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Blog - Page 53

  • L'Aquarius, avec 629 migrants, se voit rejeté par l'Italie et par Malte (vidéo)

    https://www.nouvelobs.com/monde/migrants/20180611.OBS8011/la-terrible-epopee-de-l-aquarius-le-bateau-de-migrants-rejete-par-l-italie.html

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  • JOURNAL TVL DU 11 JUIN 2018

  • Deux avocats de familles de victimes du 13 Novembre veulent l’interdiction du concert du rappeur Médine au Bataclan (MàJ)

     

    22h22

    Les avocats Bernard Benaïem et Caroline Wassermann, qui défendent une dizaine de familles victimes de la tuerie du Bataclan, lanceront un recours lundi pour faire annuler les concerts, en vertu du risque de «trouble à l’ordre public» et de la notion d’ «ordre public moral ». «Nous adressons un courrier lundi à la préfecture et au ministère de la Culture », annonce Caroline Wassermann, jointe par Le Parisien. […]

    Le Parisien


    i24NEWS Français
     
    @i24NEWS_FR
     
     

    : @Medinrecords, le rappeur qui "crucifie les laïcards"

    "Les familles des victimes ne peuvent pas comprendre que, dans ce même lieu qui a été le théâtre des horreurs islamistes, ce rappeur se produise" Caroline Wassermann, avocate de victimes

     

     

     

    Certaines familles de victimes de l’attentat terroriste qui avait eu lieu dans la salle de concert en 2015 se sont tournées vers leur avocate, Caroline Wassermann, pour lui demander d’agir.

    « [Elles] ne peuvent pas comprendre ni supporter que quand on a un fils ou une fille qui est mort ou blessé au Bataclan, que dans ce même lieu – qui a été le théâtre des horreurs islamistes – […] on permette à quelqu’un qui chante ‘Je porte la barbe, je suis de mauvais poil, crucifions les ‘laïcards’ comme Golgotha’ » de se produire, a indiqué l’avocate sur i24NEWS.

    « On est choqués, on se demande comment on a pu laisser passer une chose pareille », s’est indignée Caroline Wassermann.

    L’avocate a précisé à i24NEWS qu’elle allait écrire « au préfet de police de Paris pour qu’il puisse […] prendre des mesures ou un arrêté pour interdire ce spectacle ». « Il est prévu également d’alerter officiellement le ministère de la Culture et différentes instances nationales », a-t-elle ajouté.

    i24News

     
  • Salvini interdit à l’ONG « SOS Méditerranée » de débarquer des migrants en Italie

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    22h03
     

    Le ministre italien de l’Intérieur Matteo Salvini a refusé dimanche qu’un navire humanitaire transportant plus de 600 migrants recueillis en Méditerranée accoste dans un port de la Péninsule et a demandé à Malte de l’accueillir.

    La Valette a aussitôt refusé en expliquant ne jouer aucun rôle dans les opérations de sauvetage, ce qui pourrait donner lieu à une crise diplomatique entre les deux Etats-membres de l’Union européenne. «Malte ne reçoit personne, la France refoule les gens à la frontière, l’Espagne défend ses frontières avec des armes. A partir d’aujourd’hui, l’Italie commencera aussi à dire non à la traite des êtres humains, non à l’immigration clandestine», écrit le ministre issu de la Ligue, parti d’extrême droite, sur Facebook.

    Plus de 600.000 migrants ont atteint l’Italie par bateau depuis 2013. Les arrivées ont reculé de 85% depuis le début de l’année grâce aux accords conclus par le gouvernement italien précédent pour empêcher les départs des côtes libyennes, mais les sauvetages se sont à nouveau multipliés ces derniers jours. «Mon but est de garantir une vie paisible pour ces jeunes en Afrique et pour nos enfants en Italie», poursuit Matteo Salvini.[…]

    Selon un membre de l’administration italienne, Matteo Salvini a adressé une lettre au gouvernement maltais pour lui demander de laisser l’Aquarius accoster dans l’île. «Malte n’est ni l’autorité compétente ni l’autorité de coordination dans ce cas. Malte observera les lois en vigueur», a-t-il répondu dans un bref communiqué. Jugeant l’Italie «attaquée», Matteo Salvini avait demandé vendredi une intervention de l’Otan contre l’immigration clandestine. Il a en outre promis plus de contrôles aux ONG qui viennent en aide aux migrants en Méditerranée.

    L’Orient-Le Jour

  • ENTRE MAMOUDOU GASSAMA ET LE CAPORAL STEVEN, QUELLE DIFFÉRENCE DE TRAITEMENT !

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      HIER

    Cette action doit vous rappeler quelque chose ? Pourtant pour les grands médias cet homme ne présente pas d’intérêt.

    J.-P. Fabre Bernadac

    Ancien officier de Gendarmerie


    Diplômé de criminologie et de criminalistique

     

    Depuis un mois, le caporal Steven participe à l’opération Sentinelle dans la capitale des Gaules. Vendredi 1er juin, profitant d’un repos bien mérité entre deux patrouilles, il déambule dans les rues du 7e arrondissement de Lyon lorsqu’il aperçoit un enfant accroché au balcon du premier étage d’un immeuble. Le militaire du 28e régiment de transmissions d’Issoire saute immédiatement le mur d’enceinte de la résidence, rapporte La Montagne.

    « J’ai couru pendant que d’autres témoins appelaient les secours. » Il réussit non sans mal à atteindre le balcon pour sauver l’enfant de 18 mois avant une chute probable : « Il ne pleurait pas mais il était terrifié et j’ai eu du mal à le décrocher du balcon. Il avait échappé à la surveillance de ses parents et souhaitait récupérer sa chaussette, tombée plus bas », raconte ce militaire de 26 ans.

    Les pompiers, « avertis par un motard passé par là et une jeune serveuse témoins de la scène, sont intervenus rapidement sur les lieux. Ils ont pu constater que l’enfant récupéré était en pleine forme. Le militaire a reçu les remerciements des parents avant de s’éclipser, en toute discrétion. » Mercredi, le caporal Steven est rentré dans sa garnison retrouver une épouse qui attend un bébé pour bientôt.

    Cette action doit vous rappeler quelque chose ? Pourtant, pour les grands médias du système, aucune similitude, cet homme ne présente pas d’intérêt, malgré son action, il reste un personnage inconnu, excepté de la presse locale.
    Pourquoi cet ostracisme, ce deux poids deux mesures ? Il est facile de le décrypter :

    Il se prénomme Steven et non Mamoudou ; comme dirait Macron, c’est un simple mâle blanc.
    Il loge à Issoire, siège d’une sous-préfecture et non la mégapole parisienne.
    Il est caporal dans un régiment de transmissions et non un clandestin cherchant à être régularisé.
    Son acte n’est l’objet d’aucune vidéo, aucun rassemblement au pied de l’immeuble pour admirer son agilité, et pas de foule pour applaudir son exploit.
    Il n’est reçu par aucune autorité. Il n’est pas accueilli par le chef des armées mais seulement par son chef de corps.
    Il n’a obtenu aucune décoration de la ville de Lyon dont Gérard Collomb, « patron » de l’opération Sentinelle, fut longtemps maire, contrairement à Gassama, qui a reçu la médaille de la ville de Paris des mains empressées de Mme Hidalgo.
    Il n’est même pas monté en grade. À lui, la grande échelle des pompiers de Paris, pourtant corps militaire, n’est pas promise.
    Il n’est qu’un Français moyen et aucune instance de défense des autochtones n’a expliqué son geste par les caractéristiques de solidarité et de courage inhérents à sa couleur de peau.

    En résumé, en juxtaposant ces deux faits divers, on s’aperçoit que, pour les médias « mainstream », il n’y a rien de semblable. Pour eux, nous, Français enracinés, ne sommes que poussières d’images face aux nouveaux arrivants. Nous ne captivons plus ceux qui braquent caméras et micros. En revanche, les télés du monde entier, BBC et CNN compris, ont diffusé les vidéos du sans-papiers.

    Quoi que nous fassions de positif, ce positif se transmue, lors des journaux télé, au mieux en banalités. Notre statut majoritaire ne suscite que silence chez les diffuseurs.

    Car les sunlights ne sont réservés aux policiers et aux citoyens que pour les blâmer s’ils se confrontent aux migrants.

    BV

     

  • Le rappeur islamiste Médine en concert au Bataclan

    http://www.fdesouche.com/1021111-polemique-autour-de-medine-ce-rappeur-qui-crucifie-les-laicards-en-concert-au-bataclan

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  • André Bercoff : «Il y a pire que les "fake news", ce sont les "no news"»

     

    André Bercoff : «Il y a pire que les "fake news", ce sont les "no news"»
    Un passant devant un kiosque de presse
     

    Entre auto-censure et indignation à géométrie variable, le journaliste André Bercoff partage avec RT France sa critique du journalisme contemporain. Il évoque également ses interrogations sur l'affaire Mamoudou qui ont beaucoup fait réagir.

     

    RT : Vous dénoncez régulièrement la frilosité de nombreux journalistes qui ne s'autorisent pas, selon vous, à penser en dehors des schémas autorisés. A quoi faites-vous référence ?

    A l'heure où l'on ne parle que de la loi contre les «fake news», il me semble que le réel problème est bel et bien celui de l'auto-censure. Il s'agit d'une question qui est d'ailleurs loin d'être nouvelle : il suffit de se rappeler Georges Pompidou ou l'ORTF sous contrôle gouvernemental pour s'en convaincre. 

    La nouveauté réside ailleurs : au problème de la censure gouvernementale s'est ajouté celui de ces nombreux lobbys ou associations qui hurlent à la mort ou attaquent des individus devant la XVIIe Chambre sitôt que des propos leur déplaisent. Certaines unes de Hara Kiri ou les émissions de Michel Polac passeraient aujourd'hui très difficilement, à cause de cela même. 

    Or, paradoxalement, certains propos ne suscitent aucune indignation chez ceux-là même d'ordinaire si prompts à s'indigner. Je pense par exemple aux fameux «mâles blancs», dont la présence a été jugée trop importante dans l'audiovisuel public par la ministre de la Culture Françoise Nyssen, sans qu'aucune association ne s'en émeuve. Il s'agit pourtant au bas mot d'une discrimination à l'encontre des hommes et des blancs... Songez qu'Emmanuel Macron, le président de la République lui-même, a également employé ce vocable. Que des personnages aussi importants disent cela sans que la presse s'interroge et réagisse, voilà qui pose de nombreuses questions. 

     

    RT : Vous regrettez une tendance de l'indignation à tout-va, et pourtant vous regrettez que les journalistes ne s'indignent pas assez... 

    Les journalistes doivent avant tout être des lanceurs d'alerte. Qu'est-ce que cela signifie ? Tout simplement de «porter la plume dans la plaie», pour paraphraser Albert Londres. Lorsque Emile Zola publie J'accuse, il subit des attaques de tous côtés. On lui reproche bel et bien d'oser remettre en cause la version officielle soutenue par l'armée, celle de la culpabilité du capitaine Dreyfus. On lui reproche d'oser poser des questions. Voilà, pour moi, le plus bel exemple de journalisme : Zola osant défier la version officielle pour poser des questions.

    Les journalistes doivent avant tout être des lanceurs d'alerte

    C'est parce que des journalistes ont osé remettre en question des faits considérés comme avérés que nous avons appris la vérité sur l'affaire des charniers de Timisoara en Roumanie, sur la profanation du cimetière juif de Carpentras, sur les échantillons de Colin Powell à l'ONU... Je pourrais multiplier les exemples. Ces journalistes ont d'autant plus joué leur rôle qu'il leur a fallu du courage. Remettre en question les versions officielles de ces trois affaires impliquait, à l'époque, de se faire traiter respectivement de pro-dictature, d'antisémite ou de suppôt de Saddam Hussein.

    RT : Pensez-vous vraiment que la critique des propos de Françoise Nyssen et Emmanuel Macron, qui relève finalement de l'opinion, soit comparable à une enquête sur des massacres ou des preuves d'armes chimiques, relevant des faits ?

    Les déclarations et les faits sont bien évidemment des choses différentes mais les mots sont aussi porteurs de symboles. Ils ne sont pas moins importants que les faits. Et, du point de vue du journaliste, l'attitude à adopter doit être rigoureusement identique, qu'il s'agisse d'une parole ou d'un fait : nommer les choses. Si Françoise Nyssen avait déploré qu'il y ait trop de mâles noirs en équipe de France, ses propos auraient légitimement été qualifiés de racistes par la presse. Et heureusement. En n'appliquant pas le même traitement à sa sortie sur les «mâles blancs», les journalistes ne font plus leur travail.

    Il n'y a pour moi rien de plus insupportable que l'indignation à géométrie variable. Il n'y a pas de bonnes victimes et de mauvaises victimes, pas plus qu'il n'y a de bons ou de mauvais coupables. Le journaliste n'a pas à choisir, selon sa préférence politique, qui est autorisé ou non à tenir des propos. Si ces propos sont racistes, ils sont racistes, un point c'est tout.

    RT : Comment expliquer cette attitude des journalistes. Vous qui exercez ce métier depuis de nombreuses années, quelles raisons vous semblent expliquer cette mentalité frileuse ?

    C'est une vaste question. Commençons déjà par rappeler l'évidence : il ne faut pas généraliser. Certains journalistes font très bien leur métier et ne se posent aucune barrière. Mais le fait que les journaux soient regroupés en gros consortium aux mains de certains milliardaires, autant que des connivences personnelles entre politiques et journalistes, influence très certainement l'indépendance de ces derniers, et pas dans le bon sens.

    Il semble en outre que les journalistes contemporains en soient venus à croire qu'ils devaient avoir réponse à tout. Or, leur rôle est d'avoir question à tout. C'est précisément pour cette raison que la loi «fake news» est absurde. Du temps de Galilée, la Terre était plate. En 14-18, les Allemands dévoraient les enfants. Aucune remise en cause n'était admise. De ce point de vue, cette loi, que l'on peut qualifier de partiellement liberticide, aggravera encore davantage la tendance actuelle à l'auto-censure. Ajoutez à cela le mot balise de «racisme» qui plane au-dessus de la tête de tout journaliste traitant de sujets sensibles, comme celui du scandale pédophile de Telford... 

     

    Bien évidemment. Certes, les réseaux sociaux charrient le meilleur comme le pire : mais heureusement ! C'est précisément cela qui permet de faire le tri. S'il y a des «fake news», eh bien que l'on se batte contre elles, qu'on leur oppose des faits et des arguments ! Là encore, c'est le travail de journaliste qui est en jeu. Aucun journaliste digne de ce nom ne peut souhaiter que l'on interdise à des informations de circuler.

    Je vais vous dire le fond de ma pensée : il y a pire que les «fake news», ce sont les «no news», c'est à dire de taire certains sujets. C'est précisément ce que fait la presse lorsqu'elle choisit délibérément d'ignorer certains sujets, parce qu'ils dérangent tel ou tel camp politique. Que les réseaux sociaux poussent les journalistes à faire leur métier, voilà une très bonne chose. 

    RT : La vidéo de Mamoudou, ce jeune migrant ayant sauvé un enfant suspendu à un balcon, vous a poussé à formuler des interrogations sur plusieurs éléments au sujet desquels vous vous posez des questions. Vous dites qu'on vous reproche d'avoir posé des questions. Mais il y a une différence entre poser des questions et le travail de journaliste, qui consiste à poser des questions... et à fournir des éléments.

    Le raisonnement qui consiste à dire : «Vous voulez poser des questions, mais si vous n'avez pas fait l'enquête et n'avez pas les réponses, alors ne posez pas de questions» n'a aucun sens. J'ai posé des questions en ma qualité de journaliste et de citoyen. C'est mon droit, et je le revendique. Je n'ai jamais affirmé quoi que ce soit : ni qu'il s'agisse d'un complot, ni que ce soit un coup monté. Je me suis en revanche interrogé sur des éléments à propos desquels on ne peut pas, à mon sens, se contenter de dire : «Fermez la parenthèse, il n'y a rien à voir !»

    Qu'on m'explique qu'il n'y a aucune interrogation à avoir après qu'un enfant soit tombé d'un balcon en se raccrochant à un autre en n'étant que légèrement blessé, qu'il n'y a aucune interrogation à avoir sur le voisin... Cela me dérange. Si tout cela est vrai, alors tant mieux. Je dirai «bravo» et ne regretterai pas une minute d'avoir posé des questions. 

    Si j'étais rédacteur en chef d'un journal, j'aurais immédiatement mis une équipe sur le coup. Si elle m'avait rapporté des éléments concrets démontrant que les faits se sont produits comme on le raconte, et que tout est logique, j'aurais été le premier à les féliciter pour la qualité de leur travail. Et inversement s'il s'avérait que mes doutes étaient confirmés. 

    En revanche, que l'on m'accuse de complotisme en me déniant le droit de poser des questions... Cela m'a véritablement étonné. Et lorsque je vois le nombre de gens qui me font part, sur les réseaux sociaux, de leur satisfaction après que j'ai osé m'interroger, cela me conforte dans l'idée que mes questions sont légitimes. Comment de simples questions peuvent-elles susciter de telles réactions de la part des journalistes, dont le métier est précisément de douter et d'enquêter ? Si le journaliste n'est qu'un éditorialiste, alors il ne faut pas s'étonner que la presse soit en train de mourir.

    Les opinions, assertions et points de vue exprimés dans cette section sont le fait de leur auteur et ne peuvent en aucun cas être imputés à RT.

  • VIDEO - Aux États-Unis, la Cour suprême donne raison à un pâtissier qui avait refusé de faire un gâteau de mariage pour un couple homosexuel

     

    En 2014, un pâtissier chrétien de l’État du Colorado, aux États-Unis, avait refusé de réaliser un gâteau de mariage pour un couple homosexuel. Après plusieurs jugements, il a finalement obtenu gain de cause grâce à la Cour Suprême.

     
     
     
     
     
     
    Brut

    "Je suis les préceptes de Jésus-Christ et je crois aux enseignements de la Bible sur le mariage.". C’est la raison qui a motivée le choix controversé de ce pâtissier américain. Jack Philips est un fervent chrétien évangélique qui a refusé de réaliser un gâteau de mariage afin de célébrer l’union d’un couple homosexuel. Si l’homme affirme ne pas avoir renvoyé ou discriminé les deux clients, il explique avoir refusé la commande afin de ne pas avoir à "participer à un événement religieux qui va à l’encontre de [sa] foi". 

    Une décision de la Cour suprême

    Convaincus d’avoir été traités de façon "illégale et mauvaise", Charlie Craig et Dave Mullins ont d’abord porté leur affaire devant la Commission pour les droits civiques du Colorado. L’instance leur a donné raison en précisant, qu’en vertu des lois de l’État, le pâtissier n’a aucunement le droit de refuser de servir des clients en raison de leur orientation sexuelle. Puis, c’est au tour de la Cour d’appel de prononcer la même décision. 

    De son côté, Jack Philips estime que ce sont sa liberté d’expression ainsi que le Premier Amendement qui entrent en jeu. Il en a donc appelé à la Cour Suprême pour trancher une nouvelle fois. Il a même reçu le soutien de Jeff Sessions, le ministre de la Justice de Donald Trump. Finalement, le lundi 4 juin 2018, la Cour suprême des États-Unis a donné raison à Jack Philips.

     BRUT

  • Un Irakien avoue le meurtre de Suzanna, une jeune Allemande de 14 ans

    NdB: Toujours des fleurs et des bougies alors qu'on attend un châtiment exemplaire pour le meurtrier!

  • Essonne : un bébé chute du 1er étage, sa mère plonge pour le sauver

     

    La mère a instinctivement sauté par-dessus le balcon pour sauver son bébé.

    Essonne : un bébé chute du 1er étage, sa mère plonge pour le sauver© Istock

    Alors que la France se passionne pour l’exploit de Mamoudou Gassama, jeune Malien sans-papiers (mais depuis régularisé) qui a sauvé un enfant en escaladant un immeuble, « Le Parisien » nous rapporte un autre fait divers qui aurait bien pu mal se terminer.

    Ce jeudi à Crosne, dans l’Essonne, un enfant âgé de près d’un an échappe quelques secondes à la vigilance de sa mère. Au moment où elle tourne à nouveau son regard, elle découvre son bébé sur le balcon du 1er étage, en train de perdre l’équilibre. Elle n’a que le temps de bondir et se jeter à nouveau dans le vide pour tenter de rattraper son enfant.

    Les deux victimes chutent lourdement au sol mais par miracle, ni le bébé ni la maman ne comptent de blessure grave. "Ça fait du bien de voir des histoires qui finissent bien" : déclare au journal l'un des premiers secouristes arrivés sur place.

    L’enfant a tout de même été transféré à l’hôpital Necker à Paris pour des examens complémentaires.

    PARENTS

  • Les États-Unis séparent désormais les parents migrants de leurs enfants Repéré par Claire Levenson — 26 mai 2018 à 10h03 — mis à jour le 26 mai 2018 à 10h03 Pour dissuader les nouvelles arrivées, l'administration Trump sépare les familles qui traversent

     

    Pour dissuader les nouvelles arrivées, l'administration Trump sépare les familles qui traversent la frontière avec le Mexique. Même les enfants en bas âge sont concernés.

    Des migrants venus d'Amérique Centrale, en route vers les Etats-Unis, le 28 avril 2018 à Tijuana au Mexique. GUILLERMO ARIAS / AFP
    Des migrants venus d'Amérique Centrale, en route vers les Etats-Unis, le 28 avril 2018 à Tijuana au Mexique.
     

    Avant l'élection de Donald Trump, les familles de migrants et demandeurs d'asiles qui étaient interpellées à la frontière mexicaine étaient détenus ensemble dans des centres de rétention, en attente de jugement. Mais les directives du gouvernement ont changé: maintenant, les parents et enfants sont détenus séparément, parfois dans des villes différentes, et même dans le cas d'enfants très jeunes.

    Depuis plusieurs mois, des centaines de cas de séparations ont été rencensés par les associations de défense des droits civiques.

     

     

    «Ce qui se passe ici est sans précédent. Ici en Arizona, nous avons vu plus de 200 cas de parents séparés de leurs enfants. Certains de ces enfants sont très jeunes, nous voyons régulièrement des enfants de deux ans, et la semaine dernière, il y avait un enfant de 53 semaines sans ses parents», expliquait Laura St. John de l'organisation The Florence Project, sur MSNBC.

    L'association de défense des droits civiques ACLU a engagé une procédure légale contre cette pratique du gouvernement, qu'ils considèrent comme une violation de la Constitution des États-Unis.

    Sur Twitter, le journaliste Chris Hayes a partagé des extraits de la plainte dans lesquels sont décrits plusieurs cas de séparation, comme celui de Miriam, venue du Honduras, qui dit avoir été séparée de son bébé de dix-huit mois et ne pas l'avoir vu pendant plus d'un mois. En mars, un procès de l'ACLU avait permis de réunifier une mère congolaise demandeuse d'asile avec sa fille de sept ans. Elles avaient été séparées pendant quatre mois.

    La nouvelle approche, introduite par le ministère de la Justice, consiste à condamner les personnes qui ont traversé la frontière illégalement à des crimes, et non plus à des infractions civiles, comme c'était le cas auparavant. Les adultes sont donc placés en prison, et non en centre de rétention, alors que les enfants sont gérés par une autre entité administrative, qui détient habituellement les mineurs qui traversent seuls la frontière.

    Interviewé par MSNBC, un avocat de l'ACLU a dit que c'était «la pire chose»qu'il avait vue en 25 ans de travail sur les droits des immigrés.

    «Je parle à ces mères et elles décrivent leurs enfants qui hurlent "maman, maman, ne les laisse pas m'emmener".»

    Il y a quelques jours, le chef de cabinet de la Maison Blanche John Kelly a défendu la pratique en disant qu'il s'agissait d'une dissuasion efficace et que les enfants seraient «placés dans des foyers ou autres».

    SLATE

  • Zemmour : « L’immigration n’est pas une fatalité qu’on doit subir. Les mouvements démographiques sont une guerre qu’on veut gagner ou qu’on accepte de perdre »

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    21h49
     

    CHRONIQUE – La situation en Italie est révélatrice de tous les atermoiements de l’Union.

    (…) Désormais, c’est à Salvini de jouer. D’abord parce que l’immigration fut le thème qui l’a porté au pouvoir. Ensuite parce qu’il doit montrer qu’il peut expulser massivement les clandestins (il a promis 500.000 renvois) et arrêter la déferlante migratoire sur les côtes italiennes. Salvini s’en est déjà pris aux ONG qui, sous couvert d’humanisme, sont les complices des passeurs. Il devra utiliser la Marine italienne non pour sauver les migrants mais pour les arrêter, voire détruire leurs barques. Il devra enfin tenir tête aux juges européens qui ne manqueront pas de dénoncer des pratiques contraires aux «droits de l’homme».

    On croit toujours en France que l’immigration est un phénomène qu’on ne peut maîtriser, une sorte de fatalité qu’on doit subir. C’est faux. Les mouvements démographiques sont une guerre qu’on veut gagner ou qu’on accepte de perdre. Comme le note l’historien Pierre Vermeren, le milliard de Chinois pauvres n’a jamais débarqué dans le Japon riche parce que l’État japonais s’est organisé pour qu’il en soit ainsi. Aux États-Unis, depuis l’arrivée de Trump, l’immigration venue du Mexique s’est beaucoup réduite.

    (…) Le Figaro

  • LE JOURNAL du 8 JUIN 2018

  • Londres : des immigrés clandestins se font passer pour des victimes de l’incendie de la tour Grenfell et vivent 8 mois dans un hôtel de luxe aux frais de l’État

     

    30/05

    Un couple d’immigrés clandestins qui se faisait passer pour des victimes de Grenfell (la tour détruite par un incendie) a vécu dans un hôtel de luxe ( Le Radisson Blu Edwardian Hotel ) pendant huit mois et ont bénéficié de 11 000 £ de nourriture après s’être plaints de la qualité des menus servis à l’hôtel.

    Tommy Brooks, 51 ans, et Elaine Douglas, 51 ans, ont bénéficié d’un total de 104 000 £ payés par les contribuables.

    Le couple est arrivé au Royaume-Uni, en provenance de la Jamaïque, en 2002, puis ont disparu dans la nature.

    Après l’incendie de Grenfell, ils se sont présentés au centre d’accueil, prétendant être des résidents.

    (…)

    Daily Mail

    Merci à Andy

    NdB: Elaine Douglas a eu moins de chance que Meghan Markle, devenue princesse royale et duchesse de Sussex 

  • "EN ENFER" - Les Brigandes

  • Émotion en Allemagne aprés le meurtre sauvage de Susanna F. (14 ans), violée et étranglée par 2 demandeurs d’asile (MàJ : l’un des suspects relâché)

     

    19h30

    L’un des suspects dans l’affaire du meurtre de Susanna à Wiesbaden est à nouveau libre. Comme le procureur général Oliver Kuhn l’a déclaré jeudi soir à Francfort, il n’y a plus dans l’état actuel de l’enquête de forts soupçons pesant sur le demandeur d’asile de 35 ans de nationalité turque.

    Focus


    Violée, étranglée, enterrée

    Le calvaire de Susanna (14 ans) a duré toute une nuit

    La police confirme l’identité de la jeune fille ++ Ils étaient deux : un Irakien de 20 ans en fuite et un Turc de 35 ans qui a été arrêté

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    [Pour une meilleure compréhension des faits, des passages de l’article ont été déplacés.]

    On a en tout deux suspects : un Irakien de 20 ans nommé Ali B., qui est recherché, et un ressortissant turc de 35 ans qui a déjà été arrêté. […] Les deux hommes auraient habité dans un foyer de réfugiés.

    […]

    [Ali] B. est arrivé à l’automne 2015 en Allemagne.

    Viol, vol, crachats sur une policière : Ali B., le suspect principal, est accusé de différents délits.

    […] L’Irakien de 20 ans a vraisemblablement quitté le pays à la hâte jeudi dernier avec toute sa famille. […] D’après ce que l’on sait à l’heure actuelle, elle a pris à Düsseldorf un vol à destination d’Istanbul où elle est montée dans un autre avion pour Erbil (Irak).

    […]

    Susanna se rendait assez souvent au foyer de réfugiés de Wiesbaden-Erbenheim [Hesse] et aurait assez bien connu le frère du suspect irakien […]

    Susanna, la jeune fille de 14 ans qui a été tuée, était juive. Le Comité central des Juifs d’Allemagne a confirmé […] les informations données à ce sujet.

    (Traduction Fdesouche)