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  • Le lion blanc

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  • La honte! Espagne: un taureau se suicide contre un poteau après que des hommes ont enflammé ses cornes

     

    Une fois détaché, l'animal a foncé en direction d'un poteau, se tuant sur le coup.

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    franceinfoFrance Télévisions

    Mis à jour le 
    publié le 

    Un taureau est mort lors d'une fête traditionnelle à Foios, près de Valence (Espagne), comme le montre une vidéo diffusée le dimanche 23 juillet sur Facebook. Sur les images, on voit la bête s'agiter, attachée à un poteau avec une corde, alors que ses cornes ont été enflammées. Puis l'animal se libère, s'écarte de quelques mètres puis fonce en direction du poteau, se tuant sous le regard de plusieurs centaines de personnes.

    Une pétition pour interdire cette pratique

    C'est lors d'une fête traditionnelle appelée "Toro embolado" ("Taureau avec des boules"), que l'animal est mort. L'association de défense des animaux Bulls Defenders United a ensuite diffusé les images sur le réseau social. Une pétition adressée au gouvernement espagnol a également été lancée sur internet. Samedi 29 juillet, à 10 heures, elle avait recueilli plus de 5 000 signatures.

    Le débat sur l'interdiction de la corrida, une autre tradition torrine, prend de l'ampleur en Espagne. Plus de 1 800 corridas ont lieu par an en Espagne et 40 000 taureaux meurent chaque année en Europe. 

  • Patrice Quarteron brandit le drapeau français : il se fait traiter de «facho», «traître» et «bounty»

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    15h49

    Drapé dans les couleurs de la France après sa victoire en boxe Muay thai, l’athlète Patrice Quarteron (né à Sevran, 93) s’est attiré les foudres d’une partie des réseaux sociaux, qui l’ont qualifié de « traître » et de « bounty». Pour Fatiah Boudjahlat, cela révèle la haine de la France d’une partie des enfants d’immigrés. Fatiha Boudjahlat est cofondatrice avec Céline Pina du mouvement Viv(r)e la République. Elle est aussi l’auteur de l’essai à paraître aux éditions du Cerf : « Féminisme, tolérance, culture: Le grand détournement. »

     

    La violence se déchaîne parce qu’il est noir. Et un bon noir, un vrai noir digne, qui s’assume, ou un bon arabe n’est pas censé aimer la France sauf à avoir une mentalité d’esclave.

     

    Patrice Quarteron a remporté une victoire importante dans la discipline de boxe Muay thai. Il a exprimé une joie légitime, en se revêtant du drapeau français. Mais selon ses détracteurs qui se sont déchaînés sur les réseaux sociaux, il a eu le tort de mêler les couleurs nationales à sa victoire, il a eu le tort d’afficher et de verbaliser son patriotisme. Il leur a répondu par un post des plus intéressants: «Quand vous portez un drapeau d’un pays où vous ne vivez pas, on vous dit «bravo, j’adore, c’est courageux, c’est un signe d’ouverture’. Quand on porte le drapeau du pays dans lequel vous vivez, où vous payez vos impôts, avec lequel vous souffrez, aimez, combattez, on vous dit: ‘t’es un chien, un putain de facho’. Je porte mon drapeau fièrement. Et j’emmerde les fils de putes qui préfèrent se sentir américains, marocains, russes etc tout ça parce qu’ils vont en vacances une semaine dans un autre pays et reviennent en se sentant étrangers à leur propre pays. Soyez patriotes et reconnaissant. Vous devez tout à la France.» Le ton virulent est propre aux réseaux sociaux, il est aussi dû au caractère de ce sportif, ainsi qu’à la nature et à la véhémence des insultes essuyées.

    Afficher les couleurs nationales, aimer son pays, assumer sa fierté d’être français ont valu à Patrice Quarteron de se faire traiter de facho, mais aussi, et il y a plus à en dire, de «bounty» et de traître. Ces insultes sont devenues classiques quand il s’agit de désigner les enfants d’immigrés bien dans leurs baskets françaises et aimant la France. Elles sont complétées par celles de «harki», de «collabeur», de «nègre de maison», termes dont j’ai été moi-même gratifiée. Elles renvoient à une trahison supposée: celle de son vrai pays, celui des origines, au bénéfice de son faux pays, celui où l’on vit. Elles sont les manifestations des métastases indigénistes et gauchistes de l’identité qui n’ont rien à leurs symétriques identitaires. […]

    La nostalgie entretenue par les parents et par les pairs se vit sur le mode du combat, du conflit de loyauté. Cette volonté obsessionnelle de déraciner ces enfants est pourtant «la plus dangereuse maladie des sociétés humaines.» . Ce n’est pas anecdotique, c’est politique et c’est donc emblématique. Ceux là-mêmes qui voient du nationalisme quand il s’agit du drapeau français ne sont en rien gênés par l’esprit cocardier de ces jeunes, pourvu qu’il se fasse au bénéfice d’un pays autre que la France. Ce n’est donc pas le patriotisme en lui-même qui est rejeté, c’est la France. J’ai pris l’habitude d’exiger de ces élèves qu’ils dessinent ou affichent un drapeau français de la même dimension que celui dessiné. Autant il est difficile de leur faire verbaliser le fait qu’ils sont français et que la France mérite tout autant d’être respectée et aimée que les pays du bled, autant ils réalisent combien leur attitude pose problème quand on inverse les pays: si une personne née et vivant en Algérie d’origine Française n’affichait que le drapeau français, clamait qu’elle n’était pas Algérienne, ne cessait de critiquer l’Algérie, tout cela en y vivant, comment régiraient les Algériens? Mal, les élèves en conviennent. […]

    Le Figaro>/a>

    Merci à Lilib

     

     

  • Liverpool : 3 musulmans agressent sauvagement des passants parce qu’ils sont « blancs » et « non-musulmans »

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    12h47

    Une bande de jeunes musulmans ont traversé le centre-ville de Liverpool et ont attaqué plusieurs individus parce qu’ils étaient des «non-musulmans blancs».

     

    Trois jeunes hommes ont appréhendé plusieurs personnes dans les rues de Liverpool, l’un demandant aux gens leur religion. Ils les ont frappés à plusieurs reprises s’ils n’étaient pas musulmans – en riant pendant qu’ils filmaient les assauts.

    Gary Bohanna, un témoin choqué, a cru que Amin Mohmed, 24 ans, Mohammed Patel, 20 et Faruq Patel, 19 ans, étaient des terroristes de Daech en raison de la férocité de leurs coups et de ce qu’ils disaient. Il a suivi le gang, l’un des agresseurs lui a demandé : «Je suis musulman, qu’est-ce que vous êtes?», Il a répondu «Je suis chrétien».

    L’assaillant a alors crié: «Pourquoi n’êtes-vous pas musulman?» Avant de le frapper deux fois, en cassant ses lunettes et en faisant une coupe de 2 cm au-dessus de son oeil gauche.

    Mohammed Patel, l’un des trois enragés racailles, a confirmé que les victimes étaient «ciblées parce qu’elles étaient blanches et non musulmanes».

    Metro.co.uk

    Merci à Franc E

  • Toulouse - Meurtre de Cintia, 21 ans : « Elle ne méritait pas ça, c'était quelqu'un de gentil »

     

    Faits divers

    La victime avait emménagé récemment dans le quartier Arnaud-Bernard. / DDM Thierry Bordas
    La victime avait emménagé récemment dans le quartier Arnaud-Bernard. / DDM Thierry Bordas

    Le calme est revenu dans le quartier Arnaud-Bernard à Toulouse. Ce samedi, seul un reste de ruban à scellés témoigne du passage de la police. Une armada de policiers a investi un appartement du quartier jeudi 27 juillet lors de la découverte du corps de Cintia, 21 ans.

    La jeune femme a été retrouvée égorgée à l’aide d’une arme blanche plusieurs jours après le crime. Autre détail glaçant : son visage présentait des traces de coups très violents. D’origine angolaise, elle avait emménagé récemment et était peu connue dans le quartier.

    Une de ses amies de lycée souhaitant rester anonyme se souvient d’une fille « très menue, discrète et agréable ». « Elle n’était pas le genre de filles à s’emporter. On s’est vues en ville il y a une dizaine de jours, elle allait bien, n’avait pas de problèmes particuliers. Elle avait réussi à trouver un travail de femme de ménage, ça avait l’air de bien se passer. Quand quelque chose n’allait pas, elle m’en parlait », raconte-t-elle.

    Depuis qu’elle a appris l’affreuse nouvelle, cette Toulousaine de 19 ans est sous le choc. « Elle ne méritait pas ça. C’était vraiment quelqu’un de gentil », dit-elle les larmes aux yeux.

    « Avant, c'était une zone de non-droit »

    Karima, une commerçante du quartier, se dit, elle aussi, très choquée. « C’est un quartier où il y a beaucoup de passage mais on ne se sent pas en insécurité. Ça fait 38 ans que je travaille ici, je n'ai jamais eu de problème ! »

    Pour Étienne, gérant d’un hôtel place des Tiercerettes, si l’insécurité est toujours une réalité, les choses se sont bien améliorées depuis quelques années. « Avant c’était une zone de non-droit, mais depuis trois ans il y a une amélioration. Même s’il y a encore du trafic de drogue, la municipalité a fait des efforts, en installant notamment des caméras de vidéosurveillance. »

    « Côté bruit et insécurité, c'est bien mieux que quand j'y vivais il y a quelques années  », confirme Simon, un jeune Toulousain. Pour d'autres, comme Julien en revanche, le quartier est mal fréquenté et bruyant. « Le gros avantage reste l'emplacement en centre-ville », déclare-t-il.

    Du côté de l’enquête, le Parquet précise que « beaucoup d’éléments sont en cours d’investigation ». Pour le moment, aucun suspect n’a été interpellé.

  • Le titre "innocent" de Santé Magazine !

    https://www.egaliteetreconciliation.fr/Le-titre-innocent-de-Sante-Magazine-Ou-faire-l-amour-a-plusieurs-cet-ete-46939.html

    Pas question de faire du voyeurisme en dénonçant les petits cochons qui s’amusent avec leur popo.

    Il s’agit ici de montrer comment les médias, depuis 40 ans (la libération sexuelle date de 1975, année de l’autorisation de l’avortement, mais c’est une coïncidence), font avancer le progressisme en faisant reculer les dernières barrières de l’intimité.

    Il y a un double avantage pour le Système : un, faire de l’argent avec les nouveaux comportements et deux, éclater la famille en individus consommateurs.

    Conclusion : la fidélité est un obstacle au progrès !

    - La rédaction d’E&R -