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  • Pénélope Fillon: pas de badge ni de boîte mail à l'Assemblée nationale

    Des enquêteurs étaient, ce mardi, à la mi-journée, dans l'enceinte de l'Assemblée nationale pour se faire remettre des documents dans l'enquête sur des soupçons d'emplois fictifs de Penelope Fillon. Nos révélations. 

    Permanence inexistante dans la Sarthe, son fief électoral, absence de badge d’accès et de messagerie électronique pour son épouse à l’Assemblée nationale... Au lendemain de l’audition de François Fillon par la police judiciaire, sa défense se trouve fragilisée.

     

    Depuis plusieurs jours, le Parquet national financier (PNF) négocie avec l’Assemblée nationale pour obtenir des documents, à commencer par les fiches de paie de l’épouse du candidat de droite à l’élection présidentielle. Ce mardi matin même, les enquêteurs de l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF) ont saisi des documents, notamment au sein des services administratifs.

     

      

    Selon nos informations, ces diverses investigations ont permis aux policiers et aux magistrats d’avoir la certitude que Penelope Fillon ne disposait ni de badge d’accès, ni de messagerie électronique spécifique, lorsqu’elle était assistante parlementaire de son mari et du suppléant de celui-ci, entre 1998 et 2007 ainsi qu'en 2012.

     

    «Pas un sujet», selon l'avocat de François Fillon

    L’avocat de l’ancien Premier ministre, Me Antonin Lévy, le confirme au Parisien, mais assure que ce point n’a pas été abordé lors de la longue audition du couple (plus de cinq heures) menée lundi à Versailles. «De nombreux assistants parlementaires venant de province ne disposent pas de badge. Penelope Fillon est loin d’être la seule dans ce cas. Quant à la messagerie électronique, elle n’en avait pas... tout simplement parce que la grande majorité des assistants parlementaires n’en ont pas. Ces deux points ne sont donc pas un sujet.»

     

    De fait, les collaborateurs utilisent souvent la messagerie électronique des députés. Selon des sources internes au palais Bourbon, «ceux qui travaillent à l'Assemblée disposent forcément d'un badge. En revanche, pour ceux qui sont en circonscription, il n'y a pas forcément de carte d'accès. Ils peuvent demander une carte d'invité le temps de leur passage au Palais Bourbon. Dans ce cas, on est enregistré. Enfin, il est possible de passer en compagnie du député.

     

    « Je ne connais pas un seul de mes collègues de circonscription qui n'a pas de badge. Dans l'absolu, c'est possible. Dans la pratique, c'est très peu répandu », précise Thierry Besnier, secrétaire général du Syndicat National des Collaborateurs Parlementaires (SNCP-FO).

     

    «Des éléments utiles à la manifestation de la vérité»

     

    Lors de l’audition d’hier, les questions des enquêteurs se sont surtout concentrées sur la permanence de François Fillon dans la Sarthe... qui n’existe pas. « [Cette] permanence se situait à leur domicile, et à votre avis, qui est au domicile de la Sarthe s’il n’y a pas de permanence ? Penelope Fillon !, a affirmé Antonin Lévy ce mardi matin sur RTL. Tout le monde connaît l’adresse de François Fillon dans la Sarthe.»

     

    L’enquête du PNF cherche à établir la nature du travail effectué par Penelope Fillon pour le compte de son mari, puis pour le suppléant de celui-ci, ainsi que la réalité des prestations pour «La Revue des deux mondes». Au sortir de son audition, le couple a estimé, dans un communiqué, avoir «apporté des éléments utiles à la manifestation de la vérité afin d’établir le travail réalisé par Mme Fillon».

    Le Parisien

     

  • Penelope aurait touché plus de 900 000 €, les enfants 84 000 €, Fillon crie à la «calomnie»

     

     >Elections>Election présidentielle|CSA|31 janvier 2017, 17h33 | MAJ : 31 janvier 2017, 20h25|117

     
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    CSA
     
    Election présidentielleprésidentielleFrançois FillonPenelope Fillon
     

    L'épouse de François Fillon, Penelope, soupçonnée d'emplois fictifs, a touché au total plus de 900.000 euros brut comme collaboratrice de son mari et de son suppléant ainsi qu'à la Revue des Deux Mondes assure ce mercredi le Canard Enchaîné.

    Après ses révélations de la semaine dernière, le Canard enchaîné récidive ce mercredi. Selon l'hebdomadaire, ce n’est pas 600 000 euros mais plus de 900 000 euros qu'aurait touchés la femme du candidat de la droite à la présidentielle, Penelope Fillon, en tant qu’assistante parlementaire et à la Revue des deux mondes. Ses deux enfants, que le candidat a reconnu avoir embauché «pour des missions précises» lorsqu’il était sénateur entre 2005 et 2007, auraient quant à eux touché 84 000 euros comme «assistants parlementaires».

     

       

    Le Canard chiffre désormais ainsi à 831.440 euros brut la somme perçue par Penelope Fillon comme assistante parlementaire de son mari ou de son suppléant Marc Joulaud. Non pas seulement de 1998 à 2002, comme écrit la semaine dernière par la même source, mais aussi de 1988 à 1990. La femme du candidat n'aurait donc pas bénéficié de cet emploi 8 mais 15 ans. Cette version vient contredire les dires de François Fillon, qui assurait jeudi dernier sur TF1 que sa femme avait travaillé bénévolement pendant des années avant d'être embauchée après le départ de son collaborateur parlementaire en 1997.

     

    Le Parisien

     

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    QUESTION DU JOUR. Soupçons d'emplois fictifs : êtes-vous convaincu par la défense de François Fillon ?

     

    VIDEO. Le passage de François Fillon sur TF1

     

    «Une opération de calomnie trés professionnelle»

    Ces nouvelles révélations interviennent quelques heures après la visite d'enquêteurs dans le bureau de François Fillon à l'Assemblée nationale. Le président du groupe LR à l'Assemblée, Christian Jacob, a évoqué une « perquisition ». En réponse à ses nouvelles révélations, François Fillon a dénoncé à Reuters, « une opération de calomnie très professionnelle, sans précédent sous la Ve République. » Le candidat s'est dit « serein et confiant dans l'attente de la clôture de l'enquête. »

     

    LIRE. Les assistants parlementaires, une affaire de famille

     

    Des révélations qui ne vont pas arranger la campagne de l’ancien premier ministre François Fillon. Après une semaine médiatique largement rythmée par les suspicions d’emploi fictif visant sa femme, le candidat a ébauché une défense fragile, basée dans un premier temps sur le caractère « misogyne » de l'hebdomadaire. L'ouverture, mercredi dernier, par le parquet national financier d'une enquête préliminaire l'a poussé à revenir plus en profondeur sur ces allégations. Sur le plateau du 20 heures de TF1 jeudi soir, puis lors de son grand meeting ce dimanche à La Villette (Paris) le candidat a assuré « n’avoir rien à cacher », niant la réalité des affirmations du Canard enchaîné. Toujours selon le palmipède, contrairement aux dires du député de Paris, l'élu n'aurait pas un mais « plus d'une quinzaine de comptes » au Crédit agricole de Sablé-sur-Sarthe

     

       

     

    Lors de son passage au 20 heures de TF1, l'ancien premier ministre avait lui-même fait des révélations concernant ses enfants : «Lorsque j'étais sénateur, il m'est arrivé de rémunérer pour des missions précises deux de mes enfants qui étaient avocats, en raison de leurs compétences. » Le Canard enchaîné révèle ce mercredi qu'ils auraient été rémunérés 84 000 euros en tant qu'«assistants parlementaires ». 57.084 euros bruts, d'octobre 2005 à décembre 2006 pour Marie Fillon, et 26.651 euros pour Charles Fillon de janvier jusqu'à juin 2007.

     

     

  • Donald Trump lance les préparatifs militaires pour « détruire l’État Islamique et son idéologie islamiste radicale »

     
    Posted by La Rédaction on 29th janvier 2017
    | 793 views
     

    BREIZATAO – ETREBROADEL (29/01/2017) Alors que la gauche occidentale, française en tête (voir ici), se lamente sur la politique de défense anti-islamiste entreprise par Donald Trump, le président américain ne perd pas une minute pour mettre en oeuvre son programme.

    Le chef de l’État Américain vient de signer un mémorandum portant sur la destruction de l’Etat Islamique. Le Président Trump donne « 30 jours » à l’état-major américain pour mettre au point un plan en ce sens.

     

    Une copie du mémorandum est parue sur le site officiel de la Maison Blanche (source) où le Président Trump détaille ses motivations :

    « L’Etat Islamique d’Irak et de Syrie, ou « EIIS », n’est pas la seule menace de la part du terrorisme musulman radical que doivent affronter les USA, mais elle est parmi les plus perverse et agressive. Il essaie de créer son propre état, que l’EI appelle un « califat ». Mais il ne peut y avoir aucun accommodement ou négociation avec lui. Pour cette raison, j’ordonne à mon administration de développer un plan complet pour vaincre l’EI.

    Il ajoute :

    L’État Islamique est engagé dans une campagne de persécution et d’extermination systématique dans les territoires qu’il pénètre ou contrôle. Si l’EI reste en place, la menace qu’il pose ne fera que croître. Nous savons qu’il a essayé de développer des capacités d’armement chimique.

    Le Président Trump affirme ainsi que « la politique des États-Unis est de défaire l’Etat Islamique ».

    Il déclare ainsi que « le développement d’un nouveau plan pour défaire l’EI commencera immédiatement », stipulant que « dans les 30 jours, une ébauche préliminaire du plan pour la défaite de l’EI sera soumis au Président par le Secrétaire à la Défense ».

    Le Président Trump stipule en outre que le plan devra intégrer « diplomatie publique, opérations d’information et cyber-stratégie pour isoler et délégitimer l’EI et son idéologie islamiste radicale ».

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  • VIDEO - Gilbert Collard: Trump doit-il prendre le risque de faire entrer des gens potentiellement dangereux?

    http://www.fdesouche.com/816693-gilbert-collard-trump-doit-il-prendre-le-risque-de-faire-rentrer-des-gens-potentiellement-dangereux

  • 57% des Américains favorables au décret anti-immigration de Donald Trump

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    20h15

    La majorité des Américains approuvent l’arrêt temporaire d’immigration des réfugiés et des visiteurs de 7 pays du Moyen-Orient et d’Afrique jusqu’à ce que le gouvernement puisse établir de nouvelles règles pour restreindre les conditions d’entrée aux Etats-Unis.

           

    Un sondage téléphonique national et un sondage en ligne de Rasmussen Reports révèlent que 57% des américains sont favorables à une interdiction temporaire des réfugiés provenant de Syrie, d’Irak, d’Iran, de Libye, de Somalie, du Soudan et du Yémen. Trente-trois pour cent (33%) sont opposés, tandis que 10% sont indécis.

    Sondage Rasmussen Reports

  • Arrêt de l'immigration musulmane: ce qu' a vraiment signé Trump

    http://ripostelaique.com/arret-de-limmigration-musulmane-ce-qua-vraiment-signe-trump.html

  • Primaire de la gauche : le repoussoir Hamon

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    Manuel Valls aura donc bu la coupe de la défaite jusqu’à la lie ! Entre les deux tours de la primaire, il avait appelé les sympathisants de gauche à voter davantage le 29 janvier, il croyait que c’était-là son salut, la réserve de voix qui lui eût permis de rattraper son retard. Las ! Il y a eu 20 % d’électeurs en plus, mais ils se sont mobilisés pour être sûrs que l’ancien Premier ministre soit bel et bien éliminé, Hamon l’a donc écrasé, 59 % contre 41 %, le score est sans appel. C’est la grande victime d’un week-end pourtant faste pour notre pays : l’équipe de France de handball est championne du monde, Miss France est devenue Miss Univers mais Manuel Valls, lui, a tout perdu.

    Ce n’est pas seulement l’ex-chef du gouvernement que les électeurs ont violemment rejeté, c’est François Hollande dont Valls n’était que la doublure, c’est donc aussi le bilan d’un quinquennat calamiteux. Les frondeurs qui, chaque jour, instruisaient le procès du pouvoir, minoritaires au Parlement, sont majoritaires dans l’électorat de gauche. Hamon était leur candidat, il est maintenant celui du PS.

    Pendant trois mois, on va donc voir le parti socialiste soutenir un homme qui n’a cessé de dénoncer la politique gouvernementale, que ce même PS défendait. Et que dire des ministres, censés, eux aussi, être solidaires de la politique sociale libérale qui est celle de François Hollande sans pouvoir, pour autant, désavouer le candidat de leur parti ? Myriam El Khomri, ministre du Travail, investie à Paris, va-t-elle soutenir le candidat du parti dont elle porte les couleurs et qui a inscrit à son programme l’abrogation de la loi… El Khomri ? La situation est ridicule ! Le responsable, c’est François Hollande qui, en reniant ses promesses, a laissé prospérer la dissidence au sein de son propre camp. Il s’en lave les mains, maintenant. Sa seule et amère consolation est de penser que c’est lui qui, dimanche soir, aurait pu être à la place du mort, en l’occurrence Manuel Valls.

    A quoi bon respecter la discipline d’un parti à l’agonie ? C’est pourquoi l’hémorragie au profit d’Emmanuel Macron s’accélère. Déjà, avant le scrutin, une cinquantaine de députés invoquait « un droit de retrait » en cas de victoire de Benoît Hamon. Ce droit-là, c’est celui dont les salariés se réclament pour cesser le travail en cas de danger. Le danger, pour ces élus, c’est de perdre leur siège s’ils se rangent sous la bannière utopique du candidat officiel. Ils migrent donc vers Emmanuel Macron. Depuis dimanche soir, les ralliements se multiplient, c’est le canot de sauvetage du Titanic socialiste. Au mieux, ceux qui resteront au PS seront les muets du sérail et ne lèveront pas le petit doigt pour aider le candidat dans sa campagne, à l’image du jeune pré-retraité Manuel Valls. Néanmoins, incapable de rassembler au sein de son propre parti, Benoît Hamon, en un appel dérisoire et surréaliste, invite l’écolo Yann Jadot à le rejoindre et Mélenchon de la France insoumise à se soumettre… François Fillon, dont la descente aux enfers continue, n’a plus qu’un seul motif de se réjouir, c’est de voir Benoît Hamon en champion du PS, il ne pouvait imaginer meilleur repoussoir.

    Guy Rouvrais

    Entretien paru dans Présent daté du 31 janvier 2017

  • Trump et Poutine s’entendent pour lutter contre le terrorisme islamiste

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    30/01/2017 – ÉTATS-UNIS (NOVOpress)
    La première conversation téléphonique entre Donald Trump et Vladimir Poutine semble annoncer un nouveau chapitre dans les relations russo-américaines. Et ce malgré une forte opposition de certains milieux à Washington.

    Selon Daniel McAdams du Ron Paul Institute :

    Bien que l’idée générale d’une implication des Etats-Unis en Syrie soulève beaucoup d’interrogations, l’intention de Donald Trump de coordonner la lutte contre le terrorisme avec la Russie signifie au moins que, apparemment, les Etats-Unis n’agiront pas contre la Russie.

    En tout cas, outre leur volonté de stabiliser et développer les relations bilatérales sur une base constructive, les deux chefs d’Etat ont convenu qu’il fallait donner la priorité à la lutte contre le terrorisme international et que cela passait donc par la mise en place d’une réelle coordination de leurs actions militaires respectives en Syrie.

  • JOURNAL TVLibertés du 3O.01.17

  • Antiterrorisme: Trump préfère prévenir que guérir

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    Washington n’a plus les moyens de sa charité

    Auteur

    Roland Jaccard

    Roland Jaccard
    Psychologue, écrivain, journaliste, critique littéraire, essayiste et éditeur suisse.

    Publié le 30 janvier 2017

    Mots-clés : , , ,

    Afin de lutter contre le terrorisme, le nouveau président américain Donald Trump a interdit par décret l'entrée aux Etats-Unis des ressortissants d'un certain nombre de pays musulmans. Plutôt que l'indignation, c'est la raison d'Etat qui devrait prévaloir.
     

    Les islamistes ne tolèrent ni les athées, ni les juifs, ni les chrétiens. À titre individuel, il va de soi que chaque musulman mérite d’être respecté : après tout chacun d’entre nous a droit à ses croyances, voire à ses délires. Mais dès lors, qu’il n’y a pas réciprocité, il est normal, voire même plutôt sain, que des mesures de rétorsion soient prises. Il n’a échappé à personne, tout au moins je l’espère, que l’islam est peut-être une religion, mais aujourd’hui avant tout un instrument de conquête. Je ne nie pas non plus qu’il peut y avoir dans cet esprit de conquête, outre une violence plutôt jouissive, une forme d’idéal que chacun est libre de partager, mais aussi de combattre. C’est ce que fait Donald Trump en prenant des mesures qui permettent, pour un temps au moins, de ne pas laisser le champ libre à celles et ceux qui menacent la démocratie américaine. Les Européens, certainement beaucoup plus menacés, auraient tort de ne pas s’inspirer de ses méthodes, voire de celles des Chinois ou des Japonais.

    Trump envoie un signal clair

    Certes, on peut le déplorer,  mais il n’y a guère que deux possibilités dans l’existence : terroriser ou être terrorisé. Donald Trump a compris, tout comme Reagan avant lui et W. Bush, que les États-Unis ne sont forts que dans la mesure où ils sont haïs. Il va l’être. Il l’est déjà. Il n’aura ni prix Nobel de la Paix, ni ne figurera au Panthéon des grands hommes qui s’illustrèrent par leur amour de l’Humanité. L’avantage qu’il a sur tous ceux qui n’ont de cesse de baver sur sa vulgarité et sa brutalité, se décernant ainsi à bon marché des brevets de bonne conscience, c’est qu’il ne doit rien à personne. Et qu’il en sait sans doute un peu plus long sur l’humanité que ceux qui le critiquent. C’est un lonesome cow-boy qui fait le job, quoi qu’il doive lui en coûter. Et le job aujourd’hui consiste à dire stop à ces islamistes  qui, profitant et de leurs pétrodollars et de notre mauvaise conscience,  tentent d’imposer à un Occident tantôt sidéré, tantôt lâche, leur religion, leur forme de vie et leur pouvoir. Donald Trump a donné, contrairement à Obama, un signal clair : nous ne voulons pas de vous. Ce n’est sans doute ni très poli, ni très charitable, mais sommes-nous encore en mesure de l’être ? Et pourquoi se mettre au service de ceux qui ont juré notre perte ?  À force de compromis, l’Europe a perdu toutes ses défenses immunitaires et nous offre comme ultime spectacle ses convulsions d’agonisants. Donald Trump a choisi de dégainer. Pour les lâches que nous sommes, c’est intolérable.

    Causeur.fr

  • Xe/XVIIIe : dans le nord de Paris, les rats sont de sortie

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    >Île-de-France & Oise>Paris>Paris XVIII|Cécile Beaulieu|29 janvier 2017, 18h00 | MAJ : 29 janvier 2017, 18h58|17
    Dans le nord de Paris, les habitants se plaignent de la prolifération des rats, notamment dans les Xe et XVIIIe arrondissements. Action Barbès et DR
     
     
    Cécile Beaulieu
     
    Paris XVIIIratsHygiene
     

    Depuis quelques semaines, ils gambadent allègrement dans les rues, au milieu des déchets abandonnés, à la vue de tous : les rats, qui prolifèrent dans certains quartiers du nord de la capitale, notamment à la Goutte-d’Or (XVIIIe) et aux abords de la gare de l’Est (Xe), inquiètent et agacent tout autant. Contactées par les riverains excédés, les deux mairies d’arrondissement concernés ont affirmé que le nécessaire allait être prochainement fait avec les services de dératisation, comme cela a été déjà été le cas squares Alban-Satragne (Xe) et de Jessaint (XVIIIe).

     

    Mais dans les quartiers concernés, les habitants se sentent un peu abandonnés. Ou, du moins, loin d’être logés à la même enseigne que d’autres Parisiens. « La Ville a décidé de mettre en place un plan d’action de grande ampleur pour faire face à la présence de gaspards trop nombreux », souligne l’association Action Barbès, très active dans les IXe, Xe et XVIIIe arrondissements. « Mais ce plan, déplore-t-elle, se concentre sur quelques quartiers du centre de la capitale… Pourtant, nous ne sommes pas épargnés : le problème est particulièrement notable sur les friches à l’angle des rues Léon et Myrha, et au carrefour Affre-Myrha, qui doit accueillir des logements sociaux. »

       

    A la Goutte-d’Or, on pointe du doigt des commerces de bouche du secteur, qui n’hésitent pas à confondre friche et décharge. « La mairie est intervenue plusieurs fois auprès d’un restaurateur pour qu’il cesse ces pratiques, poursuit Action Barbès. En vain. » « Les détritus déposés quotidiennement attirent les rats par dizaines, s’alarme une riveraine de la rue Polonceau toute proche. On les voit régulièrement déambuler au milieu des ordures, s’y nourrir… Et comme un déchet en appelle un autre, certains viennent ajouter les leurs. » « On sait tous qu’il y a des rats en nombre dans Paris, tempère un passant, mais en jetant les déchets n’importe où, il est évident qu’on les attire. Il faudrait vraiment sévir avec les responsables de ces incivilités, et nettoyer plus souvent nos rues ». Même scénario aux abords de la gare de l’Est, où les rongeurs sont visibles sur les trottoirs, se mêlant aux groupes de pigeons avec lesquels ils se disputent la pitance, sous l’objectif des internautes qui diffusent photos et vidéos sur les réseaux sociaux… En attendant qu’une solution soit trouvée à la prolifération des rongeurs.

    Le Parisien

  • Les décrets de Trump contre l'islamisation vont changer le monde

    http://ripostelaique.com/les-decrets-de-trump-contre-lislamisation-et-lalena-vont-changer-le-monde.html

  • Joachim Gauck (président de l’Allemagne) : « Il n’y a nullement lieu de glorifier l’Europe. Elle n’a jamais connu d’âge d’or et n’en connaîtra jamais. »

    15h39

    La scène se passe, jeudi 26 janvier, sous les lambris du Quai d’Orsay. Le ministre allemand des affaires étrangères, Frank-Walter Steinmeier, qui va devenir « le président Steinmeier » en succédant à Joachim Gauck à la tête de l’Etat en février, fait ses adieux à la diplomatie française.

    Officiellement, M. Steinmeier est là pour le lancement de la Nuit des idées, rafraîchissante initiative de la culture française pour beau temps. Ce qui devrait être un moment léger, purement formel, prend soudain un tour grave. En fait de Nuit des idées, M. Steinmeier a visiblement des idées noires. En allemand, il évoque les élections françaises à venir, souligne qu’elles seront déterminantes non seulement pour la France, mais aussi pour l’Allemagne – et pour l’Europe. Puis il passe au français pour implorer son auditoire : « S’il vous plaît, ne cédez pas aux sirènes du populisme. »

    Un peu plus tôt, à la Sorbonne, le président Gauck est lui aussi venu faire ses adieux. Il y prononce un discours émouvant ; il y est question d’amour, de littérature et puis d’Europe bien sûr, l’Europe dont il rappelle qu’elle a « engendré beaucoup d’horreurs ». « Il n’y a nullement lieu de glorifier l’Europe, poursuit-il. Elle n’a jamais connu d’âge d’or et n’en connaîtra jamais. Elle est uniquement le théâtre d’une incessante lutte pour l’humanité, la liberté et le droit, la justice et la démocratie. »

    () Le Monde

  • Comment séduire une Suédoise ? Un acteur lance des cours de drague pour mineurs migrants

     

    © Philippe Wojazer / Reuters
    Des migrants vont pouvoir apprendre à draguer des femmes locales, en Suède

    Alors que les agressions sexuelles sont en hausse à Orebro, en Suède, un professeur de théâtre a décidé d'enseigner les codes sociaux à des réfugiés, mais aussi de leur donner un coup de pouce pour devenir de meilleurs séducteurs.

    Mohammed Arvan, professeur d'art dramatique et acteur, a lancé des cours destinés à des migrants de 15 à 17 ans, en majorité afghans, de la ville d'Orebro en Suède, rapporte la chaîne télévisée nationale SVT.

    Le but ? Leur enseigner à séduire des femmes locales en organisant des mises en situation, qui reproduisent des scènes de séduction dans des bars ou des boîtes de nuit.

    «Au début, ils étaient complètement nuls pour draguer les filles. Ils s'approchaient juste puis demandaient leur numéro de téléphone. Ce qui, bien sûr, ne marchait pas», a expliqué le professeur à SVT, précisant que ses élèves avaient rapidement progressé.

    Mais ce n'est pas tout. Mohammed Arvan tente également d'inculquer aux adolescents certaines valeurs européennes basiques et les principaux code sociaux à adopter par rapport aux femmes, comme le fait qu'une fille portant une jupe n'a rien d'anormal.

    Pour ce faire, l'enseignant a mis en place des exercices reproduisant la gêne que peut ressentir une femme face à un comportement inapproprié dans les transports en commun.

    Ainsi, explique Mohammed Arvan, un garçon est chargé de jouer le rôle d'une fille assise dans un bus, qui se voit harcelée et tripotée par des hommes autour d'elle. Et les migrants auraient rapidement compris la leçon, puisqu'ils «ne restent pas assis très longtemps s'ils jouent la fille», rapporte la télévision suédoise.

    Selon le professeur, l'initiative serait un succès et aurait même reçu le soutien de plusieurs femmes qui lui auraient fait part de leur enthousiasme. «Elles disent qu'il faudrait aussi un cours comme celui-ci pour les hommes suédois, parce que beaucoup de Suédois auraient aussi apparemment besoin d'apprendre», explique-t-il.

     

    Et ce n'est pas tombé dans l'oreille d'un sourd puisque Mohammed Arvan compte bien mettre en place des cours similaires à destination des locaux, dès l'automne 2017. 

    Alors que deux migrants ont récemment été placés en garde à vue suite à un viol présumé diffusé sur Facebook en Suède, les agressions sexuelles ont connu une hausse de 70% en un an dans la ville d'Orebro, atteignant 165 cas en 2016 selon SVT, pour un peu moins de 110 000 habitants.

    Lire aussi : Agressions sexuelles en série lors de festivals musicaux en Suède : des migrants mis en cause

  • Suède: les conservateurs tendent la main à l’extrême droite

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    20h17

    En Suède, les conservateurs viennent de tendre la main à l’extrême droite. Une manoeuvre qui rompt avec la tradition politique du pays de ne pas s’associer avec le parti extrémiste, les Démocrates de Suède, malgré son importance en termes de voix. Une stratégie à risque.

     


     (…) Depuis 2014 et le retour de la gauche au pouvoir, la coalition formée par l’opposition de droite ne voulait pas s’en approcher. Pourtant, les membres du parti Démocrates de Suède jubilent, et ce depuis le 19 janvier. Anna Kinberg Batra, chef de file des conservateurs, a en effet invité les élus d’extrême droite à la soutenir pour un projet de loi présenté à l’automne prochain.

    Un projet de loi crucial puisque, s’il passe, le gouvernement de gauche sera renversé, bien avant la prochaine législative de 2018. Et les Démocrates de Suède mesurent le poids qu’ils peuvent avoir. En contrepartie de son accord, le leader du parti, Jimmie Akesson, entend acquérir son mot à dire sur la composition du prochain gouvernement.

    Une alliance entre conservateurs et extrême droite pourrait en réalité avoir des conséquences désastreuses au sein de l’opposition et signer la fin de la large coalition qui s’y est formée. Car pour les centristes et les libéraux, il est hors de question d’entendre parler des Démocrates de Suède.

    Anna Kinberg Batra mène donc un jeu dangereux dans un pays où l’extrême droite progresse à chaque élection et ne peut plus être ignorée du reste de la scène politique.

    RFI

    Merci à oxoxo