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Blog - Page 1219

  • L'ex-Premier ministre libyen affirme que Kadhafi a financé la campagne 2007 de Nicolas Sarkozy

    L'ancien dignitaire est actuellement emprisonné en Tunisie. Il affirme aujourd'hui que le régime libyen de Mouammar Kadhafi "a financé la campagne électorale de Sarkozy en 2007". Il avance un chiffre de quelque 50 millions d'euros, comme l'affirme également le site d'information Mediapart.

     

     

    L'ancien Premier ministre Al-Baghdadi Al-Mahmoudi, à Tripoli en août 2011 © Reuters Paul Hackett

    "Le marché a été conclu par Moussa Koussa (l'ex-chef des services de renseignements extérieurs) sur instruction de Kadhafi. Les documents attestant de la transaction existent." L'ancien chef du gouvernement libyen, aujourd'hui emprisonné en Tunisie, est catégorique : il y a bien eu un financement de la campagne 2007 de Nicolas Sarkozy par le régime de Mouammar Kadhafi. Al-Baghdadi Al-Mahmoudi a décidé de s'exprimer aujourd'hui, par la voix de ses avocats.

    Une accusation qui va dans le sens du site d'information Mediapart. Samedi dernier, il publiait un document attribué à un ex-dignitaire affirmant que Tripoli avait accepté de financer "pour 50 millions d'euros" la campagne du président français. Un chiffre confirmé par Al-Baghdadi Al-Mahmoudi.

    Deux plaintes déposées en quelques jours

    Nicolas Sarkozy nie catégoriquement ces accusations, qu'il avait qualifiées de "grotesque", estimant même que la note est un "faux". Le chef de l'État a même porté plainte, le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire pour "faux et usages de faux" et "publication de fausses nouvelles". De son côté, Mediapart a également porté plainte, hier, pour "dénonciation calomnieuse".

    Dans la journée d'hier, le Conseil National de Transition au pouvoir en Libye assurait de son côté que le document de Mediapart semblait "faux et falsifié".

    France-Info - 03/05/12

  • Autriche: HC Strache veut devenir chancelier des coeurs

    02/05/2012 – 18h30
    LINZ (NOVOpress via Lionel Baland) —
    Le Président du FPÖ Heinz-Christian Strache a pris la parole, durant 1h30 à Linz en Haute-Autriche dans un chapiteau à bière, devant 5.000 partisans à l’occasion de la fête du 1 mai 2012. Il a mis l’accent sur la campagne du FPÖ pour plus de démocratie directe sous le slogan : « La démocratie directe immédiatement : au peuple, son droit. »

    Heinz-Christian Strache espère que son parti, le FPÖ, obtiendra 33,4 % des voix lors des élections législatives, soit une minorité de blocage de réforme de la Constitution. Il a critiqué la coalition rouge-noire en place (Parti social-démocrate et Parti conservateur) qui dirige le pays et a exigé une réforme de l’administration et du système de santé. Le président du FPÖ a réclamé des investissements plutôt que des expériences dans le domaine scolaire, moins d’impôts pour les familles qui ont plusieurs enfants et une politique de l’immigration stricte. Il s’oppose à l’islamisation et demande que l’Autriche quitte le Protocole de Kyoto et le Traité Euratom. Il souhaite une Autriche qui prend son destin en main : « Je ne veux pas que nous dégénérions en une secte Union européenne. » et « Au lieu de plier les genoux devant l’Union européenne, l’Autriche doit se tenir droite sur ses jambes.» Il a rappelé son opposition à l’entrée de la Turquie au sein de l’Union européenne.

    Pour le président du FPÖ, l’Autriche a besoin d’une révolution démocratique : le FPÖ ne doit plus être mis de côté par les partis du système. Il pense que le Parti conservateur ÖVP ne joue plus de rôle. Lors des prochaines élections législatives, il s’attend à un duel entre le Chancelier social-démocrate SPÖ Werner Faymann et lui-même. Heinz-Christian Strache a ajouté que lors de la marche du 1 mai des rouges, la devise « Socialistes de tous les pays unissez-vous » est une réalité : on ne voit plus là qu’à peine plus d’un Autrichien.

    Heinz-Christian Strache a précisé qu’une équipe de télévision a voulu se rendre incognito au meeting du FPÖ, afin de monter des manipulations, mais a pu être détectée et empêchée d’entrer.

    Autriche : HC Strache veut devenir chancelier des cœurs

    Le John Otti Band chauffe la salle.

    (Cliquez sur les photos pour les voir en totalité)

     

    Autriche : HC Strache veut devenir chancelier des cœurs

    Les dirigeants du FPÖ

     

    Autriche : HC Strache veut devenir chancelier des cœurs

    Le public

     

    Autriche : HC Strache veut devenir chancelier des cœurs

    Heinz-Christian Strache parle.

    [cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine

  • Deuxième tour: le CRIF choisit Nicolas Sarkozy

    Deuxième tour : le Crif choisit Nicolas Sarkozy

    26/04/12 – 16h30
    PARIS (NOVOpress)
    – On connaissait la proximité de Nicolas Sarkozy avec le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) et son empressement constant envers celui-ci.

    Une déférence et un soutien permanent qui se révèlent ne pas être unilatéral puisque le président du Crif, Richard Prasquier, dans une tribune au journal israélien Haaretz, a implicitement soutenu le président sortant en s’inquiétant d’une éventuelle victoire de François Hollande à la présidentielle française.

    En effet, s’il affirme penser que le candidat socialiste et le président sortant “ont des opinions similaires sur Israël et l’antisémitisme”, Richard Prasquier se dit préoccupé par les positions des alliés du PS sur ces questions, notamment les Verts qui, selon le président du Crif, “affichent une forte hostilité envers Israël et sont en pointe de toute manifestation”.

    Au-delà de la démonstration que le Crif juge l’élection présidentielle française à l’aune des intérêts d’ Israël, la prise du position de Richard Prasquier, qui fait notamment miroir aux appels à voter François Hollande entendus dans diverses mosquées, renforce l’actuelle dérive d’un “vote communautaire” de plus en plus présent.

    Crédit photo : Marcel Masferrer Pascual via Flickr, licence CC.

    [cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine

  • Patrick Pelloux, médecin praticien hospitalier urgentiste, invité de "RTL Midi" mercredi : "Je n'ai pas de mots assez durs pour qualifier l'agression au CHU de Grenoble"


    Patrick Pelloux, médecin praticien hospitalier... par rtl-fr

  • Un médecin violemment agressé à l'hôpital de Grenoble

     

    le 02 mai 2012 à 11h51 , mis à jour le 02 mai 2012 à 17h24

    Vers 18 heures dimanche, un médecin du CHU a été violemment frappé par plusieurs personnes. Elles contesteraient ainsi la façon dont il avait pris en charge une patiente plus tôt dans l'après-midi.

      
     
     
    L'hôpital de Grenoble/Image d'archives

    Il a été frappé au corps et au visage. Un médecin de l'hôpital de Grenoble a été agressé dimanche après-midi par plusieurs personnes. Ces dernières lui reprochaient de ne pas avoir suffisamment pris soin d'une de leurs proches. L'information est révélée ce mercredi dans le Dauphiné Libéré.

    Vers 18 heures, plusieurs personnes "ont fait brutalement irruption" au service des urgences "et ont violemment agressé le médecin en charge d'une patiente hospitalisée dans l'après-midi, en contestant semble-t-il les conditions de sa prise en charge", indique l'hôpital dans un communiqué. D'après le Dauphiné Libéré, il s'agirait de cinq à sept personnes entrées aux urgences en passant par une entrée où les allées et venues ne sont pas filtrées.

    L'agression condamnée avec "la plus grande fermeté"

    Le médecin frappé ferait l'objet de deux jours d'incapacité temporaire totale (ITT) de travail, selon la police. Trois autres membres du personnel ont aussi été blessés en s'interposant, selon le Dauphiné Libéré. L'un des agresseurs aurait notamment été ceinturé par un aide-soignant alors qu'il tentait d'abattre une chaise sur le crâne du médecin, selon le quotidien régional.

    La direction du CHU a salué "le sang froid et le professionnalisme des médecins et agents (...) et en particulier des médecins et personnels blessés qui ont évité, par leur courage, que cette agression n'ait de plus graves conséquences". Elle condamne "avec la plus grande fermeté" cette agression, et déplore "qu'un tel déferlement de violence puisse avoir lieu, de surcroît dans un établissement de soins et dans un service d'accueil d'urgences, assurant un service public de très grande qualité 24h/24", selon le communiqué.

    Elle a indiqué "prendre et actualiser régulièrement toutes les dispositions de sécurité (vigiles, contrôles d'accès, vidéo-surveillance) permettant de renforcer la protection des personnels de soins et d'identifier les auteurs de telles agressions inqualifiables". Les victimes, qui n'avaient pas envisagé de déposer plainte dans un premier temps, l'ont finalement fait lundi, selon la police.

    L'AMUF exige des "sanctions exemplaires"

    L'association des médecins urgentistes de France (AMUF), présidée par le Dr Patrick Pelloux, a exigé mercredi des "sanctions exemplaires" contre les auteurs de l'agression. Se déclarant "scandalisée par l'extrême violence, ignoble, préméditée" de l'agression, l'AMUF a réclamé que "tous les moyens de police et de justice soient mis en oeuvre pour arrêter ces individus et que les sanctions soient exemplaires".

    "L'ensemble des soignants et des personnels des urgences partout en France ne sont pas là pour se faire battre et subir la violence de la société", a ajouté M. Pelloux dans un communiqué. "Nous faisons notre travail du mieux que l'on peut avec les moyens qui nous sont donnés (...) rien n'excuse une telle violence, une telle haine de ces voyous contre les personnels", a-t-il affirmé.

     

    le 02 mai 2012 à 11:51
     
    TF1 News
  • 37% des Français d'accord avec les idées du Front National : "Un record historique"

     

    Interview

    Si les Français semblent accorder un crédit – à son plus haut historique – aux idées du Front National, l'adhésion à celles-ci reste stable voire en recul sur une longue période.

    Florian Philippot, directeur stratégique et porte-parole de Marine Le Pen, réagit à ce sondage pour France-Soir.

     
    Florian Philippot, directeur stratégique et porte-parole de Marine Le Pen
     

    Près de quatre Français sur dix (37 %) se disent d'accord, à des degrés divers, avec les idées défendues par le parti dirigé par Marine Le Pen, même si une majorité (51 % contre 42 %) estime que le Front National demeure un danger pour la démocratie, selon un sondage TNS Sofres pour la Matinale de Canal + mercredi. Ils sont ainsi 37 % des sondés (+6 points par rapport à janvier) à se dire d'accord avec « les idées défendues par le Front national », et plus précisément 6 % (+1) « tout à fait d'accord » et 31 % (+5) « assez d'accord ».
    C'est un niveau historique. Cependant, 25 % (-2 points) des Français se disent « plutôt en désaccord » et 34 % (-1 point) « tout à fait en désaccord » avec ces idées, soit un total de 59 %. Si le Front National obtient plus de crédit il n'en est pas davantage jugé plus crédible sur ses propositions. Ainsi une majorité (57 %) des sondés désapprouve l'idée selon laquelle « on ne sent plus vraiment chez soi en France » contre 41 % approuvant celle-ci. Autre échec idéologique, le retour au Franc : seuls 20 % des sondés y sont favorables contre 73 %. Quant à savoir s'il y a trop d'immigrés en France, 52 % des Français estiment à ce jour que c'est le cas, un score similaire à celui de janvier (+1 pt), mais nettement inférieur aux scores observés entre 2000 et 2006 (de 59 % à 63 %). (NdB: ces pourcentages traduisent le fait que la substitution de population est déjà bien entamée)

    Cliquez ici !

    Lire article complet sur le sondage

    France-Soir Que pensez-vous de ce sondage ?
    Florian Philippot Il n'y a jamais eu autant d'adhésion. Je constate que c'est un record historique. Nous nous réjouissons que notre projet et nos idées infusent dans le société française. C'est le signe que nous remportons des victoires idéologiques les unes après les autres. Les Français se rendent compte que ce que nous leur disons depuis des années se vérifie : non, la crise n est pas terminée, oui, il y a un problème avec l'immigration, oui il y a un problème avec la mondialisation non maîtrisée et oui, il ya un problème avec l'Euro. Les Français vérifient que nous avons sur l'ensemble de ces sujets une cohérence globale, c'est pour cela que notre projet est jugé de plus en plus crédible face à la faillite de la gauche et de la droite depuis trente ans.

    F. -S. Cependant – même si le chiffre est légèrement en baisse – 51% des sondés estiment que le Front National représente toujours un danger pour la démocratie...
    F. P. Le sondage le montre, la crainte du Front National recule. Il subsiste une diabolisation du Front National parce que des personnes comme « Monsieur B.H.L. » continuent de véhiculer certaines vieilles thèses, ressortent des épouvantails... mais tout cela marche de moins en mois bien. Les Français le comprennent et voient qu'il s'agit de là de poudre aux yeux. Très prochainement cette majorité sera inversé, nous serons en-dessous des 50%.

    F. -S. Que pensez-vous des dissenssions au sein de l'UMP suite à l'interview de Gérard Longuet dans Minute ?
    F. P. Au sujet de Gérard Longuet, je n'ai que mépris pour ce cynisme électoraliste. Quel retournement ! Ce dernier en février se réjouissait que Marine Le Pen puisse ne pas obtenir ses 500 signatures. Mais Gérard Longuet n'est pas très fréquentable vu son passé et aujourd’hui il a fait le choix du sarkzoysme qui est l'antithèse de ce que nous pensons. Je ne tombe pas dans le panneau... je constate que nous sommes soudainement séduisants et très attractifs alors que le discours officiel tenu auparavant était loin d'être celui-ci. Quant aux dissenssions au sein de l'UMP – j'ai vu les réactions de Rachida Dati et de Valérie Pécresse – force est de constater que ce parti est en train de se déchirer. Nous, nous sommes un parti patriote populaire attaché aux valeurs républicaines.

    F. -S. Souhaitez-vous l'explosion de l'UMP ?
    F. P. Nous souhaitons une recomposition de la vie politique non plus entre droite et gauche mais entre ceux qui croient en la France et ceux qui n' y croient plus. Il y a eu trop de mensonges en politique, nous voulons refonder le débat sur l'honnêteté et la sincérité. Pour les législatives nous allons fédérer des patriotes de gauche et de droite au sein d'un rassemblement « bleu Marine ».

     

    Entretien réalisé par téléphone le 2 mai au matin.

    Enquête réalisée pour l’émission La Matinale de Canal+, auprès d'un échantillon national de 1000 personnes représentatif de l'ensemble de la population française âgée de 18 ans et plus interrogées les 26 et 27 avril 2012 en face-à-face à domicile. Méthode des quotas (sexe, âge, profession du chef de ménage PCS) et stratification par région et catégorie d’agglomération.

    Actu France-Soir
  • Le mondialisme, par Aymeric Chauprade

  • Résistance des Irlandais et choix entre la peste et le choléra pour les Français

    2nd mai, 2012

    Le 31 mai 2012, les Irlandais se rendront aux urnes pour se pronon­cer sur le nouveau traité fiscal de l’Union européenne, le Traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance au sein de l’Union économique et monétaire.

    Pour le moment, une plainte constitutionnelle a été déposée par un député indépendant, Thomas Pringle, lequel conteste ce traité ainsi que le mécanisme européen de stabilité (MES). Pringle précise que dans le cadre du MES, le gouvernement irlandais pourrait être amené à lever des fonds « équivalant à environ un tiers des recettes fiscales pour 2011. Ce chiffre peut être augmenté à tout moment à la seule demande du MES et sans limite fixée dans le traité sur les sommes qu’on pourra demander aux Etats membres de fournir. Il pourra effectivement dire à l’Etat de lever de la dette souveraine, de lui remettre cet argent, puis décider où, quand et comment il sera déboursé ».

    La campagne pour le « non » est menée par le Sinn Fein, le Parti socialiste et les indépendants.

    L’austérité brutale, choisie ici comme partout en Europe, se traduit par un chômage et une pauvreté en constante croissance. Socialement, les familles ne parviennent plus à payer les mensualités de leur prêt de maison, les entreprises sont condamnées à fermer, le système de santé et le système scolaire sont douloureusement impactés par les mesures de rigueur.

     

    La rigueur demandée par les Marchés, ce sont des mesures draconiennes, de l’austérité pour la population et des coupes dans l’investissement pour l’emploi et… la croissance.

    Il ressort d’un récent sondage commandé par l’Irish Times que la cote d’approbation du Sinn Fein est à 21%, soit en deuxième position, et que le soutien aux indépendants et aux petits partis qui s’opposent au renflouement et à l’austérité a également augmenté. Par contre, la cote du gouvernement a baissé de 14 points depuis le précédent sondage en octobre, la ramenant à 23 %.

    Maintenir le Système oligarchique et entretenir l’illusion du vote démocratique

    Ce qui se passe en Irlande marque l’enjeu de toutes les élections et de la bataille engagée par les factions oligarchiques à l’œuvre pour introduire leur Nouvel Ordre Mondial. Il s’agit de barrer le pouvoir aux opposants à la mondialisation. En France, par exemple, on les neutralise par les extrêmes, on éparpille ainsi les voix entre les candidats “inférieurs” afin de placer en tête, pour le second tour, les deux représentants des partis inféodés aux puissances financières qui ont décidé de la fin de l’Etat-nation. Le choix de la présidence se limite ainsi entre deux candidats pro-Nouvel Ordre Mondial, dont les partis sont PRO EUROPEENS, pro-babélien, favorables au programme de démantèlement de la nation.

    Ces candidats du cartel des banques donnent l’impression de s’opposer, mais c’est une plaisanterie. Certains des conseillers privés des deux candidats fréquentent les mêmes cercles de pouvoir, les mêmes officines. D’aucuns peuvent chercher, à partir de quelques noms connus, ils feront de belles découvertes…

    Source : LIESI

    Contre-info.com - 02/04/12

  • Le MRAP demande la dissolution d'une section locale du Bloc Identitaire

    02/05/2012 – 10h00
    SAINTES (NOVOpress) – La section locale saintongeaise du Bloc Identitaire, récemment crée, a fait l’objet d’une demande de dissolution par les autorités préfectorales de la part du MRAP (comité de La Rochelle).

    Le journal Sud-Ouest a publié (image ci-dessous) qu’en ce qui concerne la brasserie de Saintes (Charente-Maritime) dans laquelle les identitaires se sont réunis, le MRAP déclare espérer que “le propriétaire de ladite brasserie ignore le vrai visage des individus qui composent ce groupe” [sic]. Big Brother surveille !

    Le responsable des identitaires de Saintonge, Hugo Mellais, a répondu au vice-président du comité rochelais du MRAP, Abdelouahed Tatou :

    “Une fois de plus le MRAP montre son vrai visage de police de la pensée, ne demandant pas moins que la dissolution de notre mouvement naissant. La préfecture appréciera sûrement de recevoir ses ordres d’une association.

    A cette demande d’interdiction s’ajoute la menace à peine voilée qui pèse sur la brasserie qui nous a reçue tels n’importe quels clients sans fanfare ni trompettes.

    Le MRAP est tellement soucieux de défendre le ”vivre ensemble” qu’il s’empresse de vouloir censurer la liberté d’expression d’une partie des citoyens Français qui ont à cœur de défendre leur identité.
    C’est pourquoi le Bloc Identitaire Saintongeais, loin de céder face à ces pressions, se trouve renforcé dans sa volonté de défendre les valeurs qui l’animent.”

    Le MRAP demande la dissolution d’une section locale du Bloc Identitaire

    [cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine

  • "Diversité" et racisme anti-Blancs: les enfants, premières victimes de la société métissée


    Les enfants, victimes de la société métissée par lpqr

  • 1er mai 2012 - Marine Le Pen invitée du "Grand journal" sur Canal+

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  • RATP: les contrôles suspendus ?

    Par Europe1.fr

     

    Publié le 1 mai 2012 à 17h36Mis à jour le 1 mai 2012 à 17h58

     

    Jusqu'à dimanche, les contrôles de tickets de métro et de RER seraient suspendus dans les grandes stations, comme ici à la Gare du Nord, selon le syndicat SUD-RATP. © MAXPPP

    Selon le syndicat SUD, aucun contrôle n'aura lieu dans les grandes stations jusqu'au 6 mai.

    Aucun contrôle jusqu'au 6 mai inclus aux grandes stations de métro et de RER parisiennes. C'est ce que révèle dans un communiqué le syndicat SUD-RATP, tandis que la direction de la RATP ne le conteste pas, selon Le Point.

    Le but de cette interruption des contrôles : éviter les tensions à cinq jours de l'élection présidentielle, comme cela s'était produit en mars 2007 à la suite d'un contrôle qui avait mal tourné à la Gare du Nord. S'en était suivi un polémique sur la sécurité en pleine campagne présidentielle.

    Du coup, les voyageurs sans ticket ne devraient rien avoir à craindre aux stations Châtelet, Gare du Nord ou Saint-Lazare jusqu'à dimanche inclus.

    La direction de la RATP a confirmé à l'hebdomadaire l'interruption temporaire des contrôles à ces stations. "Il existe régulièrement des périodes de tension sur nos lignes. Ces derniers temps, de graves incidents prenant pour cible des contrôleurs se sont déroulés", justifie-t-elle.

    Toutefois, à écouter Patricia Delon, la directrice du département commerciale de la RATP, cet arrêt des contrôles n'est pas pris "en fonction du contexte électoral". Elle assure que les contrôles reprendront "à la rentrée" des classes de la zone parisienne, soit mercredi 2 mai.

    "Nous tenons compte, en réalité, des vacances scolaires qui ont pour conséquence un afflux de jeunes voyageurs dans ces grandes gares parisiennes. Nous n'avons aucun agenda politique" affirme-t-elle.

    Reprise des contrôles le 7 mai ?

    Pourtant, un agent contrôleur confirme l'information dévoilée par un communiqué du syndicat SUD-RATP. "Avant de partir en contrôle, on appelle le CIC (Centre d'information du contrôle) pour connaître nos ordres de mission. Alors qu'on voulait se rendre à Saint-Lazare peu avant le premier tour, on nous a interdit d'y aller, en prétendant qu'il s'agissait d'un ordre de la préfecture de police". Une chose est sûre, le 7 mai au matin, les contrôles reprendront partout.

  • La procédure au civil contre DSK à New York se poursuit

    NEW YORK (Reuters) - Le classement sans suite réclamé par les avocats américains de Dominique Strauss-Kahn dans la plainte au civil déposée par Nafissatou Diallo contre l'ancien directeur général du FMI a été rejeté mardi par le juge new-yorkais Douglas McKeon.

    Le juge de la Cour suprême du Bronx n'a pas retenu les arguments présentés lors de l'audience du 28 mars par les avocats de Dominique Strauss-Kahn, qui tentaient de faire valoir que leur client bénéficiait au moment des faits de l'immunité diplomatique liée à son poste au Fonds monétaire international.

    Dans son arrêt, révélé par le New York Post avant d'être rendu public par la justice new-yorkaise, il estime qu'en démissionnant volontairement de la tête du FMI dans les jours ayant suivi son arrestation, Dominique Strauss-Kahn a renoncé à toute forme d'immunité.

    Il reprend aussi à son compte les arguments avancés par les avocats de la femme de chambre guinéenne du Sofitel, qui s'étaient étonnés que Dominique Strauss-Kahn n'ait pas invoqué cette immunité pendant la procédure pénale alors même qu'il risquait une lourde peine de prison.

    "M. Strauss-Kahn ne peut pas d'abord fuir l'immunité afin de tenter de laver son honneur pour mieux l'invoquer ensuite afin de tenter à présent d'empêcher Mme Diallo de laver le sien", écrit le juge, qui estime que l'ex-patron du FMI s'est livré à "sa propre version de la 'Hail Mary pass'", une expression dérivée du football américain et qui décrit une passe désespérée.

    Les défenseurs de Dominique Strauss-Kahn avaient expliqué que l'ex-favori socialiste des sondages en France n'avait pas invoqué l'immunité pour pouvoir "laver son honneur" des accusations portées contre lui.

    "RELATION INAPPROPRIÉE" OU "BRUTALE AGRESSION SEXUELLE" ?

    Douglas Wigdor, l'un des avocats de la femme de chambre, s'est félicité de la décision du juge McKeon.

    "Nous répétons depuis le début que cette requête désespérée en immunité de Strauss-Kahn relève d'une stratégie conçue pour retarder toute la procédure et nous attendons à présent avec impatience qu'il soit tenu pour responsable de la brutale agression sexuelle qu'il a commise", a-t-il dit.

    Nafissatou Diallo accuse Dominique Strauss-Kahn de l'avoir contrainte à une fellation le 14 mai 2011 dans la suite 2806 de l'hôtel Sofitel de Manhattan.

    A son retour en France, à la fin de l'été 2011, l'ex-ministre socialiste de l'Economie a reconnu une "relation inappropriée" et une "faute morale" mais affirmé que ce qui s'était passé dans la suite du Sofitel ne comprenait "ni violence ni contrainte, ni agression, ni aucun acte délictueux".

    Les poursuites au pénal ayant été abandonnées en août dernier à la suite de contradictions apparues dans les dépositions de la femme de chambre, la plainte au civil constitue l'ultime possibilité pour Nafissatou Diallo de faire établir en justice la responsabilité de Dominique Strauss-Kahn.

    La procédure civile américaine, qui autorise à tout moment un arrangement à l'amiable entre les parties, n'est qu'un des volets des déboires judiciaires de Dominique Strauss-Kahn: ce dernier est également mis en examen en France pour proxénétisme aggravé et placé sous contrôle judiciaire dans l'affaire du Carlton de Lille.

    Dans un entretien réalisé par le journaliste américain Edward Jay Epstein et publié vendredi dernier par le quotidien britannique The Guardian, il affirme que l'affaire du Sofitel n'est pas un coup monté mais qu'elle a été exploitée par ses adversaires politiques.

    "Peut-être ai-je fait preuve de naïveté politique mais je ne croyais tout simplement pas qu'ils iraient aussi loin (...) Je ne pensais pas qu'ils pourraient trouver quoi que ce soit pour m'arrêter", dit-il dans cet entretien.

    Avec Noeleen Walder; Henri-Pierre André pour le service français

    Yahoo!Actu - 01/04/12