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  • Meurtre d'Angélique, 13 ans

    Meurtre d’Angélique, 13 ans : ce que l’on sait

    >Faits divers|Jean-Michel Décugis|29 avril 2018, 20h53|MAJ : 29 avril 2018, 21h52|1

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    Le corps d’Angélique a été retrouvé dans la nuit de samedi à dimanche dans une forêt de Quesnoy-sur-Deûle (Nord). DR
     
     

    Le corps de la jeune fille a été retrouvé, dénudé, dimanche dans une forêt. Pour remonter jusqu’au meurtrier présumé, les enquêteurs ont examiné le fichier des délinquants sexuels.

    C’est vers 2 du matin dimanche, dans une forêt de Quesnoy-sur-Deûle (Nord), que le corps d’Angélique Six a été découvert. La jeune fille de 13 ans était dénudée. Quelques heures plus tôt, samedi, vers 21h30, les enquêteurs de la Direction interrégionale de la police judiciaire (DIPJ) avaient interpellé David R., un ancien voisin de la famille à la sortie de son travail puis placé l’homme en garde à vue. Auparavant, le domicile de ce chauffeur de bus de 45 ans, marié et père de deux garçons, avait été perquisitionné.

    Il l’étrangle parce qu’elle se débat

    Selon nos informations, David R. a très vite avoué le meurtre d’Angélique alors que les policiers ne disposaient pas d’éléments à charge déterminants. L’homme a reconnu avoir entraîné l’adolescente chez lui sous un prétexte fallacieux. Il aurait reconnu avoir déshabillé la jeune fille puis tenté d’abuser d’elle avant de l’étrangler parce qu’elle se débattait.

     

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    Le père de famille a lui-même conduit, dans la nuit, les enquêteurs sur les lieux où il s’était débarrassé du corps. Un endroit ronceux et touffu, difficile d’accès. Le meurtrier présumé aurait caché le corps d’Angélique en le recouvrant de végétation avant de s’enfuir. Selon nos informations, les éléments recueillis par le médecin légiste sur les lieux indiquent une mort par asphyxie et des violences.

    L’autopsie pratiquée ce lundi devrait déterminer les circonstances exactes de la mort d’Angélique, et préciser si l’adolescente a été violée.

    Un témoignage capital

    C’est le témoignage d’un garçon de 10 ans qui avait vu la jeune fille rejoindre volontairement un homme dans le parc de Wambrechies qui a mis les enquêteurs sur la piste de David R. Le père de famille avait été inscrit en 2001 au Fichier automatisé des auteurs d’infractions sexuelles (Fijais). En 1996, le meurtrier présumé d’Angélique avait déjà été condamné à 9 ans de prison pour viol avec arme commis deux ans plus tôt, sur une adolescente de 13 ans. Le détenu était sorti en mars 2000 avec obligation d’un suivi thérapeutique. On ignore encore la nature et la durée de cette injonction.

    Depuis, David R. n’avait plus fait parler de lui, si ce n’est par un rappel à la loi en 2014. Le père de famille avait oublié de signaler un changement d’adresse comme la loi l’impose aux individus fichés au Fijais.

    Vendredi, un avis de disparition inquiétante avait été diffusé, pour tenter de retrouver la préadolescente, volatilisée dans l’après-midi de mercredi. Angélique avait juste laissé un mot à ses parents indiquant qu’elle devait rejoindre des amies.

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    LIRE AUSSI >Mort d’Angélique, 13 ans : « Savoir que le meurtrier est du quartier est encore pire

     Le Parisien

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Nuit d’horreur à Milan (It.) : deux clandestins nord-africains ont poignardé une étudiante anglaise et un sans-abri, agressé et volé un Péruvien, puis ont assassiné un migrant bengali

     

    22h23

    Milan – Deux Nord-Africains clandestins sont les auteurs de quatre attaques dans la nuit de jeudi à vendredi dernier. À la fin de leur razzia, le bilan est dramatique: un mort et trois blessés.

    « La sécurité à Milan est totalement défaillante, la ville a été hors de contrôle pendant des jours », a commenté Paolo Grimoldi, membre de la Ligue du Nord, en parlant de « l’escalade dangereuse des crimes dans la ville ».

    Les deux migrants ont d’abord agressé et volé un Péruvien de 36 ans, puis ils ont poignardé un SDF Italien de 31 ans. Le sans-abri se retrouvé avec la rate et le foie perforés.

    Une Anglaise, jeune étudiante à l’Université Catholique, a elle aussi été poignardée, son téléphone portable dérobée, elle n’est pas gravement blessée.

    Un Bengali a été attaqué et est décédé après avoir succombé à ses blessures suite à l’agression.

    (…) Il Giornale

    Merci à FelixTempReparatio

    MONSTRUEUX !

  • «Guerre de territoires» à Bagnolet (93) : le maire PS et Alexis Corbière (FI) demandent des renforts de police. (Màj : « Il faut poser la question de ce que l’ont fait de ces quartiers »)

     

    18h53

    Le député la France insoumise de Seine-Saint-Denis, Alexis Corbière, a été interviewé samedi sur franceinfo.

    «Les gens veulent de la République. Les réponses de sécurité ne peuvent pas être les seules dans un quartier où les habitants ont un sentiment de relégation»

     

    […] On peut poser la question de la légalisation du cannabis. Ça éviterait que les bandits s’en occupent. Après, il y a ce que l’on observe actuellement: un différend commercial, pardonnez-moi l’expression, entre des gens qui organisent ce business et qui se tirent dessus. Ça, les gens ne l’acceptent plus. Il faut des moyens de police pour éviter ce business à ciel ouvert. Il y a eu des coups de feu, un centre de loisirs a pris une balle dans la vitrine. Ce n’est pas tolérable. Personne n’a envie de voir ses enfants mis en danger. Ça doit cesser. Et puis, une fois encore, il faut poser la question de ce que l’ont fait de ces quartiers. Il y a trop de chômage, trop de gens en situation difficile, pas assez de services publics. […]

    francetvinfo


    Hier, Tony Di Martino, maire de Bagnolet (Seine-Saint-Denis), et le député de la circonscription, Alexis Corbière (FI), ont demandé au préfet de Seine-Saint-Denis d’envoyer des renforts policiers dans cette ville de la petite couronne, en proie à de nombreuses violences depuis trois semaines, selon France Bleu Paris. Ils espèrent également rencontrer le ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb.

    En trois semaines, quatre personnes ont été blessées par balles et des dizaines de voitures incendiées à Bagnolet. Pour tenter de calmer ce que le maire qualifie d’une «guerre de territoires» entre trafiquants de drogues, des CRS sont déjà été déployés dans le quartier de la Capsulerie, connu pour son trafic, depuis mercredi. Mais cette mesure exceptionnelle n’est que provisoire. […]

    Le Figaro

    NdB:  Revendre de la drogue rapporte beaucoup plus que travailler!

     

     

     
  • Marseille - Communiqué de presse d'Eléonore Bez

    Agression barbare à Pont-de-Vivaux : les Marseillais veulent des actes !
    [Communiqué du 26 avril 2018]

    J’apprends dans La Provence l'enfer que subit un habitant du quartier de Pont-de-Vivaux, dans le 10e arrondissement.
    Pour une simple remarque adressée à des trafiquants de drogue, il a été tabassé, volé, des dealers ont forcé la porte de son domicile et l’ont traîné dans le hall pour le passer à tabac, son chiot a lui aussi été violenté.
    La victime, par ailleurs invalide, vit recluse chez elle depuis cette agression, et espère obtenir un logement social pour pouvoir quitter le quartier.

    Cette agression barbare illustre malheureusement l’insécurité toujours grandissante qui frappe Marseille.
    Les coups de menton et les grandes phrases de Jean-Claude Gaudin ou de son adjointe à la sécurité Caroline Pozmentier ne parviennent plus à cacher que le trafic de drogue a instauré un nouveau « droit », celui de l'hyper-violence, et ce dans un silence assourdissant des responsables politiques locaux.
    Lionel Royer-Perreault, maire du 10e arrondissement, reste fidèle à lui-même et à la méthode Gaudin : le silence et l'inaction !
    Pendant ce temps c'est l’ensauvagement de son secteur.

    Alors que des bandes de racailles font régner le chaos et la terreur dans de nombreuses cités marseillaises, Lionel Royer-Perreault et ses amis semblent plus préoccupés par l'organisation des Jeux Olympiques.
    Pour la compétition de la violence, Marseille aura assurément la médaille d'or !

    Lionel Royer-Perreault, en tant que président de 13 Habitat, doit de toute urgence trouver un logement adapté à cet habitant de Pont-de-Vivaux afin qu’il puisse reprendre une vie normale.
    Mais pour assurer la sécurité des Marseillais, « l'équipe Gaudin » a prouvé et depuis longtemps déjà, son incompétence.
    Seule une majorité Front National, sous la direction de Stéphane Ravier, pourra lutter efficacement contre la racaille et les trafiquants de drogue, et garantir aux Marseillais la tranquillité et la sécurité auxquelles ils ont droit.

    Eléonore Bez
    Vice-présidente du Groupe Front National - Région PACA
    Délégué Départemental Adjoint du Front National 13

    Eléonore BEZ

  • JT TVL 26 AVRIL 2018

  • Zemmour sur Borloo : « Ce type, sur une page entière d’interview, arrive à parler de la banlieue sans prononcer les mots immigration et islam, c’est très fort, je lui tire mon chapeau »

    http://www.fdesouche.com/995893-zemmour-sur-borloo-ce-type-sur-une-page-entiere-dinterview-arrive-a-parler-de-la-banlieue-sans-prononcer-les-mots-immigration-et-islam-cest-tres-fort-je-lui-tire-mon-chapeau

  • Grigny (91) : un journaliste d’Europe 1 détroussé à la Grande Borne, il était venu illustrer le « plan Borloo » pour les banlieues

     

    21h02

    Il était venu illustrer le «plan Borloo» pour les banlieues. L’un des deux voleurs a été interpellé et sera jugé en juillet prochain.

    Le reportage sur le « plan Borloo » a tourné court. Ce mercredi, vers 13 heures, un journaliste pigiste de la station de radio Europe 1 a été pris à partie par deux jeunes. Il s’était garé place aux Herbes, en plein cœur du quartier de la Grande-Borne à Grigny (Essonne), quand ils sont venus lui parler. Mais la discussion tourne rapidement à l’agression verbale. Ils lui demandent ce qu’il fait là et le questionnent sur son matériel. Ils finissent par le menacer et lui volent ses clés de voiture ainsi que la veste dans laquelle se trouvait son portefeuille.

    Le Parisien

  • Pas de poursuites pour les Identitaires qui disent avoir remis des migrants à la police, l’enquête classée sans suite (MàJ)

     

    23h09

    Des militants d’extrême droite affirmaient avoir « raccompagné » des migrants à la frontière franco-italienne dans la nuit de jeudi à vendredi dans les Hautes-Alpes : l’enquête ouverte par le parquet de Gap a été classée sans suite, faute « d’infraction constatée ».

    Depuis le week-end dernier et une première action au col de l’Échelle, au-dessus de Briançon, ces militants du mouvement « Defend Europe », lié au groupe Génération Identitaire, affirment sillonner la région pour « veiller à ce qu’aucun clandestin ne puisse rentrer en France ».

    Sur leur page Facebook, ils assurent ce vendredi dans un communiqué traduit en sept langues, vidéo à l’appui, avoir raccompagné au poste-frontière quatre clandestins, « sous la supervision d’un officier de police judiciaire ». Sur la vidéo, on aperçoit deux hommes en train d’en escorter un troisième en direction de la police.

    Voyant ces militants « revendiquer » ces faits « par voie de presse », le procureur de la République à Gap a ouvert vendredi une enquête préliminaire, révélée par « le Monde ». Mais les investigations, « notamment l’audition de migrants », n’ont permis de recueillir « aucune plainte », « ni de constater aucune infraction pénale susceptible d’être reprochée à l’encontre de quiconque », a écrit Raphaël Balland dans un communiqué vendredi soir, concluant qu’en l’état, cette enquête serait « classée sans suite ».

  • Chalon-sur-Saône (71) : « Placé en isolement total », le détenu tunisien Ouled Aissa Mehrez s’évade d’un centre spécialisé

     

    J-3

    « Ce lundi vers 10 heures, un individu s’est évadé du centre hospitalier spécialisé (CHS) de Sevrey (71), alors que celui-ci était placé en isolement total, actuellement placé en détention provisoire au centre pénitentiaire de Varennes-le-Grand. Il avait été placé en détention en attente de son jugement suite à des faits de violences. Il a pris la fuite à pieds du CHS seulement vêtu d’un bas de pyjama « hôpital » blanc et pieds nus », indique la gendarmerie dans un communiqué relayé par nos confrères du Journal de Saône-et-Loire.

     » L’intéressé, se dénommant Ouled Aissa Mehrez, est âgé de 30 ans mais fait plus jeune. Il est Tunisien, mat de peau, mesure 1,69 m et de faible corpulence. Il a les cheveux noirs frisés courts, yeux noirs et s’exprime en français. Il serait originaire de Marseille.
    En cas de signalement, renseignement ou découverte de cet individu, aviser immédiatement la gendarmerie en composant le 17. Ne pas intervenir car ce dernier reste dangereux. »

    (Merci à Sanybrailleur)

  • Mission Alpes de Defend Europe : plusieurs migrants clandestins raccompagnés au poste-frontière par les équipes de Génération Identitaire.

     

    19h37

     

    Dans la nuit du 26 au 27 avril, une équipe de surveillance citoyenne de Defend Europe a repéré un groupe d’une dizaine de migrants clandestins qui tentait de franchir illégalement la frontière.

     

    S’appuyant sur l’article L 621-2 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile et l’article 73 du code de procédure pénale permettant à tout citoyen d’appréhender l’auteur d’un délit flagrant, notre équipe a raccompagné 4 clandestins au poste-frontière, sous la supervision d’un officier de police judiciaire. Surpris, ils n’ont à aucun moment cherché à s’enfuir et ont coopéré immédiatement.

    Contrairement aux annonces du ministre de l’Intérieur Gérard Collomb, l’Etat français ne maîtrise toujours pas sa frontière dans la zone de Briançon. Génération Identitaire réclame donc de nouveaux renforts de police et un plan d’action efficace : plus un seul clandestin ne doit pouvoir franchir la frontière. C’est avant tout à l’Etat d’assurer la sécurisation des frontières, et non aux citoyens

    Enfin, Génération Identitaire alerte les responsables politiques européens sur la gravité de la situation : 42% des Africains âgés de 15 à 25 ans déclarent vouloir quitter leur pays *. Si l’immigration n’est pas immédiatement stoppée, les flux vont engendrer des catastrophes identitaires, sécuritaires, sociales, écologiques et économiques d’une ampleur inégalée. Les 450 millions d’Européens ne pourront pas accueillir les 2,5 milliards d’Africains dont l’objectif doit être la construction d’un avenir prospère chez eux.
    facebook

  • Belgique : une sénatrice du parti flamand Vlaams Belang piétine le Coran sur la couverture de son nouveau livre

     

    20h40

    Les fondateurs du parti BeOne, Dyab Abou Jahjah et Meryem Kaçar, ont annoncé le dépôt d’une plainte au parquet à la suite de la publication d’un livre d’Anke van Dermeersch (Vlaams Belang)

    L’ouvrage intitulé «A.N.K.E. #PolitiekIncorrect» sera présenté le 4 mai. La couverture est explicite: elle représente les jambes et les pieds de l’ex-miss Belgique foulant de ses hauts talons le Coran.

    «Le Coran est un livre sacré, que l’on ne met pas sous une chaussure. Pour cette raison, je porte plainte avec constitution de partie civile, en tant que musulman non-croyant, en compagnie de Meryem Kaçar en tant que musulmane croyante», a annoncé M. Abou Jahjah.

    Sudinfo.be

    Merci à Puigforcat

  • Marseille : tabassé et harcelé jusqu’à son domicile pour s’être opposé au trafic de drogue dans sa cité, Olivier vit un enfer et ne sort plus de chez lui

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    19h48

    Pour une simple remarque, un quadragénaire de Pont-de-Vivaux vit un enfer.

    Sans dire un mot, il ôte à notre rencontre sa casquette avant de montrer l’impressionnant pansement sur son crâne. Dix points de suture agrafés sur sa peau referment la plaie.

     

    (…) Son tort ? Avoir demandé à des jeunes à proximité d’un point de deal de ne pas s’asseoir sur son scooter comme déclaré dans la plainte déposée au commissariat du 10e arrondissement. Échange d’insultes, aucun coup n’est porté. Le lendemain, la situation dégénère. Toujours au pied de son immeuble, Olivier croise le frère d’un des jeunes. « Je ne suis pas comme l’autre », lui balance-t-il. Sous-entendu, la simple remarque pour le scooter mérite punition. Le chiot d’Olivier sera la première victime. Un violent coup de pied lui est donné. De douleur, l’animal urine et défèque par terre. Le calvaire de son maître n’est pas terminé. Trois coups de poing dans le nez lui sont adressés. Son porte-monnaie et ses papiers dérobés, l’agresseur repart. (…) Par la fenêtre de son appartement du 4e étage, il aperçoit sur les coups de 20 h 30 son agresseur. Lui aussi le repère. « Ne bouge pas, je monte », menace-t-il. Il n’est pas seul, une dizaine de jeunes l’accompagnent et se retrouvent devant la porte de son appartement. Ils tambourinent, donnent des coups de pied et finissent par la dégonder. Olivier tente de les contenir mais se fait agripper par les bras et traînés dans l’ascenseur. Direction le rez-de-chaussée où un coup de béquille lui est porté sur le crâne. « Vous allez le tuer », hurle une voisine. La police et les pompiers sont prévenus. Avant leur arrivée, les agresseurs sont partis.

    De crainte, il ne sort pratiquement pas de chez lui. Reclus, il ne sait plus où se trouve l’issue.

    La Provence

    Merci à Proserpine

  • JT TVL 26/04/18

  • Immigration-invasion : ceux qui parlent et ceux qui agissent

     

     

    Samedi matin, 21 avril 2018, une centaine de jeunes du groupe « Génération identitaire »(*) se sont rendus dans la vallée de la Clarée entre Briançon et Modane, juste à la frontière franco-italienne, au Col de l’Échelle, pour une opération coup de poing.

    Génération Identitaire Defend Europe Alpes

    Des Français, des Italiens, des Hongrois, des Danois, des Autrichiens, des Anglais et des Allemands ont choisi de chausser les raquettes pour aller contrôler la frontière.

    « Nous dénonçons un manque de courage des pouvoirs publics. Avec un peu de volonté, on peut contrôler les migrations. Nous allons prendre possession du col et veiller à ce qu’aucun clandestin ne puisse entrer en France. Nous allons expliquer aux migrants que ce qui n’est pas humain c’est de leur faire croire que traverser la Méditerranée ou grimper le col enneigé n’est pas dangereux. » explique Romain Espino, porte parole du mouvement.

    Ce col est justement un lieu symbolique, c’est par celui-ci que les clandestins passent pour rejoindre la France, aidés par les petits Herrous locaux, puisqu’il devient plus difficile de passer par la route « Vintimille ».

    C’est ainsi que plus de 1500 personnes, principalement venues du Mali, de Guinée ou de Côte d’Ivoire ont franchi ce col l’an dernier, avec comme but, la ville de Briançon, dans les Hautes-Alpes. Deux points de traversée de la frontière s’offrent à eux : 
    • le col de l’Échelle, à 1762 m d’altitude, ou bien 
    • la route de Montgenèvre. 
    Deux passages faciles aux beaux jours, sans neige, puisque ce sont deux routes qui rejoignent la belle vallée isolée de la Clarée. Mais si le printemps semble enfin montrer le bout de son nez, cet hiver, les conditions n’étaient pas bonnes : un froid intense et d’exceptionnelles chutes de neige se sont abattues sur le Briançonnais. Pour les Africains, le risque est devenu mortel : en baskets, parfois sans chaussettes, ils tentent quand même chaque jour de passer la frontière. Cela représente six heures de marche, parfois par -20º, six heures à « brasser » la neige qui n’est pas vraiment leur élément. Cette situation mobilise presque chaque jour les secouristes du peloton de gendarmerie de haute montagne.
    Génération Identitaire Defend Europe Alpes. C’est pour cette raison que ce matin, les militants de Génération Identitaire ont pris position au col (voir photos), afin de barrer la route aux migrants clandestins. Les équipes ont l’intention de quadriller la zone et de stopper toute tentative de s’introduire illégalement en France.

    « Le gouvernement Macron refuse de sécuriser la frontière : nous allons lui prouver qu’avec de la volonté, c’est parfaitement possible. Plutôt que de débloquer des fonds pour créer de nouveaux centres d’accueil pour les migrants clandestins, ce sont les budgets de la PAF (Police Aux Frontières) qui devraient être musclés » avance toujours le porte-parole qui précise :
    « Génération Identitaire exige l’arrêt de l’immigration massive et le blocage définitif du passage du col de l’Échelle. Plus aucun clandestin ne doit pouvoir rentrer illégalement en France en empruntant cette voie. Les Français ne veulent plus d’immigration ! La place de ces immigrés clandestins n’est ni en France, ni en Italie, mais dans leur pays d’origine. L’opération “Alpes” de Defend Europe est lancée !»

    Patrice LEMAÎTRE

    Addendum du 23 avril 2018 : des immigrationnistes italiens forcent un barrage de la gendarmerie française afin de faire entrer de force une cinquantaine d’émigrés clandestins sur notre territoire [source France Info]. N’est-ce pas un acte de guerre ?

    (*) Génération Identitaire est un mouvement politique de jeunesse français et européen créé en 2012, dont la première action symbolique a été l’occupation du toit du chantier de la mosquée de Poitiers la même année. Face à l’immigration massive et à l’islamisation, ses militants considèrent que la seule réponse efficace se trouve dans l’affirmation de notre identité et la défense de nos traditions. Cette mission s’inscrit dans la campagne européenne « Defend Europe » contre l’immigration de masse. Au mois d’août 2017, ils avaient en effet envoyé un bateau en méditerranée, le C-Star, pour mettre un terme au trafic d’êtres humains organisé par les mafias avec la complicité des ONG.

    Nice Provence Info

  • Sondage : 76% des Français veulent un référendum sur l’immigration Par Koba le 25/04/2018

     

    18h57

    Et si les électeurs étaient consultés pour décider de la politique migratoire de la France ? L’idée d’un référendum fait son chemin à droite. Mieux, selon le sondage Ifop que nous publions, 76 % d’entre eux y sont favorables.

    Emmanuel Macron, le chef d’État lui-même, recommande de lire Stephen Smith, qui affirme dans son dernier ouvrage (la Ruée vers l’Europe, Grasset) que notre vieux continent « va s’africaniser ». Son ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, évoque de son côté « des régions qui sont en train de se déconstruire parce qu’elles sont submergées par le flux des demandeurs d’asile ». Rarement, dans les mots, le pouvoir n’aura semblé saisir, avec plus de justesse et d’acuité, l’ampleur du phénomène et la tragédie qui nous menace, donnant raison aux plus pessimistes de nos Cassandre et aux prophètes du « grand remplacement ». La démographie africaine ? Écoutons encore ce que nous dit Emmanuel Macron. C’est « une véritable bombe », diagnostique le président. « Il faut bien le dire », ajoute-t-il, comme si cette réalité avait été longtemps minorée, sinon cachée ou tue par nos dirigeants. (…)

    Les Français rêvent de s’exprimer sur la politique migratoire que devrait conduire le gouvernement. Le pouvoir en place est, lui, beaucoup moins enthousiaste. D’autant plus qu’à lire les enquêtes d’opinion qui se succèdent sur le sujet, les Français se montrent souvent radicalement opposés aux mesures défendues par leurs dirigeants. Dans la dernière enquête de l’Ifop pour l’Express parue en décembre 2017, 64 % des Français jugent que le rythme de l’immigration en France s’effectue à un rythme trop élevé ; 56 % d’entre eux sont opposés à l’obtention automatique de la nationalité française pour les enfants nés en France de parents étrangers ; 57 % d’entre eux sont favorables à la suppression du regroupement familial. Comment ne pas mesurer l’immense décalage entre les aspirations des Français et les politiques menés par nos dirigeants ?

    (…) Valeurs Actuelles

  • Les nouveaux gladiateurs et l’hymne républicain, par Pierre-Emile Blairon

     

     

    Le jeu de balle au pied (football) est l’un des éléments majeurs de conditionnement des foules par les élites au pouvoir principalement en Europe. La recette est bien connue et ne date pas d’hier ; pour détourner les peuples des enjeux cruciaux et laisser le pouvoir agir sans l’aval des masses, il suffit de leur présenter un hochet ; l’Empire romain décadent prévenait toute tentative de soulèvement du peuple en lui fournissant Panem et circenses, du pain et des jeux du cirque. Les Romains arrivaient donc en foule dans les arènes pour voir mourir les gladiateurs qui s’étripaient entre eux ou qui affrontaient des bêtes sauvages. Ces gladiateurs étaient des mercenaires bien payés, hommes libres ou esclaves, qui trouvaient dans ce métier l’occasion d’accéder à un statut social envié quand ils avaient survécu.

    Les footballeurs sont nos nouveaux gladiateurs (à moindre risque), mercenaires internationaux, dont le prix d’achat dépasse toutes les normes acceptables. Ils viennent de toutes les parties du monde mais, en France, essentiellement de nos anciennes colonies d’Afrique, du Nord et sub-saharienne (les fameux Blacks-Blancs-Beurs au sein desquels on a intelligemment supprimé toute discrimination en les appelant uniformément les « Bleus »).

    Pas plus que les gladiateurs romains (le fameux : Ave Caesar, qui morituri te salutant ne concernait que certains délinquants condamnés à mort), les footballeurs ne sont tenus à saluer les officiels occupant les tribunes. Cependant, on leur demande, avant chaque match international, de chanter leur hymne national, enfin, l’hymne du pays dont ils ont acquis la nationalité et qu’ils représentent dans les compétitions internationales. La loi veille : tout outrage à l’hymne national est, en France, depuis 2003, susceptible d’être puni par un emprisonnement de 6 mois et 7 500 euros d'amende.

    Certes, Karim Benzema n’entrait pas dans le cadre visé par la loi en déclarant en avril 2018 ne pas chanter la Marseillaise sur les stades parce que, «Si vous écoutez bien, la Marseillaise appelle à faire la guerre. Et ça, ça ne me plait pas». Benzema est un footballeur natif de Lyon, officiant dans le club madrilène dont son compère Zidane (ancien footballeur, natif, lui, de Marseille) est entraîneur. «On ne va pas me forcer à chanter La Marseillaise. Zidane, par exemple, ne la chantait pas forcément. Et il y en a d'autres».

    Benzema n’avait pas tout à fait tort, s’il s’en était tenu là, mais nous allons voir que ce n’était pas le cas.

    Ce jour-là…

    Sans doute, en effet, ce jour-là, avait-il fini par percevoir les paroles du refrain du chant révolutionnaire hurlées dans les gradins par les supporters. Elles lui parvenaient indistinctement, brouillées par les bruissements des étendards claquant au vent, arborant fièrement les logos des diverses multinationales sponsor.e.s des footballeurs. Il recevait, troublé, effaré même, quelques paroles étranges clamées avec enthousiasme par cette belle et sportive jeunesse française : sanglant, égorger, sang impur, féroces soldats…

    Il regardait ses coéquipiers bouger silencieusement les lèvres – television is watching you ! - d’autres marmonnant des incantations destinées à attirer sur eux la bienveillance des antiques dieux de la savane.

    Benzema, imperturbable, un léger voile d’inquiétude dans les yeux, avait décidé de ne pas faire semblant de chanter en ne chantant pas du tout. Il allait, dans un moment, à mains nues et les pieds uniquement armés de crampons, affronter les redoutables Lions (club de Brisbane, Australie, en match amical). Les maillots des champions étincelaient sous le soleil, marqués aux armes de Nike (prononcer Naïque) et d’EDF.

    Il avait décidé, ce jour-là, de ne plus chanter du tout car, décidément, ces paroles étaient indignes.

    Un exemple et un contre-exemple

    Bel exemple de pacifisme pour ces jeunes de banlieues dont il était devenu l’idole. Ils ne songeaient qu’à marcher dans ses traces, ils ne rêvaient tous que de voitures luxueuses, de sex-tapes torrides, de villas somptueuses à Malibu ou à Dubaï, décorées de damasquins aux couleurs chatoyantes, aux salles de bains rutilantes avec leurs robinets d’or, aux piscines remplies de superbes jeunes femmes à l’abondante chevelure d’un blond platiné, à la plastique généreuse et indéformable, comme dans un conte des mille et une nuits…

    L’exemplarité du discours et de l’attitude de Benzema s’arrête sans doute là ; le boxeur champion du monde Patrice Quarteron, d’origine guadeloupéenne, lui aussi issu de la banlieue – il est né à Sevran - est aussi un exemple pour les jeunes, d’autres jeunes, ceux qui sont reconnaissants à la France de les avoir accueillis. Il a violemment et publiquement[1] dénoncé l’attitude de Benzema, lorsqu’il s’est permis de cracher au sol lorsqu’a retenti la Marseillaise.

    « Sur les terrains, tu traînes partout ton arrogance, ton mépris du public, de la ferveur des supporteurs, des journalistes. Sûr de toi, convaincu d’être le prochain Zidane. Et encore… Tout ça n’est que du foot. Mais il a fallu que tu commettes l’impardonnable. L’insupportable. L’insulte à la nation.

    C’était en Espagne. La Marseillaise retentit, la France rend hommage aux victimes d’un attentat. Et toi, tu craches au sol. Si tu avais fait cela en Algérie, tu serais probablement un homme mort. »

    Ceci en réponse à la déclaration d’amour de Benzema pour le pays d’origine de ses parents :

    « Parce que l’Algérie c’est mon pays, voilà, mes parents ils viennent de là-bas. Après, la France… C’est plus sportif, voilà. »

    Et Patrice Quarteron d’exprimer sa propre position dans un langage coloré:

    « Quand vous portez un drapeau d'un pays où vous ne vivez pas, on vous dit "bravo, j'adore, c'est courageux, c'est un signe d'ouverture". Quand on porte le drapeau du pays dans lequel vous vivez, où vous payez vos impôts, avec lequel vous souffrez, aimez, combattez, on vous dit : "t'es un chien, un putain de facho". Je porte mon drapeau fièrement. Et j'emmerde les fils de putes qui préfèrent se sentir Américains, Marocains, Russes, etc. tout ça parce qu'ils vont en vacances une semaine dans un autre pays et reviennent en se sentant étrangers à leur propre pays. Soyez patriotes et reconnaissants. Vous devez tout à la France. »

    La Marseillaise : hymne national ou hymne républicain ?

    N’était cette remise en cause de notre hymne national, personne ne se serait intéressé outre mesure à ses paroles, inconnues pour la plupart des Français, hormis son refrain vengeur.

    Aux armes, citoyens,

    Formez vos bataillons,

    Marchons, marchons !

    Qu'un sang impur

    Abreuve nos sillons !

    Le texte est certes fort belliqueux, de même que le sont beaucoup d’hymnes nationaux dans le monde, tel celui des Algériens, le pays chéri de Benzema, où l’on perçoit un ressentiment vis-à-vis de la France qui a pourtant tout donné à ce pays qui n’existait pas, jusqu’à son nom et sur l’héritage duquel les Algériens vivent sans rien y avoir apporté depuis 1962 :

    Ô France ! le temps des palabres est révolu

    Nous l'avons clos comme on ferme un livre

    Ô France ! voici venu le jour où il te faut rendre des comptes

    Prépare-toi ! voici notre réponse.

    Mais revenons à notre hymne national : aucune ligue de vertu ne s’indigne à l’énoncé de ce « sang impur », parfaite illustration du racisme le plus abject ? Non, parce que le « sang impur » est celui des peuples européens à qui la France vient de déclarer la guerre, la Bohême et la Hongrie ; donc, le même sang que celui des Révolutionnaires, qui n’est donc pas plus impur ; les prémices de l’ethnomasochisme en quelque sorte.

    La Marseillaise fut chantée la première fois rue Thubaneau, à Marseille (d’où son nom), rue célèbre pour la prolifération de ses lupanars (loin de moi l’idée d’employer l’expression triviale de Patrice Quarteron !)

    Le premier couplet est le seul encore chanté (sur les sept que compte l’hymne) :

    Allons, enfants de la Patrie,

    Le jour de gloire est arrivé !

    Contre nous de la tyrannie

    L'étendard sanglant est levé, (bis)

    Entendez-vous dans les campagnes

    Mugir ces féroces soldats ?

    Ils viennent jusque dans vos bras

    Égorger vos fils, vos compagnes !

    Les féroces soldats en question sont donc ceux à qui la Révolution vient de déclarer la guerre et qui, à cet effet, a créé l’Armée du Rhin, dont la Marseillaise, à l’origine, était destinée à en être le chant.

    Cette Armée du Rhin comprendra d’innombrables sous-armées dont les dénominations varieront au gré des regroupements décidés par les Révolutionnaires. L’armée de Meuse, Sarre et Moselle fut confiée à François-Claude de Bouillé, monarchiste fidèle au roi et qui servit donc la France révolutionnaire qui ne lui en sut pas gré car il est stigmatisé par la cinquième strophe de la Marseillaise dans laquelle il devient le complice de ceux qu’il a combattus.

    Cette incohérence s’explique par le fait qu’il sut mater, à la demande de Lafayette, une mutinerie à Nancy avec la plus grande rigueur, il en fut même félicité, dans un premier temps, par l’Assemblée révolutionnaire ; mais la part importante qu’il prit à l’organisation de la fuite du roi ne le racheta pas.

     

    Où l’on constate que les paroles de la Marseillaise composées par Rouget de Lisle s’attachent (excepté le septième couplet qui n’est pas de lui) à décrire des péripéties très marquées temporairement sans pouvoir s’élever pour les dépasser à des considérations englobant l’histoire de France dans le temps, dans l’espace et dans l’énoncé. Ces paroles restent liées à une période bien précise : la Révolution, à la guerre menée contre le roi de Bohême et de Hongrie et au régime républicain qui l’a suivie, sans accéder au statut national, au « roman national » dirait-on aujourd’hui, que l’hymne mériterait.

    On peut déplorer que le seul nom cité soit celui de Bouillé pour le vilipender alors que les noms de héros authentiques qui ont lutté pour l’indépendance de la France ne sont pas mentionnés pour les glorifier, comme celui de Vercingétorix qui sut rassembler les Gaulois contre l’envahisseur romain, comme celui de Jeanne d’Arc qui se sacrifia pour bouter les Anglais hors de notre territoire, et comme tous ceux qui firent don de leur personne à la France.

     

    Pierre-Emile Blairon

     

    [1] https://www.valeursactuelles.com/societe/le-poing-final-de-patrice-quarteron-benzema-comment-oses-tu-cracher-sur-le-pays-qui-ta-nourri-94988

  • Hautes-Alpes : « L’action des identitaires s’inscrit dans un contexte d’explosion de l’immigration dans le département, le nombre de clandestins interpellés a été multiplié par 6 entre 2016 et 2017 »

     

    11h30

    Selon les statistiques fournies par la préfecture des Hautes-Alpes, entre 2016 et 2017, le nombre de personnes en situation irrégulière interpellées dans le département par les policier a été multiplié par six. Les chiffres de ce début d’année 2018 en la matière ont d’ores et déjà dépassé les statistiques de l’ensemble de l’année 2016.

     

    Le week-end dernier, une centaine de militants du groupe Génération Identitaire​ est venue sur le col de l’Echelle pour matérialiser et « rétablir » la frontière entre la France et l’Italie, à l’aide d’une barrière en plastique. Le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb a de son côté annoncé l’envoi dimanche soir de renforts de police et de gendarmerie « importants » pour « s’assurer du respect absolu du contrôle des frontières » dans les Hautes-Alpes.

    Ces actions s’inscrivent dans un contexte d’explosion du flux migratoire dans le département. Le secteur est devenu depuis peu et de manière inédite une nouvelle route de passage pour les migrants, sorte d’alternative à la frontière franco-italienne dans les Alpes-Maritimes, dans le secteur de Vintimille.

    (…)

    20minutes