« On devrait fonder une chaire pour l'enseignement de la lecture entre les lignes. »
Léon Bloy
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Léon Bloy
Alain Soral rejoint "Jour de colère" par ERTV
E&R
C’est la dixième visite du leader palestinien dans la capitale russe depuis son élection en 2005. L’Autorité palestinienne considère la Russie comme un médiateur clé dans la reprise des pourparlers avec Israël. Moscou a soutenu il y a une année la reprise des consultations palestino-israéliennes qui doivent déboucher sur des ententes arrangeant les deux parties et sur la fondation d’un Etat palestinien vivant en paix avec Israël. Mahmoud Abbas a félicité Vladimir Poutine de ses succès sur l’échiquier international et a exprimé l’espoir que Moscou jouerait un rôle clé dans le règlement au Proche-Orient. Le leader russe a noté le contenu particulier des liens bilatéraux.
« Les relations russo-palestiniennes reposent des fondements historiques solides. Nous entretenons les contacts au niveau politique : sur le règlement palestinien et sur la situation dans la région en général, nous coopérons activement sur l’échiquier international. Il faut déployer des efforts substantiels en vue de promouvoir les liens économiques. Je suis heureux de la possibilité qui nous est offerte d’examiner le vaste éventail des relations bilatérales et internationales.»
Le président palestinien a déclaré, quant à lui, que la Russie était une grande puissance, membre du Quartette international pour le règlement au Proche-Orient et un Etat ami pour l’Autorité palestinienne ayant ses intérêts dans la région.
« Nous sommes heureux des succès politiques de la Russie, de son grand poids politique dans les relations internationales, en premier lieu dans le contexte de Genève 1 et Genève 2, de la destruction des armes chimiques en Syrie et de l’entente sur le problème nucléaire iranien. La Russie se fait valoir en tant qu’acteur actif et influent dans le monde. Nous nous prononçons pour que la Russie joue un rôle central dans le règlement au Proche-Orient.»
Les parties ont intensifié ces derniers temps la coopération dans divers domaines. Les projets dans le secteur énergétique sont tout particulièrement vastes. Il n’est pas exclu que Gazprom prospecte un gisement sur le plateau méditerranéen de la bande de Gaza.
Les contacts humanitaires sont non moins intenses. Les parties poursuivent la construction d’un centre culturel, d’affaires et de sports à Bethléem dont il est prévu de faire cadeau aux habitants de la ville. Les spécialistes russes sont prêts à participer à la reconstruction du centre historique et religieux de Bethléem.
Après Napoléon Bonaparte, destinataire d’un courrier adressé par l’Insee en décembre à Ajaccio, c’est au tour de Philippe Pétain de recevoir une curieuse lettre à son nom.
La missive, glissée dans une enveloppe à fenêtre aux allures de courrier officiel, est arrivée vendredi dans la boîte à lettres de l’ossuaire de Douaumont (Meuse), haut lieu de mémoire de la terrible bataille de Verdun et site historique au cœur des commémorations du centenaire de la Première Guerre mondiale.
La lettre, postée le 14 janvier depuis Noyelles-sous-Lens (Pas-de-Calais), est adressée à « M. Philippe Pétain, 4, Douaumont 55100 Ultime-Vaux ».
Si le code postal est celui de Douaumont, la commune mentionnée, en revanche, n’existe pas. Vaux est l’un des neuf villages fantômes, rayés de la carte durant la bataille de Verdun en 1916 et dont l’existence administrative est maintenue au nom de la mémoire.
Quand Olivier Gérard, directeur de l’ossuaire, décachette l’enveloppe, il a du mal à en croire ses yeux : il tient en effet entre les mains une lettre… de rappel pour une facture d’abonnement à un programme de télévision, « TV Grandes Chaînes ». Il est demandé à Philippe Pétain de s’acquitter de l’abonnement de 1,99 € par mois en retournant « le titre de paiement accompagné d’un RIB dans l’enveloppe jointe », selon la formule consacrée.
L’intéressé — décédé le 23 juillet 1951 à l’île d’Yeu — ne doit pas prendre en compte cette lettre de relance « si le règlement a été réalisé entre-temps », précise la lettre.
LeParisien.fr - 26 01 14
Manuel Valls et les services de police auront tout tenté pour empêcher le Jour de colère. Mensonges dans les médias, tentatives de diabolisation politique, divulgation d’informations personnelles sur les militants… Pour finir, la Préfecture de Police a refusé le tracé de la manifestation déposé par les organisateurs.
L’oligarchie au pouvoir doit être bien inquiète pour tenter de détourner le cortège du JDC sur plus de 6,5 km, en lui faisant traverser la Seine à Austerlitz pour le faire arriver derrière les Invalides.
Mais le marathon protestataire qui est imposé, sous peine d’interdiction totale, ne calmera pas la colère des Français. C’est tout le contraire ! La préfecture vient déjà d’annoncer entre 80 000 et 100 000 manifestants.
Hollande et sa clique sont en train de réussir ce que les politiciens de droite ou de gauche pensaient impossible : engager 87 % du peuple de France dans la bataille politique. Et les réunir tous : contre lui !
Ce 26 janvier 2014 marque la première étape de ce nouveau combat politique : le Jour de colère. Il ne prendra fin qu’avec le départ de Hollande, par sa démission ou son renvoi.
Les Français unis qui défilent aujourd’hui, de tous horizons et de toutes conditions, ont en commun trois qualités qui leur obtiendront la victoire. Ils sont patriotes ; le drapeau français et ceux de nos provinces sont les seuls à flotter sur tout le défilé. Ils sont non-violents, résolus à laisser le pouvoir tirer le premier, comme à Kiev. Ils sont déterminés, et leur colère ne baissera pas malgré l’arbitraire, les provocations, les dénis de démocratie et les atteintes à la liberté d’expression.
Le Jour de colère appelle à l’émergence d’un nouveau contrat social fondé sur le refus des partis de l’oligarchie, de droite comme de gauche. Ces clivages ne signifient plus rien : le JDC en est la preuve et l’illustration. Quand le Président n’a plus la confiance de l’opinion, il doit céder la place, faute de quoi il devra affronter le peuple souverain. Et sa défaite est déjà assurée. Il vaudrait mieux pour lui qu’il se retire tout de suite. Sinon, le Jour de colère ira le poursuivre dans la rue avant de le chasser dans les urnes. Les patriotes du JDC et tous les citoyens qui les soutiennent vont écrire une nouvelle page de l’histoire de la France : celle du réveil politique de la société civile.
Courte interview d’Alain Soral au départ de la manifestation
E&R
Les chances du Front national aux élections européennes se confirment.
[...] Selon ce sondage, les listes du Front national obtiendraient 23 % des voix, celle de l’UMP 21 % et celles du Parti socialiste et du Parti radical de Gauche 18 %.
Viendraient ensuite, les listes de L’Alternative, le nouveau parti centriste dirigé par Jean-Louis Borloo et François Bayrou, qui récolteraient 11 % des voix, celles de Front de Gauche de Jean-Luc Mélenchon (9 %) et les listes d’Europe Ecologie Les Verts (7 %).
Lire l’intégralité de l’article sur leparisien.fr
E&R
SONDAGE - Bien qu’en légère baisse, le parti de Marine Le Pen fait la course en tête (23%), pour les élections européennes qui auront lieu après les municipales. Le FN devance l’UMP de deux points. Le PS est décroché en troisième position.
A quatre mois du vote, les élections européennes s’annoncent triomphales pour le Front national. Pour la première fois de l’Histoire, le parti d’extrême-droite finirait une élection nationale en tête, selon notre sondage exclusif Ifop-JDD. Il recueillerait 23% des suffrages au soir du 25 mai, dépassant le niveau atteint par Marine Le Pen au premier tour de la présidentielle de 2012. Il y a cinq ans, aux précédentes européennes, le FN avait fait 6,3%.
L’ordre d’arrivée et les scores demeurent emprunts d’incertitude. Aucun des trois partis n’est assuré de sa place exacte sur le podium. "Il faut conserver une certaine prudence, et garder à l’esprit que la campagne sera la plus courte de l’histoire de la Vème République", souligne Frédéric Dabi, directeur à l’Ifop.
La même enquête réalisée en octobre donnait le FN un point au-dessus à 24%. Notre sondage confirme qu’il fait la course en tête. L’UMP finirait bien plus bas qu’il y a cinq ans, quand il avait récolté 28% en s’associant avec les centristes. Le Parti socialiste, lui, s’enlise. L’Alliance (Modem-UDI), elle, démarrerait sur une base solide. Pour EELV, c’est une descente aux enfers. Quant au Front de gauche, il ne parvient pas à faire prospérer le credo anti-bruxellois de Jean-Luc Mélenchon.
Le JDD
E&R 24 01 14
24/01/2014 – 20h45
VIENNE (NOVOpress) - Conspué par l’extrême-gauche autrichienne et française au même titre que tout ce qui peut représenter un certaine tradition, le bal de l’Académie a bien eu lieu cette année. Heinz-Christian Strache, chef du FPÖ, était présent. Environ 6000 manifestants gauchistes ont manifesté aux abords du bal.
Anecdotique : un compte Twitter au nom de Hilmar Kabas, un des hauts gradés du FPÖ, a été cité par les médias autrichiens comme Der Standard (l’équivalent du Monde) et Österreich. Hilmar Kabas y aurait écrit : « 6000 Untermenschen behindern unsere Tradition und beschädigen nicht nur das Image unserer Stadt. #wkr #nowkr #hofburg #wien #chaoten » (6000 sous-hommes endommagent notre tradition et ainsi risquent détruire non seulement l’image de notre ville). Las, il s’avère que le compte est un faux et a été suspendu. Tous les moyens sont bons pour l’extrême-gauche pour tenter de décrédibiliser leurs adversaires du FPÖ.
Monsieur le Préfet,
Je suis le conseil d’une déclarante au nom du collectif Jour de Colère de manifestation qui doit se dérouler dimanche 26 janvier à 14 heures pour aller de la place de la Bastille à la place Vauban.
Bien que la déclaration ait été faite le 7 janvier vous avez finalement décidé d’imposer une modification du lieu d’arrivée Place Vauban hier en fin de matinée, ce qui, pour les organisateurs, pose d’évidentes difficultés matérielles.
Vous avez prétexté la proximité de la place de l’Opéra avec des lieux sensibles, comme si la Place Vauban qui se situe près de l’assemblée nationale n’était pas également un lieu sensible.
En outre, vous avez imposé un parcours rallongé pour éviter les quais et le boulevard Saint-Germain en invoquant des raisons liées à la circulation mais que l’on peut aussi aisément considérer comme une volonté d’occulter délibérément la visibilité de cette manifestation populaire.
La manifestation étant déclarée jusqu’à 18 heures, vous avez affirmé que le délai était largement suffisant.
Cependant, compte tenu de la longueur de ce parcours qui n’est pas du fait des organisateurs qui entendent tout faire pour respecter les délais, il va de soi que tout dépassement de cet horaire, notamment pour tenir des discours qui sont l’un des buts de toute manifestation démocratique, ne pourra leur être imputable et aucune rigueur ne pourra leur être tenue de ce fait.
Enfin, vos services ont cru bon devoir communiquer par des voies occultes à la presse le nom de jeune fille d’une personne initialement co-déclarante, en communiquant notamment des éléments sur son lieu de travail où de nombreux journalistes l’ont appelée.
Ce faisant et, alors qu’elle n’a finalement pour des raisons de disponibilité pas pu signer cette déclaration, certains membres de vos services ont donc révélé des informations détenues au titre du secret et ce dans une évidente intention de nuire.
A cet égard, je m’étonne qu’une journaliste du Journal du Dimanche ait été informée du lieu d’arrivée de la manifestation place Vauban et ce alors qu’aucune information n’avait été faite officiellement par le collectif Jour De Colère, démontrant ainsi qu’un ou plusieurs membres de vos services étaient en lien avec la presse.
Compte tenu de ces éléments et de la malveillance manifeste de certains de membres de vos services, je vous invite à enquêter sur cette évidente violation de la déontologie policière sans préjudice de plainte pénale au titre de l’article 226-13.
Je vous prie de croire, Monsieur le Préfet, en la marque de mon plus profond respect.
Source: ndf.fr
ALTERMEDIA
Il s'agissait du président René Coty, venu rencontrer le pape Pie XII en 1957
Le Salon Beige
Nous attendons la réaction indignée de la féministe Najat Vallaud-Belkacem.
Le Salon Beige
RT. Nigel FARAGE et UKIP très favorisés dans... par hussardelamort
E&R
En Espagne comme en France, la question de l’avortement est revenue dans le débat public.
En France, la loi Veil de 1975 a été renforcée et l’expression « femme enceinte que son état place en situation de détresse » a été remplacé par « le droit des femmes à choisir ou non de poursuivre une grossesse ». Inversement, en Espagne, le gouvernement de Mariano Rajoy revient sur ce « droit » voté sous le gouvernement socialiste de José Luis Rodríguez Zapatero en 2010, le limitant aux cas de viol ou de danger pour la santé physique de la mère. Heureusement pour nos libertés, une (un ?) « Intellectuelle » vigilante veille au grain : Beatriz Preciado.
Directrice du Programme d’études indépendantes au Musée d’art contemporain de Barcelone, Béatriz sévit aussi en France puisqu’elle « enseigne » à Paris VIII. Mais la compagne de Virginie Despentes est surtout une militante homosexuelle, queer et transgenre. Accessoirement, elle s’injecte de la testostérone et porte une moustache à la Zorro. Dans une tribune parue dans Libération du 17 janvier, Béatriz nous éclaire de ses lumières. Morceaux choisis :
« Les politiques de l’utérus sont, comme la censure et la restriction de la liberté de manifester, de bons détecteurs des dérives nationalistes et totalitaires. Dans un contexte de crise économique et politique de l’État espagnol, confronté à la réorganisation du territoire et de son “anatomie” nationale (pensons au processus de sécession de la Catalogne, mais aussi au discrédit croissant de la monarchie et à la corruption des élites dirigeantes), le gouvernement cherche à récupérer l’utérus comme lieu biopolitique dans lequel fabriquer à nouveau la souveraineté nationale. Il imagine qu’en le possédant il parviendra à figer les vieilles frontières de l’État-nation en décomposition. »
« Corps né avec utérus, je ferme les jambes devant le national catholicisme. Je dis à Rajoy et Varela qu’ils ne mettront pas un pied dans mon utérus : je n’ai jamais enfanté, ni n’enfanterai jamais au service de la politique espagnoliste. Depuis cette modeste tribune, j’invite tous les corps à faire la grève de l’utérus. Affirmons-nous en tant que citoyens entiers et non plus comme utérus reproductifs. Par l’abstinence et par l’homosexualité, mais aussi par la masturbation, la sodomie, le fétichisme, la coprophagie, la zoophilie… et l’avortement. Ne laissons pas pénétrer dans nos vagins une seule goutte de sperme national catholique. N’enfantons pas pour le compte du PP, ni pour les paroisses de la Conférence épiscopale. Faisons cette grève comme nous ferions le plus “matriotique” des gestes : une façon de déconstruire la nation et d’agir pour la réinvention d’une communauté de vie post-État nationale où l’expropriation des utérus ne sera plus envisageable. »
E&R
http://www.polemia.com/alain-de-benoist-le-grand-anticipateur/
Aujourd'hui, 21:55 0
© Photo : EPA
Les militants des droits de l'Homme estiment que des centaines de milliers de personnes pauvres ont été stérilisées contre leur gré dans les années 1990. Cependant, les procureurs ont estimé que toutes les opérations ont été effectuées avec le consentement des patients.
Ainsi, le gouvernement Fujimori tentait de contrôler le taux de natalité trop élevé dans le pays, et plus de 300 000 femmes et 24 000 hommes ont été stérilisés depuis plusieurs années.
L’ancien président péruvien Alberto Fujimori continue de purger une peine de 25 ans pour d’autres accusations.
http://french.ruvr.ru/news/2014_01_25/Perou-la-sterilisation-des-pauvres-reconnue-comme-legitime-0775/