Hollande: "Je vous l'affirme ici, j'agis et j... par BFMTV
Pathétique...
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Hollande: "Je vous l'affirme ici, j'agis et j... par BFMTV
Pathétique...
5 septembre 2014 par admin4 - Contre-info.com
1755 : début de l’expropriation et de la déportation impitoyable des Acadiens par les Anglais, connue sous le nom de « Grand dérangement ». Les Acadiens, Français installés en Amérique du Nord, peuplaient plusieurs régions du Canada actuel. La plupart d’entre eux furent victimes de ce « nettoyage ethnique » par les Britanniques : 15 000 déportés environ, dont beaucoup mourront au cours de ces tribulations, et dont de nombreuses familles furent dispersées.
1792 : fin des « Massacres de septembre », commencés trois jours plus tôt.
1 500 « suspects » ont été exécutés par la République dans les prisons parisiennes.
1793 : Bertrand Barrère de Vieusac, président de la Convention, déclenche une nouvelle vague d’arrestations. Il fait voter un décret stipulant : « la Terreur est à l’ordre du jour ». 12 000 personnes périront sans jugement parmi les 40 000 qui disparurent pendant la période.
1914 : héraut de Jeanne d’Arc et chantre de la patrie charnelle, l’écrivain Charles Péguy, lieutenant au 276e RI, tombe d’une balle en pleine tête à Villeroy (Seine-et-Marne), à la veille de la bataille de la Marne, alors qu’il entrainait ses hommes.
Après sa mort, Maurice Barrès écrit :
« le voilà entré parmi les héros de la pensée française.
Son sacrifice multiplie la valeur de son œuvre.
Honneur au maître Charles Péguy.
Il passe devant tous ses émules. Ci-gît la gloire des jeunes lettres françaises.
Mais plus qu’une perte, c’est une menace ; plus qu’un mort, un exemple, une parole de vie, un ferment.
La renaissance française tirera partie de l’œuvre de Péguy. »
Source via T. de Chassey
Petit recueil de Tweets pour la rentrée scolaire. À l’image de la ministre de la (ré)Éducation nationale ?
Un accord de cessez-le-feu a été signé vendredi à Minsk, en Biélorussie, entre Ukrainiens et séparatistes prorusses, selon des sources séparatistes. L'agence russe Interfax fait état d'un protocole prévoyant l'entrée en vigueur d'un cessez-le-feu ce vendredi à 18h00.
Le plan de paix pour l'est de l'Ukraine doit prévoir le retrait des troupes russes de son territoire, a pour sa part déclaré le Premier ministre ukrainien Arseni Iatseniouk en appelant les Occidentaux à se porter garants d'un tel accord.
"Il faut rétablir la paix mais pas sur la base d'un plan proposé par le président russe, mais sur la base de celui proposé par le président ukrainien, qui doit être soutenu par les Etats-Unis et l'Union européenne. Nous ne pourrons seuls réussir face à la Russie", a indiqué M. Iatseniouk.
Ce plan de paix doit prévoir "un cessez-le feu, le retrait des troupes russes et le rétablissement du contrôle de la frontière", a-t-il ajouté.
Ce n’est pas seulement la première école musulmane du Loiret, c’est une école ouverte dans l’illégalité la plus complète.
« Le maire Nicolas Bonneau (PS) a constaté, ce lundi, l’accueil de public dans les locaux. Il a ensuite adressé un courrier aux services de l’Etat pour demander le passage d’une commission de sécurité. »
On attend la suite avec intérêt. Mais elle sera sans surprise : on va discrètement régulariser tout cela. Sinon ce serait de l'islamophobie.
Le blog d'Yves Daoudal - 04 09 14
Ecrit le 3 sept 2014 à 15:57 par Eric Martin dans Nos brèves
Président con des « sans-dents ».
Le Monde publie des extraits du livre Merci pour ce moment, dans lequel l’ancienne Première dame raconte un repas de famille. François Hollande se moque alors des origines modestes de sa concubine du moment. Valérie Trierweiler rapporte :
Il s’est présenté comme l’homme qui n’aime pas les riches. En réalité, le président n’aime pas les pauvres. Lui, l’homme de gauche, dit en privé : ‘les sans-dents’ très fier de son trait d’humour.
Et les pauvres, ils peuvent l’appeler comment, François Hollande ? Le sans-couilles ?
NDF
Par Bruno_30 le 03/09/2014
Addendum vidéo (19/20 – France 3 Languedoc-Roussillon – 03/09/14)
A l’occasion de la rentrée scolaire, le maire frontiste de Beaucaire s’est fendu d’un communiqué concernant le traitement des élèves étrangers. « Dans un souci d’aider le gouvernement dans sa recherche d’économies », ironise Julien Sanchez. Le maire pointe une dépense dont il se serait bien passée : l’accueil des élèves « allophone ». Les enfants étrangers ne parlant pas le Français.
(12/13 – France 3 Languedoc-Roussillon – 03/09/14)
"Afin d’aider le gouvernement dans sa recherche d’économies à quelques heures de la rentrée des classes, je tiens, en tant que Maire, à alerter le gouvernement et l’opinion publique sur le coût pour les contribuables et la répercussion sur le niveau des enseignements offerts à nos enfants de l’accueil d’élèves dits allophones (autrefois appelés primo-arrivants) dans les écoles françaises.
À Beaucaire (16 000 habitants), ce sont ainsi 22 nouveaux élèves étrangers ne parlant pas français que je suis contraint par la circulaire n°2012-141 du 02/10/2012 d’accueillir dans les écoles de ma ville (du CP au CM2) en cette rentrée scolaire, sans compter les 9 élèves de maternelle.
Pour la plupart originaires du Maghreb et/ou de nationalité espagnole grâce à l’Europe passoire et laxiste en matière de naturalisations ou de droit du sol, ces élèves passent pendant 1 an (durée du dispositif par élève) la moitié de la semaine dans des classes classiques avec les enfants français ou francophones et la moitié de la semaine dans des structures spécialement créées pour eux.
Ces structures, appelées UPE2A, voient des enseignants (recrutés spécialement et payés par l’Education Nationale via nos impôts pour l’occasion) s’occuper exclusivement de ces enfants (en écoles élémentaires uniquement) pour leur apprendre le Français."
[...]
Les réactions ne se sont pas fait attendre :
Jean-Paul Boré, conseiller régional (DVG) du Languedoc-Roussillon, en appelle au préfet en envoyant une lettre :
« Il me semble que Monsieur Sanchez n’est pas dans son rôle de maire, censé́ être le maire de tous, mais participe à la stigmatisation et à la division de certaines populations dans un contexte où nous devons tous agir pour des relations apaisées. Un rappel à ce maire de nos règles républicaines me parait indispensable. Les propos de Monsieur Sanchez sont discriminatoires à l’égard d’enfants qu’il stigmatise. »
Françoise Dumas, député PS et conseillère municipale à Nîmes (30) :
“Je condamne très fermement les propos de Monsieur Julien SANCHEZ à l’encontre des enfants non francophones, rapportés par la presse de ce jour. En cette période de rentrée scolaire, il tente d’opposer des familles les unes aux autres, alors qu’en tant que premier magistrat d’une commune, il a le devoir de respecter et favoriser la paix sociale. Il a aussi des devoirs envers les enfants qui, quelques (SIC) soient leurs conditions de vie et leur nationalité, sont avant tout des élèves de la République, auxquels nous devons l’instruction, l’éducation et la protection. C’est en respectant et en leur appliquant cette obligation de scolarité, qu’ils deviendront, comme beaucoup d’enfants issus de l’étranger avant eux, des citoyens de notre République. Les familles attendent des responsables politiques que nous sommes, autre chose que la stigmatisation ou la désignation de boucs-émissaires. C’est sur nos actions constructives, en lien avec l’intérêt général, qu’elles nous jugeront“.
FDS
MOSCOU, 4 septembre - RIA Novosti
Le contrat pour la vente de BPC Mistral à la Russie n'est ni rompu ni suspendu mais la livraison du premier navire dépendra de l'évolution de la situation en Ukraine dans les semaines à venir, a déclaré jeudi le président français François Hollande à Newport, au Pays de Galles.
"Ce contrat n'est pas suspendu ni rompu mais la livraison du bateau sera fonction de ce qui va se passer dans les prochaines semaines. Il est important d'envoyer ce message clair parce que nous voulons qu'il y ait une issue", citent les médias internationaux les propos tenus par M.Hollande en marge du sommet de l'Otan.
Mercredi, la présidence française avait fait savoir que les "actions" menées par la Russie dans l'est de l'Ukraine ne permettaient pas pour l'heure de donner le "feu vert" à la livraison du premier bâtiment de projection et de commandement (BPC) de classe Mistral, prévue cet automne.
"Je vous ai confirmé notre décision de ne pas livrer d'armes dans le contexte d'aujourd'hui", a notamment indiqué jeudi le président français en présence de son homologue ukrainien Piotr Porochenko.
Jeudi, le quai d'Orsay a précisé les conditions qui permettraient de livrer les BPC: un cessez-le-feu appliqué et un accord mettant fin au conflit entre Ukrainiens et Russes. Pour le moment, le Mistral reste à quai.
Plus tard, un porte-parole de l'Elysée a expliqué à RIA Novosti que la livraison du navire n'était pas suspendue et que la déclaration de François Hollande n'entraînait aucune conséquence juridique. Selon le porte-parole, le président a tout simplement déclaré qu'il n'approuverait pas la livraison du bateau si la situation en Ukraine ne s'améliorait pas.
Les autorités françaises ont affirmé jusqu'ici que les sanctions américaines et européennes contre Moscou sur fond de crise en Ukraine n'empêcheraient pas Paris d'honorer son contrat de 1,2 milliard d'euros prévoyant la livraison de deux BPC de classe Mistral à la Russie.
Henri Guaino : "Les sanctions ne feront qu... par franceinter
NOVOPRESS
Il n'aura pas duré plus d'une semaine!
4 septembre 2014 par admin4
à Saint-Malo. Il fut un écrivain romantique et homme politique français. Il est considéré comme l’une des figures centrales du romantisme français et de la littérature française en général.
Il fut ministre d’Etat en charge des Affaires étrangères de Louis XVIII. Catholique, royaliste, traditionaliste, défenseur des « Ultras », il mit son talent au service de la revue Le Conservateur et du Journal des débats.
Il démissionna de toutes ses charges et pensions à l’avènement de l’usurpateur Louis-Philippe, refusant sa monarchie « bâtarde ». Il mourut à Paris le 4 juillet 1848.
Parmi ses ouvrages les plus célèbres : Le Génie du christianisme, Atala, Renée, Les Martyrs, Mémoires d’outre-tombe.
Contre-info.com
http://www.christianophobie.fr/breves/beziers-belle-manifestation-de-soutien-aux-chretiens-dorient
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Le 18:18 : rentrée sous les sifflets pour Jean... par LaProvence
Marseille / Publié le Mercredi 03/09/2014 à 05H24
Hier des parents ont pris à partie Jean-Claude Gaudin à Bompard (7e). Le maire accuse toujours le gouvernement
Mur de caméras, bouquet de micros, parterre d'élus et policiers en faction : hier matin, la petite école Amédée-Autran, à Bompard (7e) a vécu une rentrée scolaire pas comme les autres. C'est ici, dans ce chic et d'ordinaire très paisible quartier de Marseille, que Jean-Claude Gaudin avait choisi de marquer le retour dans les 445 écoles maternelles et primaires marseillaises, de quelque 74 000 élèves.
Mais en pleine polémique sur l'application de la réforme des rythmes scolaires, l'exercice convenu et débonnaire a tourné au clash. Car même dans ce bastion de droite, le fait que les enfants soient livrés aux familles le vendredi après-midi ne passe pas.
Avant même l'arrivée du sénateur maire, les langues se délient : "Cette histoire du vendredi, on l'a appris au dernier moment", enrage ainsi Latifa, assistante maternelle dont le fils entre en CM2. À côté, Marc, superviseur dans un centre d'appel et Silvana, chargée de logistique-achat, paniquent. "Ce que je ressens ? Du désespoir ! soupire la jeune femme. Je suis hors de moi, je n'arrive même pas à croire à cette situation. On finit à 18 h, nous n'avons pas de famille sur place pour récupérer Valentine et les centres aérés sont pleins." A Amédée-Autran, dans la majorité des familles, les deux parents travaillent. C'est encore le cas de Sandra, fonctionnaire de police, comme son mari : "J'ai été obligée de faire venir de Paris ma grand-mère de 80 ans. Elle va rester chez nous jusqu'à la Toussaint. Nous n'avons pas d'autre solution."
Jean-Claude Gaudin arrive, suivi de son premier adjoint Dominique Tian, de Danielle Casanova, élue à l'Éducation, de la maire de secteur Sabine Bernasconi, et s'engouffre dans une classe. Compacte, façon pack de rugby, la presse est à ses trousses. Quitte à légèrement perturber les enfants : "C'est stressant pour eux et... pas que pour eux", glisse une maîtresse.
Face à la presse, aux parents, Jean-Claude Gaudin refait le même discours que celui égrèné depuis une semaine dans tous les médias : "Nous avons proposé un moratoire, un projet alternatif qui ont été refusés par le recteur. Mais on ne peut pas confier les enfants à n'importe qui, il y a des appels, on me dit que j'ai eu deux ans pour ça, mais c'est un mensonge ! Nous n'avons su qu'en juillet que le recteur refusait notre projet."
Le maire rappelle le coût pour la Ville de ce nouveau temps périscolaire ("D'ici Noël, 9 M€, puis 22 M€ après", estime-t-il, alors que le groupe socialiste mise, lui, sur "une dépense nette de 1 à 4 M€"). "Les parents récupéreront les enfants le vendredi jusqu'à la Toussaint. Qu'ils se tournent vers la ministre!" "C'est vous qui vous y êtes pris trop tard ! Vous voulez qu'on aille dans le privé !" lance Thierry, un papa excédé. "Occupez-vous aussi de vos enfants !" lui rétorque le maire, ce qui déclenche les huées. "C'est honteux" crient des mamans. Les enfants, eux, roulent de gros yeux : "C'est pour les trucs scolaires, c'est ça ?" demande Iris, blondinette de CM1.
À la tribune, Patrick Guichard, l'inspecteur d'académie remet la Ville face à ses responsabilités : "Depuis 18 mois, nous préparons cette réforme avec l'ensemble des maires de France. Cette réforme est ambitieuse, elle propose un rythme propice à la réussite des élèves. On ne pouvait pas déroger aux cinq matinées Monsieur le maire (le projet de Marseille gardait la semaine de 4 jours, NDLR)". Après avoir distribué des dictionnaires, Jean-Claude Gaudin rejoint l'école privée Sacré-coeur du Roucas.
Devant l'hôtel de ville, l'Unsa Territoriaux et Sep-Unsa fustigent "le pire scénario de rentrée possible" et rappellent qu'il "était possible de faire autrement. Depuis 2012, on demande au maire de répartir le périscolaire sur plusieurs jours et d'utiliser les vacataires de la Ville", appuie Gilles Prou-Gaillard.
Une option in fine rejetée par la mairie. Élu écologiste au conseil municipal, Karim Zéribi prêche pour un "comité de suivi" d'élus de tous bords pour "réajuster les manques" de la rentrée. Sur Facebook, des parents proposent de le faire à leur manière : en improvisant tous les vendredis une garderie à la mairie.
Ce mercredi, les parents récupèrent les enfants à 11 h 30. Pas de cantine.
Vendredi, ils viendront après la cantine à 13 h 30 ou à 11 h 30. Attention : en raison d'un appel à la grève des agents, certaines écoles fermeront à 11 h 30.
La Provence