Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Viry-Châtillon: 2 policiers gravement brûlés par des cocktails Molotov

     

     
     
     
     

    Les deux agents des forces de l'ordre ont été touchés par des projectiles incendiaires à l'intérieur de leur véhicule. Leurs blessures sont très importantes, selon les premières informations.

  • Viry-Châtillon : vives réactions après l'attaque de deux voitures de police au cocktail Molotov

    http://www.leparisien.fr/viry-chatillon-91170/viry-deux-voitures-de-police-attaquees-au-cocktail-molotov-08-10-2016-6186739.php

    6186881_1383754103_1000x625.jpg

     

  • VIDEO - Robert Ménard rappelle la réalité du Grand Remplacement à Alain Juppé

    http://fr.novopress.info/200934/robert-menard-rappelle-la-realite-du-grand-remplacement-a-alain-juppe/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+novopressfrance+%28%3A%3A+Novopress.info+%7C+Agence+de+presse+ind%C3%A9pendante%29

  • Taubira, ta loi…

    François-Billot-de-Lochner-600x338.jpg

     

     

     

    Qui ne veut pas de la loi Taubira ? Qui ne veut vraiment pas de la loi Taubira ? Qui combat frontalement cette loi de destructuration de la société, la pire des lois dites « sociétales » depuis la loi sur l’avortement ? Qui affiche sa détermination publiquement, sans crainte, sans faux-semblant, sans calcul ? Qui résiste vraiment à cette loi ?

    Tout laisse à craindre que le scénario de 1974 pour l’avortement se rejoue actuellement pour le « mariage » homosexuel. Car enfin, que s’est-il passé en 1974 ? Un gouvernement de droite, contre l’avis majoritaire de son électorat, a fait passer une loi légalisant la mort des plus petits. Majoritairement, la société civile en général, et les autorités morales et religieuses de l’époque en particulier, se sont murées dans un silence assourdissant. Il ne fallait pas blesser ou ostraciser, il fallait être généreux et compréhensif, il fallait aider et non condamner, il fallait, il fallait, il fallait…

    Le résultat de cette stratégie est effrayant : plus de 8 000 000 d’avortements en quarante ans environ, une loi entrée par effraction des consciences dans les mœurs, une loi désormais intouchable.

    Que se passe-t-il en 2013 ? Le projet Taubira engendre des manifestations monstres de protestations : la loi est votée, le combat est provisoirement perdu. Non, disent certains, puisqu’il a fait émerger une France résistante ! Cet argument est évidemment vain : le combat contre le projet de loi Taubira a bel et bien été perdu, puisque la loi a été votée ! Le combat doit donc continuer, puisque seule la première bataille a été perdue. Pourtant, insidieusement, subrepticement, en triste copie du scénario de 1974 et des années suivantes, la loi Taubira entre peu à peu dans les mœurs, la classe politique de gauche comme de droite la plébiscite à quelques rares exceptions près, et la société civile, incluant les autorités morales et religieuses, recule de mois en mois : il ne faut pas blesser et ostraciser, il faut être généreux et compréhensif, il faut aider et non condamner, il faut ne pas être homophobe, il faut, il faut, il faut… admettre finalement la loi.

    Il faut, tout simplement, lutter avec la dernière énergie pour que la loi funeste soit abrogée. Les manifestants du 16 octobre attendent que cela soit dit explicitement. Pourtant, l’appel officiel à la manifestation, consultable sur le site LMPT, n’en dit pas un mot, et le collectif On Ne Lâche Rien, dont l’unique objet est l’abrogation de la loi, s’est vu refuser la tribune pour le dire. Tout cela à quelques semaines de primaires qui auraient pu être bousculées par ce sujet majeur ! La mission – et l’honneur – du collectif On Ne Lâche Rien est d’agir pour que tous les résistants de 2013 poursuivent inlassablement, tout au long de la période électorale qui s’ouvre, le combat fondamental de l’abrogation. Le seul combat définitivement perdu est celui qu’on abandonne !

    François Billot de Lochner préside la Fondation de Service politique, Liberté politique, et France Audace.

    NB : une éclairante dernière minute :

    Sens commun émane de LMPT, et s’est rallié à François Fillon.

    Ce dernier vient de déclarer :

    « Je ne reviendrai pas sur la notion de mariage pour tous. Je considère que la société doit reconnaître l’amour homosexuel »… »Jamais je ne reviendrai sur l’avortement parce que la société française est majoritairement favorable à l’avortement et qu’il n’est pas question de revenir dessus ».

    La triste clarté des propos tenus est à saluer…

     

    NDF

     

  • Pauvres hussards de la République...


     

    Si tu savais Najat, comme on était fiers et heureux, nous les Rinaldi, les Fernández, les Ribolowski, les Sebbah, les Piemontesi, les Van de Kerkof, nous les Bernstein, les Bogossian , les Campana, les Suchodolsky ... d'écouter, les doigts encore douloureux et engourdis par la bataille de boules de neige de la récré, notre maître d'école nous parler de nos ancêtres gaulois qui avaient combattu les armées de César à Alésia et de nos ancêtres Francs qui avaient fait de Clovis leur roi.
    Si tu savais petite Najat, ministre inculte de l'Education Nationale, comme c'était bon, pour les petits français de neuf ans que nous étions, de faire mordre la poussière aux Anglais aux côtés de notre ancêtre Bertrand Duguesclin, connétable de France, de chevaucher aux côtés de notre ancêtre Bayard, le chevalier sans peur et sans reproche.
    Si tu savais microscopique Najat, qui lis un livre par an mais traites les membres de l'Académie Française de "pseudo Z' intellectuels", comme c'était pénible pour nous de souffrir en sonnant du cor avec notre ancêtre Roland le Preux, mortellement blessé à Roncevaux en assurant les arrières de Charlemagne, comme c'était grisant de partir pour les Croisades avec notre ancêtre Saint Louis.
    Évidemment que nous savions, nous qui avions des noms si difficiles à prononcer ou à écrire, que nos héros n'étaient pas nos ancêtres et que nos ancêtres avaient eu d'autres héros.
     Mais c'était si bon de croire le contraire, rien qu'une heure par semaine.
     On était si fiers de faire partie spirituellement de cette Histoire là.
    Penses tu, inculte, haineuse et revancharde petite Najat, que ton cerveau formé dans les années Mitterrand et lessivé depuis trente ans à l'eau de Javel de SOS racisme et de Terra Nova, sera capable un jour de comprendre cela ?
     
    N.C.
  • La terreur s’installe doucement : le cas Villardière

    Bernard_Villardiere_dossier_tabou.jpg

     

     

    Vous avez sans doute entendu parler de l’émission de Bernard de la Villardière intitulée « Dossier Tabou » et diffusée sur M6 qui consacrait le mercredi 28 septembre son premier sujet sur l’islam. Cette émission fut immédiatement taxée de sensationnalisme par l’observatoire de la laïcité et des jeunes de Sevran en Seine Saint-Denis où eut lieu le reportage qui accusèrent le présentateur de racisme, bien entendu.

    M6 répliqua en diffusant des vidéos prouvant l’innocence et l’honnêteté de l’animateur et surtout les réactions disproportionnés des jeunes de la cité. 

    Bernard de la Villardière attaque frontalement la désinformation et le parti pris de ses « collègues » notamment. Il a voulu faire son travail de manière professionnelle et se retrouve discrédité pour cela. Il s’explique sur son profil facebook (encadré ci-dessous).

    Jusqu’à présent ce journaliste était un journaliste consciencieux de la presse mainstream et il s’en trouve exclu au prétexte qu’il a voulu traiter un « Dossier Tabou ». Le sujet est effectivement tabou. À noter toutefois que Bernard de la Villardière a reçu le soutien de la direction de la chaîne M6.

    Sa mésaventure mérite d’être révélée car elle est tout à fait symptomatique du climat de terreur médiatique qui sévit actuellement en France, et plus généralement dans le monde occidental (Europe et États-Unis).

    Bernard, bienvenue chez les dissidents et les résistants de la réinformation !

    (merci à Dirk)

    Extrait du site facebook de Bernard de la Villardière

    Voici quelques jours que je suis la cible d’un certain nombre de médias – notamment sur Internet – pour ne pas avoir dit « bonjour » (ce qui est faux) à la bande de « loulous » qui m’a ensuite pris à partie, à Sevran, lors d’une tentative d’interview du propriétaire de la mosquée dites « des Radars ». L’intégralité de la vidéo de l’altercation ayant été fournie par M6 au site Puremédias, il est possible à chacun, depuis quelques heures, de se rendre compte de l’inanité des reproches qui me sont adressés.
    Cette fausse polémique m’a évidemment atteint car elle révèle le mal profond dont souffre la presse française. J’aurais aimé qu’elle commente plutôt, ce que nous avons contribué à révéler à travers ce premier numéro de Dossier Tabou : l’incapacité des autorités publiques – au niveau national et local – à encourager voire organiser un islam conforme aux valeurs de la République. Par lâcheté et/ou clientélisme électoral, on laisse des organisations plus ou moins fondamentalistes et inféodées à des puissances étrangères prendre le contrôle des mosquées, des écoles confessionnelles et donc des esprits. L’émission a fait un joli score d’audience avec plus 2 400 000 téléspectateurs. Elle a fait office de psychothérapie à en croire les multiples témoignages recueillis depuis. Nous avons posément montré, expliqué, dénoncé, ce que nombre d’entre nous ressentions confusément. Pour cela, nous nous sommes appuyés sur des musulmans qui évoquent ces dérives depuis des années en prêchant dans le désert. « Islam en France : la République en échec » est en passe – avec plus de 900 000 clics en 7 jours – de battre des records, en nombre de vidéos vues, sur le site du groupe M6. A voir ou à revoir.
    Il y aurait bien des choses à dire encore sur ce sujet. Il y aurait matière à le prolonger en s’interrogeant sur les raisons pour lesquelles les gouvernements successifs se sont couchés devant les assauts de l’islam radical. Que plus de la moitié de la dette publique française soit détenue par des fonds étrangers ne doit pas être innocent dans cette forfaiture ! A la manœuvre, il y a d’abord Jean-Louis Bianco, le président de l’Observatoire de la Laïcité, qui nous a adressé une lettre d’indignation qui vaut son pesant d’or. Elle illustre la timidité pour ne pas dire la complaisance d’un organisme – financé par le contribuable – censé défendre les couleurs de la laïcité à la française. L’ancien ministre socialiste conteste qu’il y ait, de la part d’agents publics, de « multiples arrangements » avec les lois de la République. Il est pourtant aux avant-postes : en quelques mois, quatre membres de l’Observatoire ont démissionné, jugeant le président Jean-Louis Bianco trop accommodant face aux revendications islamistes.
    Mais revenons aux méthodes de certains de mes chers confrères, grands donneurs de leçon de déontologie… qui n’ont pas pris la peine avant de publier leurs saillies moralisatrices – à part une ou deux exceptions – de m’appeler pour connaître ma version des faits sur le tournage à Sevran.
    Il est vrai qu’il leur est plus facile de relayer de fausses polémiques sur Internet pour faire le buzz ou de donner un semblant de contenu à des talk-show qui sonnent creux. C’est ainsi que dans une étrange mise en scène, la télé dévore ses propres enfants. Il suffit de voir les sympathiques chroniqueurs de Cyril Hanouna jouer les têtes de Turc du grand Mamamouchi du PAF.
    Je n’aime pas les attaques ad hominem mais puisque je suis devenu de la chair à canon pour gagner des clics ou des téléspectateurs, je vais tout de même faire une petite exception en m’en prenant aux deux extrémités du spectre des « idiots utiles » de l’islamisme.
    D’abord – et en tout bien tout honneur – Enora Malagré, de chez Hanouna ( C8 ). Elle m’a traité de menteur avec une autorité de vestale au vu de la vidéo tronquée diffusée par Buzzfeed. Parmi les crétins décérébrés qui me mordillent les mollets depuis quelques jours, elle figure en pièce de choix.
    Enora Malagré donc, et son contentement d’elle-même. L’expression de la bêtise rendue arrogante par le simple effet de l’exposition télévisuelle. Son patron, Cyril Hanouna, m’avait invité dans son émission il y a quelques mois à l’occasion de la sortie de l’Homme qui Marche chez Calmann-Lévy. J’avais dit oui. Mes enfants m’ont finalement dissuadé de m’y rendre. Je suis peut-être un mauvais journaliste mais j’ai bien élevé mes enfants. Si l’un des animateurs préférés des Français se reprend, je pourrais peut-être leur désobéir.
    A l’autre extrémité du spectre, sur son versant idéologisé : Eric Mettout.
    http://blogs.lexpress.fr/…/le-drole-de-journalisme-de-la-v…/
    Il exhale sa haine bien au chaud dans une des nombreuses usines à contenus du milliardaire Patrick Drahi. Dur, dur pour un ancien employé de SOS Racisme. Il est vrai que lui et son patron sont les complices objectifs des deux travers qui menacent le monde : la névrose égalitaire et le capitalisme sans foi ni loi. Eric Mettout se rend-t-il compte que son job de directeur adjoint de la rédaction de l’Express.fr en fait un négrier ? Il demande de pisser de la copie à longueur de journée à des journalistes bien planqués derrière leur ordinateur et qui ne connaissent pas grand-chose du monde qui les entoure. Il en fait des snipers pour régler ses comptes avec la vie et ses fantasmes fracassés par la dure réalité. Sectateur du « vivre ensemble », il trouve insultant que j’interviewe un imam devant un foyer djihadiste en banlieue. Quoi ? Un type avec une particule et des chaussures de ville tâchant de comprendre pourquoi des gosses ont pu rejoindre les rangs de Daech – et pour certains en mourir ? Un comble : l’ancien activiste me reproche de jouer les boutefeux. Ce qu’il ne supporte pas – comme quelques uns de ses collègues – c’est que Dossier Tabou ait fait voler en éclat son fantasme d’une société à sa sauce, morcelée comme « les territoires perdus de la République » et dominée par la haine et l’inculture. SOS Racisme a cédé la place aux Indigènes de la République. Le « vivre ensemble », selon Eric Mettout et ses amis, c’est chaque communauté sur son territoire et sus aux journalistes qui ne sont pas ses potes !
    J’ai bien évidemment reçu ces derniers temps de nombreux messages de soutien. Dossier Tabou pour son premier numéro a fait un carton en terme d’audience et de notoriété. J’aurais à cœur avec mes équipes et grâce au soutien de M6, de ne pas décevoir les attentes des téléspectateurs lors de la deuxième édition. Et je me promets d’aller partout, sans amertume… et sans tabou !

    [source : compte facebook de Bernard de la Villardière]

     

  • Que penser d’Éric Zemmour ? Par Guillaume Faye

     

    6 octobre 2016 par Guillaume Faye

    Jamais, depuis très longtemps, un publiciste (1) n’avait ébranlé à lui seul le monde médiatique et politique. Par ses articles de presse, interventions audiovisuelles et essais, Éric Zemmour a réussi à créer un séisme pour une raison sociologiquement simple : le court–circuit. Il a rompu avec les codes de l’oligarchie (idéologiques et institutionnels) et exprimé le sentiment populaire autochtone en oubliant de demander l’autorisation des ”élites”. Son ascension a été d’autant plus irrésistible qu’on ne l’attendait pas, qu’on ne l’avait pas vu venir. En effet, il n’est pas issu de milieux bien repérés et prévisibles. Il vient du ”système”, qu’il trahit. Ce n’est pas un marginal, c’est un centré qui se révolte. Cette décentration, liée à son talent de plume et de parole a créé un cocktail médiatique explosif.

    Un chauffard idéologique

    Éric Zemmour a adopté le devoir de dire ce qu’il pense et ressent, contre l’idéologie minoritaire mais dominante de l’oligarchie, alors que l’inclination naturelle des gens de sa profession est, en répétiteurs, d’exposer ce que pense le système, en refoulant dans la sphère privée leurs propres opinions, souvent contraires. Les plus hardis se contentent de timides allusions à l’évidence de la réalité observable, pourtant éclatante, mais sans jamais se départir de l’obéissance au dogme et de la dénonciation des sept péchés capitaux (2) En ce sens, Zemmour fait partie des rarissimes publicistes libres –même souvent contre leur propre camp – qui pensent par eux-même. Il n’aurait jamais pu écrire dans Le Monde, L’Obs, Libération etc., ces médias à la ligne éditoriale autoritaire et obtuse.  

    Il franchit les lignes jaunes en vrai chauffard idéologique, en prenant donc de gros risques, y compris pour sa vie, lorsqu’il s’en prend à l’islam envahisseur, ce qui dénote une témérité dont sont dépourvus beaucoup de ses illustres collègues, ce qui renforce leur aigreur envieuse. Chez Zemmour, le choix de ne pas congédier le réel comme le font la plupart des politiciens, des journalistes et des intellectuels – ce qu’avait dénoncé Philippe Muray –, d’échapper à la langue de coton, d’afficher sans autocensure ses opinions rompt avec la peur de ses confrères ; ces derniers, la plupart du temps, atténuent, masquent ou travestissent leurs convictions ou leurs observations par cette prudence conformiste qui protège leur carrière ou leur vie, cette prudence que les philosophes de l’Antiquité jugeaient aussi sage que lâche selon les circonstances.

    L’exemple du courage

    Le succès populaire de Zemmour vient en partie de ce qu’il a fait preuve de courage, face aux procès et menaces de mort, en tenant certains propos interdits mais approuvés en silence par la majorité du peuple. Son bon sens étant tenu par l’oligarchie pour de l’extrémisme peccamineux, cela renforce par contrecoup son discours et disqualifie l’officiel. Il se met en danger ce qui accroît son prestige.       

    On a cru, à plusieurs reprises, qu’il reculait devant les intimidations, menaces et attaques en justice, mais il repart chaque fois à l’assaut. Il brave le système médiatique, politique et judiciaire soft–totalitaire. Licencié de l‘émission qui l’a popularisé, On n’est pas couché, basilique du politiquement correct dont il profanait crescendo les dogmes de ses analyses subversives, Zemmour aura piégé le bobo Ruquier aux idées courtes, rabâcheur de la vulgate. Ce dernier congédiera Zemmour trop tard : le mal était fait.

    Il aurait parfaitement pu faire une paisible carrière de journaliste et d’écrivain. Il aurait été assuré tous risques en se contentant d’être le poil à gratter d’une ”droite modérément dure”, tolérée par l’oligarchie si elle respecte certains codes, notamment sémantiques et linguistiques, et ne va pas vraiment à l’essentiel. Mais Zemmour, aussi teigneux que sans peur, a multiplié dans ses livres, articles, interventions audiovisuelles et conférences, son constant diagnostic : la France est très malade, elle peut mourir ; en son sein croît le cancer d’un ”second peuple”, colonisateur, prolifique et hostile ; cessons de plaisanter. Philippe de Villiers et Patrick Buisson, bêtes noires, eux aussi, de l’oligarchie font le même diagnostic, ainsi qu’Ivan Rioufol. Tous ont le courage, avec d’autres, de mettre leur sécurité en danger face aux éventuelles représailles de l’occupant et de ses collaborateurs.

    Le mécanisme médiatique enrayé

    Les mêmes propos que tient Zemmour, s’ils proviennent de gens qualifiés d’ ”extrême–droite” (vrai ou faux, peu importe), sont attendus comme tels, cantonnés dans leur rôle, neutralisés par le silence et uniquement sanctionnés par la justice s’ils deviennent visibles des radars, c’est-à-dire dépassent une certaine audience. Mais Zemmour, comme à certains égards Finkielkraut, est perçu par le système comme un transfuge, un dissident. Ce type, qui a trahi la Caste en flattant le populo, le petit Blanc, n’avait pas, pour l’oligarchie, à sortir des clous. ll n’était pas prévu pour ça. Les analyses de Zemmour sont d’autant plus choquantes, dérangeantes, subversives, dangereuses qu’il ne vient pas de cette ”extrême–droite” fantasmée, qu’il n’est pas un marginal médiatique et qu’il touche le (très) grand public qui l’approuve. Et son succès d’audience comme l’intérêt financier de ses éditeurs et employeurs audiovisuels interdit de faire jouer la loi du silence, la plus efficace des censures. Zemmour a piégé le système. 

    La publicité du dernier essai d’Éric Zemmour, Un quinquennat pour rien (Albin Michel) affiche : « l’ennemi public N°1… est N°1 des ventes ». Et de citer trois jugements des trois médias intolérants de la bien–pensance, L ‘Obs ( « délire islamophobe »), Libération ( « il faut déradicaliser Zemmour ») et Le Monde (« souverainiste, réactionnaire »). Le débat d’idées disparaît donc et fait place à la vindicte idéologique. Éric Zemmour est ainsi devenu un symbole de la résistance de la France de souche. Et ses détracteurs ont commis une erreur stratégique majeure en le diabolisant moralement sans arguments, plutôt que de le neutraliser par le silence ou le raisonnement. Il est vrai qu’il est difficile de raisonner contre les faits. L’idéologie dominante a abandonné le logos et la ratio. Elle en appelle au slogan émotionnel sommaire, selon la méthode maoïste. Mai 68…

    Désignation de l’ennemi

    Éric Zemmour vise le cœur de cible, le naos sacré du temple : c’est-à-dire l’immigration invasive, l’islamisation et l’islam lui-même, favorisés par un État et une oligarchie antidémocratiques et, au fond, francophobes. Il fait un choix polémique – comme d’ailleurs Robert Redeker, Ivan Rioufol, Renaud Camus, et d’autres, notamment les acteurs de Riposte laïque – ce qui, à son niveau de popularité, crée un impact politique.    

    Sur l’immigration colonisatrice, sur le déclin multicausal généralisé de la France, Zemmour procède en médecin qui ose diagnostiquer un cancer là où les autres font semblant de ne voir qu’une grippe ou rien du tout, voire même une belle forme. Cassandre, il exprime ce que ressent le peuple et ce que taisent leurs ”élites” (non, leurs dirigeants), que Christophe Guilluy a esquintées dans son dernier essai Le crépuscule de la France d’en haut (Flammarion). Il pratique l’inverse de la méthode Coué des optimistes factices, dont Alain Juppé est la figure ridicule avec son « identité heureuse ».

    Juppé et Valls, même combat

    Alain Juppé est le cas d’école, tragi-comique, de cette droite molle (les ”modérés”) qui applique toutes les idées de gauche par anesthésie mentale. Il le fera d’autant plus s’il gagne, grâce aux voix de gauche, la primaire puis la présidentielle face à Marine Le Pen.

    Il a qualifié ainsi les jugements critiques de Zemmour sur l’islam : « un délire et une frénésie ». Et ce, après les centaines de morts des attentats musulmans en France depuis moins de deux ans… D’où viennent ” délire et frénésie ” ? De Zemmour ou bien des adeptes d’ Allah qui tuent et massacrent ? Le même Juppé, qui se scandalise des propos de Zemmour sur l’islam, avait déclaré ne rien connaître à l’islam ni au Coran. Pauvre type…

    1. Juppé qui, lorsqu’il était Premier ministre, a reculé sur tous les fronts, est un politicien de la même trempe que son ancien patron Chirac –”faïence de bidet” et non pas ”marbre” selon la boutade de Marie–France Garaud. Il peut malheureusement remporter la primaire de la droite, être élu au second tour de la présidentielle face à Marine Le Pen, engrangeant les voix de gauche, et, en remerciement, faire une politique ”chiraquienne”.

    Juppé est sur la même ligne que Manuel Valls, un Premier ministre qui – innovation soft–totalitaire–  a demandé officiellement aux Français de ne pas lire la prose de Zemmour. Pas de débat, censure. Juppé et Valls, qui partagent exactement les mêmes idées–guimauve, les défendent, le premier par des propos lénifiants, le second par des éructations colériques – où l’expression ”prendre ses responsabilités” revient en boucle, répétition obsessionnelle d’un irresponsable. Le résultat est le même. Les deux politiciens entendent diaboliser Zemmour, procéder à une classique reductio ad hitlerum.   

    Comme pour le quinquennat de Sarkozy, la méthode est connue : pendant la phase électorale, on fait une campagne ”de droite” et, une fois élu, on biaise, on triche et, dans tous les domaines, (immigration, économie, enseignement, justice, etc.) on laisse filer une politique de gauche. Par peur des articles indignés du Monde, des grèves de fonctionnaires, des manifs de lycéens et d’étudiants, d ‘éventuelles émeutes de ”jeunes” des banlieues ou de questions plus personnelles (3). Le scénario est connu et se reproduira : le peuple se retrouve trahi et cocufié par des politiciens bavards en promesses mais sans parole.   

    Si Juppé accède à l’Élysée, il n’appliquera même pas 20% de son programme et Éric Zemmour aura matière à observer et analyser un nouveau quinquennat pour rien. Sauf que, d’ici 2022, la guerre civile ethnique aura peut-être éclaté en France et que le prochain quinquennat pourra exploser en plein vol avant son échéance.

    Aborder la question de l’islam est dangereux

    Comme je l’ai fait avec d’autres, notamment l’islamologue René Marchand, Zemmour remet en cause la fausse distinction entre islamisme et islam. Le terrorisme, Al–Qaida, Dae’ch relèvent bien de l’islam authentique ; et l’islam ”modéré” est un leurre, souvent une ruse, une position minoritaire. La France inconsciente est en proie au Dar al-Arb, la guerre de conquête d’une partie de l’Europe par l’islam arabe. Avec une stratégie ethno–démographique d’invasion, théorisée par des intellectuels musulmans, bien connue des immigrés et partagée par une majorité d’entre eux chez les jeunes.

    Pour Zemmour, la gauche est dans son rôle de sabordage du pays, mais ce qui le scandalise, c’est que la droite la suive par lâcheté. Il concentre ses critiques sur cette dernière, adepte de demi–mesures, bravache dans le discours et rabougrie dans l’action quand elle est aux affaires, craignant autant de déplaire à la gauche morale que d’affronter grèves et manifs. La ”droite décomplexée” est un slogan factice, uniquement valable en période électorale. Une fois aux affaires, la droite, métapolitiquement irradiée par la gauche, n’applique pas son propre programme.

    Celui qui, comme Zemmour, a décrit l’extrême gravité de la situation de la France est Patrick Buisson, l’ancien conseiller de Sarkozy, dont l’essai La Cause du Peuple (Perrin) risque de faire perdre la primaire de droite à l’ancien président, tant le portrait qu’il en brosse est accablant. Il estime d’ailleurs aussi, à juste titre, que le ramollissement idéologique du FN, sous l’influence de son vrai patron, M. Philippot, neutralisera à terme ce dernier, laissant vide l’espace politique de recours des Français de souche, accablés. Ne sachant à qui se vouer.

    Étatisme et anti-libéralisme : points de désaccord

    Mes divergences avec Zemmour portent principalement sur sa conception ”colbertiste” de l’État stratège en économie, position qui était la mienne jadis mais que j’ai abandonnée. Selon moi, Zemmour penche trop pour une économie administrée. Or, hormis les grands programmes souverains volontaristes que furent les centrales électro-nucléaires, le spatial (CNES, ESA, Arianespace), Airbus – ces deux derniers ayant entrainé nos partenaires européens –, le TGV, toutes réalisations émanant uniquement des présidents de Gaulle et Pompidou, la politique industrielle de l’État ”stratège” depuis trente ans, qui prétend se substituer aux groupes privés, s’avère toujours catastrophique car incompétente et ignorant le réel ; les affaires Areva, Alstom, SNCF etc. étant les derniers épisodes de ce désastre.

    Souverainiste de la tendance bonapartiste et gaullienne, patriote très méfiant envers le monde anglo-saxon, Zemmour se déclare anti–libéral, ce que n’était pourtant pas De Gaulle. Patrick Buisson, lui aussi, se déclare anti–libéral. Cette posture est étrange, voire incompréhensible, dans un pays surfonctionnarisé et surfiscalisé dont l’économie et la société sont objectivement socialistes et étatisées (plus de 55% du PIB gérés et redistribués par la sphère publique), dont l’école publique est en ruines, avec un Code du travail et des réglementations ubuesques, ainsi que des charges qui entravent ou ruinent les entreprises, créant un chômage de masse.   

    Éric Zemmour et Patrick Buisson devraient étudier de quelle subtile manière, l’État fédéral américain, à l’origine de la Nasa, nageant dans un environnement libéral, s’aidant des commandes du Pentagone, s’appuyant sur une législation nationaliste et punitive à valeur internationale, ayant aidé à la création des géants numériques et Internet, pratique un ”colbertisme” bien plus efficace que celui de l’État crypto-communiste français. 

    Zemmour et l’ ”extrême droite”

    Au début de son succès, bien avant Le suicide Français, Zemmour fut l’objet d’une détestation de la part de nombre d’idéologues dits d’ ”extrême–droite” (mouvances hors FN) et de leur public. Elle s’expliquait par la jalousie et aussi par le fait que ”ce juif ” chassait sur leurs propres terres et développait mieux qu’eux certaines de leurs idées et analyses. Une captation d’héritage, en sorte. L’antisémitisme de ces milieux, quoiqu’en fort déclin du fait de son déphasage avec la situation présente et totalement dépassé par la judéophobie musulmane et de gauche, reste toujours vivace surtout dans les anciennes générations. J’ai souvent entendu dire que Zemmour était médiatisé et toléré parce qu’il était juif et – encore plus tordu – que BHL et lui occupaient, en tant que juifs, les bastions idéologiques de gauche et de droite afin de tout verrouiller. Alain Finkielkraut a été l’objet des mêmes supputations grotesques. 

    Mais, au fur et à mesure que la popularité de Zemmour progressait et qu’il en faisait cent fois plus à lui tout seul que toutes les chapelles intellectuelles et ”métapolitiques” de la mouvance ED, les dirigeants de cette dernière lui ont fait les yeux doux, l’ont approché, interviewé, etc. pour se raccrocher à sa locomotive, oubliant leurs anciennes préventions. En revanche, face à une gauche qui renoue subrepticement avec l’antisémitisme, en proportion de son islamolâtrie, Zemmour n’est pas aidé parce qu’il est juif…

    La distance prise par Zemmour avec le FN de Marine Le Pen et Florian Philippot s’explique en grande partie par le gauchissement idéologique de ce dernier qui met la pédale douce, commettant une lourde erreur stratégique, sur l’identité, l’immigration et l’islamisation invasives et en revient aux vieilles thématiques encore paisibles des années 80, sans comprendre que nous sommes dans le cas d’urgence. Pourtant, Éric Zemmour est massivement approuvé par l’électorat et la majorité de l’appareil du FN, ce qui est déstabilisant pour sa direction. 

    Le prix du succès

    La popularité de Zemmour bouscule l’oligocratie politique, d’autant plus qu’il se tient à la lisière de l’engagement politique, sans jamais franchir la ligne jaune électorale, mais en demeurant une menace pour les politiciens. Même s’il dit rester dans le champ métapolitique, il inquiète les politiciens. Détesté par les agents de l’idéologie dominante, Zemmour est aussi haï par une bonne partie des immigrés musulmans.

    Si l’on voulait comparer Zemmour et BHL, on pourrait dire que leur seul point commun est l’influence idéologique par les écrits et médias. Outre qu’ils prennent des positions inconciliables sur tous les sujets, le premier ne se réclame pas de l’intellocratie mais des sentiments et des intérêts du peuple, ce qui fait sa force ; tandis que le second (”philosophe”) s’est peu à peu dévalué en apparaissant comme le porte–parole d’une classe dirigeante de gauche et cosmopolite, théoricien de l’abandon et du mépris du peuple autochtone comme de la démocratie (antipopuliste égale antidémocrate), respecté comme un patriarche par tous les grands médias.

    Les mentions positives ou la présence de Zemmour sont, dans ces grands médias, limitées à Valeurs actuelles et au groupe Figaro, où il écrit, et à quelques émissions audiovisuelles. Diabolisé par 90% des autres médias – qui n’ont pas compris que le silence est plus efficace pour neutraliser que l’indignation – Zemmour s’impose comme le plus important opposant métapolitique et culturel au système et à son idéologie envahissante. La rançon de son succès et de son efficacité est qu’il risque sa peau. Le patriotisme est à ce prix, il n’a jamais été gratuit.    

    (1) Journaliste et écrivain, ne se prétendant pas ”philosophe” et n’appartenant pas à la classe politique.

    (2) Les sept péchés capitaux sont 1) le racisme et la xénophobie (sauf contre les Blancs), 2) l’islamophobie (”stigmatiser ” l’islam), 3) le populisme (ou préférence pour la démocratie), 4) le souverainisme national, 5) l’homophobie et l’opposition à la cause sacrée LGBT, 6) le sexisme misogyne (sauf celui des musulmans), 7) la critique des dogmes écologistes.

    (3) Il est possible que Nicolas Sarkozy soit influencé par les opinions de son entourage privé auquel il ne peut déplaire. 

    (merci à Dirk)

  • États-Unis : Trump accuse le gouvernement d’avoir accéléré les naturalisations

     

    2h21

    Donald Trump a accusé ce vendredi l’administration américaine d’avoir accéléré les procédures de régularisation de sans-papiers pour leur permettre de voter à l’élection présidentielle du 8 novembre. « Ils laissent les gens affluer pour qu’ils puissent aller voter (…) Ils ont reçu l’ordre d’en haut d’accélérer ces procédures pour que les gens soient naturalisés à temps pour l’élection« , a affirmé le candidat républicain, lors d’une rencontre avec les représentants du National Border Patrol Council, un syndicat de douaniers.

    1610080550030094.jpg

    « On nous dit que la vérification des antécédents est en quelque sorte court-circuitée et qu’elle n’est pas faite comme il faudrait pour que ces gens restent naturalisables« , a-t-il ajouté. Le National Border Patrol Council ne dit pas qu’on autorise des clandestins à aller voter mais que les procédures de naturalisation ont été accélérées, a par la suite expliqué un représentant du syndicat.

    Donald Trump, qui renoue ainsi avec l’un de ses thèmes de campagne favoris, aura à cœur de réaliser une bonne prestation lors du deuxième débat télévisé de la campagne, dimanche, le premier ayant penché assez nettement en faveur d’Hillary Clinton.* La candidate démocrate, dont le dernier meeting remonte à mardi, le prépare assidûment avec ses conseillers. [...]

    Le Figaro

    Merci à Stormisbrewing

    * Ce qui est faux comme il l'a été démontré par au moins trois grands médias US.  Ne nous laissons pas intoxiquer!

  • Maroc: Ketama, ville hors-la-loi du Rif et grenier à haschich de l'Europe

    http://premium.lefigaro.fr/international/2016/10/06/01003-20161006ARTFIG00311-ketama-ville-hors-la-loi-du-rif-et-grenier-a-haschich-de-l-europe.php?a3=763-1694109-896810&een=b84427ddfaa2d3c90b463f8c30644e10&seen=6&m_i=B6iZhijYPPcimfRnBA7OueVqeYwR1TCxb3grKRAt2aOJJ4oYlCga7OVJX%2B4xDMMAi6gNzLCDlU%2BdP1KMOIxJIyVCKuGVzf#xtor=EPR-300-[matinale]-20161007

    XVM201d6770-8bcc-11e6-8bce-57b23a9183a7.jpg Ketama.jpg

  • Philippot met au défi Arnaud Richard de faire un référendum sur l’accueil des migrants

    http://www.fdesouche.com/775897-philippot-met-au-defi-arnaud-richard-de-faire-un-referendum-sur-laccueil-des-migrants

    VIDEOS

    Déroulez... et admirez Florian Philippot seul contre trois!

  • À Gussignies, les habitants ne veulent pas des migrants. L’État recule !

    image-fournie-par-la-croix-rouge-italienne-de-migrants-secourus-au-large-de-la-libye-le-18-aout-2016-1_5659659-600x338.jpg

    Partager sur Facebook Tweeter

     

    07/10/2016 – FRANCE (NOVOpress)
    Lors d’une réunion publique organisée en début de semaine, les habitants de Gussignies (Nord) avaient clairement fait entendre leur opposaiton au au projet d’implantation d’un centre pour migrants dans leur village.

    Si la sous-préfecture n’entend pas notre refus, il faudra durcir le ton. Nous pouvons occuper les locaux ou créer une association pour défendre nos intérêts.

    La mobilisation des habitants renforcée par une pétition ayant réuni près de 300 signatures (384 personnes vivent dans ce village) aura ainsi permis de faire reculer l’État.

    La sous-préfecture, dépitée, s’est contenté de déclarer ceci :

    Nous continuons à chercher des endroits pour accueillir ces migrants. Peut-être d’autres communes se montreront plus accueillantes.

  • VIDEO - Elisabeth Levy défend Zemmour : « On ne peut pas l’accuser de sympathie pour l’Islam radical ! »

    https://youtu.be/fB_2Jv0BKAM  (lien vidéo)

     

    21h12

    Elisabeth Levy, directrice de la rédaction de Causeur à qui Eric Zemmour a donné une interview qui lui a valu une enquête du parquet pour « Apologie du terrorisme », a pris sa défense sur BFM TV : « Eric Zemmour est un personnage très populaire, c’est la seule interview où en réalité on le conteste sur le fond de ses arguments. Pour ma part, j’ai vraiment cru qu’il n’y avait pas d’ambiguïté sur ses propos (…) Des attentats commis par Zemmour, excusez-moi, mais je n’en connais pas, et par ailleurs on ne peut pas l’accuser de sympathie excessive pour pour l’Islam radical.

  • Toulouse : l’islamiste radical Farouk Ben Abbes perçoit le RSA

    6182231_1-0-665659029_1000x625.jpg RSA.jpg

     

    15h36

    Farouk Ben Abbes, assigné à résidence, va bénéficier à nouveau des minima sociaux.

     

    Légalement bordé, certes, mais moralement discutable. Selon nos informations, l’islamiste radical Farouk Ben Abbes perçoit le RSA (revenu de solidarité active) depuis le 1 er juillet dernier. Déjà bénéficiaire du RSA avant son assignation à résidence, il bénéficie à nouveau du dispositif depuis cet été, après une interruption entre mars et mai due à son incarcération… pour manquement à ses obligations d’assigné à résidence.

    Ce Belge de 31 ans, qui vit dans le quartier de la Reynerie à Toulouse (Haute-Garonne), a bouclé fin juillet son dossier de demande de RSA auprès de la Caisse d’allocations familiales de Haute-Garonne. Constatant la régularité de sa demande, le conseil départemental lui a signifié mi-septembre l’octroi du RSA, avec effet rétroactif au 1 er juillet.

    (…)

    Le Parisien

    Merci à lotus