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Blog - Page 1068

  • Mali: les ressortissants français méfiants - 19.01.13

    Lien vidéo: http://videos.tf1.fr/jt-we/mali-les-ressortissants-francais-mefiants-7784273.html

    A Bamako, les ressortissants français craignent un scénario identique à l'Algérie, d'autant que des djihadistes seraient infiltrés dans le capitale. Ils restent donc chez eux et limitent leurs déplacements.

  • La prise d'otages en Algérie se termine dns le sang

    http://www.lefigaro.fr/international/2013/01/19/01003-20130119ARTFIG00425-la-prise-d-otages-en-algerie-se-termine-dans-le-sang.php

     

  • In Amenas : présence mystérieuse d’un ancien militaire français - 19/01/2013

     

    In Amenas : Présence mystérieuse d’un ancien militaire français





        La présence sur le site gazier de Tiguentourine d’un ancien militaire français répondant au nom Yann Desjeux (52 ans), qui a été tué au cours de l’assaut lancé par les forces de sécurité algériennes contre les assaillants, reste mystérieuse même pour ses proches.

    Même le maire de la commune, d’où est natif l’otage,  Anglet dans les Pyrénées-Atlantiques (France), s’est refusé à tout commentaire quand la question relative au motif de son déplacement en Algérie lui a été posée se limitant à déclarer qu’il n’était pas du tout au courant.

    Le cuisinier du restaurant que la victime tenait à Anglet a indiqué au journal “Le Parisien” que “lorsque Yann Desjeux n’était pas en mission, il venait souvent à son restaurant (photo) qui était tenu par son associé ainsi que par la femme et la fille de celui-ci”.

    Il décrit son patron comme “un homme sympathique” par ses voisins, ceux-ci n’ont toutefois pas indiqué être au courant de son autre activité.

    Présenté comme un responsable logistique et approvisionnements du groupe français CIS Catering, qui assure l’hôtellerie et la restauration sur le site d’In Amenas.

    Mais la société CIS Catering a vite apporté un démenti formel, précisant que Yann Desjeux “ne fait pas partie de notre personnel”. La société précise n’avoir pas d’expatriés français sur le site gazier de Tiguentourine, n’ayant que du personnel local. Ajoutant davantage à la confusion quant à la présence de cet ancien militaire français sur ce site.

    L’ancien membre des forces spéciales françaises ayant opéré en Afghanistan et récemment au Mali serait aux dernières nouvelles un employé de la société chargée de la sécurisation du site de Tiguentourine.

     

    http://www.algerie1.com/actualite/in-amenas-presence-mysterieuse-dun-ancien-militaire-francais/ http://www.algerie1.com/actualite/in-amenas-presence-mysterieuse-dun-ancien-militaire-francais

    ALTERINFO

  • Hillary Clinton pourrait devenir aveugle

     

     
     
    15.01.2013, 23:40, heure de Moscou
     

    Хиллари Клинтон

     
    Photо: EPA

    La secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton risque de perdre la vue. Un caillot de sang qui s’est formé dans le cerveau de l’ex-première dame d’Amérique pourrait endommager son nerf optique, provoquant la cécité. En outre, en raison du caillot de sang, la secrétaire d'État souffre de pertes de mémoire et de syncopes. Cette information a été rapportée par les médias israéliens qui citent des sources de l’entourage de Clinton.

    « Clinton garde ce diagnostic en secret et cherche des moyens de traitement. Elle devra passer un examen médical détaillé pour éliminer les possibilités de cancer. Mais Hillary s’inquiète le plus pour sa vue », précise la source.

    Au début de décembre Hillary Clinton souffrait d'une infection intestinale virale. En raison de la déshydratation liée à la maladie, elle a perdu connaissance et est tombée par terre. C’est la commotion cérébrale provoquée par la chute qui a conduit à la formation du caillot de sang.

    La Voix de la Russie

  • Humour républicain : la fanatique Caroline Fourest faite « chevalier » par Aurélie Filippetti ...

     

    Fourest paradant en pleine forme à la télé, le lendemain de son prétendu « passage à tabac » après qu’elle a attaqué une manifestation catholique le 18 novembre.

    Apparemment, celle-ci n’a pas exigé qu’on féminise le titre en « chevalière ». Fourest sait quand il faut se taire.

    Ainsi donc, la « journaliste » Caroline Fourest, en réalité activiste féministe et extrémiste homosexuelle, fondamentaliste antichrétienne et mythomane notoire, qui dispose désormais d’une chronique hebdomadaire sur France Culture – baptisée (en toute simplicité) « Le Monde selon Caroline Fourest » -, a reçu ce jeudi 17 janvier, l’insigne de Chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres, par le ministre de la Culture Aurélie Filippetti…

    Contre-info.com

  • Mali / Algérie – Marine Le Pen : « Je condamne fermement le refus par le président de la République de ne pas parler d’islamistes »


    Le Pen dénonce les "fautes majeures" des... par FranceInfo

     

    Marine Le Pen, Présidente du Front National et du Rassemblement Bleu Marine, députée française au Parlement européen, est l’invité de Raphaëlle Duchemin sur France Info.

    « Je condamne fermement le refus par le président de la République, avec ordre donné au gouvernement, de ne pas parler d’islamistes. Il se contente de parler de ‘terroristes’. Or, je crois que, quand on refuse de mettre des mots sur les maux, c’est extrêmement révélateur de l’incapacité du gouvernement à prendre la mesure des risques qui sont ceux de la France, risques que nous dénonçons depuis de nombreuses années. Nous sommes en guerre contre le terrorisme islamique et si on ne veut pas voir ça, on ne saura pas contre qui on se bat. »

     
     
     
     
     
     
  • La privation d'eau et sa contamination à Gaza: un crime contre l'humanité

    Lire l'article: http://www.alterinfo.net/La-privation-d-eau-et-sa-contamination-a-Gaza-un-crime-contre-l-humanite_a85614.html

    + PHOTOS

    12/01/13

     

     

  • Un otage français, Yann Desjeux, tué lors de l'assaut algérien

    20h39. Un otage français a été tué lors «de l'opération de libération» menée par l'armée algérienne, selon le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius. «L'un de nos compatriotes, M. Yann Desjeux, avait malheureusement perdu la vie. Trois autres de nos concitoyens, également présents sur le site lors de l'attaque des terroristes, ont la vie sauve». «Je présente, au nom du , mes condoléances les plus sincères à la famille de Yann Desjeux et à celles des autres victimes qui ont péri du fait de cette prise d'otages», a ajouté le ministre. Yann Desjeux était un ancien militaire d’Anglet (Pyrénées-Atlantiques), reconverti dans la restauration.

    Le Parisien - 18/01/13

  • Prise d'otages en Algérie - Marine Le Pen: "On ne peut pas traiter l'Etat algérien d'amateur!"

    Marine Le Pen, Présidente du Front National, est l’invitée politique de Léa Salamé sur I-Télé. Elle réagit à la situation dramatique qui se déroule au Nord-Mali et à la réaction du gouvernement français.

    Marine Le Pen dénonce la position délirante de l’UMPS, de Nicolas Sarkozy à François Hollande, qui ont contribué à armer les islamistes lors de la guerre contre la Libye en 2011 : « Oui, tout à fait, et je l’ai dis depuis de nombreux mois, seule, rejoint dernièrement par beaucoup d’observateurs. Le choix qui a été fait, de soutenir les islamistes en Libye sachant que l’objectif de la France et un certain nombre de ses alliés est de sauver Benghazi, (…) a contribué au développement, à l’armement, à la structuration de groupes islamistes combattants. Et cela, le gouvernement de Nicolas Sarkozy et le parti socialiste qui a voté cette guerre avec lui, ne pouvaient l’ignorer ! »

    18/01/13

  • Les Maliens en France: une communauté très importante et organisée

     

    La communauté malienne en France estimée à 80 000 personnes se caractérise par trois traits : l'ancienneté de son installation, une solidarité forte, un nombre important de Maliens en situation irrégulière.

    Les Maliens ont commencé à s'installer en France à la faveur de la première vague migratoire africaine en France, de l'entre-deux-guerres jusqu'aux années 60. Sans doute ce mouvement s'explique-t-il essentiellement pour des raisons économiques, mais il a été favorisé par une certaine tradition du voyage initiatique et, surtout, par la constitution de filières de départ bien organisées. Ainsi certains Soninké, originaires du Mali, habitués aux migrations saisonnières, se sont fixés dans quelques grands ports africains (Dakar, Abidjan), où ils ont apporté un appui matériel et financier (prêts remboursables par les premiers salaires des jeunes immigrés) aux candidats au départ pour la France.

    Les premières communautés maliennes en France se sont formées de cette façon. Leur rôle s'est avéré à leur tour déterminant lors de la deuxième grande vague migratoire (1960-1975) qu'ils ont amplifiée en servant de tête de pont pour les nouveaux arrivants. Ces derniers se sont surtout concentrés dans la région parisienne où les Maliens, les Sénégalais et les Mauritaniens représentaient les trois cinquièmes des 27 000 Africains recensés par la Préfecture de Paris en 1976. Les monopoles africains sur certains emplois (éboueurs de la voirie parisienne par exemple) ont permis "un système de rotation entre ceux qui sont en France et ceux qui sont au village d'origine (...). C'est ce système que viendra perturber l'arrêt de l'immigration intervenu en 1974, déclenchant ainsi de nouvelles migrations à caractère plus définitif et empruntant des voies d'accès inédites" 4(*).

    L'arrêt de l'immigration a ainsi eu deux effets paradoxaux :

    - de provisoire, l'installation des Maliens dans notre pays est devenue définitive et a justifié ainsi les demandes de regroupement familial ;

    - l'immigration clandestine s'est considérablement développée.

    Comment comprendre cette évolution ?

    Les motivations économiques à l'origine du départ des Maliens n'ont pas diminué alors même que les possibilités de migration au sein du continent noir se sont taries : le Gabon ou le Congo, soumis aux programmes d'ajustement structurel, ont fermé leurs frontières aux migrants venant du Mali. La pression migratoire vers nos frontières ne s'est donc pas relâchée, mais a dû emprunter des canaux inédits et parfois illégaux.

    La dernière vague migratoire s'est ainsi caractérisée par deux traits principaux :

    - le nombre croissant des travailleurs en situation irrégulière,

    - la présence de nouvelles catégories d'immigrés : les étudiants en premier lieu espèrent, à la faveur d'une inscription dans une faculté française, s'installer dans notre pays même si le passage du statut d'étudiant au statut de salarié est rendu désormais difficile.

    En second lieu, de plus en plus de Maliens sollicitentl'asile politique, bien que la situation politique du Mali ne se soit pas dégradée.

    Enfin, le regroupement familial a joué surtout à partir de 1976. La population malienne en France est dès lors devenue plus diverse, avec une part plus importante de femmes et d'enfants.

    L'importance de la présence malienne en France peut surprendre si l'on considère que d'autres communautés originaires de pays africains aussi pauvres et aux densités plus fortes (Rwanda, Burundi ...) demeurent nettement plus faibles. Le phénomène s'explique par l'existence de filières d'accèsbien organisées et une réelle solidarité entre les Maliens expatriés et leurs concitoyens demeurés au pays. Ces liens se traduisent en particulier par l'organisation d'associations villageoises chargées de collecter les cotisations (11 000 cotisants pour l'ensemble des immigrés d'Afrique noire en 1992) et d'en assurer le transfert au profit du village familial. La participation à ces associations ne manifeste pas seulement un esprit de solidarité avec les Maliens restés au pays, elle témoigne aussi d'une bonne cohésion du groupe établi en France. Ainsi, comme le montrait une étude conduite en 1991-1992 sur la communauté malienne d'Evry, les familles qui participent le plus activement aux associations sont également les plus équilibrées. Quel que soit le bénéfice de cette cohésion, les conditions de vie des Maliens restent difficiles : exiguïté du logement exacerbée par la présence de familles polygames, situation peu favorable de l'emploi 5(*) et, naturellement, précarité de la situation des étrangers qui ne disposent pas d'un titre de séjour.

    En effet, une part prépondérante de Maliens se trouveraient en situation irrégulière : 50 000 personnes, alors que seules 31 886 personnes disposent d'un titre de séjour régulier6(*). Un nombre important de Maliens déboutés d'une demande de droit d'asile -et ils sont la majorité comme en témoigne le tableau joint en annexe- demeurent en fait en France. Par ailleurs, d'après les statistiques fournies par le ministère de l'Intérieur, seules quelques mesures d'éloignement sont effectives sur l'ensemble des décisions prises.

    L'importance numérique des Maliens installés sur notre sol, et surtout le statut précaire d'une majorité d'entre-eux, explique l'attention que porte le gouvernement malien à la politique française à l'égard des étrangers. Les négociations qui ont conduit à la signature des deux conventions ont tenu compte de cette "sensibilité" malienne mais la France n'a rien cédé sur la nécessité d'une présence régulière sur son territoire.

    * 3 Les informations qui suivent sont tirées du rapport du groupe de travail interministériel L'immigration en France des ressortissants des pays d'Afrique noire (juin 1992).

    * 4 Rapport du groupe de travail interministériel, op. cit., p. 12.

    * 5 Cette situation est d'autant plus mal ressentie que les Maliens travaillant en France subissent une déqualification par rapport à leurs compétences acquises au Mali.

    * 6 Par leur nombre, les Maliens en situation régulière forment la deuxième communauté d'Afrique subsaharienne installée en France, derrière les Sénégalais.

    Sénat

  • Les Maliens accueillent les troupes françaises en héros

    Que les jeunes Maliens qui vivent en France aillent s'engager pour défendre leur pays ! 

  • Otages: la méthode forte d'Alger critiquée par plusieurs capitales

    24 heures après le déclenchement de l'opération de l'armée algérienne contre les preneurs d'otages sur le site gazier d'In Amenas, c'est la méthode forte des services algériens qui commence à être pointée du doigt. Londres et Tokyo, deux capitales qui ont des ressortissants parmi les otages, ont convoqué l'ambassadeur d'Algérie. Par ailleurs, Washington, très discrète depuis le début de l'opération, a fait atterrir un avion à l'aéroport d'In Amenas pour récupérer ses ressortissants.

    EcouterIsabelle Dath | 18/01/2013 - 13h14écouterAnalyse : les pays qui avaient des ressortissants parmi les otages n'ont pas apprécié la manière dont Alger a géré cette affaire (cliquer sur le lien)

    La France pas avertie de l'assaut des forces algériennes

    La France n'avait pas été prévenue au préalable par Alger de l'opération des forces de sécurité algériennes sur le site gazier d'In Amenas, où plusieurs dizaines de personnes ont été prises en otages mercredi par un commando islamiste. "L'Algérie est un Etat souverain", a affirmé de source proche du gouvernement.

    Les Etats-Unis, le Japon et le Royaume-Uni, dont des ressortissants sont également concernés par la prise d'otages et ont été vraisemblablement tués dans l'opération, ont fait part de leurs "regrets" de ne pas avoir été informés par avance des intentions des autorités algériennes.

    David Cameron furieux

    David Cameron est le premier à avoir exprimé son mécontentement, après avoir essuyé un refus en proposant son soutien pour dénouer la crise et souhaité que les négociations puissent être maintenues aussi longtemps que possible. Il n'aura finalement découvert l'intervention que grâce à ses satellites espions.

    D'où son regret de ne pas avoir été informé à l'avance - formule très diplomatique qui cache en vérité dit son entourage un David Cameron Furieux. Même chose pour les États-Unis et le Japon, pour les mêmes raisons. Ils n'étaient pas prevenus et avaient demandé aux autorités algériennes de faire de la sécurité des otages leur priorité.

    Pourquoi l'Algérie a-t-elle agi seule ?

    La fermeté est la pierre angulaire des Algériens depuis la décennie sanglante des années 1990 où le pays a été confronté, jour après jour, au terrorisme (près de 200.000 morts). Ils ne négocient pas parce que, pour eux, la moindre concession est un message négatif à tous les djihadistes. Les forces spéciales sont là pour intervenir, mais il n'y a pas de négociateurs, comme au GIGN par exemple. Leur priorité n'est pas la sécurité des otages - ils ont d'ailleurs quatre diplomates détenus au Mali depuis neuf mois pour lesquels ils ne lèvent pas le petit doigt malgré leurs appels désespérés.

    En 1994, lors du détournement de l'avion d'Air France Alger-Paris, Alain Juppé - alors ministre des Affaires Etrangères, avait tout fait pour que l'appareil vienne se poser en France car il craignait que l'armée algérienne fasse sauter l'avion. Ce qui s'est passé aujourd'hui n'est donc pas surprenant.

    Malgré les probables pressions des pays concernés par cette prise d'otages, l'attaque d'un site, qui plus est stratégique pour l’Algérie, puisqu'il représente 18% des exportations de gaz du pays, ne pouvait les faire dévier de leur ligne traditionnelle.

    RTL Info - 18/01/13

  • Persécution antinationale contre Bruno Gollnisch: la Licra mord la poussière

     

    Gollnisch bonne photo

    Communiqué de Wallerand de Saint-Just, avocat de Bruno Gollnisch

    La LICRA, présidée par Alain Jakubowicz, avait cru pouvoir, encore une fois, déposer une plainte contre Bruno Gollnisch à l’occasion d’un communiqué diffusé en octobre 2008 par le groupe Front National au conseil régional Rhône Alpes.

    Ce communiqué était relatif à l’initiative d’un agent de la direction de la sécurité publique du Rhône qui avait demandé à la direction des ressources humaines de la région si, parmi leur personnel, il y avait des agents de confessions autre que chrétiennes. Plus de quatre ans de procédure devant trois juges d’instruction à Lyon ont été nécessaires.

    Bien entendu, le Parlement européen avait décidé de lever l’immunité parlementaire de Bruno Gollnisch.

    La plainte avait été au surplus déposée de façon particulièrement légère par la LICRA qui n’avait même pas jugé utile de faire faire un constat d’huissier de la mise en ligne du communiqué.

    Dans ces conditions, le dernier juge d’instruction a, le 11 janvier 2013, rendu une ordonnance de non-lieu, les investigations très approfondies du juge et de la police n’ayant pas « permis de déterminer l’auteur » de cette très grave infraction.

    Il faudra qu’un jour ces associations stipendiées rendent compte de la masse des deniers publics qu’elles font dépenser en pure perte au contribuable français

  • Le spectacle continue - 18/01/2013

     

    Le spectacle continue




    AQMI - Al-Qaïda au Maghreb appartient aux services secrets français

    AQMI appartenant aux Services Secrets français ; il est très probable que ce Mokhtar Belmokhtar ait reçu l’ordre de la France de faire cette prise d’otage afin de faire accepter au peuple algérien que son gouvernement participe activement à la guerre du Mali. Et aussi afin d’affoler l’ensemble des gouvernements occidentaux.

    La France se sentait un peu seule dans cette guerre, personne ne voulant la rejoindre. Avec cette prise d’otages, cela lui permettra peut-être d’internationaliser le conflit !

    Guerre soit-disant "contre les islamistes". Ces mêmes islamistes que la France a utilisés hier comme mercenaires pour faire la guerre à la Libye de Kadhafi, et qu’elle utilise aujourd’hui encore pour faire la guerre contre la Syrie    

    http://mai68.org/spip/spip.php?article4834 http://mai68.org/spip/spip.php?article4834    

     

    ALTERINFO


     

     

     

  • In Amenas: un drame à huis clos en plein désert

    sans-titre.png In Amdenas.png

    Aucune image, quasiment aucune information indépendante : à l'époque de la communication à outrance, la prise d'otages sur le site gazier installé en plein désert se déroule pourtant dans le flou le plus total.

    Sur les chaînes d'information en continu, on se serait cru revenu jeudi à l'époque de la première Guerre du Golfe en 1991 : les "experts" défilaient les uns après les autres pour commenter (ou du moins essayer de commenter) un événement lointain illustré d'images d'archives, sans disposer d'aucune information concrète ou non-partisane. Même constat sur les réseaux sociaux, et notamment Twitter, où rien ne filtrait réellement -la situation a néanmoins quelque peu changé vendredi matin, avec les premiers témoignages d'otages libérés.

    Deux raisons essentielles à ce "black-out" : tout d'abord, la géographie. Perdu en plein désert, à plus de 1.300 km d'Alger et à plusieurs centaines de la première grande ville, In Amenas est aussi évidemment un "désert journalistique". Les télévisions algériennes, et encore moins les médias étrangers, n'y possèdent de bureau permanent. Impossible donc d'être sur place immédiatement pour filmer les abords du site et le déploiement des forces de sécurité, comme c'est le cas quand une prise d'otages massive se déroule en zone urbaine.

    Les pays concernés pas prévenus

    Ensuite, la volonté de l'Algérie de communiquer le moins possible sur l'action de ses services spéciaux, aux médias mais aussi aux pays concernés par la prise d'otages. Dans cette optique, la géographie est bien sûr l'alliée d'Alger : une seule route mène au complexe, la N3. Rien de plus simple que de la bloquer en amont pour empêcher les journalistes d'y accéder. Il va sans dire qu'arriver par l'aéroport est aussi interdit vu les circonstances.


    Ne pas informer les médias est une chose, ne pas informer les pays concernés en est une autre. C'est pourtant l'option choisie par Alger, qui souligne que l'affaire dépend de sa seule souveraineté.Plusieurs dirigeants, comme David Cameron, le Premier ministre britannique, ou les Etats-Unis ont pourtant déploré jeudi de ne pas avoir été prévenus de l'assaut. Malgré ces critiques, le gouvernement algérien n'a pas changé de position puisque vendredi matin, Manuel Valls, le ministre français de l'Intérieur, admettait ne pas savoir "si l'assaut était terminé, s'il restait des otages ou des preneurs d'otages".


    Source sur TF1 News : In Amenas : un drame à huis clos
     
    18/01/13
  • Italie: depuis la mort de sa maîtresse, le chien Tommy assiste aux messes

    sans-titre.png Tommy.png

    Depuis la mort de sa maîtresse il y a deux mois, le chien Tommy ne manque pas une messe dans la petite église où elle se rendait souvent et où ont été célébrées ses obsèques, rapportent mercredi les médias italiens.

    Quand sonnent les cloches de l'église de Santa Maria Assunta à San Donaci dans la région de Brindisi (sud), à 17H00 chaque après-midi, le berger allemand âgé de 12 ans quitte la place du village où sont assis les anciens et s'installe devant l'autel.

    Sauf quand il pleut trop, Tommy n'a pas manqué un jour à l'église depuis qu'il a accompagné le cercueil de sa chère maîtresse, au moment de son enterrement. Le curé, Don Donato Panna, accepte désormais la présence tranquille du quadrupède somnolant près de l'autel, raconte le quotidien Il Messaggero.

    Sa maîtresse portait le nom en dialecte local de "Maria tu lu campu" -"Marie des champs"--. Elle vivait seule avec quatre chiens errants qu'elle avait recueillis, dont Tommy, et les entourait de son affection. Tommy était son préféré et la suivait toute la journée quand elle sortait de chez elle et allait faire les courses, l'attendant à la sortie de l'épicerie ou de la boulangerie.

    Avant sa mort, Tommy restait toujours patiemment à la porte de l'église. Mais depuis que Don Panna lui avait permis d'y entrer le jour des obsèques, Tommy assiste aux mariages, aux baptêmes et aux enterrements.

    Dès qu'il entend les cloches et qu'il voit un cortège funèbre entrer dans l'église, il suit le cercueil comme s'il espérait revoir celle qui l'avait sortie de sa condition précaire de chien errant. Il a été désormais adopté par tout le village, rapportent les médias italiens.

    jeanmarc morandini.com - 17/01/13

  • Tartarin de Brégançon

    Dans son film satirique Des hommes d’influence, Barry Levinson met en scène un président impopulaire qui lance son pays dans une guerre montée de toutes pièces – qui ressemble fort à celle du Kossovo – pour essayer de regagner les faveurs de l’opinion en vue des prochaines élections.
    Dans le film, le président est américain. Mais en France la réalité dépasse la fiction cinématographique ! M.G.
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    Francois Hollande est enfin populaire !

    Voilà en effet François Hollande, le plus impopulaire des présidents de la Ve République, saisi à son tour par la fureur guerrière : les opérations au Mali contre les « islamistes » ont opportunément été déclenchées au moment où plus de 1 million de personnes descendaient dans la rue contre le mariage des homosexuels. Un pur hasard évidemment.

    Et puis les médias s’empressent de nous dire que depuis cette initiative, François Hollande deviendrait très populaire… à Bamako (par exemple LeMonde.fr du 15 novembre 2013), et qu’il va rebondir bientôt. Il paraît même qu’une majorité de nos concitoyens approuveraient cette intervention militaire. En particulier à Montreuil, où il y a beaucoup de… Maliens.

    Mais de qui se moque-t-on ?

    C’est une intervention ? Non : une gesticulation

    Sur le fond il faut sans aucun doute combattre l’islamisme. Mais encore faudrait-il le combattre aussi à Londres, à Madrid, à Toulouse, à Marseille ou en Seine-St Denis. On ne peut pas dire que les initiatives des socialistes aillent dans ce sens.

    Et puis cette intervention au Mali ne s’attaque pas aux racines de l’islamisme ni à ses soutiens réels au Pakistan ou dans les pétro-monarchies, par exemple, que l’on ne cesse au contraire de courtiser. Sans parler de l’effet des révolutions arabes sur la promotion d’un islam radical. Il faut redouter malheureusement que cette intervention militaire ne soit qu’une tartarinade de peu d’effet durable.

    En outre, les gesticulations militaires françaises aux quatre coins du monde masquent le piètre état réel des forces armées françaises et la nullité de la prétendue défense européenne.

    La France fait croire qu’elle joue encore dans la cour des grands, alors qu’elle engage en réalité une très grande part de ses maigres ressources militaires dans des opérations à l’utilité stratégique douteuse, voire, dans le cas du Kossovo, à la nocivité certaine. Nos avions de transport sont à bout de souffle. En Afghanistan, au début, nos militaires achetaient des téléphones portables pour communiquer : plus efficaces que les moyens militaires ! Et les opérations aériennes en Libye ont vite épuisé notre stock de missiles. Sans parler du choc auquel sont confrontés nos matériels et nos soldats, propulsés dans une vraie guerre face à de vrais combattants : dur apprentissage, comme en attestent, hélas, le nombre de nos morts.

    Mais en réalité tout cela importe peu aux politiciens.

    Honni soit qui Mali pense !

    Comme disait Tocqueville dans une formule célèbre, « Les démocraties ne règlent guère les questions du dehors que pour les raisons du dedans. »

    En France les mauvaises nouvelles s’accumulent et l’image du gouvernement et du président socialistes ne cesse de se dégrader. Elle atteint un niveau de défiance inégalé sous la Ve République. Le projet de mariage homosexuel a en outre dressé la France réelle contre l’oligarchie. Et ce n’est pas fini car la crise économique continue et plus rien ne marche vraiment dans notre pays.

    Ces opérations viennent à point nommé pour détourner l’attention sur une réalité française peu brillante et pour faire croire aux Français qu’ils ont encore un chef d’Etat.
    Comme dans le film de Barry Levinson, nos stratèges en communication ont sans doute pensé qu’en faisant voler une fois encore nos Mirages et nos Rafales, nos gouvernants auraient quelque répit bienvenu.
    Certains rêvent même d’une union nationale autour de Flanby, devenu dieu de la guerre. Il suffit de voir les premières pages du Monde, de Libération ou du Parisien, ou d’écouter la télévision ces derniers jours, pour comprendre quel jeu cynique certains jouent.

    Mais ils prennent leurs désirs pour des réalités. Le Mali passera comme le reste : mais le chômage, les petits boulots précaires, les impôts, la délinquance, l’immigration, les initiatives « sociétales » farfelues de nos édiles ne passeront pas mieux.

    Le Monde écrit : « L’offensive française sauve un pouvoir en pleine déroute » (leMonde.fr du 15 janvier 2013), mais, hélas, pas au second degré : le journal évoque le Mali, pas le gouvernement français…

    Michel Geoffroy
    15/01/2013

    Correspondance Polémia – 17/01/2013