GAELLE MANN - Page 166
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Marine Le Pen sur RTL: "Je n'envisage pas le départ de Florian Philippot"
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Versailles: conférence de presse d'Emmanuel Macron et de Vladimir Poutine 29 mai 2017
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Vladimir Poutine : «Marine Le Pen a toujours prôné un développement des relations avec la Russie»
© Mikhaïl Klimentiev Source: SputnikMarine Le Pen et Vladimir Poutine à Moscou le 24 marsA l'issue de sa première rencontre avec Emmanuel Macron, le président russe est revenu sur la visite de Marine Le Pen à Moscou durant la campagne. Il a estimé qu'il aurait été «étrange» de ne pas la recevoir, réfutant toute volonté d'ingérence.
Lors de sa conférence conjointe avec Emmanuel Macron le 29 mai à Versailles, Vladimir Poutine a été interrogé sur la visite de Marine Le Pen dans la capitale russe pendant la campagne présidentielle française, le 24 mars dernier. Elle y avait été reçue par le maître du Kremlin.
«Ce n'a pas été sa première visite à Moscou, elle y vient régulièrement», a fait remarquer le chef d'Etat russe. «Nous sommes prêts à accueillir tout le monde. Et quand Marine Le Pen nous a demandé de l'accueillir, pourquoi aurions-nous dû refuser ?», s'est-il ensuite interrogé.
«D'autant plus qu'elle a toujours prôné un développement des relations avec la Russie, cela aurait été étrange de l'avoir rejetée», a poursuivi le dirigeant russe. Il a ajouté qu'il ne considérait pas le point de vue de la présidente du Front national (FN) sur «l'identité des peuples européens et la souveraineté des pays européens» comme dénué de sens.
Vladimir Poutine a par ailleurs vigoureusement réfuté l'idée qu'il s'agissait d'une ingérence dans la politique française, expliquant qu'il avait très bien compris «les réalités» de cette dernière. «Croyez-vous que nous n'étions pas au courant des sondages de l'opinion publique en France, que nous ne voyions pas qui était soutenu par la majorité des Français ?», a-t-il lancé.
Le passage en question commence à 28'30 sur la vidéo ci-dessous.
RT
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Un nouveau missile nord-coréen parcourt 450 kilomètres avant de disparaître en mer du Japon
Source: ReutersLa Corée du Nord a procédé à un nouveau tir de missile balistique, tombé à quelques 300 kilomètres des côtes de l'archipel japonais. La communauté internationale a sévèrement condamné ce nouveau test.
Selon l'état-major sud-coréen, un missile balistique, non identifié mais qui pourrait être de type Scud, a été tiré à 5h09 (heure locale) le 28 mai d'un lieu situé non loin de la ville côtière de Wonsan, en Corée du Nord, en direction de l'est. Il aurait parcouru environ 450 kilomètres avant de disparaître en mer du Japon.
Le porte-parole du gouvernement japonais Yoshihide Suga a déclaré de son côté que le missile était tombé dans la zone économique exclusive japonaise, à quelque 300 kilomètres à l'ouest des îles nippones. Le Premier ministre japonais Shinzo Abe a aussitôt condamné ce nouveau tir et souhaité une «réaction concrète», conjointement avec les Etats-Unis. «Nous ne tolérerons jamais que la Corée du Nord continue ses provocations et ignore les avertissements répétés de la communauté internationale», a-t-il affirmé devant des journalistes.
RT
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VIDEO - Macron ose tout: RT et Sputnik ne se sont pas comportés comme des organes de presse
Ecoutez Micron!
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Anne Hidalgo décide d'interdire le festival «interdit aux blancs», dénoncé par le FN
La maire de Paris a annoncé le 28 mai qu'elle demandait l'interdiction du festival «Nyansapo» qui prévoyait 80% d'espaces «sans mixité», dans une salle appartenant à la mairie de Paris. Le Front national avait évoqué un «acte flagrant de racialisme».
Anne Hidalgo a tranché avant que la polémique n'enfle davantage en décidant d'interdire la festival «Nyansapo». Ce festival «afroféministe européen» a récemment créé la controverse en prévoyant des zones interdites à certaines catégories de personnes, «non racisées».
La maire de Paris a annoncé le 28 mai qu'elle saisirait le préfet de police en vue d'une interdiction de l'événement, censé se dérouler dans un local du XIe arrondissement, appartenant à la mairie de Paris.
Anne Hidalgo a également fait savoir sur les réseaux sociaux qu'elle se réservait la possibilité de poursuivre les initiateurs de ce festival pour «discrimination».
Sur le site internet de l'événement, le collectif afroféministe Mwasi dit «vouloir construire des stratégies et des solidarités durables».
On peut ensuite y lire un extrait du programme de l'événement, organisé «en plusieurs espaces», notamment, un «espace non mixte femmes noires (80% du festival)» ; un espace «non mixte personnes noires» ; un autre, destiné «aux femmes racisées».
Le 27 mai, le Front national, par le biais de son trésorier Wallerand de Saint Just, s'était indigné de la tenue d'un tel événement dans un communiqué, réclamant des «explications» de la part de la maire de Paris.
RT
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Macron trace la voie d'une coopération avec Poutine
- Par Isabelle Lasserre
- Publié le 29/05/2017 à 20:03
Emmanuel Macron a accueilli Vladimir Poutine ce lundi au château de Versailles pour une journée de discussions et de visite culturelle.
La dernière visite prévue de Vladimir Poutine à Paris en octobre dernier avait dû être annulée en raison des différends sur le conflit en Syrie.
Le président français accompagne son homologue dans la galerie des batailles du château. Les deux hommes ont consacré une partie de leur temps à la visite de l'exposition consacrée à Pierre Le Grand. Vladimir Poutine s'est déclaré «très impressionné par la grandeur de la France». Au menu des discussions ont figuré les relations franco-russes, leurs visions respectives de l'avenir de l'Union européenne, la lutte antiterroriste et les crises régionales, l'Ukraine et la Syrie, mais aussi la Corée du Nord et la Libye.
Interrogé sur la question des droits de l'homme en Russie, le président français a rétorqué n'avoir «jamais considéré que, ni la vie politique, ni la diplomatie ne consistaient à commenter soi-même des éléments de thermodynamique». «On partage des désaccords, mais au moins on voit comment construire concrètement une action commune».
Vladimir Poutine a réaffirmé la position russe sur la Syrie, lors d'une conférence de presse conjointe. Les deux présidents ont cependant affirmé que «la lutte contre le terrorisme était leur priorité commune».
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Lors de sa première rencontre avec le président russe, le chef de l'État s'est montré ouvert sur la lutte antiterroriste mais ferme sur les principes.
Envoyée spéciale à Versailles
Ils sont tous deux sensibles aux symboles et présidents d'anciens empires attachés à l'Histoire. Aussi était-il logique que leur conférence de presse soit organisée dans la magnifique galerie des Batailles du château de Versailles, qui célèbre les grands faits d'armes de l'histoire de France. Vladimir Poutine et Emmanuel Macron ont parlé côte à côte devant une magistrale représentation de la bataille de Fleurus, gagnée par le général Jourdan en 1794. Ils avaient auparavant inauguré l'exposition consacrée au tsar Pierre le Grand, prétexte officiel à la rencontre.
Il n'y eut pas entre eux de bataille de poignées de main, comme ce fut le cas jeudi à Bruxelles entre Donald Trump et Emmanuel Macron, dont les corps s'étaient affrontés de manière virile lors de leur premier face-à-face. Mais l'ambiance, à la conférence de presse, était glaciale. Emmanuel Macron était à l'aise, autoritaire, maîtrisant parfaitement ses sujets, et surtout très sûr de lui. Vladimir Poutine paraissait tendu, il avait le visage fermé et des rictus autour de la bouche. Son discours a semblé désincarné. Interrogé sur le manque de chaleur de la rencontre, Emmanuel Macron a évacué le sujet d'un revers de la main. «La diplomatie n'est pas une affaire de chimie personnelle mais consiste à apporter des solutions à des problèmes concrets. La chaleur est dans la pièce et dans l'histoire qui nous entoure. Nous avons eu un dialogue franc et direct. Nous nous sommes tout dit.»
Relancer les relations diplomatiques franco-russes
Il s'agissait pour les deux dirigeants de relancer les relations diplomatiques de leurs pays, malmenées depuis plusieurs années par les sanctions internationales contre la Russie, par l'annulation de la vente des bateaux de guerre Mistral et par le report d'une précédente visite du président russe en octobre, au plus fort de la bataille d'Alep, bombardée par les forces du régime syrien et les avions russes. La guerre, celle des valeurs, mais aussi celles de Syrie et d'Ukraine, fut pourtant bien présente dans la rencontre en petit comité et pendant le déjeuner. Emmanuel Macron se rendait à Versailles en position de force, face à un Vladimir Poutine ayant des choses à se faire pardonner - la visite au Kremlin de Marine Le Pen et les attaques informatiques russes contre le mouvement En marche!. À en juger par leurs mines respectives et la position défensive de Vladimir Poutine, le «rapport de force» auquel s'était préparé le président français tout comme le dialogue «exigeant» et «sans concession» ont bien eu lieu. Tout juste élu, avec déjà à son actif un sans-faute diplomatique la semaine dernière à l'Otan et au G7, Emmanuel Macron a aussi capitalisé sur une conjoncture internationale favorable à la France. Face à Poutine, il avait toute la place pour s'imposer: le Royaume-Uni est aux abonnés absents depuis le Brexit, les États-Unis sont imprévisibles depuis l'élection de Donald Trump, et l'Allemagne est occupée à préparer ses prochaines élections.
«Quand j'ai dit les choses une fois, je n'ai pas pour habitude de les répéter»
Emmanuel Macron
Cette visite de travail a vu défiler les grands dossiers internationaux du moment. L'Ukraine d'abord, où les accords de Minsk sont en panne, bloqués par les tanks russes dans le Donbass. Emmanuel Macron, qui avait affirmé au G7 que «la Russie a envahi l'Ukraine», a appelé de ses vœux une prochaine rencontre du format «Normandie» (France, Allemagne, Russie, Ukraine) pour relancer le processus de paix. Autre sujet de contentieux, la Syrie. Le président français voulait «parler avec la Russie» pour relancer une future «solution politique inclusive». Il considère en effet que la mise à l'écart des Occidentaux sur le dossier, au profit d'un cessez-le-feu parrainé par la Russie, la Turquie et l'Iran, mène à l'échec. Là aussi, le contexte est favorable au retour de la France, qui a toujours exigé le départ de Bachar el-Assad, sur le sujet. Les diplomates croient savoir que Vladimir Poutine ne considère plus que le président syrien puisse incarner une solution pour son pays à terme. Si elle a fait bouger les lignes, l'intervention militaire russe n'a pas permis de relancer le processus politique. Tout le monde, aujourd'hui, a intérêt à sortir de l'impasse. Les deux présidents ont annoncé leur intention de coopérer en matière de lutte contre le terrorisme. Emmanuel Macron s'est dit prêt à faire preuve de pragmatisme, notamment à discuter «avec des représentants de Bachar el-Assad». Mais il a aussi révélé deux lignes rouges de la France, l'utilisation d'armes chimiques et l'accès humanitaire. En cas de violation de la première, les Français, a-t-il prévenu, riposteront immédiatement.
Mais le «dialogue sans concession» s'est aussi appliqué, et c'est plus rare, aux droits de l'homme. Rompant avec la discrétion de François Hollande, Emmanuel Macron a rappelé l'attachement de la France au respect des minorités et du droit des personnes dans la société civile, évoquant même la situation des LGBT… La question des piratages informatiques russes n'a en revanche pas été abordée. Emmanuel Macron préfère l'avenir au passé. «Nous avons parlé de cette question au téléphone après mon élection. Quand j'ai dit les choses une fois, je n'ai pas pour habitude de les répéter», a-t-il affirmé. Sur tous les sujets, les deux présidents ont convenu de «chercher des solutions communes». «Si nous n'avons pas un dialogue franc et sincère, nous n'obtiendrons aucune avancée en Syrie et en Ukraine», a prévenu Macron. Au vu des différends qui les séparent, la partie n'est pas gagnée. «Mais les grandes choses se font dans la durée», affirme Emmanuel Macron.
LE FIGARO
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G7 : Trump court-circuite le texte pro-migrants des mondialistes
"Nous réaffirmons les droits souverains des États à contrôler leurs frontières"
- Publié le : dimanche 28 mai 2017
- Mots-clés : Canada; Donald Trump; États-Unis; Immigration; International; Italie; Justice & Droit; ONG; Royaume-Uni; Union européenne
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- Source : lesechos.fr
- E&R
Pour son sommet du G7, Rome, concerné au premier chef par la question migratoire, avait envisagé un texte séparé sur le sujet. Donald Trump n’en veut pas.
[...]
Le document reposait sur deux principes : responsabilité partagée des pays du G7 et partenariat entre les pays d’accueil et les pays d’origine et de transit. Trois domaines spécifiques devaient faire l’objet d’une attention particulière, à savoir les investissements à réaliser dans les pays d’origine et de transit, la protection des plus vulnérables (femmes et enfants) et la valorisation de l’aspect positif de la mobilité humaine et de l’intégration des migrants. Sur ce dernier point, il était question de leur assurer l’accès aux soins, à l’éducation et au marché du travail dans des conditions décentes.
Ces propositions avaient rencontré le soutien du Canada et du Royaume-Uni.
[...]
Le projet de texte complet qui devait être présenté au G7 de Taormine a tenu jusqu’à la réunion des sherpas des 26 et 27 avril où le représentant américain, ayant reçu des instructions spécifiques de son président, est venu avec une version bien plus courte – deux paragraphes – devant être intégré au communiqué final. Exit le projet italien d’une déclaration annexe. Pire, Washington a clairement signifié à ses partenaires que c’était à prendre ou à laisser. Soit la question des migrations était traitée sous cette forme réduite, soit le communiqué du G7 n’y ferait aucune référence.
« C’est la première fois, dans toute l’histoire du G7, que nous sommes les témoins d’une telle attitude intransigeante d’un des pays membres », s’insurgeaient les ONG.
Ce qui les choque dans la version actuelle du texte c’est la mention explicite que le G7 « reconnaît aussi la nécessité de soutenir les réfugiés aussi près que possible de leur pays d’origine, afin de leur permettre de revenir et de reconstruire leurs communautés d’origine ». Chacun pensera immédiatement au mur que veut construire Donald Trump à la frontière du Mexique pour lutter contre l’immigration illégale. Plus loin, en effet, le texte envisagé indique en l’état : « nous réaffirmons les droits souverains des États à contrôler leurs propres frontières et fixer des limites claires sur les niveaux de migration nette, en tant qu’éléments clés de leur sécurité nationale et de leur bien-être économique ».
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G7 - Echec total pour Macron, total réussite pour Trump
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Fête des Mères 28 mai 2017
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Le Ramadan, une sacrée aubaine pour les commerçantts
À Rungis le 26 mai, personne ne fait le pont. Pour Francis Ochoa, président de Fory Viandes, c’est même un jour particulièrement chargé. En cette veille de Ramadan, il a commencé encore plus tôt que d’habitude, à 2 heures du matin.
"On anticipe les commandes, on commande entre 20 et 30% de plus de produits que d’habitude à nos fournisseurs, mais malgré ça, on est un peu court", explique-t-il. Pendant la période du Ramadan, la viande hallal représente 45% de chiffre d’affaires.
Les chiffres d’affaires bondissent
Au cours de ce mois sacré, les musulmans dépensent en moyenne 394 euros en alimentation, soit 40% de plus qu’en temps normal. Ainsi, les commerces 100% hallal ne désemplissent pas.
"Quand on fait les comptes, on voit qu’on a dépensé plus, tous les jours on achète des choses", explique le client d’une épicerie. La semaine avant le Ramadan, ce commerce double son chiffre d’affaires et ses effectifs.
France3
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Manchester: la police publie deux photos de Salman Abedi l'auteur de l'attentat
La police britannique a publié samedi soir deux photos de Salman Abedi prises par une caméra de surveillance la nuit de l'attentat qu'il a perpétré à Manchester, lançant un appel à témoin pour reconstituer son parcours dans les jours ayant précédé l'attaque.Dans un communiqué commun de la police et de l'anti-terrorisme, les enquêteurs demandent au public de communiquer toute information sur les faits et gestes du kamikaze depuis le 18 mai, date de «son retour au Royaume-Uni».
Une source proche de la famille avait indiqué qu'Abedi se trouvait en Libye quatre jours avant l'attentat. La police allemande a signalé qu'il avait fait escale à Dusseldorf (ouest) à ce moment-là. Abedi, 22 ans, a loué un appartement dans le centre-ville de Manchester, d'où il s'est rendu à la salle Arena. Cet appartement intéresse particulièrement les enquêteurs : ils pensent que «ce pourrait bien être l'endroit où a été assemblé l'engin» explosif utilisé pour l'attentat, selon le commissaire Ian Hopkins et le responsable de l'anti-terrorisme Neil Basu.
Abedi s'est fait exploser en faisant détoner un engin qu'il portait dans un sac à dos à l'intérieur de la salle Arena, à la sortie d'un concert de la chanteuse pop américaine Ariana Grande, faisant 22 morts et 116 blessés, dont bon nombre d'enfants et d'adolescents. L'attentat a été revendiqué par le groupe jihadiste État islamique (EI), qui multiplie les attaques en Europe alors qu'il enregistre des reculs sur son terrain en Syrie et en Irak.
Quatorze perquisitions sont en cours, ont indiqué les enquêteurs, et onze personnes ont été placées en garde à vue. Ils assurent avoir établi l'identité du kamikaze«en deux heures». Lors de l'enquête, qui mobilise un millier de personnes, les forces de sécurité ont collecté «des informations intéressantes sur Abedi, son entourage, ses finances, les endroits où il s'est rendu, la façon dont l'engin explosif a été fabriqué et le complot plus vaste» ayant entouré l'attaque. Le père et un frère d'Abedi ont été arrêtés en Libye. Son père était un membre du Groupe islamique combattant libyen (Gicl) très actif dans les années 1990, et opposant au régime du dictateur Mouammar Kadhafi, renversé en 2011, a indiqué jeudi un responsable de la sécurité à Tripoli.
Le Parisien - 27/05/17
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Colombey-les-deux-églises: la tombe du général de Gaulle a été vandalisée
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Mort de Zbigniew Brzezinski, l’âme damnée de l’empire américain