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  • La lettre de Marine – 17 mars 2017

     

    Tribunes libres / 17 mars 2017 / Étiquettes : /
     

    Chers amis,

    Vous êtes de plus en plus nombreux à nous suivre et à apprécier cette lettre hebdomadaire. Merci pour vos retours et vos encouragements, qui font toujours très plaisir ; tous les soutiens et les mots gentils sont pour moi un surcroît d’énergie.

    J’ai commencé la semaine par une conférence sur le thème de la citoyenneté. J’ai eu l’occasion de dire à quel point il m’apparaît que la citoyenneté française est un honneur, et qu’il était vraiment regrettable de la galvauder aujourd’hui. J’ai précisé à cette occasion qu’il serait souhaitable d’organiser une consultation sur les conditions d’entrée et de séjour sur le territoire français, ainsi que sur l’acquisition de la nationalité française.

    C’est ensuite dans le Var que je me suis rendue, lors d’une réunion publique à Saint-Raphaël, à deux pas de la ville dont David Rachline est maire. J’ai d’ailleurs à cette occasion salué le travail remarquable qu’il accomplit dans sa municipalité. C’est aussi un excellent et dynamique directeur de campagne. L’accueil de la population varoise a été formidable. Lors de mon discours, j’ai tenu à développer mon projet sur deux thématiques essentielles et pourtant totalement oubliées par mes concurrents dans cette campagne : l’emploi et la lutte contre le terrorisme islamiste.

    Je continuerai, d’ici le scrutin, de faire connaître aux Français les engagements que j’ai pris et que je mettrai en oeuvre une fois à l’Elysée, avec autant de plaisir que je le fais depuis des semaines maintenant, et avec autant, j’en suis sûre, d’attention parmi les publics que j’ai le bonheur de rencontrer, un peu partout en France.

    Rendez-vous à Metz demain pour ceux qui le peuvent, nous y tenons un grand meeting.

    Et à toutes et à tous, bonne campagne !

  • Le procureur Molins détaille la chronologie des faits

    Le procureur de la République de Paris a fait le point sur les événements de Garges-lès-Gonesse et de l'aéroport d'Orly, conclus par la mort de Ziyed Ben Belgacem, abattu samedi matin par des militaires de l'opération Sentinelle.

    L'enquête sur Ziyed Ben Belgacem, l'homme abattu samedi matin à l'aéroport d'Orly (Val-de-Marne), progresse. L'homme qui avait tiré plus tôt dans la matinée sur un policier, avant de dérober un fusil Famas à une femme militaire de l'opération Sentinelle dans l'enceinte de l'aéroport, s'est révélé très défavorablement connu des services de police et de la justice.

     

    Âgé de 39 ans, français et domicilié à Garges-lès-Gonesse (Val-d'Oise), l'homme avait commis par le passé plusieurs vols à main armée et trempé dans le trafic de stupéfiants. S'il n'était pas fiché S, il avait toutefois été détecté comme radicalisé.

     

    A LIREQui est Ziyed B., l'assaillant abattu par les soldats de l'opération Sentinelle à Orly ?

       

    Presque douze heures après les faits, le procureur de la République de Paris, François Molins, s'est exprimé devant la presse pour faire le point sur l'enquête en cours. Une enquête pour tentative d’homicide sur personne dépositaire de l’autorité, tentative d’assassinat personnel, vol avec arme, association de malfaiteurs criminels en relation avec une entreprise terroriste a été ouverte.

     

    «Mourir par Allah». Les militaires ont retranscrit aux enquêteurs les propos de Ziyed Ben Belgacem au moment de la prise d'otage de la militaire : «Posez vos armes, mains sur la tête, je suis là pour mourir par Allah. De toute façon, il va ya avoir des morts», a-t-il lancé aux deux autres, pointant son revolver 9mm sur la tempe de la militaire. François Molins a précisé que l'assaillant avait été répéré «comme radicalisé (...) lors de ses passages en prison en 2011-2012».

     

    Une confrontation de deux minutes avec la militaire. Pendant plus de deux minutes, entre 8h22 et 8h25, Ziyed Ben Belgacem a tenté de s'emparer du Famas de la militaire. L'assaillant l'a attaquée arme de poing à la main droite et sacoche en bandoulière, l’a attrapée avec son bras gauche et lui a fait faire mouvement arrière, la positionnant comme bouclier, revolver sur la tempe, a rapporté le procureur. La troisième tentative des militaires de l'opération Sentinelle est finalement la bonne. Alors qu'il tentait de se relever, l'assaillant est abattu à 8h25. 

     

    Des munitions et un Coran dans son sac. Les enquêteurs ont trouvé dans son sac huit douilles de calibre 55 mm, cinq cartouches pour son pistolet à grenailles, 750 euros en espèces, un Coran, ainsi qu'un briquet et un paquet de cigarettes. Par ailleurs, à son arrivée dans le Hall A du terminal sud, il a jeté un sac dans lequel se trouvait un bidon d‘essence.

     

    Plusieurs points encore flous. L'enquête s'attache désormais à éclaircir les motivations de cette «fuite en avant dans la matinée qui va crescendo». François Molins espère obtenir davantage d'informations sur son parcours psychologique et ses fréquentations grâce à l'analyse de son téléphone portable, retrouvé dans le bar de Vitry (Val-de-Marne) où il s'est rendu dans la matinée après sa première altercation avec la police à Garges-lès-Gonesse (Val d'Oise). 

     

    Aucune preuve d'un séjour à l'étranger, d'éventuels complices ou d'une formation militaire n'ont été établis. 

     

    Le Parisien 

     

     

  • Attentat d'Orly: ce que l'on sait de l'homme abattu à l'aéroport

    http://www.francetvinfo.fr/faits-divers/ce-que-l-on-sait-de-l-homme-abattu-a-l-aeroport-d-orly_2103463.html

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  • Attentat jihadiste à Orly: l'assaillant a dit "Je veux mourir pour Allah !"

     

    • Mis à jour
    • Publié

    Le procureur de Paris François Molins vient de déclarer que l'assaillant de l'aéroport d'Orly, Zyed Ben Belgacem, avait déclaré lors de son agression d'une patrouille sentinelle : "Je suis là pour mourir pour Allah (...) Il va y avoir des morts".

    » Attaque à Orly : le profil de l'assaillant se précise

    Sa lutte avec la militaire à qui il est parvenu à s'emparer du fusil Famas a duré 2 minutes. "Il n'a pas lâché prise, la militaire a résisté, il a voulu aller au bout de ce processus destructeur", a dit Molins. L'homme a ensuite été abattu, plusieurs douilles ont été retrouvées sur place.

    L'homme a été à l'origine d'un "parcours violent et destructeur" samedi matin entre 06h55 en Seine-Saint-Denis où il tiré sur un policier à l'aide d'un pistolet à grenailles et l'aéroport d'Orly où il a été abattu à 08h25. Entre temps, à 07h16, il a appelé ses proches pour leur dire "J'ai fait une bêtise". Puis il s'est rendu dans un bar de Vitry-sur-Seine dans le Val-de-Marne où il a menacé les clients avant de rejoindre Orly.

    Trois personnes sont actuellement en garde à vue dans ce dossier : le père, le frère et un cousin de Ben Belgacem.

    » Attaque à Orly : un homme abattu après avoir agressé une militaire

    Le Figaro

  • Donald Trump souhaite supprimer la Culture du Budget 2018

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    C'était une promesse de campagne : le président américain réfléchit à la suppression des financements fédéraux qui soutiennent les milieux des arts, des chaînes de télévision et des radios publiques.

    Suppression totale du budget fédéral des télévisions et radios publiques américaines. Fin des aides pour le milieu artistique. Telles sont les propositions budgétaires de Donald Trump en matière de culture, comme il l'avait promis durant sa campagne électorale.

    Pourtant en 2016, les 445 millions de dollars donnés à l'audiovisuel public ne représentaient que 0,01% des dépenses de l'Amérique. Les subventions pour les milieux artistiques ne pesaient quant à elles, que 0,004% du budget fédéral. Soit 146 millions de dollars. Les États-Unis économiseront à peine un demi-milliard de dollars.

    Cette décision radicale semble surtout être un choix politique. La culture ne relève pas, selon Trump, de la sphère publique. En outre, les élus républicains reprochent souvent aux artistes d'être trop marqués «démocrates». Lors de la campagne pour la Présidentielle, la majorité du monde de la culture a soutenu la candidature d'Hillary Clinton à la Maison Blanche. Les artistes de toutes disciplines continuent de ne pas épargner le successeur de Barack Obama.

    Ce projet budgétaire doit encore être validé par le Congrès. Ce qui ne devrait pas être un problème pour Donald Trump: les deux chambres qui le composent sont acquises au parti républicain.

    Des chaînes de télévision menacées de fermeture

    Déjà, de nombreux intellectuels s'inquiètent de la potentielle inaccessibilité de la culture pour les populations les plus défavorisées, si les financements viennent à manquer. Selon une étude commandée par la corporation de la télévision publique en 2016, en effet, en cas de suppression totale des aides de l'État, «54 chaînes publiques et 76 stations de radio locales seraient obligées de fermer leurs portes».

    Par ailleurs, «Les programmes, développés par les musées et théâtres de taille modeste seraient en première ligne. Pourtant ce sont les moins coûteux», affirment des membres du Fonds national pour les arts (NEA). Les populations les plus pauvres, qui n'ont pas les moyens de s'offrir le câble ou le satellite, «seraient sans doute les plus touchées». Les musées de renom situés à New York ou Los Angeles par exemple, ne sont pas concernés. Ils comptent d'abord sur des financements privés pour se développer économiquement.

    Le Figaro

  • France Has Fallen!

    14 févier 2017

    Merci à Dirk

  • Costumes de luxe : "C'était un cadeau" déclare le "mécène" de François Fillon

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    Robert BOURGI, figure sulfureuse des réseaux de la Françafrique

    Les enquêteurs ont identifié Robert Bourgi comme le mystérieux mécène ayant offert à François Fillon deux costumes de luxe. 

    «C'était un cadeau». Après avoir démenti à plusieurs reprises ces derniers, jours, l'avocat Robert Bourgi a confirmé en ces termes avoir offert à François Fillon deux costumes Arnys à 13 000 euros, un don sur lequel la justice enquête depuis 24 heures. Quelques heures avant cette déclaration faite à BFMTV,  Le Monde révélait l'identité de ce généreux donateur, formellement identifié par les enquêteurs, qui se sont rendu «à deux reprises» dans la boutique où avaient été réglés ces costumes, dans le 7e arrondissement de Paris.

     

    Ils ont mis la main sur des documents attestant de la commande, le 7 décembre 2016, et du règlement, le 20 février, de deux costumes sur mesure par cette figure sulfureuse des réseaux de la Françafrique. Un patron aux mesures exactes du candidat LR a notamment été retrouvé, selon le journal du soir.

       

    C'est le JDD qui avait révélé le week-end dernier que François Fillon s'était fait offrir deux costumes pour un montant de 13000 euros chez Arnys, par un mécène que les enquêteurs auront mis une semaine à identifier. Soupçonnant un éventuel trafic d'influence, les juges en charge de l'affaire des emplois présumés fictifs de l'épouse et des enfants de François Fillon ont élargi leur enquête à cette affaire dite des costumes. 

      

      leparisien.fr

  • Une élue PS de l'Essonne condamnée pour des achats de vêtements avec de l'argent public

    http://www.leparisien.fr/evry-91000/evry-l-elue-ps-condamnee-pour-avoir-detourne-pres-de-13-000-eur-16-03-2017-6768834.php

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  • Méchantes écoles hors contrat !

     

     
     

     

    Un danger méconnu rôde sur la République, et il touche directement ce que le pays a de plus cher : ses enfants !

    Alors que le Service Public d’Education Nationale offre à tous un savoir indispensable, une formation de qualité et un cadre de travail idéal pour l’épanouissement des futurs citoyens aptes à consolider le vivrensemble dont la France est si fière, le tout pour un prix extrêmement modique, un nombre croissant de parents choisit d’inscrire sa progéniture dans des écoles hors contrat.

    Et là, c’est le drame, puisque les écoles hors-contrat ont la cote ! Cinq cent mille enfants échappent actuellement à la propag formation intellectuelle dispensée par notre Education Nationale Gratuite Grâce À l’Argent Des Autres, et se retrouvent scolarisés dans un des 1300 établissements vantant les mérites douteux d’une éducation confessionnelle (pour 23% des établissements) ou, pire encore, « alternative » à la sauce Montessori, Steiner, ou autre.

    Le problème est simple à comprendre, et horrible lorsqu’on l’a compris : ces écoles ne sont pas tenues de suivre les programmes officiels, minutieusement préparés par une Inspection Académique rigoureuse et dont les résultats ne permettent aucun doute quant à leur justesse et leur adéquation avec le monde qui nous entoure.

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    Mais il y a pire : les professeurs qui travaillent dans ces établissements de perdition ne sont pas fonctionnaires ! Impossible à la hiérarchie efficace, pointilleuse et si méticuleuse de l’Administration Française de l’Education Totale de faire pression lorsque l’individu commence à enseigner hors du canon officiel ! Impossible aux syndicats et aux associations lucratives sans but de parents d’élèves de manipuler le directeur de ces établissements pour l’obliger à conserver un professeur fautif contre son gré ou, a contrario, de le renvoyer malgré ses excellents états de service.

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    Or, tout indique que ces établissements fleurissent sans même que l’Etat ait un droit de regard sur leur ouverture : la loi pourtant garante du vivrensemble le plus républicain dans notre beau pays de miel et de lait n’impose qu’une simple déclaration pour la création d’un établissement d’enseignement. Les sévices contrôles ne sont organisés qu’après leur ouverture…

    L’angoisse règne donc en République du Bisounoursland. Elle a même gagné un cran supplémentaire à la récente publication par « Le Café pédagogique » d’un rapport réalisé en 2016 pour l’Académie de Versailles et qui montre d’ « inquiétantes dérives dans les écoles inspectées, notamment une faillite éducative bien réelle ». C’est abominaffreux puisqu’ici, on parle bien d’une faillite éducative non pilotée par l’Etat, on évoque bien une faillite éducative qui n’est pas due aux programmes délirants des pédagogos et autres instances consternantes de l’Education Nationale. On est ici de plain-pied dans la faillite éducative indépendante des services publics, entre adultes responsables et sur des enfants sous l’entière responsabilités de leurs parents.

    Le rapport est sans appel : sur une trentaine d’établissements hors contrats passées au crible à la suite de plaintes ou de dénonciations (la délation restant dans ce pays et avec la taxation, l’une des mamelles essentielles de ce vivrensemble qui a fait notre réputation), plusieurs ont montré – roulement de tambours – ne pas respecter le socle commun de connaissances.

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    NDF

  • Intervention d'Eléonore Bez au Conseil Régional : "Emploi en PACA : Estrosi est-il un Président de Région ou un directeur d'agence de pub' ? "

    Le 17.03.2017