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  • Brigitte Macron : un statut qui fait grincer des dents

    http://www.bfmtv.com/mediaplayer/video/premiere-dame-un-statut-qui-fait-grincer-des-dents-966865.html

    NdB: "Transparence, transparence, est-ce que j'ai une gueule de transparence? "

  • Toulouse : depuis presque un an, des "migrants" dorment dans la cour de leur immeuble

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    Luc Fournier envisage de fermer la cour avec un cadenas même s’il n’a « pas le droit »./DDM, N. Saint-Affre
     

    Ils se disent « exaspérés ». Depuis des mois, voire un an, des résidents de plusieurs immeubles de l’avenue Étienne-Billières, à Toulouse, sont confrontés à la présence de migrants qui dorment dans la cour. « Au début, c’était une tente ou deux. Maintenant, c’est un vrai campement », explique Luc Fournier, président du conseil syndical des résidents.

    Chaque matin, les vestiges de la nuit traînent sur le petit carré de pelouse. Poubelles, couvertures, tentes mais aussi, de très fortes odeurs fécales ou d’urine sont devenues récurrentes. « Le jeune homme qui habite en rez-de-chaussée va péter un plomb un jour », craint Luc Fournier. Identifié par la municipalité et la préfecture, le campement de l’avenue Étienne-Billières n’est pas simple à gérer.

    D’une part, parce que ces personnes, en majorité des Roms d’Albanie, ne sont jamais les mêmes. Certaines sont relogées, d’autres arrivent. La proximité du Service d’information, d’accueil et d’orientation (SIAO) relevant du Centre communal d’action sociale (CCAS) pourrait en partie expliquer l’installation de ces migrants. « Ce n’est pas de la faute des employés du CCAS, ils subissent une pression constante et doivent s’occuper de tous les cas sociaux de la ville », glisse Nicole Folch, une habitante complaisante mais qui a « besoin d’une solution ». « Je n’ai aucune hostilité contre ces personnes, bien au contraire. Ils me saluent, me sourient… J’apporte de l’eau, des fruits ou des sandwichs aux femmes enceintes et aux enfants en bas âge quand il fait trop chaud mais ça ne peut pas durer ainsi. Pour eux, comme pour nous. »

    Une servitude de passage

    L’autre pan du problème concerne le « statut » de ladite cour. « Il y a une servitude de passage avec la rue Adolphe-Coll », signale Luc Fournier. Un portail a bien été installé par la municipalité mais il reste en permanence ouvert. Seul un panneau évoque la possibilité de le fermer la nuit. « Ce qui ne rimerait à rien puisqu’ils sont déjà là ! », estime Nicole Folch. « C’est une situation ubuesque ! Il suffirait pourtant qu’ils le ferment avec un code à communiquer aux résidents », poursuit la retraitée.

    D’autant que selon eux, le passage tout proche de l’église de la Patte-d’Oie suffit amplement pour les piétons qui souhaitent faire la jonction entre la rue Adolphe-Coll et l’avenue Étienne-Billières. Qu’à cela ne tienne, Luc Fournier a acheté un cadenas. « La mairie me dit qu’elle n’est ni pour, ni contre », explique-t-il. Dernièrement, un courrier a par ailleurs été adressé à Jean-Luc Moudenc, le maire. Ce week-end, la police nationale est même intervenue.

    « Il s’agit de demandeurs d’asile primo-arrivants qui doivent être pris en charge par l’État avec qui nous sommes en relation permanente », note Daniel Rougé, adjoint au maire à la coordination des politiques de solidarité et des affaires sociales. « La municipalité cherche à sécuriser les lieux, peut-être en fermant le portail, et réfléchit à des mesures de protection et d’évacuation. Il faut qu’on prenne ces personnes en charge de manière plus structurante dans les prochains jours », assure l’élu. La préfecture indique pour sa part « avoir proposé une solution d’hébergement en hôtel à 40 personnes ».

  • Un général italien explique comment régler l’invasion migratoire en quelques jours

     

    Journaliste

    Ancien directeur des rédactions de l’Agence Gamma

     
     
     
     

    Il y a, en ce moment, un général qui fait beaucoup parler de lui en Italie. Non pas qu’il ait démissionné puisqu’il est à la retraite après avoir commandé l’armée de l’air dont il est l’un des pilotes les plus décorés, mais parce qu’il s’est déclaré très préoccupé par l’invasion migratoire.

    Le général de corps d’armée Vincenzo Santo n’a pas hésité à répondre ce que personne n’avait jamais osé imaginer lorsque le journaliste du quotidien LiberoIl Giornale – lui a demandé si l’immigration était un phénomène historique qu’il était impossible d’arrêter.

    « Il suffit d’utiliser l’armée pour la mission qui est à l’origine de sa création, celle de défendre nos frontières. Il est tout à fait possible de mettre le holà à cette immigration désordonnée et massive. En quelques jours, l’armée italienne pourrait y mettre fin. »

    Ce soldat très étoilé n’est pas n’importe qui. Il fut numéro deux de l’OTAN en Afghanistan, ancien chef d’état-major de l’ISAF (International Security Assistance Force/Force internationale d’assistance à la sécurité) et, à 71 ans, il est vice-président de l’Institut des affaires internationales, le think tank le plus en vogue en Italie. Il collabore également à l’un des plus importants sites d’information sur la défense et a des relations militaires dans de nombreux pays. Il est, en France, chevalier de l’ordre national du Mérite. Il explique comment il voit l’implication de l’armée italienne dans ce combat pacifique mais indispensable qu’il faut mener contre cette véritable invasion des côtes européennes.

     

    « Nous avons les outils pour contrôler la côte libyenne sans y poser le pied. Les routes migratoires qui nous concernent convergent vers Tripoli. La zone à contrôler est beaucoup plus petite que ce que vous pensez. Tout d’abord, nous devons mettre en œuvre le blocage des navires ONG pour les empêcher de pénétrer dans les eaux libyennes. En même temps, nos forces spéciales captureront les trafiquants et les conduiront en prison. Bien sûr, il n’est pas question d’attendre les autorisations des organismes internationaux ni de respecter la souveraineté nationale de la Libye ou d’un autre pays. N’oublions pas que la nôtre est violée chaque fois qu’un navire ou qu’un canot débarque sur nos rivages sa cargaison humaine. »

     

    La révolte gronde dans l’armée, les douanes et la population qui n’en peut plus de voir débarquer par dizaines de milliers ces migrants venus d’Afrique, très rarement avec des femmes, qui envahissent villes et villages avant de se disséminer à travers l’Europe, vivant dans des conditions d’hygiène indignes et dangereuses. « Comment peut-on avoir confiance dans nos institutions quand un migrant qui a poignardé à Milan un policier est aussitôt relâché ? ». Et le Général Santo d’expliquer qu’il est facile d’imaginer la frustration de ceux qui sont quotidiennement sur la route pour assurer la sécurité des citoyens.

    La création de camps en Libye ne résoudra rien tant qu’y régnera la confusion politique et la présence de djihadistes. « En outre, pour des raisons humanitaires, nous ne pouvons confier aux Libyens la gestion de camps éventuels qui devraient être créés et financés en Tunisie et en Égypte, et peut-être en Algérie. » Et ce général hors normes d’évoquer le problème des clandestins dont il croit nécessaire de les arrêter afin de les réexpédier par avion vers leurs pays d’origine, et pour ce faire, « il faut bien entendu augmenter nos forces de police »

    « Il faut confier aux policiers la mission de retrouver ces clandestins afin de les mettre à la disposition des diverses autorités consulaires, dans le but de procéder à leur identification, même s’ils ont fait disparaître leurs documents et prétendent qu’ils ont été volés ou retenus par les trafiquants afin de rendre plus difficile la recherche de leur pays d’origine. Mais je suis convaincu que si l’on veut remonter à la nationalité du clandestin, on réussit toujours. »

    Qu’il nous serait agréable de rêver que quelques-uns de nos courageux généraux se mettent à s’exprimer comme le général Vincenzo Santo !

    BV

  • L'allocution hebdomadaire du président Trump au peuple américain

    https://www.egaliteetreconciliation.fr/SuperTrump-no26-Nous-erigerons-beautes-et-merveilles-de-nos-propres-mains-46940.html

    NdB: ce n'est pas Macron qui nous parlerait ainsi...

  • Un autre grand "rosé" !

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  • Le rosé de Provence, roi de l'été partout dans le monde

    Dimanche 30/07/2017 à 15H20
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     Depuis le tournant des années 2000, le rosé a posé la Provence sur la carte mondiale du vin et a évité en bonne partie à ses viticulteurs la crise économique qui a étrillé le Bordelais, le Languedoc ou les côtes-du-rhône

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    "Il y a vingt ans à Bordeaux, j'étais à table avec des propriétaires de grands crus. Y en a un qui me demande "Alors donc vous êtes vigneron ? Où ça ?". Quand je lui ai répondu "En Provence", il a tourné sa chaise vers sa voisine et je n'ai plus vu que son dos de toute la soirée... Maintenant si j'explique que j'ai des vignobles en Provence, presque on me ferait les pompes..." L'anecdote hâbleuse est bien dans le style d'Olivier Sumeire, vigneron de château Coussin, dans les Bouches-du-Rhône et président des côtes de provence sainte-victoire. Mais elle dit aussi tout le chemin parcouru ces dernières années par cette partie du vignoble hexagonal. Jusqu'au début des années 2000 regardés comme les producteurs d'une gentille piquette qui n'était buvable que l'été au bord de la piscine de l'hôtel, les vignerons provençaux ont depuis fait leur mue. Voire leur révolution. Et cette dernière a une couleur : rose pâle. Ils ont inventé d'un seul coup un nouveau type de vins, vifs, sur le fruit et sans lourdeur, et un fleuron viticole français de plus. Pour le monde entier désormais, le rosé est provençal. Et si l'on entend encore dans quelques salons où l'on cause la sentence aussi éculée que vide de sens "Le rosé, c’est pas du vin, mon bon monsieur !", le marché, lui, a depuis longtemps choisit son camp et validé les choix des vignerons d'ici.

    "La Provence doit devenir le champagne du rosé"

     

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    Le rosé de Provence, roi de l'été partout dans le monde

    Dimanche 30/07/2017 à 15H20
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    Depuis le tournant des années 2000, le rosé a posé la Provence sur la carte mondiale du vin et évité en bonne partie à ses viticulteurs la crise économique qui a étrillé le Bordelais, le Languedoc ou les côtes-du-rhône

    Économie - Le rosé de Provence, roi de l'été partout dans le monde


    "Il y a vingt ans à Bordeaux, j'étais à table avec des propriétaires de grands crus. Y en a un qui me demande "Alors donc vous êtes vigneron ? Où ça ?". Quand je lui ai répondu "En Provence", il a tourné sa chaise vers sa voisine et je n'ai plus vu que son dos de toute la soirée... Maintenant si j'explique que j'ai des vignobles en Provence, presque on me ferait les pompes..." L'anecdote hâbleuse est bien dans le style d'Olivier Sumeire, vigneron de château Coussin, dans les Bouches-du-Rhône et président des côtes de provence sainte-victoire. Mais elle dit aussi tout le chemin parcouru ces dernières années par cette partie du vignoble hexagonal. Jusqu'au début des années 2000 regardés comme les producteurs d'une gentille piquette qui n'était buvable que l'été au bord de la piscine de l'hôtel, les vignerons provençaux ont depuis fait leur mue. Voire leur révolution. Et cette dernière a une couleur : rose pâle. Ils ont inventé d'un seul coup un nouveau type de vins, vifs, sur le fruit et sans lourdeur, et un fleuron viticole français de plus. Pour le monde entier désormais, le rosé est provençal. Et si l'on entend encore dans quelques salons où l'on cause la sentence aussi éculée que vide de sens "Le rosé, c’est pas du vin, mon bon monsieur !", le marché, lui, a depuis longtemps choisit son camp et validé les choix des vignerons d'ici.

    "La Provence doit devenir le champagne du rosé"

    Le rosé de Provence, roi de l'été partout dans le monde - 2
    En 2008, Eric Kurver rachète le domaine de la Grande-Séouve, à Jouques. En 2009, il crée la marque "Aix rosé" et devient un poids lourd des côteaux d'aix.
    La marque Aix rosé, c'est "la" success story de ces dix dernières années dans les côteaux d'aix. En 2008, le Néerlandais Eric T. Kurver, fortune faite dans le monde du marketing international, rachète La Grande-Séouve, domaine viticole un peu en déshérence situé à Jouques (Bouches-du-Rhône). Reprise complète de l'encépagement, gros investissements techniques à la cave, Eric Kurver, qui ne s'est pas payé une danseuse mais une vraie entreprise, remonte la propriété. Mais c'est en 2009 qu'il a l'idée lumineuse qui va faire changer La Grande-Séouve de dimension.

    "Nos amis étrangers qui venaient nous voir à Jouques n'arrivaient jamais à se souvenir du nom de Grande-Séouve. Ils nous envoyaient des cartes postales du genre 'Merci pour le séjour au domaine de... Bref, c'était super !'" L'ancien publicitaire en tire une conclusion : Grande-Séouve, ça fonctionne peut-être pour le marché français mais ça n'a aucun avenir à l'export, il faut faire plus simple. Et qu'y a-t-il de plus direct et plus frappant que le nom de la ville d'Aix, carte postale internationalement connue de l'art de vivre provençal. Personne n'avait pensé à déposer le nom avant lui, Eric le fera depuis son ordinateur, sur le site de l'Institut national de la propriété industrielle, un soir de 2009. La marque Aix pour le rosé était née, elle a depuis fait florès. "Cette année, on va vendre 100 000 bouteilles en France et un peu plus d'un million à l'international", confie Eric Kurver. Les raisins cultivés à La Grande-Séouve alimentent le marché hexagonal ; les bouteilles à l'export sont issues d'achats de jus en négoce, vinifiés à façon pour Aix rosé, "parce qu'il faut que ça respecte bien nos exigences de qualité".

    Rosé : Tavel, un leader historique secoué mais debout

    En 2008, Eric Kurver rachète le domaine de la Grande-Séouve, à Jouques. En 2009, il crée la marque "Aix rosé" et devient un poids lourd des coteaux d'aix.

    La marque Aix rosé, c'est "la" success story de ces dix dernières années dans les coteaux d'aix. En 2008, le Néerlandais Eric T. Kurver, fortune faite dans le monde du marketing international, rachète La Grande-Séouve, domaine viticole un peu en déshérence situé à Jouques (Bouches-du-Rhône). Reprise complète de l'encépagement, gros investissements techniques à la cave, Eric Kurver, qui ne s'est pas payé une danseuse mais une vraie entreprise, remonte la propriété. Mais c'est en 2009 qu'il a l'idée lumineuse qui va faire changer La Grande-Séouve de dimension.

    "Nos amis étrangers qui venaient nous voir à Jouques n'arrivaient jamais à se souvenir du nom de Grande-Séouve. Ils nous envoyaient des cartes postales du genre 'Merci pour le séjour au domaine de... Bref, c'était super !'" L'ancien publicitaire en tire une conclusion : Grande-Séouve, ça fonctionne peut-être pour le marché français mais ça n'a aucun avenir à l'export, il faut faire plus simple. Et qu'y a-t-il de plus direct et plus frappant que le nom de la ville d'Aix, carte postale internationalement connue de l'art de vivre provençal. Personne n'avait pensé à déposer le nom avant lui, Eric le fera depuis son ordinateur, sur le site de l'Institut national de la propriété industrielle, un soir de 2009. La marque Aixpour le rosé était née, elle a depuis fait florès. "Cette année, on va vendre 100 000 bouteilles en France et un peu plus d'un million à l'international", confie Eric Kurver. Les raisins cultivés à La Grande-Séouve alimentent le marché hexagonal ; les bouteilles à l'export sont issues d'achats de jus en négoce, vinifiés à façon pour Aix rosé, "parce qu'il faut que ça respecte bien nos exigences de qualité".

    LA PROVENCE
  • Massacrée à 78 ans pour une centaine d’euros par cinq racailles dans le silence des responsables politiques marseillais.

     

    CommunIqué d'Eléonore BEZ

    Conseiller Régional Groupe Front National PACA

     

    Ce 17 juillet, une septuagénaire habitante d’une cité HLM de Pont-de Vivaux, dans le 10ème arrondissement de Marseille, a été véritablement massacrée par une bande de racailles « cagoulées » pour cent euros et un téléphone. Cette mamie si appréciée dans le quartier, est aujourd’hui dans un état critique.

    Face à cet acte immonde, pas une réaction des responsables politiques des 9ème et 10ème arrondissements, pas un mot du Maire de ce secteur, Lionel Royer-Perreault LR, ni du député Guy Teissier LR réélu le 18 juin dernier, pas une réaction.

    Tout comme le Maire de Marseille, Jean-Claude Gaudin, ils font l’autruche face à cet acte criminel répugnant pour préserver la fameuse « paix sociale » dans les cités HLM de Marseille. Leur priorité, cacher la vérité de l'insécurité dans la cité phocéenne aux Marseillais. 

     

    Les Marseillais et les Marseillaises, eux, en ont plus qu’assez de cette politique du déni et du « vivre-ensemble » : ils et elles ne veulent pas « mourir seuls ».

    Plus que jamais, face à l’ultra-violence des racailles, il est urgent de faire appliquer la tolérance zéro, d’augmenter les effectifs de police municipale d'aujourd'hui encore largement insuffisants pour une Ville de près de 900.000 habitants, de se doter de véritables moyens répressifs contre ces bandes de racailles qui, pour le moment, agissent en toute impunité.

     

    C’est ce que je m’attacherai à défendre et à réclamer sans répit, pour qu'en 2020 les 9ème et 10ème arrondissements  comme toute la ville, se dotent d'une nouvelle équipe municipale déterminer à rétablir la sécurité pour tous les Marseillais.