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  • Le chômage a augmenté de 0,4% en mars, nouveau record pour Hollande

    http://www.leparisien.fr/economie/emploi/les-chomage-a-augmente-de-0-4-en-mars-avec-15-400-inscrits-en-plus-27-04-2015-4728937.php

    + Infographie

  • Paris : appel à témoins après le décès d'une femme, bousculée dans le métro

     

    27 Avril 2015, 22h41 | MAJ : 27 Avril 2015, 22h41

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                                                         Illustration. C'est sur la ligne 9, à la station Voltaire, qu'une bousculade survenue le 18 avril vers 21 h 20 a causé la mort d'une femme de 60 ans. La police recherche des témoins de ce drame. LP / J.D.

    La police a lancé lundi un appel à témoins après la mort d'une femme de 60 ans décédée après avoir été bousculée dans une station du métro parisien.

    Samedi 18 avril, vers 21H20, la victime, qui marchait «avec difficulté», a chuté «lourdement en arrière» alors qu'elle tentait de monter dans la dernière rame du métro à la station Voltaire (ligne 9, en direction de la mairie de Montreuil).

     

    «Blessée gravement à la tête», elle est décédée le mardi 21 avril.

    Le 2ème district de la police judiciaire de Paris est saisie de l'enquête pour «violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner», précisent la préfecture de police et la direction de la PJ. Un numéro vert (0800 00 27 08) ouvert 24h/24 et 7jours/7 et une adresse mail (pppj-appelatemoin@interieur.gouv.fr) ont été mis en place.

    Le Parisien

  • Pédophilie: un évêque avait été accusé

    http://www.lesinrocks.com/2011/02/01/actualite/pedophilie-mgr-di-falco-leveque-accuse-1120518

    En 2001, un homme dépose plainte contre l'évêque pour actes de pédophilie : cependant les faits remontant à trente ans sont prescrits par la loi française. Quelques années plus tard, Renaud Revel, journaliste à L'Express qui avait largement diffusé l'information, reconnaît dans son blog un « terrible faux-pas » et affirme que Mgr Di Falco a été « injustement accusé dans [ses] colonnes de pédophilie (Wikipédia)

  • « Musulmans ou chrétiens, nous avons le même dieu »

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     26 avril 2015 / 72 commentaires / 3813 vues 

    C’est ce qu’ose affirmer monseigneur di Falco-Léandri, évêque de Gap et d’Embrun. Il y a quelques jours, Les Prêtres, le groupe monté et parrainé par l’archevêque, donnait un concert au Dôme, la plus grande salle de concert de Marseille. Alors qu’il arrivait sur place en fin d’après-midi pour les répétitions, l’évêque est interpellé par un groupe d’enfants qui le reconnaissent. Il discute quelques instants avec eux et comprend qu’ils guettent souvent les allées et venues des artistes devant la salle de concert et qu'ils ne sont jamais entrés dans le Dôme. Qu’à cela ne tienne, il décide de les convier au spectacle. Voilà Abdoul, Aziz et leurs amis fous de joie et des parents ravis que leurs enfants puissent assister à ce concert. Monseigneur di Falco de leur répondre :

    « Musulmans ou chrétiens, nous avons le même dieu. Une raison de plus pour nous aimer. »

    RIPOSTE CATHOLIQUE

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  • Le Grand Remplacement de l’Histoire de France

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    Alors que l’Histoire fut au XIXe siècle la pierre angulaire de l’élaboration de notre « roman national », elle est aujourd’hui utilisée comme une véritable arme de sabotage pour spolier les jeunes générations de leur identité.
    Professeur certifié d’Histoire-Géographie
    Membre du collectif Racine
     
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    Plus un mensonge est gros, plus il passe… Cet adage illustre à merveille la manière dont ont été présentés par le Conseil supérieur des programmes (CSP) les projets de nouveaux programmes d’histoire au collège.

    En effet, le préambule des nouveaux programmes dévoilés le 13 avril dernier précise que ce projet ne fait pas « disparaître le cadre national, ni la perspective chronologique propre à l’histoire » et que « dans un ordre chronologique, le programme permet de mieux lire et comprendre le monde d’aujourd’hui en insistant sur des moments forts, des traits marquants des sociétés du passé et des problématiques indispensables à la formation du citoyen ».

    Il s’agit là d’un mensonge grossier, d’un véritable déni de la réalité.

    Déjà supprimée au lycée (rappelons, pour mémoire, que les élèves de 1re étudient aujourd’hui la Seconde Guerre mondiale avant même d’avoir étudié le totalitarisme nazi et soviétique), l’histoire chronologique parvenait jusqu’à présent à survivre tant bien que mal au collège. Ce temps est révolu. Ainsi en 5e, le programme se divise non pas en période chronologique – comme, par exemple, les Mérovingiens, les Carolingiens, les Capétiens – mais par thèmes – la Méditerranée, un monde d’échange, Sociétés, Église et pouvoir politique dans l’occident chrétien, Nouveaux mondes, nouvelles idées...

    Mais ce n’est pas tout. Le CSP a décidé qu’environ les 2/3 de l’Histoire de France seraient désormais traités selon « le libre choix des professeurs » en créant une distinction arbitraire entre des thèmes obligatoires et des thèmes facultatifs. Par exemple, en classe de 5e, l’étude de l’islam devient obligatoire mais l’Occident chrétien au Moyen Âge, l’Empire carolingien ou l’Empire byzantin deviennent facultatifs, de même que l’humanisme, la Réforme protestante et les guerres de religion.

    En classe de 4e, la traite négrière est obligatoire mais l’étude de la société du XVIIIe siècle, les Lumières et la révolution américaine deviennent facultatives. L’histoire politique du XIXe s’interrompt, quant à elle, à la fin du Premier Empire en 1815 pour reprendre sous la IIIe République ; exit la Restauration, la monarchie de Juillet et le Second Empire.

    Enfin, en classe de 3e, la Seconde Guerre mondiale n’est principalement étudiée que sous le prisme du génocide des Juifs et des Tsiganes, des déportations et de l’univers concentrationnaire. Pearl Harbor, Stalingrad et le débarquement de Normandie vont donc rejoindre le catalogue des grandes batailles dont vos enfants n’entendront jamais parler aux côtés de Marathon, Salamine, Actium, les champs Catalauniques, Poitiers, Bouvines, Azincourt, Marignan, Lépante, Fontenoy, Valmy, Trafalgar, Camerone, la Marne, etc.

    Ces nouveaux programmes finissent donc de dynamiter les vestiges d’une histoire nationale déjà en partie ruinée par trente années de pédagogisme démagogique. D’un collège à l’autre, les élèves apprendront une Histoire de France différente selon les choix programmatiques du professeur et le socle commun sera largement dominé par une histoire « venue d’ailleurs », marquée par le culte perpétuel de l’excuse et de la repentance.

    Alors que l’Histoire fut au XIXe siècle la pierre angulaire de l’élaboration de notre « roman national », elle est aujourd’hui utilisée comme une véritable arme de sabotage pour spolier les jeunes générations de leur identité et de leur droit le plus légitime au « sentiment d’appartenir à une nation ».

     
    BOULEVARD VOLTAIRE
  • Face aux critiques sur sa politique pénale, Taubira prévient qu’elle refuse de “capituler”

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    27/04/2015 – FRANCE (NOVOpress via Le Figaro)
    Christiane Taubira est sous le feu des critiques de la droite parlementaire. Entre les accusations de laxisme à l’encontre de sa politique pénale après le meurtre de la petite Chloé ou la fronde contre la Loi sur le Renseignement, les piques se multiplient à l’encontre du Garde des Sceaux.

    Ainsi, Laurent Wauquiez, secrétaire général de l’UMP, et Georges Fenech, secrétaire national à la Justice du parti d’opposition ont-ils publié vendredi dernier une tribune dans le Figaro, où ils réclament d’« en finir avec le désarmement pénal » aggravé par la politique judiciaire actuelle.
    Mais qu’on se le dise, le ministre de la justice ne se laisse pas impressionner. Dans le style… fleuri qui est le sien, elle affiche dans les colonnes du Parisien-Aujourd’hui en France, (analysée ici par le Figaro) sa détermination.

    Que ce soit très clair, pour les médias, pour des gens comme Eric Ciotti et consorts. Les attaques peuvent être multipliées par mille, dix mille, cent mille, je ne vais pas capituler!
    Je suis très soutenue par le premier ministre , Manuel Valls, dans ce combat. Cette violence, de trop nombreux gamins qui me ressemblent la subissent dans cette société. C’est pourquoi je serai la dernière à capituler

    En attendant, la violence dont parle Mme Taubira, ce sont les victimes des délinquants qui la subissent, ceux-là même que sa politique pénale conduit loin des prisons. Un état de fait qui choque les Français.

  • Génération Identitaire Lorraine occupe le parvis de la mosquée de Woippy !

     

     

    27/04/2014 – France (NOVOpress)
    Les militants de Génération Identitaire Lorraine ont occupé le parvis de la mosquée de Woippy le 24 avril 2015, Pour dire non à l’islamisation croissante et la déchristianisation massive de leur région !

    Retrouvez le communiqué officiel de cette action, que nous reproduisons ci-dessous, sur la page Facebook de Génération Identitaire :

    Le 4 avril dernier, Dalil Boubakeur, président du CFCM et recteur de la Grande Mosquée de Paris faisait grand bruit dans la presse en appellant à doubler le nombre de mosquées dsn les deux ans à venir.
    Le sénateur-maire de Woippy, François Grosdidier, lui, approuvait cette idée. Pour rappel, ce dernier était le premier à faire construire une mosquée financée par des fonds publics sur son territoire communal, soit près de trois millions d’Euros.
    Dans le même temps, et dans le silence le plus total des médias, on apprenait que de nombreuses églises étaient à nouveau menacées de disparition du fait de leur vétusté. L’église Sainte Rita à Paris qui célébrait sa dernière messe le 15 mars ou celle de Bouin-Plu-Moison dans le Pas-de-Calais en sont deux exemples récents.
    Tandis que l’État, qui se soumet toujours plus, encourage les constructions de mosquées, nous, membres de Génération Identitaire, sommes attachés à la défense de notre culture, de notre identité et au patrimoine de notre région. Nous refusons donc une islamisation plus croissante encore !

    Face à l’islamisation massive et la déchristianisation croissante, Génération Identitaire dit Stop !

    Voir la vidéo jointe: http://fr.novopress.info/186444/generation-identitaire-lorraine-occupe-le-parvis-de-la-mosquee-de-woippy/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+novopressfrance+%28%3A%3A+Novopress.info+%7C+Agence+de+presse+ind%C3%A9pendante%29

  • AUSTRALIE : NO WAY !

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    Le gouvernement australien a lancé ces derniers jours une campagne de communication très ferme cherchant à décourager les tentatives d’immigration illégale par les côtes et avertit ces immigrés qu’ils n’obtiendront pas que l’Australie soit leur nouvelle «maison».


    La campagne, qui se décline en 17 langues, vise à la fois les immigrants déjà installés sur le territoire australien pour qu’ils avertissent leurs familles et amis qu’ils ne pourront pas les rejoindre et ceux qui aspirent à faire le dangereux voyage par mer afin de les en dissuader.


     Pour cela, le service des douanes et de la protection des frontières a publié un document qui met en garde les aspirants à l’immigration.  « No way. You will not make Australia home » et indique que «le gouvernement de l’Australie a adopté les lois les plus sévères en matière d’immigration de l’histoire ».


    Ce même message est répété dans d’autres langues: albanais, arabe, bahasa, bengali, dari, farsi, hindi, kurde, népalais, pachto, rohingya, cingalais, somali, tamoul, ourdou et vietnamien.
    Le retentissant slogan est illustré par l’image d’une mer houleuse au milieu de laquelle on voit un petit bateau, semblable à ceux utilisés par les immigrants en provenance d’Asie et tentant de rejoindre l’Australie.


    La campagne fait partie de l’opération «Frontières souveraines », initiative de la sécurité des frontières menée par le gouvernement australien pour « arrêter les bateaux, empêcher que les gens risquent leur vie en mer et préserver l’intégrité du programme d’immigration de l’Australie », explique le service des douanes sur le site de la campagne.
    Ce site explique que ceux qui tentent de rejoindre illégalement, par bateau l’Australie ne pourront pas s’installer dans le pays. Ils seront interceptés… et renvoyés vers leur pays pour y faire éventuellement « depuis là-bas » une demande d’asile. En aucun cas, la demande ne sera traitée sur le sol australien.


    « Les règles s’appliquent à tout le monde : familles, enfants, mineurs non accompagnés, gens instruits et formés. Il n’y a aucune exception », dit le gouvernement, faisant valoir que c’est « leur politique et qu’elle ne changera pas ». De même, aucun avantage ne sera accordé aux candidats migrants dont des membres de la famille seraient déjà en Australie.


    Par ailleurs, on prévient les immigrants potentiels de ne pas croire les «mensonges» que leur content les trafiquants qui promettent des garanties pour une installation en Australie. « Ce sont des criminels, ils volent votre argent et mettent votre vie et celle de votre famille en danger pour rien ».


    Le gouvernement australien a prévenu : « Vous courez le risque de tout perdre, y compris votre vie et celle de votre famille, si vous venez en Australie par bateau sans visa ».
    L’exécutif que dirige Tony Abbott est convaincu que ces mesures de sécurité dissuaderont l’arrivée d’immigrants sur les rives australiennes. Quand un bateau est intercepté, les passagers sont «rendus au pays qu’ils ont quitté dans les 48 heures ou envoyés vers un centre de traitement à Nauru ou en Papouasie-Nouvelle-Guinée. »


    Le gouvernement australien a conclu un accord avec les gouvernements de ces deux pays du Pacifique  pour qu’ils « poursuivent toutes les arrivées maritimes illégales ».


    http://www.google.fr/imgres?imgurl=http://medias-presse.info/wp-content/uploads/2014/10/australie-immigration-affiche.jpg&imgrefurl=http://www.medias-presse.info/laustralie-mene-campagne-contre-limmigration/16873&h=902&w=644&tbnid=99yLHtbgxtxt_M:&zoom=1&tbnh=90&tbnw=64&usg=__Gv0Cyq-vu1uzs5FKU65RLoiEhT0=&docid=nFgC0iQ6FS6unM


     C’est la seule façon d’agir intelligente et efficace. L’Europe en prend exactement le contre-pied et provoque un nouvel appel d’air par ses mesures prétendument humanitaires et en fait criminelles.

    Medias-Presse-Info

     

     

  • Nantes : un prof de rollers viole une dizaine d'enfants de 10 à 14 ans

    25/04

                

    L'animateur d'un club de roller du Loroux-Bottereau, près de Nantes (44), a été écroué la semaine dernière pour viols et agressions sexuelles sur mineurs.

    Ce jeune homme, âgé de 28 ans, a fait une dizaine de victimes. Des garçons âgés de 10 à 14 ans.

    "Il a profité de son niveau sportif pour envoûter les jeunes, on a rien vu venir. Les faits se sont passés dans le cadre d'activités extra-club, mais il avait son réservoir de gamins au sein du club" témoigne le président du club au micro d'Europe 1.

    Le suspect avait déjà été condamné pour pédophilie et avait interdiction d'exercer une activité auprès de mineurs pendant cinq ans.

    Le président du club raconte que le suspect lui a proposé ses services bénévolement il y a trois ans, et qu'il ignorait tout de son passé judiciaire.

    FAITS DIVERS

  • Que nous reste-t-il ? Tribune par Vincent Revel

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    Comme l’expliquait l’auteur Jean Hurtado dans sa biographie consacrée à Zénon, celui-ci ainsi que son contemporain Epicure (image en Une) vécurent « une période troublée de l’histoire de la Grèce ». Confrontés à une phase de déclin, ces deux sages proposèrent « une philosophie adaptée aux hommes désorientés de ce temps ». Alors bien sûr, en parlant de Zénon et d’Epicure, je n’ai pas l’intention de vouloir faire revivre le passé. Ceci n’aurait aucun sens du fait que rien ne peut être comme avant. Par contre, à l’image de cette « période troublée » qu’ils ont vécu, nous pouvons nous aussi, dans notre époque dite moderne, nous définir et nous reconnaître comme des « hommes désorientés ».

    Face à cette triste réalité, que nos politiques nient, car incapables de se remettre en question comme étant l’une des causes de notre décadence, nous devons dès à présent nous servir de notre passé, comme l’ont fait en leur temps Zénon et Epicure avec Homère, Pythagore, Hésiode, Socrate, Platon, Aristote, Diogène… pour enfin trouver une issue favorable et porteuse d’espoir.

    Prioritairement, nous devons dresser un constat rigoureux de notre situation actuelle pour savoir ce que nous avons perdu et ce sur quoi nous pouvons nous reposer.

     

    En tant que peuple, « ensemble humain réuni par l’appartenance à une société, une culture, une patrie communes, parlant généralement la même langue », nous ne pouvons que constater amèrement notre désintégration face à un consumérisme destructeur des identités charnelles et à un communautarisme de plus en plus favorisé par notre pseudo-élite. En tant que patrie et nation, c’est-à-dire « groupe humain, ayant le sentiment et la conscience de son unité » avec une volonté « de vivre en commun », nous devons aussi accepter qu’il existe à présent une véritable fracture. En dernier repère, ultime rempart pour un peuple, le pays, « territoire d’une nation, délimité par des frontières terrestres et maritimes », nous ne pouvons qu’observer, en prenant acte, qu’il s’efface très rapidement sous les coups des mondialistes et des altermondialistes, unis dans la même œuvre pour faire disparaître tout ce qui peut ressembler à une frontière. Comme le disait Régis Debray dans son livre Eloge des frontières : «  La plupart des peuples – je parle de ceux qui gardent leur âme, ou leur mordant, c’est la même chose – entretiennent avec leurs limites (frontières) un rapport émotionnel et quasiment sacré. » Cette citation nous dévoile en partie tout ce que nous n’avons plus.

    Une fois que nous avons fait ce dur constat, il nous faut être lucide et rapidement comprendre, comme les contemporains de Zénon et d’Epicure, que plus rien ne sera comme avant. Ce qui fut est irrémédiablement passé et il ne tient qu’à nous de construire ce qui sera sur les bases solides de notre mémoire enracinée dans une longue tradition.

    Aujourd’hui, il nous reste une République moribonde, dont les élus n’ont plus pour priorité la défense de la terre de nos pères et c’est bien parce que nous avons compris cette froide et implacable réalité que nos dirigeants veulent nous faire taire en faisant adopter la loi sur le Renseignement. Ils se servent d’une réelle menace, le terrorisme islamiste, sans jamais réellement la nommer explicitement, pour s’attaquer à leurs adversaires politiques, pouvant menacer leurs projets idéologiques de déconstruction des sociétés de l’Europe occidentale.

    Avec cette loi, c’est la possible création d’une nouvelle police politique, fidèle à un régime, prête à tout pour servir au mieux les intérêts d’un système faussement démocratique.

    Le défi est immense pour tous les patriotes épris de liberté mais l’enjeu nous impose de continuer le combat. Notre engagement est la seule alternative pour éviter qu’aboutisse le changement souhaité par le soldat Hollande. Car celui-ci se résumera juste par un grand remplacement.

    Vincent Revel

    Crédit photo : Eric Gaba, via Wikipédia, (cc).

  • HUMOUR Super courte

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  • L’islam des lumières n’a jamais été qu’une lampe à huile

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    Il est temps de démentir la grande théorie supposée de l'apport de l'islam dans la construction, les sciences, les arts et la culture de l'Occident...
     
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    Il est temps de démentir la grande théorie supposée de l’apport de l’islam dans la construction, les sciences, les arts et la culture de l’Occident… Attribuer, par exemple, la création de la médecine, de l’algèbre et de l’astronomie aux musulmans, ce serait nier les civilisations, notamment grecque et perse, qui en sont à l’origine… C’est aussi passer sous silence l’influence déterminante de l’architecture romaine et de ses principes novateurs de construction qui ont guidé le développement de la construction en Occident.

    Concernant, par exemple, l’architecture et le mythe de Cordoue : la « Mezquita de Córdoba » serait l’un des fleurons de l’architecture islamique. C’est une falsification de son histoire. Revenons en arrière. Du sixième au huitième siècle, les Wisigoths règnent sur une grosse partie de la péninsule. Il y construisent notamment des basiliques et des églises. Ainsi celle de Saint-Vincent à Cordoue. La dynamique de la conquête arabe commence avec la chute de la Syrie-Palestine, au VIIIe siècle, mettant fin à sept siècles de domination impériale romaine, grecque, byzantine – de vrais bâtisseurs qui ont laissé des acquis, des hommes de science et des traces écrites de leur savoir. À leur arrivée en Espagne, les Arabes, peuple de guerriers, n’avaient pas un passé de bâtisseurs. Comment l’auraient-ils acquis en vivant, nomades, sous des tentes caïdales ?

    La cathédrale Saint-Vincent a d’abord été occupée – presque – en l’état et partagée entre les fidèles catholiques et musulmans après quelques aménagements fonctionnels et quelques arrangements « politiques ». Ce n’est qu’ensuite que l’agrandissement du complexe, compte tenu du nombre important des convertis à l’islam, fut entrepris par Abd al-Rahman Ier en 786 et exclusivement réservé au culte de l’islam. Pour ce faire, sur les bases en partie inchangées de la basilique Saint-Vincent – on observera que son orientation est nord-ouest, non dirigée vers La Mecque, en contradiction totale avec les préceptes sacrés de l’islam et la présence, en plan, du centre formant une croix chrétienne -, il fit appel à un architecte grec de Byzance, ce qui explique certaines options architecturales dans les détails mis en œuvre, et à des ouvriers syriens qui en assurèrent la construction. Ce dernier point donne un éclairage sur le fait que la « qibla » et le « mihrab » sont construits au sud du nouveau complexe, dans la mesure où La Mecque se situe au sud de la Syrie d’où étaient originaires les ouvriers.

    Cette conception architecturale est une constante dans les lieux de culte musulmans de l’époque. Pour s’en convaincre, il convient de noter de grandes ressemblances dans le parti pris architectonique avec la cathédrale Saint-Jean-Baptiste de Damas. S’agissant de ce complexe, les historiens sont unanimes : après la conquête islamique en 635, les musulmans et les chrétiens avaient consenti à diviser l’église entre eux. Ils pratiquèrent leurs prières et rituels côte à côte, durant 70 années. En 705, quand le nombre de prieurs musulmans grandit (comme à Cordoue), le calife omeyyade Al-Walid acheta la partie chrétienne. Un grand nombre d’artisans grecs, indiens, persans et chrétiens syriens travaillèrent alors durant des années pour en faire la première mosquée somptueuse de l’ère islamique. Dans les deux cas, on constate une absence totale de ce que l’on pourrait appeler « une culture architecturale musulmane », mais simplement l’utilisation des compétences étrangères à tous les niveaux, depuis la conception jusqu’à la réalisation, notamment illustrées par l’utilisation des arcs et des voûtes, inventés par les Romains antérieurement et utilisés bien avant la domination musulmane… Ces positions sont tenues aujourd’hui par de nombreux historiens « révisionnistes » (dans le sens noble du terme) comme Sylvain Gouguenheim 1.

    Nous sommes, sur ce sujet comme dans bien d’autres, les victimes d’une interprétation partisane de l’Histoire. Pour ne pas dire d’une vaste tromperie.

    Notes:

    1. Aristote au mont Saint-Michel : Les racines grecques de l’Europe chrétienne, Paris, Seuil, coll. « L’Univers historique », 2008
     
    BOULEVARD VOLTAIRE
  • CENTENAIRE DE 14-18 - LA BATAILLE DE GALLIPOLI

    L'Anzac day et le front de l'est : l'oubli en faveur des Arméniens



    Michel Lhomme
    le 26/04/2015

    Avril 1915 : les forces australiennes et néo-zélandaises – Anzac – débarquent sur la péninsule de Gallipoli, en Turquie. Ce sera un carnage.

     
    Des dizaines de milliers d’Australiens et de Nouveau-Zélandais ont célébré ce samedi 25 Avril 2015, un Anzac Day, un peu exceptionnel puisque c'est l'Anzac Day du centenaire, du 100ème anniversaire du débarquement des troupes d’Australie et de Nouvelle-Zélande à Gallipoli, plus connu sous le nom de bataille des Dardanelles. Cela s’est passé en 1915 sur le sol de l’Empire Ottoman qui était alors l'allié officieux de l’Allemagne. Gallipoli a été une terrible défaite, un épouvantable massacre pour les troupes australiennes et néo-zélandaises.  

    Ce fut pour ces deux états du Pacifique le baptême du feu, un baptême du feu fondateur de ces deux jeunes nations. Le plan de la bataille de Gallipoli fut conçu à Whitehall, au ministère de la Marine Britannique, par le général Ian Hamilton, commandant en chef du corps expéditionnaire allié. Face à sa bêtise criminelle, il y aura le génie politique mais aussi militaire d’Atatürk. Ce fut à l'époque la plus grande bataille amphibie, le plus grand débarquement moderne de l’histoire du monde. Le bilan fut catastrophique : plus de cent mille morts dont 53 000 britanniques et français sans compter les mutilés, les survivants renvoyés chez eux soufrant de troubles après ce qu’ils avaient vu et vécu. 14-18, ce ne fut pas en effet que la Marne ou Verdun. Beaucoup de nos poilus furent envoyés sur le front de l'est dont ils ne revinrent pas. 

     
    C'est en route vers les Dardanelles qu'on foudroya aussi un poète anglais Rupert Brooke qui mourut le 23 avril d'une septicémie sur le Duguay-Trouin. Son frère décédera aussi un mois plus tard dans la bataille. On raconte qu'il y avait tant de cadavres à Gallipoli qu'ils moisirent sur place dans des tombes hâtivement creusées. Comme souvent dans les plus grands moments de la première guerre mondiale, on a l'impression à Gallipoli d'un gâchis monumental, d'une folie de généraux cinglés, d'une débâcle sanglante et irrationnelle, Gallipoli signant aussi l’incompétence notoire de Churchill qui pensait en finir avec les Turcs en une seule fois et obtenir la victoire en prenant l’ennemi à revers par les Dardanelles. Ce qu'on oublie aussi c'est qu'il y eut aux Dardanelles plus de Français tués que d'Australiens, des Français de la campagne bretonne ou vendéenne mais aussi des Français de l'Outre-mer et en particulier, fait incroyable, des Tahitiens.
     
    Au cinéma, on se souvient de l'excellent Gallipoli du réalisateur australien Peter Weir, de la version turque des événements de Kemal Uzun avec Gürkan Uygun, du Capitaine Conan mais vient aussi de sortir sur nos écrans le film du néo-zélandais, Russel Crowe, La promesse d'une vie.  

    Ce vendredi 24 avril, la Turquie du président Recep Tayip Erdogan avait organisé en grande pompe les célébrations du centenaire de la bataille des Dardanelles qui débuta le 25 avril 1915 pour s'achever le 9 janvier 1916. La célébration était vouée à la réconciliation . Une vingtaine de dirigeants du monde entier avaient répondu à l'invitation d'Ankara pour honorer le souvenir des soldats de l'Empire ottoman, de l'Empire britannique et de la République française tombés pendant cet épisode, l'un des plus meurtriers de la Première Guerre mondiale. 

    Sur les rives du détroit des Dardanelles, se sont retrouvés à côté d'Erdogan, le prince Charles, héritier de la Couronne britannique, et les Premiers ministres d'Australie et de Nouvelle-Zélande. «Tous les soldats ayant participé à cette bataille méritent d'être commémorés avec respect et bravoure», a lancé le chef de l'État Recep Tayyip Erdogan. «Nous avons fait la guerre il y a 100 ans, mais nous voici ici réunis pour bâtir ensemble la paix en rejetant la rhétorique de la haine», a renchéri son Premier ministre Ahmet Davutoglu.

    Ce message de paix a été brouillé en France par la position d'Ankara sur le génocide arménien que la Turquie refuse toujours de reconnaître. Du coup, le Président français, François Hollande comme de nombreux chefs d'Etat dont Vladimir Poutine a boudé l'invitation de la Turquie et préféré Erevan pour rendre hommage aux centaines de milliers d'Arméniens massacrés par l'Empire ottoman à partir du 24 avril 1915. Pour la Turquie, commémorer Gallipoli permettait d'occulter le génocide arménien.
     
    METAMAG
  • C’était un 26 avril… 1937 : bombardement de Guernica (Espagne),

     

    qui donnera lieu lui aussi à de gros bobards.

    Durant la guerre civile espagnole, Franco bénéficie d’un soutien étranger et ce 26 avril, l’aviation allemande bombarde Guernica.
    Les objectifs sont trois fabriques d’armes et les 2000 républicains chargés de défendre ces sites.
    Exploité internationalement, le nombre de victimes figurant sur les registres d’état-civil s’élève à 126 (et non les 1654 morts et les 889 blessés de la propagande rouge).
    Quant au

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     célèbre tableau de l’escroc de génie Picasso, qui porte le nom Guernica et qui émeut les bonnes consciences à propos du bombardement, il a été rebaptisé ainsi plusieurs années après.
    Il avait été réalisé lors d’une série sur la Minotauromachie, lorsque le gouvernement espagnol lui commanda et paya (1 million de francs) une toile pour l’Exposition universelle de 1937 à Paris.
    Il suffit de regarder ce tableau pour constater qu’il n’illustre en rien les horreurs de la guerre (version officielle), mais la corrida.

    Source : Éphémérides nationalistes

  • Mgr Ricard : Nouveau compagnon de route de l’islam ? Tribune de Thierry Breton

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    26/04/2014 – BORDEAUX (NOVOpress via Infos Bordeaux)
    L’Histoire ne se répète pas. Elle bégaie. Nous sommes le 30 juin 1974. Georges Marchais, secrétaire général du parti communiste français, est accueilli au congrès de la Jeunesse ouvrière chrétienne par 30.000 jeunes qui entonnent l’Internationale. Parmi ces compagnons de route du communisme se tient un homme d’Eglise. Il s’agit du Cardinal-archevêque de Paris, François Marty. 25 avril 2015. La Mosquée de Pessac accueille les fidèles du Rassemblement des musulmans de la ville. Un homme d’Eglise se tient au milieu d’eux. Il s’agit du Cardinal-archevêque de Bordeaux, Jean-Pierre Ricard (photo).

    Il y a quarante ans, des millions de Chrétiens et tant d’autres hommes de bonne volonté étaient persécutés par le communisme. Berlin en Allemagne. Budapest en Hongrie. Prague en Tchécoslovaquie. Le goulag en Union Soviétique. Les Chinois face à la folie maoïste. Partout, la misère, le sang et la mort. Au nom d’un livre, le Capital de Marx ! L’Eglise ne voulait pas voir. Elle le répétait : le communisme est une idéologie qui prône l’égalité et la fraternité entre les hommes. Elle constatait, avec raison, que tous les communistes n’étaient pas des assassins. Beaucoup étaient d’honnêtes travailleurs et de bons pères de famille. Les évêques de France pouvaient donc chanter les louanges du communisme en ignorant le sang des martyrs.

    Le temps a passé. Aujourd’hui, les Chrétiens et tant d’autres innocents sont massacrés par l’islam. Coptes égorgés. Femmes violées. Chrétiens brûlés vifs. Villages décimés. Génocide planifié. Partout, la désolation, les larmes et la terreur. Au nom d’un livre, le Coran dicté à Mahomet. L’Eglise ne veut toujours pas voir. Elle répète : l’islam est une religion de paix, d’amour et de tolérance. Elle souligne, à juste titre, que tous les musulmans ne sont pas des terroristes. Loin s’en faut. Les évêques, Monseigneur Ricard en tête, tressent donc des lauriers à l’islam en étouffant la voix des victimes qu’on assassine.

    Les évêques d’hier ne se donnaient pas la peine d’étudier le communisme. Ceux d’aujourd’hui ne se fatiguent pas à comprendre l’islam. Ils répètent : pas d’amalgame. La vie de Mahomet, le Coran et les hadiths ne méritent pas leur attention.

     

    L’imam de Pessac, qui prétend lutter contre l’ignorance, peut donc proférer des énormités devant le Cardinal archevêque de Bordeaux : « Nul ne peut être musulman s’il ignore Jésus ». Cela est exact. Mais incomplet ! Jésus est cité vingt cinq fois dans le Coran. Il est un grand personnage, fils de Maryam, de conception miraculeuse. Il est appelé Issa, ce qui ne veut rien dire, et non de son vrai nom en arabe, Yassou. Pourquoi ? Parce que Yassou se traduit par « celui qui sauvera ». Or, pour Mahomet, le salut ne vient que de Dieu. Pour l’islam, affirmer que Jésus est Dieu est un blasphème. L’islam nie la divinité du Christ, sa mort sur la Croix et sa résurrection. Le Issa du Coran n’a rien à voir avec le Christ, vrai Dieu et vrai homme des chrétiens. De même, croire que Dieu est Trinité est le seul pêché qui ne peut être pardonné par l’islam. Le péché absolu ! Monseigneur Ricard, qui affirme que ses élèves musulmans lui ont appris à découvrir leur foi lorsqu’il était jeune professeur au Mali, sait-il cela ?

    De même, il s’est désolé face aux prétendues difficultés des musulmans à construire des mosquées : « Les lieux de culte doivent être visibles et non cachés ». Paroles consternantes dans la bouche d’un ecclésiastique pour qui sait que toute mosquée fait partie de « Dar al islam », c’est-à-dire du territoire de l’islam. Chaque mosquée est ainsi un avant poste en société non musulmane. Nous pourrions multiplier les exemples à l’infini. Le dialogue islamo-chrétien est un marché de dupes. Parler avec les musulmans ? Evidemment ! La charité nous ordonne de les aimer. Comme les Chrétiens devaient aimer les communistes d’hier. En leur faisant découvrir la Vérité. Celle des Evangiles contre les hérésies du Capital et du Coran. Là réside le seul véritable amour. Monseigneur Ricard devrait y songer s’il ne veut pas que les babouches blanches que l’imam de Pessac lui a offertes deviennent ses trente deniers.

    Thierry Breton

    Crédit photo : DR.