la terreur est aussi le moyen de faire régner l'ordre au sein de l'islam. En vertu de la loi islamique, les djihadistes qui se soustraient au djihad doivent être tués. La terreur maintient les djihadistes sur la voie du djihad, et contraint les autres à la charia.

    Un manuel de recrutement en ligne de djihadistes contient cette description :

    « Le Dawa individuel se produit en suscitant chez les recrues des réponses émotionnelles (ainsi que par la construction d'une relation personnelle). L'approche d'Abu 'Amr illustre un concept de recrutement appelé al-targhib wa'l-tarhib ; soit la technique de la carotte et du bâton pour exalter les mérites de l'action d'un côté, tout en rendant effrayant le coût de l'inaction. Le concept a été introduit dans le Coran et fait l'objet de savantes discussions entre docteurs de la foi islamique pour définir la meilleure façon d'amener les gens à l'islam. Plusieurs livres ont été publié sous le même titre al-targhib wa'l-tarhib. Abu 'Amr préconise ainsi que les recruteurs appliquent le concept tout au long du processus de recrutement, mais il estime que les mérites de l'action doivent être mis en valeur au début du recrutement ; les menaces quant à un éventuel relâchement ne devant apparaître que plus tard ».

    Ainsi, les recruteurs de djihadistes placent d'abord l'« appât » et font miroiter les « bonnes choses », - la gloire future, la suprématie et l'accomplissement de désirs lubriques, comme les vierges au Paradis -. C'est ensuite qu'ils actionneront les leviers de la « terreur » et de la honte contre toute recrue qui renâclerait au djihad.

    Le tarhib ou « action de terroriser » préconise aussi des châtiments exemplaires contre ceux qui ne se plient pas aux exigences de l'islam. C'est ainsi que des pays comme l'Arabie saoudite et l'Iran, et des entités type l'Etat islamique (ISIS) ont fait des décapitations, des flagellations et des amputations un spectacle public. Des pays comme l'Egypte, la Jordanie et la Turquie sont plus discrets, mais ils tolèrent et soutiennent les meurtres d'honneur, l'assassinat des apostats, les châtiments corporels contre les femmes et les enfants, ainsi que la torture et le meurtre dans leurs prisons. La doctrine de targhib et de tarhib est vivante et bien vivante, non seulement dans les théocraties islamiques, mais aussi dans les pays musulmans dits « modérés ».

    Depuis sa création et jusqu'à aujourd'hui, l'Islam a utilisé l'alternance « plaisir - douleur » et les châtiments publics cruels et spectaculaires comme techniques de lavage de cerveau. Alors que la Bible – et la tradition judéo-chrétienne occidentale – se veut en harmonie avec la nature humaine, et flatte les bons sentiments, l'Islam lui fait le contraire : il manipule les instincts de préservation et de survie, pour laver le cerveau de la population et l'amener à la plus servile obéissance.

    Quand je vivais en Egypte, j'ignorais tout – à l'instar de la majorité des musulmans - de cette doctrine islamique fondamentale. Mais elle a impacté ma vie – car elle imprègne tous les aspects de la culture islamique : la prédication islamique, les relations familiales islamiques, le fonctionnement des gouvernements islamiques et toutes les relations d'autorité en terre d'islam en général.

    La doctrine islamique basée sur « le leurre et la terreur » a engendré une culture des extrêmes toxiques : la méfiance et la peur, la fierté et la honte, la permission de mentir (« taqiyya ») et le refus d'endosser la responsabilité de ses actes.

    Ayant vécu la plus grande partie de ma vie sous un régime islamique, je suis au regret de dire que ceux que l'Ouest nomme « musulmans modérés » ne sont que des citoyens qui ont appris à vivre sous la terreur et pour qui la terreur est une habitude de vie. Pendant des siècles, beaucoup ont excusé la terreur, condamné les victimes de la terreur, sont restés muets ou équivoques et se sont même compromis avec les terroristes pour survivre. La culture islamique ou je vivais regardait ailleurs quand les femmes étaient battues. Quand les filles étaient assassinées au nom de l'honneur, la question était « qu'est-ce qu'elle a fait ? », et non « comment cela est-il possible ? » Lorsque les chrétiens ont été tués et persécutés par des musulmans, nombreux ont été ceux qui ont imputé aux chrétiens la raison de leur propre persécution. La réponse islamique normale à la terreur est devenue : « ce ne sont pas mes affaires ».

    Aujourd'hui, la doctrine islamique de Targhib wal Tarhib, s'est déplacée à l'Ouest. L'humanisme occidental, le respect des droits de l'homme, la solidarité avec le prochain ainsi que les valeurs de liberté et de paix doivent être remplacées par d'autres « valeurs » comme la servitude, la terreur, la tyrannie et la peur.

    Dans les territoires conquis, le djihad islamique a toujours misé sur le fait que les populations finiront par céder, abandonner et accepter le terrorisme comme un élément de leur cadre de vie, tout comme ils acceptent une catastrophe naturelle, un tremblement de terre ou une inondation.

    Il n'a pas fallu longtemps pour que la doctrine islamique du Targhib wal Tarhib agisse sur la psyché des dirigeants et des médias occidentaux, qui expliquent aujourd'hui qu'il faut vivre avec le terrorisme et s'y habituer comme à une « nouvelle normalité ». L'islam compte transformer la palnète en musulmans « modérés » qui auront pris l'habitude de regarder ailleurs quand la terreur frappe la personne située juste à côté de vous.

    GATESTONE Institute

  • Tunisie: un Franco-Algérien en prison pour "attentat à la pudeur"

    http://www.francetvinfo.fr/monde/tunisie/tunisie-en-prison-pour-un-baiser_2411033.html#xtor=EPR-502-[newslettervideo]-20171011-[video1]

  • Le retour de Zemmour et Naulleau - 10/10/17

    A écouter jusqu'au bout

    (merci à Dirk)

  • Remise en liberté du terroriste de Marseille: le préfet du Rhône limogé après des dysfonctionnements

     

    -Remise en liberté du terroriste de Marseille: le préfet du Rhône limogé après des dysfonctionnements© THOMAS SAMSON 

    Gérard Collomb
     

    Gérard Collomb avait promis des «sanctions» : le préfet du Rhône est débarqué après qu'un rapport a souligné des «dysfonctionnements» ayant conduit à la remise en liberté du tueur de Marseille à la veille de l'attaque, revendiquée par Daesh.

    Un rapport sur les circonstances ayant conduit à la remise en liberté de l'auteur de l'attentat du 1er octobre à Marseille, a été publié le 10 octobre. Le préfet du Rhône a été limogé à la suite de sa publication.

    Ahmed Hanachi, un Tunisien de 29 ans, a tué au couteau deux jeunes femmes à la gare Saint-Charles de Marseille, avant d'être abattu. Interpellé deux jours avant pour vol dans un centre commercial de Lyon, l'intéressé avait été remis en liberté le lendemain, alors qu'il était en situation irrégulière.

    Face à la polémique soulevée après cette attaque revendiquée par le groupe djihadiste Etat islamique (EI), le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb avait demandé un rapport à l'Inspection générale de l'administration (IGA), en plein débat sur le nouveau projet de loi antiterroriste.

    Le rapport est sévère. Il met en exergue des «dysfonctionnements graves du dispositif d'éloignement» des étrangers en situation irrégulière dans la préfecture du Rhône.

    En conséquence, le départ du préfet, Henri-Michel Comet, et celui de son secrétaire général, seront actés «dès demain [11 octobre]» en conseil des ministres, selon le ministre de l'Intérieur.

    L'enquête administrative ne pointe certes pas de fautes individuelles dans la gestion du cas d'Ahmed Hanachi et lève les ambiguïtés sur le nombre de places disponibles au Centre de rétention administrative (CRA) de Lyon-Saint-Exupéry le 30 septembre.

    Mais il relève des «erreurs de jugement» qui «s'expliquent au moins en partie par la manière défaillante dont la permanence de l'éloignement [des étrangers en situation irrégulière] et, pour partie, le suivi de la chaîne de l'éloignement, ont été organisés, responsabilité qui relève clairement du corps préfectoral».

    Ces dysfonctionnements ne sont pas limités «à la seule journée du 30 septembre 2017», selon l'IGA, qui formule des recommandations largement reprises par le ministre. 

    Gérard Collomb a en effet annoncé une série de mesures destinées à réformer la gestion de l'éloignement dans la préfecture du Rhône et partout en France, avec 200 places supplémentaires dans les CRA et une volonté d'utiliser en priorité les places disponibles dans ces centres pour les «étrangers en situation irrégulière qui présentent une menace pour l'ordre public».

    En outre, «pour faciliter l'identification des personnes interpellées, un système biométrique relié au fichier de gestion des dossiers des étrangers (AGDREF) sera déployé dans les prochains mois.

  • Le président de la Catalogne signe une déclaration d'indépendance, le flou demeure

     

    © JOSEP LAGO 

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    Carles Puigdemont signe une déclaration d'indépendance de la Catalogne
     

    Après un discours ménageant Madrid et les indépendantistes, Carles Puigdemont a signé, avec d'autres hommes politiques de la région, un document attestant de l'indépendance de la Catalogne. Sa valeur juridique reste pourtant floue.

    Le 10 octobre, après le discours de Carles Puigdemont devant le Parlement catalan, le président de la région et les députés indépendantistes ont signé un document attestant de l'indépendance de la région vis-à-vis de l'Espagne, dont la valeur légale est floue. 

    «La Catalogne restaure aujourd'hui [10 octobre] son indépendance totale» peut-on lire sur le document, baptisé «Déclaration des représentants de Catalogne», selon Reuters.

     

    Tous les députés indépendantistes signent la declaration d'indépendance un à un

    Acabem de signar la Declaració d'Independència, sense cap suspensió, tal i com hem demanat nosaltres 

     

    «Nous appelons tous les Etats et organisations internationales à reconnaître la République catalane comme un Etat indépendant et souverain. Nous appelons le gouvernement catalan à prendre toutes les mesures nécessaires pour rendre possible et pleinement effective cette déclaration d'indépendance», peut-on encore lire dans le texte.

    Si l'AFP, citant un porte-parole du gouvernement catalan, affirme que la déclaration a été suspendue, le parti indépendantiste de gauche Candidature d'unité populaire (CUP), a tweeté : «Nous avons signé la déclaration d'indépendance sans aucune suspension, comme nous l'avions demandé.»

    Un peu plus tôt, devant le Parlement de la région, Carles Puigdemont avait assuré que la Catalogne avait gagné son droit à l'indépendance, mais que les «effets» du référendum étaient suspendus afin de permettre des négociations avec Madrid.

    Le gouvernement espagnol, cité par l'AFP a estimé que le président catalan ne savait pas où il allait. Une réunion extraordinaire du Conseil des ministres doit d'ailleurs avoir lieu le 11 octobre pour évoquer la crise en Catalogne.

    Lire aussi : Carles Puigdemont réclame une Catalogne indépendante... mais suspend «les effets» du référendum

    RT

  • JOURNAL TVL 10/10/17

  • Importante mobilisation pour Daniel, mis en examen après avoir tué son cambrioleur

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    09/10/2017 – FRANCE (NOVOpress)
    Cette affaire va probablement relancer le débat sur la légitime défense. Daniel, le propriétaire d’une maison à Servian a ainsi tué, jeudi 5 octobre au soir, un cambrioleur qui s’en était pris à lui et sa famille.

    Il a été mis en examen pour meurtre et laissé libre sous contrôle judiciaire. Depuis samedi, la mobilisation en sa faveur s’intensifie sur les réseaux sociaux. Le hashtag #JeSoutiensDaniel remporte un grand succès tout comme la pétition qui a déjà dépassé les 90 000 signataires. Voici le lien : http://damocles.co/soutenons-daniel-servian/petition

    NdB: J'ai signé la pétition: signez-la vous aussi!

  • Gênes (Italie) : un clandestin Marocain dépouille un automobiliste et viole sa femme âgée de 24 ans -

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  • En avant pour un nouveau Front!

  • La peste ravage Madagascar : un dernier bilan fait état de 45 morts, l'OMS sur le pied de guerre

     

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    © Rija Solo 
    Bénévoles de la Croix rouge à Madagascar
     

    Depuis août dernier, la peste a contaminé près de 400 personnes à Madagascar et fait 45 victimes. Si l'OMS et la Croix-Rouge se démènent sur place pour empêcher toute épidémie, la tâche se révèle difficile et ravive les divisions politiques.

    Le ministère de la santé malgache a communiqué le 9 octobre un nouveau bilan de la propagation de la peste sur l'île. Depuis le 1er août, la maladie aura fait pas moins de 45 victimes. Au total, ce sont 387 individus qui ont été contaminés, comme le rapporte l'agence de presse réunionnaise imazpress.

    Pour empêcher le phénomène de prendre un caractère épidémique, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a annoncé le 6 octobre dernier qu'elle avait fourni 1,2 millions de doses d'antibiotiques à Madagascar. 250 000 doses supplémentaires doivent en outre être livrées dans les jours qui viennent. L'objectif affiché donne la mesure du risque : le gouvernement malgache et l'OMS entendent traiter 5 000 patients et protéger jusqu'à 100 000 personnes.

    Sur le terrain, la Croix-Rouge a déployé près de 1 000 volontaires pour soutenir les autorités sanitaires malgaches. Ces dernières ont déjà annoncé la fermeture de toutes les écoles du pays et de certaines universités jusqu'à nouvel ordre, afin d'éviter la propagation de la maladie. Dans un second temps, ce sont les visites en prison qui ont été interdites. Enfin, la compagnie aérienne Air Seychelles a annoncé la suspension de tous ses vols à destination de Madagascar à partir du 8 octobre.

    Des rites funéraires et une polémique politique

    Mais la tâche est parfois complexe, de nombreuses familles refusant de confier leurs morts aux services sanitaires, accroissant d'autant les risques de contagion. «C’est difficile : les rites funéraires sont très importants et les familles veulent garder leurs morts... Elles ont aussi peur de la stigmatisation, car la peste est considérée comme une maladie honteuse, signe d’une mauvaise propreté», relate un bénévole de la Croix-Rouge dans les colonnes du Monde.

    La capitale Antananarivo est particulièrement touchée. Avec 206 malades et 18 décès selon le dernier bilan publié. Début octobre, le gouvernement de Madagascar avait d'ailleurs accusé la municipalité d'être directement responsable de la propagation de la maladie, pointant du doigt la mauvaise gestion du ramassage des ordures.

    Ces accusations pourraient bien ne pas répondre à des seuls impératifs sanitaires : la maire de la capitale, Lalo Ravalomanana, n'est autre que l'épouse de l'ex-président, Marc Ravalomanana. Or, ce dernier a d'ores et déjà annoncé sa candidature à la présidentielle de 2018, contre Hery Rajaonarimampianina, le président actuel. Dès lors, les partisans des deux camps s'accusent mutuellement de ne pas être à la hauteur pour maîtriser la gestion de la crise en cours.

    La peste, après avoir fait des ravages en Europe pendant plusieurs siècles, a presque disparu du Vieux continent. Ce qui n'empêche pas l'OMS de la considérer comme une maladie réémergente dans le monde.

    L'Afrique concentre à elle seule 90% des cas répertoriés chaque année, parmi lesquels un grand nombre se trouvent à Madagascar. Plusieurs rapports notent que, si le nombre de contagions tend à diminuer, la mortalité augmente, notamment à cause de la dégradation du système de santé après la crise politique dont souffre le pays depuis quelques années.

    Lire aussi : Bill Gates met en garde contre une pandémie globale

    RT

  • Youssef et la Croix

    A regarder absolument!

  • Corbeil-Essones (91) : un « déséquilibré » attaque deux personnes au couteau à la gare dont l’une à la carotide

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    0h40

    Les faits se sont produits vers 23 heures. Le suspect, vraisemblablement un déséquilibré, a été interpellé.

    Un homme a attaqué deux personnes au couteau ce samedi soir, vers 23 heures, à la gare RER de Corbeille-Essonnes (Essonne). Les deux victimes ont été transportées à l’hôpital en urgence relative. L’une a été touchée à la carotide, tandis que l’autre souffre de blessures au dos et au thorax. Leurs jours ne seraient pas en danger.

    Le suspect, dont on ignore les motivations, a des antécédents psychiatriques. Il a été neutralisé par la police qui lui a tiré dans les jambes, avant d’être à son tour hospitalisé.

    Le Parisien

  • Des centaines de milliers d'opposants à l'indépendance de la Catalogne défilent à Barcelone

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    Des centaines de milliers d'Espagnols ont défilé dans les rues de Barcelone pour manifester leur hostilité à l'indépendance de la province, une semaine après le référendum d'autodétermination interdit qui a déclenché une grave crise politique.

    «Vive la Catalogne ! Vive l'Espagne !», scandait la foule de manifestants opposés à l'indépendance de la Catalogne, qui ont battu le pavé à Barcelone, le 8 octobre, en brandissant des drapeaux espagnols.

    Il s'agissait de la première grande manifestation anti-indépendantiste dans la capitale régionale depuis le début de la crise, avec pour mot d'ordre : «Ça suffit ! Retrouvons la sagesse !» Selon la police municipale, 350 000 Espagnols – venus de Catalogne et d'ailleurs – ont participé à la manifestation, de 930 à 950 000 selon les organisateurs.

    La démocratie espagnole est là pour rester et aucune conjuration indépendantiste ne la détruira

    «La démocratie espagnole est là pour rester et aucune conjuration indépendantiste ne la détruira», a lancé à la foule le prix Nobel de littérature Mario Vargas Llosa, de nationalités espagnole et péruvienne, qui participait à la mobilisation.

    Les manifestants, arborant aussi des drapeaux catalans ou européens, se voient comme la majorité silencieuse qui n'a pas eu voix au chapitre depuis que les autorités indépendantistes ont organisé le référendum du 1er octobre, interdit par la justice espagnole.

    «C'est très important pour nous de montrer que nous aussi, nous sommes nombreux. On n'entend que les autres», expliquait par exemple à l'AFP, vêtu du maillot de l'équipe de football de l'Espagne et des drapeaux espagnol et catalan, un manifestant de 37 ans, venu en voiture de Tarragone, à 100 kilomètres au sud-ouest.

    Lire aussi : L'Avis continu, épisode 3 : la Catalogne à la croisée des chemins (VIDEO)

    Vers une déclaration unilatérale d'indépendance le 10 octobre ?

    Estimant avoir remporté le référendum avec 90% de «oui» à l'indépendance, les séparatistes envisagent de faire sécession dans les jours qui viennent, peut-être lors de la séance du parlement régional le 10 octobre, durant laquelle le président catalan Carles Puigdemont doit intervenir.

    Pour l'heure, l'impasse est totale entre le chef du gouvernement espagnol, le conservateur Mariano Rajoy, et les autorités séparatistes. Carles Puigdemont réclame une «médiation internationale». Mais Mariano Rajoy n'envisage pas de dialogue tant que les séparatistes n'auront pas retiré leur menace de rupture.

    RT

     

  • Béthune : le député FN Ludovic Pajot affirme avoir été agressé par des «antifas»

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    >Faits divers|Le Parisien|08 octobre 2017, 19h23 | MAJ : 08 octobre 2017, 19h25|3

    A 23 ans, Ludovic Pajot est le benjamin de l'Assemblée nationale (archives).

    LP/ Guillaume Georges
     
     

    Le député de la 10e circonscription du Pas-de-Calais dit avoir été tabassé à la sortie d'un bar, samedi. 

    Il a déjà reçu le soutien de plusieurs cadres frontistes, dont Marine Le Pen. Le député Ludovic Pajot (FN) dénonce ce dimanche une agression dont il aurait été victime la veille au soir à Béthune (Pas-de-Calais), dénonçant l'agissement d'individus «se revendiquant de l'extrême-gauche antifa» (antifasciste, ndlr). 


    «Dans le cadre d’une sortie dans un bar de Béthune, j’ai soudainement été pris à partie par un groupe d’individus (...). Après un premier échange aux termes duquel j’ai été insulté de manière répétée, plusieurs individus de ce groupe se sont jetés sur moi et m’ont asséné plusieurs coups, dont certains au visage. J'ai alors pu m'extraire en me mettant à l'abri dans un autre établissement», relate le benjamin de l'Assemblée nationale (23 ans) sur sa page Facebook. L'élu affirme avoir des «traumatismes» à la mâchoire.



     

     


    BFM TV, qui a joint le député, assure que celui-ci a écopé d'une ITT (interruption temporaire de travail) de 5 jours, et que l'agression était ciblée, citant une source «proche de l'enquête». «La violence de ces militants, ou plutôt de ces délinquants ultra-violents toujours prêts à en découdre, est connue de tous, soutient Ludovic Pajot sur sa page Facebook. J’ai bien évidemment déposé plainte pour permettre à la police et à la justice de se saisir de cette affaire et de faire condamner les auteurs de ces violences.»

     

    Soutien à notre député @ludovicpajot, agressé hier à par des "antifa". Il est temps de dissoudre ces milices d’extrême gauche. MLP

     


    Selon BFM TV, la police aurait interpellé l'un des suspects dans la nuit de samedi à dimanche. La chaîne d'information avance que cet homme de 28 ans serait défavorablement connu des services de police et qu'il était toujours en garde à vue dimanche en fin de journée, reconnaissant uniquement les injures et refusant de révéler l’identité de ses complices.

      leparisien.fr

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                               

  • Un cambrioleur abattu par un propriétaire dans l'Hérault en légitime défense

     

    >Faits divers|Z.L.|06 octobre 2017, 10h09 | MAJ : 06 octobre 2017, 14h49|44

    La famille du tireur aurait été menacée.  

    LP/Olivier Boitet
     
     

    Le tireur est en garde à vue depuis jeudi soir. 

    Le propriétaire d'un domaine de Servian, au nord-est de Béziers (Hérault) a tué jeudi soir un cambrioleur qui s'était introduit chez lui. 

    Vers 21 heures, deux cambrioleurs armés se sont introduits dans le domaine Saint-Adrien. Le propriétaire s'y trouvait avec son épouse, handicapée suite à un accident. Ils auraient été menacés et frappés. 



    Lorsqu'un des malfaiteurs est monté à l'étage pour y chercher un coffre fort, le propriétaire des lieux s'est alors saisi d'une arme et l'a mortellement blessé. Il s'agissait du fusil du propriétaire qu'il gardait toujours chargé, selon ses dires, pour chasser les sangliers qui passaient sur son domaine.


    Le deuxième cambrioleur est en fuite. Le propriétaire du domaine est en garde à vue, a annoncé Angélique Depétris, substitut du procureur de Béziers. L'enquête a été confiée à la section de recherches de la gendarmerie pour déterminer s'il était en situation de légitime défense. 

    Le Parisien

  • Ester Gallego (SOM) : « la Catalogne souffre d’une double oppression : celle de l’Espagne et celle de l’immigration-invasion »

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    08/10/2017 – 07h50 Barcelone (Breizh-Info.com) – La veille du référendum d’indépendance de la Catalogne, nous sommes allés à Vic, une ville très indépendantiste située au nord de Barcelone, où nous avons entre autres rencontré Ester Gallego, qui nous a expliqué les idées défendues par son parti – le seul à être identitaire et indépendantiste, opposé à l’immigration massive. 

    Entre-temps, les résultats du référendum ont été officiellement proclamés, ce qui ouvre le compte à rebours : d’après la loi promulguée début septembre en Catalogne, dans 48 h l’indépendance pourra être proclamée. Officiellement, le oui a fait 90.18% des suffrages (2.044.038 voix), le non 7.18%  (177.547 voix) avec une participation de 43% (2.286.217 votants sur  5.313.564 électeurs).

    Le oui est le plus prononcé dans les vigueries [divisions reconnues par les indépendantistes catalans, différentes des provinces espagnoles sauf pour celle de Gérone] des Hautes-Pyrénées et du Val d’Aran, de Gérone justement et de Catalogne centrale (où se trouve Vic).

    Le non est le plus prononcé dans la viguerie de Barcelone (9.83%) où se trouve l’agglomération et une grande partie de la côte touristique. La participation est la plus importante dans les comarques [cantons] du Priorat (85.42%), Moianès (74%), Bergueda (73.6%) Conca de Barbera (73.5%),  Solsonès (70%), Pallars Sobira (70%), Osona (69%), Ripoll (69%)… A Barcelone même – où se trouvent le plus de gens qui le sont pas catalans d’origine – la participation n’est que de 36%.

    La situation continue à se tendre doucement : la première banque catalane, la Caixa, opposée à l’indépendance, a annoncé transférer son siège à Valence, tandis que l’entreprise Mango a assuré qu’elle reste ; Abertis (BTP) et Cellnex (Telecoms) réfléchissent à quitter la Catalogne. Près de 150 agents du groupe d’action rapide de la Guardia Civil, l’équivalent espagnol du GIGN, se sont déployés à l’aéroportpour empêcher la prise de contrôle des infrastructures par les indépendantistes.

    Les événements en Catalogne ont aussi mis les espagnols dans les rues : deux  énormes manifestations a eu lieu à Madrid ce samedi, pour réclamer à la fois l’unité de l’Espagne et le dialogue avec les Catalans. Suite à l’initiative citoyenne « Parlem ? Hablamos ? » des  milliers de manifestants pour le dialogue, en chemises blanches, se sont aussi rassemblés à Barcelone, Saragosse ou encore Valence avec des bannières blanches.

    Breizh Info : Ester Gallego, pouvez-vous vous présenter ?

    Ester Gallego : Je suis entrée en politique lorsque j’avais 14 ans, à l’époque je faisais partie des jeunesses de l’ERC [Esquerra Republicana de Catalunya, créé en 1931, au centre-gauche]. Vers 1982 le parti a viré vers l’extrême-gauche et j’en suis partie, avec d’autres militants qui regrettaient le virage pro-immigration et gauchiste de l’ERC.

    Bien des années après j’ai rejoint la Plateforme pour la Catalogne [PxC] de Josep Anglade, lui aussi natif de Vic, qui était anti-immigration. Cependant il était opposé à l’indépendance catalane et assez outrancier [il a été condamné en 2007, 2009 et 2017 pour délits de droit commun ; la dernière condamnation lui a valu deux ans inéligibilité], donc j’ai quitté la PxC pour créer SOM Catalans en 2014.

    Breizh Info : Quelles sont les idées que défend SOM Catalans ?

    Ester Gallego : Nous sommes nationalistes catalans. Nous voulons défendre l’indépendance surtout, mais aussi les catalans de souche. Nous dénonçons l’invasion d’immigrants alors que les gens d’ici s’en vont à cause de la Crise. Toutes les aides sont pour les immigrants, y compris quand ils sont clandestins. De plus ils font plus d’enfants que les catalans et leur nombre augmente dans la société.

    Breizh Info : dans les rues de Barcelone, il y a peu de migrants qui ne font rien de leur journée comme on peut le voir dans les villes françaises. Ils sont employés dans la restauration, tiennent eux-mêmes des restaurants ou des épiceries, bref, ils bossent. Une intégration réussie ?

    Ester Gallego : Les pouvoirs publics et les collectivités territoriales leur facilitent l’obtention de toutes les licences et autorisations. Pendant ce temps, les commerces catalans stagnent ou ferment. C’est la même chose dans les écoles où ils imposent leur halal. Tout change pour leur plaire, nos traditions, notre culture ne comptent plus et sont mis aux oubliettes.

    Breizh Info : Quelle est votre position au sujet de l’indépendance catalane ?

    Ester Gallego : Nous sommes pour. C’est le peuple qui la demande dans son ensemble. Il n’y a rien en commun entre l’Espagne et la Catalogne, ni la langue, ni la culture, ni l’identité. Rester ensemble n’a pas de sens.

    Breizh Info : Quel est votre avis sur la position de Madrid ?

    Ester Gallego : La Catalogne est pour Madrid une colonie, traitée comme telle. Madrid n’en a rien à faire de la volonté des Catalans, de l’identité nationale concurrente des Catalans. Or la volonté des Catalans de redevenir indépendants dure depuis des siècles [révoltes de la fin du XVIIe, du début du XVIIIe, du XIXe, République proclamée en 1934…] La Catalogne n’a jamais voulu se soumettre à l’Espagne, jamais l’Espagne n’a demandé aux Catalans s’ils voulaient rester en Espagne et elle les spolie économiquement.

    Breizh Info : Quant au Roussillon, cédé par l’Espagne à la France en violation des constitutions catalanes en 1659?

    Ester Gallego : Nous sommes pour que Perpignan et le Roussillon reviennent à la Catalogne, ainsi que l’ensemble des Països Catalans, avec Valence et les Baléares. Mais pas l’ensemble des territoires qui relevaient de la Couronne d’Aragon (Aragon, Italie du sud, Sicile, seigneurie de Montpellier…) au Moyen-Age.

    Breizh Info : Si Madrid réussissait à empêcher le vote ou l’indépendance ?

    Ester Gallego : C’est le moment de voir si nos politiciens catalans sont dignes de confiance. S’ils n’arrivent pas à faire le référendum, il y aura une grande crise politique et le peuple les récusera.

    Breizh Info ; Est-ce que SOM Catalans arrive à se faire une place dans le paysage politique catalan, bien que le parti n’a pas d’élu, contrairement à la CUP de l’autre côté de l’échiquier politique ?

    Ester Gallego : Au début, tous les partis nous avaient boycotté et menacé car nous sommes identitaires et opposés à l’immigration. Maintenant, on commence à faire partie du paysage mais on a toujours des problèmes à cause de notre position sur l’immigration qu’on n’est pas près d’abandonner.

    Breizh Info : Cet été la Catalogne a été touchée par des attentats à Barcelone et Cambrils ; l’enquête a mis en cause une cellule formée par des migrants de la seconde génération, marocains ou d’origine marocaine, qui vivaient presque tous à Ripoll, une petite ville située dans les montagnes. Quel est votre avis ?

    Ester Gallego : Ripoll est une petite ville qui fut un ancien centre de l’industrie textile, plutôt en déclin. Les musulmans y étaient minoritaires mais leur nombre a fortement augmenté ces dernières années. Ils ne travaillent pas pour la plupart et vivent des aides. Le peuple, lui, est scandalisé mais le gouvernement catalan laisse faire et victimise même la minorité musulmane. La vraie victime, c’est le peuple catalan.

    Breizh Info : Selon vous, le peuple Catalan a deux ennemis et doit se battre sur deux fronts ?

    Ester Gallego : La Catalogne souffre d’une double oppression : celle de l’Espagne et celle de l’immigration-invasion. A long terme, c’est l’asphyxie du peuple catalan, dont les cultures, la langue, la tradition sont piétinées, y compris par le gouvernement catalan complice de l’immigration.

    Propos recueillis par Louis-Benoît Greffe

    Crédit photo : DR
    [cc] Breizh-info.com, 2017, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

    (merci à Dirk)

  • PARIS D'ANTAN

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  • Crèche de Noël : interdite en Rhône-Alpes, autorisée en Vendée

     

    Deux décisions de justice rendues ce vendredi ont, pour l’une, autorisé le département de la Vendée à installer temporairement une crèche de Noël dans ses locaux et, pour l’autre, retoqué la décision de la région Auvergne-Rhône-Alpes d’installer une crèche dans ses locaux en décembre 2016. Explications.

    [...]

    Les deux décisions s’appuient sur la jurisprudence du Conseil d’État et la notion d’« usage local » qui a été retenu pour la Vendée, mais qui n’existait pas, selon la justice, en Auvergne.

     

    Une crèche dans les locaux de l’Hôtel de région

    Le tribunal administratif de Lyon a indiqué vendredi annuler la décision de Laurent Wauquiez, président LR du conseil régional Auvergne-Rhône-Alpes, d’installer une crèche de Noël dans les locaux de l’Hôtel de région en décembre 2016.

    L’installation d’une crèche de Noël « par une personne publique dans un emplacement public (...) méconnaît le principe de neutralité en l’absence de caractère culturel, artistique ou festif », souligne dans un communiqué le tribunal, saisi par la Ligue française pour la défense des droits de l’homme et du citoyen et la Fédération de la Libre pensée et d’action sociale du Rhône.

    [...]

    À Nantes, la cour administrative d’appel a estimé que la crèche installée chaque année dans le hall du Conseil général résultait d’un « usage local » qui n’était pas contraire au principe de laïcité, selon des sources judiciaires.

     

    « Usage local » et « tradition festive »

    Appliquant les critères du Conseil d’État, les juges nantais ont estimé « que l’installation temporaire d’une crèche de Noël dans l’hôtel du département de la Vendée résulte, compte tenu des caractéristiques de la crèche et de ses conditions d’utilisation, d’un usage culturel local et d’une tradition festive de plus de 20 ans constituant des circonstances particulières », écrit la cour dans un communiqué.

    La cour de Nantes a donc débouté la Fédération de la Libre pensée de Vendée, qui avait saisi la justice administrative en 2012, après que son président eut constaté la présence d’une crèche en décembre 2010 lors d’une visite aux archives du siège du département.

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    L’idéologie franc-maçonne a pour but la destruction de la France éternelle, 
    lire chez Kontre Kulture