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GAELLE MANN - Page 914

  • Foot : enfin une bonne nouvelle !

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        Le 26 octobre 2013

    Henri
    Gizardin
    Ancien pilote de chasse
    Son blog.
     

    Menace de grève fin novembre des équipes de foot des Ligues 1 et 2, contre la taxe à 75 % affectant les revenus supérieurs à 1 million d’euros et qui va « ruiner » les clubs à défaut des joueurs. La FFF est en danger !

    Le préavis est pour une fois honorable, qui va permettre de faire connaître cette infamie au pays et laisser monter la grogne salvatrice des supporters avant d’en arriver à une extrémité qui risque de jeter hooligans et télé-sportifs de salon en colère ensemble dans la rue !

    D’ailleurs, à son habitude conciliatrice et pour « tenter de calmer le jeu », comme écrit Le Parisien non sans humour involontaire, François Hollande recevra les présidents de clubs la semaine prochaine. Habitué à la défense à reculons, tactique originale qui fait ses preuves depuis un an, le président va sûrement concéder quelque exception à cette règle menaçant des artistes de haut niveau qui gagnent quelques milliers d’euros à chaque coup de pied, ce qui n’est pas sans risque , quand ce n’est pas un coup de tête.

    Le ministre des Sports dont chacun ignore le nom et le visage, Valérie Fourneyron, a été écarté de ce face-à-face des titans qui va décider de l’avenir footballistique de la nation, c’est-à-dire d’un enjeu de salut public !

    Manuel Valls devra, d’ici là, assurer l’intérim en préparant ses troupes à la riposte graduée pour éviter la révolte populaire et les exactions collatérales. Les Verts ne manqueront pas d’apprécier le répit accordé aux pelouses et apporteront probablement leur soutien au ministre des Finances, collecteur de surtaxe, ce qui ne fera qu’ajouter un paradoxe de plus à leur tableau déjà fourni d’opportunistes réfractaires.

    La bonne nouvelle, je la partage avec moi-même !

    Si la ruine du foot pouvait éteindre les émissions de sport qui phagocytent les écrans de toutes les chaînes de télévision dès le vendredi, avec les préparatifs, jusqu’au lundi avec les comptes rendus, je serais enfin moins à cran. Combien de chaînes thématiques couvrent le sport et permettent aux affamés de performances de satisfaire leur appétit athlétique ? 10, 15 peut-être en furetant avec la zapette ? Quelle audace convenue de laisser croire que tout le monde aime le foot ! À commencer par ces hommes (femmes !) politiques qui affectent d’être supporters avisés et pratiquent les gradins sous l’œil bienveillant de caméras télécommandées depuis les PC de campagne…

    S’il n’y a qu’un résistant, je suis celui-là. Mais je doute d’être un Robinson sur l’île de l’indifférence tenace et de plus en plus exacerbée au ballon rond !

     
    Les commentaires sont libres sur Boulevard Voltaire.
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    À chacun de s’appliquer cette règle qui fera la richesse et l’intérêt de nos débats.
    Merci d’avance.
    BOULEVARD VOLTAIRE
  • Les douze champs de bataille de la guerre contre le cosmopolitisme

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    Une réflexion stratégique d’Henry de Lesquen.

    L’idéologie dominante se manifeste sous différents aspects
    – « le grand remplacement » (la substitution de population) ;
    – « le grand effacement » (la non transmission de l’histoire et de la mémoire identitaire) ;
    – « le grand dérangement » (la rupture des traditions, la dénaturation du mariage). Ces différents aspects sont en cohérence les uns avec les autres, ce ne sont que des expressions particulières de l’idéologie cosmopolite imposée par la superclasse mondiale. Pour y faire face la lutte contre le cosmopolitisme doit s’inscrire dans une bataille d’ensemble, cohérente dans ses actions. Et unir dans un combat commun adversaires du « mariage gay », de l’immigration-islamisation et de la perte de souveraineté.
    Polémia.

     


    Ne pas aborder le champ de bataille en ordre dispersé

    Dans les différentes dénominations qui recouvrent le dogme cosmopolite, « idéologie dominante », « pensée unique », « politiquement correct », les attributs « dominant », « unique » sembleraient lui accorder un caractère uniforme. Or ce dogme, dans son expression, coiffe un ensemble d’aspects qui puisent à la même source. Il en résulte, pour le contrer, plusieurs « champs de bataille » qui, s’ils sont abordés en ordre dispersé, nuisent à la cause à défendre : celle de nations souveraines, respectueuses de leur histoire et de leurs traditions. Ainsi, ce fut une erreur pour les dirigeants du mouvement « La manif pour tous » d’associer à ses rassemblements, sous le prétexte d’une opposition commune au mariage homosexuel, des membres de l’UOIF dont l’objectif est une « islamisation » de la France.

    La lutte contre le cosmopolitisme doit s’inscrire dans une bataille d’ensemble, cohérente dans ses actions.

    Ce cosmopolitisme, manifestation de l’utopie égalitaire de la gauche, constitue un basculement de celle-ci d’une vision « étatiste » à un idéal xénophile. Apparaît la notion de « citoyen du monde », or celle-ci recèle une totale contradiction puisque, par essence, il n’est possible d’être citoyen qu’à l’intérieur d’une frontière : « pas de frontières, pas de cité ». Il faut se référer, ici, à l’école Cynique, au temps de l’antiquité grecque, dont la figure emblématique fut Diogène qui incrimina non seulement les frontières matérielles de la cité mais qui prôna la disparition des frontières spirituelles que sont la morale et la tradition.

    Le cosmopolitisme contre les frontières matérielles

    Henry de Lesquen a distingué douze champs de bataille. Les quatre premiers nommés touchent aux frontières matérielles. Il s’agit de la « supranationalité », opposée à la souveraineté, de la théorie du réchauffement climatique, du libre-échange et de l’immigration.

    – La « supranationalité » trouve des origines juridiques dans la création en 1920 de la Cour internationale de justice internationale, dit Tribunal de La Haye, et de la signature en 1950 de la Convention européenne des droits de l’homme. Ces institutions comptent parmi les prémisses du projet cosmopolite d’instaurer un Etat mondial.

    – La praxis conduisant à celui-ci s’exprime, parmi d’autres axes, par l’affirmation, scientifiquement contestable, d’un réchauffement du climat de nature anthropique, allégation promue par le GIEC, organisme supranational, émanation de l’ONU. Le renversement de la tendance climatique observée ne pourrait sourdre que d’un engagement international qui sert la cause d’un gouvernement mondial. Au rebours de la théorie émise par les membres du GIEC, il faut d’ailleurs constater que les périodes de réchauffement du climat furent celles d’une prospérité.

    – Le libre-échange, dans sa volonté d’abolir toute entrave à la circulation des biens et des services, et l’immigration, postulant le libre déplacement des hommes par-delà les frontières, constituent les socles d’un monde politiquement unifié. La thèse « libre-échangiste » se heurte aux faits. En empêchant les Etats d’élever des protections douanières, l’étude montre que loin de favoriser la croissance économique, l’application de la doctrine a pour effet, pour nos Etats européens, de les précipiter, au moins, dans la stagnation économique avec toutes les conséquences qu’elle implique. S’agissant de l’immigration, si la population française est restée stable dans ses origines de 550 à 1850, s’y sont mêlés, à partir de cette date, d’abord des migrants venus d’autres pays d’Europe ayant le même creuset comme civilisation. Pour Jules Ferry, le principe était que ces habitants nouveaux devaient s’assimiler. Depuis 1950, l’immigration provient pour la plus large part, devenue maintenant pratiquement exclusive, de régions non européennes. Elle présente pour l’assimilation, autrefois considérée comme une nécessité, deux obstacles majeurs qui tiennent à la race et à la religion. Nos édiles y voient un cheminement vers la société du métissage, mixage obligatoire, dont Nicolas Sarkozy se fit le chantre lors de son discours à l’école Polytechnique, le 17 décembre 2008.

    Le cosmopolitisme subvertit la pensée

    Agissant sur la formation de la pensée, d’autres domaines d’action de l’idéologie cosmopolite constituent autant d’espaces où elle doit être contrebattue. Henry de Lesquen distingue ainsi l’antiracisme, la religion de la shoah, la défiguration de l’histoire, l’art contemporain, la famille, l’Etat de droit, la justice pénale et la défense de la langue française.

    « L’antiracisme » est le faux-nez principal du cosmopolitisme qui postule la non-existence des races, assertion contraire à la simple observation. Cette négation de la réalité relève d’un refus de l’identité des nations. A cet égard, il faut rappeler le propos de De Gaulle à Alain Peyrefitte :

    « C’est très bien qu’il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns.
    Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu’elle a une vocation universelle. Mais à condition qu’ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne
    ».

    Au-delà même de la notion de race, il apparaît que « l’antiracisme » est un refus de la discrimination. Hors discriminer c’est choisir, la loi Pleven du 1er juillet 1972, par ses conséquences, porte ainsi atteinte aux libertés fondamentales.

    La pensée cosmopolite use aussi de l’histoire en la défigurant par la mise en exergue des revers subis ou la transformation des faits. Présenter une période sous l’angle de la défaite bien que le dénouement fut inverse est une posture qui remonte même au XIXe siècle. La lecture des manuels de Malet et Isaac montre la place privilégiée accordée dans le récit de la guerre Cent ans aux défaites de Crécy, de Poitiers et d’Azincourt au détriment de l’issue victorieuse, pour la France, du conflit, notamment, par les batailles de Formigny et de Castillon. L’esclavage paraît être le seul fait des Européens alors que la traite atlantique s’alimenta auprès d’empires négriers d’Afrique de l’ouest, qu’il y eut une traite musulmane et que ces européens eux-mêmes furent victimes de la traite organisée par les barbaresques.

    S’il faut souligner deux domaines où l’idéologie dominante exerce son influence délétère, « l’art contemporain » pour lequel Tom Wolfe livre une analyse intéressante de ce « non art » dans son roman « Bloody Miami » et la famille dont l’institution se délite depuis quelques décennies (suppression par la loi du 4 juin 1970 de la notion de chef de famille ; multiplication des naissances hors mariage : 1% avant 1789 jusqu’à 5% au début des années soixante-dix, 50% de nos jours), il en est un autre qui suscite peut-être moins d’attention mais qui est fondamental dans ses effets : l’Etat de droit.

    Par nature un Etat, quel qu’il soit, est créé du droit. Tout Etat est donc un Etat de droit. Toutefois, la notion a pris un sens propre, décalque d’une vision de juristes allemands, le Reichstett, lui-même inspiré du Rule of law britannique. Le juge se fondant sur le principe d’un Etat de droit va opposer à l’Etat et au gouvernement ses procédures internes. Par exemple, si la loi punit d’un an d’emprisonnement la présence illégale sur le territoire national, le juge s’estime fondé à contester l’interpellation au motif d’un contrôle irrégulier.

    La société marchande implique l’Etat de droit et réduit ainsi la fonction souveraine à son aspect purement juridique.

    Inspirée par Marc Ancel qui nie la valeur de la responsabilité, l’évolution de la justice pénale privilégie la rééducation du criminel, le considérant à la limite comme un malade qu’il faudrait soigner. Mais l’homme est responsable de ses actes ce qui peut conduire à l’application de la peine de mort à laquelle s’oppose le cosmopolitisme.

    Enfin cette idéologie construit son expression sur une langue, l’anglais, qu’elle voudrait universelle au détriment des autres langues reléguées à un rôle purement local.

    Conclusion

    En conclusion, Henry de Lesquen se réfère au livre de Thierry Bouclier La République amnésique qui montre comment l’ordre politique dominant est maintenant fondé sur la diabolisation de l’adversaire. Il procède à des confusions et à des amalgames afin de déconsidérer l’opposant. Il fait accroire que l’extrême droite inclue le national-socialisme alors que le nazisme dans ses termes comme dans ses inclinations ne répond aucunement à un entendement de droite. Il existe, certes, des personnes et des idées excessives à l’extrême-droite mais l’attitude vis-à-vis de cette dernière doit être parallèle à celle de la gauche par rapport à son extrême gauche.

    Face au cosmopolitisme, il ne faut pas mener de combats séparés sans penser à leurs sources communes.

    Michel Leblay
    Club de l’Horloge

    Ce texte a été établi par Michel Leblay. Il présente une synthèse du « carrefour doctrinal » du Club de l’Horloge tenu par son président Henry de Lesquen, le 17 octobre 2103 sur le thème « Les douze champs de bataille de la guerre contre le cosmopolitisme ». Cette conférence constitue un préambule à la 29e université annuelle du Club qui se déroulera samedi 23 et dimanche 24 novembre 2013.

    Voir aussi :
    http://www.polemia.com/lideologie-de-la-superclasse-mondiale/
    http://www.polemia.com/dissidents-de-toute-tendance-unissez-vous/

    Source : Polémia.

    Crédit photo : numbphoto via Flickr (cc)

     

  • Aïd-el-Kébir 2013: 1100 moutons égorgés à Trappes (78)

    Le 15 octobre 2013, la Fondation Brigitte Bardot est présente à l’abattoir temporaire de Trappes pour dénoncer l’égorgement des moutons sans aucune insensibilisation préalable. Aïd-el-Kebir et abattage rituel quotidien dans les abattoirs : la Fondation Brigitte Bardot exige que tous les animaux soient étourdis avant leur mise à mort pour leur éviter d’inutiles souffrances.

    NOVOPRESS - 26/10/13

  • L’Iran a exécuté 16 rebelles

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    Aujourd'hui, 15:59                                      

          

     

    Par La Voix de la Russie | L'Iran a exécuté 16 personnes liées à des groupes rebelles nationaux.

     Selon les médias iraniens, le Procureur général du Sistan-Baloutchistan a expliqué que ces hommes ont été pendus afin de venger l'attaque sanglante réalisée par des hommes armés sur la frontière iranienne.

     Selon les nouvelles informations, un combat contre un groupe d'hommes armés à la frontière avec le Pakistan a tué 14 gardes-frontières iraniens. 5 autres ont été blessés. L'incident est survenu dans les montagnes sur le territoire de la province du Sistan-Baloutchistan vendredi dernier.
    http://french.ruvr.ru/news/2013_10_26/L-Iran-a-execute-16-rebelles-3766/

  • PEA, PEL, assurances-vie : l’Etat socialiste s’attaque sauvagement à l’épargne des Français

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    Les députés ont voté mercredi une hausse brutale du taux de «prélèvements sociaux », à 15,5 %, pour certains contrats d’assurance-vie, les plans d’épargne en actions (PEA) et plans d’épargne logement (PEL).

    Ils ont décidé que cette mesure s’appliquait dès le 26 septembre (avant le vote donc, pour empêcher les gens de réagir), sur les placements faits à partir de 1997 !
    Il s’agit donc bien d’une mesure rétroactive, prenant au piège les Français qui ont pu épargner .

    Ils n’osent pas encore taper directement dans les comptes bancaires, mais on y vient par étapes.

    Une mesure scandaleuse et injuste à l’encontre du peuple, votée par 64 voix contre 22 (sur 577 députés, payés une fortune)…

    Le gouvernement espère ainsi extorquer au peuple 600 millions d’euros.

    Le prétexte évoqué cette fois est le fameux trou de la sécurité sociale (creusé par l’Etat en bonne partie au profit des étrangers).

    Tiens, c’est le même montant que l’Aide médicale d’Etat (AME), versée gracieusement à tous les clandestins qui entrent en France en violant la loi !
    Ca nous rappelle aussi les 500 millions d’euros d’aide à la Tunisie islamisée promis par François Hollande en juillet dernier !

    Ou encore, la dette actuelle de l’Algérie antifrançaise envers la France, et qui s’élève à … 600 millions d’euros !

    Contre-info.com

  • Immigration : sept Français sur dix veulent changer les règles

     

     

    Notre sondage BVA pour i-télé et « le Parisien »-« Aujourd’hui en France » est sans appel : sept Français sur dix souhaitent une réforme du droit du sol. Mais ils y voient aussi une manœuvre électorale de Copé…

    Henri Vernet | Publié le 25.10.2013, 23h51 | Mise à jour : 26.10.2013, 00h06

    ILLUSTRATION. CEREMONIE DE REMISE DES DECRETS DE NATURALISATION FRANCAISE A LA PREFECTURE DE BEAUVAIS (OISE) 

    ILLUSTRATION. CEREMONIE DE REMISE DES DECRETS DE NATURALISATION FRANCAISE A LA PREFECTURE DE BEAUVAIS (OISE)  | LE PARISIEN/ Arnaud DUMONTIER

                                                                         

                                                               

    Réformer les règles de l’immigration, en touchant notamment au droit du sol ? C’est la proposition choc lancée par Jean-François Copé au début de la semaine, déclenchant un tollé à gauche et suscitant un léger malaise auprès d’une partie de son propre camp. Eh bien, révèle le sondage BVA pour l’émission « CQFD », sur i-télé, et notre journal, les Français sont massivement pour. Sept Français sur dix (72 %) approuvent cette idée… sans forcément savoir qu’elle émane du patron de l’UMP.
     
    Pour ne pas biaiser les résultats, en effet, BVA n’a pas fait référence dans sa question à la proposition de Copé. « Du coup, le résultat est d’autant plus intéressant puisqu’il fait apparaître que les sympathisants de gauche sont tout de même 47 % à être favorables à une telle réforme », commente Céline Bracq, de BVA Opinion. Plus piquant encore, les sympathisants écolos l’approuveraient à 43 %, alors que les dirigeants verts sont vent debout contre cette idée !

    « Les Français sans pitié pour ceux qui voudraient profiter du système»

    Plusieurs raisons à cela. D’abord, le thème de l’immigration regagne du terrain parmi les préoccupations prioritaires des Français, même s’il reste nettement derrière le pouvoir d’achat ou l’emploi. Brandi en permanence par le de , désormais repris par l’UMP et même par la gauche — avec la réforme annoncée par Valls du droit d’asile —, le sujet préoccupe de plus en plus, constatent les sondeurs.

    Autre explication à ce véritable plébiscite, l’idée, largement partagée, que la nationalité française se mérite. « Les Français se montrent sans pitié pour ceux qui voudraient profiter du système, poursuit Céline Bracq. Ils estiment que seuls ceux qui respectent les règles doivent avoir accès à la nationalité. » En cela, donc, ils rejoignent la proposition de Copé. Celui-ci veut en finir avec l’acquisition automatique de la nationalité à 18 ans, lorsque les enfants sont nés de parents séjournant illégalement en .

    Pour autant, l’opinion n’est pas dupe. Pour 76 % des personnes interrogées, le patron de l’UMP cherche avant tout à mobiliser les électeurs en vue des élections municipales et européennes de l’an prochain, plutôt que de parler d’un sujet qui préoccupe les Français. De fait, l’UMP étant minoritaire, ce projet n’a aucune chance de passer. Même parmi les amis de la droite, ils sont majoritaires (56 %) à dénoncer ce calcul électoraliste. « Or, reprend Céline Bracq, il n’est pas souhaitable pour un homme politique que sa démarche apparaisse aussi tacticienne. Nous avions enregistré des résultats similaires lors du débat sur l’identité nationale en 2009 : l’année suivante, les élections régionales furent catastrophiques pour l’UMP alors que le FN, lui, avait progressé… »

     

    LeParisien.fr

  • Berlin prépare un nouveau traité européen pour une nouvelle Europe

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    Selon le Spiegel, Angela Merkel et Wolfgang Schäuble préparent un nouveau projet de modification des traités européens pour renforcer le pouvoir de coercition de la Commission européenne pour faire respecter les engagements budgétaires des pays de la zone euro.

    Selon le Spiegel, ce projet en préparation au ministère fédéral allemand des Finances vise à faire respecter « des contrats » auprès des pays pour « améliorer leur compétitivité » et « respecter leurs engagements budgétaires », c’est-à-dire les réformes structurelles et les  politiques d’ajustement mis en place dans le cadre des plans de soutien accordés aux pays en difficultés financières depuis 2010.

    Berlin propose également une nouvelle structuration de l’Europe avec le projet de construire la zone euro autour du modèle allemand, qui fonde son modèle économique sur les exportations et pas sur la demande intérieure, pour dégager des excédents commerciaux et courants. Tous les pays de l’Union économique et monétaire devraient alors exporter vers des pays tiers et importer moins, et donc trouver de nouveaux marchés ailleurs.

    Pour Angela Merkel, il s’agit de s’assurer que les pays sous aide financière puissent rembourser les dettes qui leur ont été accordée et ne plus avoir besoin du soutien financier des autres pays de l’Union, pour ne pas transformer la zone euro en une « union des transferts ».

    Ce projet berlinois pourrait ouvrir la voie à une nouvelle Europe. Mais on peut se demander s’il renforcera l’intégration et le sentiment d’appartenance par tous ses membres.

    Sources : Der Spiegel / Le JDS

  • Montée fulgurante du FN, ce choc du réel qui laisse sans voix

    Ecrit le 25 oct 2013 à 13:02 par Pierre Saint-Servant dans Poing de vue

     
     

    Marine Le Pen est perçue par 50 % des Français comme la personnalité politique « la plus capable de réformer en profondeur le pays ». Voici le résultat d’une enquête de l’institut CSA pour le site d’informations Atlantico, conduite en octobre 2013. La question était même plus précise, évoquant la capacité des politiques à « surmonter les blocages au sein de la société française ». Autrement dit, à faire preuve de courage face aux coteries défendant leurs privilèges ou aux communautarismes souhaitant désormais imposer leur loi. Un tel chiffre n’est pas anodin, d’autant plus qu’il contraste avec les 21 % du président en exercice, et avec les 26 % du patron de l’UMP, Jean-François Copé.

    Les chiens aboient, de plus en plus seuls …

    Ce dernier sondage succède à de nombreux autres qui ont commencé à poindre au début de l’été. Les citer tous serait aussi laborieux qu’inutile. La fissure du mur médiatique est autrement plus intéressante. Ne pouvant plus nier la triple évidence de l’impopularité croissante de François Hollande et de sa majorité, de l’absence de crédibilité de l’UMP en tant qu’opposition et de la montée des idées populistes, les médias se sont enfin saisis de la montée de Marine Le Pen et de son parti. Pour en dire quoi ? C’est là que les choses deviennent intéressantes. La très grande majorité du personnel médiatique, formaté par des décennies de conformisme idéologique et de rigoureuse autocensure, reprend les grands chants de la lutte contre les extrémismes, de la nécessité de préserver le « pacte républicain » voire de sauver la liberté, la démocratie et leur package habituel. Mais parmi le troupeau, nous pouvons trouver quelques voix, rares encore, qui ne peuvent cacher leur malaise et qui se contentent de « rendre compte » de cette incroyable mais bien réelle poussée populiste. Il faut bien le reconnaître, chaque jour de nouvelles personnalités que l’on n’attendait pas, rejoignent avec sourire et conviction, le mur des cons.

    La perplexité du camp dissident

    Pour ceux qui bataillent depuis plusieurs années voire décennies, dans le camp de la dissidence patriote et identitaire, ces sondages sont tout aussi troublants. Car être troupier dans ce camp, c’est très souvent lutter à la Don Quichotte, pour la beauté du geste plus que pour le confort du siège, c’est apprendre à avancer face aux vents contraires, à prendre les coups en serrant les dents. Or, il apparait de plus en plus que la silencieuse et héroïque résistance de quelques-uns porte peu à peu du fruit. La belle sentence de Saint-Exupéry : « Nos fidélités sont des citadelles » trouverait-elle enfin l’occasion de prendre corps ? N’allons pas trop vite. Gardons notre sûr pessimisme qui nous distingue du progressisme fou des foules de gauche. Mais sachons également reconnaître que nous avons réellement quitté nos positions défensives et que la contre-attaque donne d’excellents résultats. La défense de notre identité est loin d’être acquise, mais nous avons fait de belles prises et conquis de solides positions.

    Le village de Saint Restitut

    Le village de Saint Restitut

    Après la surprise, poursuivre l’offensive

    Face au rouleau compresseur du système, qui s’appuie sur l’efficacité idéologique des médias et de l’Education nationale, rien n’est acquis. Il convient donc, chaque jour, de consolider nos positions. Comment ? Le texte de Jean-Yves Le Gallou « Municipales 2014, pour quoi faire ? » résume parfaitement les principaux axes de travail, y compris les plus concrets : poursuivre et soutenir l’effort de ré-information, se réapproprier notre identité culturelle et notre plus longue mémoire, lutter sur le terrain contre la dégradation ou la privatisation communautariste de nos quartiers et de nos villages, soutenir les écoles hors-contrat et l’enseignement traditionnel avec sa beauté et son exigence, faire de nos familles et de nos communautés amicales des bastions, et au final cultiver l’esprit de résistance et de reconquête, inlassablement.

     

    NOUVELLES DE FRANCE

  • Avignon - Ils l'agressent à cinq pour un "mauvais regard"

    L’agression s’est produite à l’entrée du centre commercial Cap Sud à Avignon. Un jeune Avignonnais de 19 ans se balade avec sa petite amie. Quand son regard vient à croiser celui d’une bande de jeunes individus. Cinq personnes qui n’admettent pas qu’on les regarde dans les yeux. Et ils le font savoir.

    Le nombre jouant pour eux, ils ont vite raison du jeune majeur. L’altercation ne dure que quelques instants puis ils prennent la fuite.

    Choquée, la jeune femme décide de prévenir son frère par téléphone. Ce dernier est employé sur un chantier non loin de là. Il ne lui faut que quelques minutes pour être sur place. Il se met à la recherche de la bande qu’il repère dans le restaurant Quick. À seulement quelques centaines de mètres. Cette fois-ci, c’est à eux de prendre la fuite.

    Une poursuite dans la cité de Saint-Chamand

    Quasiment au même moment, une patrouille de la Bac d’Avignon arrive sur place. Le frère se joint à eux et le véhicule fonce en direction de la cité Saint-Chamand. La bande est de nouveau repérée. De nouveau, les cinq complices prennent leurs jambes à leur cou. Sauf que l’un d’eux, moins rapide, est interpellé. Il a 17 ans et habite le quartier. Placé en garde à vue, il a fini par avouer les faits. Laissé libre hier, il écope d’une convocation pour une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité doublée d’une convocation par officier de police judiciaire pour le 9 janvier.

    par R.D. le 25/10/2013
     
    Vauclusematin.com           
  • Sous Hollande, nous assistons à la lente disparition d’une nation millénaire, la France

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    La France de nos parents, notre vieux pays si attachant, est en train de disparaître peu à peu avec la complicité, aussi coupable que consternante, de nos élus. Sous le poids écrasant d’une immigration massive de déshérités, qui ruine notre modèle social et déstabilise la société, la France subit un appauvrissement généralisé et un choc identitaire sans précédent. C’est ainsi que sous l’implacable dictature du politiquement correct, qui impose au peuple français une société multiculturelle qu’il n’a jamais souhaitée, on assiste à un total renversement des valeurs, où les droits des étrangers priment systématiquement sur ceux des citoyens nationaux.

    L’humiliante affaire Leonarda, qui a ridiculisé à la fois notre pays et notre président, est la parfaite illustration du délabrement moral et civique de nos élites, responsables inexcusables de la déliquescence de l’Etat. Quand un sénateur, incite les étudiants à manifester pour le retour de Leonarda et sa famille, c’est un encouragement au désordre et à l’incivisme. Quand un chef de parti politique réclame également le retour de cette famille de clandestins, au comportement pourtant jugé accablant par les services sociaux de notre pays, c’est accorder une prime à la fraude et au mensonge. De telles prises de position sont en outre une insupportable marque de mépris envers les citoyens, puisque deux Français sur trois sont opposés au retour de la jeune Kosovare. Curieuse conception de la démocratie ! Rappelons en passant que ce sont les contribuables qui paient le train de vie des sénateurs….Tous ces responsables politiques, qui se gargarisent à longueur de journée avec les valeurs humanistes et les traditions d’accueil de la France, se gardent bien d’évoquer le coût de cette générosité tous azimuts et de ce social distribué à tout va sans le moindre contrôle. Car en définitive, les largesses sans fin de nos élus se paient au prix fort, à la fois par une diminution des droits des Français et par une fiscalité toujours plus écrasante. C’est cela la triste vérité. La société multiculturelle que nous vantent nos élites, est non seulement un échec, vu le ratage flagrant de l’intégration, mais de plus, elle nous ruine chaque jour davantage.

    Malgré ses 1900 milliards de dette, en constante augmentation, la France continue d’accueillir, de loger, de soigner et d’éduquer toute la misère du monde. On peut évidemment contester les chiffres du coût réel de l’immigration, dont le déficit économique est évalué entre 50 et 70 milliards par an, mais il n’en demeure pas moins qu’une immigration de déshérités sans la moindre qualification, coûte bien plus cher en social que sa contribution au PIB. Si l’immigration est une richesse, elle l’est uniquement pour les immigrés venus de pays où le PIB par habitant est souvent de 200 dollars par an ! Avec ses cinq millions de chômeurs et une croissance nulle, la France n’a donc nul besoin d’accueillir chaque année 200 000 nouveaux candidats à l’Eldorado, totalement inutiles à notre économie. Et prétendre que les immigrés viennent occuper les emplois que les Français refusent est un mensonge grossier. Non seulement ces emplois non qualifiés ne sont pas extensibles, mais de plus ils sont tenus depuis des lustres par les immigrés des générations précédentes. Tout nouvel arrivant va donc alimenter le flot des assistés ou grossir le nombre des sans emploi, puisque le taux de chômage atteint déjà 40% chez certaines minorités. D’ailleurs, moins de 5% des nouveaux arrivants ont un contrat de travail. Avons nous les moyens de plomber encore davantage nos comptes sociaux ? Alourdir la barque, c’est appauvrir encore le pays et c’est diviser la société par toujours plus d’injustices. Car dans bien des domaines les étrangers sont servis avant les Français. Et les exemples sont légion.

    On soigne gratuitement chaque année 220 000 sans papiers, sans aucune limitation de dépenses, alors que cinq millions de Français n’ont pas de mutuelle et qu’un tiers d’entre eux ont différé leurs soins en 2012 faute de moyens.

    On loge chaque soir plus de 20 000 sans papiers et déboutés du droit d’asile, alors que de jeunes couples de Français attendent un logement social depuis huit ans pour avoir leur premier enfant.

    On accorde 787 euros de retraite par mois à tout étranger de 65 ans, n’ayant jamais travaillé ni cotisé en France, alors que certains de nos paysans, ayant travaillé toute leur vie, ont moins de 400 euros de retraite mensuelle.

    On accueille 60 000 étudiants étrangers, bien que certains ne parlent même pas français et représentent la principale filière de clandestinité, alors que des milliers de jeunes Français abandonnent leurs études faute d’avoir obtenu une bourse suffisante.

    On entretient au bas mot 30 000 polygames à prix d’or, certains d’entre eux ayant quatre femmes et plus de vingt enfants, alors que la polygamie est interdite en France, mais on diminue le quotient familial des Français qui travaillent et paient des impôts.

    On accueille des centaines de médecins étrangers pendant qu’on limite le nombre de nos étudiants dans les facultés de médecine.

    On évacue les grands personnages de l’histoire de France, aussi glorieux soient-ils, mais on enseigne à nos enfants, qui ne savent plus qui sont Clovis ou Napoléon, l’histoire des empires africains, dont l’héritage culturel légué à la postérité reste à démontrer.

    On finance indirectement les mosquées, mais on n’a plus d’argent pour restaurer les églises.

    On ferme les yeux sur la cruauté de l’abattage halal, alors que nos lois punissent sévèrement la maltraitance des animaux.

    On brade la nationalité française en accordant le droit du sol aux enfants de clandestins et en fermant les yeux sur les milliers de mariages blancs chaque année. On assiste à un colossal détournement du droit du sol avec les Comoriennes, les Surinamiennes, les Haïtiennes qui viennent accoucher en grand nombre à Mayotte, à Cayenne et à Pointe à Pitre. Etc. Etc.

    Dans tous les domaines, c’est la capitulation sans conditions d’un Etat avachi, face aux revendications communautaristes. C’est ainsi que les mariages arrangés, les mariages religieux sous le manteau, les répudiations, la polygamie et autres coutumes arriérées, sont devenus la norme au pays des droits de l’homme ! C’est donc un immense bond en arrière pour la liberté et l’égalité des femmes que cautionnent nos élus. Nous sommes de très loin le premier pays polygame d’Europe. A l’heure où Bruxelles règlemente chacun de nos gestes quotidiens, un tel recul de société est ahurissant.  Incapables de défendre la laïcité, pilier essentiel de notre république, nos élus encouragent par leur renoncement permanent, une lente islamisation de la société, laquelle gagne l’école, les milieux hospitaliers, les entreprises, les administrations et la voie publique.

    Au nom de « l’acceptation de l’autre », ce n’est plus l’immigré qui s’intègre, mais la société tout entière qui doit s’adapter aux us et coutumes des ceux qu’elle accueille à bras ouverts. Mais de concessions en petits arrangements, c’est tout le principe de la laïcité qu’on détruit peu à peu.

    Nous assistons en fait à la lente disparition d’une nation millénaire, laquelle, après tant d’épreuves surmontées dans le sang et les larmes au cours des siècles, ne survivra pas au changement de population qui s’opère, compte tenu du choc inévitable entre des cultures fondamentalement différentes. L’image paradisiaque d’une société pluriethnique, que nous vantent nos élites hypocrites, n’est qu’une illusion. Et les innombrables violences interethniques que nous voyons à travers le monde en sont la preuve. Le « vivre ensemble » n’est qu’une expression vide de sens s’il n’y a pas de réelle volonté d’intégration des arrivants. L’abandon de la politique d’assimilation, qui a fait ses preuves avec tant de générations d’immigrés, imposé au nom du droit à la différence, ne peut mener qu’à la libanisation du pays, avec les risques de conflits que rencontrent les sociétés éclatées.

    Et la question que de plus en plus de Français se posent, mais qui reste à ce jour sans réponse, est la suivante :

    Comment des élites, censées être responsables du devenir et du destin d’un peuple, peuvent-elles dilapider l’héritage culturel que nous ont légué les générations passées, en sacrifiant ainsi l’avenir des générations futures ? C’est totalement incompréhensible. Mais ce que l’on comprend parfaitement, en revanche, c’est l’irrésistible ascension de Marine Le  Pen, seule personnalité politique à avoir compris que les Français étaient profondément attachés à leur histoire, à leurs racines chrétiennes et à leur culture gréco-latine. Dommage que ses adversaires n’aient strictement rien compris aux bouleversements qui s’annoncent.

    Jacques Guillemain

     

    RIPOSTE LAÏQUE

  • Le père rom de "l'ange blond" serait porteur de gènes albinos selon le résultat des tests ADN

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    Une famille rom portant des gènes albinos a expliqué avoir été contrainte de laisser la petite Maria en Grèce en 2009. Des tests ADN ont prouvé ses dires.

     

    «L''ange blond» est bel et bien un enfant rom. Loin des théories selon lesquelles la blonde et pâle Maria, 4 ans, aurait été volée à ses parents biologiques par des Roms vivant en Grèce, des tests ADN ont prouvé que Maria est en réalité l'enfant d'un couple rom de Bulgarie, dont le père porte des gènes albinos.

    LE FIGARO - 24/10/13

    Voilà qui explique pourquoi Maria est blonde aux yeux bleus !

     

     

  • Une Américaine face au racisme anti-blanc

    Aux Etats-Unis, c’est pire qu’en France. Sur cette vidéo on peut voire un enfant de cinq ans qui se fait humilier au jardin d’enfant car il est blanc. L’institutrice lui explique que personne n’est blanc. Même si on n’est pas forcément d’accord avec les propos de la présentatrice de cette vidéo, elle soulève certaines questions. Le racisme anti-blanc est une réalité aux Etats-Unis comme il l’est en France et en Europe de manière plus générale. Les pires racistes anti-blanc ne sont pas forcement les membres des minorités visibles mais les politiciens et leurs médias qui minimisent systématiquement les crimes dont les blancs sont victimes, qui discriminent leur concitoyens dans l’accès au logement et à l’emploi, créant ainsi la division et les tentions communautaires.

     

    ALTERMEDIA FRANCE-BELGIQUE - 24/10/13

     

    Ce n'est pas  juste une question de mélanine...

     

     

  • Peut-on se fier à cent pour cent à des analyses d'ADN ?

    http://tpe-adn-police-scientifique.e-monsite.com/pages/peut-on-se-fier-a-cent-pour-cent-a-des-analyses-d-adn.html

  • Les parents de Maria sont un couple de Roms bulgares

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    Sacha Rousseva, 35 ans, est la mère de "l'ange blond" selon les tests ADN

     

     

     

    Les parents biologiques de la fillette blonde découverte dans un camp de Roms en Grèce sont un couple de Roms bulgares, montrent les résultats de tests ADN rendus publics vendredi.

     

    Le parquet de Bulgarie tente désormais de déterminer si la mère de l'enfant, Sacha Rousseva, qui aurait 35 ans, a vendu son enfant en Grèce, ce qu'elle dément.

     

    Sacha Rousseva dit avoir laissé sa fillette alors âgée de sept mois en Grèce en 2009, où elle travaillait comme ramasseuse d'olives, parce qu'elle ne pouvait pas s'en occuper et qu'elle devait retourner en Bulgarie.

     

    Son mari, Atanas Roussev, âgé de 37 ans, est le père biologique de Maria.

     

    Le couple a neuf autres enfants âgé de 2 à 20 ans et vit dans une extrême pauvreté dans une maison délabrée au sol en terre battue à Nikolaevo, une ville à 280 km à l'est de Sofia.

     

    "Nous vivons tous dans la même pièce, mon mari, moi et tous les enfants", a expliqué Sacha Rousseva aux journalistes venus l'interroger jeudi soir.

     

    Le sort de la fillette de quatre ans, appelée Maria et surnommée "l'ange blond" par les médias grecs, a intrigué à travers le monde. Elle a été découverte la semaine dernière, cachée sous une couverture dans un camp rom du centre de la Grèce, et des tests ADN ont montré que le couple avec lequel elle vivait n'était pas ses parents.

     

    Maria a été prise en charge par une organisation caritative grecque, qui dit avoir reçu plus de 10.000 appels téléphoniques de personnes proposant d'aider l'enquête ou de parents d'enfants disparus.

     

    Les Roms sont au nombre d'environ dix millions en Europe. Ils sont l'une des plus anciennes minorités du continent, et l'une des plus visées par la discrimination selon le Conseil de l'Europe.


    Tsvetelia Tsolova, Bertrand Boucey et Jean-Stéphane Brosse pour le service français

     Capital.fr

     

    NdB: Peut-on se fier entièrement aux tests ADN ?