Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 4

  • Révélations sur Meyer Habib

    Emmanuel Ratier évoque l’implication de Meyer Habib, député de la 8e circonscription des Français de l’étranger, vice-président du CRIF, directeur général du groupe Vendôme à Paris (joaillerie de luxe), dans l’attaque par l’« Organisation juive de combat » (Bétar) de la fête de commémoration de Jeanne d’Arc le 8 mai 1988 – attaque ayant blessé 8 personnes, dont une grièvement .

    E&R

  • La police de Valls a empêché la dispersion des manifestants

     

    Un lecteur confirme la souricière qui a été installée par la police de façon à coincer les manifestants et à en embarquer le maximum :

    "Je vous confirme la souricière montée par les forces de l'ordre à l'issu de la manifestation. J'ai quitté immédiatement la manifestation au moment ou elle a été officiellement terminée Les organisateurs venaient de demander de ne pas céder aux multiples provocations policières et effectivement de nombreux policiers en civil étaient là comme d'habitude pour créer des troubles.

    Je me suis dirigé avenue de Tourville pour m'en aller et j'ai vu que tout était bouclé par des armadas de CRS et de gendarmes. N'ayant pas l'habitude de me laisser faire, je suis allé directement au contact et j'ai vu qu'ils laissaient passer uniquement à un endroit sur 1 mètre au niveau du trottoir de droite, tout en nous disant de nous dépêcher alors que nous étions dans les premiers et que le gros était encore place Vauban.

    Après être passés, nous les avons pris à revers avec une centaine de personnes très calmes et nous leur avons intimé de dégager le passage pour laisser passer les manifestants au lieu de chercher à créer du désordre. En vain: ils nous ont fait face et je leur disais qu'ils servaient une dictature en obéissant à des ordres illégaux et illégitimes. Ils n'ont pas ouvert le passage pour autant. Je leur ai fait remarquer qu'on avait les images et que je les filmais, ils ont alors reçu l'ordre d'avancer vers les manifestants et se sont exécutés ne laissant pas les manifestant se disperser. Je leur ai crié à plusieurs reprises qu'ils étaient la honte de l'armée et de la France et qu'ils bafouaient les valeurs militaires et leur honneur, même ceux qui parurent touchés par mes paroles ont continués."

    Détention arbitraire derrière les barbelés de la rue de l'Evangile :

     

    Michel Janva

  • Provocations policières : Jacques Bompard questionne Manuel Gaz

     

    M. Jacques Bompard attire l'attention de M. le ministre de l'intérieur sur les arrestations massives après la manifestation du 26 janvier 2014 :

    "262 personnes ont été interpellées et 250 placées en garde à vue suite à la manifestation du 26 janvier organisée par le collectif "Jour de colère". Suite à l'ordre de dispersion lancé à 18h05, toutes les voies de sortie ont été bloquées par les forces de l'ordre à 18h10, empêchant ainsi la foule de sortir rapidement de la place Vauban. Dans le même temps, les forces de l'ordre utilisait des gaz lacrymogènes sans sommation, prétendument pour accélérer l'évacuation de la foule. Jacques Bompard s'étonne des provocations policières, comme le cas de cet homme de 70 ans passé à tabac par la police sans raison apparente.

    Jacques Bompard demande à Monsieur le ministre de l'intérieur si la présence massive de "policier en civils", sans insignes permettant de les identifier mais reconnaissables par leurs oreillettes, comme ce fut le cas lors des manifestations contre la loi Taubira, la première cause de désordre puisque ces policiers ont pour but de provoquer les manifestants afin de les amener à avoir un comportement violent.

    M. Jacques Bompard demande à M. le ministre de l'intérieur de prendre des sanctions contre ceux qui ont pris la décision d'utiliser des méthodes de basse police pour semer le trouble au sein d'une manifestation pacifique et demande si la police a reçu l'ordre, comme c'était le cas lors des manifestations contre le mariage gay d'arrêter un nombre maximum de personnes afin de discréditer les organisateurs de la manifestation aux yeux de l'opinion publique."

    Michel Janva

    Le Salon Beige

  • Quand les professeurs ont du mal à enseigner la Shoah

    PHOf53a1bcc-86a9-11e3-a42c-95458c61139c-805x640.jpg

    Des collégiens à Auschwitz  en 2009

     

     

     

     

    Des élèves contestent l'évocation du génocide juif. L'affaire Dieudonné a ravivé un antisémitisme latent.

    Avec l'affaire Dieudonné, une digue morale vient de sauter dans les établissements scolaires, selon certains enseignants interrogés par Le Figaro. «La Shoah, j'en suis gavé depuis la classe de troisième. Entre les émissions de télé, les séries, l'école, on ne parle que de ça. Moi, ça me fait du bien d'en rire avec Dieudonné.» Voici ce qu'a entendu la semaine dernière un professeur d'histoire parisien lors d'un cours consacré à la Seconde Guerre mondiale. «Pourquoi parle-t-on tout le temps du génocide juif et pas du génocide rwandais ou cambodgien?», écrit une élève à la fin d'un devoir d'histoire sans vouloir réaliser, apparemment, qu'elle vit en France. Le mois dernier, une enseignante, professeur contractuelle d'histoire-géographie dans un lycée de Saint-Priest (Rhône), a déposé plainte en raison d'attaques à caractère antisémite de ses élèves. Elle s'est ainsi entendu dire: «On ne veut pas d'une juive comme professeur dans notre classe.»

    Sur certaines photos de classe abondamment médiatisées, des élèves font, depuis deux ans environ, le signe de ralliement à Dieudonné, la «quenelle», ce geste que le ministre de l'Intérieur a récemment qualifié d'antisémite mais que les élèves revendiquent plutôt comme «antisystème». Déjà en 2009, alors qu'un enseignant de mathématiques du Blanc-Mesnil avait été la cible d'une inscription anti-juive, la conseillère principale d'éducation du lycée y voyait l'influence de Dieudonné:«Son auteur aurait été influencé par des idées véhiculées dans les banlieues, et par le polémiste qui y fait parfois figure d'idole», estimait-elle.

    « Il faut entrer dans cette question par le nazisme, par la politique. Si les souffrances ne peuvent être comparées, les systèmes politiques peuvent l'être »

    Iannis Roder , professeur d'histoire en Seine-Saint-Denis et formateur au Mémorial de la Shoah

    «Dans certains endroits, il est difficile d'enseigner tout court, ce sont ces endroits où les élèves sont trop éloignés de l'école. Ailleurs, il n'y a pas de difficulté spécifique à enseigner la Shoah», estime toutefois Sophie Ernst, professeur de philosophie, enseignante dans le Val-de-Marne. Avant la forte médiatisation du bras de fer mené par Manuel Valls pour annuler la nouvelle tournée de Dieudonné, avance-t-elle, «une bonne moitié d'élèves» n'avaient jamais entendu le nom du personnage. «Depuis, certaines voix se sont élevées pour dire qu'on en parlait beaucoup parce que les juifs étaient visés.»

    «Aujourd'hui, la mémoire est devenue l'affaire de chaque communauté souffrante. Chacun réclame son droit à l'histoire», regrette la philosophe qui propose de réinscrire l'enseignement de la mémoire dans celui de la morale laïque. «On a communautarisé la mémoire, alors que la visée aurait dû rester universaliste.»

    Rapportant les propos de professeurs démunis face à l'affaire Dieudonné, Vincent Peillon estime que «cette situation n'est pas tolérable». L'enseignement de la Shoah doit-il être remis en question? Pour nombre d'historiens, on a trop souvent considéré l'évocation de cette période de l'histoire comme un moyen de lutter contre l'antisémitisme. Au risque de mélanger les genres. Cet enseignement a aujourd'hui adopté une approche résolument scientifique. Mais pour Iannis Roder *, professeur d'histoire en Seine-Saint-Denis et formateur au Mémorial de la Shoah, des progrès considérables restent à faire.

    Les professeurs qu'il voit passer - environ 1 000 par an - viennent rechercher des contenus. «Lediscours public laisse à penser que l'on connaît tout sur cette période. Nous sommes abreuvés de Shoah, mais les choses sont mal dites.» Iannis Roder combat ce qu'il appelle «la pédagogie de l'horreur». «En choquant, on paralyse la pensée», poursuit celui qui bannit le film Nuit et Brouillard pourtant souvent diffusé en classe de troisième ainsi que «les pèlerinages doloristes à Auschwitz». D'aucuns estiment même que ces voyages pensés comme des vaccins antiracistes sont un ratage complet. «Il faut entrer dans cette question par le nazisme, par la politique. Si les souffrances ne peuvent être comparées, les systèmes politiques peuvent l'être», résume l'enseignant qui entend ainsi couper court aux interrogations communautaristes classiques formulées par certains élèves.

    * L'un des auteurs de l'ouvrage «Les territoires perdus de la République», paru en 2002.

    Le Figaro

     

  • Adhésion de la Turquie à l'UE : Hollande annonce un référendum

     

    Elisa Perrigueur | Publié le 27.01.2014, 12h28 | Mise à jour : 17h25

                                                                                               

     Lundi 27 janvier 2014. Ankara. François Hollande a été accueilli ce lundi dans la capitale turque par le président du pays Abdullah Gül. 

                    

     

                                     

     C'était un grand oral complexe. François Hollande, en visite officielle de deux jours en Turquie -une première depuis 22 ans- a donné ce lundi une conférence de presse à Ankara aux côtés de son homologue turc, le Abdullah Gül.



    Sur fond de crise politique et financière turque, plusieurs questions délicates mettent à mal la relation Paris-Ankara, à l'instar de l'adhésion turque à l'Union européenne. Le Président Hollande a insisté sur ce point, très sensible en Turquie et annoncé la tenue d'un référendum en France sur la question.

    «Le peuple français aura le dernier mot»

    Durant la conférence, le président turc Abdullah Gül a déclaré attendre de la France qu'elle ne «bloque pas» le processus d'adhésion, comme cela avait été le cas sous Nicolas Sarkozy, qui avait clairement exprimé son refus d'une Turquie dans l'UE. Très prudent, François Hollande a souligné que la fin des discussions sur une entrée éventuelle de l'UE était encore loin. «Seuls 14 chapitres sur 35 devant être traités ont été ouverts», a t-il rappelé soulignant que toutes les questions, même «difficiles», devront être traitées et qu'il n'y avait aucune date prévue sur la fin des discussions.

    «Il faut terminer ces négociations et on verra ce que diront le jour venu les peuples français ou turc», a conclu François Hollande, précisant que ce projet d'adhésion serait soumis à un référendum en France et que les Français «auront le dernier mot». Et de conclure : «Inutile d'agiter les peurs» dès aujourd'hui. 

    Candidate depuis 1999 à l'UE, la Turquie reste bloquée aux portes de l'Europe. Selon un sondage Ifop publié récemment, 83% des Français sont réfractaires au projet d'adhésion de la Turquie à l'UE. La plupart mettent en avant les disparités culturelles, la religion et la situation économique défavorable en Europe pour justifier leur refus. Côté turc, la population se lasse des longues négociations et la frustration gagne. Selon des enquêtes d'opinion, seulement la moitié de la population souhaite intégrer l'Union.

    Le Parisien
  • La liaison du fils de Netanyahou avec une non-juive fait scandale

    3532637_bibi_545x341.png

     

     MP.R | 27 janv. 2014, 13h31 | MAJ : 16h12  

     
     
    Yair Netanyhaou, 23 ans, et Sandra Leikanger, 25 ans, se sont rencontrés sur les bancs de luniversité IDC Herzliya, au nord de Tel-Aviv (Israël).
                                                            
    La dernière idylle du fils de «Bibi» est en passe de devenir une affaire d'Etat. Depuis quelques mois, le fils du Premier ministre israélien, Yair Netanyahou, 23 ans, file le parfait amour avec une belle Norvégienne de deux ans son aînée, rencontrée sur les bancs de l'université IDC Herzliya, au nord de Tel-Aviv. Mais Sandra Leikanger, étudiante en communication visuelle, n'est pas de confession juive : un scandale aux yeux des élus conservateurs et orthodoxes de l'Etat hébreu.

    Le père, Benyamin Netanyahou, qui a lui-même été marié à une non-juive (Fleur Cates, entre 1981 et 1984), n'a pas vu le scandale arriver. Lors d'une rencontre avec son homologue norvégienne, Erna Solberg, la semaine dernière au sommet de Davos (Suisse), il s'est permis d'évoquer la liaison que son fils entretient avec cette jeune femme originaire de Grimstad (sud de la Norvège), selon le journal norvégien Dagen. En lui racontant le voyage que les deux tourtereaux ont fait l'été dernier à travers le pays scandinave, peut-être pensait-il réchauffer les relations diplomatiques entre Jerusalem et Oslo.

    «Un grave problème» à l'échelle nationale

    Mais les paroles du du Likoud (droite conservatrice et nationaliste modérée) sont arrivées jusqu'aux oreilles des représentants du Shass (parti religieux ultra-orthodoxe), qui font partie de la coalition au pouvoir et désapprouvent fermement cette union. «C'est un grave problème, a déclaré le député Nissim Ze'ev, cité par le Jerusalem Post. En tant que Premier ministre d'Israël et du peuple juif, il (NDLR : Benyamin Netanyahou) doit incarner la responsabilité nationale à travers les valeurs qu'il promeut au sein même de son propre foyer. Je suis certain que cela lui fait de la peine. Tout Juif désirant préserver ses origines souhaite que son fils épouse une Juive.»

    A l'intérieur du Likoud aussi, les critiques fusent. «Tout ce que j'ai à dire, c'est que c'est très malheureux», a réagi le député Moshe Feiglin. Comme le rapporte le Jerusalem Post, le représentant de l'Organisation sioniste mondiale, David Breakstone, estime quant à lui que la jeune fille n'aura d'autre choix que de se convertir au judaïsme si la relation devient sérieuse.

    Bibi accusé de cautionner «la destruction du peuple juif»

    D'autres ont tenu des propos bien plus radicaux. Comme Leava, une organisation défendant le principe de la non-assimilation, c'est à dire qui s'oppose à l'union des Juifs avec des non Juifs - particulièrement avec des Arabes. Benamin Netanyahou «est fier de lui (NDLR : de son fils Yair) et légitimise l'assimilation et la destruction du peuple juif», a écrit Leava ce dimanche sur son compte Facebook. Cette organisation s'était déjà fait connaître en 2010 en sommant publiquement le mannequin israélien Bar rafaeli de mettre fin à sa relation avec l' américain non-juif Leonardo DiCaprio.

    «Bibi» n'a pas encore répondu à ses détracteurs. Si la conversion au judaïsme de Sandra Leikanger n'est pas à l'ordre du jour, cela reste une hypothèse envisageable. Elle est issue d'une famille chrétienne évangélique pro-israélienne. Sa soeur Ida, qui vit en Israël avec elle, s'est convertie au judaïsme. En outre, sur Facebook, Sandra appartient à un groupe de soutien à «Israël el et à l'armée de défense d'Israël».
     
    Le Parisien
  • Israël : raid aérien contre une base militaire en Syrie

         

    Israel : raid aérien contre une base militaire en Syrie
     

    Par La Voix de la Russie | Les médias syriens font état d'un raid des forces aériennes d'Israël contre une base militaire située dans la ville portuaire de Lattaquié en Syrie. L'information sur ce raid qui aurait été effectué dans la nuit du 26 au 27 janvier n'a pas été confirmée officiellement.

     Selon les journalistes les fonctionnaires israéliens craignent la transmission d'armes modernes depuis la Syrie au Hezbollah.

     Lattaquié est le port dans lequel, conformément au plan de l'ONU, les agents toxiques les plus dangereux de l'arsenal chimique syrien doivent être transportés pour être embarqués et pour être détruits en mer. 
    http://french.ruvr.ru/news/2014_01_27/Israel-raid-aerien-contre-une-base-militaire-en-Syrie-1468/

  • Jour de colère: grand succès de la manifestation anti-Hollande !

    http://www.contre-info.com/jour-de-colere-grand-succes-de-la-manifestion-anti-hollande

    + 3 VIDEOS

  • Pétition pour la dissolution du groupe Femen

    Merci d'avoir signé la pétition au Premier Ministre pour obtenir la dissolution immédiate du groupe Femen, l'abrogation du statut de "réfugiée" à son chef Inna Shevchenko et son expulsion du territoire national.

     

    Votre pétition a été dûment transmise au Premier Ministre.

     

    Faites connaître cette pétition autour de vous, à votre carnet d'adresses et aux réseaux sociaux !

     

    http://www.christianophobie.fr/

     

    https://www.facebook.com/pages/Observatoire-de-la-christianophobie/140685765988746

  • Eric Zemmour: "Il y a un projet totalitaire d'imposer une religion de l'indifférenciation..."

    http://www.ndf.fr/poing-de-vue/25-01-2014/eric-zemmour-il-y-un-projet-totalitaire-dimposer-une-religion-de-lindifferenciation-entre-hommes-et-femmes-entre-francais-et-etrangers-etc?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+ndf-fr+%28Nouvelles+de+France%29

    2 VIDEOS

  • Le bal du Philharmonique de Vienne

  • Béatrice Bourges a commencé une grève de la faim

    sans-titre.png

     

    Comme elle l'a annoncé à la fin du Jour de Colère, Béatrice Bourges a commencé une grève de la faim, au Mur de la Paix, sur le Champ de Mars.

    Il est possible de venir la soutenir en venant en mode "Sentinelle" ou en lui apportant de l'eau.

    Par ailleurs, le Jour de Colère met en ligne un sondage pour demander la destitution de François Hollande.

    Michel Janva

    Le Salon Beige

  • Interpellations : Jour De Colère répond aux mensonges de Manuel Valls

     

    Mise au point du Jour De Colère après les propos de Manuel Valls :

    "Tandis que le ministre de l’intérieur Manuel Valls répand ses mensonges dans les médias, les organisateurs du Jour De Colère tiennent à apporter les mises au point suivantes. Jour De Colère condamne avec la plus grande fermeté les violences contre des manifestants pacifiques, commises par des provocateurs de la police, sans uniforme, agressant les forces de l’ordre elles-mêmes pour leur fournir un prétexte à la répression.

    Les unités de maintien de l’ordre ont fait preuve d’une attitude extrêmement agressive et ultra provocatrice, usant, sans sommations, de tirs de flashball et de gaz lacrymogènes sur la foule. Le ministère de l’Intérieur prétend que des interpellations ont eu lieu, en un nombre toutefois infime au regard des 120.000 manifestants pacifiques et déterminés qui ont défilé cet après-midi dans Paris.

    Selon les avocats du Jour De Colère, aucune de ces interpellations n’est actuellement confirmée, il s’agirait donc d’une provocation supplémentaire. Notre mode d’expression n’a jamais été celui de la violence, en témoigne la résolution annoncée lors de la manifestation d’exiger des parlementaires la mise en œuvre de la procédure de destitution du président de la République prévue par l’article 68 de la Constitution. Cet article confie aux parlementaires des deux assemblées réunis en Haute Cour de Justice la responsabilité de prononcer cette destitution en cas de manquement grave rendant impossible la poursuite du mandat. Toute la présidence de François Hollande depuis mai 2012 n’est qu’une suite de manquements, le Jour De Colère pose donc aujourd’hui un ultimatum à la représentation nationale.

    Jour de Colère ne fait que commencer."

    Michel Janva

    Le Salon Beige

  • Souricière de fin de manifestation : même des journalistes sont en garde à vue

     Une manifestante me raconte :

    "Avec mon mari, nous sommes allés à la manifestation Jour de Colère ; même si elle a avait un caractère grave, elles est restée calme et pacifique.  Nous sommes restés sur la place Vauban jusqu’à 18H00 jusqu’au dernier discours. Nous avions garé notre voiture à proximité immédiate de la place Vauban.  En voulant sortir du quartier avec notre voiture, nous nous sommes aperçus que le quartier avait été complètement bouclé en deux heures de temps.

    Dans chaque rue avoisinante de la place Vauban, les CRS étaient nombreux, sur deux rangées, cachés dans l’ombre  et barraient chaque rue.  Impossible de sortir.  Nous étions dans l’impasse.  Lors d’un xème essai de sortie, nous avons vu tout d’un coup deux rangées de CRS armés jusqu’aux dent avancés vers nous.  Nous avons juste eu le temps de faire demi tour. Je n’ose pas imaginer ce qui aurait pu se passer.

    Pendant ce temps là, la foule pacifique qui voulait quitter à pied la place Vauban s’est retrouvée bloquée sur l’avenue de Villars et se sont fait ensuite encerclés par l’arrière par ces fameux CRS. Nous en avons été témoin.

    C’était de la provocation pure à faire peur, à penser qu’en nous faisant peur, nous ne retournerions plus manifester.

    Nous reviendrons ! En attendant, deux de nos grands enfants  nous ont confirmés par texto avoir été encerclés, ils sont en garde à vue actuellement. Peut-être aussi nos deux autres grands enfants que nous n’avons pas réussi encore à joindre.

    Ils ne doivent pas être les seuls.

    Quant aux journaux télévisés, c’est l’omerta totale ! le totalitarisme se confirme chaque jour un peu plus. Il va nous falloir résister de plus en plus."

    Apparentés à des manifestants, des journalistes ont été placés en garde à vue. La police de Valls a visiblement reçu l'ordre de faire du chiffre (on parle de 250 interpellations) et non d'arrêter les auteurs de violence.

    Michel Janva

  • Bordeaux: les riverains s'opposent au projet de grande mosquée

    Alain-Juppe-Credit-UMP-Photos-via-Flickr-cc-600x400.jpg

    Alain Juppé

    26/01/2014 – 13h00
    BORDEAUX (NOVOpress via Infos Bordeaux) –
    Nos confrères de Sud-Ouest ont publié un article relatant l’opposition farouche des riverains du quartier de la Benauge à Bordeaux, quant au projet de centre islamique dans leur quartier.

    Voulu par Alain Juppé (photo), ce projet comprendrait notamment une mosquée de 3500 places, ainsi qu’une bibliothèque, une librairie, et encore une école coranique. Pour un des riverains, Gilles Darnaudéry-Harté, « Ni la mairie, ni les responsables d’Euratlantique ne répondent à nos demandes. À chaque réunion organisée, ce n’est jamais l’heure ni le lieu pour aborder ce projet sensible de future mosquée alors que nous sommes directement concernés par ce futur chantier. Plusieurs voies de circulation secondaires vont devoir être créées, ainsi que des lignes de transports en commun pour desservir le site. Le projet ne prévoit pas la création d’un parking. Ou vont se garer les fidèles ? »

    Bordeaux : Les riverains s’opposent au projet de grande mosquée

    Les riverains reprochent notamment à la municipalité la destruction programmée du stade Promis (photo) « alors que six établissements scolaires sont implantés dans le secteur et fréquentent le site ».

     

    Selon le quotidien, « s’ils ne sont pas entendus dans de brefs délais, ces habitants prévoient de durcir leur mobilisation avant d’envisager une probable pétition ».

    Le Front national organise quant à lui une grande manifestation le 8 février prochain (à 15h, Place Stalingrad à Bordeaux) afin de dénoncer un projet « démesuré qui fera exploser le communautarisme à Bordeaux ».

    Crédit photo en Une : UMP Photos, via Flickr, (cc). Crédit photo dans le texte : DR.

     

  • "C'est un ras-le-bol général. C'est en cela que ce mouvement hétéroclite prend tout son sens"

    article_homen.jpg

    article_WEB-JOURDECOLERE-8.jpg

     

    REPORTAGE – A l’appel d’une cinquantaine d’associations, plusieurs milliers de manifestants du collectif «Jour de colère» ont défilé à Paris ce dimanche pour réclamer la démission de François Hollande…

    Sur la place de la Bastille ce dimanche, une nuée de drapeaux français s’agitent. Près de 17.000 personnes selon la police, 120.000 selon les organisateurs se sont réunies à l’appel du collectif «Jour de colère» qui fédère une cinquantaine d’associations. Avec un mot d’ordre commun: «Hollande démission». Parmi eux, Bernard, qui arbore avec fierté une casquette sur laquelle on peut lire «Attention Hollande, demain, ça Valls». Ce retraité est venu de Haute-Savoie pour manifester son «ras-le bol de Hollande et de sa politique». «Il nous taxe de partout, mes impôts ont augmenté de 30% cette année. En revanche, l’immigration progresse. Les étrangers viennent chez nous et on leur donne tout», explique-t-il, tout en se revendiquant  comme apolitique.

    A ses côtés,  Thierry, directeur d’un centre équestre dans l’Ain, n’en est pas à son premier acte de rébellion contre le gouvernement. Le 16 janvier dernier, il a déversé 20 tonnes de fumier devant le Palais Bourbon et ne compte pas s’arrêter là: «C’est une république bananière pour laquelle le peuple est inaudible. Je ne suis pas là que pour protester contre l’équitaxe, mais pour dénoncer toute la classe politique, de droite comme de gauche qui mène la même politique depuis des années. Avec les agriculteurs et les routiers, on organisera des actions plus musclées», promet-il.

    Les bonnets rouges aux côtés des mères de famille

    Dans la foule, les pancartes témoignent de l’hétérogénéité du mouvement: «Touraine, la sécu ne passera pas par nous», «Non à l’éolien industriel», «Non au mariage homo»… Des manifestants portant des bonnets rouges côtoient les mères de famille de «La Manif pour tous» et les groupes de jeunes. Des drapeaux bretons ou avec une fleur de lys, croisent des drapeaux tricolores. «Ce gouvernement nous donne 1.000 raisons de protester», hurle une voix au mégaphone. «Non au racket fiscal», lui répond en chœur la foule. Des employeurs en difficulté sont aussi là pour afficher leur grogne: «Nous sommes étranglés par les réglementations et par les cotisations de toutes sortes», explique ainsi Pierre.

    Une diversité des revendications qui ne gène pas Michèle, qui a fait le déplacement de l’Allier: «C’est un ras le bol général, c’est en cela que ce mouvement hétéroclite a tout son sens», explique celle qui a défilé l’an dernier de nombreuses fois avec la «Manif pour tous». D’ailleurs ses motifs de grogne sont multiples aujourd’hui: «J’aurais pu être sous toutes les bannières. Car je suis tout aussi révoltée contre la loi Taubira que contre les robinets de l’immigration qui sont trop ouverts», souligne-t-elle.

    La Marseillaise entonnée en chœur

    A ses côtés, Alain des Hauts-de-Seine affiche clairement son soutien à Civitas. «Ce gouvernement a des projets sataniques. Entre le mariage pour tous et la théorie du genre qu’on veut enseigner aux enfants à l’école, c’est l’antéchrist au pouvoir», soutient-il. En bout de cortège, quelques centaines de sympathisants de Dieudonné, dont le portrait est flanqué sur un drapeau, crient «Liberté d'expression», pour faire allusion à l'interdiction du spectacle «Le Mur».

    Dans les rangs dispersés, peu de visages connus, hormis Christian Vanneste, président du Rassemblement pour la France: «Je proteste contre le mensonge instauré en mensonge officiel et contre l’humiliation internationale que nous inflige ce gouvernement. Dans n’importe quelle autre démocratie, Hollande serait viré à coup de pompes dans le derrière», ironise-t-il devant son auditoire conquis.

    A 14h30, les manifestants sont invités à entonner la Marseillaise. La pluie battante ne semble pas décourager les nouveaux participants, qui déferlent sur la place de la Bastille. Les premiers cortèges commencent à battre le pavé en direction des Invalides en scandant «Hollande dégage». «A force d’entrainer du monde derrière nous, on va finir par déstabiliser le gouvernement», avance Bernard, un large sourire aux lèvres.

    Delphine Bancaud
     
    20minutes.fr
  • Au moins 250 interpellations lors de la manifestation anti-Hollande

    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2014/01/26/01016-20140126ARTFIG00158-la-manifestation-heteroclyte-hostile-a-hollande-degenere-en-violents-accrochages.php

  • La phrase du jour (3)

    "J'ai un amour immense pour tous ces humbles et tous ces pauvres qui peinent et triment pour une poignée de flibustiers cosmopolites"

    Edouard Drumont

  • La phrase du jour (2)

    " Toutes les colombes sont des Robespierre à plumes blanches"

    Balzac