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  • DES VOEUX POUR LES VEAUX

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    Le président de la République a adressé ses vœux aux Français pour la dernière fois de son mandat, en félicitant leur courage. Il en a profité pour mettre en garde son propre camp contre la dispersion avant la présidentielle.

    Sa dernière allocution télévisée avait fait date: pour la première fois sous la Ve République, le chef de l'État annonçait qu'il ne se représenterait pas. Un mois plus tard, le président de la République a profité de ses cinquièmes et derniers vœux pour faire l'éloge de son action.

    ● Le bilan

    «Tout au long de mon mandat, je n'ai eu qu'une priorité: redresser notre économie pour faire baisser le chômage. Je revendique les choix que j'ai faits. Les résultats arrivent. Plus tard que je ne l'avais prévu, j'en conviens mais ils sont là. Les comptes publics ont été rétablis, la sécurité sociale est à l'équilibre, la compétitivité de nos entreprises a été retrouvée, la construction de logements atteint un niveau record, l'investissement repart et surtout, surtout, le nombre de demandeurs d'emploi baisse enfin depuis un an», a-t-il déclaré, ajoutant: «Jusqu'au dernier jour de mon mandat, je serai pleinement à ma tâche».

    ● Donald Trump interpellé sur la COP21

    Costume sombre, le ton offensif, François Hollande a interpellé plusieurs personnalités. Donald Trump a été le premier d'entre eux: «La France ne laissera personne, aucun état, fut-il le plus grand, remettre en cause cet acquis majeur de la communauté internationale», a-t-il dit à l'évocation de la COP21, l'accord sur le climat signé en décembre 2015.

    «En cette fin d'année, a-t-il mis en garde, ce que nous croyons acquis parfois pour toujours -la démocratie, la liberté, les droits sociaux, l'Europe et même la paix-, tout cela devient vulnérable, réversible. On l'a vu au Royaume-Uni avec le Brexit et aux États-Unis lors de l'élection du mois de novembre. On le voit sur notre continent à travers la montée des extrémismes. Il y a des périodes dans l'histoire où tout peut basculer. Nous en vivons une.»

    ● La présidentielle «décisive»

    «Dans à peine cinq mois, vous aurez, mes chers compatriotes, à faire un choix. Il sera décisif pour la France», a lancé François Hollande. «Il y va de son modèle social, auquel vous êtes attachés parce qu'il garantit l'égalité de tous face aux aléas de la vie, comme la santé. Il y va de nos services publics, essentiels, et notamment l'école de la République, là où beaucoup se joue», a-t-il poursuivi en faisant une allusion, sans le citer à François Fillon, le candidat de la droite et du centre. Il faut «faire preuve de lucidité et éviter de brutaliser la société», a prévenu le chef de l'État.

    C'est avec le Front national qu'il s'est fait le plus tranchant: «Comment imaginer notre pays recroquevillé derrière des murs, réduit à son seul marché intérieur, revenant à sa monnaie nationale, et en plus, discriminant ses enfants selon leurs origines? Mais ça ne serait plus la France».

    À la gauche, il a confié un vœu: «Éviter la dispersion pour certaines de nos forces politiques qui entraînerait, d'ailleurs, leur élimination».

    ● Terrorisme: Hollande «fier» des Français

    Le président de la République n'a pas manqué de rappeler que plusieurs attentats avaient frappé la France en 2016: Magnanville, Saint-Étienne-du-Rouvray et Nice. «Je sais l'inquiétude qui est toujours la vôtre face à cette menace terroriste qui ne faiblit pas (...) Il me revient donc avec le gouvernement de Bernard Cazeneuve d'assurer votre protection. J'y consacre tous les moyens nécessaires», a-t-il juré. «Face aux attaques, vous avez tenu bon. Les terroristes voulaient vous diviser, vous séparer, vous effrayer? Vous avez montré que vous étiez plus forts, rassemblés, solidaires et unis», s'est félicité le chef de l'État. «Vous n'avez pas cédé aux amalgames, aux stigmatisations, aux veines querelles. Vous avez continué à vivre, à travailler, à circuler, à sortir, à chérir la liberté. Vous pouvez être fiers de vous. Mais nous n'en avons pas terminé avec le terrorisme», a-t-il complété, précisant qu'il se rendra en Irak lundi pour rencontrer les soldats français engagés contre l'EI.


    Hollande avec les forces de sécurité

    Aussitôt ses vœux diffusés à la télévision, François Hollande devait se rendre samedi soir sur les Champs-Élysées, à Paris, pour rencontrer les forces de sécurité mobilisées pour assurer l'encadrement des festivités du réveillon. Accompagné du ministre de l'Intérieur, Bruno Le Roux, il devait visiter la salle de commandement des opérations, installée au Petit Palais.

  • Hommage à Saddam Hussein, président de la République d'Irak

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    28 avril 1937 - 30 décembre 2006

    Il avait créé l'Irak moderne et laïque où les chrétiens et les femmes étaient respectées.

     Il est mort assassiné et humilié  par les Etats-Unis qui l'ont pendu après un simulacre de procès.

    Depuis sa mort, l'Irak n'est plus chaos, ruines et désolation.

     

     

  • Cologne (Allemagne) : la police interdit des manifestations anti-migrants le soir du Réveillon

     

    21h59
    La police de Cologne a déclaré que deux partis d’extrême droite et anti-migrants allemands, l’AfD et le NPD, ne seront pas autorisés à organiser des manifestations le soir du Nouvel An dans la ville. On se souvient que la ville de Cologne avait été l’épicentre d’une vague d’agressions sexuelles commises notamment par des migrants et des immigrés.

     

    Source

    Merci à oxoxo

  • Trump salue l'intelligence de Poutine après les représailles d'Obama

    http://www.liberation.fr/planete/2016/12/30/trump-salue-l-intelligence-de-poutine-apres-les-represailles-americaines_1538356

     

  • JOURNAL TVL DU 30/12/16

  • Diplomates expulsés : Poutine gracie les États-Unis

    Face à un joueur d’échecs, l’Oncle Sam renvoyé à sa réalité de voyou

    Le président russe Vladimir Poutine a décidé de ne pas expulser de diplomates américains suite à l’expulsion de 35 diplomates russes des États-Unis.

    La Russie n’expulsera pas de diplomates américains en réponse à la décision de Washington d’expulser 35 diplomates russes des États-Unis, a déclaré vendredi le président russe Vladimir Poutine cité par le service de presse du Kremlin.

    « Nous ne créerons pas de problèmes pour les diplomates américains. Nous n’expulserons personne. Nous n’interdirons pas à leurs familles et leurs enfants de visiter leurs lieux de repos préférés pendant les fêtes de fin d’année », a indiqué le chef de l’État russe.

    Selon lui, la Russie a toutes les raisons de donner une réponse appropriée aux actions inamicales et « provocatrices » de l’administration de Barack Obama qui « visent à saper les relations russo-américaines ».

    « Nous nous réservons le droit de réagir, mais nous ne nous abaisserons pas à la "diplomatie de cuisine" irresponsable et tiendrons compte de la politique de l’administration de Donald Trump », a-t-il ajouté.

    D’après M. Poutine, la décision de l’administration d’Obama d’adopter de nouvelles sanctions contre la Russie et d’expulser 35 diplomates russes « sont contraires aux intérêts fondamentaux des peuples russe et américain. Elles portent également préjudice à l’ensemble des relations internationales compte tenu de la responsabilité que la Russie et les États-Unis assument en matière de la sécurité globale », a ajouté le président.

    Vladimir Poutine a souhaité de joyeuses fêtes au président élu américain Donald Trump et au peuple américain et a invité les enfants de diplomates américains à assister à un spectacle consacré au Nouvel an qui aura lieu au Kremlin.

     

    NdB: Le geste d'un homme d'Etat "supérieur" qui révèle une grande intelligence!

  • Le dossier Sauvage au-delà du "storytelling"...

    http://thierryleveque.blog.lemonde.fr/2016/12/29/le-dossier-sauvage-au-dela-du-storytelling/#comment-72

  • Christian Estrosi offre de l’argent public français à l’extrême droite israélienne

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    Rencontre avec Netanyahu et Meyer Habib - 28/12/16

    Christian Estrosi a versé 50 000 euros du budget de la région PACA au Fonds national juif, une organisation israélienne dénoncée pour sa participation à la construction de colonies en Cisjordanie occupée sous couvert d’une activité de reboisement.

    Le voyage de Christian Estrosi en Israël , décidé « après la dangereuse décision de l’ONU qui attaque la seule démocratie de la région » selon ses propres termes, se termine le 29 décembre. À l’occasion de sa visite, le président de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur (PACA), Christian Estrosi s’est engagé à verser 50 000 euros d’argent public au Fonds national juif (KKL), sous couvert de la nécessité de replanter des arbres après les incendies ayant touché le pays en novembre. Le voyage a été financé par la région.

    « Avec le soutien de ma majorité régionale, une subvention de 50 000 euros sera versée au KKL par la région PACA pour contribuer au reboisement de la forêt détruite », a-t-il déclaré au cours d’une cérémonie où l’ancien maire de Nice a planté un olivier.

      

    « Je n’ai pas besoin de recevoir de remerciement. Lorsqu’on est frères on ne se remercie pas. Nous appartenons à la même famille, à la même équipe, nous défendons les mêmes convictions et les mêmes valeurs. On se soutient, on ne se fait jamais défaut », a-t-il poursuivi.

    Christian Estrosi a affirmé que la région PACA allait ainsi financer 5 000 arbres, dont 86 seraient « dédiés aux victimes de l’attentat de Nice » du 14 juillet dernier.

    Or, le KKL participe à des opérations bien plus larges que le simple reboisement de zones désertiques, tel qu’affiché par l’organisation. C’est ce qu’ont découvert des journalistes tels que l’Israélien Raviv Drucker, on encore des personnalités religieuses comme ceux représentés par l’organisation T’ruah (appel des rabbins pour les droits de l’homme). Le KKL est en effet impliqué dans des activités de construction de logements et autres infrastructures illégales en territoires palestiniens. Le site américain Forward mentionne ainsi plusieurs sites construits dans des colonies avec les fonds du KKL, à Ariel, Beit El, et même un « centre de propagande pro-colonies » à Gush Etzion.

  • Et les imams iront à la fac

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    Beauvau offre une usine à gaz aux musulmans de France

    Auteur

    Gil Mihaely

    Gil Mihaely
    Historien et directeur de la publication de Causeur.

    Publié le 30 décembre 2016 / Religion

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    Au lieu d'organiser l'islam de France pour lutter contre l'extrémisme, les pouvoirs publics vont créer des formations universitaires Potemkine contrôlées par les pays d'origine des imams. Clercs échangent caution universitaire contre crédits pour les facs.
     

    La question de l’islam de France est l’une des principales sources de rapports et de commissions Théodule de la République. Lundi 12 décembre, des représentants de « l’Islam de France »  et des universitaires étaient donc conviés place Beauvau pour participer à une troisième instance de dialogue avec le culte musulman. Il s’agissait en l’occurrence de la présentation d’un rapport sur la formation des imams et l’islamologie. Commandé à la rentrée dernière par les ministères de l’Intérieur, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche à Rachid Benzine, islamologue, Catherine Mayeur-Jaouen (historienne de l’EHESS) et Mathilde Philip-Gay (professeur de droit à Lyon-3), ce rapport soulève un problème épineux : aujourd’hui, la majorité des imams et autres cadres musulmans en activité en France, ont été formés à l’étranger. Et dans ce contexte, « formation à l’étranger » ne signifie pas Oxford, Cambridge ou Princeton…

    Les quelques instituts privés où on enseigne les sciences islamiques, quand il ne s’agit pas des initiatives d’un prédicateur à succès, sont souvent liés à un pays étranger comme l’Institut Al-Ghazali de la Grande Mosquée de Paris, proche de l’Algérie, ou à un courant politico-religieux comme l’Institut européen des sciences humaines à Saint-Denis et à Château-Chinon lié à l’Union des organisations islamiques de France (proche des Frères musulmans). Le souhait de l’Etat de contrôler la formation des cadres musulmans exerçant en France est donc légitime et louable. Sauf que, comme souvent, le gouvernement, désespéré de se montrer actif et afficher des résultats, met le loup dans la bergerie.

    A priori, la recommandation des auteurs du rapport de nouer des partenariats entre instituts et universités en attendant que « l’islam de France » puisse faire émerger des « établissements sur le modèle des instituts catholiques », semble de bon sens. Concrètement, le rapport préconise des «conventions sur les matières non théologiques, de chartes ou accords informels » permettant d’ouvrir à « tous les étudiants intéressés » les disciplines telles que la  « langue arabe, l’islam, le monde musulman », étoffées et accompagnées par des cours d’histoire, de philosophie de l’islam et de droit musulman. Ces nouvelles filières aboutiraient à des DAEU (Diplôme d’accès aux études universitaires), c’est-à-dire un diplôme universitaire reconnu qui est l’équivalent du baccalauréat.  Et pour souligner l’importance accordée à cette action, le gouvernement a mis le paquet. A travers les discours de Bernard Cazeneuve, Premier ministre et ancien locataire de l’hôtel Beauvau, d’Anouar Kbibech, président du CFCM, et de Jean-Pierre Chevènement, président de la Fondation des œuvres de l’islam de France, la République a réaffirmé sa foi inébranlable dans l’existence d’un « Islam de France » et affiché sa confiance en ses représentants.

    Cependant, derrière la façade pompeuse de ce rassemblement républicain et le discours convenu entendu mille fois (« Les premières victimes du terrorisme islamistes sont les musulmans »), certains participants ont ressenti comme un malaise. Il y avait tout d’abord les formules rituelles en arabe de Djelloul Seddiki, directeur de l’Institut Al-Ghazali, rapporteur de séance auquel il a appartenu de dire quelle voie doit emprunter l’islam de France… sa façon de s’exprimer, sans le moindre souci de réserve dans ce haut lieu de la République, laissait le sentiment qu’il se comportait comme s’il était chez lui.

    Mais si l’embarras a gagné certains des universitaires présents, c’est lorsqu’ils ont compris ce que le gouvernement attendait d’eux : légitimer les cadres du nouvel « Islam de France ». Or, le parterre auquel s’adressait le Premier ministre apparaît comme la preuve vivante de l’inexistence de cet Islam de France : les délégués des instances, associations, et communautés musulmanes, lesquels sont aussi les représentants –indirects – des gouvernements étrangers (Maroc, Arabie Saoudite, Turquie) ou de mouvances dont la vision de l’Islam ne correspond pas à celle du gouvernement français. Bref, beaucoup d’arbres qui ne cachent aucune forêt.

    Le marché (subtilement) proposé est simple : les universités, en manque cruel de moyens, formeront les futurs imams de la République dans des programmes spécialement conçus pour eux (même si ouverts à tout le monde). Les établissements d’enseignement supérieur devront, bien entendu, s’adapter à leurs futurs étudiants. Sauf qu’il ne s’agit pas de proposer des cours du soir pour des étudiants plus âgés souvent salariés. Pour ceux des participants de cette « troisième instance de dialogue » qui ont l’ouïe fine, il s‘agit d’une toute autre adaptation: éviter d’exposer les futurs imams à des disciplines « non appropriées ».

     

    On peut se demander si les idées de Rachid Benzine, l’un des auteurs du rapport, pourront être discutées dans ces programmes. Car Benzine a une vision du Coran qui s’apparente à de la critique biblique. Ainsi non seulement avance-t-il que le Coran doit être d’abord compris dans son contexte arabe (c’est-à-dire, la Péninsule arabique des VIe et VIIe siècles). Mais l’islamologue rappelle que ce texte a été largement réécrit à l’époque omeyyade (660-750) en dialogue, parfois conflictuel, avec la pensée et les écrits des Byzantins. Pas sûr que le professeur d’arabe subventionné par la Turquie dans une petite université en province intègre les articles de Benzine dans sa liste de lectures obligatoires – qu’ils soient futurs imams ou pas… Autrement dit, ce qu’il aurait été implicitement demandé aux universitaires (et donc aux universités) est de se plier aux exigences de la nébuleuse des associations-institutions musulmanes qui abonderaient globalement dans le sens d’un Islam sectaire, ritualiste, en phase avec l’esprit du wahhabisme, c’est-à-dire sans histoire et hors-sol.

    En échange de leur caution – car au fond, c’est de cela qu’il est question -, les universités peuvent espérer bénéficier d’un soutien financier, notamment de la part des pays étrangers poursuivant en France une politique d’influence qui passe aussi par les universités. Qu’il s’agisse de financer des postes de professeurs d’arabe ou de turc – qui enseignent aussi la civilisation et l’histoire – ou, plus si affinités, de créer des chaires et des centres d’études – avec bourses, postes d’enseignants et de chercheurs, accueil d’étudiants étrangers -, les facs s’avèrent, à quelques exceptions près, demandeuses.

    Leurs présidents ont besoin à la fois d’argent et de communication. Ils ne crachent donc pas devant la perspective d’une inauguration en présence de l’ambassadeur du pays mécène et de quelques médias. Depuis que l’Etat les a mises au régime sec, tout ou presque est bon à prendre pour les universités. Bref, tôt ou tard, ces nouvelles filières risquent de devenir la tête de pont d’un islam réel très éloigné de celui imaginé par les auteurs et les commanditaires du rapport.

    Et tout ceci doit aller très vite. Au-dessus de ce rassemblement pour l’avenir de l’Islam de France, plane le spectre d’un « changement de majorité ». Il faut donc lancer les chantiers et profiter de ces quelques mois pour créer un fait accompli, puis compter sur l’inertie administrative pour les mener à bon port. Avec un peu de chance, la nouvelle majorité politique, débordée par les urgences du nouveau pouvoir, laissera faire.

    La Lettre de CAUSEUR

  • Fillon avec l'imam anti-chrétien de Stains: la photo n'est pas un montage mais bien réelle!

    http://www.fdesouche.com/797875-fillon-avec-limam-anti-chretiens-de-stains-la-photo-est-bien-reelle

     

  • Saint-Josse-ten-Noode (Belgique) : puni, un enfant reste 15 heures sur le balcon en pyjama en plein hiver

     

    23h08

    Un couple de Saint-Josse-ten-Noode a été arrêté lundi soir, soupçonné de maltraitance. L’un des jumeaux de 6 ans se trouve actuellement aux soins intensifs après avoir passé près de 15 heures sur le balcon de l’appartement. En pyjama et en plein hiver.

    Vers 20h lundi soir, les services de secours ont reçu un appel pour un enfant qui avait perdu connaissance sur un balcon. Les ambulanciers ont découvert un enfant de 6 ans en pyjama. Il était inconscient et en hypothermie sévère. De 5h du matin à 20h, il serait resté dehors parce qu’il aurait cherché de la nourriture dans la cuisine. Si en journée, le mercure a grimpé jusqu’à 10 degrés, en soirée, le thermomètre a baissé jusqu’à seulement 3 degrés.

    Le petit garçon présentait des signes de malnutrition et de maltraitance. Les secours ont fait le même constat auprès de sa soeur jumelle. Les deux enfants ont été emmenés à l’hôpital. Le petit garçon est toujours dans un état critique tandis que sa soeur va mieux mais reste prise en charge.

    La mère, une Française, et son compagnon (qui n’est pas le père des enfants) ont été arrêtés et entendus par la police. « Aucun des deux ne semble prendre conscience qu’ils ont maltraité les enfants. La mère nie tout tandis que le beau-père a fait des aveux partiels », explique Ine Van Wymeersch, porte-parole du parquet, dans Het Laatste Nieuws.

    (…)

    Source

    Merci à Stormisbrewing

    NdB: Comment va-t-on punir ces salauds?

  • Les bonnes nouvelles s'empilent depuis la victoire de Trump

    http://www.dreuz.info/2016/12/29/aie-les-medias-ont-bobo-les-bonnes-nouvelles-sempilent-depuis-la-victoire-de-trump/

    Donald-Trump-bedankt-sich-bei-seinen-Waehlern-1.jpg Trump.jpg

  • Belgique : puni 15 heures sur un balcon glacial, un enfant de 6 ans dans un état critique

     

    >Faits divers|29 décembre 2016, 13h22 | MAJ : 29 décembre 2016, 14h04|33
     
      
     
    Faits diversPunitionEtat CritiqueBelgiqueFroid
     

    Puni par sa mère et son beau-père, le petit garçon de 6 ans a passé 15 heures dans le froid.

    Jezus, 6 ans et domicilié dans la commune de Saint-Josse à Bruxelles (Belgique), était ce jeudi dans un état «très critique», souffrant d'hypothermie et de malnutrition, a indiqué le parquet de la capitale belge. Selon la presse locale, puni par ses parents, il a dû rester 15 heures sur le balcon de son domicile par un temps glacial. 

    Le garçonnet a été retrouvé mercredi vers 20 heures par les services de secours «inconscient», a indiqué dans un communiqué le parquet de Bruxelles. «Sa soeur jumelle se trouvait également dans l'appartement, avec la maman des enfants et leur beau-père», précise le parquet. «Sa soeur nécessite également des soins et est hospitalisée», ajoute le parquet.  

    Puni pour s'être servi seul dans la cuisine


    «De 5 heures du matin à 20 heures, il a dû rester sur le balcon comme punition, parce qu'il s'était servi lui-même à manger dans la cuisine», a rapporté le quotidien néerlandophone Het Laatste Nieuws. Ce jour-là, les températures n'ont pas dépassé 3°C à Saint-Josse mais Jezus n'était vêtu que d'un simple pyjama. Selon le parquet, «les deux enfants présentent des traces de maltraitance et de malnutrition manifeste». Un juge a ordonné leur placement à l'hôpital. Selon la Libre Belgique, les deux enfants n'étaient pas scolarisés.

     

     

    La mère, une Française de 31 ans et son compagnon, un Belge âgé d'une vingtaine d'années, ont été placés en détention provisoire et inculpés de «torture sur mineurs par ascendant ou personne ayant autorité». «Le beau-père est passé aux aveux sans pour autant réaliser la gravité des faits, tandis que la mère est toujours dans le déni», a ajouté le parquet de Bruxelles. 

    Si le beau-père, de nationalité belge, était bien officiellement domicilié à Saint-Josse, «ni la mère», française, «ni les enfants ne sont inscrits en Belgique», a souligné le parquet. «On n'avait pas la possibilité d'avoir un contact plus poussé au niveau des écoles et des services de prévention», a déploré sur la télévision RTL-TVI le bourgmestre de Saint-Josse, Emir Kir. Le balcon se trouve à l'arrière du bâtiment, dans un îlot fermé et l'enfant n'était donc pas visible de la rue, selon les images de la chaîne privée.

      leparisien.fr
     
     
  • Poutine : notre homme de l’année. Quand la géopolitique s’impose face au mondialisme

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    La rédaction de Métamag ♦

    Il n’est pas nécessaire d’approuver toute sa politique internationale pour cependant tomber d’accord sur l’essentiel. La vision du monde de Vladimir Poutine est la nôtre.

    C’est une vision géopolitique fondée sur l’histoire des nations, des peuples et des espaces de civilisation. Elle s’oppose totalement au mondialisme libéral voulant une démocratie universelle sans racines.

    Ce monde traditionnel a marqué des points contre le mondialisme pendant cette année 2016, essentiellement grâce à Vladimir Poutine. Même si on a du mal à penser qu’il a fait l’élection américaine, la victoire de Donald Trump est une victoire aux Usa de la vision du monde géopolitique et identitaire à la russe.

    Le tsar s’est imposé de l’Ukraine à la Syrie malgré la guerre économique que la finance mondiale lui mène au nom bien sûr des valeurs de la démocratie. L’ingérence humanitaire a vécu et la diplomatie à la française peut bien éructer, elle ne peut que se lamenter sur le sort de ses vaincus mais ne pèse en rien sur la victoire.

    Quand à la menace mondiale du terrorisme musulman, bras armé de l’islamisme radical à ambition universelle comme la démocratie atlantiste, ceux qui veulent éradiquer Daesh et ses clones ont un allié naturel dans le président russe. Certes il frappe les rebelles pour consolider Assad, appuyé par les chiites d’Iran et du Liban. Mais se faisant, il fait basculer le rapport des forces au détriment des fanatiques sunnites soutenus par les pétromonarchies du golfe.

    De son coté, le mondialisme version européenne ne cesse de reculer avec le Brexit ou l’émergence du groupe de Visegrad. Le mondialisme américain a été battu par Trump alors même que la présidence Obama marque un effacement réel de la démocratie arrogante et unipolaire.

    Dans le dernier numéro d’ «éléments», Alexandre Douguine l’explique avec clarté. « Poutine est devenu le grand obstacle pour les projets mondialistes qui sont aussi ceux du capitalisme…. Pour ceux qui aspirent à un monde multipolaire, il est le sauveur de la puissance continentale, de la Russie souveraine et d’une Europe indépendante »

    La droite Française majoritaire de Fillon à Marine Le Pen est devenue sensible au discours russe. Quand aux Usa l’équipe que Trump met en place sera Poutino compatible. Certes, chacun défendra ses intérêts et cela n’évitera pas les conflits ni les luttes d’influences. L’humanité a grandi dans la lutte perpétuelle. Mais les nations et les civilisations redeviennent le centre d’un grand jeu qui n’a jamais cessé. Il a été cependant camouflé par une vision moralisatrice des valeurs universelles portées avec cynisme et hypocrisie par les démocraties occidentales et atlantiques pour l’exclusif avantage financiers et économique des Usa et du système bancaire international.

    Notre ennemi c’est la finance apatride et sa vision mercantile et libérale du monde. Il faut y ajouter les médias qu’elle finance.

    Poutine est un vrai chef d’état dont la priorité est la grandeur de sa nation. Il était temps qu’un européen historique nous ramène à l’essentiel.

    METAMAG

  • Quand des élus fêtent hanouka, les ayatollahs de la laïcité restent muets

    http://www.medias-presse.info/quand-des-elus-fetent-hanouka-les-ayatollahs-de-la-laicite-restent-muets/67002/

    Lire les tweets!

  • Obama sanctionne Moscou en expulsant 35 agents russes

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      Publié le 29/12/2016 à 20h59

    Le président américain sortant répond ainsi à l'ingérence supposée de Moscou dans l'élection présidentielle de novembre dernier, qui a vu le candidat républicain Donald Trump l'emporter. Barack Obama précise que les sanctions ne s'arrêteront pas là.

    Les États-Unis ont montré leur agacement vis-à-vis de Moscou. Le président américain sortant, Barack Obama, a annoncé jeudi une série de mesures contre la Russie après son ingérence dans l'élection présidentielle américaine, déclarant notamment «persona non grata» 35 membres des services de renseignement russes. Ces sanctions sont une réponse à des efforts russes de «nuire aux intérêts américains», et le gouvernement fournira un rapport au Congrès dans les prochains jours sur les efforts de Moscou pour «interférer dans notre élection» présidentielle, a encore indiqué Barack Obama.

    » La Russie accusée d'avoir tenté d'aider Trump à remporter la présidentielle

    Les sanctions ne s'arrêteront pas là, a précisé le chef de l'État, qui quittera ses fonctions le 20 janvier, dans un communiqué, prévenant que les États-Unis prendront d'autres mesures «au moment que nous choisirons», «y compris des opérations qui ne seront pas révélées au public». Les 35 agents russes ont 72 heures pour quitter le territoire américain, a précisé le haut responsable de Washington. L'accès aux deux centres sera interdit à tout responsable russe à partir de vendredi midi, a-t-il ajouté. Le secrétaire d'État John Kerry en a déjà parlé avec Vladimir Poutine et le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov.

    La Russie accusée d'avoir tenté d'aider Trump à remporter l'élection

    Pour les autorités américaines en place, la question n'est plus de savoir si la Russie a interféré dans la campagne présidentielle, mais jusqu'à quel point. Dans une évaluation secrète que s'est procurée le Washington Post un peu plus tôt ce mois-ci, la CIA estime que des personnes liées à Moscou ont fourni au site WikiLeaks des emails piratés provenant des comptes de l'ancien directeur de campagne de la candidate démocrate Hillary Clinton, John Podesta, et du parti démocrate, entre autres.

    «La communauté du renseignement estime que l'objectif de la Russie était de favoriser un candidat par rapport à un autre, d'aider Trump à être élu», a indiqué au Washington Post un haut responsable. Le quotidien note toutefois que l'évaluation de la CIA est loin de constituer un rapport en bonne et due forme et un autre responsable cité par le Post note que le renseignement américain ne dispose d'aucune preuve montrant que des responsables du Kremlin auraient «ordonné» à des intermédiaires de transmettre les emails piratés à WikiLeaks.

    Le président américain avait déjà affirmé quelques semaines plus tôt que les États-Unis ne resteraient pas sans réagir. «Il est clair que si un gouvernement étranger, quel qu'il soit, tente d'entacher l'intégrité de nos élections, alors nous devons agir», avait plaidé Barack Obama. Moscou avait rejeté avec virulence ces accusations jugées «absurdes». «Il faut soit cesser d'en parler, soit apporter enfin des preuves. Sinon, tout ça est plus qu'indécent», a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov. La Russie a rejeté à plusieurs reprises les soupçons la visant, dénonçant des accusations «gratuites» et «non professionnelles», «non étayées par la moindre information ni preuve». Mais ces attaques informatiques inquiètent jusqu'en Europe où Berlin a dit craindre qu'elles viennent bousculer le jeu politique lors des législatives allemandes de 2017.

    Le FIGARO