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  • Defend Europe : le ministère de la justice sort une circulaire pour empêcher les identitaires de surveiller la frontière

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    10h22

    Les militants de Génération identitaire (GI) peuvent-ils être poursuivis pour leur action de “surveillance” le long de la frontière ? Oui, à en croire une circulaire datée du 4 mai et envoyée à l’ensemble des tribunaux par le directeur des affaires criminelles et des grâces du ministère de la Justice, Rémy Heitz. Une dépêche dont nos confrères de Mediapart ont pu avoir connaissance et dont ils dévoilent le contenu dans un article publié ce mercredi 9 mai.

    Selon nos informations, ce document émanerait d’une demande au ministère de la Justice de plusieurs procureurs, dont celui de Gap, pour que soit précisée la loi, quant à la gestion des militants identitaires d’une part, et des soutiens aux migrants d’autre part.

     

    Dans cette circulaire, Rémy Heitz rappelle aux magistrats l’existence de deux infractions « visant les comportements hostiles à la circulation des migrants ». Tout d’abord, « l’immixtion dans une fonction publique », rapporte le journal en ligne. « Le contrôle du respect des frontières, par la surveillance visuelle ou l’édification d’obstacles, par des personnes hostiles à la circulation des migrants (notamment des militants se revendiquant de la mouvance identitaire) est susceptible de constituer une immixtion intentionnelle dans les fonctions des forces de l’ordre. La reconduite à la frontière des migrants par ces mêmes personnes, y compris sans violence, est également susceptible de caractériser le délit prévu par l’article 433-12 du Code pénal », affirme le directeur des affaires criminelles et des grâces.

    Le 27 avril dernier, le procureur de la République de Gap avait ouvert, dans la matinée, une enquête préliminaire après que des identitaires se sont vantés d’avoir conduit des migrants aux forces de l’ordre dans le secteur du col de Montgenèvre. Raphaël Balland avait classé l’affaire sans suite le soir même. « Je m’étais inquiété de possibles menaces ou pressions à l’encontre des migrants, rappelle le procureur gapençais, joint par téléphone hier. Aucunes infractions n’avaient été relevées, aucune plainte déposée, j’ai donc classé l’affaire sans suite. »

    La circulaire consultée par Mediapart précise par ailleurs que « la seule appréhension d’une personne entrant illégalement sur le territoire et sa remise immédiate à l’officier de police judiciaire le plus proche ne semble pas entrer dans le champ de cette incrimination, dès lors qu’il s’agit d’une action isolée n’intervenant pas à l’issue d’une opération de surveillance ». Les identitaires s’appuient d’ailleurs sur l’article 73 du code de procédure pénale pour justifier leurs “patrouilles” à la frontière franco-italienne et la remise de migrants aux forces de l’ordre. “Dans les cas de crime flagrant ou de délit flagrant puni d’une peine d’emprisonnement, toute personne a qualité pour en appréhender l’auteur et le conduire devant l’officier de police judiciaire le plus proche”, lit-on dans l’article 73.

    Rémy Heitz précise également qu’un second délit pourrait être caractérisé à l’encontre des GI : « L’exercice d’une activité ou l’usage de document créant la confusion avec une fonction publique », cite Mediapart. Le directeur des affaires criminelles et des grâces précise : « Faire croire, par son comportement ou par un ensemble de manœuvres, que l’on possède la qualité pour exercer la surveillance et le contrôle des frontières, même sans usurper les signes réservés à l’autorité de police, est susceptible de caractériser l’infraction. »

    La circulaire précise également aux magistrats les infractions pouvant êtres reprochées aux personnes aidant les migrants, et les immunités prévues par la loi.

  • Décoration impériale consensuelle, sur fond de tensions franco-allemandes: le prix Charlemagne

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    © Wolfgang Rattay Source: Reuters
    Emmanuel Macron, son épouse et Angela Merkel à Aix-la-Chappelle
     

    A Aix-la-Chapelle, cité impériale, Emmanuel Macron a reçu des mains d'Angela Merkel le prix Charlemagne. Le rédacteur en chef du mensuel Ruptures, Pierre Lévy, analyse le déroulé de cette grand-messe européenne.

    La chancelière fédérale d’Allemagne a remis au président de la République française le prix Charlemagne. Il faut décidément que les temps soient bien étranges pour qu’une telle information – relative à la cérémonie qui s’est déroulée le 10 mai à Aix-la-Chapelle – n’ait pas déclenché un fou rire général. L’événement s’est plutôt heurté à une totale indifférence populaire, à l’image de la «fête de l’Europe» instituée chaque 9 mai il y a 33 ans, et que l’écrasante majorité des citoyens continue à traiter par l’ignorance.

    Le prix Charlemagne est décerné chaque année à une personnalité qui s’est illustrée en faveur de «l’unification européenne». Emmanuel Macron rejoint ainsi une joyeuse troupe où figurent notamment l’ex-président de l’europarlement Martin Schulz, l’ancien ministre allemand des Finances Wolfgang Schäuble, l’ancien banquier central Jean-Claude Trichet, le président du Conseil européen Donald Tusk, celui de la Commission Jean-Claude Juncker, l’ancien secrétaire général de l’OTAN Javier Solana, l’ancien président américain William Clinton, les deux papes Jean-Paul II et François. L’euro en tant que monnaie, et la Commission européenne elle-même ont également été décorées du même trophée. Pour sa part, Angela Merkel avait reçu la précieuse couronne des mains de Nicolas Sarkozy en 2008.

    Selon l’humeur, on peut sourire face à ces autocongratulations incestueuses au sein du sérail en pensant à la formule grinçante du cinéaste Jean-Luc Godard moquant ses collègues qu’il nommait «les professionnels de la profession» ; ou bien s’interroger sur l’inconscient des dirigeants qui ont choisi en Charlemagne un tel symbole impérial pour la plus haute distinction de l’Union européenne…

    Pour l’heure, ceux-ci n’ont vraiment plus l’esprit à la fête : les peuples sont de plus en plus réticents et même hostiles à la «grande aventure européenne» ; les défis géopolitiques se multiplient, notamment à travers la mise en cause par Donald Trump de l’axe euro-atlantique qui fondait l’alliance occidentale depuis 1945 ; les contradictions s’exacerbent au sein même des capitales de l’UE, comme vient de l’illustrer, justement le 10 mai, le discours du premier ministre hongrois qualifiant les projets d’Europe intégrée de «cauchemar» ; enfin, entre Paris et Berlin, les tensions persistent plus que jamais sur de multiples sujets.

    Effusions, mais disputes

    La succession des discours prononcés à Aix-la-Chapelle en témoigne. Certes, entre Emmanuel Macron et Angela Merkel, les effusions ostensibles et les compliments mutuels n’ont pas manqué. La chancelière a loué avec ferveur la «passion» européenne de son collègue français, cette «passion» si nécessaire à la poursuite de l’UE (mais, se désole implicitement madame Merkel, si absente…).

    Et les deux dirigeants ont de concert vilipendé ce qu’ils ont décrit comme les tentations funestes de retour en arrière, de dérives «illibérales» (en référence aux Etats d’Europe centrale), de repli nationaliste. Face à cela, il faut que «l’Europe prenne son destin en main» ont-ils martelé. Car «les Etats-Unis ne nous protègeront plus», s’est inquiétée la chancelière. Il faut donc fonder la «souveraineté européenne» a répété le président français, renouvelant la confusion entre «souveraineté» (qui n’a aucun sens puisqu’il n’existe pas de peuple européen) et «pouvoir d’influence» impérial (qui est le but à peine caché de l’UE).

    Il reste que sur nombre de terrains importants, le «couple franco-allemand» se dispute. C’est en particulier le cas en matière économique, budgétaire et monétaire. Les observateurs ont noté les critiques inhabituellement dures de l’hôte de l’Elysée qui a fustigé le «fétichisme en matière d’excédents budgétaires et commerciaux» de Berlin, excédents qui sont réalisés «aux dépens des autres pays» de l’UE…

    Pour sa part, la dirigeante allemande a admis que les différences et les débats étaient difficiles. Face à l’impatience croissante du chef de l’Etat français, qui a réitéré ses demandes d’intégration monétaire poussée, madame Merkel a promis que des propositions communes seraient trouvées d’ici juin. Mais le même jour, son ministre des Finances confirmait que Berlin n’était guère disposé à changer sa ligne financière dite orthodoxe.

    En Allemagne, il ne peut y avoir un fétichisme perpétuel pour les excédents budgétaires et commerciaux, car ils sont faits aux dépens des autres

    Ces divergences ne portent pas sur le fond – les classes politiques allemande et française restent plus que jamais en faveur de l’intégration européenne – mais sont liées à des différences d’intérêts. Ces dernières ne sont certes pas nouvelles, mais elles sont désormais exacerbées par la crainte d’un possible délitement européen, lui-même conséquence des résistances populaires.

    Ainsi, cruel hasard du calendrier, on apprenait le jour même du sacre d’Emmanuel Macron que la voie semblait s’ouvrir en Italie vers un gouvernement qui allierait les deux grands gagnants du scrutin du 4 mars, deux forces dont les électeurs sont les plus hostiles à l’intégration européenne.

    A ce stade, rien n’est encore joué, mais si le premier «gouvernement antisystème» de l’histoire de l’UE voyait le jour à Rome, Jupiter alias Charlemagne, de même que l’impératrice Angela, pourraient bien faire face à des cauchemars d’ampleur nouvelle…

    Les opinions, assertions et points de vue exprimés dans cette section sont le fait de leur auteur et ne peuvent en aucun cas être imputés à RT.

  • «Saccage» : à Carcassonne, une oeuvre d'art contemporain crée la polémique

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    © Eric Cabanis Source: Reuters
    L'oeuvre d'un artiste suisse crée la polémique à Carcassonne
     

    Les bandes jaunes de l'artiste suisse Felice Varini sur les murs de la cité de Carcassonne ne sont pas du goût de tout le monde. Nombreux sont ceux qui jugent qu'elles détériorent le site.

    Inaugurée le 4 mai 2018, la nouvelle oeuvre de l'artiste suisse Felice Varini suscite des débats pour le moins houleux à Carcassonne – et un peu partout sur internet. Ces cercles jaunes accrochés sur les remparts de la cité médiévale ne passent pas inaperçus, et d'aucuns estiment qu'ils dénaturent la beauté esthétique et le caractère historique du site.

    D'une longueur de 400 mètres, l'oeuvre a été installée sur les murs occidentaux de la cité, dans le cadre du 20e anniversaire du classement de la cité et de ses fameux remparts au patrimoine mondial de l'Unesco. Financée notamment par le Conseil régional, le Centre des monuments nationaux, le département et des mécènes privés, elle devrait être retirée en septembre 2018. Mais certains aimeraient la voir disparaître bien avant. 

    Sur Twitter, nombreux sont ceux qui s'offusquent que la décision d'installer cette oeuvre ait pu être validée par les autorités compétentes.

    Sirven Voltaire@SirvenV
     
     

    ET APRÈS, L'ARCHITECTE DES BÂTIMENTS DE FRANCE VOUS EMMERDE POUR UNE COULEUR DE PORTE OU DE VOLETS !!! UNE HONTE CE TRUC SUR LA CITE !
    L'artiste Felice Varini change les couleurs des remparts de la Cité de Carcassonne visible jusqu'en septembre 2018 https://culturebox.francetvinfo.fr/arts/evenements/l-artiste-felice-varini-change-les-couleurs-des-remparts-caracassonne-271587 

     
    Louis Riel@LouisRielFrance
     
     

    Était-ce vraiment indispensable cette "oeuvre" de Felice Varini sur les remparts de ?
    Personnellement, j'ai tout de même une nette préférence pour l'oeuvre de Viollet-le-Duc... https://twitter.com/jf_flamey/status/983728398970310657 

     

     

    Le porte-parole du FN, Julien Sanchez, y est également allé de son commentaire, formulant non sans élégance ses réserves quant à la beauté et la postérité de l'oeuvre.

    Julien Sanchez
     
    @jsanchez_fn
     
     

    Les bobos d’Occitanie, fiers de défigurer un élément remarquable du patrimoine en dilapidant (en plus) l’argent public.
    Chacun laisse dans l’histoire la trace qu’il peut.
    Jaune devant, marron derrière. pic.twitter.com/k0tsVrDgf2

     

     

    D'une manière générale, les détracteurs les plus virulents de l'oeuvre sont plutôt marqués à droite politiquement : ils dénoncent très souvent un «saccage».

     
    Le Dissident@CRSCool
     
     

    Qu’est ce que c’est que ce saccage (il paraît que c’est de l’art) à la cité de ?

     

     

    De son côté, la Ville de Carcassonne défend la présence des bandes jaunes. «La perception complète de l’œuvre se fait uniquement devant la porte d’Aude et invite le public à une véritable expérience esthétique valorisant l’itinéraire pédestre de la Bastide à la Cité», plaide ainsi la mairie.

    Cet argumentaire n'aura pas convaincu tout le monde : il y a quelques semaines, l’œuvre a été détériorée. Plusieurs de ces bandes jaunes ont été arrachées. Le Centre des monuments nationaux a fait savoir qu'il avait déposé plainte.

     

    Lire aussi : Suisse : polémique après qu'un artiste nu a «joué avec son pénis» sur scène

     

    RT

  • LE JOURNAL TVL DU 11 mai 2018

    NdB: Ces jeunes Iraniennes voilés de noir de la tête aux pieds devraient commencer par se révolter contre ceux qui les obligent à porter cette tenue d'un autre âge. Mais elles ont peur, elles sont soumises à la charia.  

     

  • Trump torpille l'accord nucléaire iranien

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    Entouré du vice-président Mike Pence, du conseiller pour la sécurité nationale et du secrétaire au Trésor, Donald Trump a annoncé mardi après-midi qu’il retirait les Etats-Unis de l’accord sur le nucléaire iranien signé en 2015. Ce retrait du principal signataire rend l’accord lui-même caduc même si, d’aventure, l’Iran et les Européens voulaient s’y accrocher encore. Coup d’éclat, certes, mais sans surprise. D’abord parce que Trump tient toujours ses promesses électorales et que ce retrait en fut une dès les primaires républicaines. Ensuite parce que depuis un mois, Trump confiait à son entourage que ce « chiffon de papier » n’avait plus que « quelques jours à vivre ». « Cet accord n’aurait jamais dû être signé », a-t-il souligné. « Il prenait les Etats-Unis en otage d’un nucléaire clandestin manipulé par un régime meurtrier. Horrible. Catastrophique. »    Lire la suite

  • L'ASCENSION

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    Les Très Riches Heures du Duc de Berry

  • Israël met à la porte le responsable de Human Rights Watch, une ONG financée par Soros

     

    20h01

    Le 7 mai 2018, les autorités israéliennes ont révoqué le permis de travail d’ Omar Shakir , directeur de Human Rights Watch Israël et Palestine, et lui ont ordonné de quitter Israël dans les 14 jours. Le gouvernement a déclaré que c’était à cause du soutien présumé de Shakir aux boycotts d’ Israël

  • ERIC ZEMMOUR

  • MARINE LE PEN INVITEE DE PPDA 08/05/18

  • JT TVL 9 AVRIL 2018

  • Pourquoi la censure française est un scandale, par Ivan Rioufol

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    Le scandale : dès qu’il s’agit d’immigration ou d’islam, la censure officielle veille et tranche. Dimanche, le préfet Frédéric Potier, délégué interministériel à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT a tweeté, amusé, en réaction à la suspension des comptes Facebook et Instagram du mouvement Génération Identitaire : “Je confirme, et ce n’est pas un incident technique…”. Il faut donc comprendre que cette sanction a été demandée par les pouvoirs publics. Il est reproché à Génération Identitaire de mener des campagnes contre l’immigration et l’islamisation, et ce faisant “d’attiser la haine”. Cette organisation, qui défend une Europe des nations, avait symboliquement bloqué dernièrement le col de l’Echelle (Hautes-Alpes), point de passage des clandestins.

    En réponse à l’opération “Defend Europe”, le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb avait dépêché des renforts de police et de gendarmerie, prenant acte de la faiblesse des contrôles aux frontières alpines et donc de la justesse de la cause. A contrario, ni Potier ni les responsables de Facebook n’ont jugé utile de suspendre le compte des black-blocs, ce mouvement anarchiste et anticapitaliste qui a fait de la violence et de la haine des flic sa signature. L’autre jour, Libération a fait sa une sur un de ces petits néo-fascistes, en lui accordant un entretien complaisant. Samedi, le maire de Béziers, Robert Ménard, a été agressé physiquement, à Saint-André-de-Cubzac (Gironde) par des militants de gauche, sans que personne ne s’émeuve. Le tort de Ménard est de soulever les problèmes liés à l’immigration de masse et à l’islam politique. Sur ces sujets, la gauche a lâché les chiens.

    Dans son best-seller qui vient d’être traduit en français (1), le journaliste britannique Douglas Murray rappelle cette anecdote : nous sommes en 2015, et la chancelière allemande, Angela Merkel, cherche à étouffer les débats qui naissent de sa folle idée d’accueillir plus d’un million de réfugiés musulmans qui fuient les conflits régionaux ou la misère endémique. Murray raconte : “Merkel a demandé au fondateur de Facebook, Mark Zuckerberg, s’il était possible d’empêcher les citoyens européens de critiquer sa politique migratoire sur Facebook. “Allez-vous y travailler ?”, lui avait-elle demandé. Il lui avait assuré que oui (…)”.

    Et Murray de conclure : “Il est fascinant de voir à quel point nous avons été censurés, alors que nous étions en train d’ouvrir grand nos frontières”. C’est cette même intolérable atteinte à la liberté d’expression qui se poursuit en France dans l’indifférence générale. Quand ce n’est pas le pouvoir qui cherche à mettre l’internet sous surveillance, c’est la justice qui sort son gourdin. C’est ainsi qu’Eric Zemmour a été condamné jeudi par la cour d’appel de Paris à 5000 euros d’amende pour provocation à la haine religieuse pour avoir notamment estimé qu’il fallait donner aux musulmans “le choix entre l’islam et la France”. Mais Napoléon a dit la même chose aux Juifs quand, en 1807, il a convoqué le Grand Sanhédrin en le sommant de choisir entre les valeurs de la nation et celles du judaïsme. Ceux qui cherchent à museler l’esprit critique sur l’immigration et l’islam radical se rendent complices de bouleversements identitaires et culturels potentiellement considérables. Ceux-ci peuvent très légitimement être jugés dangereux et inacceptables.

    (1) L’étrange suicide de l’Europe (L’Artilleur)

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 2 mai 2018 et repris du blog d’Ivan Rioufol

  • Belgique : Mohamed, 25 ans, se jette sur Pietro pour lui voler 540 euros et lui mange un demi-doigt

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    18h24

    Pietro, 62 ans, s’est littéralement fait manger un demi-doigt en date du 4 décembre dernier (La Capitale du 28 mars dernier). Ce jour-là, le sexagénaire venait tout juste de gagner 540 euros au bingo dans un bar saint-gillois lorsque Mohamed, 25 ans, lui avait sauté dessus pour les lui voler.

     

    (…)

    LaCapitale.be

  • Business France : Muriel Pénicaud, ministre du Travail, convoquée chez le juge le 22 mai

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    avril 2018
     

    Le cabinet de la ministre du Travail a fait savoir que cette dernière était convoquée chez le juge le 22 mai comme témoin assisté dans l'affaire Business France. L'information avait dans un premier temps été révélée par le Canard enchaîné.

    Muriel Pénicaud, ministre du Travail, sera convoquée comme témoin assisté par les juges le 22 mai pour l'affaire Business France, selon son cabinet, confirmant une information du Canard enchaîné. L'entourage de la ministre n'a pas fait d'autre commentaire. Ce dossier, devenu politique, est lié à l’organisation, en janvier 2016, d’une soirée de promotion de la France à Las Vegas autour d’Emmanuel Macron, alors ministre de l'Economie.

    Malgré son coût élevé – près de 290 000 euros après renégociation – l'organisation de l'événement avait été confiée à l’agence de communication Havas sans appel d’offres spécifique par Business France (BF), organisme public dépendant de Bercy, chargé de faire la promotion des entreprises françaises à l'étranger et dirigé à l'époque par Muriel Pénicaud.

    Le 21 septembre, une ancienne collaboratrice de Muriel Pénicaud chez Business France avait été placée sous le statut de témoin assisté par les juges d'instruction qui enquêtent sur le déplacement controversé en 2016 d'Emmanuel Macron à Las Vegas. Une semaine avant sur LCI, la ministre du Travail s'était dite «très sereine» dans cette affaire, tout en rappelant qu'elle démissionnerait du gouvernement si elle-même était mise en examen.

    Lire aussi : Sanctions contre les chômeurs : le gouvernement annonce ses projets

    RT

  • ROKHAYA DIALLO : « JE PANSE DONC JE SUIS »

     

     

     

    Il était grand temps que Boulevard Voltaire aborde à son tour l’épineuse affaire dite du « pansement de Rokhaya Diallo »

     
     
     

    Il était grand temps que Boulevard Voltaire aborde à son tour l’épineuse affaire dite du « pansement de Rokhaya Diallo ». Rappel des faits. Dans un tweet désormais classé au patrimoine mondial de la bêtise ambiante, la militante antiraciste s’indigne de la couleur blanche des compresses placées sous les pansements. Aussitôt, la basse-cour de la twittosphère s’ébroue dans un caquètement d’enfer. Cot cot cot. Les moqueries abondent, mais il se trouve aussi, par-ci, par-là, quelques volailles pour comprendre la souffrance de cette offusquée permanente, le tout au travers de dialogues que Kafka et Beckett réunis n’auraient osé imaginer.

    Pour tenter de sortir la militante antiraciste de son angoisse métaphysique, l’un fait remarquer que le coton est blanc et que cette couleur permet, par ailleurs, de visualiser ce qui sort de la plaie. Le débat s’élève. Rokhaya, qui a creusé le sujet, répond qu’un sparadrap marron sur toute sa longueur devrait recouvrir cette satanée blancheur. Une femme noire lui ordonne de cesser cette revendication ridicule, tandis qu’un bobo tout rose, compatissant professionnel, affirme que des pansements adaptés à la carnation débarquent aux Pays-Bas. Le bout du tunnel est en vue. Toute personne de couleur pourra bientôt se soigner une coupure au doigt et sortir la nuit sans être vu de quiconque. Aller danser avec un Tricostéril sur le nez, faire du canoë sur la mer Noire en toute discrétion. La liste des bienfaits est interminable.

    Mais que devient l’homme dit « blanc » dont la peau est rose clair ? fait remarquer un autre membre du poulailler. Nous sommes dans l’impasse. Excepté la réincarnation en caméléon, aucune solution ne se dessine. Rokhaya Diallo, provisoirement surnommée « la Martin Luther King des salles d’attente », retourne méditer une autre revendication. Les yeux, les dents, la neige, la farine… Tout est à revoir. Le chantier est immense.

    En attendant sa nouvelle réflexion, son nouveau tweet invraisemblable, les victimes de la délinquance pansent leurs plaies comme elles le peuvent. Le policier italien blessé ces jours-ci par une horde de migrants nigérians et laissé inanimé dans une mare de sang ne s’interroge pas trop sur la couleur de la compresse…

    BV

    NdB: Pourquoi pas des pansements verts? Parce que nous allons tous habiter sur Mars un de ces jours...

  • Bernard LUGAN: "Il faut refuser la repentance coloniale ! "

    C'est de la "loi Taubira" que les députés doivent se repentir. Est-ce que l'Angleterre, les Pays-Bas se sont repenti? 

     

  • Allemagne : la police interpelle une "mamie nazie" en fuite: elle a 89 ans

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    Ursula Haverbeck, 89 ans, avait refusé de se présenter pour purger une peine de prison ferme.


    Ursula Haverbeck, le 23 novembre 2017 à Detmold (Allemagne).

    Fin de cavale. La police allemande a annoncé, lundi 7 mai, avoir interpellé la figure du négationnisme allemand, Ursula Haverbeck. A 89 ans, celle qui est surnommée la "mamie nazie" ne s'était pas présentée pour purger une peine de prison ferme. "Sur la base d'un mandat d'arrêt, elle a été arrêtée lundi vers 13h30 à Vlotho", en Rhénanie du Nord-Westphalie, a indiqué la police.

    Auparavant, le parquet de Verden avait annoncé qu'elle était en fuite. Selon lui, Ursula Haverbeck, condamnée à huit reprises pour des propos négationnistes, doit purger une peine totale de deux ans de prison. Elle aurait dû se présenter pour être écrouée le 23 avril.

    Des propos négationnistes répétés

    La dernière condamnation d'Ursula Haverbeck, à six mois de prison ferme, a été prononcée en octobre dernier. Elle avait été sanctionnée pour avoir publiquement déclaré, en janvier 2016, que le génocide des juifs par les nazis n'avait jamais existé et qu'il n'y avait jamais eu de chambres à gaz à Auschwitz. L'octogénaire a aussi été condamnée en 2015 pour avoir déclaré que l'Holocauste était "le plus grand mensonge" de l'histoire.

    Jusqu'ici, elle ne s'est jamais retrouvée derrière les barreaux. Sur son site internet, Ursula Haverbeck s'affiche en "représentante du révisionnisme historique" et se targue d'être une "combattante intrépide pour la vérité".

     Quelque 1,1 million de personnes, dont un million de juifs, ont péri entre 1940 et 1945 dans le seul camp d'Auschwitz-Birkenau. Au total, six millions de juifs ont été exterminés par les nazis.

  • Condamnation d’Eric Zemmour : Le Monde invente un délit d’islamophobie

     

     
     
     
     

    07/05/2018 – FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Le journaliste et polémiste Eric Zemmour a été condamné par la Cour d’appel de Paris à une amende de 5000 euros pour provocation à la haine religieuse.

    L’article du Monde titre lui sur une condamnation en « islamophobie ».

    Il n’existe pourtant aucun délit d’islamophobie dans le Code pénal, on n’est jamais condamné pour une peur, mais pour un acte ou une exhortation. Sur le fond, cette affaire concerne des propos tenus en 2016 sur le plateau d’une émission de télévision qui selon la Cour justifient des discriminations et prennent les musulmans dans leur globalité. Il y évoquait notamment une « invasion » des musulmans, et la nécessité pour ceux-ci de faire un choix entre leur religion et la France. On lui reproche également d’avoir évoqué une islamisation de certains territoires de banlieue, en prenant pour exemple la pratique massive du port du voile.

    En revanche, la cour a jugé que des propos qui lui avaient valu une condamnation en première instance ne tombaient pas sous le coup de la loi.

    Notamment celui portant sur l’idée que « tous les musulmans » considèrent les terroristes comme de « bons musulmans ». Selon les juges, il n’y a pas dans ces propos d’incitation à la haine. Or, l’élément qui constitue le délit doit être clairement un appel ou une exhortation. Les poursuites contre Zemmour avaient été engagées par l’association EuroPalestine, à qui Eric Zemmour devra verser un euro symbolique, en plus de s’acquitter des frais de justice.

    La Cour de cassation a récemment annulé une autre condamnation du polémiste pour le même motif.

    Dans un journal italien en 2014, Eric Zemmour avait effectivement déclaré que le Coran était le « code civil des musulmans ». Selon la Cour, cette décision était insuffisamment justifiée, et a renvoyé l’affaire devant les premiers juges.

    Si la liberté d’expression paraît de plus en plus corsetée, il n’existe toujours pas pour le moment de délit d’islamophobie, sauf dans les rédactions de certains médias.