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GAELLE MANN - Page 715

  • Seine-Saint-Denis: une joggeuse de 20 ans poignardée à mort

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    Parc de la Poudrerie à Sevran

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    Une jeune femme a été tuée, ce lundi 8 septembre, vers 18 heures, alors qu’elle effectuait son jogging dans le parc de la Poudrerie à Sevran (Seine-Saint-Denis).

    Selon nos informations, la victime, âgée d’une vingtaine d’années, était en train d’effectuer son jogging lorsqu’un inconnu a surgi, armé d’un couteau.

     
     
     

    Ce dernier l’a poignardée à plusieurs reprises avant de prendre la fuite. Alertés par les de la victime, des policiers de la brigade équestre départementale, présents dans ce vaste parc, ont aussitôt poursuivi l’auteur présumé des faits. Ce dernier a été rapidement interpellé avant d’être trouvé porteur de l’arme du .

    Plusieurs témoins se sont portés au secours de la joggeuse, mais cette dernière est rapidement décédée des suites de ses blessures. Toujours selon nos informations, le présumé est déjà connu des services de police pour des faits d’agressions à caractère sexuel. L’enquête a été confiée à la police judiciaire de Seine-Saint-Denis.

     

    Le Parisien
     
    Pourquoi le meurtrier présumé n'était-il pas en taule? Effet Taubira? Ce n'est pas elle qui est morte, mais une jeune femme de vingt ans!
  • ZAPPING ACTU - Hollande toujours président, mais "ailleurs"...


    Mélanchon : François Hollande "est un menteur... par lezapping

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  • Royaume-Uni: Jack l'Eventeur aurait été identifié

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    L'un des plus grands mystères de l'Histoire de la criminologie serait-il enfin résolu ? Alors que des générations d'experts se sont heurtées à un mur depuis plus d'un siècle, le «Daily Mail» affirme ce dimanche que l'identité de Jack l'Eventreur est désormais connue.

     

     

     
     

    Le célèbre tueur en série, qui a sévi dans le quartier londonien de Whitechapel à l'automne 1888, serait un immigrant juif polonais, Kosminski.

    Le quotidien s'appuie sur la découverte d'un homme d'affaires britannique de 48 ans, Russell Edwards, rendue possible grâce à une analyse de deux ADN retrouvés sur le châle de l'une des cinq victimes avérées de Jack l'Eventreur. Pour parvenir à ses fins, l'enquêteur amateur s'est adjoint les services d'un expert en analyse génétique, Jari Louhelainen, qui collabore avec Interpol.

    D'étranges marguerites

    Russell Edwards raconte qu'il a vu la première fois le châle maculé de sang en mars 2007, lors d'une vente aux enchères. L'objet était réputé avoir été trouvé à côté de l'une des victimes de Jack l'Eventreur, Catherine Eddowes, mais Edwards a voulu en avoir la confirmation. Il a donc pris contact avec le propriétaire du châle, qui lui a assuré être un descendant de l'un des officiers de police présents sur la scène du .

    A l'époque, le sergent Amos Simpson s'était emparé de la pièce de tissus brune et bleue pour la donner à sa couturière de femme. Le châle a ensuite été transmis de génération en génération sans jamais être lavé.

    Alors que dans les années 2000 la plupart des spécialistes de l'affaire doutent de la provenance du châle, Russell Edwards est intrigué par un motif récurrent imprimé sur l'objet : les marguerites de la fête de Saint-Michel. Après des recherches, il remarque que cette fête chrétienne se déroule le 8 novembre chez les orthodoxes, le 29 septembre chez les autres chrétiens. Soit respectivement les jours des de Mary Jane Kelly d'une part, et d'Elizabeth Stride et Catherine Eddowes d'autre part.

    Constatant que Catherine Eddowes était trop pauvre pour pouvoir s'offrir un tel châle, Russell Edwards déduit -sans certitude néanmoins- que Jack l'Eventreur aurait pu laisser délibérément l'accessoire près d'une de ses victimes le 29 septembre pour livrer un indice sur la date de son futur crime, le 8 novembre donc.

    Un «schizophrène paranoïaque»

    Russell Edwards s'intéresse alors à la personnalité de l'un des six principaux suspects, Aaron Kosminski. Ce juif polonais a fui les pogroms russes dans les années 1880 pour s'installer à Londres avec sa famille. Dans les registres de l'hospice qui l'accueille en 1890, il est décrit comme un coiffeur résidant à Whitechapel.

    «Ce qui est certain, c'est qu'il était gravement malade mentalement, probablement un schizophrène paranoïaque souffrant d'hallucinations auditives et décrit comme un misogyne adepte de "l'auto-abus", un euphémisme pour qualifier la masturbation», écrit l'homme d'affaires.

    Un responsable du Musée du crime de Scotland Yard, Alan McCormack, a affirmé à Edwards que la police n'avait pas suffisamment de preuves pour confondre Kosminski. Elle l'a gardé sous surveillance pendant 24 heures avant de le confier à un asile psychiatrique pour le reste de sa vie.

    Les descendants coopèrent

    A l'aide d'une caméra infrarouge, le complice d'Edwards, Jari Louhelainen, découvre des traces de sperme sur le châle, ainsi que des cellules de rein, appartenant vraisemblablement à Catherine Eddowes. Une descendante de la victime, Karen Miller, accepte de fournir un échantillon de son ADN : il concorde avec l'une des six empreintes trouvées sur l'étoffe.

    Une descendante de la soeur de Kosminski est également d'accord pour fournir son ADN à l'enquêteur amateur. Le résultat permet alors de démasquer l'éventreur.

    «Sans doute un grand nombre de livres et de films vont désormais sortir spéculant sur sa personnalité et sa motivation. Je n'ai pas envie de le faire. Je voulais apporter de vraies réponses à l'aide de preuves scientifiques», conclut Russell Edwards. Puis, euphorique : «Je suis submergé par le fait qu'après 126 ans, j'aie résolu le mystère.»

    LeParisien.fr

  • La Prusse orientale, vestige oublié de la Seconde guerre mondiale

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    « Parler russe, et vivre à l’européenne » : tel est le voeu de nombreux habitants de Kaliningrad. Car, situé entre la Pologne et la Lituanie, le territoire de Kaliningrad est un territoire russe enclavé dans l’Union européenne. Grand comme trois départements français (15 100 km2), il compte à peine un million d’habitants. En devenant indépendants en 1991, les pays Baltes ont de fait coupé la région de Kaliningrad du reste de la Fédération de Russie. Il faut désormais passer trois frontières pour rejoindre Pskov, la ville russe la plus proche, située à 600 km.

    Ce sont les accords de Yalta et de Potsdam, en 1945, qui attribuèrent aux Soviétiques la ville de Königsberg (rebaptisée Kaliningrad en hommage au chef d’État communiste Kalinine) et le nord de la Prusse-Orientale. Investie le 27 janvier 1945, la ville ne fut prise par les hordes rouges que le 10 avril suivant, après une héroïque résistance. La population allemande installée là depuis l’époque des chevaliers teutoniques, il y a 700 ans, fut expulsée et parfois massacrée. L’histoire retiendra le drame du paquebot DS Steuben, coulé le 10 février 1945 par un sous-marin soviétique alors qu’il transportait des réfugiés civils de la Prusse-Orientale. On estime à 3 500 le nombre de victimes, ce qui en fait le troisième naufrage le plus meurtrier de l’Histoire.

    Les populations allemandes qui n’avaient pas fui en 1945 devant l’avancée de l’Armée rouge furent expulsées en totalité vers l’Allemagne à l’automne 1948, après avoir servi de main-d’œuvre servile à l’approvisionnement en produits agricoles de l’Armée rouge et des fonctionnaires communistes, dans l’attente de l’installation de populations soviétiques. Les rabatteurs d’Etat promettaient de nombreux avantages aux colons : l’équivalent de deux ans de salaire, 1 000 roubles pour chaque membre de la famille et un choix entre un prêt de 3 000 roubles ou une vache, sans compter le transfert gratuit jusqu’à Kaliningrad et l’attribution d’une maison abandonnée de ses habitants autochtones !

    « Cette baraque délabrée, vestige des conséquences de la Seconde Guerre mondiale, repeuplée de colons russes (86 % de la population en 2010), va-t-elle subir la jurisprudence Poutine ? »

    Méthodiquement, les autorités de l’époque ont cherché à effacer toutes les traces de la présence historique allemande. Les villes et les rues ont été rebaptisées. Au nom du « socialisme réel », les habitants ont dû raser les cimetières allemands en les recouvrant d’immenses parcs sur près de 600 hectares. Un chef-d’oeuvre de Grand remplacement qui fera école un jour chez nous.
    Cette région a été l’objet ces vingt dernières années de deux approches opposées, portées par deux objectifs très différents. La Russie, pour sa part, considère comme essentiel le rôle stratégique de Kaliningrad. Avec la disparition de l’Union soviétique, il ne reste plus à la Russie que deux bases navales sur la mer Baltique : Kronstadt (Saint-Pétersbourg), bloquée par les glaces l’hiver, et Baltiisk, libre de glaces, dans l’enclave. Siège de la flotte de la Baltique, l’enclave abrite 60 000 militaires. En 2013, ont été installés une station radar Voronej et des missiles Iskander (SS26), pouvant transporter des charges nucléaires, faisant ainsi peser une menace sur un rayon de 600 km. Le radar, lui, contrôle l’espace aérien et spatial du pôle Nord à l’Afrique du Nord et détecte les missiles à 6 000 km à la ronde.

    Quant aux Européens, ils redoutent le voisinage de Kaliningrad au moins autant comme zone de misère que comme base d’agression militaire. Tous les fléaux peuvent y être trouvés. La pollution y est de plus en plus problématique. On y recense le plus fort taux de séropositivité de toute la Russie et la toxicomanie y bat tous les records. Le nombre de délits y est supérieur de 20% à la moyenne russe. Enfin, last but not least, le PIB est de moitié inférieur à celui des pays voisins.

    Face à ce défi pour les voisins polonais et lituanien, l’Union européenne aide financièrement la région, dans le but de sécuriser ses frontières. Le 27 avril 2004, un accord entre l’Union européenne et la Russie a été signé, exemptant de droits de douane et de transit les marchandises. Par ailleurs, la Lituanie fournissait à l’enclave 80% de son électricité et couvrait une grande partie de ses besoins alimentaires. Les herbes aromatiques venaient de Pologne, les melons d’Espagne, les oranges de Grèce. L’enclave importait 70% de ses produits laitiers, 50% des fruits, 44% des légumes et 40% des volailles de ses voisins européens.

    Mais depuis le 7 août 2014, la Russie a interdit toute importation de denrées alimentaires de l’Union européenne, en réaction aux sanctions occidentales. En fait, comme souvent en Russie et peut-être plus encore à Kaliningrad, le sens de la débrouille est une seconde nature. L’économie parallèle pèserait pour 60% du PIB. Kaliningrad échappera probablement aux pénuries, d’autant qu’un accord entre la Russie et l’Union européenne autorise depuis 2012 de « petits mouvements frontaliers » : moyennant une vingtaine d’euros pour deux ans, les Kaliningradois peuvent obtenir un permis les dispensant de visa pour se rendre dans les départements polonais frontaliers. Un accord que ni Moscou ni Varsovie n’ont remis en cause pour l’instant. En Pologne, les prix sont jusqu’à trois fois moins chers pour certaines denrées comme la charcuterie, poussant de nombreux Russes à faire leurs emplettes dans les villes frontalières.

    Une question se pose, tout de même. Cette baraque délabrée, vestige des conséquences de la Seconde Guerre mondiale, repeuplée de colons russes (86 % de la population en 2010), va-t-elle subir la jurisprudence Poutine ? Car la Crimée, ukrainienne depuis seulement 1954 d’après la propagande moscovite, vient d’être annexée à la Russie. La Prusse orientale, russe depuis seulement 1946, date de l’annexion officielle par Staline, devrait logiquement être restituée à l’Allemagne. On peut rêver…

    NDF

  • «Nous rétablirons l’islam par la coercition, en vous rouant la face de coups et en vous coupant la tête»

     

    C’est ainsi que le sinistre «État islamique» menace l’Espagne, annonçant la reconquête de ce que ses partisans appellent la terre de leurs ancêtres, puisque la péninsule Ibérique a été sous domination musulmane de 711 à 1492. Au moins on peut dire qu’ils annoncent la couleur et ne cachent pas comment ils comptent s’y prendre pour convertir les «infidèles». Il est extrêmement curieux que les médias français ne parlent pas de cette annonce proférée en espagnol il y a quelque semaines dans une vidéo où l’on voit deux musulmans de l’EI dont l’un est un Franco-Marocain du nom de Salahedine Ghaitun, alias Abou Abdallah Guitone. Cette vidéo peut être vue par exemple sur le site du journal espagnol El Mundo ici.

    En Espagne même, des musulmans font circuler sur les médias sociaux des photos de monuments connus avec des drapeaux de l’État islamique et des slogans du type «Nous sommes tous l’État islamique». De leur côté les autorités marocaines ont prévenu la police espagnole que certains des djihadistes partis commettre leurs exactions barbares en Syrie et en Irak sont sur le chemin du retour et pourraient chercher à pénétrer en Espagne par les frontières de Ceuta et Melilla, ces enclaves espagnoles en Afrique du Nord dont les clôtures sont régulièrement prises d’assaut par des groupes de plusieurs centaines de migrants. Un des auteurs des menaces à l’encontre de l’Espagne, un Marocain du nom de Mohamed Hamduch qui répond également au doux pseudonyme de «Kokito», marié à une Espagnole et ex-résident de Ceuta, s’est aussi distingué en postant sur les réseaux sociaux une photo où il pose avec cinq têtes de soldats syriens.

    Kokito

    « Kokito »

    Dans une nouvelle vidéo signalée par le journal ABC comme ayant été repérée par les services antiterroristes espagnols après avoir été distribuées dans les forums djihadistes du monde entier et également sur les réseaux sociaux, les islamistes clament qu’ils ne cesseront pas de combattre tant qu’ils n’auront pas récupéré Jérusalem, conquis Al Andalus (les terres de la péninsule Ibérique qui ont été à un moment ou à un autre sous domination musulmane, avec aussi un petit bout de France près de la frontière espagnole) et pris possession de Rome.

    «Nous établirons l’État islamique avec des bombes et des explosions. Avec des soldats qui ne voient pas de difficultés dans la difficulté et qui dans la bataille sont des lions qui boivent le sang des infidèles. Le califat est de retour.»

    «L’État islamique, par la grâce d’Allah, s’étend de jour en jour. Nous ne nous arrêterons pas, par la volonté d’Allah. Les bombardements ne cesseront pas tant que la croix n’aura pas été détruite, les porcs assassinés et la loi islamique établie. Nous rétablirons l’islam par la coercition, en vous rouant la face de coups et en vous coupant la tête.»

    Pour revenir à cet Abou Abdallah Guitone, une recherche sur Google permet de tomber sur des forums musulmans hébergés en France et où l’on écrit en français, où l’on apprenait à la fin du mois de juillet que cet islamo-fasciste, «qu’Allah l’accepte», est mort en martyr.

    NDF

  • Le journaliste et diplomate Roger Auque, 58 ans, ex-otage au Liban, est décédé

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    Ancien otage au Liban, journaliste et diplomate, Roger Auque est décédé à l'âge de 58 ans.

     
     
    Roger Auque, en septembre 2004, à Bagdad. (archives)

    Le journaliste et diplomate Roger Auque, 58 ans, otage au Liban pendant près d'un an en 1987, est décédé lundi 8 septembre à Paris des suites d'un cancer.

    Correspondant de guerre au Liban, il avait été enlevé par le Hezbollah en janvier 1987 avant d'être libéré le 27 novembre suivant, en même temps que son confrère Jean-Louis Normandin. Il avait été nommé en décembre 2009 par le président Nicolas Sarkozy ambassadeur de France en Erythrée, poste qu'il a occupé jusqu'en août 2012.

    Les obsèques de Roger Auque auront lieu vendredi à 10H30 en l'église Saint-Germain-des-Prés, à Paris, a précisé à l'AFP un proche, l'ancien député UMP Jean-Pierre Grand.

    Né le 11 janvier 1956 à Roubaix (Nord) d'un père gaulliste et d'une mère communiste, il a été journaliste et grand reporter dans plusieurs médias (RTL, La Croix, Paris Match, Le Figaro Magazine, Radio-Canada...). Il avait été élu en 2008 conseiller municipal du IXe arrondissement de Paris sur la liste UMP.

    RTL

  • Les services de renseignement français surveillent de très près les milieux français pro-Russes

     

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    Lu dans Le Journal du Dimanche :

    Les services de renseignement français surveillent de près les milieux français pro-Russes« La soirée était organisée par l’association Dialogue ­franco-russe. Présidée par l’ancien ministre des Transports Thierry Mariani, également député UMP, l’organisation est coprésidée par Vladimir Iakounine, patron des chemins de fer russes et ancien du KGB. L’un de ses prédécesseurs à la coprésidence du Dialogue fut Ara Abramian. D’après nos informations, ce dernier, ainsi que le directeur de l’Observatoire ­franco-russe Arnaud Dubien, ­auraient été ­approchés dans le passé par la DST pour vérifier qu’ils n’étaient pas « tamponnés » par des agents du SVR, les services d’espionnage russes. Les services français se demandent également si la réception de Philippe de Villiers à Moscou par Vladimir Poutine cet été pouvait avoir un rapport avec la fonction de chef d’état-major des armées qu’exerce son frère Pierre depuis le mois de février. La guerre en Ukraine n’a évidemment rien arrangé. Entre paranoïa, vigilance et une diplomatie parallèle qui permet de ne pas insulter l’avenir, le Quai d’Orsay, les services de sécurité et le lobby franco-russe n’ont pas fini de se méfier les uns des autres. »

    NDF

  • VIDÉO | Jean-Marie Le Pen évoque la bonne forme du FN, l’effet du livre de « Madame Rottweiler » et la fin politique du Président de la République

     

     

    De passage à Fréjus, dans le Var, pour l’université des jeunes du Front national, Jean-Marie Le Pen a reconnu que la rentrée commençait « sous de bons auspices » pour le FN, notamment grâce au livre de « Madame Rottweiler » sur François Hollande.

    NDF

  • Valls s'affole: " Marine le Pen est aux portes du pouvoir !"

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    http://www.europe1.fr/politique/valls-l-extreme-droite-et-marine-le-pen-sont-aux-portes-du-pouvoir-2223899

  • VIDEO - Les "sans-dents" manifestent près du palais de l'Elysée

    http://videos.leparisien.fr/video/les-sans-dents-manifestent-pres-du-palais-de-lelysee-06-09-2014-x25bva9

    A voir et à entendre!

  • Marine Le Pen à Fréjus: "la dissolution est inévitable"

               

                                                     

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    Marine Le Pen - © Capture BFMTV
     

    Marine Le Pen s'est exprimée depuis Fréjus pour la clôture de l'université d'été du Front national de la jeunesse. Elle a notamment estimé que la dissolution de l'Assemblée nationale était inévitable.

     
  • VIDEO - Marine Le Pen à Fréjus

     

  • Royaume-Uni : Jack l’Eventreur aurait été identifié ! (attention : antisémitisme !)

    7 septembre 2014 par admin4 - Contre-info.com

    « L’un des plus grands mystères de l’Histoire de la criminologie serait-il enfin résolu ? Alors que des générations d’experts se sont heurtées à un mur depuis plus d’un siècle, le Daily Mail affirme ce dimanche que l’identité de Jack l’Eventreur est désormais connue.

     Le quotidien s’appuie sur la découverte d’un homme d’affaires britannique de 48 ans, Russell Edwards, rendue possible grâce à une analyse de deux ADN retrouvés sur le châle de l’une des cinq victimes avérées de Jack l’Eventreur. Pour parvenir à ses fins, l’enquêteur amateur s’est adjoint les services d’un expert en analyse génétique, Jari Louhelainen, qui collabore avec Interpol.

    Le célèbre tueur en série, qui a sévi dans le quartier londonien de Whitechapel à l’automne 1888, serait un immigrant juif de Pologne : Aaron Kosminski.

    Source & détails

  • Deux nouvelles frappes américaines contre l'Etat islamique dans le nord de l'Irak

    06/09/2014 à 19:44 - Mis à jour le 07/09/2014 à 09:41

    Les Etats-Unis ont mené vendredi et samedi deux nouvelles frappes aériennes qui ont détruit sept véhicules de l'Etat islamique dans le nord de l'Irak, a annoncé le Centcom, le commandement militaire américain chargé du Moyen-Orient et de l'Asie centrale.

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    © REUTERS

    Les avions de chasse et drones ont détruit "quatre Humvees (véhicules blindés), un véhicule de transport de troupes et deux camions" de l'Etat islamique, rapporte le Centcom. Ces nouvelles frappes étaient destinées à "protéger Erbil", la capitale du Kurdistan irakien, des combattants djihadistes.

    Les Etats-Unis, qui ont mené un total de 133 frappes depuis le 8 août en Irak, veulent mettre en place une coalition internationale pour les épauler dans leur lutte contre l'Etat islamique, qui a décapité deux journalistes américains et promet le même sort à un otage britannique.

    Au sommet de l'Otan au Pays de Galles, les représentants des Etats-Unis, de la Grande-Bretagne, de la France, de l'Allemagne, de l'Italie, de la Turquie, de la Pologne, du Danemark, du Canada et de l'Australie ont jeté les fondements de cette coalition. Le secrétaire d'Etat américain John Kerry et le secrétaire à la Défense Chuck Hagel espèrent qu'elle puisse voir le jour d'ici fin septembre.

  • "Quand Nemmouche ne chantait pas, il torturait"

    06/09/2014 à 15:30 - Mis à jour le 07/09/2014 à 13:04

    Un ex-otage français en Syrie, le journaliste Nicolas Hénin, a révélé samedi que Mehdi Nemmouche, le jihadiste français auteur présumé de la fusillade au Musée juif de Bruxelles, avait été l'un de ses geôliers pendant sa détention.

    Mehdi Nemmouche. © BELGAIMAGE/Benoît Peyrucq

    L'information a été recueillie, selon une source policière, lorsque les quatre journalistes français otages en Syrie libérés en avril - Nicolas Hénin, Pierre Torrès, Didier François et Édouard Élias- ont reconnu Nemmouche sur des photos après son arrestation fin mai.

    Elle devait rester secrète, mais l'hebdomadaire Le Point, employeur de Nicolas Hénin, a publié des extraits de son témoignage "glaçant" après que Le Monde a révélé que Nemmouche "aurait été l'un des geôliers des otages occidentaux détenus" en Syrie par l'Etat Islamique (EI).

    Le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve, sans entrer dans les détails, a confirmé que les services avaient "transmis à la justice des éléments laissant à penser qu'il (Nemmouche) aurait pu être le geôlier de nos otages" dès que les autorités ont été en possession de ces informations.

    "C'est à la justice de faire son travail. Ce funeste personnage doit être jugé, il le sera," a poursuivi le ministre.

    Dans les premiers extraits de son témoignage, Nicolas Hénin décrit un Nemmouche "membre d'un petit groupe de Français dont la venue terrorisait la cinquantaine de prisonniers syriens détenus dans les cellules voisines. Chaque soir, les coups commençaient à pleuvoir dans la salle dans laquelle j'avais moi-même été interrogé". "La torture durait toute la nuit, jusqu'à la prière de l'aube. Aux hurlements des prisonniers répondaient parfois des glapissements en français", ajoute-t-il.

    "Quand Nemmouche ne chantait pas, il torturait", écrit le journaliste, dont le récit évoque selon Le Point un geôlier "égocentrique et affabulateur pour qui le djihad n'est finalement qu'un prétexte pour assouvir sa soif maladive de notoriété. Un jeune homme paumé et pervers".

    Marie-Laure Ingouf, avocate de Nicolas Hénin, a confirmé à l'AFP que "Nemmouche était un de ses geôliers". "Tous les otages le confirment. Ils ont vécu avec lui pendant plusieurs mois," a-t-elle dit.

    Le tueur présumé du musée juif de Bruxelles s'est "occupé" du journaliste entre juillet et décembre 2013, selon Le Point. Peu après la libération des quatre journalistes français, le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius avait indiqué que certains de leurs geôliers s'exprimaient en français.

    En France, une enquête préliminaire a été ouverte par le parquet de Paris, en 2013, pour "enlèvement et séquestration en relation avec une entreprise terroriste" suite à l'enlèvement des journalistes français en Syrie. Une autre l'a été après l'arrestation de Mehdi Nemmouche pour "assassinat, tentative d'assassinat, détention et transport d'arme en lien avec une entreprise terroriste".

    Belga

  • Ukraine: Une femme tuée dans des tirs à Marioupol, 1er mort depuis la trêve

    07/09/2014 à 13:09 - Mis à jour à 13:17

    Une femme a été tuée par des tirs dans la nuit à Marioupol, première victime depuis le cessez-le-feu instauré vendredi, a annoncé dimanche la mairie de ce port stratégique du sud-est de l'Ukraine.

     

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    © REUTERS/Maxim Shemetov

    "Une femme a été tuée et trois habitants de Marioupol blessés", a indiqué le mairie dans un communiqué, précisant que les rebelles prorusses ont tiré sur un check-point à la sortie est de la ville et détruit une station service. "Dans la nuit de samedi à dimanche, en violant l'accord du cessez-le-feu, les rebelles ont tiré sur le point de contrôle dans le district Vostotchny à l'entrée de la ville", souligne la mairie.

    Dimanche matin, la situation à Marioupol était "calme et sous contrôle", ajoute la mairie.

    Port stratégique sur les bords de la mer d'Azov dont le contrôle permettrait de relier la frontière russe à la péninsule de la Crimée, Marioupol craint depuis plusieurs jours un assaut des rebelles prorusses.

    Kiev et les rebelles ont scellé vendredi à Minsk un cessez-le-feu à l'issue de négociations entre le "groupe de contact" (Russie, Ukraine, OSCE) et les séparatistes.

    Tirs d'artillerie près de l'aéroport de Donetsk

    Des tirs d'artillerie se sont produits dimanche près de l'aéroport de Donetsk, chef-lieu de la rébellion prorusse dans l'est de l'Ukraine, malgré un cessez-le-feu en vigueur depuis vendredi, a rapporté une journaliste de l'AFP.

    A un check-point près de l'aéroport, théâtre d'intenses combats ces derniers mois entre forces gouvernementales et séparatistes prorusses, on pouvait entendre des bombardements mais il n'était pas possible d'établir leur origine.

     

    Belga

  • Gentil !

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    Lémurien à tête couronnée -  Ne vit qu'à Madagascar

  • Une mère saisit la justice pour appeler son fils Jean-Clode


    Une mère saisit la justice pour appeler son... par leparisien

     

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    L'employée de l'état-civil n'a pas voulu prendre sa déclaration au pied de la lettre. Madeleine, une mère de famille de Savigny-le-Temple (Seine-et-Marne) se bat pour appeler son fils "Jean-Clode" et non pas "Jean-Claude" comme indiqué sur son acte de naissance, rapporte Le Parisien vendredi 5 septembre.

     

    "Une touche d'originalité", selon la mère

    La maman assume son choix. "Je voulais apporter une touche d'originalité et aussi gagner une lettre parce que notre nom est assez long", explique-t-elle au journal. "Vous savez qu'ici, Claude s'écrit avec un 'au' et pas avec un 'o' ?", lui aurait répondu l'état-civil.

    Madeleine a donc "cru qu'il était interdit de mettre une orthographe différente de Claude". "La remarque de la mairie était déplacée, presque insultante, comme si elle pensait qu'on ne savait pas écrire", dénonce-t-elle.

    "Une incompréhension, répond au Parisien la mairie de Quincy-sous-Sénart, où a été déclaré l'enfant. Les gens font parfois des erreurs, sur les accents par exemple. On leur demande donc si c'est vraiment leur choix d'écrire le prénom ainsi."

    Après avoir récemment appris qu'elle était libre de choisir l'orthographe du nom de son fils, Madeleine a entamé lundi des démarches auprès du procureur d'Evry. Pour qu'enfin son fils s'appelle "Jean-Clode".

    Francetvinfo