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  • François Hollande a fait des offres de service à la Banque Rothschild !

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    07/12/2016 – FRANCE (NOVOpress) : Dans l’hebdomadaire Le 1, le banquier d’affaires Michel Jacob révèle que François Hollande, battu en Corrèze aux législatives de 1993, l’avait approché pour entrer à la Compagnie financière Edmond de Rothschild, plus connue sous le nom de Banque Rothschild ! Celle-ci exerce décidément une fascination sur les principaux dirigeants de la gauche socialiste. C’est à la Banque Rothschild qu’avait déjà travaillé durant dix ans Henri Emmanuelli, futur premier secrétaire du Parti socialiste, et c’est là qu’œuvrera plus tard (en 1993, il n’a que 16 ans) un certain Emmanuel Macron. Comme disait Hollande en 2012 dans son discours du Bourget : « Mon adversaire, c’est la finance »…

    « À la fin de l’année 1993, témoigne Michel Jacob, alors que j’étais depuis quelques mois directeur général de la Compagnie financière Edmond de Rothschild, je fus approché par Paul Boury, grand pape des réseaux qui nous aidait à communiquer sur les sujets de banque d’affaires. Il avait connu François Hollande dans les circuits de HEC et me demandait de le recevoir. […] Lorsque nous nous sommes retrouvés pour la première fois sous les lambris dorés du 47, rue du Faubourg-Saint–Honoré, François Hollande, qui venait de perdre son siège de député de la Corrèze, s’interrogeait sur son avenir. À sa requête, je lui décrivis les grandeurs et les servitudes du métier de banquier d’affaires. Il m’interrogea sur les compétences et les qualités requises pour y réussir. Je lui expliquai qu’à mes yeux, l’imagination, l’opiniâtreté et la capacité à avaler des couleuvres sont trois des vertus cardinales de la profession. »

    Cette « capacité à avaler des couleuvres » n’ayant pas rebuté celui qui en avait déjà fait profession durant toutes les années Mitterrand, un deuxième rendez-vous eut lieu, au cours duquel « François Hollande se fit plus précis et me demanda si je pensais qu’il avait les qualités nécessaires pour ce métier et si la Compagnie financière pourrait éventuellement l’accueillir. Je répondis que seule la pratique permettrait de déceler s’il avait ou non les caractéristiques qui forgent un grand banquier d’affaires et que, compte tenu de son profil, je souhaitais parler d’un éventuel recrutement à Edmond de Rothschild. » Ce qui fut fait.

    Michel Jacob rapporte qu’Edmond de Rothschild posa « une condition à l’éventuel recrutement de François Hollande : il voulait être assuré que ce dernier avait définitivement tourné la page et ne repartirait pas, à la première occasion, solliciter les suffrages des Corréziens », car « la Compagnie financière était une trop petite structure pour assurer la formation permanente de candidats indécis ».

    La balle était donc dans le camp de François Hollande, qui y réfléchit et, pour une fois, prit une décision : « Il me téléphona après une quinzaine de jours et m’expliqua qu’il était toujours très désemparé par son échec électoral, qu’il n’avait pas définitivement choisi son avenir mais que, au fond de lui, il gardait le virus de la politique et préférait ne pas me mettre un jour dans l’embarras vis-à-vis d’Edmond de Rothschild. » Dommage.

  • Éditorial: «La sanction de l'égalitarisme»

     

    Par Laurence de Charette

    Najat Vallaud-Belkacem (et ses amis) n'avait finalement pas tort de se méfier des chiffres, des classements et des notes: ils sont décidément têtus. L'étude Pisa de l'OCDE qui évalue - sans gommettes - les connaissances et les compétences des élèves de 15 ans à travers le monde s'obstine en effet à classer la France en piètre position. La 5e puissance mondiale peine à tenir le 26e rang en maths et en sciences. Une place «dans la moyenne» des pays de l'OCDE, se consolent les partisans de la médiocrité, mais quand même bien loin derrière Macao, le Vietnam, l'Estonie ou les provinces de Jiangsu et Guangdong… se désoleront tous les autres - et parmi eux tous ces parents que de si bourgeois sentiments poussent irrépressiblement à souhaiter la réussite scolaire de leurs enfants…

    D'aucuns prêtent à la répétition des vertus pédagogiques qu'a toujours niées le ministre de l'Éducation nationale. Non sans raison, là encore… car force est de reconnaître que le gouvernement n'a rien appris de la succession des piteux résultats du système éducatif français.

    Alors que Najat Vallaud-Belkacem, obsédée d'égalitarisme, n'a eu de cesse de traquer le mérite et l'élitisme au sein de l'école au nom de «l'équité scolaire», la France se distingue précisément dans ce classement mondial par… sa capacité à reproduire les inégalités sociales! Belle performance.

    Les chercheurs internationaux ont aujourd'hui établi noir sur blanc que les pays qui ont choisi d'encourager l'excellence sont également ceux qui sont le mieux parvenus à soutenir les élèves en difficulté. Ils ont également listé quelques traits communs aux systèmes éducatifs les plus performants, comme la valorisation du travail scolaire, le respect des professeurs.

    Ainsi donc, supprimer les notes, le redoublement, les classes bilangues ou encore le latin ne permettrait pas d'abolir l'échec scolaire, ni de rétablir l'égalité des chances? Fallait-il vraiment une étude mondiale pour s'en convaincre?

    Cet article est publié dans l'édition du Figaro du 07/12/2016

    NdB: L'échec de l'école, c'est l'échec de l'immigration à s'intégrer!

     

     

  • « Sausage party », film d’appel raciste au viol : l’AGRIF poursuit !

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    Le film « Sausage party » dans lequel évoluent des personnages sous forme d’aliments « humanisés » n’est pas seulement dans le registre du conformiste triptyque : dérision, décréation, déjection.

    D’une part, avec son abjecte scène finale de partouze intersexuelle, il devrait tomber sous le coup de l’article 227-24 du code pénal interdisant de diffuser des spectacles pornographiques susceptibles d’être vus par des mineurs.

    À l’évidence hélas, les pouvoirs publics ne se soucient plus de cela alors que dans n’importe quel état civilisé, le procureur engagerait lui-même des poursuites.

    L’AGRIF approuve bien sûr l’association « Promouvoir » et l’association « Juristes pour l’enfance » qui engagent les actions qui s’imposent pour protéger les mineurs de cette corruption.

    Mais dans ce film sont aussi explicitement proférés d’ignobles propos racistes et sexistes d’incitation au viol d’une « sale blanche ». L’AGRIF intente sans plus attendre l’action en justice qui s’impose.

     

    Bernard Antony

     

     

  • L'apprentissage par la répétition, la clé du succès des pays asiatiques

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    - Crédits photo : © Enny Nuraheni / Reuters/REUTERS

    DÉCRYPTAGE - L'étude Pisa, qui compare le niveau des élèves de 15 ans de l'OCDE, est parfois décriée car elle met sur le même niveau des pays économiquement et socialement très différents.

    Depuis 2000, date de publication du premier Pisa, l'enquête internationale menée par l'OCDE s'est imposée progressivement comme l'étude de référence pour la comparaison des systèmes éducatifs entre eux et pour mesurer leur évolution. Pour autant, il reste des «Pisa sceptiques». D'abord les tests évaluent des compétences. Ensuite, ils concernent des élèves de 15 ans, ce qui se traduit en France par des scolarités différentes, en classe de 3e, en seconde générale et technologique ou en seconde professionnelle. Enfin, Pisa compare-t-il ce qui est comparable? Notre pays peut-il s'inspirer de Singapour, île de 5,5 millions d'habitants à l'extrême sud de la péninsule malaise? Ou de la Corée du Sud, pays où les enfants, à côté de l'école, sont quasiment tous inscrits dans une deuxième structure pour prendre des cours particuliers à très haute dose? Un pays où le taux de suicide chez les adolescents est le plus élevé de la planète, largement nourri par l'angoisse scolaire. Quant aux régions chinoises citées en exemple pour leurs bons résultats, ce sont des régions côtières en plein développement industriel, financier et économique, peu représentatives du reste de la Chine.

    À ces questions, Gabriela Ramos, directrice de Cabinet du Secrétaire général de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), répond «qu'il ne faut pas caricaturer.» Ces pays ou régions ont, selon elle, beaucoup à nous apprendre: «Les enseignants y sont évalués très régulièrement, bénéficient d'une formation initiale très développée. Ces pays ont un niveau d'ambition et d'évaluation très intéressants. Ils sont aussi très exigeants avec les élèves et font aussi réussir les plus faibles.» Singapour, insiste-t-elle, est ainsi «très équitable». Les enfants d'immigrés y ont bien plus de chance de réussir que chez nous. En outre, à Singapour, premier de la classe, les professeurs sont rémunérés autant que des ingénieurs depuis une réforme votée en 1997, ce qui permet au pays de mettre face aux élèves des enseignants de haut niveau, sélectionnés parmi les meilleurs étudiants scientifiques. C'est loin d'être le cas en France, qui ne parvient pas à combler tous ses postes de professeurs en mathématiques jugés trop peu attractifs.

    Deux connaisseurs des modèles éducatifs, Jean-Marie De Ketele et Bernard Hugonnier, relevaient l'an dernier des similitudes pédagogiques dans ces pays performants: ils ont le culte de l'apprentissage par la répétition qui «part d'observations et d'imitations», écrivaient-ils dans un article sur «les modèles asiatiques» publié dans la revue internationale d'éducation de Sèvres. Ils mettent l'accent sur la résolution des problèmes. Le travail, très important, fourni par les élèves est reconnu comme une valeur en soi. On peut également constater une «forte pression exercée par les parents quant au travail scolaire qui s'oppose à un certain laxisme occidental, où l'objectif semble désormais de faire d'abord plaisir aux enfants». Enfin, les maîtres et leurs fonctions sont particulièrement respectés.

    * Environ 540 000 élèves, représentatifs des quelque 29 millions d'élèves âgés de 15 ans scolaririsés dans les 72 pays et économies participants, ont passé les épreuves Pisa en 2015.

    Le Figaro

  • JOURNAL TVLibertés DU 07/12/16

  • Le patron de Radio Courtoisie jugé pour injure raciale et contestation de crime contre l'humanité

     

     
     

    Henry de Lesquen a publié des textes sur les réseaux sociaux ou sur son site Internet «s'émerveillant de la longévité des rescapés de la Shoah» ou évoquant «la musique nègre [qui] s'adresse au cerveau reptilien».

    Le procès n'a pas commencé qu'on en devine déjà sa théâtralité. Le prévenu bat lui-même le tambour depuis des jours pour appeler ses soutiens à «venir nombreux» à l'audience, mercredi à 13h30 devant la 17e chambre correctionnelle du tribunal de grande instance de Paris. «La Licra (Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme, NDLR), officine juive communautariste dite antiraciste, me fait un procès politique pour délit d'opinion, ironise-t-il avec un sens accompli de la provocation. Thèmes abordés: la musique nègre, le racisme juif, le coefficient de blancheur des équipes de balle au pied».

    Un appel passé sur son «site officiel de campagne», puisque celui qui comparaît devant la justice est candidat à la présidentielle 2017. Il s'agit d'Henry de Lesquen, haut fonctionnaire de 67 ans, plus connu du monde et de la ville pour être le patron de l'ultradroitière Radio Courtoisie. Sur signalement de la Licra et du Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples (Mrap), le parquet met Henry de Lesquen en cause pour «injure raciale» et «contestation de crime contre l'humanité».

    Musique nègre et racisme des juifs

    Ce procès en trois actes - il y a trois citations distinctes réunies en une seule audience - vise «le particulier» qu'il est, précise-t-il au Figaro, et non le dirigeant de la radio, car les propos incriminés n'ont pas été tenus à l'antenne mais sur ses comptes Twitter et sur son site Internet. Ainsi, le 29 décembre 2015, il tweete: «Centrée sur le rythme, la musique nègre s'adresse au cerveau reptilien». Le 24 janvier 2016 il écrit: «C'est le racisme des juifs qui les a conduits au monothéisme quand ils ont privé de leurs dieux les ‘‘Goyim'' qu'ils haïssaient». Des propos qu'Henry de Lesquen maintient aujourd'hui «s'étonnant», dans le premier cas, que «la critique d'art» et, dans le second cas, «une discussion théologique» soient convoquées devant un tribunal.

    Les autres tweets en cause concernent la Shoah. «Je suis émerveillé de la longévité des ‘‘rescapés de la Shoah'' morts à plus de 90 ans. Ont-ils vécu les horreurs qu'ils ont racontées?», écrit Henry de Lesquen le 27 avril 2016 pour commenter le décès de Martin Gray. Lequel, selon lui dans un autre tweet, «a tout inventé». «Quand je dis qu'il a inventé, je ne remets pas en cause l'existence de la Shoah, se défend-il, mais l'imposture avérée du récit ‘‘autobiographique'' de Gray dans Au nom de tous les miens, écrit par Max Gallo, car il n'a jamais mis les pieds dans un camp de concentration. Je dis seulement que c'est un affabulateur et que ce n'est peut-être pas le seul». La cour priera aussi Henry de Lesquen de s'expliquer sur cet autre tweet: «La plantureuse Simone Veil, ‘‘rescapée de la Shoah'', qui ‘‘va bien'' à 88 ans». En mars 2016, Henry de Lesquen avait été convoqué à un stage de citoyenneté au mémorial de la Shoah de Paris, en raison de propos sur l'inégalité des races, signalés par la Licra.

    Coefficient de blancheur

    La troisième citation, elle, concerne une salve de tweets de juillet dernier sur la «mélanisation» du sport en général et du football en particulier, «dramatique pour les identités nationales», a tweeté Henry de Lesquen. Ou encore «À cause du cosmopolitisme, le coefficient de blancheur de l'équipe de France de balle au pied est en chute libre», et «comment franciser l'équipe de France de balle au pied? 1-Expulser les Français de papier 2-Réprimer le communautarisme».

    Naturellement, la Licra, le MRAP ou encore SOS Racisme jugent «intolérable» le «caractère antisémite et négationniste» de ces propos, qui lui valent dans certains médias le qualificatif de «multirécidiviste de la haine». Toutes ces déclarations ont d'ailleurs entraîné, depuis juin dernier, une crise dans la station de radio Courtoisie. Onze responsables d'émission ont réclamé son départ tandis qu'il dénonce «une cabale» et demeure «candidat à [sa] réélection» à la présidence de la station en 2017.

    Quant au procès, mercredi, c'est pour lui «très clair»: «c'est un procès politique pour délit d'opinion, pour imposer une pensée unique qui s'appelle le cosmopolitisme, souligne Henry de Lesquen. Or je suis résistant, et la Licra collabo». À l'audience, il compte citer le Général De Gaulle et dénoncer «un terrorisme intellectuel relayé par un terrorisme judiciaire, qui enfreint la loi sur la liberté d'expression».

  • Florian Philippot réagit en direct sur BFMTV

    http://www.bfmtv.com/mediaplayer/video/candidature-de-vallsle-bilan-est-absolument-epouvantable-il-va-avoir-du-mal-a-le-vendre-aux-francais-florian-philippot-891935.html

  • Allemagne : Hussein Khavari, meurtrier présumé de Maria L.

     

    23h50

    L’assassinat brutal de Maria L. choque toute l’Allemagne. [...]

    Le suspect principal s’appellerait Hussein K. [...] À propos de ce jeune homme de 17 ans, les enquêteurs ont fait savoir qu’il s’agissait d’un Afghan qui est arrivé en 2015 en Allemagne comme réfugié mineur non accompagné. Sur Facebook, le jeune homme se présentait avec beaucoup d’aplomb : casquette de baseball, cheveux gélifiés, pantalon de jogging et le visage sérieux. [...] Hussein K. a posté au mois de mars une image étrange : Elle montre un homme-loup qui se penche sur une jeune femme et lui tient la tête.

    C’est sa coiffure particulière qui a mis les enquêteurs sur la piste du suspect : Les hommes de la police scientifique ont trouvé sur les lieux du crime un cheveu de 18,5 centimètres de long, noir mais teint en blond. La personne arrêtée a pu être identifiée sur les vidéos de surveillance d’un tramway grâce à sa coiffure voyante. L’ADN des cheveux du suspect correspond au matériel que les enquêteurs avaient trouvé auparavant près du corps de Maria L.

    [...] une porte-parole de la police : « Le suspect continue de se taire sur le meurtre. Il a fait appel à un avocat et a dit qu’il ne s’exprimerait pas. »

    Le suspect avait-il déjà attiré l’attention de la police ?
    Oui, pour coups et blessures. La police nous a indiqué que ce jeune homme de 17 ans était impliqué dans une bagarre dans une cour d’école. Cela se passait dans une école de langue qu’aurait fréquentée le suspect dans le passé. La police n’a pas voulu donner davantage de détails sur cet incident.

    [...]

    Selon les indications du ministère public, le meurtrier présumé serait inculpé sur la base du droit pénal particulier des mineurs. En cas de condamnation, il encourt au maximum dix années de prison et [...] l’expulsion.

    (Traduction Fdesouche)

    Focus

  • Béziers : la justice suspend le référendum sur les migrants de Robert Ménard

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    >Société|06 décembre 2016, 19h53|10 Le Parisien

     

    Pascal PARROT / Divergence
     
     
     
     
    SociétéRobert MénardFront NationalMigrantsBéziersRéférendum
     

    Le maire proche du Front national pensait faire dénoncer par la population locale l'extension d'un centre d'accueil de demandeurs d'asile. Prévue en janvier, la tenue de cette consultation est suspendue, dans l'attente d'une décision de justice «sur le fond».

    C'était une nouvelle controverse lancée par Robert Ménard, coutumier des polémiques et des sorties réactionnaires. Le tribunal administratif de Montpellier a suspendu mardi la tenue d'une «consultation» locale décriée que souhaitait organiser le maire de Béziers. Celle-ci, qui portait sur les «migrants», devait avoir lieu en janvier. Après avoir été saisie par le préfet de l'Hérault, la justice s'est donné le temps de statuer sur le fond de l'affaire, évoquant toutefois un «doute sérieux sur la légalité du projet». 

     

    Lire aussi. Drôme : le maire d'Allex renonce à son référendum sur l'accueil des migrants

     

    L'objet de ce «référendum» concernait l'extension d'un centre d'accueil de demandeurs d'asile à Béziers. «Approuvez-vous l'installation de nouveaux migrants, imposée par l'État, sans consultation du conseil municipal ?», voulait demander Robert Ménard aux électeurs de la commune. Selon l'ordonnance du juge des référés, cette extension dépend des «autorités de l'État» et relève «de leur seule compétence». Or, pour la loi, les consultations locales doivent uniquement concerner des décisions locales... 

     

     

     

    «Les communes ont interdiction de consulter la population, a dénoncé la municipalité, mardi, dans un communiqué. On ne peut que regretter cette décision centralisatrice et technocratique.»

     

    Lire aussi. Béziers : pour la justice, le fichage des chiens est «disproportionné»... mais légal
     

    L'ancien président de Reporters sans Frontières, désormais proche du Front national, avait pris l'initiative inhabituelle de défendre lui-même le 1er décembre devant le tribunal administratif de Montpellier sa «consultation» municipale. La commune est «compétente concernant les modalités d'installation de populations étrangères», avait-il notamment assuré. Mais ses interventions, souvent plus politiques que juridiques, lui avaient valu plusieurs rappels à l'ordre de la juge.

     

     

     
  • IVG, instrument du « Grand Remplacement » ?

    Le billet d'Alain de Peretti

    IVG, instrument du « Grand Remplacement » ?

     

            Par un télescopage de l’actualité l’avortement est revenu sur le devant de la scène lors des primaires de la droite et surtout du vote de la loi sur le délit d’entrave sur internet (comme s’il n’y avait rien de plus urgent à traiter !).

     

            Première remarque, l’avortement est devenu un dogme religieux où, au delà du politiquement correct, tout «suspect» de déviance est obligé de faire son autocritique publique, comme s’y est résolu avec une certaine docilité François Fillon, à l’occasion d’un procès stalinien même s’il s’est déroulé sous une forme soft. Il lui a quand même été reproché son «intime conviction» alors que ses actes étaient conformes à la doxa.  Nous mesurons ainsi la dégradation de la liberté de parole et, plus grave encore, de pensée, qui pointe son nez dans nombre de procès intentés par la bien-pensance aux dissidents.

     

            Deuxième remarque qui découle de la précédente, le « débat » est impossible tant ceux qui émettent de prudentes réserves ou cherchent à proposer des solutions alternatives sont diabolisés au nom des idées de progrès et de liberté, chères au « camp du Bien ». On mesure là encore l’évolution par rapport aux considérants de la loi Weil ( « l’avortement doit rester l’exception, l’ultime recours pour des situations sans issue »).

     

            Bien qu’ayant mon opinion personnelle sur ces questions, j’aimerais envisager un  aspect factuel jamais évoqué.  Bon an mal an, il y a environ 200 000 avortements dans notre pays depuis au moins 20 ans. Ce sont donc 4 millions d’enfants non nés, dont les plus âgés entreraient dans la vie active. Il faut confronter ce chiffre avec les entrées d’immigration légale chaque année qui sont également de 200 000 en chiffres arrondis ! Ces 4 millions d’enfants sont remplacés par 4 million d’immigrants en situation régulière Bien que les statistiques ethniques soient interdites, pensez vous qu’il y ait beaucoup de femmes africaines ou maghrébines parmi les femmes qui utilisent l’IVG ? Poser la question c’est y répondre…

     

            De plus, cette immigration légale, par le biais du regroupement familial, génère une natalité supérieure à la moyenne, ce qui permet à la France de figurer dans le peloton de tête en Europe, ce qui accélère le phénomène, sans parler de l’immigration irrégulière .

    Qui décide de ces « quotas » parfaitement calibrés pour un changement de peuple en douceur?

     

            La coïncidence de ces deux chiffres me semble donc de nature à se poser des questions.  Au-delà de l’intox idéologique de la «  liberté de disposer de son corps » –l’embryon ne serait alors que l’excroissance de ce corps...-, n’y aurait il pas une planification de ce qu’il est convenu d’appeler le « grand remplacement » ? Alors, bien sûr, on va me traiter de «complotiste» ! Nous savons pourtant, avec Wikileaks, entre autres, que de vastes mouvements coordonnés sont à l’œuvre dans le monde, le plus souvent d’ailleurs au grand jour, pour ceux en tous cas qui cherchent l’information ailleurs que dans les media main stream chargés d’endormir le bon peuple.

     

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