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  • Apprentie comédienne, élue à Paris, "VRP des quartiers"… Les vies successives de Myriam El Khomri

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    La secrétaire d'Etat à la Ville remplace le ministre du Travail, François Rebsamen, redevenu maire de Dijon.

     

    Par Anne Brigaudeau

    Mis à jour le 02/09/2015 | 18:42 , publié le 02/09/2015 | 18:03

    Surprise garantie. Dans la presse, les noms de Stéphane Le Foll, Alain Vidalies ou Jean-Marc Germain avaient été avancés pour succéder au ministre du Travail, François Rebsamen. Loupé ! A ces trois hommes, François Hollande et Manuel Valls ont préféré une femme, Myriam El Khomri, secrétaire d'Etat à la Ville depuis août 2014 et benjamine du gouvernement, puisqu'elle est âgée de 37 ans. Francetv info vous résume son parcours.

    Fière de ses origines, marocaines et bretonnes

    Née le 18 février 1978 à Rabat, d'un père marocain et d'une mère bretonne (du Finistère), Myriam El Khomri garde de Tanger, où elle a grandi, un souvenir "d'effervescence, de plage, de friture de poissons... La vie était douce". Quand sa famille arrive en France, la petite Myriam a 9 ans. Ils s'installent à Bordeaux.

    "Sa mère, détaille Libérationétait prof d’anglais, son père a fait beaucoup de métiers, avant d’ouvrir une boutique de reprographie à Bordeaux." Très bonne élève, Myriam s'enchante, selon le quotidien, des vacances qui suivent "le méridien familial : Tanger-Ploudalmézeau, 2 149 kilomètres en Peugeot 504, les trois enfants derrière et les pare-chocs au ras du sol."

    Même si elle regrette de ne pas avoir pu apprendre l'arabeselon le journal, elle répète être "fière de ses origines". Et a choisi de garder son nom, "n’utilisant celui de son mari Loïc, 'bordelais à 100%', que quand elle commande des pizzas, pour éviter qu’on écorche son patronyme". Ce qu'avait d'ailleurs fait Manuel Valls à la télévision, en août 2014, rebaptisant alors sa nouvelle ministre "Myriam El Kawi".

     

    Elle se rêvait comédienne...

    La politique était-elle la première ambition de Myriam El Khomri ? Pas vraiment. A son arrivée en France, elle se met au théâtre pour combattre sa "grande timidité", raconte l'Agence France-Presse. Elle joue alors dans des pièces d'un auteur contemporain, Philippe Minyana : des "trucs très glauques", mais elle "adore ça".  "J'avais des rêves d'être comédienne, de scène", confie-t-elle.

    Boursière, elle doit toutefois abandonner le théâtre à l'âge de 20 ans pour se consacrer à ses études de droit. Et se prend alors de passion "pour le droit public", une matière austère, loin des feux de la rampe.

    ... avant de devenir une proche de Delanoë et Hidalgo

    Le "déclic" politique se produit très tôt, en 2001, lors d'un stage à la délégation interministérielle à la Ville. A 23 ans, après ses études de droit, Myriam El Khomri travaille à la mairie du XVIIIe arrondissement, sous le mandat de Bertrand Delanoë.

    Elle est plus spécialement chargée des questions de prévention et de toxicomanie, puis devient l'adjointe de Bertrand Delanoë en 2008, après avoir été élue conseillère municipale. En 2014, enceinte de 5 mois et demi, elle est désignée porte-parole de la campagne d'Anne Hidalgo aux municipales. Elle devient son adjointe à l'issue des élections, en charge de la Sécurité, de la Prévention et de la Politique de la ville.

    Benjamine et chouchoute du gouvernement

    Son second mandat de maire-adjointe ne dure pas longtemps. Quelques mois après les municipales, en plein mois d'août 2014, elle est débauchée par l'exécutif pour entrer au gouvernement, en tant que secrétaire d'Etat à la Ville. Revendiquant elle-même un statut de "VRP des quartiers", la benjamine du gouvernement conquiert Manuel Valls et François Hollande par sa présence sur le terrain. "Elle faisait partie ces derniers mois des jeunes membres du gouvernement régulièrement cités en exemple", assure d'ailleurs Le Monde.

    Au lendemain des attentats de janvier, Myriam El Khomri monte en première ligne : pour porter la bonne parole du gouvernement sur le "vivre-ensemble", elle multiplie les déplacements en banlieue. "Sincèrement, en tant que secrétaire d'Etat, je ne suis pas du tout médiatisée", assurait-elle il y a quelques mois, en dépit des quelque vingt-cinq interviews enchaînées dans les deux mois qui suivent les attentats contre Charlie Hebdo et l'Hyper Cacher.

    Elle préfère mettre en avant ses visites dans les quartiers : "Mon plaisir, en politique, c'est d'être sur le terrain, avec les élus, les habitants, les associations, et d'essayer de construire." C'est d'ailleurs elle, encore, rapporte le JDD, que le gouvernement a prioritairement envoyé "en mission sur les terres du FN" , de Béziers (Hérault) à Villers-Cotterêts (Aisne) en passant par Mantes-la-Ville (Yvelines).

    Promue sans être une spécialiste, ni un poids lourd politique

    La voilà désormais en charge de l'un des plus gros ministères, celui du Travail. Si elle est titulaire d'un DESS de droit public, elle n'est pas une spécialiste du droit du travail. Un point commun avec François Rebsamen, note Le Monde.

    Quel poids la jeune ministre aura-t-elle au sein du gouvernement ? "Un(e) ministre du Travail, écrit l'éditorialiste d'Ouest France Michel Urvoy, ce n’est pas un commentateur mensuel et médiatique des statistiques du chômage. Ce n’est pas davantage celui qui peut ou non inverser la courbe du chômage. C’est un homme ou une femme d’influence capable de peser politiquement au sein du gouvernement et sur les négociations sociales qui sont l’essentiel de son travail. Parce que l’emploi résulte de la politique du gouvernement tout entier.Or, Myriam El Khomri n’a pas cette surface politique."

    On verra à l'usage si la prédiction est juste. Qu'importe pour l'instant les bémols : la nouvelle promue a immédiatement partagé sur Twitter son enthousiasme et sa "détermination" .

  • Eurostar : les 700 passagers bloqués toute la nuit en gare de Calais-Fréthun sont repartis vers Londres

         Publié le 02/09/2015

    PAR M. GO. et B. M. (PHOTOS GUY DROLLET)

     

     

     

    Un Eurostar qui devait se rendre à Londres, et qui transportait plus de 700 passagers, est resté bloqué en gare de Fréthun toute la nuit. Le train a pu repartir aux alentours de 10 h 30. Des tentatives d’intrusions de migrants dans le Tunnel sont à l’origine de ce blocage. Quatre autres Eurostar, également bloqués dans la soirée, ont pu repartir vers 2 h du matin.

     

     

     

    Ce mardi soir, des intrusions massives de migrants sur les voies SNCF au niveau de Fréthun, avant l’arrivée dans le périmètre d’Eurotunnel, ont entraîné l’arrêt du trafic Eurostar. Cinq trains ont été bloqués dans les deux sens pendant plusieurs heures. Quatre ont pu repartir peu après 2 h.

    Le cinquième Eurostar est resté bloqué en gare de Fréthun. Il a été stoppé vers 21 h alors qu’il s’apprêtait à entrer dans le tunnel sous la Manche. Les quelque 700 passagers qui s’y trouvaient ont été informés par le chef de bord que des migrants marchaient sur le toit du train ainsi que sur les voies. Un incident technique, une fuite de gaz au niveau de la motrice arrière, l’a par ailleurs contraint à rester immobilisé. Le train a pu repartir en direction de Londres aux alentours de 10 h 30, ce mercredi.

    Climatisation coupée

    L’Eurostar a finalement été arrêté peu avant l’entrée du Tunnel. Selon les passagers, la climatisation a été coupée et les lumières du train ont été éteintes. Ils sont restés plusieurs heures coincés dans le train avant de pouvoir rejoindre, vers 3 h, la gare TGV de Calais-Fréthun.

    Les services de la Protection civile sont intervenus pour assister les passagers. Des couvertures de survie leur ont notamment été distribuées.

     

     

    Peu avant 8 h ce mercredi, soit près de cinq heures après l’arrivée des passagers en gare de Fréthun, une trentaine de bénévoles de la Protection civile sont venus apporter des kits SNCF Assistance, avec de la nourriture. Contactée par nos soins, la SNCF a alors indiqué qu’une « opération de stérilisation » de la gare était en cours : tous les passagers sont contrôlés, afin de pouvoir accéder aux quais et à l’Eurostar. Toujours selon la SNCF, la raison de l’immobilisation de l’Eurostar est une vitre cassée par un voyageur.

    La navette de secours est arrivée vers 9 h 45. Elle devait prendre en charge les 700 passagers pour les emmener vers Londres. L’enregistrement de ces voyageurs se termine. La navette est partie vers 10 h 30. Un autre Eurostar, en provenance de Paris et à destination de Londres, devait arriver à 10 h. Or, la gare étant inaccessible, les passagers étaient bloqués à l’extérieur. Ce second train vers l’Angleterre est donc parti avec du retard, après avoir fait entrer les passagers puis effectué les opérations d’enregistrement.

    Répercussions sur le réseau routier

    Selon le CRIR, on a compté, ce mercredi matin, jusqu’à 2 kilomètres de bouchons sur l’A16, dans le sens Dunkerque-Calais. Des camions étaient arrêtés sur la bande d’arrêt d’urgence à l’approche de l’entrée du Tunnel.

    On a compté également 6 kilomètres de bouchons, toujours dans le sens Dunkerque-Calais, avant Loon-Plage. Beaucoup de personnes se sont effet rendus en effet au terminal de ferry pour se rendre en Angleterre. La N316 était bouchée, ainsi que la zone autour d’Auchan Grande-Synthe.

    « Aucune information »

    Certains passagers sont sortis de la gare pour chercher à rejoindre le port pour emprunter un ferry. D’autres attendaient en gare, se plaignant souvent du manque d’informations sur la situation et la suite des événements.

     

     

    Par ailleurs, beaucoup d’usagers qui voulaient prendre leur TGV l’ont raté, faute de pouvoir accéder aux quais. Il existe une autre entrée, mais aucune indication n’a été fournie aux passagers. Eurostar a par ailleurs indiqué que ses passagers bloqués cette nuit en gare de Fréthun seront indemnisés : le prix de leur billet leur sera remboursé, et un aller/retour leur sera offert.

    Le site d’Eurotunnel fait l’objet, depuis plusieurs semaines, d’un renforcement de sa sécurité avec l’implantation, toujours en cours, de barrières de protection, financées par le Royaume-Uni. Le site de Fréthun, appartenant à SNCF Réseau, et par lequel se sont introduits les migrants cette nuit, devrait également être sécurisé prochainement, avec l’implantation de barrières.

  • Migrants sur les voies de l'Eurostar : 700 passagers bloqués une nuit près de Calais

    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2015/09/02/01016-20150902ARTFIG00035-migrants-le-trafic-eurostar-completement-perturbe-a-l-entree-du-tunnel-sous-la-manche.php

    Plus de détails dans cet article

  • Migrants: Eurostar bloqué à Calais : "Ma fille de 5 ans tremblait de froid sur le quai"

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    Francetv info a recueilli le témoignage de voyageurs qui ont passé la nuit de mardi à mercredi dans un train Eurostar et à la gare de Calais-Fréthun. Le blocage a été causé par 100 et 150 migrants, qui ont franchi les voies pour monter dans le train.

    Des passagers d'un train Eurostar bloqué en gare de Calais-Fréthun (Pas-de-Calais), le 2 septembre 2015. (REUTERS)

    Par Louis San

    Mis à jour le 02/09/2015 | 16:49 , publié le 02/09/2015 | 16:49

    "C'était l'apocalypse." Dans la nuit du mardi 2 au mercredi 3 septembre, plusieurs centaines de voyageurs d'un Eurostar sont restés bloqués sur les quais de la gare de Calais-Frethun. En cause : "Environ 100 à 150 migrants, qui ont investi vers 21 heures la gare de Calais-Fréthun au niveau des voies, pour monter dans l'Eurostar", selon la police. Ce n'est que vers 11 heures, mercredi matin, qu'un train est finalement venu chercher les naufragés du rail, pour repartir en direction de Londres.

    Ni information, ni lumière, ni air conditionné

    Entrepreneur dans le secteur des nouvelles technologies, installé à Londres, Frédéric Bruel était à bord de l'Eurostar lorsque le train s'est arrêté. Le plus éprouvant, pour lui, "c'est quand on s'est retrouvé avec zéro information, qu'il n'y avait plus d'air et plus de lumière dans le train. C'était vers 2 heures du matin, peu avant que l'on arrive à la gare de Fréthun, vers 2h20".

    "Jusqu'à ce que le train ne redémarreon ne savait pas quand le courant allait être remis pour avoir de l'air conditionné, sachant qu'il était hors de question que l'on puisse ouvrir les portes alors que l'on était dans la pénombre la plus totale et que la moitié des toilettes étaient bouchées, poursuit-il. C'était l'apocalypse."

    "En fait, dès le début de l'incident, ils ont coupé le courant sur la ligne. On a alors fonctionné sur les batteries, et quand les batteries sont tombées à plat, terminé, il n'y avait plus rien. Il y avait des voitures dans lesquelles il devait faire plus de 35 °C..."

    "De 6 heures à 10h30, on a attendu, debouts ou assis..."

    Pour tous les voyageurs, l'arrivée à la gare de Calais-Fréthun a donc représenté, littéralement, une bouffée d'air. Mais très vite, une très longue l'attente a succédé au bref moment de soulagement. "Il n'y avait aucun personnel Eurostar sur place, raconte Frédéric. Nous n'avons rien eu à manger avant 7h30-8 heures." 

    "Vers 6 heures, ils nous ont fait sortir du train pour que l'on attende sur les quais, car la gare devait être nettoyée. Donc, de 6 heures jusqu'à 10h30, on a attendu, debouts ou assis, sur des marches", raconte Marie, une autre voyageuse, interrogée par francetv info. Mais "le pire souvenir, c'est de voir ma fille de 5 ans tremblante de froid sur le quai, ne pouvant rien faire". Selon une autre passagère, interrogée par l'Agence France-Presse, une annonce officielle d'excuses "a été huée" par les voyageurs. Finalement,  "ils nous ont envoyé un train sans sandwich , juste des barres de Twix, des bouteilles d'eau et de l'eau chaude à la demande", raconte Marie.

    "Nous avons été laissés dans les mains d'un personnel dépassé"

    "Le personnel a fait ce qu'il a pu, tempère Frédéric. Les employés de la voiture-bar ont essayé de répondre aux questions des voyageurs, mais ils manquaient d'informations. Comme il n'y avait plus de courant dans le train, ils ne pouvaient pas communiquer."

    "Moi, je m'attendais à une gestion de crise à la hauteur de la taille de cette entreprise, et du prix des billets qu'ils font payer à leurs clients, mais il n'y avait rien", s'énerve-t-il. "Aucun responsable ni de la SNCF ni d'Eurostar n'est venu nous parler, enfonce Marie. Nous avons été laissés dans les mains d'un personnel dépassé."

    Face aux critiques, un porte-parole d'Eurostar a toutefois promis que la compagnie faisait "tout ce qui est possible pour que les passagers soient accueillis avec une boisson, de la nourriture, des taxis et des hôtels à leur arrivée" à Londres.

  • GR - « Allah Akbar » « Germany, Germany » : le visage sans fard de l’invasion islamiste à Budapest

    Regarder en plein écran

    Le Salon Beige

  • Valls transpire... la haine d'une France qu'il détruit méthodiquement

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    http://ripostelaique.com/valls-transpire-la-haine-dune-france-quil-detruit-methodiquement.html

  • La CEDH condamne l’Italie à payer 10 000 euros à des migrants de Lampedusa expulsés vers la Tunisie

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    11h02

    La Cour européenne des droits de l’Homme a condamné aujourd’hui l’Italie pour les conditions dans lesquelles des migrants tunisiens avaient été placés en rétention sur l’île de Lampedusa avant d’être refoulés collectivement vers la Tunisie en 2011. La Cour a notamment jugé que ces conditions avaient «porté atteinte à leur dignité», et a critiqué la légalité de leur détention, puis de leur expulsion.

     

  • Slovaquie : manifestation anti-immigration interdite

     

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    Mohamed Juncker et Frau Sharia !

     

    23h42

    La police slovaque a empêché aujourd’hui une manifestation contre l’accueil de migrants.

     

    Plusieurs centaines de manifestants d’extrême droite ont été interdits d’entrée dans le village de Gabcikovo (au sud de Bratislava). Ce village est prévu pour accueillir prochainement à titre temporaire cinq cents migrants en vertu d’un accord avec l’Autriche qui les héberge actuellement.

    La police était intervenue au motif qu’un exercice de pompiers et de secouristes se déroulait aujourd’hui à Gabcikovo, a expliqué une porte-parole des forces de l’ordre, Martina Kredatusova.

    Dimanche dernier, les habitants de Gabcikovo se sont prononcés massivement par référendum contre l’accueil des migrants.

    Plus tôt dans la journée, quelque deux cents personnes ont manifesté dans une autre localité slovaque, Trnava, dans l’ouest, contre l’arrivée de migrants. Marian Kotleba, dirigeant du parti d’extrême droite « Notre Slovaquie », n’a pu y assister car il avait été convoqué par la police pour être interrogé. Quelques personnes opposées à la manifestation s’étaient également rassemblées à Trnava. « J’ai honte pour vous », déclarait un panneau apporté par Jakub, un étudiant de 24 ans. Les manifestants nationalistes s’en sont emparé et l’ont déchiré.

     

    source

    Merci à anargyre

  • Le docteur Xavier Dor, militant anti-avortement, définitivement condamné pour "délit d'entrave à l'IVG"

     

    01 Sept. 2015, 21h04 | MAJ : 01 Sept. 2015, 21h04

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    Le docteur Xavier Dor est né à Marseille en 1929

     
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    Le militant anti-avortement Xavier Dor a été définitivement condamné ce mardi à 10 000 euros d’amende, dont la moitié avec sursis, pour entrave à l’interruption volontaire de grossesse. La Cour de cassation ayant rejeté son pourvoi.

     
     

    Il avait été condamné par la cour d’appel de Paris le 27 octobre 2014 pour s’être introduit à deux reprises dans les locaux du planning familial à Paris en juin 2012. Cet ancien pédiatre octogénaire avait notamment donné à une femme qui souhaitait avorter une médaille de la Vierge Marie et une paire de petits chaussons. Il a déjà été condamné à une dizaine de reprises pour des faits similaires. Proche des catholiques intégristes, Xavier Dor est à la tête de l’association « SOS tout-petits », créée en 1986 et qui revendique une centaine d’actions dans les années 1980, dont des intrusions dans les blocs opératoires.

    LE PARISIEN

    Quelle honte! Il n'a fait aucun mal !

     

  • Paris : une ado violée dans l’ascenseur de son immeuble

     

    Benoît Hasse | 31 Août 2015, 20h36 | MAJ : 31 Août 2015, 20h36

     
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    Il n’a pas hésité à agir en plein jour, à visage découvert et dans l’ascenseur d’un immeuble d’habitation ! L’homme d’une trentaine d’années qui a abusé d’une adolescente de 14 ans ce week-end dans le XIIe arrondissement présente tous les traits d’un dangereux prédateur sexuel.

     
     

    Le violeur, qui est tranquillement reparti après avoir menacé sa victime de représailles si elle parlait, est désormais activement recherché par la police judiciaire.

    Les faits se sont déroulés dimanche à 16 heures dans un immeuble du quartier de la porte de Charenton. En ce milieu d’après-midi, Chloé* rentre chez elle après avoir rendu visite à une amie. La jeune fille compose le code d’entrée de son immeuble. Le violeur qui se trouvait derrière elle rentre, lui aussi, dans l’immeuble. Mais sans précipitation, ni violences. L’homme qui fait simplement mine d’avoir profité de la porte ouverte engage même la conversation avec sa victime tandis qu’ils montent tous deux dans l’ascenseur.

    Frappée à coups de casque de moto

    Quelques étages plus haut, l’affaire bascule dans l’horreur. Alors que l’adolescente allait sortir de l’ascenseur, son agresseur la frappe violemment au visage, à coups de casque de moto puis à coups de poing, et la retient dans la cabine qu’il renvoie au dernier étage.

    Là, il bloque l’ascenseur, menace sa victime en se disant armé et lui ordonne de lui pratiquer une fellation. Après ce viol, il ira jusqu’à se faire raccompagner à la sortie de l’immeuble par la jeune fille à qui il précise qu’il tuera sa famille si elle raconte ce qui vient de se produire.

    La mère, horrifiée de découvrir sa fille blessée mais mutique, a alerté les policiers quelques minutes plus tard. Le violeur était déjà loin. La terrible affaire a été confiée à la brigade de protection des mineurs de la police judiciaire. Outre le signalement de l’agresseur, les enquêteurs disposeraient d’autres éléments d’identifications laissées sur les lieux du viol pour tenter d’interpeller au plus vite le prédateur.

    *Le prénom a été changé.
     
    LE PARISIEN
  • Le ministère de la Justice épinglé pour 40000 emplois au noir

    http://www.leparisien.fr/economie/emploi/le-ministere-de-la-justice-epingle-pour-40-000-emplois-au-noir-01-09-2015-5053537.php