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  • Après la tuerie de Newton, l'interdiction des armes à l'école remise en cause

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    Il faut plus d'armes dans écoles pour qu'on y déplore moins de victimes. S'il a tout pour surprendre, cet argument est d'une logique imparable aux yeux de certains defenseurs de la libre circulation des armes a feu. En dépit du silence du principal lobby des armes américains, la NRA (National Rifle Association), des voix se sont élevées en ce sens au lendemain de la tuerie de Newtown.

    Comme celle de Larry Pratt, qui dirige l'association pro-armes Gun Owners of America, forte de 300 000 membres : "Les lois fédérales et nationales ont permis qu'aucun adulte n'ait le droit d'avoir une arme dans l'école de Newtown, où des enfants ont été tués. Cette tragédie souligne l'urgence qu'il y a à se débarasser de ces interdictions dans les zones scolaires", a -t-il estimé.

    Lire : Après la tuerie, Obama mis 'au défi d'agir' contre les armes

    Quelque 1 800 personnes ont d'ores et déjà signé une pétition allant dans ce sens, publiée vendredi sur le site de la Maison blanche "We The People" – ces pétitions, envoyées par les citoyens américains, doivent dépasser le seuil de 25 000 signatures en un mois pour recevoir une réponse du gouvernement. Le texte, qui requiert "des armes dans toutes les classes d'école", affirme que "si les professeurs et directeurs sont armés et entraînés à se défendre en cas d'attaque d'une école, il y aurait moins de victimes et moins de tentatives d'attaques d'école. C'est un fait : le taux de crimes diminue quand les gens sont mieux armés."

    Un point de vue démenti par une enquête du magazine américain Mother Jones, qui montre qu'au cours des 61 tueries de ces trente dernières années, aucun civil n'a jamais réussi à arrêter le massacre avec son arme.

    UN PROJET DE LOI POUR AUTORISER LES ARMES À L'ÉCOLE

    Armer plus pour tuer moins dans les écoles, c'est encore le point de vue de législateurs du Michigan qui, selon le quotidien USA Today, ont présenté un projet de loi pour autoriser le port d'arme en milieu scolaire moins de 24 heures avant la tuerie de Newtown. Le texte vise également d'autres lieux où les armes ne sont, jusqu'ici, pas les bienvenues : centres de soin, hôpitaux, bars, églises, stades. En échange, les propriétaires d'arme devront se plier à huit heures d'entraînement supplémentaires.

    Dans le Michigan, les partisans d'une telle loi brandissent le même argument, renforcé selon eux par la tuerie de vendredi : "Si quelqu'un – un personnel de l'école ou un parent d'élève – avait pu légalement porter une arme, il aurait au moins pu limiter, en partie, cette pagaille, explique ainsi Rob Harris, du Michigan Open Carry Inc. Cette législation doit passer pour, au moins, avoir une chance de lutter contre le démon qui habite ce monde." La Michigan Education Association n'est pas du même avis : "L'idée que les enseignants devraient porter des armes et faire feu quand il y a une menace est une bonne méthode pour qu'il y ait plus de morts encore – pas plus de sécurité", a estimé son président.

    LA CONSTITUTION AMÉRICAINE ET LES ZONES "SANS ARMES"

    Jusqu'ici, les écoles sont protégées par la loi sur les zones scolaires sans armes – une législation ajoutée au code du commerce en 1990. Elle a été jugée inconstitutionnelle en 1995 par la Cour suprême américaine, qui a estimé qu'elle n'avait pas de rapport avec le commerce, avant d'être réintroduite sous la présidence de Bill Clinton. Elle interdit le port des armes à feu dans un périmètre d'environ 300 mètres autour des écoles.

    Cette loi introduit ainsi une exception au fameux second amendement de la constitution américaine, qui garantit, "une milice bien organisée étant nécessaire à la sécurité d'un État libre, le droit qu'a le peuple de détenir et de porter des armes ne sera pas transgressé". Il fait partie des dix amendements originaires de la Déclaration des droits (Bill of rights), adoptés en 1791. Par ailleurs, la Cour suprême américaine "protège le droit des individus à posséder une arme à feu, sans connexion avec une milice, et à utiliser cette arme pour des motifs licites, comme la légitime défense dans sa maison".

    Lire le décryptage : Contrôle des armes : que peut faire Washington ?

    Après la tuerie de Newtown, Barack Obama s'est, une fois encore, gardé d'appeler clairement à un durcissement de la législation sur la circulation et la possession des armes à feu. La dernière loi votée par le Congrès dans ce domaine remonte à 1994 : elle a suspendu la vente libre des fusils d'assaut – jusqu'à ce qu'elle soit de nouveau autorisée en 2004. En 2010, la Cour suprême américaine a limité les possibilités, pour les pouvoirs locaux, de restreindre la possession des armes à feu. Selon Mother Jones, depuis quatre ans, pas moins de 99 lois ont permis de libéraliser le port d'armes aux Etats-Unis. Ces dernières sont passées de 200 millions en 1995 à 300 millions aujourd'hui.

    Angela Bolis

    LE MONDE - 15/12/12

     

  • Hillary Clinton victime d'une commotion cérébrale

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    La secrétaire d'Etat américaine s'est évanouie ce samedi après-midi et souffre d'une commotion cérébrale. Selon Philippe Reines, son porte-parole, elle se trouve actuellement chez elle où elle récupère.

    D'après un communiqué officiel, l'ancien sénatrice du Rhode Island était déshydratée à cause d'un virus gastrique.
     
     
    «Mme Clinton sera suivie régulièrement par ses médecins. Suivant leurs recommandations, elle continuera à travailler de chez elle la semaine prochaine en restant en contact régulier avec le département d'Etat et d'autres responsables», précise son porte-parole. «Elle espère être de retour au travail rapidement», insiste-t-il.

    En début de semaine, la chef de la diplomatie américaine avait annulé un voyage prévu au Maroc, en Tunisie et à Abou Dhabi en raison d'un «méchant virus gastrique».

    LeParisien.fr  - 15/12/12                          

     

     

     

  • Pilule contraceptive: une bordelaise porte plainte contre le groupe Bayer

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    15/11/2012 – 10h00
    BORDEAUX (NOVOpress via Infos Bordeaux)
    - C’est une première en France. Une bordelaise de 25 ans, Marion Larat, attaque en justice le groupe Bayer. Elle accuse la pilule de 3ème génération fabriquée par le géant pharmaceutique d’avoir provoqué l’AVC qui l’a laissée lourdement handicapée.

     

    Comme le révèle le Monde dans son édition du 14 décembre, en juin 2006, cette élève de classe préparatoire au lycée Montaigne de Bordeaux est victime d’un AVC massif (accident vasculaire cérébral, photo). Un œdème se développe dans son cerveau, elle plonge dans un coma dont elle se réveille, trois jours plus tard, hémiplégique et aphasique. S’ensuivent neuf opérations au CHU de Bordeaux, des mois en centre de rééducation. « Elle est désormais handicapée à 65 %, épileptique, sa main droite ne lui est plus d’aucune utilité (elle était droitière), sa marche et son élocution sont extrêmement laborieuses ».

    Selon Le Monde, la plainte devait être déposée ce vendredi 14 décembre auprès du procureur de Bobigny en Seine-Saint-Denis pour « atteinte involontaire à l’intégrité de la personne humaine » contre les laboratoires pharmaceutiques allemands Bayer qui fabriquent ces pilules de 3e et de 4e génération telles Jasminelle, Meliane, Convuline ou encore Belanette.

    La plainte est également dirigée contre le directeur de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) qui malgré les risques avérés n’a pas, en vertu du principe de précaution, retiré la pilule incriminée du marché. En effet, en juin 2012, la commission régionale de conciliation et d’indemnisation des accidents médicaux de Bordeaux a admis « l’imputabilité de l’AVC à la prise de la pilule ».

    Depuis quelques années le débat s’ouvre sur les risques des contraceptifs oraux sur la santé des femmes car ils ont provoqué de nombreux accidents en particulier les pilules de 3e et 4e générations. Nul doute que cette affaire devrait relancer le débat.

     

    [cc] Novopress.info, 2012. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. [http://fr.novopress.info/]

  • Jean-Marie Le Pen à Marseille - Le jeu de mots de Stéphane Ravier

    "Si Dieu me prête vie". C'est l'une des réponses favorites de Jean-Marie Le Pen quand on l'interroge sur la suite de sa carrière politique. Une manière d'indiquer que seule la nature est en mesure de l'empêcher de continuer.

    Le président d'honneur du Front national était samedi 15 janvier, à Marseille, pour un déjeuner débat avec les militants locaux. La veille, il était au Conseil régional, où il est élu. Depuis l'accession de sa fille à la tête du FN, il y a deux ans, Jean-Marie Le Pen a quitté le devant de la scène politique mais est toujours très demandé par la base, dans les fédérations.

    Ils étaient ainsi 300 à s'entasser au Royal Garden, dans le 9e arrondissement de la Cité phocéenne, à un jet de pierre du stade Vélodrome, pour écouter celui qu'ils appellent encore"président". Ils l'ont accueilli en chantant la Marseillaise et en criant des"Jean-Marie ! Jean-Marie !". Lui, était aux anges, prenait un visible plaisir à poser pour les photos.

    A l'observer, on voit qu'il n'est pas question pour lui de raccrocher les gants. Au moins dans l'immédiat."Si Dieu [lui] prête vie", donc, il sera tête de liste aux élections européennes en 2014, dans la région Sud-Est. Et ce, même si le FN n'a encore rien tranché officiellement."J'étais le vice-doyen du Parlement européen. Je voudrais bien être le doyen. J'aurais plaisir à être la statue du commandeur", fanfaronne-t-il.

    M. Le Pen, qui revient de trois semaines de vacances en République Dominicaine, est reposé. La meilleure façon d'exister pour lui est encore et toujours la provocation. Oh ! Il critique bien l'action de celui qu'il nomme"Flamby", à savoir le président de la République François Hollande. Mais il passe rapidement sur le sujet, préférant réagir"à chaud" à l'actualité récente. Et si devant les militants, son discours de près d'une heure, en milieu de déjeuner, s'axera principalement autour de l'immigration, lors de la conférence de presse, il reviendra sur deux sujets "brûlants".

    Comme la tuerie de Newtown, dans le Connecticut aux Etats-Unis, où 27 personnes dont 20 enfants ont été tuées par un tireur qui a fait irruption dans un établissement scolaire. Selon M. Le Pen,"la législation sur les armes n'a strictement rien à voir avec cet accident gravissime (...) épouvantable", ce"massacre". "L'interdiction du port d'armes n'a jamais empêché les truands d'avoir des 11.43 !", continue-t-il. "Cela s'est aussi produit dans des pays où la législation sur les armes est très sévère, comme en Norvège avec M. Breivik".

    Il insiste dans son raisonnement, devant les quelques journalistes. "S'il faut supprimer les armes aux Etats-Unis, il faut aussi boucher tous les ravins pour éviter les accidents d'autocars ! Mais on ne pourra pas éviter les chauffeurs poivrots..."

    Autre sujet d'actualité sur lequel M. Le Pen a tenu à s'exprimer : l'état des prisons. "Une situation scandaleuse", dénonce-t-il. Puis, il assène en s'énervant : "La Loi dispose que les condamnés en France sont privés de liberté. Ils ne sont pas condamnés systématiquement à la sodomie comme c'est le cas ! Et comme les sénateurs n'ont pas osé le dire ! Cachez cette sodomie que je ne saurais voir ! "Une pratique sexuelle que M. Le Pen évoquera – avec force grivoiseries – à nouveau lors de son discours devant des militants hilares, quand il dénoncera l'influence de la pornographie chez les jeunes et lorsqu'il parlera du Sida.

    En tous cas, cette tentation du"bon mot" – si l'on peut dire – semble contagieuse au FN. Ainsi, Stéphane Ravier, secrétaire départemental des Bouches-du-Rhône et futur tête de liste FN à Marseille lors des municipales de 2014, dira, à propos de l'éventuel retour de Bernard Tapie dans la politique marseillaise : "Le seul Tapie qui ait de l'avenir à Marseille, c'est le tapis de prière ! ". Un calembour que M. Ravier regrettera immédiatement devant certains journalistes.

    Abel Mestre, envoyé spécial à Marseille

    LE  MONDE - 15/12/12

     

     

     

     

     

     

     

     

  • La démocratie à la française : l’inversion accusatoire encore une fois à l’œuvre

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    15/12/2012 – 14h00
    PARIS (NOVOpress via le Kiosque Courtois) –
    L’un des participants à la manifestation du 18 novembre dernier organisée par l’Institut Civitas contre ledit “mariage pour tous”, est victime du “deux poids, deux mesures”…

    Il se nomme Aurélien. Aurélien doit utiliser un média libre, “La Voix de la Russie”, pour faire entendre sa version des faits… Nous le citons : “Le 28 novembre à 6 heures [du matin], j’ai été réveillé par les forces de l’ordre (…) qui m’ont menotté dans mon lit, une arme à feu braquée sur ma tempe. J’ai ensuite fait 48 heures de garde à vue et 15 heures de dépôt (…) et je suis désormais sous contrôle judiciaire avec interdiction de sortir du territoire français, et l’obligation de pointer tous les 15 jours au commissariat de ma ville (…) J’ai été traité comme un terroriste, alors que c’est nous qui avons été agressés !

     

    Aurélien dénonce les pressions politiques sur les policiers et l’inversion accusatoire dont il est la victime, ainsi que plusieurs de ses camarades

    Il précise en effet : “La police a expliqué notre « arrestation musclée » comme étant liée à des ordres venant « d’en haut » car cette affaire était devenue trop médiatique (…) Nous risquons 45 000 € d’amende et 3 ans de prison, sans compter les dommages et intérêts“.

    Rappelons que lors de cette manifestation, les Femen, une bande de furies violemment antichrétiennes, ont agressé les familles présentes en scandant des slogans orduriers, seins nus avec peint sur leurs poitrines « J’encule l’Église » ou encore, « J’encule Dieu » , et en répandant le contenu d’extincteurs sur la foule pacifique, dont de nombreux enfants. Ces activistes, qui ont reçu le soutien des médias du système, sont grassement entretenues entre autres par le “philanthrope” Helmut Geier ou encore le “philanthrope” Jed Sunden. Un milieu interlope où l’on retrouve le “philanthrope” George Soros, connu pour sa part pour financer philanthropiquement les Pussy Riots. Les deux groupes partagent d’ailleurs la même conception cosmopolite du monde.

    Les Femen tombent sous le coup d’« exhibitions sexuelles », de « diffusion de message à caractère violent », de « violences en réunion et avec armes », d’« entrave concertée à la liberté de manifestation » et d’« injures ». Délits qui vaudraient à leurs auteurs plusieurs dizaines de milliers d’euros d’amendes et des peines de prison ferme. Mais qu’on se rassure, le ministère public, aux ordres, devrait classer l’affaire sans suite. Sauf pour Aurélien et ses camarades qui ont le tort de ne pas être dans le bon camp…

    [cc] Novopress.info, 2012. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • VIDEO - L'énigme des disparus de Boutiers: 40 ans après, l'affaire est relancée

    Permalien vidéo: http://videos.tf1.fr/jt-we/les-disparus-de-boutiers-40-ans-apres-l-affaire-relancee-7731138.html

    Le soir de Noël 1972, toute une famille de Boutiers, en Charente, se volatilise. Il y a quelques semaines, des ossements humains ont été retrouvés en forêt. De quoi relancer l'enquête pour la police, qui parle d'une piste "intrigante".

    TF1 - 15/12/12

  • Le Vatican appelle au mondialisme

     

    Contre-info dénonce régulièrement les menées mondialistes, instiguées par divers courants, lobbies ou sectes, à l’encontre de l’ordre naturel, du réalisme et du patriotisme les plus élémentaires.
    Il ne serait pas honnête de notre part de nous taire quand elles viennent d’où elles ne devraient pas.

    Les autorités vaticanes modernes, depuis l’aggiornamento religieux du concile Vatican II, ont aussi une nouvelle approche politique.
    Les prises de position ne manquent pas, y compris au plus haut niveau, qui célèbrent la démocratie, qui condamnent le nationalisme, qui promeuvent le mondialisme…

    Mise-à-jour déc. 2012 : devant l’Assemblée plénière du Conseil Pontifical pour la justice et la paix le 3 décembre 2012, Benoît XVI a réitéré son appel à une autorité mondiale, en se référant à l’encyclique Pacem in terris de Jean XXIII, qui déjà faisait profession de foi mondialiste en 1963, on a tendance à l’oublier. « Le bienheureux Pape Jean XXIII a motivé l’engagement pour la construction d’une communauté mondiale, avec une autorité correspondante, justement à partir de l’amour, et précisément de l’amour pour le bien commun de la famille humaine. »

    En 2009, Benoît XVI avait déclaré dans son encyclique Caritas in Veritate qu’il était urgent que soit mise en place une véritable « Autorité politique mondiale » « pour le gouvernement de l’économie mondiale, pour assainir les économies frappées par la crise (…) ».
    Des arguments similaires à ceux d’Attali, vous l’aurez remarqué.
    Puis, le Saint-Siège, par la voix du « Conseil pontifical Justice et Paix », avait enfoncé le clou au travers d’un document de 18 pages paru en octobre 2011, intitulé : « Pour une réforme du système financier international dans la perspective d’une autorité publique à compétence universelle ».
    On y appelle à la création d’une autorité politique mondiale et d’une banque mondiale, pour entre autres, protéger la démocratie.
    Morceaux choisis :
    Lire la suite

    Contre-info.com - 15/12/12

  • Orléans: une prof de français "méprisante" suspendue

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    Le lycée technologique Pothier d’Orléans est toujours en émoi. Depuis jeudi, une professeur de français a été suspendue par le rectorat. On lui reproche des mots déplacés perçus comme discriminatoires.

    Depuis la rentrée, les 26 élèves d’une classe de 1re STMG (sciences et technologies du management et de la ), à majorité d’origine étrangère, se disent victimes de propos insultants de sa part.

                   Cette enseignante de 60 ans, normalienne et agrégée, n’avait jusqu’à septembre jamais enseigné à des filières technologiques. A la rentrée, le ton est donné quand, pendant une quinzaine de jours, elle refuse d’enseigner à cette classe.

     

    Le Parisien - 15/12/12

    NdB: Ce professeur ne faisait que dire la vérité, mais la vérité est devenue "discriminatoire" !