Eric Zemmour : "Une mise au point et la... par rtl-fr
28/05/12
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Eric Zemmour : "Une mise au point et la... par rtl-fr
28/05/12
(merci à dirk)
Deux jeunes gens ont été placés jeudi en garde à vue pour avoir tiré des plombs sur un invalide dans le bourg de Sallèles-d'Aude (Aude), l'atteignant au visage, a-t-on appris de source judiciaire.
Les deux jeunes, qui circulaient en voiture, se sont approchés mercredi d'une femme qui promenait son chien et de l'invalide, un homme de 53 ans qui se déplaçait en fauteuil roulant électrique.
Ils ont tiré avec une carabine ou un pistolet chargé de plombs en direction du groupe, atteignant le handicapé de trois projectiles, deux à la joue gauche et un au crâne. Les deux agresseurs, dont l'un vit dans le bourg, ont été interpellés, placés en garde à vue et déférés au parquet.
TF1 News - 24/05/12
25 mai 2012
Bruno Gollnisch a accordé un entretien à la Gazette de Côte-d’Or publié le 23 mai, à l’occasion de sa venue dans le département pour y apporter son soutien à Rémy Boursot et autres candidats FN du Rassemblement Bleu Marine en lice pour les législatives. Nous reproduisons ici cet article in extenso.
Bruno Gollnisch : « Nous avons raison sur beaucoup de points »
« Le député européen Bruno Gollnisch reste un homme influent au Front National, dont il est membre du bureau politique. Candidat aux élections législatives dans le Var, celui qui est également conseiller régional en Rhône-Alpes analyse la situation d’un parti fort d’un score élevé lors de la dernière présidentielle (18 %). »
LA GAZETTE : Quand François Hollande et Nicolas Sarkozy ont fait du vote en faveur de Marine Le Pen au premier tour de la présidentielle un vote de révolte et non pas d’adhésion, comment avez-vous réagi ?
BRUNO GOLLNISCH : Avec agacement. Car c’est totalement faux. Les gens du Front National savent très bien ce dont ils ne veulent pas, mais ils savent aussi ce qu’ils veulent. Ces expressions de « vote protestataire », « vote de crise », « exclus de la modernité », etc. ont pour but de faire passer nos électeurs pour des râleurs, voire des tarés, qui ne comprennent pas la complexité des problèmes ; des gens qu’il faudrait peut être « écouter », mais sans prendre en compte leurs convictions. À la limite, on s’attend à ce que l’on propose de les « rééduquer ». C’est d’ailleurs, curieusement, la rhétorique que l’on appliquait aux « dissidents » en URSS. En fait, le vote FN traduit souvent une conscience politique plus aiguisée que le vote socialiste dans la région de Toulouse ou le vote UMP à Neuilly.
LA GAZETTE : L’électorat frontiste se sent-il méprisé ?
BG : Oui, bien sûr. Ce type d’attitude est exaspérant. Derrière les propos faussement compatissants ou condescendants, nos électeurs sentent bien le mépris d’un établissement de politiciens nantis qui ne vivent pas la même chose qu’eux dans la vie quotidienne.
LA GAZETTE :Comment avez-vous réagi aux déclarations de certains ministres entre les deux tours, à propos de leur refus de voter FN aux législatives en cas d’affrontement avec un candidat socialiste au second tour ?
BG: Beaucoup sont allés plus loin. Valérie Pécresse, Nathalie Kosciusko-Morizet, Claude Guéant, n’ont pas seulement dit qu’ils ne voteraient pas pour le candidat FN ; ils ont dit qu’ils voteraient socialiste !
J’ai d’abord considéré que ces prises de position étaient suicidaires pour leur propre camp. Je pense même que si Nicolas Sarkozy avait clairement pris la position inverse, il aurait été élu ! Je pense aussi que ces attitudes sont révélatrices de la complicité qui existe entre socialistes et UMP, partis du système. Bien sûr il y a entre eux des rivalités, féroces même, pour occuper les places. Mais sur le fond, ils sont proches. Et ils sont solidairement responsables du déclin de la France ces trente dernières années. Alors ils n’aiment pas que des outsiders viennent le leur rappeler !
LA GAZETTE :Gérard Longuet a considéré Marine Le Pen comme une interlocutrice valable. Est-ce selon vous un acte isolé ou au contraire l’ancien ministre de la Défense a-t-il clairement dit ce que beaucoup à l’UMP pensent ?
BG : C’est ce que beaucoup pensent à l’UMP, parmi les électeurs de base et les élus locaux. Mais au sommet de l’appareil du Parti, on leur interdit de l’exprimer ! On obéit aux oukases socialistes contre le FN, qui se veulent vertueuses mais n’ont pour but que de diviser leurs adversaires afin de favoriser leur propre camp. Mais on ne peut pas indéfiniment et sans dommage jouer avec les règles de l’adversaire. Et on ne peut pas indéfiniment faire comme si un parti politique qui recueille régulièrement, depuis trente ans, 15 à 18 % des suffrages n’étaient qu’un « accident » temporaire de la vie politique française.
LA GAZETTE :Marine Le Pen a-t-elle eu raison de lisser l’image du Front National ?
BG: Je ne suis pas favorable à la « diabolisation ». J’ai toujours considéré cette diabolisation comme parfaitement injuste. Elle est en fait une arme psychologique de nos adversaires. Par conséquent, si on peut la combattre, tant mieux. Mais selon moi, ce qui rend le FN plus acceptable, c’est tout simplement que les gens réalisent que nous avons raison sur beaucoup de points, que nos analyses se vérifient, que nos solutions fermes mais de bon sens s’imposent…
LA GAZETTE :Auriez-vous appliqué la même stratégie si vous aviez été élu président du Parti ?
BG : Je ne me serais pas séparé de militants qui avaient peut être commis des erreurs, ou des péchés de jeunesse, mais dont les qualités étaient indéniables. Je me serais efforcé de réunir des éléments du Mouvement national qui nous avaient quittés ou qui existaient en dehors de nous en même temps que d’élargir notre rassemblement à d’autres courants politiques. Mais ce n’est pas moi le président du FN…
LA GAZETTE : Le Front National pourrait-il devenir le premier parti d’opposition, et peser davantage sur la vie politique du pays ?
BG : Il pèse déjà sur la vie politique française, quoique n’ayant à ce jour aucun député, car il oblige ses concurrents et adversaires à se positionner par rapport à lui. Sa présence dans la sphère politique empêche d’ores et déjà le gouvernement d’ouvrir plus grandes encore les vannes de l’immigration, par exemple. Et l’on voit bien le rôle central que jouera le Front national, ses candidats « bleu Marine » et ses propositions lors des prochaines législatives.
Quant à devenir le premier parti d’opposition, c’est déjà, par exemple, ce qu’ont réussi nos amis autrichiens dans leur pays. Et si l’on considère que la véritable fracture politique est désormais moins une facture « droite-gauche » qu’un clivage, qui traverse d’ailleurs les partis de l’Établissement, entre tenants béats de la mondialisation et patriotes persuadés que la nation est l’espace le mieux à même d’assurer la prospérité, la protection mais aussi l’expression démocratique de ses habitants, alors nous sommes déjà le premier parti d’opposition.
Des résultats décevants aux élections pour l’UMP couplés aux luttes internes qui s’annoncent pour prendre sa direction vont conduire à une implosion de ce parti et à une recomposition du paysage politique. Et nous sommes prêts à accueillir ceux de ses sympathisants et militants qui, à la base, souhaiteraient nous rejoindre.
Heures d’Étienne Chevalier, enluminées par Jean Fouquet, Musée Condé, Chantilly, R.-G. Ojeda, RMN / musée Condé, Chantilly
Pour Jean Fouquet, le blanc a une forte signification de pureté et de purification. Ainsi, la Pentecôte est située dans un cénacle à l’italienne en camaïeu blanc, avec des pilastres antiques, des fenêtres rectangulaires et une abside à coquille. La voûte en berceau surbaissé, en bois, est d’une conception française. Un blanc particulièrement éclatant attire le regard vers le Saint-Esprit, la guimpe de la Vierge et le jeune apôtre, saint Jean, assis à droite.
XVe siècle
(Cliquez sur l'image pour l'agrandir)
[cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine
MEMOIRE
http://www.admp.org/revuespdf/207/memoire.pdf
27/05/12
le 27 mai 2012 à 17h57 , mis à jour le 27 mai 2012 à 17h58
Une fillette de 9 ans a été mordue au visage par un rottweiler, samedi à Gravelines (Nord), et transportée dans un état considéré comme grave à l'hôpital.
Le drame s'est produit samedi à Gravelines. Une fillette de 9 ans a été mordue au visage par un rottweiler et transportée dans un état considéré comme grave à l'hôpital, a-t-on appris dimanche auprès des services de secours.
La fillette a été mordue samedi vers 17 heures par l'animal et transportée à l'hôpital à Dunkerque (Nord). L'enfant s'était rendue chez des voisins, dont le chien était attaché dans la cour. L'animal a toutefois réussi à atteindre la fillette, la mordant à la lèvre et à l'oreille, a indiqué de son côté la préfecture du Nord. Le pronostic vital n'était pas engagé et, dans l'immédiat, aucune plainte n'avait été enregistrée, selon la préfecture. Le chien, en règle, a lui été emmené chez un vétérinaire, selon la procédure habituelle.
Les faits se sont déroulés vendredi en Autriche.
Un homme a trouvé 10.000 euros en liquide dans une rue d'Innsbruck, capitale du Tyrol, une région située à l'ouest du pays.
Mais au lieu de garder l'argent pour lui comme aurait fait n'importe qui, il a tout déposé au commissariat de police le plus proche.
La police d'Innsbruck n'a pas donné de précisions sur le propriétaire de l'argent trouvé.
Hier, à 18 h 20, alors que l’abbé Roger Barthès commençait à célébrer la messe, quatre jeunes, âgés de 14 à 18 ans, ont fait irruption dans l’église Saint-Joseph, avant de lancer des poignées de cailloux sur les 150 fidèles présents à l’office. Aussitôt, des hommes se sont lancés aux trousses des jeunes trublions, mais en vain. Ils sont parvenus à s’évanouir dans la nature, en se dirigeant vers la cité La Conte.
Interrompue par cet imprévu regrettable, la messe a finalement pu se poursuivre jusqu’à son terme. Si personne n’a été blessé et que rien n’a été cassé au sein de cette église, sise le long de l’avenue Jean-Moulin, les paroissiens, dont beaucoup sont des personnes âgées, ont été fortement choqués par le geste de ces jeunes d’origine maghrébine. L’un des paroissiens s’est d’ailleurs rendu au commissariat, hier soir, pour y faire une main courante et apporter l’un des cailloux jetés...
Cette affaire rappelle étrangement le caillassage dont avaient été victimes les fidèles de la paroisse de Saint-Jacques, dans le quartier du Viguier, le 2 novembre 2010. Ce jour-là, une statue de la vierge avait été légèrement endommagée. On se souvient également qu’une messe de réconciliation avait été célébrée par Monseigneur Planet, évêque de Carcassonne et Narbonne, quelques jours après, en présence de l’imam du Viguier, Mohamed Hanou...
Midi Libre - 27/05/12
Posté par Willy Legrand le 27 mai 2012
Communiqué de Marine Le Pen, Présidente du Front National
Si l’information se confirme, le débarquement d’Eric Zemmour de la station de radio RTL constituerait une grave atteinte au pluralisme des opinions dans les médias.
Avec quelques autres, Eric Zemmour dénote dans un milieu médiatique français déjà très monolithique du point des expressions et des idées, et déjà très déconnecté des aspirations de nos compatriotes.
Par ses prises de position, il représente une forme de quasi-dissidence vis-à-vis des élites autoproclamées du PAF et des éditorialistes alignés sur une bien-pensance convenue. Pour cette raison, il entre souvent en résonance avec les Français.
Sa présence est donc indispensable à un débat public riche et varié.
Stéphane Sellami | Publié le 27.05.2012, 07h43
Le Parisien - 27/05/12
Dimanche 27 mai, cinquante jours après Pâques, les chrétiens célèbrent la Pentecôte. Après Pâques et Noël, il s’agit de la troisième fête la plus solennelle du calendrier chrétien. Elle fait mémoire du don de l’Esprit Saint aux premiers disciples et à l’Eglise universelle.
(Cliquez sur l'image pour la voir en totalité)
Infocatho.be
Ac 2:1- | Le jour de la Pentecôte étant arrivé, ils se trouvaient tous ensemble dans un même lieu, |
Ac 2:2- | quand, tout à coup, vint du ciel un bruit tel que celui d'un violent coup de vent, qui remplit toute la maison où ils se tenaient. |
Ac 2:3- | Ils virent apparaître des langues qu'on eût dites de feu ; elles se partageaient, et il s'en posa une sur chacun d'eux. |
Ac 2:4- | Tous furent alors remplis de l'Esprit Saint et commencèrent à parler en d'autres langues, selon que l'Esprit leur donnait de s'exprimer. |
Ac 2:5- | Or il y avait, demeurant à Jérusalem, des hommes dévots de toutes les nations qui sont sous le ciel. |
Ac 2:6- | Au bruit qui se produisit, la multitude se rassembla et fut confondue : chacun les entendait parler en son propre idiome. |
Ac 2:7- | Ils étaient stupéfaits, et, tout étonnés, ils disaient : " Ces hommes qui parlent, ne sont-ils pas tous Galiléens ? |
26/05/2012