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  • COMMENTAIRES

    Chers amis et visiteurs,

    Tous les commentaires que vous avez envoyés le 30 et le 31 ont été publiés. Mais la plupart d'entre eux (dont les miens) n'apparaissent sur l'écran du blog qu'après un assez long temps de retard, ce qui m'agace autant que vous. Je ne peux rien faire. Cela dépend du blog Hautetfort dont les réseaux doivent être encombrés par des spams.

    Il faut donc patienter....

    Merci pour votre compréhension,

    Bien cordialement à vous,

    Gaëlle MANN

  • Disparition de Fiona : le précieux témoignage d’une femme - 31/07/13

     

    Disparition de Fiona le precieux temoignage d une femme© MaxPPP

     

     

     

     

      

     

     

    Fiona, 5 ans, a disparu le 12 mai dernier dans un parc de Clermont-Ferrand. Depuis, personne n’a revu la petite fille et l’enquête piétine. Mais il y a quelques jours, une femme présente sur les lieux au moment de la disparition de la fillette a contacté l’avocat de la mère de Fiona, rapporte « Le Parisien ». Elle a notamment rapporté aux enquêteurs le témoignage d’un jeune homme qui était lui aussi au parc avec son neveu et sa sœur.

    Selon le récit de cette femme, le jeune garçon aurait confié à son oncle avoir joué avec Fiona le jour de sa disparition et qu’il avait été effrayé par un homme qui le regardait en souriant. Me Gilles-Jean Portejoie a alors transmis ces informations au juge qui devrait entendre à nouveau cette femme, explique le quotidien. « J’ignore ce que vaut ce témoignage mais je sais que l’on se doit de tout vérifier », confie par ailleurs l’avocat dans les colonnes du « Parisien ». Si ce témoignage s’avère pertinent, il permettrait de confirmer la présence de Fiona dans le parc le 12 mai dernier et celle d’un homme ayant fait peur à un enfant.

    De nombreux témoignages qui ne donnent rien

    Dès le lendemain de la disparition de Fiona, plusieurs personnes ont contacté la police pensant avoir vu la petite fille. Le 13 mai, trois femmes ont livré leur témoignage. L’une explique avoir vu la fillette sur la ligne 1 du métro parisien à la station Saint-Paul en compagnie d’un couple. Une employée d’autoroute assure quant à elle avoir aperçu Fiona avec deux hommes. Une autre confie enfin avoir croisé une petite fille « qui ressemblait beaucoup à celle de Clermont-Ferrand » à Vitry-le-François. Le 19 juin, une femme avait également téléphoné à la gendarmerie de Perpignan pour dire qu'elle avait aperçu Fiona quelques jours auparavant sur une plage près de Perpignan. Mais ces témoignages n’ont malheureusement rien donné.

    Le 31 juillet 2013 à 14h54. ELLE                                                                                  

  • Un couple de lesbiennes obligé de reconnaître les droits du père de son enfant

    Le père, qui ne devait jouer le rôle que de «géniteur» au départ, a soudainement changé d'avis. Un couple de lesbiennes s'est vu contraint par la de Nantes de reconnaître les droits de visite et d'hébergement du père biologique de son enfant, qui a, contre toute attente, reconnu le bébé quelques mois après sa naissance.



    Le meilleur ami du couple

    Lundi, le juge des affaires familiales a «organisé les droits du père et des rencontres progressives avec l'enfant pour s'orienter vers un droit de visite et d'hébergement classique», a indiqué l'avocate de la mère biologique, Me Anne Bouillon.

    L'enfant, né il y a près de deux ans à Orléans, a été conçu hors relation sexuelle. «On est dans une conception artisanale», avec «le meilleur ami du couple à qui a été demandé d'être le donneur de sperme», a expliqué l'avocate du papa, Me Magali Castelli-Maurice.«Mon client a toujours été considéré comme un simple géniteur», a ajouté l'avocate. Mais il a reconnu l'enfant, sept mois après sa naissance, «parce qu'il avait envie d'être père».

    La demande «de reconnaissance des droits est on ne peut plus classique, mais la particularité c'est qu'on a un couple d'homosexuelles qui a refusé la présence du père», a affirmé l'avocate.

    Selon elle, en janvier, un juge d'Orléans avait déjà homologué un droit de visite et d'hébergement, rendu caduc par le départ précipité du couple de lesbiennes à Nantes. Ce qui a rendu nécessaire une nouvelle procédure auprès du juge des affaires familiales de cette ville.

    «On n'avait pas prévu que ce monsieur viendrait revendiquer ses droits»

    La mère a fait valoir que «la famille, c'est moi et ma compagne. On n'avait pas prévu que ce monsieur viendrait revendiquer ses droits», selon des propos rapportés par son avocate. «Ca bouleverse notre famille», a encore rapporté Me Bouillon, qui a précisé que sa cliente «n'avait pas demandé au juge de nier les droits du père».

    «Il y a un monsieur qui a rendu service à ma cliente et sa compagne. Il a changé d'avis et voulu prendre sa place de père. Dont acte. Il le fait dans un cadre organisé par la justice», a commenté Me Bouillon. Pour cette dernière, la question posée par ce dossier est «ce qui fait famille et comment les familles homoparentales doivent se préparer à composer une organisation parentale à plus de deux». Me Bouillon pose en outre le problème de l'adoption de l'enfant par la compagne et future épouse de la maman. «Elle ne pourra adopter que dans le cadre de l'adoption simple. Et il faut que le père consente à cette adoption», souligne Me Bouillon, pour qui «tout cela est en jachère».

     

               

    LeParisien.fr  - 31/07/13

     

    Un enfant, c'est un papa et une maman !  Et pas une paire de lesbiennes ou d'homos!

    Respectons le droit des enfants !

     

  • Carlton à Cannes : Lev Leviev, le bijoutier qui s'est fait voler 103 millions

    Présentation de sa collection de diamants en 2010: "Des mines à la magie"

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    Créé le 30-07-2013 à 10h40 - Mis à jour à 11h13
     

    Russo-Israélien et juif orthodoxe, le patron de la maison Leviev a bâti un gigantesque empire du diamant, tout en réussissant à mettre un pied dans les mines d’Angola.

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    Les assurances couvriront-elles la perte ? Le manque à gagner est de taille : 103 millions d’euros ! Le montant estimé de la valise de diamants dérobée dimanche à l’hôtel Carlton de Cannes. N’empêche que pour Lev Leviev, la victime de ce fric-frac de tous les records, dont la société organisait l’exposition "Extraordinary Diamonds", le coup est dur. Au cœur de sa fortune, les diamants ont en effet toujours été un îlot de stabilité - et de prospérité. Et lorsque son empire avait failli être emporté par la crise de 2008, ce milliardaire russo-israélien de 57 ans avait ainsi pu se consoler avec cette certitude : les diamants sont éternels.

    On dit qu’en 1971, son père avait réussi à emporter quelques précieuses pierres lorsque les Leviev avaient quitté Tashkent, la capitale d’Ouzbékistan, alors république soviétique pour rejoindre Israël. Pilier de la communauté juive locale, l’une des plus anciennes de la diaspora, la famille échoue à Lod, morne cité du centre de l’Etat hébreu. Lev a 15 ans. L'adolescent est envoyé dans un pensionnat mêlant études religieuses et formation professionnelle. Il effectue ensuite ses trois ans d’armée au sein du rabbinat militaire. On a connu plus glamour.

    Juger une pierre d'un coup d'oeil

    Rendu à la vie civile, il se fait embaucher chez un tailleur de diamants de Tel Aviv, où il apprend à jauger d’un coup d’œil de la qualité d’une pierre. Rapidement, les affaires marchent bien pour Lev Leviev qui s’associe avec son frère pour créer une société de courtage, profitant qu’Israël soit avec Anvers la plaque tournante du commerce de diamants.

    Mais c’est l’écroulement de l’URSS qui lui permet, à partir de 1989, de changer de dimension. Profitant du grand dérèglement post-soviétique, il parvient grâce à ses appuis dans la nouvelle administration, à mettre un pied dans les mines d’Angola, ancienne "république sœur", dont les sous-sols regorgent de pierres précieuses.

    La toute puissante De Beers, qui exerçait jusqu’alors un monopole exclusif sur l’industrie diamantaire, tentera bien de lui mettre des bâtons dans les roues. Trop tard cependant : Leviev est lancé et devient en quelques années l’un des géants mondial du secteur avec sa société LLD (Lev Leviev Diamonds) dont le chiffre d’affaire est estimé à 1,5 milliards de dollars.

    Ebranlé par la crise

    On dit encore que c’est pour être enfin reconnu par la bonne société israélienne qu’il acquiert en 1996 Africa-Israel, une holding financière locale. En quelques années, l’entreprise se transforme en un consortium international investissant tous azimuts, aussi bien dans l’industrie chimique, que dans la grande distribution, l’immobilier ou les stations services. En cherchant même à investir le marché des prisons privées. Un "machin" fragile qui se prend de plein fouet la crise financière de 2008.

    Lev Leviev, qui avec Africa-Israel a beaucoup spéculé sur le marché immobilier américain, est menacé de ruine. En quelques mois, sa fortune de passe ainsi de 8 à 1,5 milliards de dollars. Mais le tycoon a de la ressource, et en empruntant 20 milliards de dollars, il parvient tant bien que mal à enrayer l’hémorragie. Ce qui ne l’empêche pas de continuer à traîner Africa-Israel comme un boulet. En 2012, l’entreprise a ainsi encore perdu un milliard de dollars.

    Piscine carrelée d'or

    Classé à la 209e place des plus grandes fortunes mondiales, Lev Leviev est, pour le reste, d’une étonnante discrétion. La seule folie bling-bling qu’on lui connaisse est l’achat en 2008 de la maison la plus chère de Londres où il est désormais installé. Pour 53 millions d’euros, il peut ainsi – entre autre - se baigner dans une piscine carrelée d’or ou admirer le hall d’entrée de sa propriété, copié sur la galerie des Glaces de Versailles.

    Mais point de yacht démesuré ni d’équipe de football ou de compagne glamour, à la différence de son copain Roman Abramovitch, le propriétaire du club de Chelsea. On ne le voit jamais non plus dans les événements mondains, où ce juif très pratiquant  qui mange strictement cacher risquerait de toute façon de mourir de faim.

    "Je n'ai jamais transigé sur mes principes religieux"

    Ses largesses, il les réserve au mouvement hassidique Loubavitch dont il est l’un des principaux donateurs, à hauteur de 30 millions de dollars annuel. Marié depuis toujours à Olga avec laquelle il a eu neuf enfants, il ne sort jamais sans sa kippa, tandis que sa femme est coiffée d’une perruque, conformément aux habitudes de juifs pieux. "Dans les affaires, je n’ai jamais transigé sur mes principes religieux. Au contraire, je les ai toujours affichés sans honte et mes interlocuteurs, quels qu’ils soient, me respectent pour cela. C’est quand on se cache que l’on provoque l’hostilité", explique-t-il parfois.

    La promotion d’un judaïsme ultra-orthodoxe - il préfère dire "authentique" - lui a cependant valu des déboires, il y a quelques années, avec le ministère israélien de l’Education qui trouvait que le programme de soutien scolaire financé par sa fondation présentait une approche "pas assez humaniste et séculière".

    Un diamant rose monté en bague

    En mai 2011, Lev Leviev s’était offert une folie : un magnifique diamant rose monté en bague acheté 11 millions de dollars - un record - chez Sotheby’s à Genève. Cette pierre, unique par sa pureté et sa taille, faisait sans doute partie de la collection dérobée à Cannes. De quoi briser un cœur de diamantaire : c’est un bout d’éternité, un miracle façonné par la nature durant des millions d’années qui a disparu, pas seulement une valeur monétaire. Mais allez expliquer cela à un assureur...

     

     

    A Tel-Aviv, Hadrien Gosset-Bernheim pour le "Nouvel Observateur"

     

     

  • Munich : nouvelle manifestation de Die Freiheit pour exiger un référendum sur la construction d’une mosquée

                                        

    Munich : nouvelle manifestation de Die Freiheit pour exiger un référendum sur la construction d’une mosquée
     
     

    29/07/2013 – 19h20
    MUNICH (via le site de Lionel Baland) - Samedi 27 juillet 2013, die Freiheit a tenu une fois de plus une manifestation dans le centre de Munich pour récolter les signatures nécessaires afin de voir organiser une consultation populaire à propos de la construction d’un centre islamique au sein de la capitale bavaroise.

     

    La température était élevée et la manifestation s’est déroulée sous un soleil de plomb. Les gauchistes allemands ont déployé une banderole antiallemande (ces gens considèrent que l’Allemagne, leur propre patrie, est dangereuse) au sein de laquelle est inscrit « Game over », puis des mots négatifs envers les Allemands : « Krauts », « boches », « Fritz »

    Une fois de plus, la chrétienne d’Egypte Nawal a pris la parole afin de dénoncer l’islamisation. Les gauchistes ont crié à son encontre « nazis raus » (les nazis dehors). Nawal s’est vue insultée par des dizaines de musulmans complètement excités par la présence de cette manifestation. Ils ont crié à son encontre : « Pute »« salope », « prostituée ». Les musulmans ont également prétendu qu’elle s’est laissée achetée et tient ces propos parce qu’elle reçoit de l’argent. Lors des prises parole de Nawal dénonçant l’islamisation et les pratiques de l’islam, les gauchistes ont crié : « Es gibt kein Recht auf Nazipropaganda » (Il n’y a pas de droit à faire de la propagande nazie).

    Le système politique poursuit, quant à lui, sa politique de tracasseries vis-à-vis de die Freiheit. Celui-ci est contraint de réduire suite à une décision judiciaire le son du haut-parleur de 95 à 85 décibels. De plus, lors de la manifestation, die Freiheit s’est vu interdire par la police de prendre des photos des gauchistes.

    L’Imam Idriz, qui est à l’origine du projet du centre islamique, rend visite au stand de die Freiheit. Michael Stürzenberger, le principal opposant à la construction de ce bâtiment, discute avec lui. De gauche à droite : Nawal, Michael Stürzenberger‎, Lionel Baland, l’Imam Idriz.

    J’ai expliqué aux musulmans et gauchistes excités par mes propos que les forces patriotiques sont en marche un peu partout en Europe et que les gauchistes ne représentent plus grand-chose par rapport à nous. Les patriotes sont en progression au sein de divers pays d’Europe et de plus en plus de personnes pensent comme eux. Je me suis fait insulté et traité de tous les noms. Un musulman a déclaré qu’il désire me couper la tête avec un couteau. Les gauchistes, face à la participation au sein du stand de die Freiheit de personnes venues de divers pays, n’ont pas hésité à tenir des propos xénophobes. Un Noir m’a montré sa carte d’identité allemande et m’a dit de rentrer en Belgique. J’ai déclaré à des musulmanes vivant en Allemagne que le fait qu’elles portent un voile montre qu’elles ne sont pas intégrées.

    Un des dirigeants de la police présent sur place m’a déclaré que j’ai tenu durant une demi-heure un discours de pure provocation. Dire que les partis patriotiques sont en marche un peu partout en Europe est donc une provocation ! Le fait que le stand de die Freiheit soit encerclé par de nombreux gauchistes et musulmans criant des insultes et proférant des menaces n’est, par contre, pas une provocation.

    Comme lors des autres manifestations de die Freiheit à Munich, Michael Stürzenberger a donné la parole à des passants non-musulmans issus de pays musulmans. Ces gens savent ce qu’est la terreur exercée par les musulmans au sein de leur pays d’origine et apportent leur soutien à die Freiheit dans son combat contre l’islamisation.

    Lionel Baland

    Crédit photos : Roland Heinrich

    [cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • Syrie: des centaines de rebelles recherchent une amnistie

    Ecrit le 28 juil 2013 à 18:29 par Luc Ruy                                                                                                                  

     
     

    Syrie -  Comme le rapporte le Daily Telegraphun nombre croissant de rebelles utilisent un programme d’amnistie établi par le gouvernement et déposent les armes. « Je me battais pour la révolution, mais maintenant je pense que nous avons perdu ce pour quoi nous nous battions. (…) Les extrémistes désormais contrôlent ma ville. Ma famille est retournée dans les zones occupées par le gouvernement parce que notre ville est trop dangereuse. Assad est épouvantable, mais l’alternative est pire. » affirme Mohammed, un rebelle de la ville de Raqqa.

    Le gouvernement de Bachar al-Assad a mis en place un ministère « de la réconciliation » dont la tâche est de permettre le retour des insurgés : 180 rebelles ont ainsi été admis dans le service de police. Le chef rebelle Ziad Abu Jabal qui a déposé les armes estime : « Quand nous avons rejoint l’opposition, nous espérions plus de droits. Après avoir vu la destruction du pays et le pouvoir des djihadistes, nous avons conclu un accord avec le gouvernement. » Ali Fayez Uwad, médiateur du ministère, explique que les « mères [des rebelles] savent que c’est la dernière chance qu’il reste à leur fils et que s’ils ne déposent pas maintenant les armes, ils mourront, car ils sont en train de perdre la bataille. »

    Le ministre Ali Haider a ainsi déclaré : « Notre message est le suivant : « Si vous voulez vraiment défendre le peuple syrien, déposez vos armes et venez défendre la Syrie dans le droit chemin, à travers le dialogue ». 

    Nouvelles de France

  • Le Journal 2013 de Renaud Camus

    renaud-camus-journal-2013.jpg Journal Renaud Camus.jpg

    Mardi 30 juillet 2013, midi. Heureusement il nous reste la lumière — la lumière et l’amour (mais certaines philosophies soutiennent que c’est la même chose, je crois).

    La vieille consolation lamartinienne par le truchement de la nature (Mais la nature est là qui t’invite et qui t’aime), celle de toute la poésie lyrique au moins jusqu’au siècle dernier, n’est plus si agissante, loin de là. La nature n’est plus là, ou bien rarement, et dans quel état ! Elle est partout humiliée, blessée, salie, souillée, aménagée, viabilisée, rentabilisée, touristisée, tôllifiée, parpaingnifiée, industrialisée, banlieucalisée, artificialisée, peaudechagrinée, traquée. Il n’y a que les gens qui ne l’aiment pas vraiment pour ne pas voir ses atroces souffrances et pour jouir sereinement de son agonie. Il n’y a que les gens qui n’aiment pas le paysage (et ils sont l’immense majorité des vivants, il suffit de les voir ne pas le voir, et de voir comment ils le traitent) pour croire que le paysage nous offre la ressource qu’il a toujours offerte — le toujours très historique du sentiment lyrique, au moins. Aimer le paysage c’est comme aimer la langue, ou comme aimer la France : une blessure de tous les instants. Oh, certes, il nous reste des lambeaux, de magnifiques vestiges, des poèmes, des terrasses, des livres, des vergers, des fenêtres, des îles, des inscriptions sur des pierres, le coin d’un champ et même quelques morceaux de montagne réchappés par miracle à la sale industrie des sports d’hiver ; mais pratiquement plus de bords de mer, presque jamais de grands panoramas intacts, à peine un ou deux villages épargnés par la Grande Pelade, l’arrachage des enduits, la lèpre pavillonnaire, l’éclairage a giorno et, s’ils ont eu le malheur d’être trop beaux, la kitscherie gnan-gnan, le fer forgé, l’artisanat d’art, l’esprit “poutres app.”, les galeries de peinture, les “formules”, le second degré.

    J’ai eu l’imprudence de faire confiance aux ciels. Ils ont longtemps été loyaux et sûrs. Il leur arrive encore de nous mettre à genoux, d’admiration et de gratitude. Mais mêmes eux sont pollués à présent, maculés, striés, lacérés par cet imbécile d’homme et son ingénieux génie. Ne nous laissera-t-il pas, à la fin, un seul espace et un moment sans lui ? Faut-il vraiment qu’il humanifie, quand bien même il les aurait déjà si heureusement humanisés, chacun de nos regards et la moindre de nos sensations ?

    Heureusement il reste la lumière. Ce matin au lever la lumière était si belle, dans cette pièce haute, fenêtres grand ouvertes sur la canopée jusqu’aux montagnes, qu’on était consolé de tout, lavé, embaumé, rasséréné, apaisé, consolé, guéri. Sprich zu mir, Geliebter ! Une otite à l’oreille droite me fait méchamment souffrir depuis trois jours, jamais à ce rythme je n’aurai fini pour la fin août ce volume francilien des Demeures, mon compte en banque est à découvert depuis vingt-neuf jours, tous les matins ou presque je suis réveillé par une suspecte douleur au bas-ventre, le chien de la voisine va me rendre fou, Manuel Valls estime que le ramadan fait partie intégrale du calendrier français (comme le festival de Cannes, Roland-Garros et le Tour de France, sans doute…), les prélèvements automatiques mensuels vont être refusés, mon rein droit ne se laisse pas un moment oublier, je n’arrive pas à répondre aux lettres et à remercier des livres qu’on m’envoie, le parti de l’In-nocence risque de ne pas pouvoir aligner de candidats partout, dans ces conditions des coliques néphrétiques ne m’étonneraient pas, Pierre est allé pour rien chercher Farid à la gare d’Agen, de tous les contributeurs de “Boulevard Voltaire” je suis celui qui intéresse le moins les lecteurs. « On s’en fout ! », commente gracieusement un commentateur sous mon entrée d’hier, à l’instant. Sans doute, sans doute, bien sûr, le contraire m’aurait étonné — mais quelle belle lumière !

    Ce n’est même pas assez de dire qu’elle est belle, on jurerait aussi qu’elle est bonne, tendre, sororale, pleine de sollicitude et d’amour.

    La lumière n’a pas assez de bras pour nous porter, dit une pièce de Gérard Pesson pour piano amplifié. Elle date de 1994 et elle est dédiée, comme Stèles, de Grisey, dont je parlais il y a deux ou trois jours, à la mémoire de Dominique Troncin.  Le titre est emprunté à un poème monostiche de Pierre-Albert Jourdan, dans Sandales de paille. Jourdan, quelque temps avant de mourir, clôt ses Carnets par ces deux phrases :

    « Au fond, on a beaucoup marché. Déjà heureux de ne pas s’être perdu plus vite. »

    « On s’en fout ! », dit M. Cédric Troissou — au fond le message de ce critique n’est peut-être pas si éloigné des enseignements de la lumière ; même si elle, n’ayant pas de bras pour nous porter, ni de bouche pour nous parler, use, par définition, d’un silence plus châtié.

    Ainsi que m’en adjurait à juste titre un autre commentateur peu amène, la semaine dernière :

    « Et ne répondais pas, surtout ! »

    Je m’en garderez bien.

    Mehr Licht !

     

    En exclusivité sur BOULEVARD VOLTAIRE

  • Aude : une maison de retraite pour homosexuels ?

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    Le maire d'une localité de l'Aude est tombé des nues mardi en apprenant qu'il avait délivré à son insu un permis de construire... d'un genre particulier.

    Le maire d'une localité de l'Aude est tombé des nues mardi en apprenant qu'il avait délivré à son insu un permis de construire à une société britannique pour un village destiné aux retraités homosexuels. "Je tombe des nues parce que je n'en savais rien", a déclaré Yves Bastié, le maire de Sallèles d'Aude, à un correspondant qui l'interrogeait sur une publicité mise en ligne sur le site de l'entreprise Villages Group. Cette société britannique, qui construit des villages destinés aux retraités en France, propose sur son site internet aux retraités homosexuels ce lieu qui leur est réservé à deux pas du Canal du Midi, chef d'oeuvre de Pierre-Paul Riquet classé au patrimoine mondial de l'humanité. Le "Village-Canal du Midi" est une "oasis privée pour la comunauté gay et lesbienne (lgbt) qui souhaite mener une vie active et saine dans le climat chaud, amical et sain du sud de la France", peut-on lire sur une brochure publiée en anglais sur le site internet du groupe. "Idéal pour la retraite, les vacances, les investisseurs", ajoute le site.

    Les responsables de Villages Group n'étaient pas joignables mardi soir. "J'ai demandé à mes collaborateurs de vérifier cette information mais si c'est bien le cas, j'estime que la moindre des choses aurait été d'être tenu informé", a ajouté le premier magistrat de cette petite localité de 2.000 habitants proche de Narbonne. Lorsqu'il sortira de terre, le "Village-Canal du Midi" sera constitué de 107 maisons individuelles écologiques construites dans un "style villageois traditionnel" et coupées du monde extérieur par une enceinte, dit la brochure, qui comporte une belle photographie du Canal du Midi frappée du drapeau arc-en-ciel, l'emblème de la communauté homosexuelle. Le lieu bénéficiera des services d'un concierge et comportera piscine, court de tennis, sauna, salle de gymnastique, bars et restaurants. "Ce lieu très spécial conjugue le meilleur de tous les mondes, la campagne, le vignoble et la vie de village", ajoute le texte.

    Homosexuel ou pas, il faudra être relativement fortuné pour couler des jours tranquilles dans le "Village-Canal du Midi". Il en coûtera 236.000 euros ou 248.000 euros pour une maison, à quoi il faudra ajouter 70 euros par semaine de frais de gestion et de management. Le maire, qui militait de longue date pour un projet de villages de vacances dans sa commune, avait signé le permis de construire avec Villages Group en mars dernier. Mais la municipalité croyait alors donner son feu vert à un site traditionnel de logements pour touristes seniors, sans savoir qu'il était question d'une maison de retraite pour homosexuels comme il en existe dans plusieurs pays du monde et en particulier aux Etats-Unis. "Le projet touristique ne coûte rien à la commune et il aura des retombées économiques non négligeables localement, en matière de fiscalité, d'emploi et de commerce", s'était félicité Yves Bastié dans la presse locale.

    Europe1 - 30/07/13

  • Fiona, 5 ans, disparue le 12 mai 2013 à Clermont-Ferrand

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    Aucune nouvelle de cette petite fille depuis le 19 juin, où une personne a cru la voir à Perpignan

  • Gard: un maire menacé de mort par des gens du voyage appelle Valls à l'aide

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    «J’ai failli être lynché», témoigne, encore sous le choc, Jean-Paul Franc. Averti dimanche de l'arrivée de gens du voyage dans un stade municipal, le maire d'Aimargues (Gard) a tenté de s'interposer. En guise de dialogue, l'élu sans étiquette a récolté des menaces de . Il a porté plainte pour dégradations de biens publics et tentative visant à l’écraser.

     

     

    L'élu espère également de l'aide de la part de Manuel Valls.

    «J'ai eu très peur. Ce lundi ça va un peu mieux mais vous ne m'y reprendrez plus!», assure-t-il. «Je ne m'attendais pas à ça quand j'y suis allé. Je m'y suis rendu seul, pensant pouvoir discuter», regrette Jean-Paul Franc, maire depuis 2008 de cette commune de la Petite-Camargue.

    «Ils m'ont dit qu'ils allaient me faire la peau!»

    Vers 10h30, alors qu'il constate l'arrivée des premières caravanes dans le stade de , il décide de bloquer le passage avec sa voiture, le temps de prévenir les arrivants qu'il ne s'agit pas d'un endroit approprié. Le périmètre est en effet entièrement irrigué par un système enterré pour l'entretien du gazon et le complexe dispose de quatre courts de . Mais selon Jean-Paul Franc, les arrivants ne semblent pas disposés au dialogue.

    Tous contournent son véhicule et forcent le passage. Le maire décide alors de s'interposer lui-même mais se voit proférer insultes et menaces. «Je leur ai dit qu’ils n’avaient pas le droit de s’installer et endommageaient la pelouse mais ils m'ont répondu "On fait ce qu'on veut, on partira quand on en aura envie". Ils m’ont foncé dessus et m’auraient écrasé si je ne m’étais écarté», raconte l'homme de 57 ans.

    «J’ai alors insisté et tapé sur un véhicule avec la paume de la main», poursuit-il. Un geste qui a déclenché la colère des arrivants: «Ils étaient environ 200, le plus âgé devait avoir 30 ans. Certains se sont précipités sur moi, poings en avant, puis m'ont dit qu'ils allaient me faire la peau! Je n'y retournerai pas, je ne me suis pas senti en sécurité», confie encore le maire.

    Un appel à l'aide lancé à Manuel Valls

    Dans la foulée, les gendarmes arrivent sur place. Les gens du voyage «ont fait dresser un P.-V. selon lequel j’aurais dégradé deux véhicules. On n’a pas pu discuter. Les militaires ont du m'escorter chez moi», insiste-t-il. Alors que les gens du voyage «se sont jetés sur la voiture», c'est sirène allumée que tous arrivent finalement à s'extirper du complexe sportif. Vers midi, une cinquantaine de caravanes avaient élu domicile sur le terrain de foot.

    Dans un premier temps, Midi-Libre rapportait que Jean-Paul Franc comptait déposer un référé expulsion mais le maire a vu son action refusée. «Je ne peux pas les mettre en demeure de partir car je n'ai pas d'aire d'accueil sur ma commune de moins de 5 000 habitants», explique-t-il, précisant qu'un projet est en préparation sur la commune voisine au niveau de la communauté d'agglomération.

    En attendant de trouver une solution, les gendarmes devront faire l'inventaire des «nombreuses dégradations que les contribuables vont avoir à leur charge», regrette Jean-Paul Franc. Le maire espère au moins pouvoir faire payer les dégâts aux occupants. Ce lundi, il a également envoyé une lettre au ministère de l'Intérieur pour l'informer de la situation.

    «Plusieurs maires m'ont apporté leur soutien, dont celui de Nîmes qui a justement connu cette situation il y a trois semaines», précise-t-il, sollicitant un geste fort de Manuel Valls, interviewé dans nos colonnes ce lundi sur la question des gens du voyage.

     

    LeParisien.fr - 29/07/13

  • "J'ai choisi de vivre dans le quartier le plus dangereux de Johannesburg"

    http://observers.france24.com/fr/content/20130718-je-suis-blanc-je-vis-banlieue-plus-dangereuse-johannesbourg

     Nombreuses photos

  • Les troupes de Bachar al-Assad ont pris la ville de Homs - 30/07/13

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    Une des plus grandes villes de Syrie, Homs, est presque entièrement prise sous le contrôle des troupes de Bachar al-Assad. La libération de la ville, l’explulsion des rebelles, selon le gouvernement officiel, c’est un tournant dans la guerre civile qui dure depuis deux ans. Mais les experts sont plus réservés.

     Les troupes gouvernementales continuent à repousser les rebelles syriens. Le succès dans la ville de Homs est leur nouvelle victoire. C’est la troisième grande ville de Syrie. Il est presque entièrement pris sous le contrôle par les forces gouvernementales. Ici, le commentaire de l’expert sur le Proche-Orient le professeur Gueorgui Mirski :

     Homs est une ville vraiment importante. Pendant deux ans, une armée forte ne pouvait pas s’emparer de cette ville qui, à l’en croire le président Bachar Assad, était retenue par un petit nombre de bandits et de voyous.

     D’après l’avis de Mirski, le succès à Homs et tous les autres succès précédents des forces gouvernementales s’expliquent par la participation au conflit syrien des effectifs du Hezbollah. La guerre en Syrie ressemble de plus en plus à une guerre de religion. Autrement dit, elle tourne en opposition entre sunnites et chiites. Dans cette situation, le groupe libanais Hezbollah s’est cru obligé de soutenir Bachar Asad, partageant la même foi. C’est ce qui explique la série des victoires des forces progouvernementales, y compris la prise sous le contrôle d’El-Quseir. Le président de l’Institut du Proche-Orient Evgueny Satanovski dit :

     Les troupes gouvernementales remportent la victoire, d’abord, parce qu’elles ont des avions et des blindés. Et puis, ils ont maintenant des effectifs supplémentaires grâce au Hezbollah. Il s’agit de 8 mille personnes qui soutiennent Assad.

     Mais il est prématuré de dire que la victoire de Bachar al-Assad est sûre. Pour le moment, l’opposition est soutenue seulement par les monarchies sunnites du Golfe Persique. Mais bientôt, elle pourra être soutenue par les Etats-Unis. Pourtant, il y a un « mais ». Les Américains redoutent à juste titre que l’arme qu’ils sont prêts à transmettre aux rebelles ne tombe entre les mains des extrémistes islamiques. Certains adversaires d’Assad déposent aujourd’hui les armes croyant que le pouvoir du président actuel, c’est quand même mieux que celui des bandits liés avec l’Al-Qaïda. Cela peut faire perdre aux Etats-Unis l’idée de livrer en Syrie des complexes de DCA mobiles. En plus, croit Evgueny Satanovski, les Américains ont l’habitude de soutenir les vainqueurs – si les troupes d’Assad continuent à remporter des victoires sur les rebelles, les Etats-Unis ne vont pas s’ingérer dans une guerre perdue d’avance.

  • Le pape n'est pas là pour "juger" les gays et veut les intégrer dans la société

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    Le pape a appelé à l’"intégration" des homosexuels au sein de la société mais reste opposé à l’ordination des femmes prêtres.

    L’INFO. Le pape François dit vouloir des jeunes chrétiens "révolutionnaires, à contre-courant". Un discours qu’il implique (en partie) à lui-même sur des thèmes où l’Eglise adopte traditionnellement des positions très conservatrices. Le pape François a certes condamné le "lobby gay", mais a affirmé ne pas juger les homosexuels, y compris dans l'Eglise, et a appelé à leur intégration. Retour sur un discours auquel le Vatican n'était plus habitué.

    >>> A lire : ZOOM :A Rio, couacs en série aux JMJ

    Le pape n’est pas là pour "juger" les gays

    © Reuters

     

    Les gays doivent être "intégrés". Dans l'avion qui le ramenait à Rome, le pape François a tenu avec les journalistes qui l'accompagnaient une conversation de près d'une heure et demie, au cours de laquelle il a rappelé que le catéchisme de l'Eglise ne condamnait que les actes et non l'orientation homosexuelle. "Il dit que les homosexuels ne devraient pas être marginalisés à cause de (leur orientation), mais qu'ils doivent être intégrés dans la société", a-t-il expliqué. "Si une personne est homosexuelle, cherche Dieu et est de bonne volonté, qui suis-je pour la juger ?", a-t-il affirmé.

    Pour le pape François, "le problème n'est pas d'avoir cette orientation". "Il nous faut être des frères. Le problème est de faire pression en faveur de cette orientation ou les lobbies de gens cupides, les lobbies politiques, les lobbies maçonniques, il existe tant de lobbies. C'est cela le pire des problèmes", a-t-il jugé.

    >>> Pour Mgr Bernard Podvin, porte-parole de la Conférence des évêques de France, le pape est "dans la tradition sociale de l'Eglise" :


     

    Un lobby gay au Vatican ? Le souverain pontife a également répondu à une question sur les rumeurs concernant l'existence d'"un lobby gay" au Vatican à la suite de la série de scandales sur les prêtres pédophiles et la corruption dans les hautes sphères du Saint-Siège. "On écrit beaucoup de choses sur le lobby gay. Je n'ai toujours pas rencontré au Vatican une seule personne munie d'une carte d'identité disant qu'elle est gay", a-t-il répondu par une "pirouette".

    Le pape n’est pas là pour "juger" les gays

    © Reuters

     

    "Plus de responsabilités" pour les femmes. Le pape a, par ailleurs, réitéré l'opposition ferme et définitive de l'Eglise à l'ordination de femmes prêtres, mais a souhaité qu'elles occupent des responsabilités importantes dans les activités pastorales et administratives de l'Eglise. "L'Eglise a fait connaître sa position et dit 'non' (...) cette porte est fermée", a assuré le pape qui évoquait pour la première fois en public ce sujet épineux. "On ne peut pas limiter le rôle des femmes dans l'Eglise à celui d'enfants de chœur ou de présidentes d'œuvres caritatives. Il faut leur donner plus", a-t-il cependant ajouté.

    Plus de "transparence". François s'est aussi exprimé sur la banque du Vatican, qui s'appelle officiellement Institut pour les œuvres de religion (IOR), déclarant que le fonctionnement de l'IOR, au cœur de plusieurs scandales financiers, devait devenir "honnête et transparent". L'IOR est au centre de plusieurs scandales financiers qui sont une source de profonds embarras pour l'Eglise depuis des décennies. Il lui est notamment reproché de ne pas respecter les critères internationaux de transparence dans le cadre de la lutte contre le blanchiment d'argent et l'évasion fiscale. Le pape avait personnellement assisté à la première réunion d'une commission spéciale d'enquête sur la banque du Vatican, créée fin juin pour s'assurer que ses activités soient "en harmonie" avec la mission de l'Eglise catholique.

    Europe1 - 29/07/13

     

  • L’opposition syrienne a éliminé les témoins de l’attaque chimique

      

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    Le massacre que des extrémistes ont perpétré dans la ville syrienne de Khan al-Assal avait pour but de se débarrasser des témoins de l'attaque chimique qu'ils avaient effectuée en mars dernier. L'ambassadeur de Syrie auprès des Nations unies, Baсhar Jafari, a fait cette déclaration lundi lors d'une séance de l'Assemblée générale de l'organisation mondiale, rapporte ITAR-TASS.

     Selon les informations disponibles, au cours du dernier week-end, quelque 150 personnes ont été fusillées à Khan al-Assal, près d'Alep, y compris des soldats et des officiers capturés des forces gouvernementales, ainsi que des civils sympathisant avec les autorités. Selon M.Jafari, le massacre est survenu, il y a deux jours, alors que le gouvernement syrien et le secrétariat de l'ONU annonçaient être parvenus à un accord de principe sur la coopération dans l'enquête sur les rapports faisant état de l'utilisation de gaz de combat en Syrie.

     « Le massacre a été perpétré pour éliminer les témoins capables de déposer auprès du secrétariat de l'ONU et identifier ceux qui avaient utilisé l'arme chimique », a indiqué l'ambassadeur de Syrie.

     Bachar Jafari a pris la parole tout de suite après le chef de la Commission d'enquête sur les violations des droits de l'homme en Syrie, Paulo Sergio Pinheiro ayant, lui aussi, mentionné l'exécution massive dans les environs d'Alep. Selon M.Pinheiro, les experts de la commission sont prêts à enquêter sur cet incident s'ils obtiennent l'accès en Syrie qu'ils attendent depuis longtemps.

     Les 24 et 25 juillet, une délégation de l'ONU comprenant le Haut représentant du secrétaire général de l'ONU pour le désarmement, Angela Kane, et le chef du groupe d'inspecteurs, Ake Sellstrom, ont évoqué à Damas les modalités d'activité des experts internationaux qui s'apprêtaient à vérifier en Syrie les faits de l'utilisation de gaz de combat.

     Conduite par M.Sellstrom, l'équipe d'inspection a été formée à la demande de Damas au lendemain de l'attaque chimique effectuée le 19 mars à Khan al-Assal, dans la banlieue d'Alep.

     

     Le 9 juillet, la Russie a remis à l'ONU les résultats de son expertise confirmant qu'une roquette contenant du gaz sarin avait été tirée par des rebelles de position.


     

     http://french.ruvr.ru/news/2013_07_29/L-opposition-syrienne-a-elimine-les-temoins-de-l-attaque-chimique-6972/

  • La Russie est devenue une grande puissance grâce à la religion chrétienne (Poutine)

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    Moscou, 25 juillet 2013, RIA Novosti

    La Russie est devenue une grande puissance grâce à l'adoption de la foi chrétienne, a déclaré jeudi le président russe Vladimir Poutine dans un message adressé au Patriarche de Moscou et de Toutes les Russies Cyrille pour le 1025e anniversaire de la Russie.

    "L'adoption de la foi chrétienne a marqué un tournant décisif dans l'histoire de notre pays qui est devenu une partie intégrante de la civilisation chrétienne et une grande puissance mondiale. C'est la foi chrétienne orthodoxe qui a donné une impulsion au développement de la culture et de l'enseignement en Russie. Elle a libéré des forces créatrices colossales, a encouragé le peuple russe et l'a soutenu pendant des périodes difficiles. L'Eglise orthodoxe russe a toujours été avec son peuple", est-il indiqué dans le message rendu public par le service de presse du Kremlin.

    Le président a également mis en valeur le rôle du Patriarcat de Moscou dans le renforcement de la coopération internationale et le développement du dialogue avec les Eglises orthodoxes d'autres pays.

    Des festivités consacrées au 1025e anniversaire de la christianisation de la Russie se déroulent sur l'ensemble du territoire canonique de l'Eglise orthodoxe russe, en Russie et à l'étranger. Y participent les chefs des Eglises orthodoxes du monde entier, y compris huit Patriarches.

  • Les Verts allemands s'adonnaient à la pédophilie dans une communauté Emmaüs

     

    Au début des années 80, dans la communauté Emmaüs de Kamp-Lintfort, près de Daschsberg en Allemagne, la pédophilie était pratiquée et encouragée au quotidien par un groupe d’écologistes. Aujourd’hui les Verts allemands aimeraient bien faire oublier que dans les années 70 et 80, une partie d’entre eux demandaient la légalisation de la pédophilie et considéraient le sexe entre adultes et enfants comme une des avancées de la grande libération sexuelle de mai 68.

    La pédophilie, c’est écolo

    Il s’agit bien ici d’une communauté du Mouvement Emmaüs fondé par l’Abbé Pierre mais le mouvement lui-même n’est pas en cause. Le 21 juillet l’hebdomadaire allemand Die Welt a publié des témoignages de victimes de l’idéologie pédophile des Verts allemands dont certains affichaient publiquement leur goût pour les enfants et les jeunes adolescents. Un témoin raconte à Die Welt comment, dans cette communauté colonisée et détournée de ses objectifs par un groupe d’écologistes allemands, des enfants de 12 ans recevaient des bonbons, de l’argent de poche, des magazines pornographiques et des cigarettes quand ils acceptaient d’avoir des contacts sexuels avec des adultes. On disait à chaque enfant que c’était à lui de décider, mais dans la réalité, affirme aujourd’hui un enfant de l’époque, les jeunes membres de la communauté étaient exploités sexuellement, et ce de manière répétée. Parmi les délinquants sexuels, il y avait Herman Meer, membre de la direction des Verts du Land de Rhénanie-du-Nord – Westphalie et chef de la communauté Emmaüs en cause. Meer ne cachait son attirance pour les jeunes garçons. Il disait agir comme les philosophes grecs qui avaient des relations sexuels avec leurs élèves. En septembre 1983, la communauté de Kamp-Lintfort a accueilli un congrès des jeunes Verts qui a surtout débattu du sexe avec les enfants. Les participants étaient partagés à peu près à égalité entre les partisans d’un abaissement de l’âge de l’initiation sexuelle et ceux qui s’y opposaient. Si certains proposaient d’abaisser à 12 ans l’âge légal pour le sexe entre adultes et enfants, d’autres ne voyaient aucun problème à avoir des contacts sexuels avec des enfants de 6 ans.

    Capture d'écran de l'article de Die Welt mis en ligne sur le site de l'hebdomadaire

    Capture d’écran de l’article de Die Welt mis en ligne sur le site de l’hebdomadaire

    Quand les différentes mouvances socialistes se rencontrent

    Comme si cela ne suffisait pas pour compromettre les Verts, ce congrès a été organisé par Werner Vogel, membre du parti vert allemand mais aussi ancien membre des sections d’assaut du Parti national-socialiste des travailleurs allemands (le parti nazi), mieux connues sous le sigle SA. S’il a démissionné du parti écologiste allemand, Werner Vogel a continué par la suite à militer pour les Verts.

    Le chef actuel des Verts en Allemagne, Cem Özdemirm, se dit extrêmement choqué par les témoignages des victimes de pédophilie et la direction des Verts a commandé une enquête indépendante sur le passé pédophile du parti. Toutefois, le 29 avril dernier le quotidien Frankfurter Allgemeine Zeitung dévoilait que les Verts avaient interdit l’accès à certaines archives concernant l’eurodéputé Daniel Cohn-Bendit et un autre député dont le nom n’était pas donné, des archives qui concerneraient le passé pédophile des deux personnages (voir l’article ici).

    En mai, Der Spiegel a publié des documents provenant des archives du parti vert allemand qui montraient que l’organisation fédérale des Verts et son club parlementaire finançaient un «groupe de travail sur les homosexuels, les pédérastes et les transsexuels» (Bundesarbeitsgemeinschaft Schwule, Päderasten und Transsexuelle - BAG SchwuP). Ces archives confirment également l’engagement des Verts en faveur d’une approche «libérale» de la pédophilie que beaucoup d’entre eux souhaitaient rendre légale.

    Une partie de la gauche et de l’extrême-gauche française a elle aussi, à la même époque, défendu la pédophilie. Voir à ce propos cet article publié sur 24heuresactu.com avec les noms des membres de nos «élites» soixante-huitardes françaises qui défendaient la pédophilie dans une lettre ouverte aux parlementaires publiée par les journaux Le Monde et Libération en 1977. Les mêmes défendent aujourd’hui le «mariage» entre personnes du même sexe et le droit d’adopter des enfants pour ces duos nouvellement «mariés». Dans les deux cas, on a bien sûr affaire à des adultes qui instrumentalisent les enfants pour satisfaire leurs désirs. Mais pourquoi s’étonner de cette instrumentalisation alors qu’on autorise déjà l’Infanticide Voulu pendant la Grossesse depuis les années 70 ?

    Nouvelles de France - 29/07/13

  • Septième décès dans le déraillement du train de Brétigny

    http://www.leparisien.fr/essonne-91/septieme-deces-dans-l-accident-de-train-de-bretigny-29-07-2013-3016229.php

  • Rome: manifestation contre l'ancien SS Erich Priebke le jour de ses 100 ans

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    ROME (Reuters) - Plusieurs dizaines de manifestants, dont des membres de la communauté juive italienne, ont manifesté lundi au pied de l'immeuble où Erich Priebke, ancien SS responsable du massacre des Fosses ardéatines en 1944, fêtait son centième anniversaire.

    Erich Priebke, ancien capitaine des SS, est assigné à résidence dans la capitale italienne depuis qu'il a été condamné à la prison à vie en 1998 pour ce massacre dans lequel périrent 335 civils près de Rome le 24 mars 1944.

    De brèves échauffourées ont eu lieu au moment où arrivait le petit-fils d'Erich Priebke avec une bouteille de champagne à la main. Les manifestants ont alors scandé "Honte! C'est une honte!"

    "C'est une provocation. Venez avec une bouteille de champagne!", a crié un manifestant.

    En mars 1944, Priebke dirigeait une unité SS qui a exécuté 335 personnes en représailles à la mort de 33 soldats allemands tués dans une attaque à la bombe commise par des partisans non loin de Rome.

    Après la guerre, le SS s'est réfugié en Argentine mais il a été expulsé vers l'Italie après avoir reconnu dans une interview à la télévision américaine son rôle dans un massacre mené, selon lui, contre des "terroristes". Erich Priebke n'a jamais exprimé de remords pour ses actes.

    James Mackenzie, Eric Faye pour le service français

    Yahoo!Actu - 29/07/13