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Blog - Page 538

  • Un 14 juin...

    Le 14 juin 1940 : entrée de l'armée allemande dans Paris, déclaré ville ouverte.

    Les troupes allemandes entrent dans Paris

    La Wehrmacht entre dans Paris, vidée des trois-quarts de ses habitants. Le premier acte de l'occupant est d'ôter le drapeau tricolore qui flotte sur le ministère de la Marine et de dresser le drapeau à croix gammée au sommet de l'Arc de triomphe.

    • le 14 juin 1940 : opération Vado.

    Battue par les Allemands, la France doit également affronter l'Italie, lors de la bataille des Alpes. L'armée des Alpes résiste parfaitement aux unités italiennes. Il est décidé de lancer, le 14 juin 1940, l'opération Vado, dont l''objectif consiste à pilonner les ports italiens de Gênes et de Savone. Partie de Toulon, la marine française attaque victorieusement les défenses des côtes italiennes.

    • le 14 juin 1985 : signature des accords de Schengen (Luxembourg).

    Les accords signés à Schengen abolissent les contrôles aux frontières communes entre les Etats signataires, la RFA, le Luxembourg, la Belgique, la France et les Pays-Bas. Ces accords entrent en vigueur en 1995.

    Cet accord a été signé en secret par Mme Catherine Lalumière, sur un bateau, sur le Rhin. Il n'a été découvert que deux ans après, fortuitement. Il devient Convention européenne le 19 juin 1990.

    Cité par François Marie Algoud dans Histoire de la volonté de perversion de l'intelligence et des mœurs (Editions de Chiré page 350)

    Lois Spalwer

    LE SALON BEIGE

  • HILLARY CLINTON, UNE MONDIALISME MILITANTE

     

    HILLARY CLINTON, UNE MONDIALISME MILITANTE  - Éradiquer les identités culturelles

     


    Éradiquer les identités culturelles



    Michel Lhomme
    le 14/06/2015
    Hillary Clinton débutant sa campagne électorale pour les présidentielles américaines a affirmé que « les codes culturels profondément enracinés, les croyances religieuses et les phobies structurelles doivent être modifiées. Les gouvernements doivent utiliser leurs moyens de contrainte pour redéfinir les dogmes religieux traditionnels». Cette déclaration citée par Auran Derien dans un article de METAMAG, avait été annoncée par le quotidien El Manifestio.com, sous le titre « Hillary Clinton contre les identités culturelles et religieuses ». 

    La déclaration d'Hillary Clinton confirme ce que de nombreuses plumes dissidentes affirmaient depuis longtemps, à savoir que le gouvernement mondial ou ce que d'aucuns appelleraient les forces du capitalisme ont un plan qui passe par l'extinction planifiée des identités culturelles et de tout ce qui est traditionnel.
     
    Cette thèse qui a amené beaucoup d'entre nous à prendre conscience depuis quelques années du double jeu de l'idéologie officielle antiraciste est aussi celle qui a justifié dans les années 80 notre détachement du mouvement altermondialiste pro-immigrée, dans le style de la revue ''multitude''. 

    Avec la déclaration sincère - nous n'en doutons pas un instant ! - d'Hillary Clinton, nous comprenons à la lettre l'expression du ''grand remplacement'' de Renaud Camus et cette expression qui vise bien un programme politique délibéré, à la logique réfléchie et préparée en coulisses.

    Les déclarations d'Hillary Clinton révèlent la finalité proprement totalitaire du système mis en place, celui du mondialisme politique dont se réclame toute notre classe politique. Il s'agit bien d'éradiquer les identités culturelles et surtout de déraciner, de couper l'herbe sous le pied de la Tradition.
     
    En somme, les plus traditionalistes et les plus conservateurs de nos penseurs (Schmitt, Kelsen, Evola, Gomez Davila, Alain de Benoist) ont eu raison de nous prévenir. La finalité de l'hyper-modernité est l'éradication de toute identité culturelle spécifique au nom de la consommation. Pour cela, effectivement, il n'est plus besoin d'aller à l'école ou d'apprendre l'histoire. Il suffira de réciter les mémoires sélectives des vainqueurs ou les épopées des bien-pensants.
     
    Ainsi, pour le programme mondialiste, les cultures, quels que soient leur espace géographique et leur singularité temporelle, doivent se plier à la consommation mercantile, au matérialisme de la technique et aux valeurs démocratiques sous peine d'être absorbées par la coercition totalitaire de la bonne gouvernance. 

    La candidate Clinton a été claire : ou les Traditions se soumettent et nous les y obligeront, ou les identités culturelles se dissolvent dans la masse des consommateurs et des cartes de crédit ou nous les annihileront. 

    Toute identité culturelle est invitée à se réformer ou à disparaître dans les temps nouveaux de la ''globalisation'' et du ''monde unique'', celui de l'hégémonie libérale et atlantiste. 
     
    METAMAG
  • Humour? La réforme du collège

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  • Pour Manuel Valls, Premier ministre, La Réunion est une place majeure dans "le Pacifique"

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    Lors d'une interview accordée à Réunion 1ère, le Premier ministre a placé par erreur La Réunion dans l'océan Pacifique au lieu de l'Océan indien

    14 Juin 2015, 17h48 | MAJ : 14 Juin 2015, 18h16

     
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    Auteur d'une nouvelle bourde remarquée, Manuel Valls ne devrait pas voir sa popularité repartir de l'avant. Au détour d'une interview accordée jeudi à la chaîne locale Réunion 1ère, le Premier ministre a placé La Réunion dans l'océan Pacifique ! Une erreur de géographie assez importante puisque l'île française se trouve dans l'océan Indien.

     

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    «La Réunion, c'est le premier département, c'est la première région d'outre-mer, c'est 800 000 habitants, c'est une place majeure dans le Pacifique», a lâché Manuel Valls, qui était en tournée à La Réunion et à Mayotte entre jeudi et samedi

    L'une des deux journalistes qui l'interrogeaient a rectifié habilement le tir dans sa question suivante, en citant et corrigeant à la fois Manuel Valls : «Puisque La Réunion a une place majeure dans l'océan Indien, pourquoi ne pas préférer justement le recrutement des Réunionnais ?»


     Manuel Valls a donc été «sauvé» par la journaliste, puis par la chaîne Réunion 1ère, qui n'a pas intégré l'extrait dans les vidéos de l'entretien diffusées par son site officiel. En revanche, sur Internet, l'erreur n'est pas passée inaperçue. Et moins de deux semaines après son voyage très remarqué jusqu'à Berlin (Allemagne) pour la finale de la Ligue des champions, Manuel Valls n'est pas épargné par les commentaires. 

    L'écrivain Michel Onfray a ironisé depuis son compte Twitter : «Sur place, Valls fait de La Réunion une place majeure dans le Pacifique. On ne peut pas être bon en foot, en tennis et en géographie». Il a été imité par d'autres internautes. 

    LE PARISIEN

  • L'exception polonaise

    Dimanche dernier, on a pu voir Andrzej Duda, le bientôt président de Pologne élu le 24 mai dernier (il prendra ses fonctions le 6 août), s’agenouiller pour ramasser une hostie emportée par le vent et la porter à l’archevêque de Varsovie, le cardinal Nycz, qui célébrait la messe d’action de grâce à la basilique de Wilanów, à Varsovie.

     

    Contrairement aux dirigeants catholiques irlandais qui ne sont éventuellement catholiques que le dimanche et défendent presque à l’unisson le « mariage gay » les autres jours de la semaine, Andrzej Duda, le prochain président polonais, est un vrai catholique. Cela se voit sans qu’il ait besoin de l’afficher et il n’est pas seul dans son parti. Le PiS (Prawo i Sprawiedliwość, Droit et Justice en français) est de nos jours un des derniers partis chrétiens-démocrates en Europe à être resté chrétien et à compter avec l’enseignement de l’Église : il s’oppose à l’avortement, à la procréation in vitro, à la dénaturation du mariage, il est favorable aux libertés bien comprises et pas aux déviances libertaires ni à un quelconque droit à l’enfant, pour ne citer que quelques thèmes importants.

    Les prises de position du PiS sont le fruit de la foi vivante de ses membres (ce qui ne veut pas dire bien entendu que les adhérents du PiS soient des saints, mais ce qui veut dire qu’ils ont des valeurs claires et constantes). Ainsi, le dimanche du deuxième tour des élections présidentielles polonaises, le 24 mai dernier, Jarosław Kaczyński, le président du PiS, a passé la journée au sanctuaire de Jasna Góra où il était venu prier devant l’icône de la Vierge Noire de Częstochowa. Le vainqueur des élections est lui-même venu remercier la Vierge le lendemain à Jasna Góra.

    De son côté, le parti au pouvoir (PO pour Platforma Obywatelska – Plateforme civique), semble toujours croire que ce sont les contre-valeurs portées par l’Europe qui pourront encore le sauver de la débâcle et il se presse de faire adopter une loi sur la PMA qui sera très libérale et qui ne fera pour une bonne part que sanctionner l’anarchie existant malheureusement toujours dans ce domaine en Pologne. Si la PO n’a pas encore le courage de remettre en cause l’interdiction de l’avortement sans raisons médicales (75 % des Polonais s’opposent à tout « droit » à l’avortement), au vu de son évolution au contact du pouvoir on peut craindre le pire pour la suite si elle venait à gagner les prochaines élections législatives.

    Mais la PO a peu de chances de sauver les meubles alors que le premier ministre Ewa Kopacz annonçait hier la démission de plusieurs ministres et secrétaires d’État ainsi que du président de la Diète (la chambre basse du parlement polonais) suite à une méga-fuite de documents extrêmement compromettants de l’enquête sur l’affaire des écoutes. Donald Tusk, qui présidait jusqu’à récemment cette mafia politico-financière au service de l’UE et de son idéologie libertaire et homosexualiste, a déjà quitté le navire avec l’aide de ses parrains européens. Indice caractéristique du soutien de l’oligarchie européenne à un parti qui respecte très mal les standards démocratiques, c’est Anne Applebaum, journaliste du Washington Post et de The Economist et aussi épouse de Radosław Sikorski, le président déchu de la Diète, qui a été invitée cette année pour représenter la Pologne à la réunion à huis clos du groupe de Bildeberg qui se tient ces jours-ci.

    Croisade du rosaire pour la patrie

    Croisade du rosaire pour la patrie

    Du coup, certains en Pologne veulent voir un parallèle entre cet incident de dimanche, avec le Corps du Christ ramassé par ce président catholique, et un incident survenu en 1963 dans la Pologne communiste où, lors d’une messe de couronnement d’une statue de la Vierge, c’est Mgr Karol Wojtyła, évêque de Cracovie et futur pape Jean-Paul II, qui avait ramassé à terre le sceptre tombé de la statue.

    Sur le modèle de la croisade du rosaire qui avait précédé l’arrivée du Fidesz et de Viktor Orbán au pouvoir en Hongrie en 2010, des dizaines de milliers de Polonais conduisent une « Croisade du rosaire pour la patrie » depuis déjà quelques années. Les plus gros médias polonais, aux mains des multinationales et acquis à la Pensée unique européenne, tirent déjà à boulets rouges, avant même son investiture, sur ce président catholique.

    NDF

  • Entretien avec Bernard Lugan

              

    « Nous pourrons nous battre quand nous redécouvrirons qui nous sommes ! »

     

     

     

     

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    Dans toute l’Afrique, le chaos semble s’installer. Les frontières issues de la colonisation européenne ont-elles un avenir ?

    Ces frontières ne correspondent pas à la réalité, mais elles existent. Si elles explosent, ce sera l’anarchie. Et l’on voit au Sud-Soudan que de nouvelles frontières ne résolvent pas les problèmes pour autant. Le vrai problème, c’est la démocratie. C’est elle qui provoque le chaos. Avec le principe « one man, one vote », la majorité ethnique remporte systématiquement les élections. Et cela cause des drames terribles quand cette majorité était, avant l’indépendance, soumise à une autre ethnie. Cela débouche sur la vengeance et sur le génocide, comme au Rwanda. Le génocide de 1994 est le fils de la démocratie.

    Vous soulignez toujours le discours de La Baule (1990) du président Mitterrand comme point de départ du chaos africain…

    Tout à fait : Mitterrand, en expliquant qu’un « vent démocratique devait souffler » sur l’Afrique, a tourné le dos à notre antique politique africaine – gaulliste – qui consistait à soutenir des régimes forts. Nous pensions, à juste titre, qu’il fallait construire un État avant de parler démocratie. De Gaulle l’avait compris, lui qui parlait d’ailleurs de « coopération » avec les anciennes colonies, jamais de « développement ». Le chef de l’État socialiste a, lui, au contraire, associé « développement » et « démocratie », faisant de la seconde la condition du premier. Un désastre ! La démocratie a été une catastrophe pour le continent, tout comme la médecine…

    La médecine ?

    Oui. Quand nos grands anciens, les explorateurs, sont arrivés en Afrique, le continent était presque vide. En vérité, l’Afrique a toujours été un continent de basse pression démographique. Jusqu’à ce que les Européens amènent leur médecine… De 100 millions d’habitants, on est passé à plus de 1 milliard et l’ONU prévoit 3 milliards d’ici quelques décennies ! C’est une folie… Les faibles États africains ne tiendront pas le choc.

    Vous vous doutez que ces propos peuvent choquer ?

    Vous savez, moi, je suis un historien. Je m’intéresse à la terre et aux hommes. Aux faits. La morale, je la laisse aux philosophes. Nous vivons dans un monde de dogmes, dans l’émotion, dans le présent. Je pense comme les Arabes ou les Africains : sur la longue durée. Et j’irai plus loin dans mes propos : la démocratie a fait plus de mal que l’esclavage !

    À vous écouter, un pays comme l’Afrique du Sud ne pourra donc jamais être la démocratie merveilleuse et arc-en-ciel que l’on nous dépeint ?

    Non. Et l’apartheid se réinstalle d’ailleurs tranquillement. Le grand exode des Blancs (près d’un million de personnes) est terminé. Ceux qui sont restés se sont regroupés, vivent dans leurs propres villes. Il y a peu de contact avec les Noirs. Les grandes distances permettent ce qui est impossible en France pour la population de souche. Comme dans toute l’Afrique, en Afrique du Sud, le vote est racial. L’ANC est le parti des Noirs, contrôlé par les Zoulous, et le petit parti libéral, blanc et métis, ne décolle pas.

    Vous restez cependant optimiste…

    Oui, car le réel fera son retour. Le modèle démocratique va s’effondrer de lui-même. Nous reviendrons, y compris en Europe, à une sorte d’Ancien Régime, qui respectera mieux les communautés originelles. Nous pourrons nous battre à armes égales avec les islamistes quand nous redécouvrirons qui nous sommes. Pas avec ce hochet des droits de l’homme ou ce laïcisme désuet !

    propos recueillis par Joris Karl

    BOULEVARD VOLTAIRE

  • SIBELIUS - KARAJAN

  • Valls/Mayotte : « La question du droit du sol, je ne veux pas l’ouvrir » (MàJ)

    http://www.fdesouche.com/617953-valls-mayotte-cest-pleinement-la-france-letat-y-apporte-sa-plus-forte-contribution-de-france-rapportee-au-nombre-dhabitants

  • Sondage. Les Français et les partis politiques : le FN domine le match

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    Selon un sondage réalisé par Odoxa pour le Parisien-Aujourd'hui, 9 Français sur 10 ont une mauvaise opinion des partis politiques. Mais le Front national est jugé le plus proche des Français et le plus même de proposer des solutions efficcaces.

    13 Juin 2015, 23h31 | MAJ : 13 Juin 2015, 23h43

     
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    Exclusif
                                                         ILLUSTRATION. Le FN est le parti le plus souvent cité sur sa capacité à proposer des solutions efficaces (22% devant Les Républicains avec 17%). Le PS est celui des trois qui en est jugé le moins capable des trois (3e avec 13%) LP/Frédéric Dugit

    Les deux grands partis de gouvernement à la peine. Et un FN qui se revendique comme le parti antisystème au plus haut : tel est l’enseignement de notre sondage exclusif Odoxa.

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    Nous avons demandé à cet institut de classer, dans une forme de match, les sept principaux partis selon trois critères. La proximité avec les Français, l’honnêteté, la capacité à faire des propositions efficaces.
     
    Verdict, le parti de Marine Le Pen surclasse tous les autres dans deux catégories (il est jugé le proche des préoccupations des Français et celui le moieux capable de proposer des solutions efficaces), n’arrivant troisième (16 %, un point derrière les écolos et le MoDem ex aequo, mais tout de même loin devant les socialistes et les Républicains à 9 et 10 %) que sur le critère de l’honnêteté.

    Un — relatif — revers pour le mouvement d’extrême droite qui a longtemps prospéré sur la dénonciation du « tous pourris », mais pâtit à l’évidence des affaires qui le touchent (les enquêtes judiciaires sur un magot suisse présumé de Jean-Marie Le Pen et sur les comptes de campagne de 2012, le drôle d’emprunt russe…).

    Plus révélateur du climat de défiance, le FN, longtemps tenu comme un parti protestataire suscitant davantage un vote de rejet des autres partis qu’un vote d’adhésion à son propre projet, apparaît ici comme le plus capable de proposer des solutions efficaces : 22 %, devant les Républicains (17 %) et le PS (13 %).

    Le PS et les Républicains paient leur impuissance à lutter contre le chômage


    Explication : dans une France devenue plus « dure » après les attentats de janvier, le FN reste fort sur ses thèmes de prédilection, la sécurité et l’immigration. Mais en plus l’accent mis par le stratège Florian Philippot sur des mesures écosociales d’inspiration gaullo-chevènementiste, loin du libéralisme ou du poujadisme des années 1980, semble porter ses fruits.  A l’opposé, ses rivaux du PS ou des Républicains paient leur impuissance, avec Hollande comme avec Sarkozy, à lutter contre le chômage.

    « La présence du FN à ce niveau, alors qu’une large majorité de Français le considère toujours à part du champ démocratique, bouleverse l’équilibre bipolaire habituel de la Ve République, au profit d’un système tripolaire », commente Gaël Sliman d’Odoxa.

    Enfin, quand on les interroge sur le parti le plus proche de leurs préoccupations, les sondés placent là encore le FN en tête, devant le Front de gauche de Jean-Luc Mélenchon. Ce dernier séduit d’ailleurs moins les Français que ses homologues grec ou espagnol. 45 % des Français pourraient ainsi voter pour Podemos et 40 % pour Syriza, alors que 25 % seulement se déclarent prêts à le faire pour le Front de gauche. Henri Vernet

  • A la frontière italienne, des clandestins attendent d’entrer en France (MàJ: dispersion par la police italienne)

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    17h59

      


    Ils réclament « la paix », « la liberté », du travail : une centaine de migrants, venus pour la plupart d’Afrique, empêchés par les autorités françaises d’entrer en France à la frontière italienne à Vintimille, demandent pacifiquement qu’on les « laisse passer » pour qu’ils puissent gagner le pays européen de leurs rêves.

    Samedi matin, après une deuxième nuit passée sur place, ils ont repris vers 08H00 leur manifestation pacifique face à une dizaine de gendarmes français qui leur bloquent le passage vers la France, sous les yeux des touristes en voiture qui, eux, continuent à traverser la frontière sans souci.

    Installés sur une pelouse râpée en bord de mer, ils se lavent dans la Méditerranée, font leurs besoins dans les rochers avoisinants. Parmi eux, une vingtaine de femmes et d’enfants, a constaté un journaliste de l’AFP.

    Beaucoup portent des pancartes « We need to pass » (« Nous avons besoin de passer »), « We need freedom » (« Nous avons besoin de liberté ») ou encore « Political response from European Union » (« Une réponse politique de l’UE »).

    Présente, la Croix-Rouge italienne, « en assistance médicale avec un traducteur et une ambulance en cas d’urgence » selon un de ses membres Walter Muscatello, a fait avec son homologue française une distribution de nourriture samedi matin: sur une table, du café, des jus de fruit, des viennoiseries.

    Seuls les femmes et les enfants en ont profité. Les hommes, eux, même s’ils ont l’air fatigué, ont choisi de ne pas s’alimenter pour faire pression sur les autorités françaises et italiennes. Le slogan « We don’t need food, thanks Italy » (« Nous n’avons pas besoin de nourriture, merci l’Italie ») apparaît sur une pancarte.

    « Nous refusons de manger », a confié à l’AFP Mustapha Ali, qui se présente comme un Soudanais de 20 ans. « Nous avons passé toute la journée ici hier en pleine chaleur, et la nuit sous la pluie et dans le froid », constate-t-il. « Si nous devons mourir ici, pas besoin de manger… »

    Les migrants présents à la frontière viennent notamment de Somalie, d’Erythrée, de Côte d’Ivoire ou du Soudan, a indiqué à l’AFP un jeune homme disant se prénommer Mohamed et être né au Darfour, au Soudan, en 1992. Lui-même explique être arrivé avec son frère à Catane, en Sicile, et être remonté vers le Nord de l’Italie en car et en train.

    Arrivés vendredi à Vintimille, ils ont été arrêtés en France, à la gare de Menton puis reconduits en Italie à pied, a dit Mohamed. « Nous voulons la tolérance pour rester en France », a-t-il expliqué: « Au Darfour, il y a beaucoup de guerres et de violence, on massacre les gens, nous voulons la paix ». [...]

    Durant les sept derniers jours, un nombre record de 1.439 migrants illégaux ont été interpellés par les forces de l’ordre françaises dans les Alpes-Maritimes, a précisé vendredi le préfet des Alpes-Maritimes Adolphe Colrat. Parmi eux, 1.097 ont été réadmis en Italie.

    Selon M. Colrat, la « pression migratoire » à la frontière franco-italienne connaît « depuis quelques jours » un pic supérieur aux semaines records de 2014.

    Les migrants venus du Sud de l’Italie, en provenance de Libye, ne cachent pas leur présence dans les gares de Vintimille ou de Nice, ainsi que dans les trains locaux transfrontaliers. Mais jusqu’à présent ils ne s’étaient pas ostensiblement installés en nombre à quelques mètres de la France. Et ils n’avaient jamais organisé de protestation collective dans cette zone frontalière.

    Source*

    FDS

     

  • Deux tweets de Florian Philippot

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  • Edvard GRIEG La chanson de Solveig

  • Saint-Fons (69) : des jeunes attaquent des anciens combattants de la guerre d’Algérie

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    J-2

    Les faits se sont déroulés dimanche après-midi près du quartier des Grandes Terres à Saint-Fons près de Lyon.
    Comme chaque année la FNACA (fédération des anciens combattants en Algérie) de Saint-Fons organise un pique-nique. Mais cette fois, rien ne n’est passé comme prévu.

     

    Alors que les tables avaient été installées à l’ombre des arbres juste à côté du terrain municipal d’un immeuble, une pluie de projectiles s’est abattue sur les convives : des bouteilles de bière et de whisky vides, des manches à balai et des cailloux propulsés avec des lance-pierres, selon un témoin cité par Le Progrès : « On les entendait crier : on va faire Charlie Hebdo sales Français de merde ». Durant l’incident, une octogénaire a été transportée à l’hôpital de Saint-Fons car elle a reçu un pied de parasol dans la tête.

    La maire DVD de la commune a promis de mettre en place un dispositif de médiation sociale ce lundi.

    Lyon Mag

  • Yonne : deux adolescentes poignardées à la sortie du bus

     

    13 Juin 2015, 00h13 | MAJ : 13 Juin 2015, 00h42

     
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    Deux sœurs de 12 et 15 ans ont été poignardées par un adolescent à la sortie du bus ce vendredi, vers 17 heures, à Nailly, dans l'Yonne. La plus jeune a été transportée à l'hôpital et a subi une opération chirurgicale dans la soirée, selon l'Yonne Républicaine.

     
     

    La procureure d'Auxerre a indiqué que son état de santé était «rassurant».

    L'agresseur a pris la fuite à vélo après son geste mais il a été victime d'un accident de la route quelques mètres plus loin. Il a été pris en charge par les pompiers puis placé en garde à vue. On ignore les raisons de cette agression. La gendarmerie a ouvert une enquête.

    La famille des victimes a bénéficié d'un soutien psychologique à l'hôpital. Le rectorat a annoncé qu'une cellule psychologique sera également mise en place dès lundi au collège de Paron où étaient scolarisées les deux sœurs.

    LE PARISIEN