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GAELLE MANN - Page 1211

  • Des tombes grecques retrouvées à Marseille

     


    Des tombes grecques sous les vestiges du lazaret d'Arenc !

    Commencées dès la découverte du site, en janvier dernier, les fouilles de l'ancien Lazaret d'Arenc (2e arrondissement) ont réservé une bien belle surprise aux archéologues en charge du chantier. Au moins une demi-douzaine de tombes viennent en effet d'être mises au jour dans ce quartier de Marseille. Et quelles tombes!

    Comme l'explique Lionel Guévalet, directeur Provence de la société Bouygues Immobilier qui construit sur place un ensemble de logements et de bureaux baptisé NeoMed, "les scientifiques ont trouvé des sépultures grecques, ce qui était totalement inattendu à cet endroit". Et d'ajouter : "Cette découverte est d'une réelle importance car elle peut remettre en cause ce que l'on sait à propos de l'occupation d'origine hellénique dans la cité phocéenne".

    Selon nos informations, entre 6 et 8 tombes auraient en effet été exhumées, dont l'une de petite taille qui pourrait être celle d'un enfant, située au centre de la parcelle en travaux, et les autres beaucoup plus grandes - environ 2 m de long - concentrées à l'angle de la rue Melchior Guinot et du boulevard de Paris.

    Consulté sur le sujet, un expert archéologue marseillais, auteur de plusieurs études sur le sujet, estime que si l'information est confirmée, "cette découverte permettrait de préciser et de conforter le panorama de l'occupation grecque, notamment la localisation des nécropoles qui sont traditionnellement situées à l'extérieur de la ville". La plupart se situent en effet dans les quartiers de La Bourse, Belsunce, Sainte-Barbe, Porte d'Aix, sur la rive Est du Lacydon, et dans ceux du Pharo, Saint-Nicolas, Carénage et Saint-Victor, sur la rive Sud.

    "Nécropole antique"

    Mais si "le fait que l'on en ait trouvées à cet endroit constitue une nouveauté très intéressante", ce même expert se montre prudent, dans l'attente de confirmation, préférant parler pour l'heure de "nécropole antique". En effet, pendant la période romaine, la butte du Lazaret constituait une importante nécropole dont on peut d'ailleurs contempler la maquette au Musée d'histoire de Marseille. Précision déterminante donc, comme le souligne la délégation provençale de la Société française d'histoire maritime (SFHM) qui suit de prêt ce dossier, mais encore difficile à obtenir.Et pour cause : l'archéologue responsable des opérations chez Chronoterre, la société privée à laquelle Bouygues Immobilier a confié les fouilles, n'a pas souhaité répondre à nos questions. Quant à la Direction régionale des affaires culturelles (Drac), elle nous a opposé le devoir de réserve que lui impose son ministère de tutelle jusqu'au 17 juin, c'est-à-dire jusqu'au second tour des élections législatives...Lionel Guévalet précise toutefois que "les fouilles de la nécropole vont se poursuivre dans le cadre de la convention passée entre sa société, la Drac et Chronoterre" au sujet de l'ancien lazaret de la Grande Peste alors même que les recherches concernant ce vaste complexe sanitaire exploité entre les XVIIe et XVIIIe sont terminées."Tout ce qui est découvert est collecté, conditionné, numérisé et stocké en lieu sûr afin que la Drac puisse en prendre possession et l'étudier",

    souligne Lionel Guévalet, bien décidé à faire taire les rumeurs selon lesquelles le site aurait été fouillé à la va-vite et en catimini. Le but est notamment de dater cette présence grecque en travaillant sur l'analyse des pollens et de la terre. Quant aux vestiges de l'ancien Lazaret, le patron de Bouygues Immobilier se veut tout aussi rassurant. "Comme nous nous y étions engagés lors de la visite sur place du maire de Marseille, le 1er mars dernier, nous allons conserver sur site certains éléments. J'ai d'ailleurs écrit mercredi dernier au directeur d'Euroméditerranée pour lui confirmer notre intention de reprendre au sein du jardin une partie de pavement du lazaret et un ou deux blocs qui constituaient les fondations des bâtiments sanitaires". Et de conclure : "Contrairement à ce que certains voudraient faire croire, on ne cache et ne casse rien".

    Les tombes grecques retrouvées sont du même type que celles exhumées rue Tapis Vert il y a quelque temps déjà. Ce sont des sarcophages avec à l'intérieur des urnes funéraires et des cendres. Une découverte majeure pour l'histoire de la cité phocéenne.

    La Provence - 04/06/12

  • Les médecins israéliens mettent en garde : les réfugiés africains sont ''une bombe à retardement''

     
    D'éminents médecins israéliens mettent en garde contre les demandeurs d'asile africains qui souffrent de maladies contagieuses telles que la rougeole, la tuberculose et la varicelle et pourraient être à l'origine de l'éclatement d'épidémies dans la région de Tel-Aviv.

    Le professeur Pini Halpern, directeur d'un département de l'hôpital Ichilov de Tel-Aviv, a sonné l'alerte mardi, dans un article paru dans le quotidien Yediot Aharonot. Selon lui ces migrants africains sont ''une réelle bombe à retardement sanitaire''.

    source

    Guysen.International.News

    VOXNR - 24/05/12

  • L’homme qui exploitait la forêt africaine mais qui ne voulait pas que cela se sache

     

    Nico Ramirez - Politique

     
    L’homme qui exploitait la forêt africaine mais qui ne voulait pas que cela se sache
    Dans la famille Lévy, on connaissait déjà Justine, la fille, auteur à bobos quand papa œuvre pour les gogos, et puis Arielle, la deuxième épouse, dont le point de carrière le plus culminant n’a d’égal que la hauteur de son cul offert en levrette à Klaus Kinski, alors au sommet de son art et de son dard, dans le film « Les fruits de la passion », en 1981.

    Mais force est de constater que dans la brillante famille Lévy, il nous manque quelques cartes. Ainsi, on connaît plutôt mal le père, André. C’est que Bernard-Henri ne la ramène pas trop sur le paternel. À moins, bien entendu, d’occulter le plus intéressant, à savoir les affaires africaines de la famille, qui durant de longues années, exploita le bois précieux de Côte d’Ivoire, du Cameroun et du Gabon.

    « Exploiter » est bien le terme qui convient, vu les conditions de vie et de travail moyenâgeuses imposées aux ouvriers dans les concessions gérées par l’entreprise des Lévy, la Becob. Salaires en retard, équipements sanitaires déplorables, un ruisseau pollué pour s’alimenter en eau… Chargé de la communication interne, puis vice-président du conseil de surveillance, et même dirigeant pendant deux ans, Bernard-Henri s’est sérieusement impliqué dans la boutique familiale.

    Et tandis que la sueur africaine irriguait généreusement son compte en banque, à quelques milliers de kilomètres de là, Bernard-Henri distribuait les leçons de morale sur la dignité humaine. S’assurant au passage que les récalcitrants soient bien marqués du sceau de la barbarie, dont lui seul possédait le cachet d’attribution, comme ça c’est plus simple.

    Et quand, vers le début des années quatre-vingt, la promesse de gains toujours plus juteux semble s’éloigner car les affaires périclitent, Bernard-Henri fait habilement jouer ses relations politiques pour décrocher un prêt de plusieurs millions de francs, à un taux particulièrement avantageux, puisé dans… les caisses de l’Etat français !

    Plus tard, ce sera au tour de François Pinault de voler au secours de la Becob, en prenant une participation dans le capital, avant de devenir seul maître à bord. François Pinault, dont l’amitié ancienne avec le Grand blond à l’œil au beurre noir de la Trinité-sur-Mer n’a, manifestement, jamais froissé la conscience de notre anti-lepéniste de carnaval. Le rachat final de la Becob sur une valorisation de 800 millions de francs, un peu plus de 120 millions d’euros, lui aura probablement donné le vertige.

    L’histoire de l’homme qui exploitait la forêt africaine mais qui ne voulait pas que cela se sache, est déjà connue. Elle a été formidablement racontée dans le détail par les journalistes Nicolas Beau et Olivier Toscer dans leur enquête judicieusement intitulée « Une imposture française », publiée en 2006.

    Et pourtant, six ans plus tard, l’imposture se poursuit encore allègrement et dans la malfaisance ! La lamentable escroquerie intellectuelle trouve toujours une belle caisse de résonance. Profitant d’un solide réseau au sein des médias et de l’édition, le clown de Tobrouk parvient toujours à s’en sortir, en empêchant la publication de tel ou tel article qui le dérange.

    Une imposture qui se poursuit également avec des ambitions très clairement énoncées à ceux qui feraient semblant de ne pas comprendre : « J’ai porté en étendard ma fidélité à mon nom et ma fidélité au sionisme et à Israël », déclarait-il sans rire à propos de son implication dans la guerre en Libye.


    source

    Diktacratie :: lien

    VOXNR - 01/06/12

  • Tranche de vie en Tunisie ou en Irak: égorgement et décapitation d'un jeune musulman converti au christianisme

    http://www.fdesouche.com/304651-tranche-de-vie-en-tunisie

  • Eric Raoult ose proposer Sarkozy pour le prix Nobel de la Paix !

    Par Ivan Valerio

    | 04/06/12 - 16:26

    Le député UMP de Seine-Saint-Denis propose que l'ancien président de la République soit candidat pour le prix Nobel de la Paix. Eric Raoult souhaite que soit "reconnue la part essentielle de (son) action internationale durant son quinquennat pour le maintien de la paix dans le monde".

    Une "campagne de soutien"à cette proposition sera organisée par le maire du Raincy dans les prochaines semaines.

    Pour reconnaître son action "pour le maintien de la paix dans le monde"

      Nicolas Sarkozy, prix Nobel de la Paix. C'est le souhait d'Eric Raoult, député UMP, qui a proposé la candidature de l'ancien président de la République pour cette distinction.

      Dans un communiqué, Eric Raoult affirme avoir envoyé une lettre aux parlementaires afin de soutenir sa proposition :

     Dans une lettre adressée à l'ensemble de ses collègues parlementaires, aux responsables du Comité Nobel et au Premier ministre français Jean-Marc Ayrault, l'ancien ministre et député UMP de Seine-Saint-Denis vient de proposer la candidature de l'ex-président à ce prix international, pour voir reconnue la part essentielle de l'action internationale de Nicolas Sarkozy durant son quinquennat pour le maintien de la paix dans le monde.

     

    Le député de Seine-Saint-Denis précise qu'une "campagne de soutien"à cette proposition sera organisée dans les prochaines semaines.

     

    Le Lab - 04/06/12

     

  • À Marseille, une femme de 83 ans séquestrée, dépouillée et violée

    L'agression s'est produite dans l'un des bâtiments de la rue d'Aix. Le suspect est activement recherché.

    L'agression s'est produite dans l'un des bâtiments de la rue d'Aix. Le suspect est activement recherché.

    Photo Thierry Garro

    Que peut-il bien se produire dans l'esprit d'un individu prêt à abuser d'une vieille dame de 83 ans ? Les experts qui auront à se prononcer sur celui qui a sévi dans la nuit de samedi à dimanche, rue d'Aix (1er), sauront vraisemblablement répondre à cette question. Mais, pour l'heure, la priorité est de le trouver. De découvrir l'affreux personnage coupable de faits d'une cruauté sans nom.

    Il est environ une heure, dimanche matin, lorsqu'une dame âgée, qui vit seule dans son appartement de la rue d'Aix, rentre chez elle. Soudain, alors que la porte du hall d'entrée commence à peine à se refermer, elle sent une silhouette se glisser dans l'encadrement. C'est un garçon plutôt jeune, de corpulence mince. Immédiatement, il se montre menaçant.

    Selon les premiers éléments livrés par la victime, toujours extrêmement choquée, il ne porte pas d'arme. Mais ses propos se font suffisamment violents pour que l'octogénaire se laisse impressionner. Terrorisée, elle ne peut pas compter sur la présence de témoins, voire de voisins en mesure de faire cesser l'agression.

    L'homme arrache les fils du téléphone pour mieux assurer sa lâche cavale.

    Inexorablement, le scénario se poursuit. Le jeune homme oblige la victime à monter chez elle et à le laisser entrer. Ce qu'il cherche, ce sont les bijoux. Le voleur questionne l'octogénaire, tout en fouillant dans le logement. Après quelques minutes, il tombe enfin sur ce qu'il cherchait, quelques colliers ou des bagues en or, le trésor d'une vie qu'il est désormais prêt à faire disparaître avec lui. Mais il n'en a pas fini. Pris d'une pulsion aussi soudaine qu'insoutenable, il décide d'imposer une relation sexuelle à la vieille dame.

    Avant de s'enfuir avec son butin, l'homme arrache les fils du téléphone, pour mieux assurer sa lâche cavale.

    En état de choc, traumatisée, l'octogénaire trouve la force d'appeler à l'aide. Elle se rend chez un voisin pour alerter la police. Mais le violeur-voleur est déjà loin. Même s'il a laissé des traces dans l'appartement, il demeure introuvable. D'autant que la victime, trop faible pour livrer un signalement précis de son agresseur, ne facilite pas les investigations.

    Tous les espoirs des policiers se fondent désormais sur des éléments ADN, voire des empreintes digitales abandonnés par le suspect. L'enquête doit être confiée à la brigade criminelle de la Sûreté départementale.

    La Provence - 04/06/12

     

  • Scandaleux! Hollande reçoit tous les chefs de parti à l'Elysée sauf Marine Le Pen

    François Hollande s’envole pour Los Cabos, au Mexique, où se tient le sommet du G20. Dans la foulée, le président de la République rejoindra Rio pour la conférence sur le développement durable.

    Pour préparer ces sommets, François Hollande recevra cette semaine les chefs de parti à l’Élysée ainsi que les présidents de l’Assemblée nationale, Bernard Accoyer (UMP), et du Sénat, Jean-Pierre Bel (PS). Seule Marine Le Pen, pour le Front national, n’a pas été conviée. Aujourd’hui, c’est le communiste Pierre Laurent qui inaugure cette série de rencontres. Suivront François Bayrou (MoDem), Jean-François Copé (UMP) et Jean-Pierre Chevènement (MRC). Mardi, ce sera le tour de Jean-Luc Mélenchon (PdG), et mercredi celui de Martine Aubry (PS). Enfin, Cécile Duflot (EELV) et Jean-Michel Baylet (PRG) concluront ces rencontres jeudi et vendredi.

    Suite et source : Le Figaro

    Défrancisation - 04/06/12

  • Législatives - Guerre totale entre Marine Le Pen et Mélenchon qui installe un climat de terreur

    Le FN a qualifié Jean-Luc Mélenchon d'homme "dangereux" après un meeting où il a appelé à "éradiquer politiquement" les électeurs de Marine Le Pen.

     
    Rien ne va plus entre Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon.
     

    A une semaine du premier tour des élections législatives, la guerre des Fronts a atteint son paroxysme dans la 11e circonscription du Pas-de-Calais. Dans un virulent communiqué, Steeve Briois a estimé lundi que Jean-Luc Mélenchon, candidat du Front de gauche, était « un danger pour notre circonscription, pour notre République et pour notre démocratie ». Il « s’est illustré hier (dimanche, ndlr) lors de son meeting de Montigny-en-Gohelle par des propos particulièrement inquiétants », a précisé le secrétaire général du Front national.

    Cliquez ici !

    Dimanche, le co-président du Parti de gauche a en effet violemment attaqué Marine Le Pen et ses électeurs à l'occasion d'un meeting qui venait conclure une « marche contre l'austérité et le fascisme ». Une manifestation qui a officiellement rassemblé entre 3.000 et 6.000 personnes (selon la police et les organisateurs), mais seulement 800 selon le décompte réalisé par le FN qui parle d'un « fiasco » « annonciateur du dégonflement inéluctable de la baudruche Mélenchon ».

    Appel au "châtiment physique des électeurs" marinistes

    « Ici, il faudrait que nous subissions la honte, sur la terre initiale de la classe ouvrière et du socialisme, ce serait paraît-il le fief des abjects descendants de ceux qui nous ont envahis, occupés et trahis », a déclaré dimanche l'ex-prétendant à l'Élysée. « Dorénavant, ce n'est pas nous qui rasons les murs, c'est eux qui vont les raser, nous allons les faire partir, les chasser et avant, nous allons les éradiquer politiquement », a-t-il ajouté.

    Des termes qui ont choqué Steeve Briois. « La sémantique de Jean-Luc Mélenchon doit nous alerter et nous conduire à la plus grande vigilance », a prévenu le suppléant de Marine Le Pen dans son communiqué. « Après ces multiples appels à la haine durant la campagne présidentielle, le leader du Front de Gauche récidive gravement et montre son vrai visage. Son hypothétique victoire ne lui suffira pas. Il en appelle clairement au châtiment physique des électeurs de Marine Le Pen ».

    Nettoyage, ségrégation et éradication

    Le conseiller municipal d'Hénin-Beaumont va même plus loin et met en garde les partisans de la présidente du Front national : « Cet homme est de plus en plus manifestement dangereux. Le vocabulaire qu’il utilise traduit une envie viscérale et pulsionnelle de nettoyage, de ségrégation, d’éradication ».

    « Il n’est pas tolérable, dans une démocratie, que des citoyens soient menacés parce que le choix d’un tiers d’entre eux s’est porté sur Marine Le Pen, et qu’un candidat se permette d’instaurer un tel climat de Terreur », a conclu Steeve Briois qui affirme que l'ancien trotskiste « ne semble plus pouvoir masquer sa haine et ses pulsions staliniennes ».

    Mélenchon attaque en justice

    Palpables depuis plusieurs semaines, la tension régnant dans la 11e circonscription du Pas-de-Calais avait franchi un cap mardi dernier après la diffusion par des proches du Front national d'un faux tract reprenant une citation de Jean-Luc Mélenchon et invitant les électeurs, en français et en arabe, à voter pour le candidat du Front de gauche. Une attaque qui a été vécue comme une insulte par l'ancien sénateur socialiste qui est par ailleurs entré depuis plusieurs mois dans une guerre totale contre le FN et sa présidente, désignée comme l'ennemie publique numéro 1.

    Jean-Luc Mélenchon a d'ailleurs annoncé lundi après-midi dans un communiqué qu'il avait décidé de citer Marine Le Pen devant le tribunal correctionnel de Béthune pour « délits de manœuvre frauduleuse au sens de l’article L.97 du code électoral et pour publication d’un montage fait sans le consentement de M. Mélenchon (art. 226-8 du code pénal) ».

    Par Philippe Peter
     
    France-Soir - 04/06/12
  • Un convoyeur de fonds grièvement blessé dans l'attaque d'un fourgon blindé à Aubervilliers

      

    Un fourgon blindé a été attaqué à l'arme de guerre et un convoyeur de fonds grièvement blessé lundi à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis) par des malfaiteurs qui ont pris la fuite avec un butin après un braquage spectaculaire, d'une rare violence, dans un quartier populaire.

    Cette attaque survient dans un contexte de recrudescence des braquages de fourgons, qui inquiète la profession.

    Le fourgon blindé, de la société TAS, a été attaqué vers 05H30 par trois malfaiteurs alors qu'il se trouvait près d'une banque BNP Paribas, dans le quartier des Quatre Chemins, à la sortie du métro "Aubervilliers-Pantin", a indiqué la préfecture de Seine-Saint-Denis. Lors de l'attaque, des coups de feu ont été échangés et l'un des convoyeurs de fonds a été blessé, a ajouté la préfecture.

    Selon Christophe Ragondet, secrétaire départemental du syndicat policier Alliance, "le blessé a été très gravement touché". "Son pronostic vital est engagé. Il a été touché au flanc. C'est une zone où il y a beaucoup d'organes vitaux", a précisé M. Ragondet sur les lieux du braquage.

    Les malfaiteurs ont réussi à prendre la fuite en emportant une partie de l'argent transporté par le fourgon, soit environ 200.000 euros. "Ils ont pris la fuite à bord d'un 4x4 qui a été retrouvé incendié à quelques kilomètres d'ici, à La Courneuve", a précisé M. Ragondet.

    Preuve de la violence de l'attaque, de nombreux impacts de balle étaient visibles sur le fourgon pris pour cible par les malfrats ainsi que sur une Renault Kangoo garée à proximité.

    "Les malfaiteurs étaient équipés d'armes de guerre, visiblement des kalachnikov", a raconté M. Ragondet. Selon la préfecture, une dizaine de douilles ont été retrouvées sur les lieux de l'attaque, autour desquels un important dispositif de sécurité a été déployé.

    Plusieurs témoins interrogés sur place ont également fait état de la violence du braquage.

    "J'ai entendu des rafales de tirs, ça m'a réveillé, c'était impressionnant", a déclaré un habitant du quartier qui n'a pas souhaité donner son nom. "Cette attaque nous a surpris. On a eu peur", a renchéri le propriétaire du véhicule touché par un impact de balle, qui se trouvait dans une brasserie située face au métro au moment des faits.

    "Je prenais un café avant d'aller au travail. Quand on a entendu les tirs, on s'est tous cachés derrière le mur", a raconté ce jeune homme. "J'aurais pu être dans ma voiture et prendre la balle en pleine tête", a-t-il ajouté, se disant "choqué".

    Selon une employée du bar, Christine Fernandez, arrivée une vingtaine de minutes après l'attaque, "ce n'est pas la première fois" qu'un braquage a lieu sur cette avenue, proche du périphérique et de la porte de la Villette. "Il y en a déjà eu un l'année dernière", a-t-elle poursuivi.

    Le nombre de vols à main armée visant les entreprises de transports de fonds a augmenté de 75% entre mai 2011 et avril 2012, par rapport à la même période un an auparavant, selon le bilan mensuel de l'Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP).

    "L'attaque aurait pu faire des victimes civiles", a estimé Christophe Ragondet. "A partir du moment où on fait usage d'une arme de guerre en pleine ville, on peut toucher n'importe qui", a-t-il conclu.

    La brigade de répression du banditisme (BRB) est chargée de l'affaire.

     

    La Voix Du Nord - 04/06/12

  • Un projet pédagogique pourfendu par des négationnistes

    « Si vous êtes confrontés à un négationniste, vous avez le devoir de le signaler. Ne pas le dire, c'est être complice. Vous y êtes allés, vous avez aussi un devoir de citoyen. » Ces mots, Frank Gilson les a prononcés devant les élèves du collège Jean-Monnet de Caudry, près de Cambrai, qu'il a emmenés à Auschwitz au mois de février 2012 (photo), quelques jours après leur retour. Il ne pensait pas alors être lui-même victime de ce qu'il dénonçait. Car le projet initié par ce professeur d'histoire géographie a suscité la vindicte d'internautes mettant en doute l'existence de la Shoah, et de deux particuliers qui se sont fendus de courriers dénonçant la « vision partiale (sic) de l'histoire » qu'il a professée à ses classes de 3e.

    « le projet initié par ce professeur d'histoire géographie a suscité la vindicte d'internautes mettant en doute l'existence de la Shoah »

    Sur Internet, ce sont deux sites négationnistes qui ont repris des articles de presse relatifs au projet pédagogique mené à Monnet. L'un d'entre eux tourne en dérision, à l'aide notamment d'un montage photo, le projet comme la personne de l'enseignant, à coup d'allusions nauséabondes sur ses supposées origines ou d'assertions selon lesquelles on chercherait à « embrigader » les jeunes. Quant aux missives expédiées suite au voyage en Pologne, elles sont signées de particuliers habitant « en région parisienne », qui considèrent, sans injures ni menaces, voire fort poliment, « qu'il devrait enseigner une autre lecture de l'histoire »

     

    À lire également : le récit du voyage des élèves du collège Jean-Monnet de Caudry à Auschwitz, sur http://webcahier.fr/index.php (onglet projets pédagogiques).

     

    Crif - 01/06/12

     

  • Italie - Une rixe entre immigrés ravage un hôpital

    03/06/12
    CÔME (NOVOpress) –
    L’hôpital, nouveau champ de bataille de la guerre ethnique entre immigrés en Italie ? C’est en tout cas ce qui s’est passé dans la nuit de jeudi à vendredi à Erba (dans la province de Côme en Lombardie), à l’hôpital de la Sainte-Famille, tenu par les Frères de la Charité (ordre hospitalier de Saint-Jean-de-Dieu).

    Jeudi soir, vers 22 heures, deux Albanais d’une trentaine d’années, Ibrahim Zapzuni, résident dans la région, et Enea Ahmet, sans domicile fixe, se sont battus avec un Syrien du même âge, Hani Ajaj, officiellement résident à Rome mais en fait sans domicile fixe. La rixe a eu lieu « pour des motifs futiles », écrit l’édition locale du Corriere, mais en plein centre ville, sur la place principale. Les Albanais ont blessé le Syrien à coups de couteaux ou, peut-être, avec des tessons de bouteilles. Le Syrien a pu s’enfuir. Plus tard, vers quatre heures du matin, il s’est présenté tout en sang aux urgences de l’hôpital.

    Il a été rejoint dans la salle d’attente par les Albanais, décidés à lui régler son compte et qui s’étaient munis d’une bouteille d’essence. Ils en ont aspergé leur ennemi et, devant les patients et les médecins terrifiés, ont tenté de lui mettre le feu avec un briquet qui, heureusement, n’a pas fonctionné. Une lutte violente a alors repris entre les trois immigrés et ne s’est interrompue qu’à l’arrivée des carabiniers, qui sont parvenus à grand-peine à les séparer et les ont emmenés au poste.

    Le bâtiment a été dévasté par la fureur des immigrés et a dû être fermé pendant plus de deux heures. Le service des urgences a été complètement interrompu.

    [cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine

  • Liste des participants à la conférence de Bilderberg

    qui se déroule actuellement en Virginie (Etats-Unis).

    Le groupe de Bilderberg (aussi appelé conférence de Bilderberg ou club Bilderberg) est un occulte et puissant cénacle mondialiste qui rassemble annuellement et informellement environ 130 membres, essentiellement américains et européens, et dont la plupart sont des personnalités de la diplomatie, des affaires, de la politique et des médias. S’y décident les chemins que doit prendre l’humanité pour aller vers le nouvel ordre mondial, notamment dans le domaine géopolitique.

    Ci-dessous la liste des Français (ou prétendus tels) qui y participent, puis la liste complète :
    Lire la suite

     

    Contre-info.com - 02/06/12

  • Melting pot

  • Jean-Marie Le Pen apporte son soutien à Marion Maréchal

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    L'ISLE-SUR-LA-SORGUE, Vaucluse (Reuters) - Jean-Marie Le Pen s'est rendu dimanche dans le Vaucluse pour apporter son soutien aux candidats du Front national pour les élections législatives, notamment sa petite-fille Marion dont les chances de succès sont réelles dans la troisième circonscription de ce département fortement ancré à droite.

    A 22 ans, la fille de Yann, soeur de Marine, et de Samuel Maréchal, ancien cadre frontiste, en est à sa troisième campagne électorale après les municipales de Saint-Cloud et les régionales en Ile-de-France.

    Dans la 3e circonscription du Vaucluse, sa tante, Marine Le Pen, a réalisé son meilleur score au premier tour de l'élection présidentielle le 22 avril : 31,5% des voix.

    "Je suis ici plus par envie que par devoir, même si cette deuxième notion existe. Du fait du nom que je porte, j'ai le devoir de montrer l'exemple", explique Marion Maréchal-Le Pen. "Je ne suis pas ici en simple spectatrice".

    Si l'on en croit son grand-père, la candidature de la jeune femme n'était pas acquise. « Elle est en quatrième année de droit et en période d'examen. J'ai dû insister en lui disant que c'était un devoir de se battre sur le plan politique », glisse-t-il en marge d'une réunion politique.

    Devant les 150 personnes d'une salle conquise à l'avance, la jeune femme prononce un discours avec l'aide de notes qu'elle a pris soin de préparer car, confie-t-elle, elle est "moins rodée à cet exercice que ses aînés".

    Entre "sbires de l'UMP" et "tricératops du PS", Marion Maréchal-Le Pen cherche encore le sens de la formule que maîtrisent parfaitement le fondateur du Front national et sa fille Marine.

    Qu'importe, Jean-Marie Le Pen ne boude pas son plaisir et, devant les nombreuses caméras de télévision dont plusieurs chaînes étrangères, il répète à l'envi la fierté qui est la sienne de voir la tradition familiale se perpétuer ainsi dans la sphère politique.

    "C'EST UNE BONNE RACE"

    "La politique peut être génétique comme peuvent l'être les arts et la musique. Cela prouve que c'est une bonne race. Ceux qui nous accusent de népotisme sont des imbéciles », dit-il.

    Le choix du Vaucluse ne doit rien au hasard.

    Sur un territoire qui englobe Carpentras, la jeune femme est ici en mission, sur ordre direct du patriarche du clan qui veut à travers elle « laver l'affront » fait aux siens quand, en 1990, le FN a été accusé d'être indirectement responsable de la profanation du cimetière juif de la ville.

    « Une victoire de Marion aurait une signification de reconnaissance particulièrement symbolique », estime Jean-Marie Le Pen.

    Les coupables, démasqués six ans plus tard, étaient des néo-nazis sans lien avec le parti d'extrême droite.

    Marion Maréchal-Le Pen, qui n'avait que six mois au moment des faits, se pose en victime collatérale.

    "Le nom de mon grand-père a été sali et on ne l'a jamais lavé sur la place publique », explique-t-elle, ajoutant que son élection serait « un clin d'oeil à l'Histoire ».

    Dans un scrutin législatif dont le mode ne favorise pas le FN, Marion Maréchal-Le Pen a une réelle carte à jouer face au sortant, l'UMP Jean-Michel Ferrand, l'homme aux six mandats successifs de député.

    "Les députés, quand ils sont incrustés dans leur fauteuil, finissent par croire que c'est une propriété privée », lance Jean-Marie Le Pen. "M. Ferrand est tellement bien implanté qu'il va finir par se planter!"

    Au premier tour de l'élection présidentielle, Marine Le Pen a fait quasiment jeu égal avec Nicolas Sarkozy en obtenant 27,03% des voix contre 27,44% en faveur de l'ancien président.

    C'est aussi dans ce département que le FN a fait élire ses deux conseillers généraux en 2010, même si l'élection de l'un d'eux a depuis été invalidée.

    Edité par Sophie Louet

    Yahoo!Actu - 03/06/12

  • Châteauroux - Quatre mamans méritantes à l'honneur

    La fête des Mères sera célébrée dimanche. La Ville a précédé le mouvement en organisant, hier, la remise des médailles de la Famille française.

    Les quatre mamans, réunies dans la salle de réception de la mairie, ont reçu de magnifiques compositions florales.
     
    Les quatre mamans, réunies dans la salle de réception de la mairie, ont reçu de magnifiques compositions florales.
     
    (Cliquez sur la photo pour l'agrandir)

    A Châteauroux comme partout ailleurs, la fête des Mères est un moment incontournable. Le rendez-vous, remis au goût du jour sous le régime de Vichy en 1941, sera célébré dimanche. Toute aussi traditionnelle est la cérémonie organisée en mairie pour honorer les mamans méritantes de la cité. Cette remise de la médaille de la Famille française a eu lieu hier, en début de soirée. Avec un chaud soleil à l'extérieur. Et une bonne humeur omniprésente à l'intérieur. Sans oublier la petite pointe d'émotion qui est aussi la marque de fabrique de ce type de manifestations.

    A Monique Rougirel, adjointe au maire, chargée de la démocratie de proximité et de la solidarité, la parole.

    Magnifiques compositions florales des espaces verts

    Elle s'est adressée en ces termes aux mamans présentes et à leurs familles : « Nous vous devons le respect pour avoir donné de votre personne, de votre temps et de votre amour pour avoir dignement élevé vos enfants. Vos enfants sont votre plus grande richesse. Longue vie à tous ! ».
    Anne-Marie Aubrun (huit enfants) et Horiya Zaknoune (douze enfants) ont reçu la médaille d'or. Nezha Charafi (cinq enfants) et Fatima Stittou (quatre enfants), ont eu droit à la médaille de bronze remise par les élus présents à la cérémonie. Et elles ont aussi reçu les magnifiques compositions florales confectionnées avec leur talent coutumier par les agents du service des espaces verts de la Ville.
    Rappelons aussi qu'au nom du conseil général, Thérèse Delrieu leur remettra prochainement un chèque. Les unes et les autres ont ensuite partagé le verre de l'amitié.
    Installée à Châteauroux depuis vingt-quatre ans, Nezha Charafi n'en revenait toujours pas de cette belle médaille accrochée au revers de son vêtement : « Cette cérémonie, ce n'est que du bonheur. Comme les enfants, que du bonheur et de la joie. Et quelques embêtements aussi. Comme tout le monde ! ». On confirme.

    Bruno Mascle
     
    La Nouvelle République.fr - 03/06/12
  • Une buraliste séquestrée, violentée et abandonnée près d'un lac

     

    La victime a été séquestrée  dans sa maison à Saint-Barthélémy. Elle a été passée à  tabac./ Photo  C.T
    La victime a été séquestrée  dans sa maison à Saint-Barthélémy. Elle a été passée à  tabac./ Photo  C.T
    La victime a été séquestrée dans sa maison à Saint-Barthélémy. Elle a été passée à tabac./ Photo C.T

    C'est un véritable calvaire qu'il est donné de vivre à une dame de 64 ans qui tient le tabac presse « Le Montmorency » de Saint-Barthélémy d'Agenais. Après avoir subi deux vols à main armée, le dernier en date enduré le 1er avril dernier, cette femme vient d'être victime d'une agression sans précédent, attaquée la nuit dernière à son domicile, saucissonnée et séquestrée par des individus qui en voulaient à son argent. Une agression dont la violence est montée d'un cran. La victime a été retrouvée ligotée et abandonnée au bord du lac des Prairies à Saint-Pardoux-du-Breuil. Les malfrats l'avaient fait monter de force dans son propre véhicule retrouvé incendié quelques kilomètres plus loin. Désorientée en pleine nuit, blessée, elle mettait un moment à se défaire de ses liens et rejoignait la route le visage tuméfié au lever du jour.

    C'est peu avant minuit vendredi, que trois braqueurs encagoulés et équipés d'un couteau, l'ont surpris dans son sommeil, en entrant par la porte-fenêtre de sa chambre en rez-de-jardin. La sexagénaire a été violentée plusieurs heures jusqu'à ce qu'elle craque et remette sa carte bancaire, les clés du magasin et le code de l'alarme. Puis, les malfaiteurs l'ont entravée et emmenée sur place pour faire main basse sur des liquidités et des cartouches de cigarettes. Le préjudice n'était pas évalué hier soir.

    Laissée au bord du lac

    Par la suite, les auteurs enlevaient la commerçante histoire de couvrir leur fuite à bord de deux véhicules, puis s'en débarrassaient à Saint-Pardoux. Alertés par l'alarme qui n'avait pas été neutralisée, les gendarmes trouvaient un magasin ouvert et une maison vide et fracturée. Ils pensaient aussitôt à un mauvais coup.

    Pendant trois bonnes heures, les malfaiteurs n'ont pas lâché leur proie, une femme seule, qui se bat toujours à son âge pour se ménager un fond de retraite décent. La victime ne compte pas son temps. Ouverte 7 jours/7 jusqu'à 22 heures et toujours prête aux dépannages de dernière minute. Une cible facile pour des individus motivés par l'appât du gain, d'autant plus qu'elle est veuve. Un chemin de croix pour une femme qui accusait déjà le vol de son stock de cigarettes en août 2010, puis fut braquée avec un pistolet en août 2011 par un jeune et deux « hommes de main » marseillais à qui elle claqua la porte au nez. Enfin, le1er avril au soir, elle était mise en joue par un homme cagoulé qui réclamait la caisse, mais repartit bredouille. Deux affaires solutionnées et jugées. À cette liste de traumatismes s'ajoute une agression au gaz lacrymogène. Le sort s'acharne pour la malheureuse, laquelle n'arrivait déjà plus à reprendre pied avant ce terrible week-end. Elle se montrait très éprouvée psychologiquement. Souffrant de contusions, la victime a été examinée par un médecin légiste, avant d'être longuement interrogée par la section de recherches d'Agen qui enquête.

    La Dépêche.fr - 03/06/12