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Blog - Page 1069

  • "En aucun cas la France n'interviendra au Mali"


    Hollande "en aucun cas la France n... par lepartidegauche

    Le 13/11/12

    (Regardez la vidéo en mode plein écran)

  • Otages en Algérie: "Nous tuerons chrétiens et infidèles"

    Depuis mercredi matin, les employés d'un site gazier sont retenus par des islamistes. D'après un otage qui s'est échappé, ces derniers ont indiqué qu'ils ne s'en prendraient pas aux musulmans mais tueraient "chrétiens et infidèles".

    Les islamistes retiennent en otage depuis mercredi matin les employés d'un site gazier dans le Sahara algérien. Les ravisseurs ont fait savoir qu'il détenaient 41 étrangers -des Américains, des Japonais et des Européens. Un Algérien, employé du complexe de Tigantourine, qui a réussi à s'échapper raconte que les activistes semblent avoir une bonne connaissance des lieux et emploient un vocabulaire d'islamisme radical.

    "Nous tuerons les infidèles", disent les ravisseurs aux otages, raconte-t-il. Ils auriaent indiqué au personnel local qu'ils ne s'enprendraient pas aux musulmans mais qu'ils tueraient les otages "chrétiens et infidèles". La voix tremblante d'émotion, Abdelkader explique qu'il estparvenu à s'échapper en même temps qu'une bonne partie des Algériens retenus. "J'ai de la chance", estime-t-il. Il dit craindre qu'un grand nombre de ses collègues étrangers ne soient morts.

    L'opération de l'armée algérienne semble se poursuivre

    Les ravisseurs, membres de la "Katiba des Moulathamine", issue d'Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), réclament la fin de l'intervention française au Mali. L'opération de l'armée algérienne pour mettre fin au siège semblait se poursuivre jeudi soir.

    L'agence algérienne APS indique que quatre otages - un Français, deux Britanniques et un Kényan- ont été libérés lors d'un assaut de l'armée algériennne, ainsi que 600 Algériens. Une trentaine ont réussi à s'échapper des environs du complexe. Six otages auraient été tués.

  • Bénédiction des animaux au Vatican

    Comme chaque année à l'occasion de la Saint-Antoine, le Vatican a béni animaux de la ferme et éleveurs lors d'une brève cérémonie.

    Veaux, vaches, cochons, l'espace d'une matinée et le temps d'une bénédiction, les animaux de la ferme ont fait leur apparition jeudi sur la place Saint-Pierre au Vatican, comme chaque année à l'occasion de la Saint-Antoine, patron des éleveurs et protecteur des animaux. Sous une pluie glaciale, lors d'une brève cérémonie auprès de la Colonnade du Bernin, les animaux, créatures de Dieu, ont reçu la bénédiction annuelle du cardinal Angelo Comastri, vicaire général du pape pour la Cité du Vatican.

    Le prélat italien a ensuite parcouru la petite foire en saluant chaque éleveur et en remettant un petit souvenir du Vatican. Auparavant un majestueux défilé de cavaliers avait remonté la via della Conciliazione : cavaliers de la police, des carabiniers et de la Garde des finances, agents à cheval de l'Office national des forêts, personnages en habit Renaissance à cheval ou en calèche. Un check-up gratuit de santé avait été proposé par des vétérinaires aux rares Romains venus visiter "la ferme sous le ciel", comme était baptisée cette manifestation, et qui avaient apporté leurs chats et leurs chiens.

    "Il y a un sens religieux à tout cela !"

    "Nous avons toujours eu des chiens. Et nous voulions les faire baptiser. C'est quelque chose, disons que l'esprit est beau !", a déclaré une Romaine de 50 ans. "Il faut toujours considérer les êtres humains en premier, mais les animaux arrivent juste après", a témoigné un homme, ajoutant : "Je ne sais pas quel sens religieux il faut trouver. Mais je sais que Jésus Christ a parlé aussi très souvent des animaux. Donc il doit y avoir, il y a un sens religieux à tout cela !".

    L'Association des éleveurs italiens (AIA) organisait cette exposition pour la sixième fois sur la grande place du plus petit Etat du monde. Une messe a été dite pour les éleveurs dans la basilique Saint-Pierre par le cardinal Comastri.

  • Rencontre à Metz avec Théo Ciccoli , 8 ans, champion mondial d'échecs

    Permalien: http://lci.tf1.fr/france/societe/le-20h-avant-l-heure-rencontre-avec-theo-8-ans-champion-mondial-7776261.html

    TF1 News - 17/01/13

  • L'Angleterre "en avance" sur nous...

    sans-titre.png anglais bourrage de crâne.png

    17 janvier 2013

    Ecoliers anglais en pleine séance de bourrage de crâne sur l’esclavage.

     

    source Lionel Baland

    Contre-info.com

  • Les Touaregs sont contre l'intervention française au Mali

    Le chef de l’organisation politique et militaire séparatiste active au Mali a démenti dans une interview accordée à La Voix de la Russie que les Touaregs soutiennent l’opération militaire des l’Armée de l’air française contre les islamistes au Nord du pays.

    Abu Bakr al-Ansari,le chef du Mouvement national pour la libération de l’Azawad (MNLA), une organisation séparatiste malienne indique que les Touaregs auraient pu agir ensemble avec les troupes françaises, si Paris avait montré sa volonté de coopérer avec eux. Mais cette chance n’a pas été saisie.

    « François Hollande a pris une décision hâtive et s’est immiscé dans nos affaires intérieures sans se concerter avec nous ou nos alliés. C’est la raison du changement de notre politique et de notre plan d’action », a déclaré le chef de la MNLA.


    La Voix de la Russie : Est-ce que veut dire que vous êtes contre l'intervention militaire de la France?

    Abu Bakr al-Ansari : Nous sommes opposés toute intervention militaire à notre insu, que ce soit la France ou les forces armées des autres pays africains. Notre peuple ne tolère pas que d'autres puissent résoudre nos problèmes par la voie militaire. Nous avons besoin d'armes pour lutter contre les extrémistes islamiques à Azawad. Mais nous n’avons pas besoin de troupes étrangères ici.

    François Hollande a introduit les troupes françaises dans le pays car il poursuit ses propres objectifs. Sa décision ressemble à celle de Georges W. Bush qui a ordonné d’envahir l’Afghanistan sous un prétexte officiel, mais en le faisant dans son propre but. Le président français va payer pour cette erreur, car il risque de perdre son autorité et son influence en Afrique du Nord et dans le Moyen-Orient.


    La Voix de la Russie : Selon vous, que peut-on faire actuellement pour sauver la situation au Mali et éviter les massacres?

    Abu Bakr al-Ansari: Nous avons dès le début mené des négociations avec la France et les Etats-Unis par nos propres moyens. Et nous nous sommes clairement mis d’accord qu’il ne devrait pas y avoir d’intervention étrangère au Mali. Il faut résoudre le problème comme au Kosovo. Le mouvement national albanais a réussi à se mettre d’accord avec les Etats-Unis sur la séparation du Kosovo de la Serbie par les moyens politiques. C’est ainsi que cela devrait être au Mali et nous nous prononçons en faveur de ce scénario.

    17/01/13

  • Des députés UMP, dont Lionnel Luca et Alain Marleix, cosignent une proposition de loi avec Marion Maréchal-Le Pen

     

    Plusieurs députés UMP, dont le chef de file de la droite populaire Lionnel Luca et l’ancien secrétaire d’État aux Anciens combattants puis à l’Intérieur et aux Collectivités territoriales Alain Marleix, ont cosigné une proposition de loi avec la députée FN Marion Maréchal-Le Pen.

    Le texte en question porte sur la « reconnaissance du génocide vendéen de 1793-1794 » et a été « enregistré à la présidence de l’Assemblée nationale le 16 janvier 2013 » avant d’être publié le jeudi 17 sur le site de l’Assemblée.

    En dehors de Luca, Marleix et Maréchal-Le Pen, les autres signataires du texte sont Dominique Tian, Alain Leboeuf et Philippe Vitel, tous trois élus UMP, ainsi que Véronique Besse et Yannick Moreau, qui siègent tous les deux parmi les non-inscrits, comme Marion Maréchal-Le Pen.

    Lire la suite

  • Lyon - Hamed: "je veux faire sexe avec toi"

    Hamed est-il bien Hamed ? Lundi, alors qu’il devait être jugé devant le tribunal correctionnel de Lyon, en comparution immédiate, l’homme s’est montré peu coopératif. Esquivant, non sans arrogance, toutes les questions de la présidente Isabelle Bloch, lui ordonnant même « d’aller droit au but ».

    SDF, jamais condamné en France, en tout cas sous l’identité déclinée, Hamed El G. est en séjour irrégulier et fait déjà l’objet d’une mesure d’éloignement. Jamais exécutée. Car il n’a pas de papiers d’identité, Hamed, si bien qu’il est impossible de déterminer sa nationalité. Dit-il seulement la vérité quand il affirme être Égyptien, avoir 26 ans et vivre en France depuis quatre ans où il travaille dans le bâtiment, au noir, évidemment ?

    Malgré la présence de témoins, il suit la jeune femme jusqu’à son domicile

    Interpellé le 13 janvier, vers 2 heures, il est soupçonné d’avoir agressé sexuellement une jeune femme dans le 5e arrondissement de Lyon. Il avait repéré sa victime, place Bellecour, au moment où elle quittait des amis pour rentrer chez elle à pied, du côté de la montée de Choulans. Tout le long du parcours, elle a bien tenté de s’en débarrasser. En vain. L’homme la suit de très près. Il dit ne pas parler le français - d’ailleurs un interprète l’assiste devant le tribunal -, et pourtant, c’est bien dans cette langue qu’il répète à la jeune femme « je veux faire sexe avec toi ».

    Alors qu’elle est sur le point d’arriver chez elle, il la plaque contre un mur, dans une petite rue sombre, lui touche les fesses, les seins. La jeune femme se débat, hurle, appelle à l’aide. Par chance et malgré l’heure tardive, deux couples viennent d’emprunter le même chemin. Ils l’entendent et comprennent vite qu’il ne s’agit pas d’une querelle entre amoureux. Ils s’interposent et aident la jeune femme à regagner son domicile tout proche.

    Mais Hamed, tenace, les suit. Il trouve même le moyen de pénétrer dans l’immeuble de la jeune femme, pourtant sécurisé. C’est là qu’un équipage de police le cueillera pour le conduire en garde à vue.

    L’affaire n’a finalement pas été jugée. Le tribunal l’a renvoyée à une date ultérieure, dans l’attente d’une expertise psychiatrique obligatoire dans le cas d’agression sexuelle.

    Ch. M.

    Le Progrès.fr - 16/01/13

  • Algérie: "un dénouement dans des conditions dramatiques" selon Hollande

    http://www.leparisien.fr/international/en-direct-algerie-les-ravisseurs-annoncent-la-mort-d-otages-dans-une-operation-de-l-armee-17-01-2013-2489277.php

  • Gouverner, c'est prévoir... - Les jeunes Maliens vivant en France pourraient être mobilisés pour prendre part au conflit à la place de l'armée française

    sans-titre.png Bruno Gollnisch.png

    Rien de mieux qu’une bonne guerre menée contre le terrorisme islamiste pour ressouder le pays derrière le chef de l’Etat. C’est en tout cas ce que penseront les plus cyniques. A la tête d’un gouvernement impopulaire, empêtré dans son idéologie socialo-mondialiste, paralysé, impuissant devant la violente crise sociale, économique et identitaire ; un gouvernement qui divise actuellement les Français avec son prosélytisme forcené en faveur du mariage et de l’adoption pour les couples homos ; un gouvernement qui renie les unes après les autres, la plupart des promesses de campagne du candidat Hollande. L’intervention militaire au Mali semble répondre (aussi) à une urgente nécessité pour faire diversion et redorer le blason du locataire de l’Elysée.

    Certes, Bruno Gollnisch rappelait incidemment sur France 2 lundi soir que François Hollande avait également promis de ne pas intervenir en Afrique lors de la campagne présidentielle, mais le député frontiste, à l’instar de Marine Le Pen et de la direction du FN, n’a pas contesté la légitimité de l’opération Serval, de cet engagement de nos soldats pour stopper la progression des fous d’Allah. Même si l’indécision du chef de l’Etat a permis aux islamistes de renforcer leurs positions ces derniers mois.

    Une expansion problématique du djihad en Afrique, qui, comme l’a rappelé la présidente du FN, découle directement de la déstabilisation de la Libye à laquelle le gouvernement précédent, avec le soutien du PS, a grandement contribué…Pour ne rien dire de l’actuel soutien français à la déstabilisation du régime laïc syrien par un terrorisme de même nature.

    A l’heure ou nous écrivons ces lignes l’offensive française au Mali a pris un nouveau tournant avec l’engagement au sol de nos troupes, guerre qui a déjà fait quatre victimes françaises: trois militaires en Somalie, dont l’otage aux mains des ShebabDenis Allex” , et un pilote d’hélicoptère au Mali, le lieutenant Damien Boiteux.. L’Algérie a permis aux avions de combat français de survoler son espace aérien. Comme nous l’avions relevé alors, la visite de François Hollande à Alger en décembre visait aussi à obtenir le soutien tacite des autorités algériennes…

    Dans un communiqué en date du 14 janvier réservé aux abonnés de sa remarquable revue l’Afrique Réelle, Bernard Lugan souligne que « la situation malienne, somme toutes sous contrôle, cache l’incendie qui est actuellement en train de se développer dans la zone péri Tchadique. Le chaos en retour se fait en effet sentir dans tout le sud de la Libye, cependant que la contagion n’est plus qu’une question de temps au Tchad et au Darfour avec le risque de voir un continuum fondamentaliste s’établir avec les islamistes de Boko Haram du nord Nigeria (…) »

    « Il aura donc fallu leur suicidaire tentative (des islamistes, NDLR) de progression vers le sud pour que, acculé et dans l’urgence, le président de la République donne l’ordre d’intervenir. »

    Le professeur Lugan estime également que « sans un règlement politique de la question malienne, à savoir la définition d’un nouvel équilibre entre le nord et le sud du pays, nous n’allons faire que repousser le problème. En effet, si les frappes françaises ont pour seul but d’empêcher une descente des islamistes vers Bamako et cela pour donner le temps à la CEDEAO (Communauté Economique Des Etats de l’Afrique de l’Ouest, regroupant 15 pays, NDLR) de mettre sur pied l’expédition qui permettra au sud Mali de reconquérir le nord Mali, rien ne sera réglé car, plus que jamais, la question touareg est le cœur du problème (…). »

    « Rien ne pouvant se faire sans les Touareg, si nous voulons qu’ils participent à la police du désert, il faut donc leur donner des gages politiques. Les autorités de Bamako pourront-elles comprendre cette nécessité et pourront-elles se résoudre à l’évidence quand l’inévitable reconquête sonnera au contraire l’heure de la vengeance? Il est permis d’en douter. »

    C’était à prévoir, les djihadistes nous ont menacé de représailles sanglantes, de « frapper le cœur de la France ». Interrogé sur le blog du grand reporter Frédéric Helbert, Le juge anti-terrroriste Marc Trévidic affirme que notre pays est en effet exposé. « Avec une communauté malienne importante en France, et au delà une communauté de populations africaines musulmanes, il va falloir faire très attention (…). Il ne s’agit pas de stigmatiser qui que ce soit, mais il ne faut pas rêver, il y a là un terreau fantastique pour les islamistes qui à des milliers de kilomètres trouveront sur notre sol quand ce n’est pas déja fait des alliés précieux, ou des soldats au sein de ces communautés, pour frapper la France ennemie.»

    Le juge Trévidic souligne aussi que « pour la première fois, avec le Mali, on a un Jihad très fort en terre d’Afrique, en terre noire. Donc pour la première fois, il y a un « Jihad Black », un Jihad fait pour les blacks, par les blacks (…).Les blacks des groupes islamistes au Mali ont pris une forme de revanche, montrant qu’il étaient capables de rivaliser avec les arabes, (…) qu’ils étaient capables de partir à la conquête, d’aller à la confrontation et de conduire leur propre Jihad, de défendre efficacement les vertus radicales de l’Islam Salafiste, de la charia dans son application la plus rigoureuse.(…) on peut appeler ça un Jihadist black power. »

    « Avec et c’est là notre inquiétude note-t-il encore, une capacité d’entrainement des populations musulmanes africaines de France et d’ailleurs que nous ne pouvons mesurer à l’heure actuelle, mais qui va augmenter mécaniquement. C’est là que réside une menace potentielle de très grande ampleur. Dont l’ennemi numéro un est la France. »

    Les prémices de la situation actuelle avaient été analysées par le FN il y a plus de vingt ans, qui encore une fois eu le grand tort d’avoir raison avant les autres...Dans un monde conjuguant explosion démographique, réveil identitaire et prosélytisme religieux agressif potentiellement lourds de menaces, Bruno Gollnisch affirme que la politique immigrationniste menée par la droite et la gauche depuis quarante ans –MM. Hollande et Valls se sont engagés encore dernièrement à faciliter l’octroi de visas pour les Algériens- est dramatique pour notre pays.

    Le regroupement familial, le dynamisme démographique des nouvelles populations installées chez nous, les échecs de l’assimilation conjugués à l’acquisition automatique de la nationalité française en vertu du droit du sol, le développement d’un communautarisme rejetant un « modèle » français « décadent » (peut-on d’ailleurs le nier totalement ?), sont autant de bombes à retardement pour l’équilibre, la sécurité, le devenir de la France et des Français. Gouverner c’est prévoir dit l’adage. “Ils” n’ont rien vu venir.

    Enfin signalons que le très new yorkais site d’information Huffington Post , dont l’édition française est cornaquée par Anne Sinclair, a hurlé au « dérapage» (sic) , suite à l’intervention de Bruno Gollnisch hier au Parlement européen sur ce conflit. Pourquoi? Parce que le député européen frontiste a proposé que « les jeunes Maliens vivant en France» soient enrôlés pour remplacer à terme l’armée française dans le conflit qui déchire leur pays.

    « Contacté par Le Huffington Post précise le site de l’ex-épouse de DSK, , Bruno Gollnisch persiste et signe:Je confirme. Je dirais que j’ai exactement la même réaction que sur l’Afghanistan. Je pense que le gouvernement afghan aurait pu demander à enrôler ces jeunes gens. Je rappelle, on fusillait les déserteurs. Là, on pourrait constituer des bataillons de jeunes Maliens vivant en France pour prendre part au conflit à la place de l’armée française.

    Je ne demande pas que l’on fusille les déserteurs, bien entendu.

    Mais le gouvernement malien, allié de la France dans cette affaire, pourrait très bien décréter la mobilisation d’une tranche d’âge et demander en conséquence que les jeunes Maliens en France retournent au Mali. Ces pays sont indépendants, je ne suis pas colonialiste.

    Cette proposition peut choquer mais permettrait à la France d’être en retrait de ce conflit afin que les africains se défendent par eux-mêmes. Pour autant, je ne condamne pas l’intervention de l’armée française, car on ne peut pas se permettre d’avoir au cœur de l’Afrique des Etats sous contrôle de jihadistes

    «Le député frontiste poursuit et article a aussi critiqué la baisse du budget militaire français depuis 2007, affirmant que “si le lieutenant Boiteux a été tué, c’est parce qu’il était sur un hélicoptère Gazelle. Il faudrait des hélicoptères Tigre [leur remplaçant, ndlr].» Une triste vérité.

    Blog de Bruno Gollnisch - 16/01/13

  • La Russie sanctionne toute collaboration en faveur de l’immigration

    sans-titre.png Russie.png

     

     

    16/01/2013 – 14h00
    MOSCOU (NOVOpress) – Alors que les socialistes français viennent de supprimer le « délit de solidarité » afin de ne pas sanctionner les personnes qui collaborent à l’immigration de masse, en Russie, c’est l’inverse : le président Vladimir Poutine vient de présenter des amendements à la loi « Sur le droit des citoyens russes à la liberté de mouvement et de choix de résidence au sein de la Fédération de Russie ». Pour la première fois, la responsabilité du propriétaire de l’habitation dans laquelle un étranger vit illégalement, est engagée : les personnes physiques devraient avoir à payer jusqu’à 7.000, les personnes morales jusqu’ à 8.000 roubles.

     

    De plus, en cas de violation des lois sur l’immigration, un propriétaire peut être tenu pénalement responsable et être emprisonné pour une période maximale de trois ans. Ces amendements s’inscrivent dans la « guerre contre les abus généralisés du droit des propriétaires immobiliers à l’enregistrement des citoyens ». Ces mesures correspondent aux attentes des Russes : près de 70% de la population souhaitent que l’immigration soit ralentie dans leur pays.

    Crédit photo : hdes.copeland via Wikipédia (cc).

    [cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • Guerre au Mali: Bravo Hollande!

    Par Bernard-Henri Lévy

     

    L’intervention française au Mali est une bonne chose pour, au moins, cinq raisons.

     

    1. Elle donne un coup d’arrêt à l’instauration d’un État terroriste au cœur de l’Afrique et aux portes de l’Europe : la riposte des intéressés, leur discipline, ce que l’on découvre de la sophistication de leurs armements et de leur capacité, notamment, à frapper des appareils en plein ciel, achèverait, si besoin était, de prouver que l’on avait bien affaire à une armée du crime – organisée, entraînée, redoutable.

    Bernard-Henri Lévy

    Bernard-Henri Lévy est de tous les combats pour la dignité...

    « François Hollande tient là sa première vraie épreuve -politique – et son face-à-face avec l’Histoire »

     

    2. Elle met en échec ce qui, au-delà du Mali, était le vrai but de guerre d’Ansar Dine : renforcer les cellules islamistes opérant, à l’Ouest, en Mauritanie et, à l’Est, au Niger ; faire la jonction, au Sud, avec les combattants de Boko Haram, ce mouvement islamiste fou qui sème la mort au Nigeria ; cisailler, ainsi, la sous-région par un axe du crime qu’il eût été, sans l’opération d’aujourd’hui, presque impossible de briser.

     

    3. Elle confirme, sur le plan des principes, ce devoir de protection qu’avait déjà établi l’intervention en Libye : une fois, c’est un précédent ; deux fois, c’est une jurisprudence ; et, pour les partisans du devoir d’ingérence, pour les adversaires d’un droit des peuples à disposer d’eux-mêmes allègrement confondu avec le droit des nantis à se laver les mains du sort des damnés de la terre, pour tous ceux qui pensent que la démocratie n’a pas plus de frontières que n’en a le terrorisme, c’est une avancée.

     

    4. Elle réaffirme l’antique théorie de la guerre juste déjà ressuscitée, elle aussi, par la guerre de Libye : François Hollande ne s’est résolu à l’emploi de la force qu’en dernière extrémité ; il l’a fait en plein accord avec la légalité internationale telle que formulée par la résolution du 12 décembre du Conseil de sécurité ; il s’est assuré, enfin, que l’opération avait des chances raisonnables de succès et que le mal qu’elle causerait serait moins grand que celui qu’elle empêcherait ; c’est la théorie de Grotius ; c’est celle de saint Thomas ; c’est une belle et bonne leçon de philosophie pratique.

     

    5. Elle redit, enfin, le rôle éminent de la France, en première ligne de la lutte pour la démocratie : Hollande dans les pas de Sarkozy ? Comme si c’était le problème ! comme si ce qui se passe n’était pas mille fois plus important que telle ou telle rivalité mimétique ou politique ! vue, par exemple, des États-Unis, la France est en train d’inventer, tous régimes confondus, une doctrine stratégique et éthique prenant également à revers ces deux fléaux jumeaux que sont, d’une part, le néoconservatisme et, de l’autre, le souverainisme – et de cela encore, sans être exagérément « patriote », on aurait tort de ne pas se réjouir.

     

    Reste qu’à l’heure – lundi soir – où j’écris ces lignes, la partie est loin d’être gagnée et que l’on aurait, également, tort de pavoiser.

     

    1. Il y a la menace terroriste brandie par les talibans des sables quand, par la voix d’Oumar Ould Hamaha, alias Barbe rouge, ils s’en prennent (JDD du 13 janvier) aux Français qui, ayant « ouvert les portes de l’enfer », ne s’en prendront qu’à eux-mêmes d’avoir à y brûler : la propre rhétorique d’Al-Qaeda ; son délire apocalyptique ; mais un risque bien réel pour des populations civiles qui sont, comme d’habitude, la cible de ces gens.

     

    2. Il y a la question de nos otages dont ces maîtres chanteurs se sont avisés, sans doute à leur grande surprise, qu’ils n’étaient pas les boucliers qu’ils avaient cru et qu’ils ne suffisaient donc pas à les sanctuariser : comment réagit-on quand on a perdu son assurance-vie ? s’en débarrasse-t-on comme d’un paquet encombrant ? se venge-t-on ? négocie-t-on ce qui reste à négocier ? Ou devons-nous nous attendre à devoir pleurer, un jour, des Daniel Pearl français ? L’idée fait frémir.

     

    3. Il y a, sur le terrain, les conditions très particulières de la guerre du désert : souvent, on dit que le désert est la terre la plus nue et que l’on y est plus à découvert, plus vulnérable, qu’ailleurs ; c’est une erreur ; c’est le contraire ; quiconque a croisé, en Libye justement, des combattants fondus dans le sable des dunes, quiconque a vu une colonne de pick-up qu’aucun satellite n’avait repérée surgir du néant où elle se camouflait, sait que cette guerre sera longue, qu’elle sera traîtresse – et que défaire les fondamentalistes maliens ne sera pas une promenade de santé.

     

    4. Il y a la solution politique qu’il faut tout faire pour favoriser en même temps que se poursuivent les frappes : que dire aux Touareg ? Que faire de leur volonté d’indépendance ancienne et, d’une certaine façon, légitime ? comment reconstruit-on un pays sans État, une nation sans gouvernement ni armée ? Et, à Bamako même, sur qui peut-on compter pour que s’invente un commencement de démocratie ? Autant de questions pour l’instant sans réponse et qui exigeront autant de doigté politique que de fermeté militaire.

     

    5. Et puis il y aura, très vite, l’inévitable concert des Cassandre, criant à l’enlisement, au nouveau Vietnam, à l’aventurisme d’une guerre qui ne devait durer que quelques jours et à qui l’on reprochera, sous huitaine, de s’éterniser : caprice de la parole en démocratie d’opinion ! munichisme de cette France bien-pensante, sans générosité, cauteleuse, qui ne se résout qu’à regret à l’union nationale d’aujourd’hui ! aura-t-on assez de ténacité pour y résister ? saura-t-on opposer le mépris qui convient à ceux qui crient déjà au retour de la Françafrique et de ses réflexes néocoloniaux ?

     

    François Hollande tient là sa première vraie épreuve -politique – et son face-à-face avec l’Histoire.

     
    Crif - 16/01/13
  • Elisabeth Badinter dit "oui" au mariage homosexuel - Ca vous étonne ?

    Publiée le 15 déc. 2012

    Discours d'Élisabeth Badinter sur le mariage pour tous donné à l'Assemblée Nationale le jeudi 13 décembre 2012.

  • L’intervention militaire française au Mali vise-t-elle à assurer les intérêts d’Areva ?

     

     

    Les soldats français vont-ils risquer leur vie au Mali pour « la France » ? Pour empêcher « l’islamisation » de la région ? Pour défendre la « conditions des femmes et de la liberté d’expression », comme l’indiquait Bernard Kouchner sur BFMTV ce samedi, ou pour qu’Areva puisse obtenir les droits d’exploitation d’une mine d’uranium de 5.000 tonnes dans le sud-ouest du pays qu’elle convoite depuis de nombreuses années ?

    L’intervention française, baptisée « Opération Serval », du nom d’un félin africain, a été décidée après que les islamistes d’Ansar Edine ont pris plusieurs positions dans le sud du pays, notamment la région de Komma, et menacé de prendre la capitale Bamako, et donc d’avoir un contrôle total du pays.

    Une situation qui posait un problème à la France, non pas pour les raisons « humanitaires » si chères à Bernard Kouchner et autres BHL, mais plus vraisemblablement parce que la société Areva, groupe industriel français spécialisé dans les métiers du nucléaire, en particulier l’extraction de minerai d’uranium, bataille depuis plusieurs années pour obtenir l’exploitation de quelques 5.000 tonnes de minerai qui se trouvent à Faléa, une commune de 21 villages et 17.000 habitants, située dans une région isolée à 350 kilomètres de Bamako.

    L’histoire de l’exploration du sous-sol de la région de Faléa ne date pas d’hier : dans les années 1970, déjà, la Cogema (l’ancien nom d’Areva) et le Bureau de Recherche Géologique Minière en collaboration avec la société d’État malienne (SONAREM) avaient effectué travaux de prospection. L’exploitation n’avait pas semblé rentable à l’époque, notamment du fait de l’enclavement de la zone, des problèmes d’accès à l’eau et de l’énergie nécessaire au fonctionnement de la mine. Depuis, le contexte mondial a changé et c’est désormais une véritable « colonisation minière » qui se joue au Mali.

    Depuis 2005, la société canadienne Rockgate a été mandatée par le gouvernement malien afin d’effectuer des forages et recherches à Faléa. Rockgate a produit en 2010 un rapport préliminaire, qui a ensuite été complété par Golder Associates, une société internationale de « conseils dans les domaines connexes de l’énergie » qui indique « que le Mali offre un environnement de classe mondiale pour l’exploitation d’uranium ».

    Depuis 2011, Rockgate a mandaté l’entreprise française Foraco, basée à Marseille et cotée en bourse à Toronto, pour l’aider dans l’expansion des explorations et forages à Faléa.

    La France semble donc bien engagée sur le dossier de l’uranium malien. D’ailleurs, son ambassadeur, Christian Rouyer, déclarait il y a quelques mois « qu’Areva sera le futur exploitant de la mine d’uranium à Faléa ».

    De là à penser que l’intervention militaire française au Mali vise principalement à protéger les intérêts d’Areva, il n’y a qu’un pas.

    Spencer Delane, pour Mecanopolis

    E&R

  • Prise d'otages en Algérie: les ravisseurs mettent en garde contre un assaut - 16/01/2013

     

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        Les terroristes, qui ont pris des otages et tué des citoyens étrangers sur la base de British Petroleum dans le sud de l'Algérie, ont menacé de faire exploser le site en cas d'assaut par l'armée algérienne.

    Un employé étranger de la base a confié au site d'information Dernières Nouvelles d'Algérie (DNA) que les membres du groupe terroriste étaient toujours à l'intérieur du bâtiment d'habitation abritant quelque 2.000 personnes et que les ravisseurs menaçaient de faire exploser l'édifice si l'armée algérienne décidait de lancer un assaut.

    Selon le ministère algérien de l'Intérieur, l'attaque des terroristes contre la base pétrolière s'est soldée par le décès d'un ressortissant étranger, rapporte DNA. Six personnes (deux techniciens étrangers, deux gendarmes et deux agents de sécurité) ont été blessées. 
      
    ALTERINFO 
  • Mali : la guerre éclair des intervenants

     

     
    Nikita Sorokine, Rédaction en ligne
    16.01.2013, 19:33, heure de Moscou
     

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    Photo : EPA

    La situation au Mali évolue très rapidement. Les Mirages et Rafales français bombardent les positions et les bases arrières des jihadistes, des blindés français sont entrés dans la capitale Bamako et des rebelles touaregs ont récemment apporté leur soutien au pouvoir malien. Cependant, les experts sont loin d’être optimistes : il y a de fortes chances que le Mali devient l’Afghanistan de la région, et même pire, qu’il entraîne dans un chaos sanglant les pays voisins.

    La décision des touaregs du MNLA (Mouvement national pour la libération de l'Azawad) de se ranger du côté des autorités maliennes est une des nouvelles les plus récentes du front. Il s’agit, bien évidemment, d’une nouvelle positive, mais cela ajoute encore de la confusion à une situation à l’avenir encore bien incertain. Les touaregs sont prêts à combattre les islamistes avec les militaires français , mais ne souhaitent pas, en cas de victoire, voir une armée du gouvernement ou de la coalition au nord du Mali, qu’ils considèrent comme leur territoire.

    Les forces de maintien de la paix de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) seront déployées cette semaine. De plus, le président François Hollande a récemment déclaré que le corps expéditionnaire français comprenait 750 soldats et officiers et qu’il allait bientôt être renforcé.

    Le Dr Lori-Anne Théroux-Bénoni, expert en opération de paix de l’Université de Montréal au Canada, constate dans un entretien avec La Voix de la Russie, que nous sommes les témoins de la finalisation de l’internationalisation du conflit malien :

    « Il y a de nombreux participants à ce jeu. Pour que l’opération soit un succès, il faut une forte coordination entre les différents intervenants. Il le faut pour comprendre nos objectifs et s’assurer que tous joignent leurs efforts dans cette direction. Lorsque l’opération a commencé, une des questions que se posaient les analystes et les commentateurs concernait les buts de la mission : quels sont les objectifs de l’opération et quelle est leur portée ? »

    Dans un entretien avec La Voix de la Russie, Méhari Maru, chercheuse à l’Institut d’études de sécurité de l’Union africaine, souligne que la durée et l’issue du conflit sont imprévisibles, et ce, depuis le début :

    « De tels conflits ne peuvent se régler seulement par une intervention militaire, comme le pense la France, parce qu’ils impliquent une multitude de problèmes. Il ne s’agit pas que de terrorisme, mais aussi des dirigeants des mouvements nationalistes, qui aspirent à une autonomie et une meilleure gestion du pays. Ils insistent également sur la liberté religieuse en tant que telle. Le mouvement d’insurrection a donc plusieurs aspects et le climat ambiant requiert une solution complexe. Que peuvent faire les Français ? Ils sont arrivés, mais divers groupes, qui « dorment » en ce moment, peuvent de nouveau reprendre le dessus grâce à leurs exigences nationalistes et régionales.

    Les touaregs veulent être autonomes ; les islamistes du groupe Ansar Dine (qui aurait des liens avec Al-Qaïda) et les salafistes du Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (MUJAO) souhaitent installer un califat au Mali ; les autorités de Bamako, faibles et disparates, cherchent à retrouver le statu quo. Pour de nombreux experts, les oppositions au sein du conglomérat, tout aussi bariolé, de différents groupes politiques, ethniques et religieux rappellent la situation en Afghanistan. Au Mali, exactement comme en Afghanistan, les islamistes, très idéologiquement marqués, agissent de façon plus habile et plus organisée. Il est peu probable qu’ils cèdent rapidement à la bienveillance des Français et de leurs alliés locaux du CEDEAO. Les experts pensent plutôt le contraire, à savoir que cette intervention peut provoquer l’intensification des activités islamistes dans les pays voisins, vu que leurs frontières n’ont qu’une signification conventionnelle et géographique et qu’elles ne sont pas défendues. En somme, la guerre éclair des militaires français et ouest-africains, qui rencontre un franc succès pour le moment, risque de devenir une très longue guerre pour un très grand territoire.

    D’ailleurs, certains pensent que tout ce qu’il s’est produit ces dernières années en Afrique du Nord et de l’Ouest, les révolutions arabes, est un processus tout à fait normal, dicté par l’époque. Comme l’a dit Véniamine Popov, ancien ambassadeur de l’URSS et de la Russie à Tripoli, à la fin de la guerre en Libye, il se produit un « déplacement des plaques tectoniques » au niveau mondial. Il se trouve qu’il a commencé dans cette partie du monde.

    La Voix de la Russie