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Nouvel acte de vandalisme anti-chrétien à Jérusalem
Publié le : vendredi 31 mai 2013- Source : romandie.com
Des graffitis et des insultes anti-chrétiens en hébreu ont été tagués dans la nuit de jeudi à vendredi sur un mur de l’église de la Dormition, l’une des principales abbayes de Jérusalem.
"Deux voitures ont également été couvertes de slogans et ont eu leurs pneus crevés", a précisé le porte-parole de la police israélienne, Micky Rosenfeld.
Les enquêteurs soupçonnent des extrémistes religieux juifs, une piste déjà privilégiée dans une vague de déprédations anti-palestiniennes mercredi.
L’abbaye de la Dormition, située sur le mont Sion à Jérusalem, abrite une communauté de moines bénédictins allemands, qui ont découvert les inscriptions vendredi matin, a précisé le patriarcat latin (catholique) de Jérusalem dans un communiqué.
Des graffitis ont aussi été inscrits sur l’une des portes du cimetière grec-orthodoxe voisin, selon des témoins.
Les inscriptions comparent les chrétiens à des singes et appellent à la vengeance.
"Il faut absolument mettre fin à ces actes de vandalisme en favorisant une meilleure éducation des jeunes, notamment à l’école", a déclaré le vicaire patriarcal pour Jérusalem, Mgr William Shomali, cité dans le communiqué du patriarcat, appelant à faire preuve de beaucoup de patience.
"Le patriarcat condamne ces actes qui ont eu lieu à Jérusalem, Ville Sainte pour les trois religions (judaïsme, christianisme et islam). Poser un tel acte est une tentative abjecte de miner la coexistence entre les différents croyants", selon le texte.
En septembre et octobre, Israël avait déjà connu une série de profanations d’édifices chrétiens.
Le 4 septembre, une porte du monastère de Latroun, près de Jérusalem, avait été incendiée et les murs tagués d’insultes anti-chrétiennes. La semaine suivante, un graffiti en hébreu insultant Jésus avait été écrit sur la porte d’entrée d’un couvent franciscain du Mont Sion à Jérusalem. Une église roumaine orthodoxe avait aussi été la cible de pierres, de bouteilles et de détritus.
Une vingtaine de voitures palestiniennes ont été incendiées ou ont eu des pneus crevés mercredi dans plusieurs localités de Cisjordanie occupée ainsi qu’à Jérusalem-Est occupé et annexé, où des graffitis vengeurs ont également été retrouvés. La police a attribué ces actes à des colons juifs extrémistes.
Cette vague d’exactions intervenait 30 jours après l’assassinat par un Palestinien d’un colon, premier Israélien tué en Cisjordanie depuis septembre 2011, auquel les graffitis se référaient explicitement. Dans la religion juive, le 30ème jour marque la fin de la période de deuil pour les proches.
Des extrémistes de la colonisation et des milieux nationalistes religieux mènent sous le nom de "Prix à payer" des actions consistant à se venger sur des villageois palestiniens, des lieux de culte musulmans et chrétiens, des militants pacifistes israéliens, voire l’armée, des décisions gouvernementales qu’ils jugent hostiles à leurs intérêts ou des attaques attribuées à des Palestiniens.
Malgré les condamnations systématiques de tels actes par les autorités israéliennes, leurs auteurs sont très rarement appréhendés et encore moins traduits en justice.
E&R
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Adèle Exarchopoulos traite Christine Boutin de "sale pute"
Lire: http://www.ndf.fr/article-2/31-05-2013/adele-exarchopoulos-traite-christine-boutin-de-sale-pute
+ VIDEO
NdB: Christine Boutin qui avait demandé la dissolution du Front National se retrouve insultée... pour de toutes autres raisons...
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Disparition de Fiona : toujours aucune nouvelle
31/05
Cela fait presque trois semaines que Fiona a disparu et l'espoir de la retrouver vivante s'amenuise de jour en jour.
Un large dispositif a été mis en place dans le cadre de cette disparition, dont 80 enquêteurs. Depuis le 12 mai, plus de 200 personnes ont été interrogées, dont une vingtaine de délinquants sexuels domiciliés près du parc Montjuzet.
Les policiers identifient les marginaux ou personnes au comportement suspect qui fréquentent habituellement le site indique le journal La Montagne.
Même si tout porte à croire que la fillette a été enlevée, on ne peut exclure les autres pistes.
Cécile Bourgeon, la mère de Fiona, et son compagnon, Berkane Makhlouf, se seraient montrés à plusieurs reprises imprécis et confus sur leur emploi du temps le samedi 11 et le dimanche 12 mai indique le journal La Montagne.
Notamment sur leur présence au marché des Salins le dimanche en fin de matinée.
Puis il y a le seul témoin qui aurait vu la fillette ce jour là au parc qui n'est plus sûr de lui. Ce qui fait que la dernière fois qu'elle aurait été aperçue, à part la mère et son compagnon, c'était le vendredi après-midi, jouant au pied de son immeuble. Sa mère ne l'ayant pas mise à l’école ce jour-là.
"Mais si quelqu’un avait voulu l’emmener loin de sa mère, je ne pense pas qu’elle se serait laissée faire. Sûrement pas." a indiqué le père de Fiona en parlant de sa fille sur le quotidien.FAITS DIVERS -
Génération GAV: une génération entière se lève et se bat uniquement pour défendre des valeurs
31/05/2013 – 19h35
PARIS (via Nouvelles de France) - Nouvelles de France a rencontré Marie, la jeune femme à l’origine du site « Génération GAV ». [Site lancé suite aux violences policières injustifiées lors des dernières manifestations contre la loi Taubira, note de Novopress]Comment vous est venue cette idée ?
Cette idée a pris un certain temps à mûrir dans mon esprit et s’est élaborée au fil des événements. Le déclic fut sans doute l’épisode du 24 mars : je me suis retrouvée sur les Champs-Élysées auprès de centaines d’autres jeunes qui comme moi avaient soif d’être écoutés. Tous pacifiques. Mais rapidement gazés par les forces de l’ordre. Une partie d’entre nous, prise au hasard dans la foule, fut emmenée en garde à vue. J’y ai d’ailleurs échappé de peu. Notre seul crime : être demeurés assis, en chantant autour d’un feu… Comment ne pas être révoltés face à tel traitement ? Et cette révolte n’a fait que grandir lorsque nous avons appris grâce à internet que la répression violente du gouvernement ne s’arrêtait pas là, et que les gardes à vue et violences se comptaient par dizaines.(…)
Quel est votre objectif ?
L’objectif de ce site internet est d’essayer au maximum de toucher l’opinion publique par l’un des seuls moyens qu’il nous reste pour nous exprimer : internet. J’espère que ces images de jeunes gens sans histoire, ayant subi une peine totalement disproportionnée par rapport à leurs actes, pourront marquer les esprits.Il est en effet difficilement croyable de voir à quel point la presse est muette à ce sujet. Pour ne parler que du 26 mai par exemple, partout l’on n’entend parler uniquement de policiers et journalistes blessés, sans évoquer une seule fois les gardes à vue totalement arbitraires, les nombreux manifestants blessés aux Invalides, et les violences physiques des policiers sur des manifestants par terre et sans arme. Pour faire éclater la vérité, nous n’avons donc plus qu’un moyen : internet, et heureusement, de nombreuses initiatives complémentaires s’en chargent.
(…)
Selon vous, l’époque que nous vivons est passionnante, inquiétante ou les deux ?
Jamais rien n’est tout blanc ou tout noir, donc je dirais un peu des deux, même si je penche davantage pour la première proposition. En effet, notre génération a été éduquée dans un monde individualiste et consummériste où chacun vit pour soi et où le bonheur consiste uniquement à s’acheter le dernier plaisir. Cette loi était bien sûr un pas en avant dans cet esprit de consommation à outrance avec la marchandisation du corps humain. Et c’est magnifique et enthousiasmant de voir qu’une génération entière se lève et se bat, non pas pour obtenir des droits personnels, mais uniquement pour défendre des valeurs, pour défendre une certaine idée qu’ils se font du monde, sans rien demander en retour. Vu sous cet angle, c’est évidemment passionnant, et peut-être que grâce aux événements récents l’on pourra enfin dire « Le changement, c’est maintenant ! »Bien sûr, on avance un peu vers l’inconnu, et ça a de quoi faire peur, de même que l’entêtement du gouvernement : jusqu’où sera-t-il prêt à aller pour nous faire taire ?
(…)
Pour lire l’entretien dans son intégralité
[cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]
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La police turque saisit 2 kg de gaz sarin au Front Al-Nosra
Réseau Voltaire | 31 mai 2013Dans le cadre de son enquête sur les attentats de Reyhanlı (11 mai 2013), la police turque a procédé, lundi 27 mai 2013, à une série de perquisitions chez des militants du Front Al-Nosra, à Adana et Mersin. 12 suspects ont été arrêtés.
2 kg de gaz sarin ont été trouvés.
Le Front Al-Nosra est la branche levantine d’Al-Qaïda. Les militants s’apprêtaient à utiliser ce gaz sarin à la fois en Turquie et en Syrie. Le gaz sarin est une arme chimique interdite par les Nations Unies en 1991.
Cette découverte intervient alors que le quotidien français Le Monde, dans son édition datée du 28 mai, publie un reportage en cinq parties de Jean-Philippe Rémy et Laurent Van Der Stockt « attestant » l’usage de gaz par l’Armée arabe syrienne contre la « rébellion » à Jobar (quartier de Damas).
Le reportage reprend le modèle de celui réalisé à Homs, il y a plus d’un an, par Le Monde, traduit dans les principales langues européennes et publié par de grands quotidiens des États membres de l’Otan. Le reportage contient de nombreuses invraisemblances : les journalistes décrivent une guerre chimique au cœur de la capitale qui ne toucherait que les « opposants » ; les personnes atteintes manifestent divers symptômes, mais pas de convulsions ; les photos illustrant le premier article montrent des soins oculaires inutiles en cas d’usage de gaz de combats (qui pénètre par la peau et n’est pas un gaz lacrymogène). Cette pièce de propagande a été diffusée et largement reprise à la veille de la levée de l’embargo européen sur les armes destinées aux groupes armés.
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Verdun: des corps de Poilus découverts par des touristes allemands
C'est sans doute la découverte historique la plus importante depuis 20 ans dans cette région martyre de la «Grande Guerre» (1914-1918) comme le rapporte l'Est Républicain. Des touristes allemands venus se recueillir ont remarqué mardi des ossements dans le village de Fleury-devant-Douaumont en Meuse (Meuse) entièrement détruit en 1916 pendant la Bataille de Verdun.
Leur macabre découverte s'est révélée un exceptionnel terrain de fouille puisque, selon les premiers éléments relevés, l'endroit était un poste de secours où les cadavres de vingt soldats de tranchée avaient été entreposés pendant les combats. Un abri détruit par un des 26 000 obus qui ont labouré la terre et la forêt. Les dépouilles et objets divers qu'il abritait ont ainsi été ensevelis pendant 97 ans !
Dans la boue, un pan d'histoire de la guerre de 14-18
Les gendarmes de la brigade locale et les employés de l’Ossuaire de Douaumont sont rapidement intervenus sur les lieux. Après quelques heures à ratisser et à creuser, leurs efforts ont payé. Jeudi, ils ont déterré un trésor d'histoire de France: des pièces en argent, des culots de pipes, un livret militaire et même deux montres en bon état malgré un séjour de quasiment un siècle dans la boue.
Mais le meilleur restait à venir. Les militaires et les historiens ont arraché au passé et à l'oubli des plaques d’identification qui ont permis de donner un nom à sept de ces Poilus. C'est un événement rare de pouvoir authentifier un acteur de cette bataille où 300 000 soldats des deux camps avaient été portés disparus. Si leurs descendants réclament le corps, il leur sera restitué sinon, il prendra place à la nécropole de Fleury sous une croix blanche. Les restes non identifiés rejoindront, dans l'Ossuaire, des milliers d'autres anonymes.
A la veille du Centenaire du début de la Première Guerre Mondiale, le Service historique de la Défense (SHD) a mis en ligne les archives de l'Armée et permet au grand public d'accéder aux documents de toutes les unités engagées dans ce conflit.Le Parisien - 31/05/13
NdB: Saluons la mémoire de ces Français qui ont donné il y a un siècle leur vie pour la Patrie ! Et soyons dignes de leur sacrifice! Respectons-le, respectons ces villages martyrs qui avaient de si beaux noms...
Mais maudissons ceux qui ont envoyé ces hommes à l'abominable massacre, frères contre frères!
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On va te faire la peau, sale pute, sale blanche !
Pas de couverture médiatique tapageuse, et même pas de couverture du tout pour une affaire passée ce jeudi devant le tribunal. Une affaire de racisme anti Blancs, ceci expliquant sans doute cela.
Les faits qui remontent au mois de juin 2010 sont hélas d’une grande banalité. Une famille qui avait – en toute connaissance de cause et par choix – acquis un appartement dans un quartier à très forte population immigrée de Savigny-le-Temple, a fini par en être exfiltrée sous protection de la police. C’est leur avocat qui rapporte les faits à notre confrère Atlantico.
Mis au ban, provoqués, injuriés, menacés, c’est peu dire que les membres de cette famille ne parviennent pas à s’implanter dans le quartier. Jusqu’au jour où le père, pris dans une dispute avec un voisin, se retrouve roué de coups, comme l’ami venu lui prêter main forte. L’un et l’autre sont sérieusement blessés : « plaie béante au niveau du crâne nécessitant six points de suture, traumatisme crânien, main fracturée, ecchymoses et hématomes multiples ». Soit respectivement 7 et 21 jours d’ITT.
Leur agresseurs ont pris la fuite avant l’arrivée de la police, mais l’un d’eux va porter plainte contre M. Leterme qui, en se défendant, lui a porté un coup de poing. La plainte est reçue, et l’agressé convoqué devant le tribunal comme victime ET comme agresseur. Passons les détails rapportés par l’avocat : « L’un des prévenus a clairement menacé Madame Leterme en ces termes : « On va se retrouver, on va te faire la misère, on va te faire la peau, sale pute, sale blanche… on va se retrouver… on va vous trancher la gorge à toi et à ta fille. » » Et retenons que, devant les menaces et violences répétées, ces gens « ont décidé de tout quitter ; en une nuit, ils ont fait leurs valises et ont déménagé le lendemain sous protection de la police ».
Les Leterme ont préféré la valise au cercueil. Ce qui, manifestement, n’a pas plu au tribunal. Le parquet a en effet poursuivi le père de famille, homme sans histoires, pour « violences légères ». On l’a mis sur le même plan que ses agresseurs au passé déjà lourd : 11 condamnations à son casier pour l’un, de 3 à 6 pour les autres.
Le tribunal a rendu son verdict : deux peines de prison ferme de 6 et 2 mois (soit rien du tout puisqu’en dessous de deux ans, on ressort pépère), et 8 mois de sursis simple pour le troisième accusé. Quant à M. Leterme, le Procureur a requis contre lui une peine de 1.500 euros d’amende. Heureusement, il n’a pas été suivi dans son réquisitoire.
Hélas presque banale dans les faits, qu’il s’agisse du sort subi par cette famille ou de l’attitude de la justice et du silence des médias, cette histoire en dit beaucoup sur la lâcheté d’une république qui, par lâcheté et par démagogie, refuse de défendre ses citoyens et ses valeurs.
Savigny-le-Temple était autrefois une charmante commune rurale de Seine-et-Marne. Rattachée, comme neuf autres communes, à l’agglomération de Sénart, cité radieuse des années 60 du siècle dernier, elle est vite devenue l’une de ces cités dortoirs, nouveaux parcs puis dépotoirs à immigrés chômeurs. Et pendant que l’on vante le Grand Paris d’à côté, sa future gare TGV, ses écoquartiers, son université et ses entreprises high tech, on laisse des territoires entiers se transformer en ghettos régis par le trafic et la drogue.
En octobre dernier, un enseignant reparti vers sa région commentait sur le Net les cinq années qu’il avait passées à Savigny-Le-Temple. Il écrivait :
Ambiance d’abandon, de capitulation. La démission pour un idéal de beauté ou d’harmonie se lit sur les murs. Les habitants, les commerçants, pour moitié immigrés, ont des mines de déportés volontaires, et le décor n’invite qu’à la dépression.
Rien ne m’a encouragé à apprécier cette ville, ni les jeunes dealers stationnant du soir au matin face aux kebabs, ni les rackets à la sortie de l’école, ni les déchets laissés au sol par une faune sans éducation.
Les quartiers Favelas, Cartel, Arcade, etc. ne doivent leurs noms piteux qu’aux clans qui les infestent. À noter que vous leur devez le respect ! Si par malheur vous téléphoniez à la police, déjà laxiste et consentante à leur égard, votre demande d’intervention (…) ne sera pas prise au sérieux ! (…) Vous ne comprenez pas ? Traduction : c’est leur territoire !
J’ai quitté cette ville, à l’image de ses voisines d’ailleurs (Moissy, Le Mée…), m’interrogeant encore : comment certains peuvent encore accepter d’y vivre. Calmants, aveuglement… Ou résignation. Content d’être en Auvergne à présent et bien vivant, je laisse les zombies là où je les ai trouvés.
L’avis du professeur : vous ne connaissez pas Savigny-le-Temple ? Continuez !
Un jour, il faudra pendre les politiques.
BOULEVARD VOLTAIRE - 31/05/13
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Solidarité du Mouvement serbe DVERI avec le peuple français dans sa lutte pour la vie
26 mai 2013