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GAELLE MANN - Page 169

  • Manchester : le terrorisme islamiste poursuit sa guerre contre l'Europe

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    Des officiers de police aident une jeune fille blessée dans l'attentat, lundi soir à Manchester. Crédits photo : Goodman/LNP/Shutterstoc/SIPA/Goodman/LNP/Shutterstoc/SIPA

    REPORTAGE - L'État islamique a revendiqué l'attentat suicide qui a fait lundi soir au moins 22 morts, dont de nombreux mineurs, à la sortie d'un concert de la chanteuse pop Ariana Grande.

    De nos envoyés spéciaux à Manchester

    Le quartier nord de Manchester a des allures de ville fantôme. Un silence lourd s'est imposé. Un vaste périmètre de sécurité interdit tout véhicule dans un rayon de plusieurs centaines de mètres autour de la Manchester Arena, où 22 personnes ont perdu la vie et 59 ont été blessées lundi soir.

    Le lendemain matin, ce quartier populaire est sous le choc. De rares passants longent les murs, mis à part des nuées de journalistes. La gare Victoria, contiguë à la salle de concert, est fermée, scène de crime passée au peigne fin. Soudain, un groupe de jeunes déboule dans une rue. Le grand centre commercial Arndale est évacué. «Quelqu'un a entendu une détonation et a crié, on a vu des gens s'enfuir en courant», raconte une vendeuse. Fausse alerte? Une personne est arrêtée, sans lien avec les événements de la veille. Au sud de la ville, les gens se mettent à courir au son d'une explosion qui fait trembler une maison. Un engin délibérément déclenché par la police. Les nerfs sont à cran. Des hélicoptères font du surplace dans le ciel. Des spectateurs du concert, valise à la main, sont pressés de rentrer chez eux, loin de cette scène de cauchemar. Jenny Rayson, 18 ans, venue avec sa sœur Alexandra, 19 ans, de Middlesbrough, à l'autre bout du pays, laisse couler une larme sur son maquillage. Elles ont passé la nuit cloîtrées dans leur chambre de l'Holiday Inn, à surfer nerveusement sur les réseaux sociaux. Elles avaient acheté leurs billets pour le concert d'Ariana Grande, l'idole des ados, il y a plus d'un an. Elles étaient assises près de la scène. Le concert venait de finir, vers 22 h 30. Les lumières s'étaient rallumées. «On a entendu un grand bruit. On a d'abord pensé que quelque chose était tombé, raconte Jenny. Puis ça a été la bousculade, les gens poussaient. Près de la sortie, j'ai vu quatre adolescentes au sol couvertes de sang. J'ai compris.»

    La plus grande salle couverte d'Europe

    Avec ses 21.000 places, la Manchester Arena est la plus grande salle couverte d'Europe. L'explosion aurait eu lieu dans le foyer, près des buvettes et des escaliers qui mènent à la gare. C'est l'attentat terroriste le plus sanglant sur le sol britannique depuis les explosions dans les transports en commun de Londres en 2005 qui avaient fait 52 morts.

    Selon la police de Manchester, il s'agirait d'un attentat suicide commis par un individu isolé au moyen d'une bombe artisanale. La police a identifié l'auteur, Salman Abedi, 22 ans, mais cherche encore à vérifier s'il a agi seul ou avec l'aide de complices. Un homme de 23 ans a été arrêté dans le sud de Manchester dans le cadre de cette enquête.

    L'État islamique a revendiqué l'attentat. Dans un communiqué, publié via son organe de communication Amaq, il précise qu'«un soldat du califat a placé une bombe dans la foule» lors du concert. Le groupe djihadiste menace d'autres attaques.

    Dans la Manchester Arena, c'est la panique. Des dizaines de corps gisent. Les secours arrivent très vite. 400 policiers sont mobilisés dans la nuit. Certains, armés, sillonnent les alentours à la recherche de terroristes. 60 ambulances, sirènes hurlantes, évacuent les blessés vers huit hôpitaux. Les rescapés se réfugient dans des hôtels proches de la salle. De nombreux gamins - gamines, surtout, d'ailleurs - à deux, en bande, ou avec des parents. Des mères, dévorées d'angoisse, cherchent des nouvelles de leurs enfants.

    Parmi les victimes, Georgina Callander, 18 ans, Saffie Rose Roussos, 8 ans, venue avec sa mère et sa sœur, et John Atkinson, 26 ans, ont été identifiés. De nombreux enfants ont été fauchés par la barbarie. Une cellule d'aide aux spectateurs et aux familles des victimes est mise en place à l'Emirates Stadium. Le staff d'Ariana Grande fait savoir que la chanteuse est saine et sauve. Sur Twitter, elle se dit «brisée».

    Tenue au courant tout au long de la nuit, la première ministre Theresa May tient une réunion de crise en début de matinée avec ses principaux ministres et chefs des services de sécurité. La présence policière est renforcée, notamment à Londres. La campagne électorale pour les élections législatives, prévues le 8 juin, est suspendue sine die. Le chef de l'opposition, Jeremy Corbyn, s'entretient à 4 heures du matin avec sa rivale et tous les dirigeants politiques offrent leur compassion. L'union sacrée prend le pas sur les escarmouches politiques.

    Sur le perron de Downing Street, Theresa May dénonce une «attaque terroriste sans pitié», parmi les «pires» vécues par le Royaume-Uni. Un attentat qui se distingue par «sa lâcheté lamentable et écœurante, visant délibérément des enfants et des jeunes innocents, sans défense, qui auraient dû passer l'une des meilleures soirées de leur vie». Elle prend ensuite la direction de Manchester pour remercier police et personnels hospitaliers, avant de présider un nouveau conseil de sécurité dans la soirée.

    La reine Elizabeth condamne un acte «barbare» et offre sa «plus profonde sympathie à tous ceux qui ont été affectés par ce terrible événement». Une minute de silence est observée lors d'une garden party à Buckingham Palace. De nombreux témoignages de solidarité affluent du monde entier, de Donald Trump à Emmanuel Macron.

    Manchester la rebelle, rivale sous-estimée de Londres

    Devant la tragédie, on célèbre l'esprit de Manchester. Manchester la rebelle, rivale sous-estimée de Londres, berceau de la révolution industrielle, du groupe de rock Oasis, de la house music et d'une chaleur humaine particulière. «À Manchester, on est fait de colle. On se rassemble quand ça compte», dit AJ Singh, un chauffeur de taxi qui a raccompagné gratuitement des gens chez eux lundi soir. Le centre de transfusion sanguine de la ville refuse du monde: des dizaines de personnes se sont mises à y faire la queue.

    Mardi après-midi, les alentours de la salle de concert sont toujours bouclés et le périphérique désert. Mais le centre-ville revit. Le centre commercial Arndale, frappé par l'IRA en 1996, a rouvert ses portes. La pelouse de Piccadilly Gardens grouille d'habitants et touristes venus profiter des rayons du soleil. Çà et là, panneaux publicitaires et vitrines arborent avec fierté des messages de soutien «We love MCR» («Nous aimons Manchester»). «On doit faire avec», philosophe Nick, un Londonien de 29  ans qui habite ici depuis plusieurs mois. «Écœuré» et un peu «stressé», il se dit toutefois «en quelque sorte habitué», venant de la capitale britannique frappée par le terrorisme. Il ne sait pas si Manchester était assez préparée pour faire face à ce genre d'attaque, mais il admet une chose: «Cela vient encore une fois nous rappeler qu'on n'est en sécurité nulle part.»

    Aisha, 22 ans, est née et a grandi à Manchester. Elle n'avait pas le choix: elle devait sortir faire une course avec son bébé. Un peu rassurée par la forte présence policière, elle confie ne pas vouloir s'attarder. «J'ai peur, j'ai peur pour lui, dit-elle, les doigts crispés sur la poussette. Je suis tellement attristée. Il faut que l'on prenne le temps de penser à ceux qui ont perdu un être cher dans ce drame.»

    Andy Burnham, le tout nouveau maire travailliste de la ville, a félicité les habitants qui ont «ouvert leurs portes à ceux qui cherchaient refuge». En début de soirée, ils étaient des milliers à se rassembler devant l'hôtel de ville, en hommage aux victimes et en soutien à leurs familles. Représentants religieux et politiques étaient présents à la tribune, la ville tenant à afficher sa diversité et son unité. Une minute de silence, un poème, et une clameur débordant sur les rues alentours: «Manchester! Manchester! We Love Manchester!»

  • Londres: de l'incident à l'attentat

  • Attentat de Manchester :22 morts - Daech revendique l'attaque

    http://www.leparisien.fr/faits-divers/attentat-de-manchester-daech-revendique-l-attaque-23-05-2017-6976278.php

  • JOURNAL TVL DU MARDI 23 MAI

  • Attentat terroriste à Manchester : deux explosions pendant un concert, 19 morts et 50 blessés (MàJ)

     

    1h34

    Au moins 19 morts et une cinquantaine de blessés sont à déplorer après « l’incident grave » qui s’est produit lundi 22 mai à la Manchester Arena, au Royaume-Uni, une salle où se produisait la chanteuse américaine Ariana Grande, a annoncé la police locale, qui évoque un « possible acte terroriste ». (Le Monde)

    Selon des officiels britanniques, il s’agirait d’un « attentat-suicide ». (NBC News)

    « Deux bombes ont explosé à la Manchester Arena, contenant des clous »

     

    NdB: après les lendemains qui chantent, les "aujourd'hui qui explosent" !

  • Manchester : des morts et des blessés après une explosion lors d'un concert d'Ariana Grande

     Par Le Figaro.fr avec Reuters

    • Mis à jour
    • Publié
    Des morts et des blessés sont à déplorer après une explosion qui s'est produite lundi à la Manchester Arena, une enceinte où se produisait la chanteuse américaine Ariana Grande, a annoncé la police de Manchester.
    La police avait auparavant indiqué être intervenue après avoir été informée qu'une explosion s'était produite.
    "Nous étions en train de partir et nous venions d'atteindre la porte lorsqu'une énorme explosion s'est produite, tout le monde s'est mis à crier", a déclaré à Reuters Catherine Macfarlane, une des spectatrices.
    "C'était une énorme explosion, vous pouviez la ressentir dans votre poitrine. Cela a provoqué un chaos, tout le monde courrait, criait et cherchait tout simplement à partir.
    Ariana Grande est indemne, a déclaré un de ses porte-parole.
    Inaugurée en 1995, la Manchester Arena a une capacité de 21.000 spectateurs, selon son site internet. Elle revendique le statut de plus grande de spectacle couverte d'Europe.
     
    Plus d'informations à venir...

  • URGENT - Plusieurs explosions entendues lors d'un concert à la Manchester Arena créent la panique (IMAGES)

     

     
     

    Les médias britanniques rapportent que plusieurs explosions ont été entendues le 22 mai à la fin du concert de la chanteuse Ariana Grande qui se produisait à la célèbre Manchester Arena, une salle de concert de 21 000 places.

    La situation est très confuse aux abords de la Manchester Arena. Dans la nuit du 22 au 23 mai, plusieurs explosions ont été entendues à la fin du concert de la chanteuse Ariana Grande qui se produisait dans cette salle de spectacle pouvant accueillir 21 000 personnes. Un mouvement de panique a pu être observé parmi les spectateurs. 

    RT

  • Donald Trump oublie de serrer la main tendue de Benjamin Netanyahou, la série continue (VIDEOS)

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    Donald Trump et Benjamin Netanyahou le 22 mai 2017, photo ©REUTERS/Jonathan Ernst

    Le président américain est en passe de devenir célèbre pour ses poignées de main ratées. Soit qu'il oublie, soit qu'il y mette trop d'énergie. Le Premier ministre israélien vient de rejoindre la liste.

    Il doit y avoir une explication. Peut-être une question d'hygiène. Ou alors une grande distraction que l'on pourrait attribuer à un cerveau concentré sur l'avenir du monde. Quoi qu'il en soit, à l'issue de leur rencontre ce 22 mai, Donald Trump, l'air absent, a pris congé du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou sans lui serrer la main.

    Certainement au courant des épisodes précédents attestant de cette incapacité du président américain, le dirigeant hébreu n'en a pas paru plus surpris que cela, attendant patiemment, sans s'offusquer, que Donald Trump reprenne ses esprits. Avec pour résultat une poignée de main particulièrement appuyée, et un protocole respecté.

    RT

  • Harcèlement de rue à La Chapelle-Pajol : Caroline De Haas propose des «trottoirs plus larges»

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    Caroline de Haas est candidate à la députation dans la 18e circonscription de Paris
     

    Alors qu'Anne Hidalgo a annoncé le renforcement des contrôles de police dans ce quartier parisien où les riveraines sont victimes de harcèlement, la candidate féministe aux législatives propose d'augmenter l'éclairage et la taille des trottoirs.

    Le 18 mai, la publication d'un article du Parisien, faisant état du harcèlement de rue dont sont régulièrement victimes les femmes dans le quartier de La Chapelle-Pajol, à Paris, n'en finit plus de faire réagir responsables et activistes politiques. Lors d'une interview sur France Info le 21 mai, la militante féministe Caroline De Haas a proposé d'«élargir les trottoirs» ou encore de «mettre de l'éclairage» pour résoudre ce problème. 

    Réfutant l'idée selon laquelle le problème du harcèlement de rue envers les femmes serait spécifique à La Chapelle-Pajol, elle a en outre assuré : «Dans tous les quartiers où il y a un problème d'espace [...] il y a des violences à l'encontre des femmes.»

    Outre son activisme féministe, Caroline De Haas est candidate aux législatives dans le XVIIIe arrondissement de Paris, soutenue par le Parti communiste français (PCF), Europe Ecologie Les Verts (EELV) et Nouvelle Donne.

    RT

    NdB: Je crois qu'il n'y a pas besoin d'insister sur la crétinerie de cette proposition!

  • JOURNAL TVL DU LUNDI 22 MAI

  • Malgré les mensonges de la presse, l’imposture Najat Belkacem éclate chez Ruquier

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Malgre-les-mensonges-de-la-presse-l-imposture-Najat-Belkacem-eclate-chez-Ruquier-45837.html

  • VIDEO - Marine Le Pen taxe Sylvie Goulard, ministre des armées, d' européiste fanatique


    Marine Le Pen s’en prend à Sylvie Goulard... par Lopinionfr

  • Quand les bandes ethniques terrorisent les Parisiennes – par Gabriel Robin

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    Remarquez les femmes voilées place de la Chapelle

     

     

    Il est sidérant de constater que de véritables « no go zones » interdites au sexe féminin puissent exister en plein Paris.

    Relayée par Le Parisien, la pétition lancée par les femmes du quartier Chapelle-Pajol, situé dans les dixième et dix-huitième arrondissements de la capitale, a suscité une vive émotion médiatique. Il est sidérant de constater que de véritables « no go zones » interdites au sexe féminin puissent exister en plein Paris.

    En cause : des bandes ethniques constituées d’hommes seuls qui terrorisent les passantes, leur interdisant l’accès aux cafés et aux restaurants. Dans le quartier, une faune sévit, s’arrogeant tout pouvoir sur les Parisiens honnêtes. Trafiquants de drogues, « migrants » échoués là, Africains écoulant des sacs Vuitton contrefaits et « jeunes » méprisent les riveraines, assimilées à du bétail, à un butin de guerre.

    « Désormais, la place de la Chapelle, la rue Pajol, la rue Philippe-de-Girard, la rue Marx-Dormoy, la station de métro et le boulevard de la Chapelle sont abandonnés aux seuls hommes : plus une femme, dans les cafés comme la Royale ou le Cyclone. Pas un enfant dans le square Louise-de-Marillac. Certaines d’entre nous se terrent chez elles »

    ont ainsi déclaré les pétitionnaires. Des mots que l’on croyait réservés à des pays plus arriérés que le nôtre, aux mœurs frustes et grossières. Malheureusement, l’immigration de masse et le laxisme auront très vite raison du mode de vie français si nous n’agissons pas.

    Toutefois, ces faits ne sont pas nouveaux. Quand ils avaient cours dans les banlieues et les périphéries urbaines, ils n’émouvaient pas beaucoup les belles âmes qui s’égosillent sur les plateaux de télévision. Contrairement aux habitants de notre plus grande métropole, les Français les plus modestes n’ont jamais eu de représentants pour dévoiler les sévices qu’ils subissaient…

    Quand un auteur du Club Mediapart écrit que la surpopulation masculine du quartier « peut créer un sentiment de malaise pour les femmes », ajoutant que le « non-aménagement public accentue le sentiment d’insécurité » dans une zone où on aurait « du mal à tenir sur un trottoir » ; il oublie qu’on a longtemps expliqué aux Français l’antithèse de son raisonnement, c’est-à-dire que les gamins des « quartiers populaires » étaient violents parce qu’ils habitaient des zones tenues à l’écart des activités de la ville…

    L’expression « sentiment d’insécurité » devrait, d’ailleurs, être bannie du champ lexical des hommes et des femmes politiques, tant elle est méprisante pour ceux qui sont les victimes du désordre public généralisé qui s’est emparé de la France depuis plus de 30 ans. Cette novlangue est le cache-sexe de la faillite de l’État à assurer sa mission première, telle que définie par ceux qui l’ont imaginé – les Bodin, Machiavel et Hobbes : protéger !

    Les gauchistes névrotiques sont en train de monter leur croix. Obnubilés par Big Other, victime ontologique de l’Occident, de la France ou du patriarcat, ils lui passent tout et finiront par y passer. À Paris, certains d’entre eux ont même eu l’outrecuidance d’insulter les femmes pétitionnaires, de les culpabiliser en les qualifiant de « racistes ». Ils sont pires que les agresseurs, tant parce qu’ils sont à l’origine de leur venue que parce qu’ils offrent un cadre idéologique au laisser-faire.

    Gabriel Robin

    Texte repris du site Boulevard Voltaire

  • L'infâme Dr Lecoqierre incite au viol des jeunes femmes qui votent FN

    http://www.fdesouche.com/855033-maitrisons-sexuellement-les-petites-frontistes-decerebrees-maj-le-medecin-sanctionne-par-lordre-choisit-de-deplaquer

  • Najat Vallaud-Belkacem - On n'est pas couché - 20/05/2017


    Najat Vallaud-Belkacem - On n'est pas couché 20... par onpc

    Un plaidoyer qui ne convainc pas...

  • Inde. Il tente de la violer, elle lui tranche le pénis

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    • Mis à jour le

     

    • Les faits se sont déroulés dans l’Etat du Kerala, au sud de l’Inde
    • L’étudiante indienne a indiqué que l’homme l’agressait depuis des années

    Cet agresseur sexuel ne devrait pas recommencer. Un homme de 54 ans a eu le pénis coupé par une étudiante qu’il tentait de violer en Inde, dans l’Etat du Kérala, a annoncé la police samedi.

    La jeune femme de 23 ans se trouvait dans sa maison de Thiruvananthapuram, la capitale de l’Etat de Kerala, tard vendredi, a-t-elle raconté, lorsqu’elle a été attaquée par un homme de 54 ans, qui assurait à sa famille être un gourou religieux.

    Une plainte pour agression sexuelle sur mineure et viol

    « Elle a utilisé un couteau pour se défendre et lui a coupé le pénis », a précisé le responsable de la police de la circonscription G. Sparjan Kumar, joint par téléphone. « L’homme, Hari Swami, a été transporté en urgence dans l’hôpital le plus proche dans un état grave », a-t-il ajouté. Les médias locaux ont ensuite rapporté que ce dernier se trouvait désormais dans un état stable.

    L’étudiante indienne a indiqué que l’homme l’agressait depuis des années, d’après G. Sparjan Kumar, qui a enregistré une plainte contre Hari Swami pour agression sexuelle sur mineure et viol.

    >> A lire aussi: Une petite fille de 10 ans violée par son beau-père est autorisée à avorter

    Les parents de la jeune femme ignoraient les faits, selon la police. Elle a « expliqué que ses parents avaient une confiance aveugle en M. Swami, qui avait l’habitude d’être invité pour animer des cérémonies spéciales et de s’attarder dans cette maison, où il l’a agressée », a détaillé G. Sparjan Kumar.

    D’autres agressions de ce genre, impliquant des religieux, ont été déjà été rapportées dans cet Etat du sud de l’Inde. L’année dernière, un prêtre avait été condamné à 40 ans de prison par le tribunal de Kerala pour avoir violé une fille de 12 ans en 2014.

    20Minutes

  • Une citation de Dominique Venner

    Source:
    (fr) Histoire et tradition des Européens : 30 000 ans d'identité, Dominique Venner, éd. Éditions du Rocher, 2004 (ISBN 978-2-268-07308-8), chap. 3 « Une histoire avant l'histoire », sect. « La trifonctionnalité indo-européenne », p. 60 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
     

  • Bobard du jour: 62% de Français contents de Macronix!

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     La cote de popularité du nouveau président Emmanuel Macron atteint 62% et celle de son Premier ministre Edouard Philippe 55%, selon un sondage Ifop dans le Journal du Dimanche.

    A la question “Êtes-vous satisfait ou mécontent d’Emmanuel Macron comme président de la République ?”, 12% ont répondu “très satisfaits” et 50% “plutôt satisfaits”, soit au total 62% de “satisfaits”. A l’inverse 20% se sont déclarés “plutôt mécontents” et 11% “très mécontents”, soit 31% de “mécontents”. 7% ne se sont pas prononcés.

    Interrogés de la même manière sur leur appréciation d’Edouard Philippe en tant que premier ministre, 5% se sont dits “très satisfaits” et 50% “plutôt satisfaits”, soit au total 55% de “satisfaits”. A l’inverse 18% se sont déclarés “plutôt mécontents” et 6% “très mécontents”, soit 24% de “mécontents”. 21% ne se sont pas prononcés.(…)

     

    Le sondage a été réalisé par interview au téléphone les 19 et 20 mai, auprès d’un échantillon de 973 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.

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  • 5000 nouveaux migrants clandestins transférés depuis la Libye vers l’Italie

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    5000 nouveaux migrants clandestins transférés depuis la Libye vers l’Italie
    Posted by La Rédaction on 20th mai 2017
    | 21 views
     

     

    BREIZATAO – ETREBROADEL (20/05/2017) Quelque 5.000 migrants clandestins ont été transférés vers l’Italie entre jeudi et vendredi, y compris pendant la nuit, en Méditerranée, au large de la Libye, au cours de nombreuses opérations organisées par les gardes-côtes italiens et libyens (source).

    Pour rappel, les migrants clandestins ne sont pas récupérés au large de l’Italie mais bien au plus près des côtes libyennes, conformément au plan de colonisation de l’Europe voulue par Bruxelles.

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  • La République en Marche : l’Élysée choisira ses journalistes parce qu’il n’y a plus de journalistes

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    Michel Lhomme, philosophe, politologue ♦

    En marge du premier conseil des ministres, l’Élysée a décidé que le choix des journalistes qui couvriront à l’avenir l’action présidentielle ne sera plus laissé aux rédactions.

    Concrètement, si le chef de l’État se déplace à l’étranger, c’est un ou des journalistes spécialisés en diplomatie qui pourront l’accompagner. S’il effectue un déplacement en France sur le thème de l’éducation, c’est un ou des journalistes spécialisés dans ce domaine qui pourront l’accompagner, ces derniers étant choisis par le secrétariat de la présidence. Il y a donc verrouillage mais de quoi ? De ce qui, depuis longtemps en France,n’était plus de l’information mais de la communication.

    L’Association de la presse présidentielle qui réunit les journalistes chargés de suivre l’actualité de la Présidence de la République , a tout de même demander une entrevue avec les responsables de la communication du Président Macron pour leur soumettre les inquiétudes des rédactions. Plusieurs sociétés de journalistes se sont aussi publiquement inquiétées de ces mesures. Dans son communiqué, directement adressé à Emmanuel Macron, la SDJ  écrit : « Ce n’est pas au Président de la République ou à ses services, de décider du fonctionnement interne des rédactions, du choix de leurs traitements et de leurs regards. Ce choix relève des directions des rédactions et des journalistes qui la composent, qu’ils soient permanents ou pigistes, JRI ou reporters, photographes ou dessinateurs. » Et le communiqué de préciser qu’aucun des prédécesseurs de l’actuel Chef de l’État « ne s’est prêté à ce genre de système, au nom du respect de la liberté de la presse ».

    Totalement construit et fabriqué par la presse, il est étonnant que le Président s’en prenne ainsi directement à celle-ci. La confusion entre communication et journalisme éclate ainsi au grand jour.

    Crédité de 45 % de confiance auprès des Français selon le baromètre des Echos, Emmanuel Macron prend ses fonctions à l’Elysée, avec une cote inférieure à tous ses prédécesseurs. Même chose pour son Premier ministre puisque le député-maire LR du Havre, Edouard Philippe, n’est crédité que de 36% de confiance, situation tout à fait inédite aussi dans la Vème République.

    Commençant aussi bas, le contrôle de la communication gouvernementale s’avère indispensable...

    METAMAG