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  • Document secret US : l’Etat islamique, « création » infernale du Pentagone !

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    La prise récente de Palmyre par les forces de l’Etat islamique a soulevé dans nos médias des réactions d’indignation s’inscrivant dans le conformisme ambiant. Bien sûr, il n’y a jamais d’interrogations sur la création et le développement de cet Etat islamique.

    La grande presse s’efforce de garder le silence et seuls quelques analystes à l’occasion de conférences quasi confidentielles ont dénoncé le rôle des Etats-Unis dans cette apparition et celui des Etats du Golfe et de la Turquie. On citera par exemple le Général Vincent Desportes lors de son audition par une commission du Sénat, le 17 décembre 2014, qui a clairement indiqué que les Etats-Unis étaient à l’origine de cette création.

    Or, Polémia vient de recevoir d’un de ses contributeurs réguliers, que nous remercions, le message suivant : « Le 18 mai dernier l’association américaine Judicial Watch a publié sur son site (http://www.judicialwatch.org/document-archive/pgs-287-293-291-jw-v-dod-and-state-14-812-2/) un ensemble de documents dont elle a obtenu qu’ils soient déclassifiés par le Département d’Etat et le Pentagone.

    Parmi ces documents figure un rapport de la Defense Intelligence Agency du 12 août 2012. La DIA est une des agences de renseignement des Etats-Unis. Elle est spécialisée dans le renseignement militaire. Dans son rapport, il apparaît que l’Etat islamique est considéré comme un instrument de combat contre le gouvernement syrien. Vu les évolutions ultérieures, cela veut dire, au moins, qu’il a bénéficié de la complicité directe ou indirecte des Etats-Unis. Il est à noter que ni la presse audiovisuelle ni les principaux quotidiens n’ont repris à ma connaissance cette information. » (D’après Michel Leblay)

    D’une autre source, nous est parvenue une totale confirmation de cette information, publiée sur le site de l’hebdomadaire Politis que nous livrons, in extenso, à nos lecteurs .
    Polémia


    Document secret US : l’Etat islamique, « création » infernale du Pentagone

    Il y a seulement un an, personne n’avait entendu parler de l’Etat islamique en Irak et au Levant (EEIL), plus connu sous son appellation raccourcie d’Etat islamique (EI), émanation scissionniste d’Al-Qaïda.

    Et pour cause, l’EEIL peut-être considéré comme une « création » du gouvernement des États-Unis dans la mesure où, en coordination avec les États du Golfe et la Turquie, le Pentagone finança en toute connaissance de cause des groupes islamistes violents pour renverser le président syrien Assad.

    Certains diront qu’il s’agit d’un secret de Polichinelle, que tout le monde savait. N’empêche que ça va toujours beaucoup mieux en le prouvant. Car cette information ne provient pas d’un obscur site complotiste, ni d’un vague on-dit lâché par des antiaméricanistes primaires, mais d’un document secret récemment déclassifié du Pentagone, daté du 12 août 2012, et révélé la semaine dernière par un cabinet d’avocats d’intérêt public, Judicial Watch.

    Leur incommensurable bêtise

    Ce que révèle ce document, rédigé par le bureau du DIA (US Defense Intelligence Agency), c’est que le Pentagone savait pertinemment dès 2012 le danger de création d’une « principauté salafiste », mais poursuivit sa stratégie anti-Assad sans même aller jusqu’à prévoir un plan de neutralisation de ces groupes douteux une fois accomplie leur “mission”.

    Le document du DIA en pdf

    On en mesure aujourd’hui le terrible résultat : un califat islamique bâti en moins de deux ans, déjà aussi étendu que le Royaume-Uni, et qu’aucun bombardement de l’Otan ne parvient à réduire, des destructions massives tant humaines que matérielles, et un flot de réfugiés fuyant le chaos semé par l’EI en Irak, en Syrie et maintenant en Libye.

    Pire, voilà que l’Empire occidental se met à trembler à l’idée que les fous de Dieu puissent infiltrer leurs djihadistes parmi les migrants se ruant sur les côtes européennes.

    Ce désastre stratégique qui n’en est pas à son coup d’essai — rappelons que ce furent les États-Unis qui armèrent Ben Laden et son futur Al-Qaïda pour faire la nique aux Soviétiques occupant alors l’Afghanistan — en dit long sur l’état de décrépitude mentale et morale des dirigeants occidentaux. Et sur les graves incertitudes concernant l’avenir de leur empire sous l’emprise de leur incommensurable bêtise.

    Lire > Le Meilleur des mondes : la prédiction dépassée d’Aldous Huxley

    No Terror
    1/06/2015

    Source : No Terror <manager@noterror.eu>

    Correspondance Polémia – 6/06/2015

    Image : recrutement et entraînement dans des camps militaires situés dans les zones contrôlées par l’Etat islamique en Irak et en Syrie.

     

  • Sarkozy en Israël et à Ramallah

    http://www.tribunejuive.info/israel-france/dimanche-et-lundi-sarkozy-en-israel-et-a-ramallah-dimanche-et-lundi-sarkozy-en-israel-et-a-ramallah

  • Régionales en Italie : la Lega Nord ouvre une autre voie

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    Source : Boulevard Voltaire 

    Matteo Salvini et la Lega Nord bousculent totalement la politique italienne.

    Dimanche dernier, les bonnes nouvelles électorales ne nous sont pas parvenues que du Vaucluse (où Joris Hébrard, maire FN du Pontet, a été réélu dès le premier tour avec près de 60 % des voix) mais aussi d’Italie. Les élections régionales partielles ont, en effet, permis de confirmer l’émergence de la Lega Nord (Ligue du Nord) comme une force politique d’ampleur nationale et ont ainsi conforté la stratégie mise en place par le secrétaire fédéral Matteo Salvini depuis son accession à la direction du mouvement en 2013.

    Si le Partito Democratico (Parti démocratique, centre gauche) a emporté cinq des sept régions dans lesquelles les électeurs italiens étaient appelés aux urnes, l’ensemble des médias se sont accordés pour dire que le grand gagnant du scrutin était en réalité « l’autre Matteo ». C’est ainsi qu’ils ont pris l’habitude de désigner Matteo Salvini, pour l’opposer à Matteo Renzi, actuel chef du gouvernement et leader du Partito Democratico.

    En Vénétie tout d’abord, les listes de la coalition (en Italie, plusieurs listes se présentent tout en soutenant le même candidat au poste exécutif, ce qui induit des rapports de force internes) du président sortant Luca Zaia, membre de la Lega Nord, ont rassemblé 50,4 % des suffrages. La liste citoyenne qu’il dirigeait et la liste officielle de la Lega totalisant à elles seules 40 % ! La candidate du centre gauche a, pour sa part, rassemblé 22,7 % des voix. Si la victoire en Vénétie est sans appel, d’autres résultats sont peut-être encore plus significatifs. En Ligurie, la victoire du candidat de Forza Italia (centre droit) n’a été possible que grâce à son alliance locale avec la Lega Nord, la liste de la Lega dépassant même sa propre liste. En Ombrie, en Toscane, dans les Marches, les listes de la Lega Nord réalisent des scores oscillant entre 13 et 16 %, et si elle ne bat pas le centre gauche, elle est en revanche en permanence en tête de son opposition « de droite ». Même à l’extrémité sud de l’Italie, dans les Pouilles, la liste « Noi con Salvini » parvient à rassembler 38.000 électeurs.

     

    La nouvelle Lega de Salvini a réussi à la fois son expansion géographique et son extension politique. Non seulement la Lega Nord n’est plus uniquement le parti du nord de l’Italie, mais Matteo Salvini est en train de transformer le parti régionaliste et fédéraliste en parti patriote et souverainiste. Celui qui est militant léghiste depuis son adolescence a pris en compte les nouveaux paradigmes politiques pour amorcer cette évolution, comprenant notamment que la défense de l’enracinement et des identités populaires devait forcément aujourd’hui passer aussi par une dimension sociale et par une lutte sans concession face à l’Union européenne. Courageusement, Matteo Salvini a adapté son mouvement aux défis actuels, remettant en cause les vieux dogmes ou les anciennes alliances, n’hésitant pas à ouvrir le parti, à nouer de nouveaux partenariats.

    Matteo Salvini et la Lega Nord bousculent totalement la politique italienne, et il est aujourd’hui celui qui incarne clairement l’opposition au centre gauche mais aussi à ceux qui, au sein du centre droit, ont capitulé face à l’immigration, à Bruxelles et aux banques. Il ouvre une autre voie en redéfinissant le bipartisme italien. Au niveau européen, aussi, Matteo Salvini a su faire des choix : il est aujourd’hui l’un des alliés les plus solides du Front national au Parlement européen, ouvrant là encore une autre voie à nos côtés.

     

    Nicolas Bay

  • La nouvelle affiche du Front National

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  • L’invasion continue : 3.000 nouveaux clandestins secourus en 24h

     

    Nouvelle vague de migrants clandestins en direction de l’Italie. Plus de 3.000 d’entre eux ont été secourus au large des côtes libyennes hier et des centaines d’autres se trouvaient toujours à la dérive en Méditerranée. C’est une ONG, MOAS, qui a coordonné le sauvetage de ces migrants venus pour la plupart d’Erythrée et de Syrie.

    Contre-info.com

  • Plus de 2.000 migrants secourus samedi en Méditerranée

    http://www.leparisien.fr/faits-divers/plus-de-2-000-migrants-secourus-samedi-en-mediterranee-06-06-2015-4839343.php

    + Photos

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    Une organisation parfaite

  • C'était un 6 juin...

    1944 : en Normandie, début du débarquement américain. De Gaulle, qui n’a même pas été mis dans la confidence tant son rôle était marginal, ne sera autorisé à débarquer que plusieurs jours après, sur une plage du Calvados.
    Certains de nos lecteurs trouveront intéressant  d’apprendre que ce débarquement eut lieu le sixième jour du sixième mois à 6 heures du matin (666), ce qui était aussi le sixième jour du sixième mois de la sixième année de guerre.

    Contre-info.com

  • Ils projetaient d’assassiner des identitaires, ils passent devant la justice

              

     

              
    Pendant que certains tentent de nous endormir à coups de « Pas d’amalgame », d'autres rêvent de détruire notre civilisation. Nous sommes en guerre.

     

     

     

     

     

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    Les islamistes de Forsane Alizza (« Les Cavaliers de la fierté », en langue en arabe) avaient défrayé la chronique à partir de l’année 2010. Ce groupe radical adepte d’un islam fondamental s’était surtout fait connaître par une agit-prop intensive à base de vidéos chocs et d’actions coup-de-poing. L’on se souvient notamment de leur leader, Mohammed Achamlane, brûlant un Code civil en plein centre de Limoges, pour dénoncer l’interpellation d’une femme en niqab à Aulnay-sous-Bois. Ou encore du soutien apporté à Lies Hebbadj, le musulman de Nantes soupçonné de polygamie et de fraudes aux allocations familiales. En 2012, lorsque le groupe avait été dissous, Mohammed Achamlane s’était montré menaçant en affirmant qu’il n’excluait pas la lutte armée « si l’islamophobie [s’intensifiait] de jour en jour ».

    Finalement, les principaux responsables du groupe ont été interpellés puis écroués quelques jours après que Mohamed Merah a été abattu par le RAID. La justice leur reproche d’avoir fomenté des actions terroristes sur le territoire national. Parmi les cibles, le journal Libération, dont le seul tort avait été d’héberger, un temps, la rédaction de Charlie Hebdo… Nous sommes en 2012, soit 3 ans avant l’attentat meurtrier perpétré par les frères Kouachi. Mais ce n’est pas tout. Un appel de la DCRI m’avait annoncé que je faisais partie – avec d’autres – des cibles potentielles du groupe islamiste en tant que président du Bloc identitaire. Une information qui m’avait été confirmée dans les bureaux d’un juge antiterroriste.

    Après plusieurs années de procédure, le procès va enfin avoir lieu. Les audiences se tiendront du 8 au 23 juin devant le tribunal de grande instance de Paris (16e chambre correctionnelle). 15 personnes sont ainsi poursuivies. On leur reproche « d’avoir participé à un groupement formé ou une entente établie en vue de la préparation caractérisée par un ou plusieurs faits matériels d’un des actes de terrorisme mentionnés à l’article 421-1 du Code pénal ». J’ai également reçu ma citation à comparaître en tant que partie civile et je compte bien m’y rendre pour voir de plus près ces fous d’Allah qui rêve d’instaurer la charia en France.

    Beaucoup, à l’époque, considéraient qu’il ne fallait pas prendre ces fanatiques au sérieux. Aujourd’hui, avec ces milliers de candidats « français » au djihad qui viennent grossir les rangs de l’État islamique, la menace est bien plus palpable. Car il y a ceux qui partent définitivement pour la Syrie, ceux qui reviennent en Europe et, enfin, ceux qui restent ici en rêvant de faire le djihad sur notre sol.

    En septembre 2014, la presse annonçait l’interpellation, dans la région lyonnaise, de six personnes soupçonnées notamment de participer au recrutement de volontaires pour le djihad en Syrie. Dans un communiqué de presse, le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve avait fait état de la saisie de « diverses armes et équipements dont il [appartiendrait] à l’enquête judiciaire de déterminer la finalité » (sic). Le coup de filet aurait été déclenché car « l’enquête [avait], du fait d’éléments laissant craindre un passage à l’acte violent imminent, connu de rapides développements avec cette opération d’interpellations ». Parmi les suspects, deux frères liés à Forsane Alizza et qui avaient été arrêtés en 2012 avant d’être relâchés sous contrôle judiciaire. D’après le parquet de Paris, ils « nourrissaient l’ambition de mourir en martyr ». D’ailleurs, chez l’un d’entre eux, « un téléviseur, allumé, diffusait l’emblème de l’EI ».

    Pendant que certains tentent de nous endormir à coups de « Pas d’amalgame », d’autres rêvent de détruire notre civilisation. Nous sommes en guerre. Il faut plus que jamais mener une lutte sans merci contre l’islamisation.

     
    BOULEVARD VOLTAIRE
  • Ota Benga, l'homme qui vivait dans une cage au zoo de New York

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    http://www.levif.be/actualite/international/ota-benga-l-homme-qui-vivait-dans-une-cage-au-zoo/article-normal-399047.html

     

     

  • Tourcoing : 5 jours d’émeutes, silence radio des médias

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    06/06/2015 – FRANCE (NOVOpress)
    Après 5 jours d’émeutes à Tourcoing, l’information ne filtre dans les grands médias que parce qu’elles se sont étendues à Roubaix, avant de connaître une légère accalmie. Le déclencheur : un « jeune » mort en percutant un poteau alors qu’il s’échappait d’un contrôle de police.

    Les scènes sont d’une grande banalité : voyous saccagent tout sur leur passage, affrontements violents avec les forces de l’ordre, véhicules incendiés, hélicoptère dans le ciel… tout cela parce qu’un « jeune » (le lecteur traduira de lui-même) a forcé un barrage – avait-il quelque chose à se reprocher ? — a grillé un feu rouge et est allé emplafonner sa voiture dans un poteau. Le pauvre chérubin en est mort, son passager grièvement blessé et c’est regrettable, mais, comme toujours, en quoi cela justifie-t-il ces scènes de guerre civile ?
    Ah oui, bien sûr, les pauvres petits sont stigmatisés, victimes du racisme et de l’exclusion et il faut bien qu’ils expriment leur légitime colère. Plus prosaïquement, la police n’avait pas à être là, ce n’est pas son territoire, le premier prétexte venu est employé pour tenter de la chasser. Quant aux médias, ils ont mis presque une semaine à réagir. Roland-Garros et le congrès du PS, coco, c’est tout de même plus important que la vie de milliers de braves gens gâchée par quelques dizaines de racailles -pardon, « jeunes »- qui ne supportent pas l’intrusion de bandes ennemies (la police, donc) sur leur territoire. Et puis, il ne faudrait pas stigmatiser en montrant que ces émeutiers sont en grande majorité « issus de la diversité ».

    Crédit photo : capture d’écran du reportage de France Télévision sur les émeutes à Tourcoing. Images prises par un habitant

  • Un adolescent attaqué par des loups (Alpes de Haute-Provence)

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    Samedi 06/06/2015 à 20H53
     
    Les loups s'en sont pris à l'homme sur cette exploitation située à 300 mètres au-dessous de la lisière de la forêt domaniale de la Blanche. Photo G.M.

     

     
     

    Ce qu'on craignait depuis quelques jours a fini par se produire dans la vallée de la Blanche : après avoir attaqué à maintes reprises un troupeau bovin, les loups s'en sont pris à l'homme sur cette exploitation située à 300 mètres au-dessous de la lisière de la forêt domaniale de la Blanche.

    Dans la soirée de vendredi, aux environs de minuit, Romain est réveillé en sursaut par les aboiements des chiens et les meuglements des vaches : il se lève précipitamment et fonce malgré ses béquilles, accompagné de son jeune frère.

    Des yeux brillent dans le noir mais ils ne parviennent pas à distinguer les loups des bovins dans la nuit. Le plus jeune fonce alors chercher un tracteur pour monter dans le pré et l'éclairer, laissant heureusement le fusil à Romain : encerclé par la meute qui fonce sur lui, il tire en l'air pour ne pas atteindre les vaches ou les veaux et met les loups en fuite alors qu'ils étaient à une vingtaine de mètres de lui.

    "J'ai eu la peur de ma vie, je suis sûr qu'ils m'auraient sauté dessus", assure Romain, persuadé de ne devoir son salut qu'à son arme, encore tout tremblant plusieurs heures après l'attaque.

    "On s'en doutait, ils se sont habitués à nous depuis des mois qu'ils rôdent autour de la maison, on les a même vus plusieurs fois fouiller dans les conteneurs d'ordures ménagères à l'entrée du hameau, ils n'ont plus peur", confirme leur père.

    LA PROVENCE

    NdB: Félicitations à ces jeunes ados pour leur courage et leur sang-froid!

    Et honte à la stupidité des écologistes qui laissent les loups attaquer les troupeaux et maintenant les humains!