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GAELLE MANN - Page 165

  • Candidate islamiste hier en Algérie, candidate En Marche aujourd'hui !!!

    http://www.bvoltaire.fr/candidate-islamiste-algerie-hier-candidate-marche-aujourdhui/

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  • Richard Ferrand présent aux côtés d'Emmanuel Macron pour un "dîner républicain" à Vannes

     

     
     

    En pleine tourmente médiatique et politique, Richard Ferrand doit figurer ce mercredi soir à un dîner organisé à Vannes (Morbihan) ce mercredi soir en compagnie du président de la République. 

     

  • Publication du compromis de vente qui accable Richard Ferrand

    http://breizatao.com/2017/05/31/publication-du-compromis-de-vente-qui-accable-lescroc-ferrand/

  • Maisons-Laffitte: il s'introduit de nuit chez sa voisine et se masturbe devant elle

    http://www.leparisien.fr/maisons-laffitte-78600/maisons-laffitte-il-s-introduit-de-nuit-chez-sa-voisine-et-se-masturbe-devant-elle-31-05-2017-7003944.php

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  • Un migrant ougandais viole une femme mais ne peut être expulsé car homosexuel !

    Shutterstock

    La victime a été incapable de travailler durant six semaines et a dû être prise en charge par un psychothérapeute.

    Écrivain et journaliste belge francophone
     
    Son blog
      
                                                   

    L’Ougandais Emanuel G. est demandeur d’asile en Allemagne car il prétend être persécuté pour son homosexualité dans son pays d’origine. L’individu, âgé de 37 ans, a suivi, en septembre 2016, dans la rue à Freising en Bavière, une femme se déplaçant à vélo.

    Il a saisi le guidon de l’engin, a attrapé la dame âgée de 29 ans, lui a déclaré désirer avoir une relation sexuelle, a jeté sa victime au sol, l’y a maintenue puis lui a abaissé avec l’autre main le pantalon et la culotte. Lorsque la victime a crié, l’Africain l’a menacée de tirer avec un pistolet. Après le viol, il a fui et a été arrêté un peu plus tard.

    L’agresseur vient d’être condamné à quatre ans de prison, mais devrait pouvoir sortir après avoir accompli la moitié de sa peine.

    Il ne pourra alors cependant pas être expulsé d’Allemagne vers l’Ouganda car, en tant qu’homosexuel, sa vie serait menacée dans ce pays.

     

    La victime a été incapable de travailler durant six semaines et a dû être prise en charge par un psychothérapeute.

     

    Le 22 mai 2017, toujours en Bavière, à Bad Reichenhall, un Allemand de 51 ans se déplaçant à pied a été agressé sexuellement par quatre individus à peau sombre après avoir été poussé dans un buisson, mais est arrivé à s’échapper. Il est légèrement blessé. Les agresseurs ont été arrêtés peu de temps après les faits à l’intérieur du foyer où ils résident.

    Alors que les autorités de divers pays d’Europe sont confrontées à la question de savoir comment déterminer si un réfugié prétendant être homosexuel l’est réellement, l’Allemagne a ouvert des centres pour demandeurs d’asile réservés aux homosexuels afin d’éviter à ceux-ci d’être agressés par des cohabitants peu enclins à accepter de les côtoyer. Au sein de foyers pour réfugiés, les agressions de personnes LGBT (lesbiennes, gay, bisexuelles ou transsexuelles) sont monnaie courante : violences physiques et psychiques, refus de traducteurs de parler avec elles, crachats, agressions et parfois même tentatives de meurtre.

    Si les agressions contre les femmes et enfants se produisent souvent dans la rue ou dans les piscines, les Allemands ne sont pas pour autant en sécurité à leur domicile. Ainsi, dans une autre partie de l’Allemagne, près de Wismar, au Mecklembourg-Poméranie-Occidentale, une fille de 13 ans a été abusée sexuellement à son domicile par deux Turcs âgés de 19 et 31 ans, un vivant à Lübeck, au Schleswig-Holstein, et l’autre en Turquie. Lorsque la mère est rentrée à la maison, les agresseurs ont fui et ont été appréhendés par la police peu de temps après.

    BV

     

  • VIDEO - Un jeune chien sauvé de justesse dans la Val-de-Marne


    Un jeune chien sauvé de justesse dans le Val-de... par leparisien

    NdB: Honte aux sous-humains qui ont fait ça! Et merci aux deux sauveteurs de ce pauvre animal .

     

  • JOURNAL TVL DU MERCREDI 31 MAI

  • Eric Zemmour : « Brigitte Macron fut un grand professeur de théâtre »

     

    30/05/2017 – FRANCE (NOVOpress) : « Brigitte Macron fut un grand professeur méconnu. Mais pas de français, non, de théâtre. » C’est ce qu’explique Eric Zemmour, pour qui « Emmanuel Macron est capable de tout jouer avec un égal bonheur », du moins, pour ce qu’on en a vu pour le moment, sur la scène des relations internationales. Avec Donald Trump, il est un héros de western. Avec Angela Merkel, il est le beau et jeune Werther du roman de Goethe. Avec Vladimir Poutine, « il est l’enfant-roi en son habit de lumière et tel Louis XV il y a trois siècles, il [le] reçoit en son château de Versailles ».

    « Les médias français et internationaux, déplore Eric Zemmour, sont emplis de gestes de notre nouveau président. Comme les alchimistes transformaient le plomb en or, les journalistes ont été transformés en historiographes du roi. Leur seule mission est désormais de louer et de glorifier le jeune monarque qu’ils se sont donnés ».

    Pourtant, poursuit-il, « on n’a jamais vu un chef d’Etat manquer un G7 ou un G8 ou un G20. Même les plus gaffeurs des présidents américains ou les plus insignifiants des premiers ministres italiens s’en sortent toujours très bien. »

    Mais « dans les grandes conférences internationales du passé, congrès de Vienne, de Versailles ou conférence de Yalta, les dirigeants des grands pays se partageaient le monde. Lors des sommets d’aujourd’hui, leurs lointains successeurs se partagent seulement les caméras. C’est d’ailleurs fait pour ça […] C’est le principe même de la politique-spectacle ».

    Pour Zemmour, « rien ne sort ni ne peut sortir de concret de ces réunions », de ces « raouts diplomatiques » inventés par Valéry Giscard d’Estaing il y a quarante ans. « Giscard, c’était Macron avant Macron, sauf que l’un parle en chuintant et l’autre en zézayant. » Et il conclut en ces termes :

    « On ne discourt plus, on calcule. On ne tranche plus, on coopère. On met en scène le pouvoir dont il ne reste que l’image. Une belle image avec un bel acteur pour un beau film. »

     

     

  • Législatives: le vieux Front républicain est toujours là contre le Front national.

    https://www.egaliteetreconciliation.fr/Legislatives-le-vieux-front-republicain-est-toujours-la-45979.html

    + vidéo avec François Baroin

  • La Corse introduit une préférence régionale à l'emploi dans une charte qui fait polémique

     

     

    Jean-Guy Talamoni (ici en août 2016 à Corte), président indépendantiste de l'Assemblée de Corse, défend une charte locale de recrutement.

    Une charte locale de recrutement - défendue par le président indépendantiste de l'Assemblée de Corse - suscite des remous entre la majorité nationaliste et l'État qui y voit «une infraction de discrimination à l'embauche».

    Signée le 24 mai par les présidents des chambres des métiers, du commerce et de l'agriculture ainsi que le STC (le Syndicat des Travailleurs Corses), une charte locale de l'emploi fait polémique sur l'Ile de Beauté. De quoi s'agit-il? Promesse de campagne des élus nationalistes, cette charte est destinée à favoriser l'emploi local.

    «Concrètement cela veut dire que quand il y a deux propositions pour un emploi, eh bien à compétence suffisante, les résidents corses seront favorisés», explique Jean-Guy Talamoni, président de l'Assemblée de Corse.

     

    «Ce n'est qu'une première étape. La charte aura un caractère contraignant lorsqu'elle fera l'objet de protocoles signés entre les entreprises et les syndicats», poursuit-il, cité par Les Echos. La charte vise notamment à adapter les formations professionnelles afin de mettre en adéquation l'offre et la demande d'emploi. Objectif? Faire diminuer le chômage. La Corse compte actuellement 22.320 demandeurs d'emplois - toutes catégories confondues - et enregistre un taux de chômage proche de 10,5%.

    Une charte illégale?

    Mais pour le préfet de Corse, donner la priorité à l'embauche de Corses - ou de résidents de l'île - pose un problème de légalité. Dans un courrier daté du 15 mai dernier, Bernard Schmeltz rappelle que «toute disposition engageant l'entreprise et visant à favoriser le recrutement ou l'accès à la formation des personnes résidant en Corse ou d'origine corse pourrait être constitutive de l'infraction de discrimination à l'embauche». Avant de poursuivre: «L'implication d'une entreprise dans des actions visant à favoriser ou au contraire à restreindre certains types de recrutement placerait cette dernière dans une situation de forte insécurité juridique et l'exposerait à des poursuites civiles et pénales». Quant au fait de privilégier les demandeurs d'emploi qui maîtrisent la langue corse, le préfet déclare: «Une telle disposition contreviendrait à l'article L.1221-6 du Code du travail». Cet article dispose que «les informations demandées, sous quelque forme que ce soit, au candidat à un emploi ne peuvent avoir comme finalité que d'apprécier sa capacité à occuper l'emploi proposé ou ses aptitudes professionnelles».

    Jean-Guy Talamoni assimile les propos du préfet de Corse à des «menaces» et les juge contraires aux intérêts corses.

     

    Reste aussi à convaincre les entreprises et l'ensemble des syndicats à adhérer à cette charte. La CGT n'y est pas du tout favorable tout comme le Medef, pour qui favoriser l'emploi local à compétence suffisante, et non à compétence égale, est une entrave à la liberté de recrutement, voire une entrave à l'efficacité des entreprises. Les entrepreneurs qui signeront cette charte s'engageront pour deux ans. Pour évaluer l'efficacité de la mesure, un bilan d'étape sera réalisé à l'issue de la première année.

  • Lettre ouverte aux candidats Front national

     

    En politique, on ne peut pas tout faire en même temps. Il faut choisir. Hiérarchiser. Prioriser. 

    Ancien député européen, essayiste.

    Président de Polémia.

     
     
     Madame, Monsieur, 

    Vous vous êtes porté(e) candidat(e) « pour défendre la France » « avec Marine ».

    Le Front national a longtemps porté avec courage ses fondamentaux : l’arrêt de l’immigration, la mise en œuvre de la préférence nationale, le primat du droit de la filiation dans le Code de la nationalité, une politique familiale généreuse et encourageant la vie, et plus globalement la défense de l’identité civilisationnelle de la France. 

    L’immigration de masse se presse aux frontières maritimes de l’Europe. L’islamisation (halal, voile islamique, mosquées, ramadan) progresse à grands pas dans nos villes et nos villages. Jamais la question du Grand Remplacement démographique et civilisationnel ne s’est posée avec autant d’acuité. 

    Curieusement, c’est le moment que semble avoir choisi la direction du FN pour placer ces questions identitaires (gênantes ? malséantes médiatiquement ?) au second plan. 

    Lors de son étrange débat avec Emmanuel MacronMarine Le Pen s’est emberlificotée dans les questions économiques et monétaires sans même utiliser la « question blanche » pour parler d’immigration. Étrange, vraiment étrange. 

    Il faut dire que son vice-président, Florian Philippot, a utilisé la dernière semaine de campagne présidentielle pour insister sur l’économie. Il a même promis que si Marine était élue, « les Français paieraient leur baguette de pain en francs d’ici huit mois ». Waouh! Et les Françaises (?) leur burka ?

    Et pour le cas où l’on n’aurait pas bien compris, Philippot a ensuite fait un chantage à la démission dans l’hypothèse où la sortie de l’euro ne serait pas l’alpha et l’oméga du programme frontiste. 

    C’est son droit de le penser.

    Comme c’est le droit de ses très proches collaborateurs – souvent investis dans les meilleures circonscriptions législatives – de le penser. 

      C’est aussi le droit des électeurs de le savoir. Et de savoir s’ils partagent ou non les mêmes priorités que les candidats qui se présentent à leurs suffrages. 

    En politique, on ne peut pas tout faire en même temps. Il faut choisir. Hiérarchiser. Prioriser. 

    Ma question est donc la suivante : quelle est, pour vous – en tant que candidat du FN aujourd’hui, député éventuellement demain, et cadre du FN participant à ses instances démocratiques -, la priorité n° 1 : l’arrêt de toute immigration nouvelle ou la sortie de l’euro ? 

    À question simple et binaire, réponse simple et binaire. Les électeurs attachés à l’identité française y ont droit.

    Répondez sans faux semblant ! 

    Gardez-vous de vous abstenir de répondre car cela serait courir le risque d’encourager vos électeurs à s’abstenir à leur tour ou… à aller voir ailleurs. 

    Pardon d’avoir mis les points sur les « i ». Ou plutôt sur le « i » de l’identité, mais, à l’échelle de l’Histoire, c’est la seule question qui vaille. Ce n’est pas le cours du sesterce qui a fait tomber l’Empire romain, ce sont les grandes invasions! 

    PS : chacun peut relayer vers le candidat FN de sa circonscription – via courriel, Twitter ou Facebook – la question suivante : « Pour vous, la priorité des priorités, c’est l’arrêt de toute immigration nouvelle ou la sortie de l’euro ? »

  • Pourquoi Richard Ferrand doit démissionner, par Ivan Rioufol

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    Le “nouveau monde” singe l’ancien. La macromania – cette pensée unique relayée par une presse unique qui annoncent le parti unique – se montre incapable de la moindre autocritique. Elle devient une sorte de “macrocrature”, c’est-à-dire une démocratie réservée aux membres du club : rien n’existe en dehors du sérail.

    C’est particulièrement visible dans l’affaire Richard Ferrand. Le ministre de la cohésion des territoires, un des piliers d’En Marche !, n’avait pas de mots assez cruels contre François Fillion. Il l’avait accusé d’avoir “souillé tous les élus de la République” avec ses histoires de costumes, de népotisme, de contrats dans sa société de conseil. Or voici que Ferrand reprend à son tour les indignations du candidat LR, pour se disculper lui-même d’avoir embauché son fils comme assistant parlementaire et, surtout, d’avoir pistonné sa compagne, avocate, dans une fructueuse affaire immobilière liée à sa position de l’époque de directeur général des Mutuelles de Bretagne.

    Ce lundi, dans Le Parisien, l’avocat à l’origine de l’opération immobilière parle d’une “manœuvre” qui l’”avait beaucoup choqué”. Alors que Ferrand assure n’avoir pas été partie au contrat, la promesse de vente du bien incriminé a bien été signée par lui. Favoritisme, népotisme, enrichissement sans cause sont les moindres griefs qui peuvent être faits au ministre donneur de leçons de morale. Ne serait-ce que par cohérence et honnêteté intellectuelle, il devrait démissionner.

    Les histoires d’arroseurs arrosés sont toujours plaisantes. Ferrand, trempé jusqu’à l’os, persiste à se dire “honnête”. L’arrogance est la marque de fabrique de la macrocrature. Elle a même déteint sur les petites mains, à lire la justification qui avait été donnée par le cabinet de Ferrand pour justifier l’emploi du rejeton : “Je vous invite à aller faire un tour en Centre Bretagne. Ce n’est pas simple de trouver un jeune, volontaire, pour travailler cinq mois, qui sait lire et écrire correctement, aller sur internet”. Ferrand s’est désolidarisé par la suite de cette formulation. Il n’empêche : elle dit bien le mépris de classe qui se devine chez ces hauts technocrates, hauts diplômés, hauts techniciens, hauts financiers, pour les ploucs de Centre Bretagne ou d’ailleurs, présumés illettrés sinon alcooliques.

    En réalité, cette élite qui se pousse du col ferait mieux d’atterrir rapidement avant de s’enfoncer dans les sables mouvants d’une politique de moralisation nombriliste. Répétons-le : la vraie morale, c’est le courage de la vérité. Elle devrait inviter d’ailleurs le chef de l’Etat à dévoiler les noms des plus riches donateurs qui ont financé sa campagne (15 millions d’euros au total) afin d’écarter les soupçons de conflits d’intérêts pouvant dicter certains aspects de sa politique. Il est vrai que cette suggestion, déjà faite ici, n’a reçu aucun écho de l’opposition. Celle qui n’a pas rejoint En marche ! reste couchée.

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 29 mai et repris du blog d’Ivan Rioufol

  • JOURNAL TVL DU MARDI 30 MAI

  • VIDEO - Le Maître des serpents

    2014

    A voir absolument !

  • Hidalgo revient sur sa parole: elle AUTORISE par des tweets le festival interdit aux Blancs dans les "lieux privés"

     

    29/05/2017 – 15h50 Paris (Breizh-Info.com) – Aussi incroyable que cela puisse paraître, le maire socialiste de Paris Anne Hidalgo a décidé de revenir sur ses condamnations fermes du festival « afroféministe » Nyansapofest, qui se tiendra le 28 juillet prochain à Paris.

     

    Ce festival est vivement attaqué car plusieurs espaces du festival seront expressément interdits aux Blancs.

    Poussée à réagir par une mobilisation énorme sur les réseaux sociaux, le maire de Paris avait demandé l’interdiction du festival.

    Mais retournement de situation avec cette série de tweets:

      « Festival #Nyansapo : à la suite de mon intervention ferme hier auprès des organisateurs, une solution claire a été établie.
    Le festival organisé dans un lieu public sera ouvert à tous. Des ateliers non-mixtes se tiendront ailleurs, dans un cadre strictement privé.
    Cette clarification doit permettre au festival #Nyansapo de tenir son rôle: contribuer à renforcer la lutte contre le racisme et le sexisme.
    #Paris est une ville mixte et je continuerai à veiller que cela reste le cas dans les lieux publics . »

    Le maire de Paris a donc décidé de lutter contre le racisme en autorisant des réunions interdites à des personnes à cause de leur couleur de peau. Concrètement, Anne Hidalgo vient tout simplement d’autoriser l’apartheid dans les lieux privés de la capitale.

    NdB: Ne soyons pas étonnés par ce revirement... d'ailleurs nous ne le sommes pas!