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Blog - Page 1217

  • Louis Aliot s'offusque de la présence de drapeaux étrangers à la fête de Hollande

     

    Aliot (FN) dénonce la présence de drapeaux étrangers à la fête de Hollandele 07 mai 2012 à 11h19, mis à jour le 07 mai 2012 à 11h22

    Le vice-président du Front national Louis Aliot s'est offusqué lundi de la présence de drapeaux étrangers, notamment "beaucoup de drapeaux algériens", lors du rassemblement célébrant la victoire de François Hollande à l'élection présidentielle dimanche soir place de la Bastille. "J'ai été hier assez surpris de voir autant de drapeaux étrangers saluer la victoire de François Hollande. Ce sont ces mêmes drapeaux étrangers qu'on avait vu saluer la victoire de Nicolas et déjà de Jacques Chirac en 2002", a-t-il déclaré sur France Info. "J'ai vu beaucoup de drapeaux algériens notamment, ce qui prouve bien que la communautarisation de la société française n'est pas une vue de l'esprit mais une réalité", a-t-il conclu.
     
    TF1 News
  • Grèce: débâcle pour les deux grands partis, les néo-nazis font leur entrée au Parlement

    http://www.rtbf.be/info/monde/detail_grece-debacle-pour-les-deux-grands-partis-les-neo-nazis-entrent-au-parlement?id=7760276

     

    + VIDEO

     

     

    06/05/12

     

     

  • Vae victis: la défaite méritée de la droite la plus bête du monde

     

    Le 6 mai 2012, ce n’est pas la gauche qui a gagné. C’est la droite qui a perdu. Une défaite méritée, selon Michel Geoffroy. Car la droite a cumulé les erreurs : elle a délaissé la lutte des idées ; elle a adopté, dans sa pratique gouvernementale, l’idéologie de gauche ; elle a trompé en permanence son électorat ; elle a été incapable de s’unir ; elle s’est coupée du peuple. Deux mois de grand écart verbal sarkozyste ne pouvaient suffire à faire oublier des années de déceptions et d’humiliations. Le temps de l’analyse est venu.

    Auteur : Michel Geoffroy - le 06 Mai 2012

    Polémia

  • 51% du vote FN s'est reporté sur Nicolas Sarkozy

    Selon un sondage de l'institut Ipsos-Logica, effectué jusqu'à la veille du vote, Nicolas Sarkozy a réussi à obtenir 51 % de reports de voix de la part des électeurs de Marine Le Pen au premier tour. 25 % se sont abstenus, 10 % ont voté blanc ou nul, et 14 % ont voté pour François Hollande.

    Les électeurs de François Bayrou ont aussi choisi en premier lieu le candidat UMP, en lui donnant 41 % de leurs suffrages, contre 29 % à François Hollande, 13 % votant blanc ou nul et 17 % s'étant abstenus.

    François Hollande, lui, a obtenu 81 % des voix des électeurs de Jean-Luc Mélenchon, contre 6 % pour Nicolas Sarkozy, 10 % s'abstenant et 3 % votant blanc ou nul.

    En termes de sociologie électorale, Nicolas Sarkozy n'obtient la majorité des suffrages que chez les travailleurs indépendants, les personnes gagnant plus de 3 000 euros par mois, les plus de 65 ans et les personnes vivant en milieu rural.

    Sondage effectué par Internet auprès de 3 123 personnes âgées de 19 ans et plus, du 3 au 5 mai 2011.

    LeMonde.fr

  • Marine Le Pen appelle à construire une nouvelle opposition

        Publié le dimanche 06 mai 2012 à 22H25

     
    MARINE LE PEN APPELLE À CONSTRUIRE UNE NOUVELLE OPPOSITION

    Marine Le Pen, ici à Hénin-Beaumont a appelé dimanche soir à construire une nouvelle opposition qui "tranche idéologiquement" et qui soit "digne de confiance" après la victoire de François Hollande sur Nicolas Sarkozy.

    (c) Copyright Thomson Reuters 2012 / Pascal Rossignol

     

    PARIS (Reuters) - Marine Le Pen a appelé dimanche soir à construire une nouvelle opposition qui ne soit pas la "copie d'un pouvoir en place" après la victoire de François Hollande sur Nicolas Sarkozy.

    La présidente du Front national, qui a obtenu 17,9% des voix au premier tour, estime que le nouveau président socialiste "comme Nicolas Sarkozy, décevra vite, d'abord son camp, puis la France".

    "Il faut une opposition qui tranche idéologiquement et surtout qui soit digne de confiance, ferme, honnête", a-t-elle déclaré en invitant les Français à faire entrer des députés de son parti à l'Assemblée pour la première fois depuis 25 ans.

    Marine Le Pen a jugé dans une déclaration que Nicolas Sarkozy, que les Français ont "sanctionné durement" pour avoir "trahi tous ses engagements de 2007" était "le seul et unique responsable de sa défaite".

    Mais aussi, "par le rejet personnel qu'il a suscité", le "seul et unique responsable de la victoire de François Hollande", a-t-elle dit.

    La défaite de Nicolas Sarkozy fait le jeu de la dirigeante du FN, qui mise sur une "guerre des chefs" à l'UMP, surtout si le président sortant devait en laisser les rênes, pour provoquer une recomposition politique à son profit.

    Le score honorable de Nicolas Sarkozy au second tour pourrait toutefois contrarier ce scénario, selon Damien Philippot de l'IFOP.

     

    "UN BON RÉSULTAT" POUR LE PEN

    Il souligne toutefois que "la stratégie de droitisation" du président sortant "a échoué" et que "pour Marine Le Pen, c'est un bon résultat".

    Le président sortant a en outre "contribué" à donner du crédit aux thèmes du FN en droitisant sa campagne de l'entre-deux-tours, ajoute Damien Philippot.

    Pour Marine Le Pen, le fait que Nicolas Sarkozy ait éprouvé des difficultés à imposer sa stratégie de séduction de l'électorat FN aux "dignitaires" de son propre parti montre que l'UMP "est déjà en situation d'implosion".

    Elle a répété dimanche soir que par leurs appels à voter PS plutôt que FN aux législatives, certains responsables de l'UMP avaient "fini de retirer au président sortant la moindre chance de réélection".

    Marine Le Pen a lancé dès le 1er mai la bataille des législatives de juin tout en sachant qu'il lui sera difficile de faire rentrer de nombreux députés à l'Assemblée compte tenu de l'obstacle du scrutin majoritaire à deux tours.

    Elle compte cependant élargir le "Rassemblement bleu Marine" lancé lors de la présidentielle, qui a vu des ex-chevènementistes, villiéristes et personnalités indépendantes soutenir sa candidature.

    "Il faut désormais se tourner vers les élections législatives et la mobilisation doit être totale. Il faudra faire rentrer au Parlement des députés déterminés à faire entendre la voix des patriotes", a-t-elle dit.

    DES DÉPUTÉS MARINISTES?

    "Un succès serait déjà de faire rentrer un député à l'Assemblée parce que nous en sommes exclus depuis 25 ans", époque à laquelle le FN avait obtenu 35 députés grâce au scrutin proportionnel, expliquait-elle jeudi à Reuters.

    Malgré tout, Marine Le Pen espère bien, en fonction de paramètres comme l'abstention ou la présence de dissidents PS ou UMP, faire élire une quinzaine de députés "marinistes" afin de former un groupe parlementaire.

    La dirigeante du FN a obtenu le 22 avril plus de 20% des voix dans 43 départements et fait plus de 12,5% des inscrits dans 353 circonscriptions sur 577, ce qui, extrapolé aux législatives, ferait autant de triangulaires.

    Toutefois, la participation risque d'être moindre qu'à la présidentielle et les analystes tablent plutôt sur 100 à 150 triangulaires ou quadrangulaires.

    Même si son rassemblement n'obtenait qu'une poignée de députés, Marine Le Pen promet de "faire du bruit" et de "tout casser" à l'Assemblée nationale pour imposer ses thèmes.

    Le vote blanc, qui se confond avec le vote nul, sera étudié de près par les stratèges du parti car Marine Le Pen, refusant de choisir entre les finalistes, avait indiqué qu'elle voterait blanc à titre personnel, sans donner de consigne de vote.

    Le 22 avril, 701.190 suffrages ont été considérés blancs ou nuls, soit 1,92%. En 2007, un nombre important avait été atteint au second tour avec 1,57 million (4,2%).

    Edité par Yves Clarisse

    La Provence - 06/05/12

  • Séisme en Grèce: les électeurs censurent la politique de rigueur

    Les deux partis pro-rigueur grecs Pasok (socialiste) et Nouvelle Démocratie (droite) se sont effondrés lors des législatives dimanche, rassemblant entre 31 et 37% des voix à eux deux, jetant un doute sur la capacité de la Grèce à honorer ses engagements au sein de la zone euro.

    Si elle se confirmait, cette débâcle, annoncée par un sondage sortie des urnes diffusé par les chaînes de télévision, rendrait quasi impossible la formation d'un gouvernement de coalition par ces deux partis pour poursuivre la politique de rigueur dictée par l'UE et le FMI.

    Pour obtenir une majorité absolue au parlement, soit 151 sièges, ils avaient besoin d'au moins 37% des voix à eux deux.

    Un mandat pour former un gouvernement devrait néanmoins être accordé au chef du premier parti, la Nouvelle Démocratie, qui a obtenu entre 17 et 20% des voix contre 33,5% en 2009 et qui a revendiqué la place de premier parti.

    Le scrutin a été dominé par la contestation de la politique d'austérité menée sous l'impulsion des bailleurs de fonds du pays, donnant au petit parti de la gauche radicale Syriza entre 15,5 et 18,5% des voix, selon le même sondage diffusé par les télévisions à 16H00 GMT.

    Selon ce sondage, le parti socialiste Pasok enregistre une chute historique avec un score compris entre 14 et 17% contre 43,9% en 2009. Il perd même la seconde place au profit du Syriza qui lui enregistrait seulement 4,6% des voix il y a trois ans.

    "C'est un séisme politique qui frappe les partis gouvernementaux", a estimé sur la chaîne Mega Panos Panagiotopoulos, un ténor de la Nouvelle Démocratie, le parti conservateur qui revendique la première place.

    "Ne considérons pas que le sondage sortie des urnes nous donnera le résultat final, cela va nous donner une image du paysage politique avant un affinement qui va se poursuivre dans la nuit", a cependant averti le politologue Ilias Nikolakopoulos, sur la chaîne de télévision Mega.

    Environ 9,8 millions d'électeurs grecs ont voté dimanche pour renouveler le Parlement dans un scrutin dominé par l'implosion du vieux système politique et du bipartisme, au risque de remettre en cause les efforts de redressement du pays au sein de la zone euro.

    Aux termes de la Constitution, le mandat pour trouver un gouvernement d'alliance est d'abord remis au premier parti, avant de passer en cas d'échec aux deux suivants, dans un délai d'une dizaine de jours.

    Après avoir voté, l'actuel Premier ministre avait tenté de dissiper la menace d'une instabilité politique, en s'affirmant confiant dans la formation d'un gouvernement "dès cette semaine".

    Illustrant le climat d'exception qui a régné pendant toute la campagne, une trentaine de néonazis ont fait irruption dans six bureaux de vote athéniens durant la journée, où ils se sont livrés à des intimidations contre des militants de gauche, selon le petit parti d'extrême gauche Antarsya.

    La police a confirmé deux incidents, attribués au groupuscule Chryssi Avghi (Aube dorée) qui présentait aussi des candidats et fait son entrée au Parlement pour la première fois de l'histoire moderne du pays, après avoir obtenu entre 6 et 8% des voix selon le sondage sortie des urnes.

    Ce parti néonazi, longtemps semi-clandestin et réputé pour ses agressions contre les migrants, dénonce le mémorandum d'accord signé par la Grèce avec ses créanciers, et refuse le remboursement de la dette publique. Son entrée au parlement constitue un choc dans un pays qui a subi durement le joug de l'occupation nazie et une dictature militaire de 1967 à 1974.

    Nice- Matin - 06/05/12

  • Le mouvement de grève de la faim des prisonniers palestiniens en Israël s'étendraient à 2000 détenus

     

    Le 4 mai, des Palestiniennes participent à une veillée à l'extérieur de l'église de la Nativité à Bethléem en solidarité avec les prisonniers palestiniens en grève de la faim.Le 4 mai, des Palestiniennes participent à une veillée à l'extérieur de l'église de la Nativité à Bethléem en solidarité avec les prisonniers palestiniens.

     

    Israël éprouve des difficultés croissantes à contrôler le mouvement de grève de la faim des prisonniers palestiniens, qui ne cesse de s'étendre. Commencée le 17 avril pour protester contre la pratique de la détention administrative (qui permet de maintenir un suspect en prison sans jugement, pendant une période de six mois renouvelable), cette action regrouperait aujourd'hui quelque 2 000 détenus, selon Addameer, l'association palestinienne de défense des droits des prisonniers.

    Ce chiffre est corrigé à la baisse par Sivan Weizman, porte-parole de l'administration pénitentiaire israélienne, qui parle de 1500 à 1600 participants. La date du 17 avril ne doit rien au hasard : outre que c'est celle de la journée annuelle des prisonniers palestiniens, c'est aussi le jour où Khader Adnan, militant du Djihad islamique, avait été relâché, après une grève de la faim de soixante-six jours qui avait failli entraîner sa mort.

    Devenu le symbole de la lutte contre la détention administrative, son exemple avait été suivi par Hana Shalabi, une Palestinienne qui avait accepté d'arrêter une grève de la faim de quarante-trois jours, en échange de sa déportation à Gaza, début avril, pendant une période de trois ans. Dans les deux cas, les autorités israéliennes avaient cédé, à la fois devant une mobilisation internationale devenue contre-productive pour l'Etat juif, et face au risque de déclencher des émeutes dans les prisons.

    Nul doute que le résultat de ce conflit est présent à l'esprit des grévistes de la faim dont le nombre représente aujourd'hui plus du tiers des 4 700 prisonniers palestiniens détenus par Israël. Sur ce total, on compte 320 prisonniers en détention administrative. Le mouvement en cours vise à protester contre ce régime d'exception hérité de l'époque du mandat britannique, mais pas seulement : les prisonniers dénoncent l'isolement carcéral, la suppression de certains avantages, et la limitation des visites des avocats et des familles.

    Deux prisonniers au moins sont dans un état critique : Bilal Diab, âgé de 27 ans, est originaire de Jénine, et Thaer Halahla, âgé de 33 ans, originaire de Hébron (tous deux membres du Djihad islamique), ont commencé leur grève de la faim le 29 février. Après soixante-six jours sans alimentation, ils sont entrés dans ce que les médecins appellent " une phase aléatoire de survie ". Les deux hommes ont comparu, jeudi 3 mai, sur une chaise roulante, devant le Cour suprême d'Israël, mais celle-ci a renvoyé sa décision sur une éventuelle remise en liberté à une date ultérieure.

    Au moins six autres prisonniers sont dans un état de santé jugé alarmant. Ce mouvement de grève s'est étendu aux principaux centres de détention en Israël, et plusieurs chefs de file de la résistance palestinienne, comme Ahmad Saadat, chef du Front populaire pour la libération de la Palestine (FPLP), l'ont rejoint. Alors que les manifestations de solidarité se multiplient dans plusieurs villes palestiniennes, le gouvernement du premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, hésite sur la conduite à adopter.

    Si le mouvement bénéficie d'une relative mobilisation dans les territoires palestiniens occupés, la menace qu'il représente est plus médiatique que sécuritaire. Plusieurs ministres israéliens s'inquièteraient cependant de l'évolution de la situation : à en croire le journal Haaretz, Yitzhak Aharonovitch, ministre de la sécurité publique, s'est prononcé mardi pour une limitation de l'utilisation de la pratique de la détention administrative. De son côté, le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, a demandé aux membres du Quartet pour le Proche-Orient (Etats-Unis, Union européenne, ONU et Russie) de faire pression sur Israël.

    Laurent Zecchini, (Jérusalem, correspondant)

     

    Le Monde - Proche-Orient - 05/05/12

  • Henry de Lesquen: "Il faut sanctionner Sarkozy en lui refusant notre voix" [Tribune libre]

     

    [Tribune libre] Henry de Lesquen : "Il faut sanctionner Nicolas Sarkozy en lui refusant notre voix"
     
     (Cliquez sur la photo pour l'agrandir)
     
    Henry de Lesquen

    Henry de Lesquen

    Il faut sanctionner Sarkozy, qui est au pouvoir depuis dix ans, en lui refusant notre voix

    On assiste sur Internet à un déferlement inouï de propagande sarkozyste. Il y a des argumentaires aussi habiles que fallacieux. Ou des faux grossiers, par exemple la photo-montage reçue hier où Hollande apparaît aux côtés de Mohamed Merah.

    Il faut savoir raison garder. Nicolas Sarkozy doit être jugé avant tout sur ses actes, et non sur ses beaux discours ou sur ses vaines promesses, qui ne sont pas crédibles. Il est au pouvoir depuis dix ans, ministre de l’Intérieur de 2002 à 2007, à quelques mois près, président du parti majoritaire de 2004 à 2007, président de la république de 2007 à 2012. Il doit rendre compte de ce qu’il a fait.

    Si l’on est attaché à la souveraineté, on ne lui pardonnera pas le traité de Lisbonne qu’il a signé en 2007, qu’il a fait adopter par le parlement et qui reprend les dispositions de la constitution européenne que le peuple avait rejetée par référendum en 2005.

    Si l’on est attaché à l’identité, on ne lui pardonnera pas d’avoir fait entrer légalement 200.000 immigrés par an pendant dix ans, beaucoup plus que ne l’avait fait Lionel Jospin avant lui, entre 1997 et 2002 (150.000 par an).

    Si l’on est attaché à la liberté, on ne lui pardonnera pas d’avoir porté les dépenses publiques à 56 % du PIB, niveau jamais atteint dans notre histoire.

    Si l’on est attaché à la morale, on ne lui pardonnera pas d’avoir introduit la théorie du genre à l’école comme matière scientifique, d’avoir nommé à la culture un ministre pédophile, Frédéric Mitterrand, d’avoir chassé Christian Vanneste de l’UMP pour ses propos sur l’homosexualité.

    Si l’on est attaché à la religion, on ne lui pardonnera pas d’avoir fait financer par l’État des spectacles sacrilèges.

    Hollande et Sarkozy, c’est la peste et le choléra. On ne peut pas les comparer sérieusement sur la foi de leurs discours électoraux, qui ne s’adressent pas à la même clientèle électorale et qui sont faits pour tromper. On peut en revanche comparer la politique conduite par Jospin entre 1997 et 2002 et celle conduite par Sarkozy, membre du gouvernement, puis président de la république, entre 2002 et 2012, ce qui ne tourne pas toujours à l’avantage de la fausse droite.

    Il faut sanctionner Nicolas Sarkozy en lui refusant notre voix. La sanction électorale a la même valeur que la sanction pénale : elle a un effet dissuasif. Si la fausse droite, qui est une gauche inavouée, peut, tous les cinq ans, compter sur les voix de la vraie droite en se bornant à lui prodiguer de bonnes paroles au moment des élections, pourquoi changerait-elle de politique ?

    Le vote pour Sarkozy serait encore une faute parce qu’il entretiendrait l’illusion de la fausse alternance entre l’UMP et le PS, qui, sous des étiquettes différentes, conduisent en réalité la même politique et qui sont, l’une comme l’autre, des instruments de la superclasse mondiale.

    Pour ma part, je ne voterai dimanche ni pour Sarkozy ni pour Hollande.

    Henry de Lesquen
    président du Club de l’Horloge, patron d’émission à Radio Courtoisie

    [cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine 
  • Bobigny: un chauffeur de bus poignardé

    Carole Sterlé | Publié le 05.05.2012, 23h19 | Mise à jour : 23h27

    Illustration. Un chauffeur de la ligne 148 a été poignardé samedi à Bobigny.

    Illustration. Un chauffeur de la ligne 148 a été poignardé samedi à Bobigny. | (LP/Aurélie Foulon)

     
    Un chauffeur de bus de la ligne 148 () a été poignardé samedi soir vers 21h30 à Bobigny (Seine-Saint-Denis) par un usager. Le pronostic vital de la victime touchée à l'abdomen n'est pas engagé mais elle a été prise en charge par les secours. Son état est pour le moment jugé stationnaire. L'agression est intervenue non loin du Tribunal de Grande Instance (TGI).
     


    On ignore pour le moment l'origine du différend mais l'exploitation des bandes du système de vidéosurveillance devrait éclairer les enquêteurs. Elle devrait permettre de savoir pourquoi l'agression s'est déroulée à l'extérieur du véhicule.

    LeParisien.fr

  • "Pourquoi un juif ne doit pas voter FN ou Marine Le Pen ? ", par Claudine Douillet

    Pourquoi un juif ne doit pas voter Le Pen , parce que l'histoire du juif a toujours était celle du juif errant, d'un apatride, et dans le meilleur des cas d'un étranger toléré dans un pays qui ne sera jamais le sien, comme l'Espagne , l'Allemagne, la Russie, en ne citant que ces 3 pays nous savons tous comment cela s'est terminé pour les juifs.

    Un peu de bon sens devrait nous faire comprendre que nous sommes toujours des étrangers, bien intégrés, certes, mais tolérés.

    Aujourd'hui le programme de Marine Le Pen est de faire valoir, dit-elle, les valeurs de la République, en stoppant l'immigration, en renvoyant chez eux les sans papiers, évidemment cela semble tellement normal dans un pays au bord de l'agonie, ce sont toujours les étrangers les fautifs. ça ne vous rappelle rien ?

    Mais ceci n'est que la première étape du programme de Le Pen, le second et dont personne ne parle, est le droit au sol en remontant à la 3 ème génération. En clair la priorité des postes de fonctionnaires, ou des postes au Pôle emploi devront être d'abord proposé aux français de souche.

    Alors que tous les juifs français de souche lève leur doigt ! Vous ne pouvez pas, eh bien abstenez vous de voter Le Pen !

    La mémoire est un outil indispensable pour nous les juifs c'est un outil de survie.
    Nous avons été des étrangers en terre étrangère et nous le sommes encore, pensez le contraire est d'une naïveté qui peut vous coûter vos droits.

    Marine Le Pen prendra appui sur ces juifs qui ont oublié qui ils étaient, pour mieux les asservir par la suite, en effet au royaume des aveugles les borgnes sont rois.

    Nous sommes les borgnes de Marine Le Pen, mais n'imaginez pas une seule seconde que nous ferons partie de son royaume, une fois mise en place, le piège se refermera, comme c'était prévu.

    Si vous avez un doute sur ce que j'avance,retenez alors qu'être juif n'est pas seulement une religion, sinon bon nombre d'entre nous le serait déjà plus.

    Etre juif c'est faire partie de la même histoire depuis 5772 ans, que vous le vouliez ou non, ce n'est ni la culture, ni la langue, ni même l'histoire de son pays que nous avons en commun, mais celui d'une Histoire spirituelle et celle-ci exige de nous souvenir que nous aussi nous avons été étrangers en terre étrangère.

    Voter Le Pen c'est accepter que des familles entières soient séparées , ça ne vous rappelle rien ? que des étudiants ayant obtenus les meilleurs distinctions en France ne puissent pas travailler, car étranger. ca ne vous rappelle rien ? Pourquoi ce serait différent pour nous les juifs ?

    Parce que français avant d'être juifs !...et ça ne vous rappelle rien ?

    La mémoire est notre outil de survie. Votez Le Pen c'est perdre à jamais son identité.

    Le Pen c'est pire qu'Hitler , Hitler a annoncé tout de suite la couleur des bottes brunes, il ne s'est jamais appuyé sur le vote juif ...

    Ne vous croyez pas supérieur aux arabes, aux immigrés de la dernière génération, vous ne ferez jamais partie de l'élite français tel que le définit Marine Le Pen, ce serait un leurre de le penser.

    Acceptez qui vous êtes et rappelez vous quand vos parents ont débarqué à Paris, parlant si peu le français, auriez-vous voté Le Pen ?

    Le problème du juif est la mémoire: soit il en a trop soit il n'en a pas assez.
    Il est impossible pour un juif de voter Le Pen .
    Le vote Le Pen est contre toute les valeurs que prônent le judaïsme. La didacture du FN s'étendra à nouveau sur nous, n'oubliez pas nous ne sommes tolérés alors ne soyons pas en plus instrumentalisés à des fins abjects.

    En se débarrassant des arabes c'est aider le FN à mettre en place sa statégie, mais cette idéologie ne nous oubliera pas. La priorité pour le FN est les français , ceux qui ont un arbre généalogique prouvant que leurs racines est bien sur ce sol.

    Les lois de la République seront bafoués par le FN, bien plus que celles qui portent le voile ou ceux qui prient dans la rue. Juste une question de temps. La France aux français.
    C'est le slogan de son père . Vous l'aviez oublié ?
    La pomme ne tombe jamais loin de l'arbre.

     

    http://www1.alliancefr.com/pourquoi-un-juif-ne-doit-pas-voter-le-fn-ou-marine-le-pen-par-claudine-douillet-news0,27,19084.html

     

    Alliance - 13/04/12

  • Affaire DSK: la blonde du Sofitel est-elle la femme de Richard Descoings ?

     

    Selon une information du site Wikistrike, dans l'affaire du Sofitel, la blonde qui avait diné avec DSK la veille serait la femme de Richard Descoings, le Directeur de Science Po décédé il y a quelques semaines à New York.

    Ce dernier a été découvert mort mystérieusement dans sa chambre d'hôtel à New York début avril.

    L'ancien directeur du FMI et Richard Descoings se voyaient souvent aux Etats-Unis.

    Quant à Anne Sinclair, elle est à la tête du Conseil d'administration de la Fondation Science-Po et Nadia Descoings est en charge des partenariats et du développement des affaires.

     
    Faits Divers.org - 05/05/12
  • Athènes: l'autre scrutin du 6 mai

    Lire l'article: http://metamag.fr/metamag-807-Athenes--autre-scrutin-du-6-mai-Ces-elections-plus-importantes-que-les-francaises--.html

     

     

    04/05/11

  • Nouveau bureau directeur du Bloc Identitaire: entretien avec Simon Charles

    05/05/2012 – 10h00
    PARIS (NOVOpress) —
    Le samedi 21 avril s’est réuni à Lyon le nouveau bureau directeur du mouvement identitaire. Ce bureau directeur reflète la variété des initiatives et des engagements militants de l’ensemble de la mouvance identitaire. Son objectif est d’assurer une parfaite symbiose entre les différentes structures et plus particulièrement entre les deux principales formations militantes (le Bloc et les jeunes identitaires). La liste des membres du bureau directeur est consultable à l’adresse suivante : www.bloc-identitaire.com/bloc-identitaire/bureau-directeur Nous vous proposons une série de portraits pour faire connaissance avec les membres de la direction. Aujourd’hui, rencontre avec Simon Charles.

    Pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs ?

    Nouveau bureau directeur du Bloc Identitaire : entretien avec Simon Charles

    Je m’appelle Simon Charles, 29 ans, et j’habite en région parisienne. Je suis marié et père d’un enfant. Diplômé d’une école de commerce, je travaille comme responsable en gestion dans une entreprise. Sans avoir connu d’autres formations politiques auparavant, j’ai rejoint les identitaires en 2007 après la Convention de Beaune, qui fut pour moi un déclic. Tant sur le fond (tryptique identitaire région – nation – Europe) que sur la forme (agit-prop, actions, initiatives culturelles et métapolitiques, etc.) j’ai tout de suite été séduit par le discours et les méthodes du mouvement identitaire.

    Un petit résumé de votre parcours politique ?

    En 2007, j’ai tout naturellement rejoint la section parisienne et francilienne des jeunes identitaires. En 2008, j’ai contribué à la création et au lancement du Projet Apache. En quelques mois, nous avons, par nos actions, nos thématiques, nos visuels, nos autocollants et affiches apporté un souffle de créativité et de dynamisme militant sur Paris et sa région. Avec d’autres initiatives, comme le groupe de rock Hotel Stella, le local La Barricade (qui va prochainement rouvrir), et l’association Paris Fierté que j’ai présidée (connue pour ses désormais traditionnelles Marche de la Fierté Parisienne en hommage à Sainte Geneviève), nous avons initié un travail et montré les pistes pour un ré-enracinement culturel et identitaire à Paris, là où tout semblait perdu. Ce travail sera bientôt concrétisé par une surprise qui attend tous ceux qui apprécient notre travail dans le courant de l’année. Les militants de ma génération ont ensuite décidé de transmettre le flambeau du Projet Apache à une nouvelle équipe, pour se concentrer sur d’autres projets. J’ai donc décidé de rejoindre en 2011 la section Paris – Ile de France du Bloc Identitaire, dont je fais aujourd’hui partie du bureau.

    Dans quel domaine particulier apportez-vous votre expertise et vos connaissances au sein de la direction des identitaires ?

    En premier lieu, par mon âge, mes expériences et ma situation personnelle, j’espère pouvoir être un lien efficace entre les différentes générations militantes au sein du mouvement.
    Notamment, je souhaiterais, avec d’autres membres de cette direction, aider à la passerelle entre les plus “vieux” militants ayant suivi la formation des jeunes identitaires, et le Bloc Identitaire ou d’autres structures “adultes”. Ensuite, bien évidemment, le développement des structures identitaires, politiques et métapolitiques, à Paris et en Ile-de-France sera ma priorité. Enfin, sur le plan national, j’espère apporter mon savoir-faire pour l’écriture de textes voire sur la formation des militants, et la participation active au lancement de campagnes ou d’actions politiques, avec l’ambition d’essayer de diversifier nos angles d’attaque et nos thématiques.

    [cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine

  • Les secrets de la Grande Guerre: comment les Etats-Unis ont profité du conflit européen

    04/05/2012
    PARIS (NOVOpress) –
    Ce qui intéresse Rémy Porte, dans son dernier ouvrage consacré aux « Secrets de la Grande Guerre », publié par la Librairie Vuibert, c’est de démontrer que le conflit de 1914/1918 qui ensanglanta l’Europe « est toujours à (re)découvrir et à raconter ».

    Les secrets de la Grande Guerre : comment les Etats-Unis ont profité du conflit européen

    Ce spécialiste de la Première Guerre mondiale s’attaque donc à plusieurs « idées reçues » sur cette période dramatique. Comment ? En mettant « en lumière des aspects peu ou mal connus du conflit ».

    Au chapitre « L’armée américaine entre en ligne » en 1917, l’historien rappelle que les trente-deux premiers mois de guerre ont été « extrêmement lucratifs pour l’économie et la population américaines ». Ainsi, la flotte commerciale des Etats-Unis va augmenter de 74% en deux ans grâce au sang coulé sur le continent européen, « tandis que les commandes des belligérants en matières premières et produits finis de toutes sortes favorisent à la fois la croissance et la hausse des salaires » dans le pays du président Wilson, note l’auteur à la page 282 du livre.

    Rémy Porte rappelle également la « piètre efficacité » de l’état-major américain sur le sol français. Bref, la Grande Guerre fut donc un tremplin économique pour les Etats-Unis qui ne remplirent aucun rôle stratégique à la fin du conflit. En février dernier, le magazine Guerres & Histoire faisait le même constat. 1918 ou 1944 en France ; 2012 en Afghanistan : les interventions militaires américaines, sous le couvert de la « défense de la liberté », ne sont jamais désintéressées…

    [cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine

  • Vitrolles - Un jeune majeur tire avec une carabine à plomb sur un enfant de six ans

     

    Publié le vendredi 04 mai 2012 à 16H53

     

    Un jeune majeur a tiré depuis sa fenêtre du 3e étage d'un immeuble du quartier du Liourat, blessant le petit Louis au bras. Hier, après sa garde à vue, il a été déféré devant le parquet d'Aix

    C'est devant le magasinde fleur de sa maman,que Louis a reçu une balle alors qu'il revenait avec son frère de la supérette d'en face.

    C'est devant le magasin de fleurs de sa maman que Louis a reçu une balle alors qu'il revenait avec son frère de la supérette d'en face.

    Photo N.K.

    "Maman, est-ce que je peux retourner dans ton ventre." Depuis que le petit Louis, 6 ans, a reçu une balle dans l'épaule, il lui est difficile de s'éloigner de sa mère. Nathalie, encore sous le choc de ce qui est arrivé à son fils, est bien connue dans le quartier du Liourat, où elle tient L'Art d'une fleuriste. C'est devant sa boutique, qu'il y a quelques jours, elle a vécu un vrai cauchemar.

    En cette période de vacances scolaires, cette mère célibataire, qui élève seule ses quatre enfants,emmène avec elle les plus jeunes : ses fils de 6 et 9 ans. Les garçons s'amusent lorsqu'ils décident de se rendre à la supérette d'en face pour y acheter une canette de soda. Sur le retour, alors qu'ils s'apprêtent à entrer retrouver leur mère, Louis, le plus jeune, reçoit comme une décharge dans l'épaule. "Il a poussé un cri de douleur", raconte Nathalie.

    Impossible de retirer le projectile pour l'instant

    Dans la foulée, son frère lui répond "qu'il s'est sans doute fait piquer par une abeille". Mais étrangement Louis répond en pleurs : "Non, je me suis fait tirer dessus !" Paniquées, Nathalie et sa cousine découvrent que le tee-shirt de l'enfant est maculé de sang au niveau du dos. Une image d'effroi pour les deux femmes qui sautent avec Louis dans leur véhicule, "pour le conduire à la permanence médicale, alors que c'est à côté. Dans l'affolement on ne savait plus...", raconte la mère.

    À la maison médicale, Louis est rapidement pris en charge. Sa blessure, jugée grave, est soignée, pour éviter toute infection et le jeune garçon est transporté d'urgence à l'hôpital Nord. Les radios sont sans appel : Louis a bien reçu un plomb, qui est entré par l'omoplate gauche, avant de venir se ficher dans un tendon du bras. Pour l'heure, selon les médecins, "il est impossible de lui retirer parce que l'intervention est trop risquée, explique Nathalie. Si on touche un tendon, mon fils pourrait se retrouver avec le bras handicapé."

    Depuis quelques jours, Louis vit donc avec un intrus dans le corps. Ses nuits sont peuplées de cauchemars et ses journées restent ponctuées de moments de frayeur. "Il y a quelques jours, ils sont restés coincés dans l'ascenseur, poursuit une amie de Nathalie, et le petit paniqué lui a dit : "Maman, est-ce que je peux retourner dans ton ventre."

    Après le choc, Nathalie est aujourd'hui une mère en colère. Comment son fils a-t-il pu être blessé de cette manière ? Et par qui ?

    Le tireur a rapidement été identifié par les enquêteurs de la police nationale de Vitrolles, qui s'est saisie de l'enquête. Il s'agit d'un jeune majeur, domicilié dans le quartier du Liourat. Il aurait tiré depuis la fenêtre du 3e étage d'un immeuble situé en face de la boutique de la fleuriste, à l'aide d'une carabine automatique. Ce ne serait d'ailleurs pas la première fois qu'il en ferait usage puisqu'aux dires des habitants du quartier "il s'amusait à éclater les ampoules des lampadaires avec."

    Mais personne n'aurait signalé ces agissements. Le Vitrollais a été entendu une première fois après les faits. Il aurait reconnu être l'auteur du tir, tout en invoquant la thèse de l'accident ; qu'en réalité il visait un arbre...

    La mère du jeune homme se serait excusée

    Une défense défaillante, d'abord au vu des radios de Louis, qui laissent penser, selon les experts, que le plomb n'a fait aucun ricochet et que le petit garçon aurait donc pu être pris pour cible délibérément. Également, la position du projectile dans le bras du garçonnet qui indique un angle de pénétration par le haut.

    Par la suite, les investigations menées au domicile du Vitrollais ont permis aux enquêteurs d'étayer leur dossier et de le placer en garde à vue, hier, avant d'être déféré en milieu d'après-midi devant le parquet d'Aix-en-Provence.

    Selon Nathalie, la mère du jeune homme se serait excusée du geste de son fils. Mais la compréhension entre mères célibataires avec plusieurs enfants à charge a des limites. "Tous les enfants peuvent faire des bêtises, mais cela ne justifie pas que celui-ci possède une arme, ça aurait pu virer au drame."

    Le petit Louis devra retourner à l'hôpital Nord dans quinze jours, pour déterminer quelles suites donner à cette blessure. L'extraction du plomb est-elle vraiment impossible ? Louis pourrait-il vivre sans problème avec un projectile dans le corps ?

    En attendant, Nathalie et ses enfants ont fait leurs valises pour partir quelques jours, histoire de laisser derrière eux cette journée noire, qui aurait pu avoir de lourdes conséquences.

    La Provence