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  • Munich (All.) : deux « nafris » font des selfies avec un SDF endormi et essaient de lui mettre le feu

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    21h14

    Deux jeunes hommes ont failli mettre le feu à un SDF endormi. Ils ont allumé un sac en plastique se trouvant juste à côté de leur victime qui ne se doutait de rien […] Juste avant que les flammes n’atteignent les vêtements du sans-abri au risque de le blesser grièvement, un témoin s’est précipité et a écarté du pied le sac qui brûlait. Les deux coupables sont actuellement en fuite.
    […]

    Selon Michael Riehlein, porte-parole de la police, ils s’étaient d’abord amusés à photographier l’homme de 51 ans qui dormait et à prendre des « selfies » avec lui.
    […]

    La police espère l’aide de témoins et décrit ainsi les deux hommes : âgés de 18 à 20 ans, mesurant de 1,70m à 1,80m, de type arabe/nord-africain […]

    (Traduction Fdesouche)

    Süddeutsche Zeitung

    NdB: Les salopards! Mettre le feu à un pauvre homme... Ils ne méritent aucune pitié.

  • Marine Le Pen sur France 3 (05/11/2017) : Dimanche en politique

    https://www.facebook.com/sharer/sharer.php?u=https%3A%2F%2Fwww.facebook.com%2FMarineLePen%2Fvideos%2F1950213864994928

  • LES PÉDOPHILES AMÉRICAINS PORTERONT SUR LEUR PASSEPORT LA MENTION DE LEURS AGRESSIONS

     

    Aux Etats-Unis, les agresseurs sexuels de mineurs figurant sur les bases de données américaines auront désormais inscrite sur leur passeport une mention qui préviendra les autorités étrangères de leurs crimes passés. Cette loi a été élaborée afin d’éviter l’exploitation et le trafic d’enfants dans les pays étrangers victimes de tourisme sexuel par des pédophiles.

    Le département d’Etat américain a prévenu qu’il révoquerait les passeports existant et prierait les personnes condamnées pour atteinte ou agression sexuelle sur mineur de refaire leur passeport selon la nouvelle législation. Une notice imprimée à l’arrière de sa couverture signalera : «Le possesseur de ce passeport a été condamné pour une agression sexuelle envers un mineur et il est un délinquant sexuel au regard des lois américaines.»

    «International Megan Law» : la loi qui va tout changer pour les pédophiles voyageurs

     

    Cette mesure découle de l’«International Megan’s Law to Prevent Demand for Child Sex Trafficking», loi américaine pour empêcher le trafic d’enfants, qui a été signée le 8 février 2016 par le président Barack Obama. Elle prévoit également l’obligation pour les agresseurs sexuels de mineurs de se signaler aux autorités américaines 21 jours avant leur départ. 

     

     Après le vote de la loi «Megan» en 2016, les voix de certains groupes et associations de défense des citoyens s’étaient élevées contre cette disposition, évoquant la dangerosité de partager des informations avec des pays étrangers, dans lesquels la vie du délinquant sexuel pourrait être menacée.

    En outre, certains exigent d’établir une distinction entre un pédophile violent et une personne majeure ayant eu une relation sexuelle consentie avec un adolescent mineur proche de la majorité. Un cas avait fait date en 2015, celui d’un majeur de 19 ans qui avait séduit en ligne, puis eu des rapports sexuels consentis avec une jeune fille qui lui avait annoncé avoir 17 ans, alors qu’elle n’en avait que 14. Les parents de l’adolescente avaient porté plainte. Dans ce dernier cas, le jeune homme a été inscrit au fichier des agresseurs sexuels pour une durée de 25 ans.

     

    Source

  • Assises : esclave sexuelle à 13 ans, l'horreur à la barre

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    >Faits divers|Pascale égré|24 octobre 2017, 6h36|11

    Cour d’assises de Paris, hier. Elodie*, 23 ans, a décrit l’abomination 
    vécue depuis son arrivée en France en 2006, alors qu’elle était âgée de 12 ans.

    CHRISTELLE GOTH
     
     

    Enfermée et violée pendant des années par l'homme qu'elle croyait être son père, une jeune femme a eu la force de dénoncer celui qui est jugé depuis vendredi. Le verdict est attendu aujourd'hui.

    Lorsqu'elle se glisse dans la salle, ombre discrète aux longs cheveux noirs, pour rejoindre son avocat, Me Cédric Alépée, sur le banc de la partie civile, lui commence à grimacer et à se tortiller sur sa chaise roulante (il souffre de divers maux). Lorsqu'elle accroche sa frêle silhouette à la barre pour livrer son terrifiant récit, il écoute la tête en arrière, les yeux parfois clos. L'homme, placé hors du box, se retrouve tout près de ce corps menu qu'il est accusé d'avoir violé dès l'âge de 13 ans, enfermé durant des années, privé d'adolescence et d'école... Meurtri à vie. Et lorsqu'en larmes, tournée vers celui dont elle a longtemps cru qu'il était son père, Elodie*, 23 ans, lâche ce cri déchirant — « J'aurais voulu qu'il reconnaisse ! » —, il la fixe, impassible. La scène, glaçante, donne la nausée.

    Avortement forcé

    Bamo Malumba, 54 ans, jugé depuis vendredi devant la cour d'assises de Paris pour viols sur mineure par personne ayant autorité, nie tout en bloc. Au contraire, il salit. Entre le verbiage mensonger et complotiste de cet ancien gardien d'immeuble et la parole limpide de sa victime, le contraste est saisissant. Il révèle tout le courage de cette jeune femme au parcours chaotique, atteinte d'un très fort diabète, qui a fini par réussir à se confier à sa médecin à l'hôpital en mars 2014. « Oui, je dénonce toujours, confirme-t-elle. Ce que j'ai vécu, je n'avais pas la force d'en parler. J'avais peur. Un jour, j'ai craqué. » Elle ajoutera : « Je n'ai plus de mots pour exprimer ma douleur. J'essaie... »

     

    Née à Kinshasa, en République démocratique du Congo, élevée par une grand-mère, Elodie a 12 ans lorsqu'elle est envoyée en France, en 2006, sous une fausse identité. « Tu vas faire des études et rencontrer ton père », lui promet-on. Elle séjourne d'abord chez une tante, puis à l'hôpital lorsqu'on diagnostique sa maladie. « Une histoire avec un oncle », en fait une première tentative de viol, conduit un juge à la placer chez son soi-disant père. « Où dormiez-vous ? » demande la présidente. « Dans son lit. Au bout d'un mois, un jour, je me suis réveillée. Il était en train de me pénétrer. Il m'a expliqué que c'était normal, parce que tous les pères le faisaient avec leurs enfants. » Elle précise : « Après, c'est devenu une habitude. Il continuait toute la journée. Je disais pas non. » « Je ne sentais plus rien », a-t-elle confié depuis à une psychologue.

    A 14 ans, Elodie tombe enceinte. Le Cytotec qu'il lui a fourni, un médicament gastrique connu pour son usage abortif détourné, n'a pas suffi. « J'avais du mal à dormir, il m'a dit : Tiens, prends ça. Plus tard, il m'a dit que c'était pour enlever les bébés. » A l'hôpital où il la conduit pour avorter, il l'oblige à désigner « un ami », puis à accepter une contraception.

    Sex-toys et visionnage de films pornos

    A 16 ans, entre foyers, séjours à l'hôpital, errance dans des hôtels et consommation du cannabis qu'il lui procure, son isolement s'aggrave. Il lui impose sex-toys et visionnage de films pornos, s'en inspire, la filme durant les rapports, menace ses petits copains et la menace elle... Placée, malgré tout elle fugue et revient : « Je ne savais pas où aller. Je ne voulais pas devenir l'enfant de l'Etat qui n'a pas de famille. » « Elle subit une vie de petite femme enfermée. Une soumission absolue, corps et âme, à l'homme qui lui a été désigné comme père », décryptera un psychiatre.

    Des analyses réalisées durant l'instruction ont permis de prouver la paternité de Bamo Malumba lors de l'IVG de 2009. Lui ose, face à la cour : « Sachez que la science ne sait pas tout. » Il invoque « sorcières » et ce drôle de label de « mari de nuit ». Il affirme : « Chez nous, une femme peut utiliser un homme sans qu'il le sache ! » Plus tôt, quand l'avocat général lui a demandé ce qu'elle attendait du procès, Elodie a imploré : « Que je sois reconnue en tant que victime. Parce que ce n'est pas de ma faute ! Maintenant, j'ai peur qu'on ne me croie pas... »

    « Moi, je vous crois ! » lui a répondu, solennel, le magistrat. Le verdict est attendu aujourd'hui. Bamo Malumba encourt vingt ans de réclusion.

     

    * Le prénom a été changé.

    Le Parisien

  • ROBERT MÉNARD : « JE SUIS CONFONDU PAR L’ARCHAÏSME DE NOS DROITES »

     

    Si nous voulons gagner, nous avons le devoir de développer une vision alternative, cohérente, pragmatique, audacieuse.

    Maire de Béziers

    Ancien journaliste. Fondateur de Reporters sans frontières et de Boulevard Voltaire

     
     
     
     

    Si l’on vous entend bien, vous voulez construire, avec Les amoureux de la France, une autre droite…

    Absolument. Une droite girondine. Une droite à la fois fière et ouverte aux autres. Une droite qui s’émeut aux vers d’Edmond Rostand mais sait être pragmatique, de bon sens. Une droite soucieuse du seul bien commun. Une droite qui refuse de se laisser enfermer dans une image ringarde qui sentirait le formol et la naphtaline. Une droite audacieuse dans les questions qu’elle pose et qu’elle se pose, iconoclaste parce que se moquant des diktats des uns et des autres, des médias et de ses pairs. Une droite qui refuse les facilités, les propos de campagne, les promesses qu’elle sait intenables. Une droite de liberté, d’exigence démocratique, profondément européenne. Pour cela, il nous faut regrouper tous ceux qui sont prêts à cette « révolution culturelle » et ils n’étaient pas tous là lors du lancement de notre plateforme, loin s’en faut…

    On vous sent de plus en plus critique à l’égard des prises de position de ceux qui sont pourtant vos partenaires politiques…

    Je suis confondu par l’archaïsme de nos droites. Je constate, comme chacun, d’un côté, la révolution technologique et les avancées de la science et, de l’autre, des politiques quasi muets sur les conséquences de ces changements radicaux. Quelques exemples. Aujourd’hui, une poignée d’entreprises, toutes nord-américaines, peuvent s’immiscer dans notre vie – le mot est d’ailleurs mal choisi puisque c’est volontairement que nous leur confions notre intimité – sans que nous nous interrogions vraiment sur cette nouvelle dépendance. Google, Amazon, Facebook, Apple, Microsoft sont le Big Brother du 1984 de George Orwell version cool, sympathique, souriant. Comment répondons-nous à ce défi, à cette ombre portée sur nos libertés ? Je n’en sais rien mais, plus grave, je ne sais pas vers qui me tourner pour m’aider à y voir plus clair. Dans un tout autre domaine, l’homme génétiquement modifié qu’on nous annonce pour demain, le transhumanisme, ne vont pas sans poser des questions, c’est le moins qu’on puisse dire. Pas un mot, si ce n’est des banalités, dans les programmes des politiques les plus proches de nous. Comme s’ils ne pensaient qu’avec des concepts du siècle passé, autant dire du Moyen Âge à la vitesse des changements à l’œuvre…

    Mais il y a d’autres priorités ! Ces questions ne sont pas le quotidien de vos électeurs…

    Vous vous trompez. Si, en effet, on ne s’interroge pas, chaque matin en se levant, sur sa dépendance à l’égard des géants de la Silicon Valley, beaucoup de parents s’inquiètent en revanche du devenir de leurs enfants biberonnés aux écrans de toutes sortes. De même, je ne crois pas être le seul à m’effrayer de ce que nous mettons dans nos assiettes. Des produits dont, en vérité, nous ne savons pas vraiment ce qu’ils contiennent, comment ils ont été faits, par qui ils ont été fabriqués. Ce qui, me semble-t-il, n’est pas étranger à la montée en puissance et en sympathie de mouvements comme L214 ou le véganisme. Tout cela pour vous dire que nous ne pouvons nous contenter du prêt-à-penser qui nous tient lieu de viatique pour, croyons-nous, changer le monde.

     

    Encore une fois, vous n’avez pas le sentiment d’être à mille lieux des préoccupations de nos concitoyens et, notamment, des plus humbles, ceux-là même qui vous font confiance ?

     

    Si nous voulons gagner – et ne pas nous contenter de gérer notre capital électoral comme une sorte de magot… – nous avons le devoir de développer une vision alternative, cohérente, pragmatique, audacieuse. Il nous faut gagner la confiance de nouveaux électeurs qui ne se retrouvent pas dans nos vieux discours, dans nos vieux mots, dans nos vielles habitudes de penser. Prenons une question centrale : celle de l’identité. Si elle est menacée par les flux migratoires – ce que nous ne cessons de répéter avec raison – elle l’est tout autant par des technologies, des modes qui, sous couvert de rendre nos vies plus agréables, font de nous les dévots de la première des religions : le consumérisme. On réussit à nous faire croire que nous voulons ce qu’on veut nous vendre. Une nouvelle forme d’aliénation que le camarade Karl Marx n’aurait osé imaginer !

    Si vous vous mettez à citer Marx…

    Je veux piocher dans les textes de tous ceux qui se sont employés à questionner le monde. Je ne veux passer à côté d’aucune « arme intellectuelle » qui, je l’espère, nous permettra de changer l’existence de mes concitoyens. Or, j’ai la conviction que par habitude, par facilité, par paresse – je ne veux pas imaginer que ce soit également par incompétence – nous nous contentons trop souvent de répéter comme des perroquets les mantras, les tables de la loi d’une vieille droite, coincée entre Maurras, pour les plus radicaux, et l’art de l’auto-flagellation pour les moins assurés. Quitte à me répéter : construisons une droite qui fasse l’éloge du temps long et reprenne le futur en main. Une droite d’avant-garde qui rejette les vieilles lunes conservatrices. Une droite qui ne se contente pas de promettre plus de croissance, moins de chômage et d’insécurité mais une droite d’intelligence, de générosité, de compassion et de panache ! Pas seulement moins d’impôts, moins d’assistanat, moins de bureaucratie, mais plus de vie, plus d’envie, plus de mémoire aussi. Notre politique doit redonner du souffle, proposer un horizon enthousiasmant. Il faut tout remettre à plat.

    Mais comment ?

    En partant de notre plateforme « Les amoureux de la France » pour construire ce programme qui nous fait toujours défaut. Et puis, il faudra trouver celui ou celle qui l’incarnera, qui saura nous faire gagner. Est-ce un responsable politique aujourd’hui identifié ? Ou, au contraire, quelqu’un de nouveau ? Je n’en sais rien. Mais, en revanche, on peut, d’ores et déjà, dessiner une début de portrait robot : à l’écoute, avenant, attentif, un cœur à l’unisson de la France, de conviction et de tempérament. Ça élimine pas mal de monde…

    BV

  • Pédophilie au Maroc: les révélatios-choc d'une ex-amant de Pierre Bergé et de Saint-Laurent

    https://www.valeursactuelles.com/societe/pedophilie-au-maroc-les-revelations-choc-dun-ex-amant-de-berge-et-saint-laurent-90361

    NdB: C'est l'immonde Pierre Bergé qui demandait qu'on supprime toutes les fêtes chrétiennes! 

  • Montpellier : un étudiant de 20 ans poignardé à mort par un Algérien qui sortait de prison pour meurtre (MàJ) Par Koba le 04/11/2017

     

    13h57

    04/11/17

    « C’est terrible et c’est en même temps complètement absurde. » Quelques heures après la mort jeudi soir, en plein cœur de l’Écusson, d’un étudiant de 20 ans, les enquêteurs semblaient vendredi encore abasourdis : d’un côté, un mobile dérisoire, et de l’autre, un geste d’une violence extrême, aux conséquences fatales.

    Le ton est monté entre Joachim, étudiant en géographie, et un Algérien de 29 ans.

    Midi Libre


    03/11/17

    Le meurtrier présumé de l’étudiant de 20 ans, poignardé à mort jeudi vers 22h dans la rue Saint-Guilhem, devant la supérette située à l’angle de la rue de la Valfère, dans l’Écusson à Montpellier est âgé de 29 ans. Il n’est pas né en France.

    Formellement identifié dans la nuit grâce à la caméra de vidéosurveillance de la supérette et au fichier des personnes déjà condamnées, il est déjà connu de la justice, notamment pour homicide volontaire.

    En effet, il a été condamné en 2013 à dix ans de réclusion criminelle par la cour d’assises des Hauts-de-Seine et il avait été récemment libéré après avoir purgé une partie de sa peine.Il était venu s’installer à Montpellier, dans un appartement du Plan Cabanes, proche du cours Gambetta, où il a été interpellé ce vendredi à l’aube.

    Outre sa condamnation pour meurtre, son casier judiciaire en mentionne d’autres, très nombreuses et notamment des délits de violences volontaires avec arme sur la voie publique.

    e-metropolitain.fr

     Merci à sterling roswell

    NdB: ... et il été libéré avant 2023! Qui peut comprendre, sinon les complices qui paradent dans les tribunaux d'une justice pourrie ?