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  • Poignées de main entre Trump et Macron

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    Le président  Emmanuel Macron et son homologue américain Donald Trump ont échangé une insolite poignée de main, ce jeudi, à Bruxelles, longue et appuyée, interprétée par certains comme un moment de diplomatie virile.
    Donald Trump est connu pour secouer le bras de ses visiteurs avec une puissante poignée de main, mais le dirigeant français, 39 ans, semble avoir refusé de se laisser faire. Sous l'oeil d'une caméra, avant un déjeuner de travail à l'ambassade américaine à Bruxelles, M. Macron a résisté pendant cinq secondes au président américain, mâchoire serrée, le regard planté dans celui de son homologue.
    Les deux hommes ont ensuite quitté les lieux pour leur déjeuner - tomate et mozzarella, veau, mousse au chocolat belge.
    Mais les deux présidents n'en avaient pas fini avec leurs jeux de mains.
    Quelques heures plus tard, au siège de l'Otan, Emmanuel Macron a encore été amené à serrer la main de Donald Trump.
    Sous le regard amusé des autres dirigeants, dont la chancelière allemande Angela Merkel et le secrétaire général de l'Otan, Jens Stoltenberg, le président américain, tout sourire, a alors ostensiblement tiré vers lui le bras du Français.
    Ce n'est pas la première fois que Donald Trump attire l'attention du monde avec sa poigne de fer, déjà remarquée après des rencontres avec les dirigeants japonais et canadiens.

     

     

     

     

     

     

  • Priorités : Après l’attentat-suicide, les musulmans de Manchester appellent à lutter contre… l’islamophobie

     
    Posted by La Rédaction on 25th mai 2017
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    BREIZATAO – ETREBROADEL (25/05/2017) Priorités. Les représentants musulmans de Manchester ont tenu à s’exprimer après l’attentat-suicide commis par un immigré libyen affilié à l’État Islamique.

    « Nous sommes inquiets à propos d’actes anti-musulmans dont nous avons été informés… Nous encourageons à poursuivre ces incidents comme actes haineux » a déclaré l’un des représentants musulmans de la ville.

     

    Se poser en victimes après un crime est une constante de la mentalité islamique.

  • Tableau de l'Ascension par Giotto

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    Fresque

    Giotto di Bondone  (1266-1337)

  • C’est l’Ascension!

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      Le jour de l’Ascension est important au point d’être classé par l’Église comme fête d’obligation. Cela signifie que les catholiques sont obligés d’assister à la messe ce jour-là. Mais pourquoi cet événement mystérieux, assez peu décrit dans les Évangiles, est-il essentiel pour l’Église ?

    Retour sur le texte. Saint Luc dit : « Tandis qu’il les bénissait, il se sépara d’eux et fut emporté au Ciel » (24, 51), et les Actes des apôtres ajoutent : « Et comme ils fixaient encore le ciel où Jésus s’en allait, voici que, devant eux, se tenaient deux hommes en vêtements blancs, qui leur dirent : “Galiléens, pourquoi restez-vous là à regarder vers le ciel ? Ce Jésus qui a été enlevé au ciel d’auprès de vous, viendra de la même manière que vous l’avez vu s’en aller vers le ciel.” » (1, 9-11)

    Le sens de l’Ascension se trouve dans les paroles des anges

    Mener sa vie dans le désir constant du Ciel, c’est être focalisé sur ses fins dernières, sur l’éternité, sur le Salut. C’est ce qu’ont fait les apôtres après l’Ascension. Pour Dieu, ils n’ont eu peur ni du martyre ni de la prison, « Car celui qui veut sauver sa vie la perdra » (Marc 8, 35). Pour les disciples, plus rien d’autre que le Ciel, ne comptait.

    À quoi ressemblerait notre vie si nous vivions dans la même optique que les apôtres après l’Ascension ? Tous nos malheurs ne seraient-ils pas de moindre importance ? Lorsque l’on fait face à un deuil, à une maladie, ou à une épreuve quelconque, et que l’on a la présence d’esprit de penser à Dieu et au Paradis, le poids de la souffrance ne diminue-t-il pas ? Les chrétiens ont pour patrie le Ciel, ils appartiennent au Ciel, que peut-il y avoir de plus rassurant, de plus réjouissant, et de plus important ? La Sainte Vierge, en dévoilant son identité aux enfants à Fatima en 1917, s’en est tenue à : « Je suis du Ciel »… Elle l’a dit comme si aucun nom ne pouvait mieux la décrire. Alors, toutes les choses du monde présent, souvent difficiles, parfois cruelles, ne semblent-elles pas futiles par leur caractère éphémère ? Pourrait-on dire que nous n’envions pas les apôtres d’avoir connu le Christ sur Terre, alors même qu’ils sont presque tous morts dans d’affreux martyres ? Nous ne le dirions pas, et ce toujours pour la même raison : ce qui compte, c’est le Ciel.

     

    Vivre les yeux rivés vers le Ciel est aussi une arme contre le péché

    En tant que chrétiens, nous appartenons à la communion des saints, à l’armée qui se bat contre Satan. Nous connaissons la gravité du péché car « Nul ne peut servir deux maîtres » (Matthieu 6, 24), et que « Celui qui n’est pas avec moi est contre moi » (Matthieu 12, 30). Le désir du Ciel permet de ne jamais perdre de vue ces réalités, à la différence de Lucifer et Ève, les deux premiers à les avoir oubliées.

    L’Ascension, ou l’annonce de la Pentecôte

    « Il déclara : cette promesse, vous l’avez entendue de ma bouche : alors que Jean a baptisé avec l’eau, vous, c’est dans l’Esprit saint que vous serez baptisés d’ici peu de jours. » (Actes 1, 4-5)

     

    Alors qu’à la Pentecôte les juifs fêtent la réception des dix commandements sur le Mont Sinaï, les chrétiens fêtent le don de l’Esprit saint, bien plus fort, car ne touchant pas l’intelligence, il touche le cœur. C’est alors l’occasion de se remémorer que l’on a reçu l’Esprit saint, par la confirmation pour les catholiques, et qu’il nous a donné ses sept dons (sagesse, intelligence, connaissance, conseil, force, amour du Père, crainte de Dieu). Avec lui, la vie peut être vécue main dans la main avec Dieu : « Mais, quand on vous livrera, ne vous inquiétez ni de la manière dont vous parlerez ni de ce que vous direz : ce que vous aurez à dire vous sera donné à l’heure même car ce n’est pas vous qui parlerez, c’est l’Esprit de votre Père qui parlera en vous. » (Matthieu 10, 19)

    Source

    DélitD'images

  • Le Cabinet de Ferrand explique l'embauche de son fils par l'illettrisme des jeunes Bretons

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    https://francais.rt.com/france/38835-ferrand-a-explique-embauche-fils-bretons

     

     

     

  • Carcassonne (11) : deux enfants brûlés par une attaque à l’acide dans une aire de jeux

     

    12h17

    Deux petits garçons de 4 et 7 ans ont été brûlés par une substance acide samedi, alors qu’ils avaient utilisé une aire de jeux à Carcassonne.

     

    Deux enfants de quatre et sept ans se sont plaints à leurs parents de brûlures aux mains samedi, après avoir passé une partie de l’après-midi dans une aire de jeux à Carcassonne, rapporte Midi Libre.

    Les deux petits garçons, qui habitent à Trèbes et Carcassonne, ont été transportés aux urgences du centre hospitalier de Carcassonne. Les soignants ont relevé des brûlures au second degré.
    Plusieurs jeux touchés par le produit

    « Le produit était présent sur plusieurs jeux, ce qui laisse croire que l’intention de nuire était délibérée », a indiqué l’adjoint en charge de la sécurité Yazid Laredj.

    (…)

    Le Dauphiné

    NdB: Quelle peut être l'immonde vermine qui a fait cela pour brûler des enfants?

  • Haute-Savoie : une collégienne en danger de mort après avoir été aspergée d'un liquide inflammable par une camarade

     

    Les faits se sont produits durant la récréation de 10 heures. La victime se trouvait dans le coma mercredi soir. Une enquête pour tentative d'assassinat a été ouverte.

     

    Mis à jour le
    publié le

     
     

    Une élève de troisième, âgée de 15 ans et scolarisée à Annecy (Haute-Savoie), a été aspergée d'un liquide inflammable par une camarade de classe, mercredi 24 mai. Grièvement brûlée, elle a été placée dans le coma, mercredi soir, et son pronostic vital est engagé. En fin de journée, le ministre de l'Education Jean-Michel Blanquer a indiqué que son état s'était "détérioré". Le parquet d'Annecy a ouvert une enquête pour "tentative d'assassinat" et l'agresseuse a été placée en garde à vue.

    Les faits se sont produits lors de la récréation de 10h. Les deux jeunes filles de 15 ans se sont retrouvées à l'écart quant l'une d'elles a aspergé l'autre de liquide inflammable avant d'y mettre feu à l'aide d'un briquet. 

    "Elles étaient tout le temps en conflit"

    "Elle est passée à côté de moi en flammes, j'étais tétanisée", raconte une élève témoin de la scène à France Bleu Pays de Savoie. Des membres du personnel de l’établissement "sont immédiatement intervenus pour éteindre les flammes", précise le collège dans un communiqué. Un assistant d’éducation a été lui-même brûlé. Grièvement brûlée au visage et au dos, la victime a été transportée au centre des grands brûlés de Lyon, l'hôpital Edouard Herriot.

    Les deux adolescentes étaient en conflit depuis plusieurs semaines. Elles avaient été convoquées avec leurs parents, un mois plus tôt, par le principal du collège "Le Semnoz", qui pensait alors le problème résolu entre les deux élèves. "Elles étaient tout le temps en conflit, mais ne s'étaient jamais battues", confirme la maire déléguée de Seynod, commune qui a fusionné avec Annecy et où se sont déroulé les faits. "C'était tendu, mais de là à brûler..."

    L'agresseuse présumée placée en garde à vue

    L'auteure présumée de l'agression a été interpellée peu après avoir quitté l'établissement, et placée en garde à vue. Elle passera une nuit en cellule de garde à vue, où "elle sera particulièrement surveillée", a assuré la procureure d'Annecy. L'enquête a été ouverte pour tentative d'assassinat, car elle avait introduit le liquide inflammable dans l'établissement, marque d'une préméditation.

     

    Une cellule d'urgence médico-psychologique a été mise en place pour prendre en charge élèves et adultes. Elle sera maintenue "aussi longtemps que nécessaire", a assuré le ministre de l'Éducation nationale Jean-Michel Blanquer, qui a fait part de sa "très grande émotion".

     NdB: Le vivre-ensemble ?

  • Jérôme Rivière : « La priorité, c’est celle de l’identité de la France »

     

     

    24/05/2017 – FRANCE (NOVOpress) : Après avoir été député UMP de 2002 à 2007, Jérôme Rivière a soutenu Philippe de Villiers pour la présidentielle de 2007 puis pour les européennes de 2009, pour finalement se rapprocher du Front national, qui l’a désigné comme l’un des ses porte-parole pour les élections législatives et lui a accordé son investiture dans la 6e circonscription du Var. Spécialiste reconnu des questions de Défense, il est aussi celui qui avait réclamé, comme député UMP, la suppression de l’Aide médicale d’Etat et avait réussi à imposer l’enseignement de La Marseillaise au primaire.

    Interrogé par TV Libertés, Jérôme Rivière insiste sur le rôle des députés dans la limitation de l’immigration et dans le combat contre l’islamisation, raisons pour lesquelles le Front national doit absolument disposer d’un groupe à l’Assemblée nationale. Il est bien placé pour expliquer que les dirigeants de la droite « ne représentant plus les valeurs que défendent leurs électeurs » et que c’est désormais le FN qui défend ce à quoi croit cet électorat.

     

  • Rencontre chaleureuse entre le pape François et Donald Trump

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    Donald Et Melania Trump avec le pape François, ce mercredi. Crédits photo : Evan Vucci/AP

    Le communiqué officiel, publié en fin de matinée par le Vatican, après la rencontre entre le pape et le président américain a insisté sur la bonne qualité des relations bilatérales entre les États-Unis et le Saint-Siège. Mais également sur leur « engagement commun en faveur de la vie, de la liberté religieuse et de conscience »

    Envoyé spécial au Vatican

    En prenant congé du pape François, mercredi 24 mai au Vatican, le président américain Donald Trump qui le rencontrait pour la première fois lui a promis de lire les trois encycliques que le chef de l'Église catholique venait de lui offrir. Dont l'encyclique «Laudato Si» consacrée à l'écologie… Même si ces deux responsables ne sont effectivement pas d'accord sur ce thème. Il ne figurait d'ailleurs pas dans le compte rendu final…

    Le communiqué officiel a insisté quant à lui, sur trois points: en premier lieu, la défense de «la vie» puis «l'assistance aux immigrés» avec l'aide, aux États-Unis, de l'Église catholique américaine. Et enfin «la protection des communautés chrétiennes» du Moyen-Orient, une région du monde que le président américain venait de visiter.

    » LIRE AUSSI - Les relations ambiguës des catholiques américains avec Donald Trump

    Tout en remettant ses encycliques dont celle sur l'écologie, François a donc rappelé: «cette encyclique porte sur le soin de notre maison commune, l'environnement». Donald Trump lui a alors assuré: «Je vais les lire»!

    Les deux hommes concluaient ainsi de manière nettement plus chaleureuse qu'à son début, leur entretien de trente minutes en tête à tête dans la prestigieuse bibliothèque papale où ils furent seulement assistés de deux traducteurs. Ni le pape ne parle anglais, ni Donald Trump, l'espagnol.

    Avant de se séparer, François a également offert une édition spéciale de son «message pour la paix 2017» - publié chaque année pour le 1er janvier. Il l'avait tout spécialement dédicacé pour son hôte américain, «je l'ai personnellement signé pour vous» a-t-il confié. Le pape lui a alors également remis une petite sculpture symbolisant la paix. «Je vous la donne pour que vous soyez un instrument de paix» a-t-il glissé au président qui a acquiescé «nous avons bien besoin de paix…» En échange, le président américain a offert au pape les ouvrages de Martin Luther King.

    «Merci, je n'oublierai pas ce que vous avez dit»

    Le président américain qui avait commencé la visite par un très protocolaire «c'est un grand honneur» d'être reçu l'a alors conclue par un sourire qui paraissait moins de circonstance. Comme s'il avait été sensible à la chaleur de cette rencontre. Ce qui pourrait expliquer ce dernier mot, adressé par Donald Trump à François, «Merci, merci, je n'oublierai pas ce que vous avez dit».

    Le communiqué officiel, publié en fin de matinée par le Vatican, a donc insisté sur la qualité des «bonnes relations bilatérales» entre les États-Unis et le Saint-Siège. Mais également sur leur «engagement commun en faveur de la vie, de la liberté religieuse et de conscience». Il est notable - et c'est l'un des éléments qui restera de cette visite - que la question de la défense de «la vie» ait été citée en tout premier lieu.

    Le document a ensuite souhaité qu'une «collaboration sereine» s'établisse entre l'État et l'Église catholique des États-Unis qui est «engagée au service des populations dans les domaines de la santé, de l'éducation et de l'assistance aux immigrés».

    Le texte relate enfin de manière plus classique, «un échange de vues» sur «l'actualité internationale et la promotion de la paix dans le monde» mais il pointe - c'est une question cruciale pour l'Église - le moyen d'y parvenir qui doit intégrer les politiques et les religions. La promotion de la paix passe donc «par la négociation politique» mais aussi, et avec la même importance, «par le dialogue interreligieux».

    L'objectif de la «protection des chrétiens» de Terre sainte

    Quant à la priorité de ce travail commun pour la paix, il concerne «tout particulièrement la situation du Moyen-Orient et la protection des communautés chrétiennes». Une mention finale qui n'est pas un détail. Elle restera car elle représente une avancée pour la diplomatie du Vatican. En effet, le concept de «protection des communautés chrétiennes» n'apparaissait pas aussi nettement lors des deux mandats du président Obama. Jusque-là, l'objectif de la «protection des chrétiens» de Terre sainte était plutôt l'un des apanages de la politique russe au Moyen-Orient.

    Pour sa part, dans un communiqué, le président Trump a fait savoir que la rencontre avait permis de voir comment «travailler ensemble pour combattre le terrorisme» et «protéger la liberté religieuse». Le président ayant informé le pape qu'il dégageait» plus de 300 millions de dollars» pour lutter contre la famine au Yemen, Soudan, Somalie et Nigeria

    La fin de l'entrevue papale s'est poursuivie par une rencontre de 50 minutes - plus technique et axée sur la géopolitique - avec le premier ministre du Saint-Siège, le cardinal Pietro Parolin, Secrétaire d'État accompagné de Mgr Paul Richard Gallagher, son ministre des affaires étrangères.

    Mais avant de quitter François, le président américain a présenté toute sa délégation à François. Dont son épouse Melania, et sa fille Ivanka - toutes deux portaient mantilles sur la tête - et son gendre et conseiller spécial, Jared Kushner. De tous, Ivanka est apparue la plus émue. Elle a d'ailleurs salué longuement François et avec beaucoup de déférence.

    La famille a conclu ces quelques heures dans la Cité du Vatican par une visite de la chapelle Sixtine et de la basilique Saint-Pierre. Melania Trump a ensuite visité l'hôpital catholique pédiatrique «Bambino Gesu» où après avoir salué des enfants malades, elle a pris un temps de prière, seule et à sa demande, dans la chapelle de l'hôpital.

    Après cette visite religieuse Donald Trump a salué le président italien, Sergio Matterella et son premier ministre Paolo Gentiloni. L'avion présidentiel des États-Unis était attendu en fin d'après-midi en Belgique.

    Le Figaro

  • Attentat de Manchester: le frère de l'auteur présumé était au courant du projet d'attentat

     

    Mis à jour le
     
     
     Le frère de l'auteur présumé de l'attentat de Manchester a admis après son arrestation avoir été au courant de la préparation de l'attaque et être lui aussi membre de l'organisation Etat islamique.