Blog - Page 54
-
JOURNAL DU 07 JUIN 2018
-
Mourmelon. Meurtre de Kévin, 17 ans : un scénario démoniaque
-
Trump, le pragmatisme de l’imprévisible. Le président américain vole, contre tout pronostic, de succès en succès.
Jean Bonnevey ♦
Journaliste.Y a-t-il une méthode Trump ? Les analystes qui le présentaient comme un dangereux déséquilibré imprévisible se posent la question. Y a-t-il derrière une sorte de chaos un projet cohérent ? Finalement » América First » ça peut marcher.
Pour le moment, rien ne fait bouger Donald Trump de la réalisation de ses promesses électorales. Il l’a fait sur les impôts et la santé aux Usa même.
Il l’a fait sur le climat, puis sur l’Iran, puis sur le commerce mondial.Le Congrès des États-Unis a définitivement adopté, le mercredi 20 décembre, la plus grande baisse d’impôts depuis 31 ans. Ce qui offrait au président Donald Trump la première grande victoire de son mandat, onze mois après son accession au pouvoir.
Il prend le temps et fait de nombreuses volte face mais le but final est conservé. On part de très haut, de menaces de la première puissance du monde et puis on devient plus conciliant quitte a redevenir dur etc. etc.…
C’est un pragmatisme de l’imprévisible qui prend tout le monde à contre-pied.
C’est vrai pour la Corée du Nord, c’est vrai pour l’Iran, c’est vrai pour le bras de fer commercial international.
Le président américain affirme qu’il se rendra bien au sommet de Singapour le 12 juin prochain et y rencontrera le leader nord-coréen.
Il l’avait annulé la semaine dernière arguant de “la colère et de l’hostilité” du régime de Pyongyang à l’égard de son pays. Aujourd’hui, pour le président américain Donald Trump le sommet du 12 juin à Singapour “aura bien lieu”, il s’y rendra et il y rencontrera son homologue nord-coréen Kim Jong-un, a-t-il annoncé après avoir reçu à la Maison Blanche un émissaire du leader nord-coréen, vendredi 1 juin.
«Il s’agit du dernier revirement dans un psychodrame diplomatique qui passionne et, en même temps, déconcerte le monde entier», écrit The New York Times. Cette annonce a néanmoins ravi les Coréens du Sud qui, depuis quelques jours, ne croyaient plus à la tenue de ce sommet “historique”. La prudence est néanmoins de mise : «Il paraît que la voie est de nouveau libre pour un sommet États-Unis-Corée du Nord» a réagi samedi 2 juin un porte-parole de la présidence sud-coréenne, cité par le quotidien The Korea Times. «Nous attendons avec beaucoup de joie mais aussi de calme la tenue de ce sommet historique à Singapour», a-t-il ajouté.Sur l’Iran la France cède. Marche arrière toute. La perspective de sanctions américaines, suite au retrait par Donald Trump de l’accord sur le nucléaire iranien, a eu raison des belles ambitions de PSA au pays des Mollahs. Le groupe a annoncé lundi avoir amorcé le processus de suspension des activités de ses co-entreprises dans le pays. Si les sociétés ont jusqu’au 6 août pour se conformer à la loi américaine, PSA a préféré prendre les devants, compte tenu des délais nécessaires pour mettre à l’arrêt les unités de production.
Alors que Téhéran lui a accordé deux mois pour obtenir une dérogation pour contourner les sanctions américaines, le PDG de Total, Patrick Pouyanné, juge “très faible” la probabilité d’en obtenir une. Total semble résigné quant à ses chances de se maintenir en Iran. L’entreprise française semble en effet ne plus se faire d’illusions sur son avenir dans le pays, en particulier concernant sa participation dans le projet d’exploitation gazier, South Pars 11 (SP11). «Vous avez entendu leurs déclarations? Vous croyez qu’ils vont en donner une [dérogation]? La stratégie américaine, c’est le maximum de sanctions pour étouffer l’Iran. Pourquoi ils feraient preuve de faiblesse? Nous avons demandé au gouvernement français de soutenir notre demande de dérogation, mais il faut voir la réalité en face», avait-il expliqué auparavant au lendemain de l’annonce des Etats-Unis d’augmenter les droits de douane sur l’acier et l’aluminium européens de respectivement 25% et 10%.
La Commission européenne a lancé sa première riposte en portant plainte auprès de l’Organisation mondiale du commerce (OMC). Le risque majeur d’une escalade, avec rétorsion et contre-rétorsion, mettant à mal l’ordre commercial mondial, a commencé. Mais personne n’y croit vraiment.
Donald Trump dit ce qu’il fait et fait ce qu’il dit. A ce petit jeu, pour le moment, il l’emporte largement avant le G7 sur le président Macron.
METAMAG
-
Aulnay-sous-Bois : Théo Luhaka et quatre membres de sa famille en garde à vue pour escroquerie aux aides d’État
Hollande au chevet de Théo Luhaka, faussement "blessé à l'anus" ...
8h36Mickaël Luhaka, 34 ans, avait été convoqué en mars dernier par la police judiciaire (PJ) de Seine-Saint-Denis mais ne s’était pas rendu à la convocation par négligence. Cette fois, la justice a choisi d’aller le chercher au domicile de ses parents à Aulnay-sous-Bois, tout comme son frère Théo et trois autres membres de leur famille.
(…) L’enquête de la PJ porte sur le fonctionnement trouble de trois associations et sur l’utilisation de plusieurs centaines de milliers d’euros de fonds publics par le biais de contrats d’accompagnement à l’emploi (emplois aidés). (…)
170 000 € directement virés sur les comptes de huit membres de la famille
Au cœur de ce réseau familial d’escroqueries présumées, il y a Michaël, l’aîné de la fratrie. Interdit bancaire et condamné aux Prud’hommes, Mickaël s’est parfois associé à son frère cadet, Grégory, 28 ans, notamment à travers une association de sport de combat domiciliée à Mantes-la-Jolie (Yvelines). Le grand frère a parfois aussi géré certaines structures, via des prête-noms, comme l’association Essence de la réussite, basée à Paris, mais rayonnant dans d’autres départements comme la Haute-Vienne. L’ex président, Serge F., est aujourd’hui en garde à vue.
Dans chacune des structures, Mickaël Luhaka est soupçonné d’avoir recruté des salariés sous contrat d’avenir sans jamais les payer ou très peu, ni régler l’Urssaf. Sauf quand il s’agissait de ses proches… Entre janvier 2014 et juin 2016, une association de médiation, Aulnay Events, présidée par Mickaël Luhaka, a embauché 42 emplois et touché 678 000 € de subventions d’Etat, dont 170 000 € directement virés sur les comptes de huit membres de la famille. Théo a perçu à lui seul 52 000 €. L’association déclarait mener des interventions dans les quartiers contre les violences alors que son unique occupation était le ballon rond.
-
"On ne peut écarter aucune hypothèse, même les pires pour Maëlys", rappelle l'avocat de ses parents
Nordahl Lelandais est soupçonné d'agression sexuelle sur une jeune enfant. Me Fabien Rajon, avocat des parents de Maëlys, réagit à ces nouveaux éléments.
"On ne peut écarter aucune hypothèse, même les pires, sur ce qui est arrivé à l’enfant Maëlys", rappelle Me Fabien Rajon, l'avocat des parents de l'enfant. Il réagit ce mercredi sur BFMTV aux nouveaux éléments qui pèsent sur Nordahl Lelandais, soupçonné d'agression sexuelle sur une petite fille de son entourage familial.
Tout en rappelant que des soupçons "ne valent pas culpabilité", il évoque les répercussions possibles de ces nouveaux éléments sur le cas de Maëlys:
"C’est un soupçon, un élément qui tend à caractériser une personnalité", estime-t-il. "La personnalité de Nordahl Lelandais et ces accusations graves peuvent nous éclairer sur ce qui a pu malheureusement se passer ce soir-là."
"On ne peut écarter aucune hypothèse"
Plusieurs zones d'ombre subsistent quant aux événements de la nuit du 26 au 27 août 2017, date de la disparition de Maëlys lors d'un mariage à Pont-de-Beauvoisin (Isère). Les premières conclusions de l'autopsie, compliquée par les six mois que le corps a passés dans la nature, ne permettent pas d'établir scientifiquement qu'il y a eu un viol.
"On apprend aujourd’hui que Nordahl Lelandais aurait eu ce comportement sur une enfant mineure, quelques jours avant d’attenter à la vie de l’enfant Maëlys. On peut effectivement se poser des questions", estime Me Rajon.
"On ne sait pas si Maëlys a été violée ou pas", explique-t-il. Après des mois de silence, Nordahl Lelandais a fini par reconnaître avoir tué Maëlys par accident. Une défense dont doute Fabien Rajon: "Si ces faits-là sont avérés, je pense que la thèse accidentelle est soit fantasque soit très peu crédible".
Une vidéo retrouvée sur son téléphone
Les nouveaux soupçons qui pèsent sur Nordahl Lelandais viennent d'une vidéo à caractère pédopornographique retrouvée sur son téléphone. Selon nos informations, il s'agirait de la cousine de l'ancien militaire, âgée de moins de 7 ans, qui aurait été enregistrée. Nordahl Lelandais a été extrait de sa cellule pour une perquisition à son ancien domicile, où la vidéo aurait été enregistrée.
En mars dernier, il a également avoué avoir tué le caporal Arthur Noyer, disparu en avril 2017 à Chambéry.
BFMTV
-
JOURNAL DU 6 JUIN 2018
-
ZEMMOUR: Macron est le grand perdant de la situation en Italie
-
Les manipulateurs sont au pouvoir. Par Pierre-Emile Blairon
Oswald Spengler avait prédit le « Déclin de l’occident », Mircea Eliade avait donné quelques scénarii de fins de cycle en se référant aux traditions des civilisations disparues qui avaient pour beaucoup fini leur existence à la suite d’une catastrophe naturelle, comme un déluge, le plus souvent couplé à une dégradation des mœurs des hommes qui avaient porté ces civilisations, René Guénon et Julius Evola avaient pointé la principale cause de notre fin de cycle européen qui entraînera dans sa chute toute la planète qu’il avait conquise par sa technique : la matérialisation de tout élément de vie autrefois spirituel qui aboutit inéluctablement au règne de la quantité et donc au règne de l’argent, à l’inversion des valeurs, celles qui permettaient aux hommes de se tenir debout ; ils marchent désormais sur la tête, ou plutôt à plat ventre.
Cette décadence voit fleurir toutes sortes de comportements déviants, de personnages sans foi ni loi, de crapules qui, assurées de leur quasi impunité par une justice défaillante ou complaisante, n’hésitent plus à tuer pour « un mauvais regard », d’escrocs en tous genres, de fonctionnaires corrompus, de bandits de grands chemins (les autoroutes) qui rançonnent les automobilistes, de vermines qui prolifèrent sur une société en putréfaction dont les oripeaux nauséabonds sont occultés par les paillettes hédonistes des fêtes et des « concerts » à répétition et les hurlements des supporters de football devant leurs télés.
Les niveaux « sociologiquement » supérieurs de la société actuelle, ceux qu’on désigne par le terme pour eux bien usurpé d’«élites », sont essentiellement composés – dans l’ordre descendant de nuisance - par les pouvoirs financiers, médiatiques, politiques, judiciaires, publicitaires, artistiques, intellectuels, associatifs, syndicalistes…
De ces fausses élites surnage en eaux troubles un caractère bien trempé qui a dirigé le monde depuis l’apparition de l’hubris prométhéenne - Prométhée, celui qui défiait les dieux - mais qui n’est en fait qu’une pathologie dont on commence à peine à cerner les contours, la maladie du pouvoir et que le site Pour la science[1] qualifie de syndrome : « perte du sens des réalités, intolérance à la contradiction, actions à l’emporte-pièce, obsession de sa propre image et abus de pouvoir : tels sont quelques-uns des symptômes d’une maladie mentale récemment répertoriée qui se développerait durant l’exercice du pouvoir. »
Ce caractère a été étudié et ses comportements soigneusement analysés par la thérapeute comportementaliste Isabelle Nazare-Aga[2] qui en a défini les principales composantes : manipulateur, beau parleur, dissimulateur, menteur, égocentrique, narcissique, vaniteux, dénué de scrupules et de morale… dont le principal élément de défense lorsqu’il est (rarement) attaqué consiste à répercuter en miroir sur son détracteur ses propres turpitudes et à le culpabiliser et le dévaloriser. Les manipulateurs vivent en suçant de manière vampirique l’énergie de ceux qui les entourent.
Ces individus (hommes ou femmes) possèdent un don inné de la dissimulation qui consiste à paraître constamment comme des personnes séduisantes, charmantes et agréables à vivre dont personne ne soupçonnerait la duplicité, la perversité et la cruauté (c’est ainsi, par exemple, que beaucoup d’amis d’un couple prennent la défense d’un mari qui bat sa femme alors qu’elle passe pour une hystérique ou une affabulatrice lorsqu’elle y fait allusion ; c’est ainsi aussi que beaucoup d’hommes politiques habiles à manier le verbe, coupables de crimes odieux, ont échappé à la justice).
Isabelle Nazare-Aga évalue le nombre de manipulateurs à 3% de la population (ce qui est énorme) ; nous pouvons même estimer que ce pourcentage peut être majoré en ce qui concerne la représentation de la maladie chez les dirigeants de notre monde actuel (dans les diverses composantes que j’ai plus haut définies) d’autant plus que le virus s’étend et prolifère dans un milieu qui lui est favorable, comme la pollution des mers engendre de nouvelles espèces de poissons qui se nourrissent des déchets des hommes.
Ce que les manipulateurs « domestiques » font au niveau de leur foyer, d’autres, quelquefois les mêmes, vont le faire au niveau d’un village, d’une ville, d’un pays, d’un continent. Les manipulateurs se reconnaissent entre eux et, même s’ils sont concurrents et se haïssent, vont se regrouper opportunément pour éliminer ceux qui ont percé à jour leur déviance. Ils sont généralement dotés d’une intelligence supérieure qui leur permet d’éviter tous les pièges et d’arriver à leurs fins sans se soucier des moyens employés ; ces hommes (et ces femmes) mégalomaniaques n’hésiteront pas une seconde à marcher sur la tête de leur meilleur ami si cela leur permet d’accéder à encore plus de ce pouvoir dont ils ne se rassasient jamais. Chacun teste ses limites, essaie de savoir jusqu’où il peut aller sans se faire prendre ; il sait, dans ce grand jeu qui est, dans notre période de fin de cycle, devenu planétaire, qu’il pourra compter sur ses semblables, ceux qui sont atteints de la même pathologie, qui vont l’aider dans tous leurs domaines de compétence (voir à nouveau la liste des « élites » établie plus haut) ; des sociétés plus ou moins secrètes qu’ils ont créées ont établi les règles du jeu et intronisé les joueurs, comme dans le film Eyes wide shut, quelle n’est pas alors la fierté d’un journaliste d’être accueilli au dîner du Siècle, d’un notable local d’être convié à suivre les travaux d’une session du groupe Bilderberg, d’un jeune ambitieux d’être distingué par « Young leaders » de la « French American Foundation », autant de ramifications d’une secte qui s’apparente à la mafia qui gangrène tous les paliers du pouvoir mondial.
Les manipulateurs de haut niveau jouent au chat et à la souris : le chat torture savamment la souris avant de l’achever, c’est leur plaisir suprême et pervers, qui est naturel pour un chat. La souris, pour eux, c’est le peuple, enfin, les masses, soigneusement abruties par les relais médiatiques et autres panem et circenses, comme le taureau dans l’arène est « préparé » par les picadors et autres banderilles. On peut sourire (jaune) à constater à quel niveau de naïveté ils arrivent à mener des masses qui les croient sincères quand ils font des promesses ou qu’ils récusent des accusations pourtant fondées sur des faits réels. Ils arrivent, grâce à leur duplicité et à leurs instruments médiatiques, à faire aimer sa condition à la souris qui finit par aimer le jeu où elle est si malmenée. On ne peut imaginer leur jouissance quand ils arrivent à faire en sorte que les sondages (qu’ils manipulent tout autant que les autres pions du jeu) leur sont favorables, car leurs adversaires, dans ce même jeu, en font tout autant.
Les valeurs comme le bon sens, l’empathie, la morale, la spiritualité, le bien commun, le peuple, la terre, l’honneur, la nation, l’amélioration du bien-être… n’ont pour eux aucune signification. Ils jouent. Ils ne sont intéressés, in fine, ni par l’argent ni par la gloire qu’ils ont déjà. Seul, le désir de gagner au jeu les motive. Ils tentent des coups, comme au poker - rien de plus facile pour eux que de jouer au poker menteur - et ne prennent même plus de précaution quand ils décident de pousser un pion en utilisant des moyens totalement illégaux. Pour eux, il n’y a pas de loi. Ils attendent, avec le sourire, la réaction de l’adversaire. Les peuples soigneusement décérébrés n’imaginent même pas leur degré de perversité, ils sont prêts à tout gober sans discussion ; « plus le mensonge est gros, plus il passe, plus souvent il est répété, plus le peuple le croit », nos manipulateurs au pouvoir ont bien assimilé la doctrine de Joseph Goebbels à qui cette phrase est attribuée (peut-être d’une manière mensongère ?).
Ils se sont ainsi institués mutuellement en « maîtres du monde », sans doute en souvenir des dessins animés de leur enfance et ont imaginé un jeu total : on renverse la table, plus de règle, plus de limite, tous les coups sont permis ; le gagnant est celui qui arrivera le premier au but défini. Il s’agit de remplacer toute cette populace blanche, européenne ou autre, par tous les autres peuples que porte la Terre ; à terme, il s’agira de remplacer l’Homme lui-même par le robot. Chiche ! Amusant, non ? Comme dans Albator, Star Wars ou Capitaine Flam !
Sans remonter trop loin dans le temps (mais il y aurait largement matière) on peut donc évoquer plusieurs phases du jeu qui passionne nos « élites » et qui sont évidemment centrées sur la capacité de manipulation des joueurs :
c’est ainsi qu’on voit un Colin Powell brandir une fiole supposée contenir des produits chimiques que l’Irak s’apprêtait à déverser sur le monde, ce qui a permis aux USA de l’envahir, c’est ainsi que l’ancien président français Sarkozy a été mis en examen ainsi que certains de ses proches pour une affaire de financement libyen de sa campagne après l’assassinat inexpliqué du président libyen, c’est ainsi qu’une coalition occidentale, sans mandat de l’ONU, a bombardé la Syrie, sous le prétexte de répondre à des attaques chimiques qui auraient été perpétrées par le gouvernement syrien, accusé de martyriser son propre peuple. Cette coalition de trois pays : USA, Grande-Bretagne et France prétendait détenir les « preuves » des agissements supposés du gouvernement syrien. On attend toujours que ces « preuves » soient exposées…, c’est ainsi que le gouvernement anglais a accusé la Russie d’avoir empoisonné un ancien espion russe et sa fille, lesquels sont toujours vivants et l’accusation a été démentie par les propres services sanitaires anglais, c’est ainsi qu’on a vu un journaliste russe, Babtchenko, ressuscité et en pleine forme le lendemain après avoir été tué la veille de trois balles dans le dos, selon le gouvernement ukrainien, c’est ainsi qu’on a vu, à Paris, un Mamoudou escalader à mains nues plusieurs étages comme un membre des commandos des forces spéciales super-entraînés, à la rescousse d’un petit garçon qui s’est miraculeusement raccroché à une rambarde en tombant d’un ou deux étages plus haut, etc.
Les pires ennemis de ces personnes atteintes de ces troubles psychiques si particuliers (dont l’attitude fait penser à ces adolescents dépendants des jeux vidéos) sont ceux qui essayent d’interrompre leur jeu, c’est ce que nous essayons de faire, ou ce que tentent de faire les « lanceurs d’alerte ». Avez-vous déjà essayé de soustraire la souris des griffes d’un chat ? Il devient hystérique.
[1] https://www.cerveauetpsycho.fr/sd/psychanalyse/le-syndrome-d-hubris-la-maladie-du-pouvoir-3250.php
[2] Les manipulateurs sont parmi nous, éditions de l’Homme.
Pierre-Emile BLAIRON
-
Un syndicat de police allemand éreinte la politique d’immigration de Merkel : « Le sentiment de sécurité s’effondre, on a l’impression que l’État a perdu le contrôle, aucun pays ne tolérerait cela »
21h18Rainer Wendt, chef de l’un des plus grands syndicats de police d’Allemagne, a déclaré que les révélations concernant le scandale à l’Office des migrations, qui a accordé indûment l’asile à des milliers de migrants, n’étaient que la pointe émergée de l’iceberg.
« Le sentiment de sécurité s’effondre et maintenant les gens ont l’impression que l’Etat a perdu le contrôle. Il y a des centaines de milliers de migrants ici dont nous ne savons pas qui ils sont », a déclaré M. Wendt. « C’est un énorme risque. Aucun pays au monde ne tolérerait cela. »
-
Berlin : un migrant clandestin camerounais bat à mort une dame de 84 ans à coups de déambulateur (MàJ)
26/05A Berlin, une retraitée de 84 ans tuée dans son appartement par un migrant de 23 ans originaire du Cameroun et en situation illégale en Allemagne. La dame avait été retrouvée par son fils morte dans son appartement le 3 mai dernier. L’autopsie a révélé des blessures violentes à la tête et au buste. La retraitée a été tabassée à mort par un jeune Camerounais de 23 ans en situation illégale en Allemagne : la brigade criminelle a arrêté le principal suspect. Selon le journal « Bild », la retraitée aurait été battue à mort avec son propre déambulateur. Toujours selon le même journal, le tueur camerounais serait en situation illégale en Allemagne, après avoir essuyé en 2015 un premier refus suite à sa demande d’asile déposée en Belgique en 2012. Selon les accords de Dublin, il ne serait plus recevable à l’asile sur le territoire européen, de ce fait, le tueur aurait usé d’une fausse identité pour faire une nouvelle tentative outre-Rhin.
Le suspect est par ailleurs déjà défavorablement connu des services de police, avec une longue liste de délits et crimes qui vont du vol jusqu’à une douzaine de coups et blessures ainsi qu’une agression sexuelle. D’où la question : pourquoi un tel individu se trouve encore sur le sol allemand et n’a pas été expulsé ? Pour seule réponse, l’Office des réfugiés « demande de la compréhension et se cache derrière la protection des données des individus ». L’assassin camerounais, hébergé dans un centre pour sans abri, aurait fait la connaissance de sa victime dans la rue ou dans un parc. Les voisins de la victime ont reconnu le tueur
(Merci à CathoAlsace)
-
Blois (41) : L’inquiétude des parents à l’école maternelle Jules-Ferry
14h02Ouverte à la rentrée 2011, l’école Jules-Ferry vieillit fort mal. Les parents redoutent des effets néfastes sur la santé de leurs enfants.
(…)
-
JOURNAL DU 5 JUIN 2018
-
ZOOM - Guillaume Faye: La France supra-ethnique est une utopie!
-
Spiderman
http://www.nice-provence.info/blog/2018/06/04/mamoudou-gassam-verite-revelee/
-
5 questions sur l'enquête qui vise Alexis Kohler, le bras droit de Macron
Le parquet national financier a ouvert une enquête portant sur des soupçons de conflits d'intérêts.
Une enquête dans la garde rapprochée d'Emmanuel Macron. Le secrétaire général de l'Elysée, Alexis Kohler, est visé par une plainte pour "prise illégale d'intérêt", "trafic d'influence" et "corruption passive" déposée vendredi 1er juin au parquet national financier par l'association Anticor.
L'association anticorruption, qui s'appuie sur des articles de Mediapart, dénonce les liens familiaux et professionnels étroits qui existent entre le bras droit du président Emmanuel Macron et l'armateur italo-suisse MSC (Mediterranean Shipping Company), client important de STX France, les chantiers navals de Saint-Nazaire.
Elle estime qu’Alexis Kohler a favorisé l’armateur privé impliqué dans des discussions avec l’Etat. Ce qu’il faut savoir pour comprendre l’affaire.
1Que reproche Anticor à Alexis Kohler ?
L’association anticorruption dénonce donc ses liens familiaux et professionnels avec MSC. Le numéro 2 de l'Elysée fait, en effet, partie de la famille de Gianluigi Aponte, le fondateur et principal actionnaire de la MSC. Pour être plus précis, la mère d’Alexis Kohler est la cousine germaine de Rafaela Aponte, qui a cofondé MSC avec son mari Gianluigi en 1970.
Une proximité qui aurait mis ce dernier "à maintes reprises en position de mettre les moyens de l'Etat à la disposition du groupe familial, au mépris des règles et des lois", a estimé Mediapart soulevant des interrogations quant à d’éventuels conflits d’intérêts.
Ce groupe privé a mené avec l'Etat une série de négociations alors que le haut fonctionnaire occupait des postes stratégiques au ministère de l'Economie. L'armateur italo-suisse est, en effet, l'un des plus grands clients – un temps, l'unique – de STX France, les chantiers navals de Saint-Nazaire. Or, à plusieurs reprises, Alexis Kohler s'est retrouvé ces dernières années à gérer les dossiers STX France, et donc indirectement les affaires de MSC.
2Pourquoi MSC n’est pas un groupe comme les autres ?
Comme le rappelle "le Monde", MSC, numéro 2 mondial du transport de marchandises par bateaux porte-conteneurs, qui s’est diversifié dans les croisières, au chiffre d’affaires dépassant les 20 milliards d’euros, est devenu le client principal des derniers grands chantiers navals français, STX France, à Saint-Nazaire.
"Des chantiers historiques dont l’Etat a tout fait, depuis des années, pour éviter d’abord la disparition, puis le passage sous un complet contrôle italien. A chaque fois, le client MSC était un acteur clé des discussions, ses commandes de paquebots pouvant d’un coup transformer l’avenir de Saint-Nazaire", souligne le quotidien.
3Quand les faits auraient-ils eu lieu ?
La plainte d'Anticor vise plusieurs périodes selon "le Monde" qui y a eu accès.
La première, au début des années 2000, lorsqu'Alexis Kohler a travaillé pour l'Agence des participations de l'Etat. A ce titre, il a siégé aux conseils d'administration de plusieurs entreprises dont les chantiers STX de Saint-Nazaire entre 2010 et 2012. "Alexis Kohler ne pouvait ignorer qu'il existait un conflit d’intérêts à représenter l’Etat français" chez STX France "alors même que sa famille était propriétaire de l’un de ses principaux clients" estime Anticor.
La deuxième période visée concerne les années où il a été directeur adjoint du cabinet du ministre de l'Economie et des Finances Pierre Moscovici, entre mai 2012 et mars 2014, puis lorsqu'il a été directeur de celui d'Emmanuel Macron, entre août 2014 et août 2016. Le chantier de Saint-Nazaire était alors le sujet de nombreuses tractations.
Anticor rappelle que le haut fonctionnaire a voulu à deux reprises rejoindre l’armateur après avoir été directeur adjoint de cabinet au ministère de l’Economie. La première fois, en avril 2014, la commission de déontologie s'y était opposée. Non pas au motif de sa proximité avec la famille Aponte mais parce qu’il avait participé à des négociations au conseil d’administration de STX France en tant sur représentant de l’Etat. En août 2016, quand Emmanuel Macron avait quitté Bercy, Alexis Kohler avait finalement obtenu un feu vert et avait rejoint MSC Croisières au poste de directeur financier. Sur cette période, Anticor soupçonne Alexis Kohler d'être intervenu comme cadre de MSC dans une réunion à Bercy en mars 2017 sur la reprise de STX France, alors en faillite. STX France avait finalement fusionné avec son concurrent italien Fincantieri mais MSC n'était pas monté au capital du groupe comme envisagé.
Resté membre actif de la campagne d'Emmanuel Macron, il avait quitté l'armateur après l'élection présidentielle neuf mois plus tard pour devenir secrétaire général de l'Elysée.
Mediapart a aussi révélé qu'Alexis Kohler n'a jamais indiqué à la commission de déontologie de la fonction publique ses liens familiaux avec les actionnaires de MSC.
4Comment Alexis Kohler se défend-il ?
L'Elysée a fait savoir lundi que son secrétaire général Alexis Kohler avait "pris note" de la plainte déposée contre lui par Anticor, qui repose sur "des soupçons totalement infondés jetés sur lui à l'évidence en raison de ses fonctions". Selon la présidence, "cette plainte s'appuie sur des articles de presse [...] qui contiennent de nombreuses et graves erreurs factuelles".
"Alexis Kohler a toujours tenu sa hiérarchie informée de ses liens personnels avec l'entreprise MSC. Il s'est systématiquement déporté de toutes les décisions ayant trait à cette entreprise et sa hiérarchie informée a naturellement veillé au conflit d'intérêt potentiel. Dans toutes les fonctions qu'il a occupées à l'Agence des participations de l'Etat (APE), à Bercy et à l'Elysée", ajoute-t-elle.
5Quelles suites judiciaires ?
Le parquet national financier a ouvert une enquête visant Alexis Kohler portant sur des soupçons de conflit d'intérêts entre ses postes dans la fonction publique et ses liens avec l'armateur italo-suisse, a-t-il annoncé dans un communiqué ce lundi.
Cette enquête, confiée à la Brigade de répression de la délinquance économique, a été ouverte "à la suite de la publication de plusieurs articles de presse", a précisé le parquet, sans faire référence à la plainte d'Anticor, qui ajoute que "le procureur de la République financier a diligenté des investigations afin de vérifier si les règles relatives à la mise en disponibilité des agents publics ont bien été respectées".
-
Pascal Jardin: "J'aurais dû mettre mon poing dans la figure de Manuel Valls"
La vie de Patrick Jardin a basculé le soir du 13 novembre 2015. Ce jour là, sa fille Nathalie, éclairagiste au Bataclan, meurt sous les balles des terroristes islamistes. Patrick Jardin raconte sa rencontre avec Manuel Valls, 48h d'angoisses avant d'apprendre le décès de son enfant. Et il l'affirme : les terroristes ont torturé les victimes du Bataclan.
A écouter jusqu'au bout
-
Allemagne : un policier tire sur un homme « déchaîné » dans la cathédrale de Berlin (MàJ)
17h33« Vers 16 heures, la police est intervenue en raison d’une personne y causant des troubles, par la suite un officier de police a fait usage de son arme de service », a indiqué une porte-parole de la police, sans plus de précisions. Dans un tweet, la police berlinoise a précisé que le «forcené» avait été touché aux jambes. La police enjoint aussi les internautes à éviter les spéculations.
Un policier allemand a fait usage de son arme à feu contre un homme dans la cathédrale de Berlin dimanche, rapporte la presse allemande précisant que les circonstances de l’incident restent pour l’instant peu claires.
Des vidéos publiées sur les réseaux sociaux montrent des policiers armés bouclant les abords de la cathédrale et deux ambulances stationnées devant l’entrée de l’édifice.
« Un coup de feu a été tiré dans la cathédrale de Berlin », a dit une porte-parole de la police sans fournir de précisions.
-
La mairie LR de Compiègne (60) finance le repas du Ramadan. Appel à la prière qui résonne dans le quartier, agent municipal proche des salafistes…
15h04L’appel à la prière résonne dans le quartier du Clos-des-roses, à Compiègne. Mouhssine Assiz, en khamis, la longue tunique, et barbe drue, annonce ainsi le coucher du soleil et la rupture du jeûne. À 21 h 50, ce samedi 2 juin, l’Iftar, ce repas du soir pris durant le mois du Ramadan, peut débuter.
« C’est comme un repas de quartier ; il n’y a pas d’acteurs religieux ; je suis moi-même un simple croyant, ingénieur, directeur d’une usine Saint-Gobain à Thourotte », précise ce trentenaire. À deux pas de lui, un bidon métallique fait office de barbecue, les tablées pour plus 200 convives sont dressées sur la place du marché, par une douzaine de jeunes gens. « Le deuxième service événementiel de Compiègne », loue Benjamin Belaïdi, à l’origine de la première édition.
Ce dîner est soutenu par la municipalité : logo de la Ville sur les affiches, matériel communal mis à disposition, présence d’animateurs des quartiers, subventions aux associations organisatrices… Compiègne en fait-elle trop au regard de la loi de 1905, aux textes sur la laïcité et de la jurisprudence du conseil d’État ?
« Pour Noël, c’est naturel de faire un repas. L’Iftar doit devenir aussi naturel. Pas seulement entre musulmans. L’an passé, une association catholique était présente », revendique Abdoulaye N’diagye, secrétaire de Jeunesse Avenir Doré, association née dans le quartier. « C’est plus culturel que cultuel », se dit convaincu Romain Rayez, membre de l’UDI et coprésident du Conseil de développement pour Compiègne.
(…) Un banal banquet républicain, alors ? Pas vraiment. Aux beignets et jus de bissap, concoctés par les mères de famille africaines, s’ajoutent, par exemple, les faitouts fumants de boulgour, cuisinés par les bénévoles de l’une des mosquées de Compiègne, celle des turcophones. À table, les convives échangent ainsi sur leurs pratiques religieuses : la prière à 23 heures à la mosquée, le dernier thé avalé juste avant les premières lueurs du jour, parfois les horaires du travail aménagés pour ce mois de carême jeûne...
Et Mouhssine Assiz ne cache pas son espoir qu’un tel repas soit de nature « à montrer les vraies valeurs de l’islam ». Désir louable pour des croyants, mais assez peu neutre. « Je ne suis pas soumis à la neutralité. Je ne suis pas là en tant qu’agent du service public, mais comme militant associatif », argumente Benjamin Belaïdi, salarié municipal et déjà à l’origine d’une marche pro-Gaza et d’une collecte pour Barakacity, une ONG réputée salafiste.
De son côté, le maire Philippe Marini (LR) banalise volontiers et la manifestation, et la contribution de la ville « C’est une sorte de fête des voisins. La Ville rend service. C’est tout à fait justifié. » Et s’il n’était pas présent sur la place Baudelaire, samedi soir, c’était qu’il était à la mosquée, celle quai du Clos-des-roses. « L’imam m’invite, il a la courtoisie de le faire, j’y réponds. C’est pour manger un couscous et il est plutôt bon, en général », commente le maire sur le même ton patelin.
-
JOURNAL DU LUNDI 04 JUIN 2018
-
La France black-blanc-beur vingt ans après, par Guy Rouvrais
Il y a donc vingt ans, dans l’euphorie de la victoire de la France au Mondial de football, médias et politiques célébraient aussi celle de la France black-blanc-beur. Tous les clivages étaient effacés, les jeunes des banlieues fraternisaient avec ceux des beaux quartiers, une nouvelle France allait donc jaillir du triomphe de l’équipe nationale, effaçant la couleur des joueurs et leur origine pour communier dans la fête déferlant sur les Champs-Elysées. Ce que les politiques et les milliards déversés dans les banlieues n’avaient pu obtenir, voilà qu’un ballon, divine surprise, allait apporter la paix et la concorde, car, comme le disait alors Jospin, « rien ne sera plus comme avant »… L’intégration n’était plus un vœu mais une réalité. Las ! Trois ans plus tard lors du match France-Algérie, les tricolores mènent largement 4-1, le terrain est envahi par de jeunes partisans de l’Algérie, ils ne brandissent plus le drapeau français mais celui du pays de leurs pères, frappé du croissant ! Ce n’était qu’un début.
Vingt ans après, c’en est bien fini du mythe d’une France black-blanc-beur et du salut par le ballon rond. C’est le communautarisme qui règne dans les « quartiers » sous la coupe des salafistes et des vendeurs de drogue. Ceux qui croient encore au foot n’y voient qu’un moyen d’y faire fortune, les Blacks et les Beurs qui font partie de l’équipe de France ne sont enviés que pour les salaires colossaux perçus dans leurs clubs respectifs.
Aujourd’hui, nous voyons des réunions dont les mâles blancs, comme dirait le chef de l’Etat, sont exclus pour n’être ouvertes qu’aux « racisés », noirs ou maghrébins, qui se considèrent toujours comme « colonisés ». C’est la présidente de France Télévisions, Delphine Ernotte qui, après avoir dénoncé « une télévision d’hommes blancs de plus de 50 ans », élimine progressivement ces hommes-là. C’est le CSA qui, au nom de la « diversité » demande que les antennes reflètent celle du pays et que l’on y trouve plus de personnes « perçues » comme noires et ce dans les rôles valorisants.
Toutefois, dans l’équipe de France, rien n’est changé depuis 1998 et, là, l’exigence de diversité ne s’applique pas davantage aujourd’hui qu’hier. Les deux tiers sont « blacks » ou « beurs », ce qui ne semble pas représenter la diversité du pays où il y a plus d’un tiers de Blancs. Mais là, on fait remarquer que ce qui compte, c’est le talent, la compétence, l’habileté dans le jeu. On tremble à l’idée de ce que cela sous-entend à savoir que certaines « races » – quoiqu’elles n’existent pas, sauf dans la Constitution – seraient plus douées que d’autres ? Et cela expliquerait que les Blancs soient en minorité dans l’équipe nationale. Attention ! N’allez pas appliquer cela à d’autres disciplines et prétendre que s’il y a peu de Noirs en équitation ou dans le tennis, c’est parce que les Blancs y sont meilleurs ! Non, là, c’est parce que ce sont des sports « bourgeois » auxquels les fils de famille blanche interdisent à ceux « issus de la diversité » d’avoir accès, les « discriminant » par l’argent. Ainsi, tout s’explique…
Guy Rouvrais
Article paru dans Présent daté du 5 juin 2018