Et voilà!
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Et voilà!
Sandra Bertin
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Une Française qui travaillait à Londres comme jeune fille au pair a été retrouvée morte, le corps brûlé, mercredi matin. Deux personnes ont été arrêtées pour meurtre.
Sophie espérait vivre une nouvelle expérience en allant s’installer à Londres. Mercredi, la jeune fille de 21 ans a été retrouvée morte au fond du jardin du domicile dans lequel elle travaillait. Ce sont ses voisins qui ont alerté les secours, inquiets par un feu dégageant une étrange odeur, indique le Mirror. «Nous avons vu de la fumée et senti une odeur bizarre», a commenté un témoin. Un autre a expliqué : «Cela ne sentait absolument pas le barbecue, mais je n’ai pas réussi à dire quelle était cette odeur».
Un couple de Franco-Algériens a été inculpé ce vendredi, en Grande-Bretagne, deux jours après la découverte d’un corps calciné, qui pourrait être celui de la jeune femme, dans leur jardin de Wimbledon, dans le sud de Londres. Ouissem Medouni, 40 ans, et Sabrina Kouider, 34 ans, ont été mis en examen pour meurtre. (Le Parisien)
Lorsque les pompiers et la police sont arrivés sur place, ils ont découvert le corps «gravement brûlé» de la victime qui a rapidement été identifiée par des voisins
Sophie avait finalement décidé de rentrer chez elle. Elle venait de demander à sa mère de lui envoyer de l’argent pour pouvoir payer le trajet. «Elle devait être de retour lundi. Mais elle n’est jamais arrivée», a encore expliqué son ami.
Sophie était chrétienne
NdB: La cause de ce meurtre atroce est peut-être religieuse
Plus rien ne s'oppose à l'application des ordonnances : Emmanuel Macron a signé vendredi, sous l’œil des caméras, sa réforme du droit du travail, qui va entrer en vigueur dans les prochains jours, malgré la contestation syndicale emmenée par la CGT et la mobilisation samedi de La France insoumise.
Le président a signé les cinq ordonnances à 13h50 à l'issue du conseil des ministres, vantant devant les caméras une "réforme en profondeur inédite de notre marché du travail", "menée dans un temps record". Elles seront ensuite publiées au Journal officiel ce weekend ou la semaine prochaine, ce qui les rendra immédiatement applicables.
L'Obs
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FRONT NATIONAL - 78, rue des Suisses 92000 Nanterre |
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https://www.christianophobie.fr/breves/yaos-de-nestle-depute-gilbert-collard-tire-croix-dessus
Jeudi 21 septembre 2017]
Financement d’associations pro-immigration, Renaud Muselier dans la continuité de Michel Vauzelle ?
La majorité a fait voter ce 21 septembre, dans le huis-clos de la commission permanente le renouvellement de ses cotisations à deux associations, sous couvert de « coopération méditerranéenne » :
Une cotisation de 50 000 euros à l’OCEMO, association en grande difficulté, hébergée gratuitement par la Ville de Marseille dans la somptueuse Villa Valmer et dont l’un des vice-présidents est aussi président du FEMISE. Ce dernier organisme, lors d’une conférence, cette année, souhaitait « unifier la vision méditerranéenne de la migration en faveur de la migration et des réfugiés ».
En réalité, l’argent du contribuable sert à faire survivre une association pro-migrants (qui travaille avec « France terre d’asile », connue pour ses activités en faveur des clandestins).
Nous avons aussi « Territoires solidaires », à hauteur de 22 500 euros, qui fait aussi partie de la galaxie OCEMO et qui compte parmi ses membres « SOS Méditerranée », association pro-migrants qui fait l’objet d’une enquête par le parquet de Catane en Italie, pour son rôle dans la crise des migrants en Libye.
« Nous sommes tous méditerranéens » disait Michel Vauzelle. Sur ce point on peut dire « promesse tenue » pour le duo Muselier-Estrosi.
Au détriment de nos compatriotes, ils continuent sans relâche de financer, avec des fonds publics, l’invasion migratoire.
Soucieux avant tout de l’intérêt des habitants de notre Région le groupe Front National a voté contre ces cotisations.
FDS
Mathieu Johann, l'ex-finaliste de la Star Academy 4, revient en exclusivité pour telestar.fr sur son violent coup de gueule lancé sur les réseaux sociaux à l'annonce de la suspension de peine de Patrick Henry. Ce dernier avait assassiné un enfant de sept ans, Philippe Bertrand, en 1976. Sauvé de la peine de mort par Robert Badinter, Patrick Henry a été condamné à perpétuité en 1977. Après quarante ans de détention, malade d'un cancer du poumon, il a obtenu en septembre 2017 une suspension de sa peine et va s'installer à Lille pour y être soigné.
Dans son tweet du 16 septembre, Mathieu Johann affirmait : "Rien de devrait autoriser la sortie de prison d'un assassin d'enfant. Rien, absolument rien." Lorsqu'il développe, Mathieu Johann se fait encore plus mordant : "Patrick Henry est un lâche. Le justice française est bien trop clémente et bienveillante avec un homme qui ne le mérite pas. [...] il est tout à fait insupportable qu'un [homme] qui a enlevé un enfant, réclamé une rançon, l'a séquestré dans une chambre d'hôtel, et tué en l'étouffant puisse sortir de prison."
Mathieu Johann poursuit : "Patrick Henry, atteint d'un cancer des poumons doit terminer sa vie en prison. Je ne me réjouis pas de son état de santé, mais il est tout à fait indécent, par respect pour la mémoire de l'enfant, par respect pour sa famille, qu'il soit libéré, même en fin de vie."
Les violences faites aux enfants sont un sujet sensible pour Mathieu Johann, lui-même père de deux fils (Louis et Marin) nés de ses amours avec Clémence Castel. Le jeune homme avait notamment révélé en 2005, dans un livre autobiographique, qu'il avait été victime d'agressions pédophiles de sept ans à dix ans. Mathieu Johann conclut : "La perpétuité ne devrait en aucun cas être négociable pour les crimes commis en général, et en particulier sur les mineurs."
A voir absolument!
Selon un rapport cité par Le Monde, le cimentier Lafarge aurait versé d'importantes sommes d'argent à l'Etat islamique pour maintenir ses activités en Syrie de 2012 à 2014, encouragé par la diplomatie française.
L'enquête autour des liens supposés du cimentier suisse Lafarge avec l'Etat islamique en Syrie révèle quelques éléments supplémentaires, comme le dévoile Le Monde dans son édition à du 20 septembre. Selon des documents accablants cités par le quotidien du soir, la direction de l'industriel aurait en effet accepté de payer l'Etat islamique pour assurer la sécurité de sa cimenterie de Jalabiya.
«L'économie de racket a commencé en septembre ou octobre 2012», raconte l'ex-directeur général adjoint opérationnel aux enquêteurs, selon un rapport que se sont procurés les journalistes du Monde. Contre des sommes allant de 80 000 à 100 000 dollars par mois, des «groupes rebelles» garantissent au cimentier que ses camions circuleront sans encombre.
Ce qui était un peu fou, c’est que toutes ces milices étaient alimentées en armes et argent par le Qatar et l’Arabie saoudite, sous le regard américain, sans aucun discernement
«Vous vous souvenez du nom de ces milices ?», demande l’enquêteur. Réponse de Bruno Lafont, un ex-PDG de Lafarge : «Ah non, elles changent d’allégeance… Ce qui était un peu fou, c’est que toutes ces milices étaient alimentées en armes et argent par le Qatar et l’Arabie saoudite, sous le regard américain, sans aucun discernement. On aime bien mettre des noms sur les choses, mais là-bas rien n’est si simple… » Puis, à partir de 2013, l'Etat islamique succèdent à ces racketteurs, et exige 20 000 dollars par mois.
Jusqu'à l'automne 2014, l'usine de Jalabiya continue de produire du ciment, malgré les combats entre Daesh et les Kurdes et les alertes répétées de la sécurité du site concernant les risques pour les employés sur place. «Comment pourrait-on caractériser ces déclarations : un manque de lucidité, la cupidité ou business as usual ?», demande un enquêteur à Bruno Lafont. Celui-ci répond qu'il n'était pas au courant.
Tous les six mois, on allait voir le Quai d'Orsay, qui nous poussait à rester
Autre point intéressant révélé par Le Monde : le groupe Lafarge aurait reçu le soutien du Quai d'Orsay, à la tête duquel se trouvait à l'époque Laurent Fabius. «Le gouvernement français nous incit[ait] fortement à rester. Tous les six mois, on allait voir le Quai d'Orsay, qui nous poussait à rester», affirme l'un des dirigeants.
En avril 2017, Eric Olsen, le patron de Lafarge depuis 2015, avait annoncé qu'il allait quitter ses fonctions pour tenter de désamorcer ce dossier syrien. Le conseil d'administration avait accepté sa démission mais estimé qu'il n'était «ni responsable ni pouvant être considéré comme informé des actes répréhensibles identifiés [en Syrie]».
RT
Le ciment contaminé ?
Dans une émission religieuse égyptienne, le docteur en théologie Sabri Abderraouf a déclaré qu’avoir une relation sexuelle avec sa femme décédée était autorisé par la charia, il a ainsi déclenché un tollé en Egypte.
Stupeur en Egypte au sujet d’une nouvelle fatwa, consultation juridique rendue par une autorité religieuse, au contenu pour le moins sordide. Au cours d’une émission religieuse de la chaine LTC TV, visible sur YouTube depuis le 15 septembre, le docteur en théologie Sabri Abderraouf, de la prestigieuse université cairote Al-Azhar, s’est vu soumettre plusieurs questions. Il lui a été notamment demandé s’il était possible d’avoir un rapport sexuel avec sa conjointe qui venait de rendre l’âme.
Selon le Huffpost Tunisie, tout en réprouvant cette pratique «hors norme», le théologien a affirmé que le mari ne pouvait être blâmé pour adultère et que cet acte était bien halal, c’est-à-dire autorisé par la loi islamique.
Le ministre égyptien des Affaires religieuses, Mohamed Mokhtar Jomaa, a aussitôt dénoncé cette fatwa, rapporte le Huffpost Tunisie : «Quand une telle fatwa émane des porteurs d'une pensée intégriste c'est compréhensible, mais quand ça vient de personnes réputées pour leur savoir, c'est catastrophique», a-t-il déclaré.
Face au scandale qui agite les médias et la société égyptienne, Al-Azhar aurait ouvert une enquête au sujet des propos de Sabri Abderraouf, selon les médias locaux.
L'université millénaire d'Al-Azhar, vue comme un phare de la pensée islamique, rend régulièrement des avis jugés tolérants, comme celui qui porte sur la non-obligation du port du voile, par la voix d’un de ses éminents professeurs, le Cheikh Mustafa Mohamed Rached. Elle est néanmoins fréquemment accusée de ne pas lutter assez fermement contre l’idéologie djihadiste.
Régulièrement, des fatwas émises par des autorités religieuses dans le monde musulman enflamment les réseaux sociaux. Parmi les interventions les plus surprenantes, on note l’interdiction des bonshommes de neige et des souris, y compris dessinées comme Mickey Mouse, par le cheik saoudien Mohammad Saleh Al Munadjid.
Le prêcheur iranien Hajatosalem Kazem Sedighaa avait, quant à lui, proscrit les mini-jupes qui, en provoquant le désir, puis l’adultère et ses manifestations physiques, pourraient déclencher des tremblements de terre.
RT