Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • IGNACE

    ignace_coree_du_nord_kim_jong_un-mpi-722x1024.jpg

  • Stop au TTIP (TAFTA) : mobilisation massive à Berlin

    Les organisateurs ne s’attendaient pas à un tel succès. Dans les rues de Berlin, ce samedi entre 100 et 250 000 personnes ont défilé pour dire “non” au futur accord de libre-échange entre l’Union européenne et les Etats-Unis.

    Cette marche était organisée à l’appel de partis politiques, d’organisations synidcales, environnementales et de défense des consommateurs. Les participants ont afflué de toute l’Allemagne.

    Le TTIP autrement dit le Partenariat transatlantique de commerce et d’investissement est en cours de négociation. Il vise à supprimer non seulement les barrières douanières mais aussi règlementaires entre les Etats-Unis et l’Europe.

    Ces opposants sont nombreux. Beaucoup d’ONG mettent en garde contre des traités qui feraient la part belle aux industriels obéissant à une seule logique économique au détriment de l’environnement et de la santé des populations.

    NEWS

  • Au FN, Marine Le Pen affirme son leadership face à «la pression de ses conseillers»

    XVMb3fb296c-7018-11e5-b566-6ce282b7ed1b.jpg Marine et Florian.jpg

     

     

     

     

    LE SCAN POLITIQUE - Selon un sondage Ifop pour le JDD, Marine Le Pen sort renforcée dans son autorité et dans sa crédibilité au FN, après l'apaisement de la crise familiale qui a conduit à l'éviction de Jean-Marie Le Pen.

     
     

    Si l'on en croit le sondage Ifop publié par le JDD ce dimanche, un mois et demi après avoir écarté son père du parti, Marine Le Pen semble en passe de transformer l'essai. En effet, 31% des Français se disent prêts à voter pour elle. Alors que certains prédisaient que le conflit contre Jean-Marie Le Pen perturberait la progression en apparence inexorable de la chef de file frontiste, elle sort de la séquence du drame politico familial avec une crédibilité renforcée puisque 30% des sondés estiment qu'elle dispose aujourd'hui de «solutions» pour sortir la France de la crise. A l'intérieur du parti également, la présidente du FN assoit son autorité malgré les attaques répétées de son père qui l'accuse de s'être soumise à l'influence de son entourage, raconte le JDD. Confrontée à la montée en puissance de son bras droit Florian Philippot comme à celle de sa nièce Marion Maréchal-Le Pen, deux figures qui incarnent autant de tendances divergentes au sein du parti, Marine Le Pen a pris une hauteur certaine cette semaine à l'occasion d'une joute verbale directe avec le président de la République.

    Marine Le Pen, «dans son costume de patron»

    «C'est une délivrance, elle est décomplexée, libérée», assure le trésorier du FN Wallerand de Saint-Just au sujet de l'éviction du fondateur du FN. Loin de la mettre en porte-à-faux avec la base historique du parti, cette prise d'indépendance vis-à-vis de Jean-Marie Le Pen lui a permis d'imposer définitivement sa ligne. «Cela renforce sa personnalité, elle est perçue comme courageuse et indépendante», souligne son directeur de campagne pour les régionales Bruno Bilde, dans les colonnes du quotidien dominical. Une thèse soutenue par son compagnon et vice-président du parti Louis Aliot: «Elle s'est libérée d'une pression, celle de son père et celle de certains de ses conseillers», assure-t-il. Un autre haut gradé anonyme de la rue des Suisses à Nanterre confirme: «Elle est dans son costume de patron. Elle est très libre, vis-à-vis de Philippot comme de Marion. Elle a été capable de virer son père, ce n'est pour se faire casser les pieds par d'autres».

    Et cette nouvelle liberté vis-à-vis de son bras droit s'est récemment exprimée de manière cinglante à l'occasion d'un comité d'investiture pour les régionales en Ile-de-France, rapporte le JDD. «Ce n'est pas toi qui décides, c'est moi», lui aurait lancé la candidate à la présidence, alors que Florian Philippot militait pour l'intégration de deux de ses proches sur la liste francilienne de Wallerand de Saint-Just. De quoi couper court aux bruits, persistants, relayés notamment par Jean-Marie Le Pen, qui font état d'une emprise grandissante exercée par le vice-président du FN sur Marine Le Pen. Sur Twitter, Florian Philippot assure que ses demandes relatives à la liste francilienne ont été entendues et que la scène décrite par le JDD a été totalement inventée. Contacté par le Scan, ce dernier n'a pas pu donner suite à notre appel pour le moment.

    LE FIGARO

  • Allemagne : les réfugiés chrétiens persécutés par les “migrants” musulmans !

     

    la-fg-germany-migrants-20150901

    On savait déjà que, sur leurs embarcations de fortune, les “migrants” musulmans n’hésitaient pas à jeter par-dessus bord les réfugiés chrétiens (voir ici). Pour les chrétiens réfugiés en Allemagne la situation est intenable du fait des persécutions qu’ils subissent de la part des “migrants” musulmans. La journaliste Caroline Bruneau y a consacré un article publié sur le site de Causeur le 30 septembre dernier. Inconcevable et inadmissible.

    Les premières répliques du séisme migratoire qui secoue actuellement l’Europe se font sentir. Et on peine à y croire. Des réfugiés fuient aujourd’hui l’Allemagne, pour échapper aux mêmes persécutions que celles qui les avaient poussés à quitter leur pays d’origine. En Bavière, en Saxe ou dans le Brandebourg, les témoignages s’accumulent. De nombreux réfugiés chrétiens en provenance de Syrie, d’Irak ou du Kurdistan subissent intimidations et agressions de la part de réfugiés musulmans. Dans plusieurs centres d’accueil mis en place par les autorités locales, la charia s’applique et les chrétiens – minoritaires – sont victimes de brimades.

    Le pasteur luthérien de l’église de la Trinité de Berlin-Steglitz (sud de Berlin) Gottfried Martens témoigne de la situation très précaire des chrétiens dans l’édition dominicale du quotidien berlinois Die Welt du 27 septembre : « Les musulmans très croyants répandent dans les foyers l’idée suivante : là où nous sommes règne la charia. » Et ceux qui souffrent le plus sont les musulmans convertis au christianisme : « Ceux-là ont 100 % de chance d’être agressés », précise le pasteur. La situation n’est pas récente : l’hebdomadaire Die Zeit s’est lui aussi fait l’écho d’agressions et d’une ambiance délétère dans les foyers de réfugiés dès juillet 2014. Voilà plus d’un an, donc, que les autorités allemandes sont conscientes des dangers qui menacent les réfugiés chrétiens. « Il y a une ambiance d’intimidation et d’hostilité envers les chrétiens », explique le prêtre maronite de Francfort Gaby Magea. L’accès aux cuisines communes est restreint pour les chrétiens, traités de « porcs » par certains musulmans, et leurs enfants sont agressés. La solution proposée par les autorités locales ? Une ségrégation des réfugiés selon leur religion, y compris entre musulmans chiites et sunnites, qui ont importé pour certains leurs conflits sur le sol allemand. Outre-Rhin, des voix s’y opposent, au nom justement de l’asile, et prônent la distribution d’une charte fondamentale des valeurs allemandes, telles que l’égalité entre les hommes et les femmes, la liberté d’opinion ou de religion. Mais sans beaucoup d’espoir que les migrants y adhèrent, comme l’explique dans le quotidien berlinois Max Klingberg, qui travaille depuis 15 ans pour la Société internationale des droits de l’homme : « La situation va empirer, prévient-il. Les agressions sont le plus souvent le fait des Pakistanais et des Afghans, ils sont encore plus islamistes que les Syriens. » Pour lui, l’aveuglement n’est plus de mise : « Il faut arrêter de croire que tous les réfugiés sont des défenseurs des droits de l’homme. Parmi ceux qui arrivent, une portion non négligeable a des croyances d’une intensité équivalente à celle des Frères musulmans. » Rien d’étonnant à ce que les témoignages recueillis en Allemagne, au sein même de foyers de réfugiés, se rapprochent de propos tenus par l’État islamique. Les foyers sont désormais devenus des lieux de violence religieuse, et l’Allemagne ne peut plus l’ignorer. A Suhl, en Thuringe (centre du pays), une cinquantaine de demandeurs d’asile sunnites ont organisé ce que le mensuel bavarois Bayern Kurier (édité par le parti conservateur CSU) décrit comme « une chasse à l’homme » contre un Afghan qui avait déchiré des pages du Coran. Dix-sept personnes, donc six policiers, ont été blessées dans l’émeute qu’ils ont provoquée. L’hebdomadaire de gauche Der Spiegel, qui a consacré à cette émeute un article sur son site web, n’a pour sa part pas indiqué la raison de cette flambée de violence. S’agit-il pour le journal d’entretenir encore un peu l’illusion, alors que l’Allemagne attend désormais près d’1 million de réfugiés d’ici la fin de l’année ? Sur les six premiers mois de 2015, 20 % seulement étaient Syriens, 5,2 % Irakiens, les autres provenant surtout du Kosovo et d’Albanie (17 et 13 %). En 2014, le pays a accueilli deux fois et demi plus de musulmans que de chrétiens. Ces derniers ont donc été rattrapés par la peur. En Allemagne, ils sont de plus en plus nombreux à réclamer d’être hébergés au sein des églises locales. Mais pour certains, l’aide arrive trop tard. Une famille de chrétiens d’Irak a préféré rentrer à Mossoul : des islamistes présents dans leur foyer, à Geissen, les avaient menacés de les tuer et de « boire leur sang » s’ils ne partaient pas, rapporte Die Welt. Et ce départ est sans retour : tout réfugié qui quitte le pays doit s’engager à ne pas demander l’asile une deuxième fois.

    Source : Causeur, 30 septembre

    Observatoire de la christianophobie

  • Karel de Gucht (ex-Commissaire européen) : « Bientôt, il n’y aura plus de bikini pour ne pas heurter les musulmans »

     

    9h57
     

    654201.jpg Karel.jpg

    L’ancien ministre des Affaires étrangères belge Karel De Gucht a été pour le moins virulent dans sa dernière interview, il s’est ainsi fendu d’une diatribe contre le voile, afin de prôner l’égalité entre les hommes et les femmes.

    (…) Il rejette ainsi l’idée que ce sont ces musulmanes qui choisissent de porter le voile ou le burkini. « C’est d’abord une idée de leurs époux et leurs familles. Nous sommes quand même naïfs », affirme-t-il. « L’interprétation actuelle et la pratique ultérieure de l’Islam montrent souvent une inégalité entre l’homme et la femme ». (…)

    « Si ça continue comme ça, les Occidentales ne pourront plus porter le bikini à la piscine pour ne pas heurter les musulmans ».

    Source

    Merci à vanhavermaet

  • Turquie: le bilan du double attentat-suicide d'Ankara passe à 95 morts

    http://www.leparisien.fr/flash-actualite-monde/turquie-le-bilan-du-double-attentat-suicide-d-ankara-passe-a-95-morts-10-10-2015-5173943.php

  • Sans commentaires!

    poutine-hollande.JPG

    (merci à Bruno)

  • Le directeur de l’IUT de Saint-Denis de nouveau agressé et menacé de mort

     

    Samuel Mayol, le directeur de l’IUT de Saint-Denis, est la cible depuis plusieurs années de menaces émanant des mafias allogènes de son établissement (voir ici).

    Il avait déjà reçu des menaces de mort. Il avait aussi déjà été agressé en mai 2014. Le directeur de l’IUT de l’université Paris 13, Samuel Mayol, a été victime d’une nouvelle agression, vendredi 9 octobre au soir, alors qu’il promenait son chien près de son domicile dans le 20e arrondissement de Paris. Selon Le Parisien, Samuel Mayol souffre de contusions au front et à l’arcade et s’est vu prescrire une semaine d’arrêt de travail.

    « On va te buter »

    « J’étais au téléphone avec lui quand j’ai entendu son chien aboyer violemment, puis un cri. La communication a ensuite été coupée », a raconté Florent Tétard, qui enseigne lui aussi à l’IUT. « Quand j’ai réussi à le recontacter, il m’a dit qu’il avait été agressé par derrière par un homme qui lui a dit : ‘On va te buter.' »   

    La direction de l’université Paris 13 a rappelé dans un communiqué qu’une enquête était en cours depuis 18 mois et que « de nouveaux faits sont signalés régulièrement aux autorités ».  La ministre de l’Éducation nationale et le secrétaire d’État à l’Enseignement supérieur ont apporté leur soutien au directeur de l’IUT,  dans un communiqué commun. Najat Vallaud-Belkacem et Thierry Mando « souhaitent que le coupable de cette agression puisse être identifié dans les plus brefs délais afin que cessent ces agissements répétés ».

    « Les investigations n’ont donné aucun résultat »

    Lire la suite

  • Humour, quoique...

    Capture.PNG Ranson.PNG Ranson.PNG

    (merci à Dirk)

  • Pourquoi les Blancs sont-ils racistes vis à vis d’eux-mêmes ?

    Ecrit le 8 oct 2015 à 9:00 par Le Scribe dans Poing de vue

     
     

     




    6
    Download PDF

    Pourquoi les blancs ne s’aiment-ils pas en tant que blancs ? Pourquoi les blancs ne veulent-ils pas se voir comme blancs ?

    Lorsqu’on tape « homme de race blanche » sur Google traduction on obtient « white male » ; derrière la froide description biologique, presque policière, on sent peser sur un tel individu le soupçon d’un péché quasi-consubstantiel de sexisme aggravé, voire de « suprémacisme ». Lorsqu’on tape « homme de race noire » on obtient « black man », locution dont se dégage tout de suite une image sympathique et valorisante, issue à la fois de la dignité naturelle que revêt le qualificatif d’homme et de l’imaginaire positif véhiculé par la culture noire américaine.

    A quoi cette inégalité de traitement ordinaire entre les couleurs de peaux est-elle due ? Pourquoi, pour Google, c’est à dire pour le monde occidental dominant, un Noir est-il un homme et un Blanc est-il un mâle ? (D’espèce indéterminée)

    La raison de cette autoflagellation est la suivante : la seule façon de faire accepter la civilisation occidentale à la Terre entière, c’est de lui faire croire qu’elle n’est pas la civilisation des Blancs (car ce serait du colonialisme, et l’universalisme de bon aloi de nos gouvernements/élites/médias s’effondrerait immédiatement), mais qu’elle est LA civilisation tout court, la civilisation au delà des civilisations; c’est à dire, dans une perspective historique, la civilisation au delà des races.

    Or dans les faits, c’est bien la civilisation occidentale née en Europe qui s’impose partout, ce n’est pas la civilisation indoue, chinoise, inuit, sioux, ou dogon qui s’impose, c’est la civilisation des philosophes d’Athènes, des légions de Rome, des moines du Moyen-âge, des artistes et savants de la renaissance, celle de Périclès, de Saint-Benoit, de Goethe, de Descartes et de Kant. Au delà de leurs différences, force est de constater que tous ces hommes sont, au regard de l’ensemble des hommes vivant sur Terre, tout de même plutôt… blancs. La prétention universelle de la civilisation occidentale est ce qui légitime son expansion à la Terre entière, or, si son concept clef de Raison peut se targuer d’être universel, sa couleur de peau ne l’est pas.

    Il lui faut donc se départir de cette couleur trop visible, de ce blanc qui fait tâche, pour faire plus « citoyen du monde », et gagner ainsi véritablement cette universalité qu’elle revendique haut et fort. Plus il y aura d’Africains vivant à Paris ou à New York, plus il y aura d’indiens à Stanford et de Chinois à Polytechnique, plus il y aura d’assimilés de toutes couleurs, plus la civilisation occidentale sera légitime pour vampiriser l’Afrique, et vider le reste du monde de sa substance culturelle.

    L’argument de l’anti-racisme est en réalité l’argument ultime de légitimation du colonialisme occidental. « Vous voyez, ce ne sont pas des Blancs qui vous disent ce qu’il faut faire, c’est l’homme post-racial, l’homme métissé et émancipé des contraintes liées à l’appartenance à une race spécifique. Le post-racial n’est possible que dans l’extinction des races par leur mélange. D’ailleurs ce mélange est la preuve qu’il n’y a pas de race spécifique, il n’y a qu’une race humaine, les différences s’il en y a, sont le signe, la preuve même, d’un retard dans votre développement. » L’homme du futur ne peut être que métissé, symbole, dans sa chair, de l’universalité victorieuse des identités multiples. Celui qui s’oppose à cet horizon est fatalement un fasciste.

    Le problème c’est que cette logique, ce système de pensée, comme toute pensée systémique, aboutit à une contradiction : le post-racial a besoin pour se légitimer de supposer préalablement l’existence des races ; s’il n’y avait pas de races, alors l’anti-racisme ne serait ni une nécessité ni un progrès. Or, en allant aujourd’hui jusqu’à poser l’inexistence des races, le politiquement correct sape les fondements mêmes de son existence. « Vous dites que les races n’existent pas, qu’il n’y a qu’une race humaine, mais alors dans ce cas pourquoi vouloir un monde post-racial ? Pourquoi vouloir la disparition de quelque chose qui n’existe pas? Vous dites que les Blancs ça n’existe pas, mais qu’il faudrait moins de Blancs à la télé? » « Ah oui mais non… » Oui mais non, tu parles. Elle est où l’arnaque ?

    L’arnaque c’est que combattre le racisme n’est pas combattre l’existence des races, de même que combattre l’alcoolisme n’est pas combattre l’existence de l’alcool, de même que combattre le sexisme n’est pas combattre l’existence des sexes, de même que combattre le scientisme n’est pas combattre l’existence de la science, de même que combattre la pensée malveillante, stupide ou butée, n’est pas combattre l’existence de la pensée.

    La vérité est que le post-racial est un projet de Blancs, tout comme le post-sexuel, et demain le post-humain. La vérité c’est que ce ne sont que des Blancs qui imposent à la Terre entière leur vision du monde, leur mode de vie, et finalement leurs produits, leur coca-cola et leur désespoir.

    Enfin pas tous les Blancs, seulement ceux qui n’osent pas dire qu’ils le sont.

    NDF

  • Ci-gît Charles de Gaulle, mort en octobre 2015

              

     

              

    charles-de-gaulle.jpg

    Plus personne, en France, n’aura le droit de revendiquer dorénavant son héritage, surtout pas "Les Républicains" et surtout pas Florian Philippot et ses gerbes commémoratives.

     

     

     

     

     

    1.2k
    SHARES
     
     
          

    Si Charles de Gaulle a été enterré en novembre 1970, il est, en vérité, mort définitivement en ce début d’octobre 2015.

    Plus personne, en France, n’aura le droit de revendiquer dorénavant son héritage, surtout pas « Les Républicains » et surtout pas Florian Philippot et ses gerbes commémoratives.

    Celui qui a prononcé, en plus de la phrase désormais célèbre citée par Nadine Morano sur « la race blanche » :

    *Au général Kœnig, gouverneur de Paris : « Lorsque la monarchie ou l’empire réunissait à la France l’Alsace, la Franche-Comté, le Roussillon, la Savoie, le pays de Gex ou le Comté de Nice, on restait entre Blancs, entre Européens, entre chrétiens ! »

    *Au député UNR Raymond Dronne : « Voulez-vous être bougnoulisé ? Voyons, Dronne, donneriez-vous votre fille à marier à un bougnoule ? »

    *À son ministre Joxe, lors des accords d’Évian : « Alors, Joxe, vous en avez fini avec vos bicots ? »

    *Au député UNR Léon Delbecque : « Et puis, Delbecque, vous vous voyez mélangé à des musulmans ? Ce sont des gens différents de nous ! »

    *À Alain Peyrefitte : « Des Français, ces gens-là ! Avec leurs burnous et leurs djellabas ? »

    *Enfin, à son fils Philippe : « Si une communauté n’est pas acceptée c’est qu’elle ne donne pas de bons produits, sinon elle est admise sans problème. Si elle se plaint de racisme à son égard, c’est parce qu’elle est porteuse de désordre. Quand elle ne fournit que du bien, tout le monde lui ouvre les bras. Mais il ne faut pas qu’elle vienne chez nous imposer ses mœurs ! »

    Oui, celui qui a prononcé toutes ces phrases serait, sans hésitation aucune, condamné pour racisme par les Hollande, Valls, Taubira et bon nombre de ses ex-partisans.

    Ce serait, bien évidemment, le cas également de Jules Ferry, le père de l’école publique et laïque, qui déclarait à l’Assemblée le 28 juillet 1885 : « Les races supérieures ont un droit vis-à-vis des races inférieures. » 

    Quant à Aimé Césaire, il ne pourrait plus affirmer qu’il était « de la race de ceux qu’on opprime ».

    Enfin, je conseille vivement au CIO de changer les couleurs de ses cinq anneaux, représentants les cinq continents, donc le continent noir (Afrique), le continent jaune (Asie) et le continent blanc (Europe).

    Nadine Morano a fait une erreur sémantique, elle aurait dû utiliser le terme « ethnie » et non celui de « race » : « Ethnie : groupement humain qui possède une structure familiale, économique et sociale homogène et dont l’unité repose sur une communauté de langue, de culture et de conscience de groupe. »

    Le « racé » Philippe de Villiers a tendu la main à Nadine, et le non moins « racé » Dupont-Aignan devrait proposer à Morano de se présenter en Lorraine sous sa devise « Debout la France ».

    Quant à Nicolas Sarkozy, ce petit homme n’est certainement pas de la « race des chefs ». Un chef n’abandonne pas un combattant blessé au combat !

    aujourd'hui sur