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GAELLE MANN - Page 1209

  • Béziers (34), La Devèze : « Nous sommes calfeutrés chez nous, derrière nos clôtures et des grilles »

     

     

    « Nous n’en pouvons plus, assurent les représentants d’un collectif d’habitants qui demeurent à proximité de la rue d’Alger dans le quartier de La Devèze. Nous n’osons plus rien dire de peur des représailles.

    Certains d’entre-nous vivent dans ce quartier depuis presque 50 ans. Aujourd’hui des petits jeunes nous insultent, nous intimident. Ce n’était jamais arrivé. Ce sont des menaces à peine déguisées. Résultat, nous sommes calfeutrés chez nous, derrière nos clôtures et des grilles alors que certains jouent les maîtres de la rue. Ce sont les rois. On ne leur dit rien. »

    Exaspérations

    Nos témoins sont exaspérés, à bout de nerf. Ils ont bien appelé les policiers qui se sont déplacés, mais rien n’y fait. Dès le jeudi soir, cela depuis 3 ans, et jusqu’au dimanche, les riverains nous racontent être ennuyés par des jeunes qui jouent au foot, tapent contre les murs, crient, font du rodéo avec leurs voitures et qui se servent des rues d’Alger, de Constantine et d’Oran, comme des salons.

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    Note NPInfos : Les habitants de La Devèze n’ont qu’un choix à faire pour changer leur triste quotidien : dimanche, ils voterons Guillaume Vouzellaud, candidat du Front National – Rassemblement Bleu Marine.

  • Il brûle le drapeau tricolore devant le commissariat à Nice (texte manquant)

    Un drapeau tricolore. Un briquet. Un geste provocateur. Et voilà le symbole national qui s'embrase aux portes du commissariat Foch, à Nice, dans la nuit de lundi à mardi. L'incendiaire présumé est ressorti libre du palais de justice hier, en attendant de venir répondre de ses actes devant un tribunal.

    Centre-ville de Nice, avant-hier. Il est minuit et demi quand ce gaillard au physique imposant se plante avenue Maréchal-Foch, face au commissariat central du même nom. Il tient à la main un drapeau français. Sort de sa poche un briquet. Et y met le feu. Les fonctionnaires se ruent pour éteindre le début d'incendie et interpeller l'individu.

    En 2010, l'affaire du drapeau…

    Le drapeau est partiellement détruit. Le suspect, lui, est conduit à la caserne Auvare, au service du Quart. Il doit répondre d'outrage au drapeau, infraction passible d'une contravention de cinquième classe. Mais aussi de recel de vol, un délit, pour le coup. La provenance du drapeau reste en effet une énigme.

    On ignorait hier encore la motivation de son geste. Voilà, en tout cas, le genre d'incident qui passe d'autant plus mal en période électorale. Et pour lequel le mauvais plaisantin encourt une sanction pécuniaire. Déféré au parquet de Nice, il s'est vu remettre une convocation ultérieure devant le tribunal de police.

    C'est à Nice, déjà, qu'une affaire au retentissement national avait éclaté en avril 2010. A l'occasion d'un concours photo, la Fnac avait distingué un cliché montrant un homme qui s'essuyant le postérieur avec le drapeau tricolore.

    La direction de l'enseigne culturelle avait présenté ses excuses. Mais la polémique s'était située sur un plan plus moral que pénal.

     

    Nice Matin - 07/06/12

  • Cannibalisme et communisme dans la Chine des années 60

    07/06/2012 – 10h00
    PARIS (NOVOpress) — L’affaire, ces derniers jours, du cannibale de Miami ne peut se réduire à une potacherie geek sur le début de l’apocalypse zombie. Si ce fait divers a suscité un buzz aussi important c’est parce que le cannibalisme, dans une société civilisée, est tabou. Seuls quelques psychopathes tueurs en série s’y adonnent : Jeffrey Dahmer « le cannibale de Milwaukie » ou Andréi Chikatilo « le monstre de Rostov » par exemple (plus d’infos sur la question).

    Pourtant il existe un pays dans lequel le cannibalisme fut il y a moins de cinquante ans non seulement « autorisé », mais encouragé par l’appareil d’État : il s’agit de la Chine des années 60. La plupart des cas de cannibalisme recensés le furent pendant la période de la Révolution culturelle, non pas à cause des famines poussant la population à la dernière extrémité, mais bien dans le but idéologique de « manger le bourgeois ».

    La Révolution culturelle commence en 1966. Son but : éradiquer les traditions culturelles chinoises. Il faut « détruire les vieilles idées, la vieille culture, les vieilles coutumes et les vieilles habitudes des classes exploiteuses » (maréchal Lin Biao).

    Cannibalisme et communisme dans la Chine des années 60Le 8 août 1966 le Parti communiste chinois adopte une résolution en 16 points pour détailler le projet : « La grande révolution culturelle prolétarienne vise à liquider l’idéologie bourgeoise, à implanter l’idéologie prolétarienne, à transformer l’homme dans ce qu’il a de plus profond, à réaliser sa révolution idéologique, à extirper les racines du révisionnisme, à consolider et à développer le système socialiste. Nous devons abattre les responsables du Parti engagés dans la voie capitaliste. Nous devons abattre les sommités académiques réactionnaires de la bourgeoisie et tous les “monarchistes” bourgeois. Nous devons nous opposer à tous les actes de répression contre la révolution. Nous devons liquider tous les génies malfaisants. Nous devons extirper énergiquement la pensée, la culture, les mœurs et coutumes anciennes de toutes les classes exploiteuses. Nous devons réformer toutes les parties de la superstructure qui ne correspondent pas à la base économique du socialisme. Nous devons purger la terre de toute la vermine et balayer tous les obstacles ! » (communisme-bolchevisme.net, page 26)

    Résultat : confiscations de logements, destruction du patrimoine culturel et des édifices religieux, exécutions en masse et déportation dans des camps de travail des « contre-révolutionnaires », rééducation des « intellectuels » (pas au sens français contemporain mais au sens de toute personne qui travaille dans un domaine intellectuel – cela inclut donc les instituteurs ou les petits employés un peu éduqués) par le travail manuel. Bien que la Révolution culturelle soit la période la moins meurtrière de la Chine maoïste, elle se solda tout de même en deux ans (1966-1968) par un bilan de un million de morts.

    « A côté des horreurs quasi astronomiques de la réforme agraire et du Grand Bond en avant, les quelques un million de morts (…) pourraient presque sembler modestes. Si, plus que tout autre épisode de l’histoire contemporaine de la Chine, elle frappa le monde entier et reste dans les mémoires, ce fut par le radicalisme extrême de son discours et de quelques-uns de ses actes » (Livre noir du communisme) Nous allons le voir.

    « La lutte que nous menons contre eux ne peut donc être, elle aussi, qu’une lutte à mort, nos rapports avec eux ne sont en aucune façon des rapports d’égalité, c’est l’oppression d’une classe par une autre, c’est-à-dire la dictature du prolétariat sur la bourgeoisie ; dans ces rapports, il ne saurait y avoir place pour autre chose, ni égalité, ni coexistence pacifique entre classes exploitées et classes exploiteuses, ni rien de ce qui se nomme humanité, justice ou vertu. » (circulaire du parti communiste chinois, 16 mai 1966)

    Cette lutte à mort « sans humanité, justice ou vertu » va justifier des campagnes de cannibalisme de masse dans les provinces chinoises.

    L’écrivain Zheng Yi va raconter dans son ouvrage « Stèles rouges : du totalitarisme au cannibalisme » (éd. Bleu de Chine 1999) l’enquête qu’il a menée à ce sujet dans la province de Guangzi. Il recensera environ 10.000 cas sur cette seule région.

    Morceaux choisis (si l’on peut dire…)

    Cannibalisme et communisme dans la Chine des années 60Après avoir obligé leur professeur à une séance de pidou (autocritique) musclée et l’avoir battu à mort : « Quelques élèves les escortaient fusils en main, le gros de la troupe suivait au loin… …Fu Bingkun (élève de deuxième année du second cycle) jeta un couteau de cuisine à côté du corps en disant : “Espions, coupez dans la chair ! Mangeons-en cette nuit ! …N’abîmez pas l’intestin en découpant ! Si vous le faites, je vous précipite avec dans le fleuve ! Je veux seulement le cœur et le foie.” Nous, les quatre membres de la “clique noire”, nous nous agenouillâmes sur le sol et quelqu’un me fourra d’abord le couteau dans la main. Je tenais le couteau. Ma main n’arrêtait pas de trembler. Il n’y avait rien à faire : je n’arrivais pas à passera l’action ; je ne pouvais pas commencer à trancher. Tout en m’insultant, les élèves donnèrent le couteau à Tan Chineng. A la lumière d’une lampe de poche, celui-ci se mit à l’œuvre, serrant les dents. (S’il ne s’était pas exécuté, les élèves nous auraient sans doute vraiment liquidés, nous aussi ! Ils avaient l’air prêts à en découdre). Après le cœur et le foie, ce fut au tour de la chair des cuisses d’être découpée. Certains en remplissaient des sacs en plastique, d’autres repartaient, des morceaux de viande dégoulinante de sang accrochés aux longs canons de leurs fusils. Par la suite, l’enquête établit qu’ils avaient procédé à la cuisson en trois lieux différents :

    - dans la grande cuisine, on avait crié à Zhang Gongyou (une femme) d’ouvrir la porte. Une fois cuite, soixante-dix à quatre-vingt élèves mangèrent de la viande humaine ;

    - dans le dortoir du responsable adjoint du comité révolutionnaire, Huang Yuanlou, où l’on utilisa des marmites pour la cuisson. Lui-même n’y goûta pas, mais quatre élèves en mangèrent ;

    - sous l’auvent de la galerie, devant les salles des classes 31 et 32.

    La chair une fois complètement enlevée, le squelette de Wu Shufang fut alors jeté dans le fleuve… Au moment du “règlement des problèmes laissés par la Révolution culturelle”, le responsable adjoint du comité révolutionnaire à l’école secondaire de Wuxuan fut exclu du Parti pour cannibalisme, mais il affirma encore avec assurance : “Cette chair humaine, c’était de la chair de propriétaire foncier ! C’était de la chair d’espion qu’on a mangée !”

    Au fil de l’ouvrage, Zheng Yi recense un grand nombre de témoignages, tous plus atroces les uns que les autres.

    Si le responsable du Parti cité précédemment fut exclu du PCC, ce fut non pas en raison de ses actes de cannibalisme (l’enquête montre que ces crimes étaient tolérés à l’époque) mais parce que à partir de 1968, les différentes factions des gardes rouges opérèrent entre elles des règlements de compte.

    Zheng Yi

    Zheng Yi, pseudonyme de Zheng Guangzhao, est un écrivain chinois né en 1947

    Au moment où le livre fut publié en Chine en 1986 (son auteur dut s’exiler suite à son implication dans le mouvement de 1989), beaucoup de responsables de l’époque étaient encore en poste. Zheng Yi parle de véritables « campagnes » de cannibalisme dans la ville de Wuxuan. Les gens sont découpés alors qu’ils sont encore vivants. On assiste à des « repas communautaires cannibales » : « Le 10 juillet 1968, dans la région de Sanli, devant l’entrée du canton de Shangjiang, se tint une grande séance de pidou, au cours de laquelle furent tués à coups de bâton Liao Tianlong, Liao Jinfu, Zhong Zhenquan et Zhong Shaoting. La chair des quatre corps fut découpée puis transportée jusqu’aux cuisines de la brigade, où on la fît cuire dans deux grandes marmites. Vingt à trente personnes en mangèrent. Au vu et au su de tous, on avait donc osé faire cuire de la chair humaine aux sièges même des gouvernements de niveau cantonal et régional, puis organiser sur place un repas communautaire ».

    Sans détailler plus avant le catalogue des horreurs (les lecteurs intéressés peuvent se rapporter soit à l’ouvrage, soit aux larges extraits disponibles sur internet), l’auteur s’interroge sur la barbarie intrinsèque du totalitarisme communisme. « En principe, après avoir commis un crime, on est en proie au remord. Comment se fait-il que de la terre de Wuxuan seule la haine pousse ? Pourquoi cette haine implacable ? Pourquoi une haine si profonde qu’elle ne s’éteigne même pas après avoir mis à mort et dévoré des hommes ? »

    A méditer à l’heure où l’extrême gauche française d’Alain Badiou à Jean-Luc Mélenchon, n’a toujours pas fait son autocritique sur les crimes abjects du maoïsme…

    Spoutnik, pour Novopress

    [cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine

  • Syrie - Tchourkine: " Assad n'est pas Kadhafi, l'Occident soutient l'opposition armée" - 11 février 2012

    http://www1.almanar.com.lb/french/adetails.php?eid=49839&frid=18&cid=18&fromval=1&seccatid=37

     

     

  • Syrie: témoignage d'un religieux français

     Lu sur le Réseau Voltaire : La paix en Syrie pourrait être sauvée si chacun disait la vérité. De retour à Damas en ce mois de mai 2012, il me faut bien constater qu’après une année de conflit, la réalité du terrain ne cesse de s’éloigner du tableau catastrophiste qu’en imposent les mensonges et la désinformation occidentale.

    Le mois de février a marqué un coup d’arrêt aux provocations des islamistes radicaux. Les troubles, en majorité circonscrits à Hamma et à Homs, auraient d’ailleurs été plus vite résorbés si la pression internationale n’avait freiné l’intervention de l’Armée. Les zones frontalières de la Turquie, de la Jordanie et du Liban — par lesquelles s’infiltrent les mercenaires — restent encore sensibles. Dans la capitale, ce que l’on appréhende le plus sont les voitures piégées et les attentats à la bombe, la plupart du temps, le fait de kamikazes alléchés par l’appât du gain, le désir du paradis d’Allah, ou bercés du rêve sunnite de la fin des alaouites au terme de 40 ans de règne et l’avènement de Jésus au haut du minaret, accompagné du dernier prophète Al-Mahadi pour le Jugement dernier.

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    Contre-info.com - 07/06/12

  • Laurent Fabius : l'Iran ne peut «en aucun cas» être associé à une conférence sur la Syrie

     Fabius : l'Iran ne peut «en aucun cas» être associé à une conférence sur la Syrie

     
    IRIB - 07.06.12

    L'Iran ne peut «en aucun cas» être associé à une conférence sur la Syrie, a déclaré le ministre français des affaires étrangères Laurent Fabius, à l'issue d'une réunion internationale sur la Syrie mercredi à Istanbul.Interrogé sur la proposition de la Russie d'associer l'Iran, pays voisin de la Syrie, a une conférence sur la crise syrienne, M. Fabius a répondu: «L'Iran en aucun cas, car tout d'abord ce serait contradictoire avec l'objectif de pression forte sur la Syrie, et cela aurait une interaction sur les discussions sur le nucléaire iranien, ce qui n'est pas souhaitable».La réunion d'Istanbul, qui rassemblait 16 pays dont les Etats-Unis et plusieurs pays européens et arabes, a permis d'«échanger nos analyses, qui sont convergentes», a précisé M. Fabius, au cours d'un entretien par téléphone.

    «Ce qui est frappant, c'est la dénonciation du régime Assad», a-t-il ajouté. Lors de cette réunion d'Istanbul, «j'ai renouvelé l'invitation de la France pour la prochaine réunion des Amis de la Syrie, début juillet», a encore déclaré le ministre français.Le chef de la diplomatie britannique, William Hague a lui aussi exprimé son opposition à une participation de l'Iran aux conférences sur la Syrie.«Je pense que le fait d'inclure l'Iran dans un quelconque de ces groupes le rendrait probablement inopérant», a-t-il déclaré à quelques journalistes.

    «C'est un pays qui soutient certaines des violences inacceptables et qui soutient le régime syrien dans ce qu'il fait au peuple syrien, et cela provoquerait une grande difficulté», a-t-il ajouté. «Il est un peu difficile d'imaginer inviter un pays qui orchestre l'assaut du régime d'Assad contre son peuple», avait pour sa part déclaré plus tôt dans la journée la secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton, à propos de l'Iran.

  • BHL insulte un ambassadeur russe aux Nations unies : "sans commentaires" (Moscou)

    Vitali Tchourkine

    Moscou - RIA Novosti - 07.06.12

    Moscou refuse de commenter les insultes prononcées par l'écrivain français Bernard-Henri Lévy à l'encontre de Vitali Tchourkine, délégué permanent de Russie auprès de l'Onu, a indiqué jeudi le porte-parole de la diplomatie russe Alexandre Loukachevitch.

    "Les déclarations effrontées de BHL se passent de commentaires (…). Il s'agit d'une question d'éthique la plus élémentaire", a déclaré le diplomate.

    Intervenant le 1er juin dernier en direct sur la chaîne française BFM TV pour faire la promotion de son film Le Serment de Tobrouk, consacré au conflit libyen, BHL s'en est violemment pris à Vitali Tchourkine, ambassadeur russe aux Nations unies.

    "Il y a des crétins..., je lisais une dépêche AFP ou Reuters tout à l'heure, l'ambassadeur russe aux Nations unies qui dit qu'ils vont bientôt révéler la confession de ceux qui ont vraiment armé les rebelles syriens. Imbécile ! Crétin ! Toujours la même idée, le complot".

    Craignant un nouveau détournement des résolutions de l'Onu par l'Occident afin de renverser les régimes qu'il réprouve, comme dans le cas de la Libye, la Russie s'oppose à une intervention étrangère armée en Syrie.

    En octobre et février derniers, Moscou et Pékin ont bloqué une résolution contre les autorités syriennes au Conseil de sécurité de l'Onu, recourant à leur droit de veto en tant que membres permanents du Conseil.

    Pour élaborer des actions collectives contre le régime de Bachar al-Assad, les Etats-Unis ont alors convoqué le groupe des "Amis du peuple syrien". La Russie et la Chine n'ont participé à aucune des rencontres des Amis de la Syrie".

    Depuis la mi-mars 2011, la Syrie est secouée par un mouvement de contestation du régime en place. Selon les Nations unies, la confrontation armée y aurait déjà fait plus de 9.000 morts et quelque 230.000 réfugiés. L'Occident prône le départ du président Assad.

    Le Serment de Tobrouk, présenté au festival de Cannes, vise à montrer le rôle politico-diplomatique joué par BHL aux côtés des rebelles durant le conflit libyen. Récemment, l'écrivain s'est dit favorable à une intervention armée en Syrie

  • Sondage Opinion Way : Kemel plus coriace que Mélenchon

     
     
     

    Communiqué de Steeve Briois

    Le dernier sondage sur la 11e circonscription du Pas-de-Calais confirme le décrochage du candidat Mélenchon. Le candidat des bobos et des clandestins se retrouve désormais distancé par le socialiste Philippe Kemel et n’accèderait plus au second tour.

    Lors de ce duel final, Philippe Kemel l’emporterait face à Marine. Si Mélenchon venait à se qualifier, il ferait quasiment jeu égal avec Marine, la marge d’erreur du sondage laissant planer le doute sur l’identité du vainqueur.
    Nous prenons ces chiffres, comme tous les autres parus précédemment, avec la plus grande prudence.

    Néanmoins, ces données vont dans le sens de ce que nous observons sur le terrain. Le camp Mélenchon panique, semble gagné par la mauvaise humeur, son image auprès de la population se ternit, et il suscite de plus en plus de rejet parmi les habitants. A l’inverse, Marine gagne chaque jour en adhésion et en sympathie dans le cœur d’habitants attachés à la sincérité, à la proximité et au courage d’une femme qui se bat depuis des années maintenant pour défendre et relever ce territoire meurtri.

    Ce sondage montre enfin que le risque principal aujourd’hui pour la candidature de Marine réside dans l’accession au second tour de Philippe Kemel, un candidat dont nous avons toujours pensé qu’il serait plus difficile à battre. Nous rappellerons aux habitants de la 11ème circonscription qu’ils auront un choix historique à faire entre la poursuite avec la gauche, et ils savent ce que ça veut dire, ou le redressement avec Marine.

  • Législatives 2012 / Hénin-Beaumont (62) – Effondrement de la campagne de Mélenchon : le leader du Front de gauche panique et perd pied

     

     

    Communiqué de l’équipe de campagne de Marine Le Pen

    Il devient de plus en plus clair que la campagne de Mélenchon prend l’eau et qu’elle provoque l’hystérie du candidat d’extrême gauche.

    Mélenchon, c’est le noyé qui se raccroche à une brindille : sentant le sol se dérober sous ses pieds, il trouve le prétexte d’un faux tract grotesque pour tenter d’incriminer à nouveau Marine Le Pen.

    Le faux tract désigné depuis quelques heures sent l’arnaque à plein nez : d’une part, tout le monde constatera qu’il n’a pas été distribué dans la moindre boite à lettres. D’autre part, étant purement virtuel, ce document a pu être réalisé par n’importe qui, et surement même par un militant du Front de Gauche.

    L’équipe de campagne de Marine Le Pen déplore ce coup fumeux, tellement caricatural qu’il ne peut qu’être la manifestation de la détresse d’un Mélenchon qui s’aperçoit que son parachute ne s’ouvre pas et que l’atterrissage risque d’être violent et douloureux.

    Dans le même temps, on apprend qu’un sondage à paraître ce soir le donne 3ème dans les intentions de vote, éliminé dès le premier tour. Ceci explique peut-être les manœuvres grossières de Mélenchon pour faire encore un peu parler de lui avant de disparaître.
    En attendant, le Front National entame une procédure en diffamation contre lui, et elle n’aura rien de virtuelle.

  • Mélenchon grimé en "Hitler" dans un nouveau tract anonyme

    http://www.lexpress.fr/actualite/politique/melenchon-grime-en-hitler-dans-un-nouveau-tract-anonyme_1123629.html

     

     07/6/12

  • Hollande souhaite rencontrer prochainement le Premier ministre israélien

    Le président de la République François Hollande a reçu, mercredi 6 juin 2012, Yaakov Amidror (photo), chef du Conseil de sécurité nationale d'Israël, auquel il a fait part de son souhait de rencontrer "prochainement" le Premier ministre Benjamin Netanyahu, a indiqué l'Elysée.

    "Le chef de l'Etat a exprimé la volonté de la France d'engager avec Israël l'approfondissement de notre relation bilatérale et de développer les nombreux liens existant entre les sociétés israélienne et française dans tous les domaines", ajoute le texte. "Ce partenariat confiant devra intensifier le dialogue politique sur les sujets d'intérêt commun et renforcer encore la proximité qui unit les peuples français et israélien", écrit aussi l'Elysée.

     

    Crif - 07/06/12

     
     
  • Législatives (XVIe circonscription) : Chassain (UMP) prêt à se désister en faveur du FN

     

    Publié le mercredi 06 juin 2012 à 20H24

     

    Le maire des Saintes-Maries de la Mer, candidat UMP dans la XVIe circonscription détenue depuis 2007 par Michel Vauzelle (PS), se décidera dimanche soir, en fonction des résultats du premier tour. "Pour moi, ce sera tout sauf Vauzelle, indique-t-il. Je verrai donc, en fonction des chiffres, s'il faut que je me retire au profit de la candidate du Front national, Valérie Laupies". "Je dis tout haut ce que de nombreux élus UMP disent tout bas, poursuit-il. Il faut arrêter de critiquer le Front national.

     

    La Provence