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GAELLE MANN - Page 911

  • Ecotaxe: le dernier portique du Finistère démonté pour éviter le vandalisme

    http://www.leparisien.fr/economie/ecotaxe-le-portique-de-pont-de-buis-demonte-pour-eviter-le-vandalisme-31-10-2013-3274563.php

  • Bruxelles veut réglementer la taille des chasses d'eau pour les rendre plus "écolos"

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    La Commission européenne songe à uniformiser la taille des chasses d'eau à travers le continent. Objectif : rendre cet équipement indispensable du quotidien plus écologique.

     

    Depuis 48h les Britanniques se perdent en conjectures sur les ambitions de la Commission européenne. La semaine dernière, son président, José Manuel Barroso, assurait que l'UE "devait être très visible sur les grands enjeux, plus discrète sur les questions de moindre importance". C'est à ce titre qu'avait été abandonné un projet de réglementation de la taille des bouteilles d'huile d'olive. Mais c'était pour mieux se concentrer sur une norme à propos de la taille des chasses d'eau qui devrait être adoptée  début novembre.

    L'initiative fait hurler les Britanniques en pleine séquence politique où David Cameron fait campagne pour "réduire la bureaucratie". D'autant plus que pour édicter cette nouvelle norme, la Commission a commandé une étude qui aurait coûté la bagatelle de 85.000 euros.

    Au final, 63 pages pour apprendre que "la consommation moyenne d'eau diffère entre les États membres de l'UE" et que les champions de la consommation en la matière sont les Britanniques, suivi des Luxembourgeois et des Espagnols.

     

    5 litres maximum

    Une consommation qui va de pair avec la taille de la chasse d'eau. Les auteurs relèvent ainsi que certaines toilettes en Grande-Bretagne nécessitent parfois 9 litres d'eau par chasse d'eau. Beaucoup trop selon eux. Ils préconisent donc que les chasses d'eau se contentent d'un réservoir maximum de 5 litres d'eau pour les toilettes classiques, et d'un litre pour les urinoirs.

    Pour parvenir à cette norme, les experts ont décidé de fixer le volume moyen du réservoir comme suit : "la moyenne arithmétique entre un réservoir plein et trois volumes réduits". Etant entendu selon eux que les habitudes culturelles varient d'un pays à l'autre.

    Cette étude permet d'apprendre que c'est l'Allemagne qui dispose du plus grand nombre de toilettes (77 millions) suivie par l'Espagne (49,2 millions) et de l'Italie (46,5 millions). La France, elle en dénombre 45,3 millions. Mais pour les urinoirs, c'est l'Italie qui est sacrée championne (8,2 millions) devant la France et ses 5,2 millions d'appareils.

    Tout ce travail doit permettre la mise en place d'un label écologique sur l'ensemble des biens produits et vendus au sein de l'Union.

     

    Blessé en tirant la chasse 

    Les toilettes ne fonctionnent plus, l'avion fait demi-tour 

    Un serpent mord le pénis d'un homme au WC

     

      Direct Matin - 31/10/13

  • Droit d'asile: l'explosion des demandes et des coûts - 30/10/13

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    INFO LE FIGARO - La France a atteint le seuil des 70.000 demandeurs de statut de réfugié par an, selon le député de l'UMP Éric Ciotti.
    » L'impossible réforme d'un système à bout de souffle

     

    Rapporteur du budget de l'asile à l'Assemblée, le député UMP des Alpes-Maritimes, Éric Ciotti, se souviendra de sa visite, ce mercredi, à l'Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra). «L'Intérieur réclame une réforme du droit d'asile, mais la situation est beaucoup plus grave que ce que l'on veut bien nous dire», déclare l'élu: «Les demandeurs d'asile en 2013 vont être 70.000, un chiffre qui se situe au-delà de toutes les projections imaginées.» Son cri d'alarme est relayé par le sénateur UMP des Hauts-de-Seine, Roger Karoutchi, qui révèle, pour sa part, dans un rapport publié mercredi, que le seul versement de l'Allocation temporaire d'attente (ATA) aux demandeurs d'asile aura vu son coût grimper de 47 millions d'euros en 2007 à 149 millions en 2012 (336 euros par mois et par personne). Manuel Valls a confié une «concertation» au député PS Jean-Louis Touraine, et à la sénatrice centriste Valérie Létard, pour un rapport prévu le 20 novembre et peut-être une loi en 2014. En attendant, les chiffres montrent un système à bout de souffle.

    ● Le nombre de demandeurs a augmenté de 90 % depuis 2007

    Éric Ciotti l'affirme: «De janvier à septembre 2013, l'Ofpra a déjà enregistré 50.000 dossiers. À ce rythme, les 70.000 demandes vont être atteintes fin 2013. Nous y sommes déjà sur 12 mois glissants, avec 10 % de hausse enregistrés du 1er août 2012 au 31 juillet 2013.» Au total, le nombre de demandeurs annuels aura augmenté de près de plus de 90 % en six ans. Et encore ne s'agit-il que du flux. Selon Éric Ciotti, «le stock d'affaires pendantes enfle au lieu de se résorber: de 24.000 dossiers à l'Ofpra le 1er janvier 2013 à 30.400 le 30 juin dernier.»

    ● Bangladais, Kosovars et Albanais arrivent en masse

    En 2013, les demandes d'asile, par milliers, des ressortissants d'Albanie, du Kosovo et du Bangladesh ont respectivement augmenté de 150 %, 156 % et 183 %! L'arrêt du Conseil d'État du 4 mars 2012 serait directement lié à cette explosion. Les «sages» avaient alors annulé la décision de l'Ofpra qui ajoutait en 2011 le Bangladesh, l'Arménie, la Moldavie et le Monténégro à la liste pays «sûrs» (et dont les ressortissants ne peuvent en principe prétendre à l'asile en France). Par ailleurs, la Syrie devient un pays «source» important: 840 dossiers ont été traités depuis janvier, soit deux fois plus que l'an dernier, avec, pour cette zone de conflit, un taux de protection accordée de l'ordre de 90 %.

    ● Le délai d'instruction moyen des dossiers avoisine les 600 jours

    Conséquence inévitable de l'engorgement de la machine, les délais d'instruction moyens des dossiers (Ofpra + appel à la Cour nationale du droit d'asile, CNDA) sont passés de 461 jours en 2007 à 489 l'an dernier, et même 592 en comptant les délais de notification. «Et ils vont augmenter en 2013», assure Éric Ciotti. Ce député le dit: «La promesse du candidat Hollande de réduire les délais à six mois est intenable et le nouveau délai de neuf mois annoncé par l'Intérieur ne l'est pas davantage». Or, explique-t-il, «chaque mois gagné ferait économiser 20 millions d'euros».

    ● Le coût annuel va dépasser le plafond des 670 millions d'euros

    Sur les quelque 670 millions d'euros de la loi de Finances 2013 consacrés à l'asile, l'essentiel concerne les dépenses d'hébergement des demandeurs. Les places en Centre d'accueil pour demandeurs d'asile (Cada), encadrés par l'État ou les associations agréées, ont coûté près de 200 millions d'euros l'an dernier. Mais la France ne dispose que de 23.000 places au dernier pointage de Beauvau (27.000 prévues en tout, fin 2014). L'essentiel des demandeurs est donc logé à l'hôtel, avec une addition qui a grimpé de 35 millions d'euros fin 2007 à 125 millions l'an dernier. S'y ajoute l'Allocation temporaire d'attente pour un coût supplémentaire de près de 150 millions d'euros. «Or, un rapport des plus grandes inspections de l'administration révèle que le taux d'allocations indûment versé est supérieur à 18 %, soit une fraude de l'ordre de 25 à 30 millions d'euros», rappelle Éric Ciotti. À l'entendre, «tous les coûts vont exploser pour 2013».

    ● La majorité des déboutés du droit d'asile reste sur le territoire

    Si la protection n'est accordée qu'à environ 20 % des demandeurs, l'essentiel des déboutés reste en France. «Tous les ans, ces personnes sont ainsi 37 000 à 40 000 à s'inscrire dans l'illégalité», dit Éric Ciotti. Le député prône, lui, une mesure radicale: «Que la décision définitive de rejet de l'asile vaille obligation de quitter le territoire français». Pour l'heure, les déboutés, comme la famille de Leonarda, se présentent immédiatement au deuxième guichet «exceptionnel» mis en place par la circulaire Valls de novembre 2012. Le ministre devra lever les ambiguïtés.

  • L"ange blond": Maria était élevée pour être donnée en mariage à ses 12 ans

    Selon les enquêteurs, le couple rom l'aurait achetée dans le but de la revendre. La petite fille n'aurait été qu'un "investissement".

    L'enquête concernant Maria, une petite fille blonde découverte dans un camp rom en Grèce, avance. Selon la police, celle que l'on surnomme "l'ange blond" était élevée par Eleftheria Dimopoulou et son mari Hristos Salis dans le but d'être mariée dès l'âge de 12 ans. La petite fille, probablement âgée de 4 ou 5 ans, aurait servi de "récompense" au sein de la communauté rom. Son physique - blonde aux yeux bleus - peu commun chez les Roms aurait permis à ses "parents" de récupérer une jolie dot.

    Les enquêteurs pensent que cette perspective explique pourquoi Maria n'a pas déjà été vendue. L'éducation de l'ange blond n'était donc qu'un investissement. Des témoignages s'accordent pour dire que Maria a été achetée pour un peu moins de 1 000 euros. La police estime qu'elle aurait pu être revendue pour près de 26 000 euros. Les enquêteurs se sont donc tournés vers les cercles d'adoptions illégales afin de relier Maria à d'autres affaires voire à un gang déjà connu des autorités. Le trafic de bébés serait facilité en Grèce par des lacunes dans la législation sur le régime d'adoption, en particulier lorsqu'il s'agit d'enfants étrangers

    En plus de cette volonté de revente, Eleftheria et Hristos se servaient de Maria pour danser et mendier. Afin de rentabiliser l'investissement au maximum, sans doute.

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    Retrouvez cet article sur Atlantico

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  • La France maintient n'avoir versé aucune rançon pour les otages

     

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    PARIS (Reuters) - Les autorités françaises ont maintenu mercredi n'avoir versé aucune rançon aux preneurs d'otages pour obtenir la libération des quatre Français enlevés en septembre 2010 dans le nord du Niger, affirmant que seul Niamey avait été à la manoeuvre.

    Le Monde soutient que la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) a remis indirectement "plus d'une vingtaine de millions d'euros" aux ravisseurs de Pierre Legrand, Daniel Larribe, Thierry Dol et Marc Féret, qui sont arrivés mercredi en France.

    Cette somme aurait été prélevée sur les fonds secrets alloués aux services de renseignement et aurait été acheminée par la DGSE jusqu'à Kidal, au Mali, selon Le Monde.

    "La France ne paie pas de rançon. Pour ce qui dépend de l'Etat français, il n'y a pas d'argent versé", a déclaré le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, sur TF1.

    Prié de dire si des sommes pouvaient avoir été payées par les groupes - Areva et une filiale de Vinci - qui employaient les otages, il a simplement répondu : "Non, pas d'argent public versé."

    Interrogé sur la possibilité que le président nigérien Mahamadou Issoufou, qui a été impliqué dans les négociations, ait pu verser une rançon, le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a déclaré pour sa part lors du journal de France 2 : "Le président du Niger a mené les discussions qu'il convenait de mener et elles ont abouti à un résultat positif."

    Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), qui retenait les quatre ressortissants français, avait réclamé en mars 2011 90 millions d'euros, une demande rejetée par le chef de la diplomatie française de l'époque, Alain Juppé.

    En début d'année, François Hollande a fait savoir que la France ne verserait plus de rançon pour obtenir la libération de ses ressortissants retenus en otages dans le monde, assurant que l'Etat s'opposerait à toute transaction financière et toute forme de versement, même par des entreprises.

    Le 19 avril, lors de la libération d'une famille française enlevée au Cameroun, le chef de l'Etat avait une nouvelle fois assuré que Paris ne céderait pas "sur les principes".

    "La consigne du président est de ne pas payer de rançon, cette consigne est respectée", avait assuré mardi matin sur Europe 1 Laurent Fabius, qui s'est rendu à Niamey avec Jean-Yves Le Drian pour récupérer les quatre ex-otages.

    ENGAGEMENT DU G8

    La piste d'une contrepartie versée par Areva a été évoquée par Diane Lazarevic, fille de l'un des trois otages français encore retenus en Afrique.

    "Le Quai d'Orsay m'a bien dit il y a deux mois que la France ne paierait pas mais que sûrement Areva le ferait. Ce sont les mots du quai d'Orsay", a-t-elle dit sur Europe 1.

    Le groupe nucléaire a répondu que "Jean-Yves Le Drian a été très clair, il n'y a pas eu de rançon".

    Selon une source régionale, les négociations autour de la libération des Français ont été menées par l'ancien ministre nigérien, Mohamed Akotey, président du conseil d'administration d'Imouraren SA, la filiale d'Areva au Niger.

    S'il était confirmé, le versement d'une rançon marquerait un changement dans la position de François Hollande depuis le lancement de l'opération Serval au Mali en janvier.

    En juin, les dirigeants du G8 se sont engagés à refuser de verser des rançons en cas d'enlèvements de leurs ressortissants par des "terroristes".

    "Nous rejetons sans équivoque le paiement de rançons aux terroristes et nous appelons les pays et les entreprises du monde à suivre ce principe", ont-ils dit dans un communiqué.

    La France n'est toutefois pas jusqu'à présent allée aussi loin que la Grande-Bretagne, où la législation en vigueur interdit explicitement aux entreprises de verser des rançons.

    Laurent Fabius n'a, par ailleurs, pas voulu confirmer des informations selon lesquelles la France aurait garanti une impunité au chef du groupe islamiste Ansar Dine en échange de la libération des otages.

    "Je ne confirme pas. Mais ce qui est vrai, c'est qu'il y a des discussions qui portent sur les conditions politiques, qui peuvent porter, mais pas dans cette affaire, sur des libérations de prisonniers. Il y a toute une série de discussions ça c'est sûr, évidemment ce n'est pas une opération du Saint-Esprit", a-t-il dit sur TF1.

    Marine Pennetier, avec Yann Le Guernigou et Johjn Irish, édité par Jean-Loup Fievet

    Yahoo! Actualités - 30/10/13

  • Vladimir Poutine, homme le plus influent du monde selon Forbes

     

    Le président russe Vladimir Poutine arrive en tête du classement des personnes les plus influentes du monde établi par le magazine Forbes et publié mercredi, rétrogradant le président américain Barack Obama à la deuxième place.

    "Le président russe Vladimir Poutine dispose de la meilleure cote parmi les personnes les plus influentes du monde. Son homologue américain Barack Obama recule à la deuxième place et le président chinois Xi Jinping se classe troisième", rapporte le magazine.

    S’agissant des Russes présents dans cette liste de 72 personnalités, on retrouve, outre le président russe, le président de Rosneft Igor Setchine (60e place), le premier ministre Dmitri Medvedev (53e place) et l’homme d’affaires le plus riche du pays Alisher Usmanov (63e place).

    L’an passé, le président russe occupait la troisième place, et dans le classement 2011, Poutine, qui était alors premier ministre, avait terminé deuxième du classement.

    E&R

  • La rançon des otages au Niger: au moins 20 millions d'euros !

    http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/10/30/97001-20131030FILWWW00338-liberation-des-otages-au-niger-au-moins-20-millions-d-euros-ont-ete-verses.php

  • La grande peur des bien-pensants

     

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    A mesure que l’impopularité de la gauche au pouvoir  atteint des sommets et qu’il est constaté que celle-ci ne profite pas à l’aile droite du Système ou à ses chiens de garde d’extrême gauche, l’hystérique machine anti-FN se remet en branle avec une énergie accrue. Rien de nouveau sous le soleil, si ce n’est peut être la conviction inquiète des officines se partageant le pouvoir  que les Français essorés, matraqués, envahis, paupérisés, sont vraiment  décidés cette fois   à renverser la table, à sanctionner comme jamais dans les urnes  les échecs des partis euromondialistes .   

    Cette frousse  de la  Caste  de perdre ses privilèges, qui nous permet en retour de craindre bien des manœuvres, des coups bas, des manipulations d’un Système qui incapable de protéger la France,  sait en  tout cas très bien défendre ses intérêts, était patent dans les propos d’un Jean-François Copé,  interrogé mardi matin sur RTL.

    Alors que l’UMP  se déchire sur la stratégie à tenir pour contenir la poussée de l’opposition nationale,  M.  Copé expliquait  à l’adresse du tout aussi calamiteux  Alain Juppé que « ce qui fait monter le FN, c’est le déni de réalité. Personne ne vote FN avec plaisir. » Il est bien connu a contrario  que c’est en proie à une allégresse et à un enthousiasme  débordant que électeurs se précipitent  avec un bulletin PS ou UMP dans l’isoloir!

    A la vérité,  le vote FN est tout autant, voire même plus,  un vote d’adhésion à des idées que peut l’être un vote UMP, FG ou PS, comme l’ont enregistré dernièrement  de récurrentes enquêtes d’opinion. Un déni de réalité peut en cacher un autre M. Copé…

    Au PS, les humanistes s’inquiètent aussi de l’éventualité de la  fin du jeu de balancier stérile,  de la (fausse)  alternance gauche-droite, de  cette incapacité de l’UMP à récolter  les raisins de la colère nationale. Dans Le Figaro, le président socialiste du Sénat, Jean-Pierre Bel, en fait clairement l’aveu:  »Si la gauche échoue, ce sera pour longtemps » dit-il.   « Ce ne sera pas forcément au profit de la droite républicaine, pas plus que de la gauche de la gauche. Le danger du Front National est évident. On a tout à perdre« …

    Conscient du danger, le Grand Orient de France (GODF) tire la sonnette d’alarme et mobilise ses réseaux, ses frangins,  tandis que se multiplie les menaces de couper les vivres aux villes dont les électeurs auront  démocratiquement choisi  de se doter d’une municipalité FN ou  RBM.

    René Olmetta,  79 ans, Vice-Président PS du Conseil Général des Bouches-du-Rhône, incarnation emblématique du si progressiste et honnête socialisme marseillais,  Président GODF du Cercle Ramadier de  PACA,   a toujours le compas dans l’œil.  La Fraternelle des élus de gauche se mobilise. Il organise le 5 novembre prochain, en compagnie d’un autre humaniste, Loïc Gachon , maire de Vitrolles, Conseiller Général des Bouches-du-Rhône, une réunion  maçonnico-politique de mobilisation  pour contrer après Brignoles   « la montée du Front National »;  à l’heure est-il énoncé par le grand sachem local  Olmetta,   ou  » nos valeurs (sic)  sont une nouvelle fois attaquées ».

    De nouveau élu à la présidence du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif), ou il a succédé en mai dernier  à Richard Prasquier, Roger Cukierman, 76 ans, également vice-président du Congrès Juif Mondial,  y va  lui aussi de son couplet grandiloquent (grand-guignolesque).

    Dans une tribune publié hier dans Le Monde,  il s’essaye bien lourdement et sans grand talent, dans le fond comme dans la forme, à la politique fiction: « il est 20 heures ce 14 mai 2017. Le visage de Marine Le Pen se dessine lentement sur les écrans de télévision de millions de Français, au soir du second tour de l’élection présidentielle.Elle devient le 8e président de la Ve République. C’est un séisme politique.Quelques semaines plus tard, portée par ce succès et à l’issue de tractations avec des parlementaires en dissidence de leurs propres partis, Marine Le Pen dispose de la majorité à l’Assemblée nationale ».

    Un préambule réjouissant  de prime abord mais « Le scénario de (son)  cauchemar varie selon les nuits » poursuit M.  Cukierman qui expose ensuite  tous les clichés possibles et  variantes de celui-ci  en instrumentalisant,  toujours selon le même procédé que l’on a le droit de juger  intellectuellement   indécent et moralement répréhensible,   son passé d’ « enfant caché pendant la seconde guerre mondiale ».

    « Il est des réveils brutaux, mais salutaires » conclut M Cukierman. « Nous avons la responsabilité collective de tout faire pour qu’il continue d’en être ainsi. Le Conseil représentatif des institutions juives de France, que je préside, sera de ce combat.« 

    « Après vous avoir livré mon cauchemar, je veux vous dire quel est mon rêve : que le FN revienne à son ancien statut de groupuscule. Je n’exonère pas pour autant ceux qui, à l’extrême gauche, à l’autre bout du spectre politique, font également preuve d’intolérance et de radicalité, et qui méritent aussi de rester des groupuscules. Attention ! Il y a péril dans la maison commune ! »

    Péril qui ne sautait pas aux yeux de M.  Cukierman en 2002 quand, dans un  entretien accordé au quotidien israélien Haaretz au lendemain de la qualification de Jean-Marie Le Pen au second tour de la présidentielle,  il avait affirmé   avec balourdise que « Le score de Le Pen sert à réduire l’antisémitisme musulman et le comportement anti-israélien, parce que son score est un message aux musulmans leur indiquant de se tenir tranquilles ».

    Femme de gauche, Esther Benbassa, titulaire de la chaire d’histoire du judaïsme moderne à l’Ecole pratique des hautes Etudes,  s’interrogeait il y a quelques années sur la légitimité de la structure que préside Roger Cukierman : « Mais que représente véritablement le Crif et combien sont-ils en son sein ?   On ne le saura jamais. Ce qui compte, c’est qu’il est perçu comme un lobby (mot horripilant en France) par les politiciens. Et considéré comme tel, il l’est bien, un lobby, en fait. Ceux qui s’agglutinent à son dîner croient vraiment qu’il joue un rôle important dans la machine électorale. On y vient à la pêche aux voix juives, et pour être adoubé par des juifs dont l’influence serait déterminante, en raison de la place qu’ils occupent, ou sont censés occuper, dans la société française ».

    Ce jugement  sur une structure communautariste comme le Crif peut  aisément s’étendre à l’ensemble des porte-voix (porte-flingues) des différentes boutiques et écuries du Système.  La réalité constate Bruno Gollnisch,  c’est que les admonestations, les leçons de morale, les  anathèmes   anxiogènes, moralisateurs de  M. Cukierman ne portent pas plus que ceux   de l’UMPS.

    Car ces gens là dont le discours ronronne et tourne à vide   dans l’entre soi,  ont perdu  la connexion avec le peuple français , dans toutes ses composantes,  et sont incapables de répondre à  ses attentes. Alors oui, le déni de réalité est toujours tôt ou tard sanctionné.  

     

    Bruno GOLLNISCH

  • "Accroître la présence algérienne dans les universités française est une nécessité”, selon des députés français 30/10/2013

       

    “Accroître la présence algérienne dans les universités française est une nécessité”, selon des députés français


    Une mission de députés français, de toute tendances politiques, présidée par le parlementaire conservateur Axel Poniatowski et dont le rapporteur est le socialiste Jean-Pierre Dufau, ont recommandé, dans un rapport publié mercredi, que la France accueille davantage d’étudiants algériens et ont souhaité la création d’un office franco-algérien pour la jeunesse.

    Ils soulignent dans le même document que” la France et l’Algérie ne peuvent se tourner le dos. Leurs destins sont entremêlés et cette situation exceptionnelle appelle, dans bien des domaines, des solutions concertées, et donc une coopération étroite et concertée”.

    Ainsi dans le but de renforcer “la dimension humaine” de la coopération entre les deux pays, la mission demande que la France facilite “l’octroi de visas de circulation” pour les Algériens “ne présentant aucun risque migratoire”. Elle invite “les autorités algériennes à en faire de même à l’égard des français souhaitant se rendre et s’installer en Algérie”.

    La mission de députés français relève, toujours selon la même source, que les étudiants algériens constituent le troisième contingent d’étudiants étrangers en France, après les Marocains et les Chinois en dépit du nombre très réduit de visas qui leur sont délivrés annuellement estimé à 5.000.

    Pour les mêmes députés, “accroître la présence algérienne dans les universités française est une nécessité. Cela passe par une politique de visas plus adaptée et un effort en matière de bourses” avant de recommander la création d’un “office franco-algérien de la jeunesse, à l’image des deux offices qui existent déjà avec l’Allemagne et le Québec”.

     

    http://www.algerie1.com/actualite/accroitre-la-presence-algerienne-dans-les-universites-francaise-est-une-necessite-selon-des-deputes-francais/ http://www.algerie1.com/actualite/accroitre-la-presence-algerienne-dans-les-universites-francaise-est-une-necessite-selon-des-deputes-francais/


     ALTERINFO.NET

     

     

       

  • Marine Le Pen sur RTL - 29/10/13

  • Marine Le Pen à Fougères - 26/10/13

  • Le Parlement israélien refuse de recevoir le président français

     

          Le Parlement israélien refuse de recevoir le président français

     

    Par La Voix de la Russie | Yuli Edelstein, le président du Parlement israélien, a annoncé que le président français François Hollande était persona non grata dans les murs de la Knesset après que ce dernier a renoncé à prononcer un discours devant les députés lors de sa visite de novembre en Israël.

     Sur une page Facebook, Yuli Edelstein s’indigne du fait que François Hollande ait refusé de prononcer un discours devant le Parlement, qu’il prévoit tout de même de visiter, mais en se laissant du temps pour rencontrer des étudiants. En réponse, le président de la Knesset a déclaré qu’il refusait d’accueillir le chef d’État français dans les murs de l’institution. « Celui qui ne respecte pas la Knesset ne mérite pas le respect de la Knesset », écrit-il.
     http://french.ruvr.ru/news/2013_10_30/Le-Parlement-israelien-refuse-de-recevoir-le-president-francais-4006/

  • Les camps de travail en Corée du Nord

     

    • Date de prise de vue
    • 13/04/2012
    • Date de publication 27/06/2012

     

     

  • Mayotte : le Lampedusa de l’océan Indien

     

    Pendant que le monde se lamente sur le sort funeste des immigrés noyés à l’approche de Lampedusa et de Malte, il se passe des drames similaires dans ce département français et aussi région ultrapériphérique de l’Europe qu’est Mayotte.

    Le 20 octobre, ce sont 131 immigrés clandestins d’Anjouan à Mayotte, transportés par cinq kwassa kwassa, qui ont été interceptés par les gendarmes et immédiatement ramenés à leur point de départ.

    Et encore, ceux-là sont arrivés à bon port, alors que, depuis des années, en fait depuis que Balladur a instauré un visa entre les Comores et Mayotte, il s’en noie par centaines sans que cela émeuve grand monde.

    L’année dernière, 26 000 clandestins ont été reconduits du jour au lendemain sans autre forme de procès. Il est vrai que c’est insuffisant, la proportion de clandestins à Mayotte dépasse 60 %. Il vaut mieux être clandestin à Mayotte, où l’on reçoit soins et instruction, qu’habiter les Comores ou l’Afrique de l’Est.

    Lire la suite de l’article sur bvoltaire.fr

     

    E&R

  • Naissance de trente bébés génétiquement modifiés aux États-Unis

     

    Traduction E&R

    La naissance des premiers êtres humains génétiquement modifiés du monde a été révélée hier soir.

    L’annonce que 30 bébés en bonne santé sont nés après une série d’expériences aux États-Unis a relancé un débat houleux sur l’éthique en matière de science.

    Jusqu’à présent, deux des bébés ont été testés et se sont révélés posséder des gènes de trois « parents ».

    Quinze de ces enfants sont nés au cours des trois dernières années à la suite d’un programme expérimental de l’Institut de médecine de la reproduction et des Sciences de St Barnabas dans le New Jersey.

    Ces bébés sont nés de femmes ayant des difficultés à concevoir.

    Des gènes supplémentaires provenant d’un « donneur femelle » ont été insérés dans leurs ovules avant qu’ils ne soient fécondés pour leur permettre de concevoir.

    Des tests d’empreintes génétiques sur deux enfants d’un an confirment qu’ils ont hérité de l’ADN de trois adultes différents - deux femmes et un homme.

    Le fait que les enfants ont hérité des gènes supplémentaires et les ont intégrés dans leur lignée germinale (NDLR : lignée formée par la suite des cellules germinales qui subissent la division des chromosomes au cours de leur évolution) signifie qu’ils pourront, à leur tour, être en mesure de les transmettre à leur progéniture.

    La modification de la lignée germinale humaine - un bricolage de la nature même de notre espèce - est une technique boudée par la grande majorité des scientifiques du monde entier.

    Les généticiens ont peur qu’un jour, cette méthode puisse être utilisée pour créer de nouvelles races d’humains, avec les caractéristiques souhaitées telles qu’une force ou une intelligence accrue.

    Écrivant dans la revue Human Reproduction, les chercheurs, dirigés par le pionnier dans le domaine de la fertilisation, le professeur Jacques Cohen (photo ci-dessus), disent que « c’est le premier cas de modification génétique germinale humaine chez des enfants en bonne santé ».

    Certains experts ont sévèrement critiqué ces expériences. Sir Winston, de l’Hôpital Hammersmith dans l’ouest de Londres, a déclaré à la BBC hier : « En ce qui concerne le traitement de la stérilité, il n’existe aucune preuve que cette technique vaille la peine. . . Je suis très surpris qu’elle ait même été réalisée à ce stade. Cela ne serait certainement pas autorisé en Grande-Bretagne ».

    John Smeaton, directeur national de la Société pour la protection des enfants à naître, a déclaré : « Nous avons beaucoup d’empathie pour les couples ayant des problèmes de fertilité. Mais ce qui semble être une nouvelle méthode dans le processus de la fécondation in vitro afin de concevoir des bébés, conduit à des bébés étant considérés comme des objets sur une ligne de production. C’est une nouvelle et très inquiétante étape dans l’histoire de l’humanité. »

    Le professeur Cohen et ses collègues ont diagnostiqué que ces femmes sont stériles car elles possèdent des défaillances dans des structures minuscules de leurs ovules, appelées mitochondries.

    Ils ont pris des ovules de donateurs et, à l’aide d’une fine aiguille, aspiré une partie du matériel interne - contenant des mitochondries saines - et injecté celui-ci dans les ovules des femmes qui souhaitent concevoir un enfant.

    Parce que les mitochondries contiennent des gènes, les bébés résultant du traitement ont hérité de l’ADN de deux femmes. Ces gènes peuvent maintenant être transmis le long de la lignée germinale maternelle.

    Un porte-parole de la HFEA (Human Fertilisation and Embryology Authority), organisme chargé de réglementer la technologie de procréation assistée en Grande-Bretagne, a déclaré qu’il n’autoriserait pas la technique dans son pays car elle implique une modification de la lignée germinale.

    Jacques Cohen est considéré comme un scientifique brillant, mais controversé, qui a repoussé les limites des technologies de procréation assistée.

    Il a développé une technique qui permet aux hommes stériles d’avoir des enfants, en injectant l’ADN des spermatozoïdes directement dans l’ovule en laboratoire.

    Auparavant, seules les femmes stériles ont pu concevoir par fécondation in vitro. L’année dernière, le professeur Cohen a déclaré que son expérience lui permettrait de cloner des enfants - une perspective traitée avec horreur par la communauté scientifique en général.

    « Ce serait l’œuvre d’un après-midi pour un de mes élèves », dit-il, ajoutant qu’il avait été approché par au moins trois personnes souhaitant créer un enfant cloné, mais avait refusé leurs demandes.

  • Viol collectif au Kenya: les auteurs condamnés à tondre la pelouse du commissariat et relâchés

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  • Maria, l'Ange blond, "ne demande après personne"


    Maria, l'Ange blond, "ne demande après personne" par leparisien

     

    Maria, la fillette âgée de cinq ans retrouvée par la police grecque au sein d'une famille Rom n'a aucun lien de parenté avec elle. Une ONG, " le sourire de l'enfant", a recueilli Maria. Pour son directeur, Costas Yannopoulos, elle est "un symbole pour les autres enfants qui sont dans une situation similaire".

    NdB: Elle ne réclame pas ses parents adoptifs...  ce qui laisse à penser bien des choses.