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  • Atteintes à la liberté et répression policière : Manuel Valls vs Béatrice Bourges

     

    Communiqué de Jour de Colère :

    WP_20140130_018"Ce jeudi 30 janvier à 12h30, une important intervention de police s'est déroulée dans le 7ème arrondissement de Paris, aux abords de l'Assemblée nationale. Après un bouclage de la place Edouard Herriot par un imposant dispositif policier, un car de la Préfecture de Police de Paris a été amené sur les lieux afin de procéder à des mises en garde à vue.

    Objectif de cette opération : interpeller une femme assise sur un banc. Son nom : Béatrice Bourges. Son crime : avoir entamé depuis 5 jours un jeûne complet pour enjoindre la représentation nationale d'assumer ses responsabilités face à la crise politique que traverse notre pays.

    L'enjeu : permettre la mise en oeuvre de la procédure de destitution du Président de la République pour manquement à l'exercice de ses fonctions, selon les termes de l'article 68 de la Constitution. Cette procédure est en effet aujourd'hui bloquée par une sorte de pacte mafieux entre les parlementaires et le pouvoir, qui prétendent que l'article 68 de la Constitution est inapplicable.

    WP_20140130_006Pour faire taire Béatrice Bourges, le gouvernement a décidé d'employer les grands moyens. Interpellée onze fois dans la seule journée de lundi, alors qu'elle a été rejointe dans son jeûne par une autre femme, elle a également subi des pressions psychologiques et physiques. La police, en particulier, a cherché à la priver de sommeil la nuit, qu'elle passe à proximité du Mur de la Paix sur le Champs de Mars, avant de rejoindre la place Edouard Herriot la journée. Sur cette place, d’innombrable atteintes à sa liberté de mouvement ont pu être constatées par des supporteurs venus la saluer, eux-mêmes victimes des tracasseries de la police.

    Mardi, la police est intervenue une première fois pour l'interpeller sur ordre du Ministre de l'Intérieur, qui se rendait à l'Assemblée pour les questions orales au gouvernement. Le député Guillaume Larrivé a demandé, lors de cette séance, la démission du gouvernement. Jeudi 30 janvier, Béatrice Bourges a de nouveau été interpellée malgré son état de faiblesse intense. Ne voulant pas provoquer, par sa présence dans la rue, un trouble à l'ordre public, elle a résolu de se réfugier temporairement dans un établissement proche. Un policier lui a barré la route, et elle a dû s'asseoir par terre à ses pieds. Des proches se sont alors interposés. Finalement, Béatrice Bourges a été autorisée à subir un examen médical, ce qui lui a évité une arrestation sans motif. Une de ses proches, qui gardait ses effets personnels, a été menacée d'arrestation par une demie-douzaine de policiers en tenue de maintien de l'ordre, qui l'ont finalement laissée partir.

    Jour de Colère rappelle que la liberté d'aller et venir est garantie par l'article 4 de la Déclaration des Droits de l'Homme qui figure au préambule de la Constitution de la Vème République. Jour de Colère condamne avec la plus extrême fermeté les abus flagrants auxquels se livrent des policiers sommés d'obéir à des ordres illégaux par une hiérarchie complice du pouvoir politique. A l'heure où l'opinion découvre que plus d'un millier de jeunes français s'initient au jihad en Syrie, la police du gouvernement Ayrault traite en terroristes deux femmes qui poursuivent un jeûne de protestation pacifique et non violent. Jour de Colère demande qu'il soit mis un terme immédiat à ces agissements, qui ont pour objectif avoué d'empêcher Béatrice Bourges de diffuser son message auprès des députés. Malgré ces intimidations, plusieurs parlementaires sont cependant venus la saluer depuis mardi."

    Michel Janva

  • "Des bleus et des roses sont dans un kibboutz" ...

    30 janvier 2014

     Le blog "La voie de l'épée" raconte l'expérience d'un kibboutz où fut strictement mise en oeuvre l'idéologie du Genre dès... 1920 ! Presque un siècle, incroyable et pourtant...

    A découvrir en intégralité et à faire connaître.

    Lahire

    Le Salon Beige

  • Jacques Bompard interpelle Manuel Gaz sur la persécution contre Béatrice Bourges

     

    Question écrite du député :

    "M. Jacques Bompard attire l'attention de M. le ministre de l'intérieur sur le traitement inqualifiable des forces de l'ordre dont fait l'objet Béatrice Bourges. Béatrice Bourges, porte-parole du Printemps français, a entamé une grève de la faim devant l'Assemblée Nationale. Depuis lundi, elle fait l'objet d'un harcèlement policier outrancier et contraire à toutes les règles de droit. Les brimades des forces de l'ordre, l'impossibilité de circuler librement, droit garanti par la constitution, l'arrestation arbitraire de toutes les personnes lui parlant ou tentant de le faire, ou des malheureux passants qui passent par là, n'est qu'une illustration des abus commis par les forces de l'ordre aux alentours du Palais Bourbon. Les policiers interrogés sont incapables de donner un motif légal lorsqu'ils arrêtent quelqu'un et entravent, ainsi, la liberté de circuler des Français. Jacques Bompard demande à M. le ministre de l'intérieur de faire cesser ces déploiement intempestifs et grotesques de forces de l'ordre autour du Palais Bourbon, alors qu'elles seraient bien plus utiles dans certaines banlieues où règnent l'insécurité, le crime organisé et la violence."

    Michel Janva

    Le Salon Beige - 30 01 14

  • Un député s'interroge sur une visite privée de Hollande aux Gayet

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    Le 3 août 2013, en visite dans le Gers, le chef de l'État s'est rendu, à titre privé, dans une propriété appartenant aux parents de Julie Gayet. Alors que les parlementaires sont incités à la transparence, Claude de Ganay souhaite que cette exemplarité soit appliqué également au plus haut niveau de l'État, et savoir qui a financé cette partie du déplacement.

     

     

    François Hollande a-t-il utilisé un hélicoptère de l'État pour rendre une visite privé à la famille Gayet ou est-ce une simple rumeur de plus? C'est en substance la question à laquelle devra répondre le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, interpellé par une question écrite d'un député UMP, Claude de Ganay, qui souhaite savoir si le président s'est déplacé avec les deniers de l'État pour une visite privée.

    Les faits sur lesquels s'interroge le député remontent au 3 août dernier. Le chef de l'État est alors en déplacement à Auch (Gers). Il rencontre le matin des producteurs locaux puis visite le quartier sensible du Garros en fin de matinée. Il demande ensuite «à avoir un moment privé» pour le déjeuner, selon les journalistes locaux qui suivent le déplacement présidentiel. «Personne ne savait où il se rendait, raconte l'un d'eux. Le préfet semblait d'ailleurs un peu affolé sur le moment, ainsi que divers services assurant sa sécurité.»

    Le président a décidé de se rendre pour sa pause déjeuner au château de Cadreils, situé dans la commune de Berrac. Une propriété des parents de Julie Gayet, avec laquelle le président entretiendrait une liaison. Plusieurs personnes dans la commune témoignent avoir vu la voiture du président se rendre jusqu'à la propriété. Seulement, le Journal du Dimanche, croit savoir de son côté que le chef de l'État se serait déplacé en hélicoptère pour rejoindre le château. Une version mise en cause localement, où personne n'a vu ni entendu d'hélicoptère, mais attisée par les temps de déplacement en voiture entre les différentes destinations: de Auch à Berrac, il faut compter environ 50 minutes, et de Berrac à l'abbaye de Flaran, où le président se rend dans l'après-midi, une quarantaine de minutes. Soit au total 1 heure 30 de transport par la route pour une pause déjeuner comprise, selon les versions, entre 1 heure 30 et 2 heures 30.

    Qui a financé le déplacement?

    C'est face à ces doutes que Claude de Ganay dépose sa question, poussé par ses électeurs ayant lu la version du JDD, affirme-t-il au Figaro. Le député s'interroge «sur les différents moyens aériens de la flotte présidentielle qui ont été utilisés par le président de la République le samedi 3 août 2013, dit le texte de la question. Il souhaiterait connaître lesquels de ces moyens ont été utilisés lors de cette journée et quel en a été le coût. Enfin, si des déplacements privés ont été effectués, quelles en ont été les refacturations, selon la règle de refacturation au président de la République des dépenses relevant de “l'intendance privée”, recommandée par la Cour des comptes en 2009.»

    «C'est une double démarche, explique-t-il. Premièrement, c'est le rôle du parlementaire de contrôler ce que fait l'exécutif. Deuxièmement, c'est pour dénoncer l'hypocrisie ambiante, la démagogie de la majorité actuelle: on ne cesse d'entendre parler de transparence toute la journée, surtout à l'heure où les parlementaires doivent rendre leurs déclarations de patrimoine. La transparence est nécessaire, mais là, cela devient obsessionnel. D'autant qu'il faudait que ceux qui nous l'imposent soient eux-même exemplaires. Or ici, que ce soit un hélicoptère ou une voiture, on ne sait pas qui si l'État a fincancé un déplacement personnel.»

    Le Figaro 30 01 14

  • Paris: une exposition sur la déportation vandalisée

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    Geste motivé ou acte de vandalisme commis par de très mauvais plaisantins ? Une exposition consacrée à la déportation des enfants juifs de la capitale été dégradée la nuit dernière dans le IIIe arrondissement de .

    Douze panneaux, réalisés d’après les travaux de Serge Klarsfeld, venaient d’être installés sur les grilles du Conservatoire national des arts et métiers (Cnam) dans la rue Saint-Martin. <btn_noimpr>

     
     

    Ils ont tous été tordus par le ou les mystérieux vandales. Aucun tag ou inscription antisémite n’a en revanche été relevé sur l’exposition.

    Le Cnam, qui ne devrait pas porter plainte, va laisser l’exposition «en l’état»... mais va l’accompagner d’un nouveau panneau avec un texte pour dénoncer la stupidité du vandalisme de la nuit. L’exposition doit rester en place jusqu’au 3 mars prochain.

     

    LeParisien.fr

  • Peillon sur les traces de son papa ?

     

    Vincent Peillon demande aux directeurs d’établissements scolaires de « convoquer » les parents qui suivraient la consigne de retirer leurs enfants de l’école un jour par mois pour protester contre l’enseignement de l’idéologie du genre.

    La prochaine étape, ce devrait être l’hôpital psychiatrique pour les parents récalcitrants. Et la prison pour les « extrémistes », les « manipulateurs », les « fauteurs de trouble et de haine » qui ont « décidé de mentir » en propageant des contre-vérités... Comme on le sait, le père de Vincent Peillon était le directeur de la banque soviétique en Europe. Il n’est donc pas étonnant que le ministre confonde la vérité et le mensonge, et traite d’extrémistes et de « fauteur de trouble et de haine », bref, de voyous et de hooligans, ceux qui osent dire la vérité.

    Et l’on voit Najat Vallaud-Belkacem, qui ressemble de plus en plus à Manuel Valls, la pauvre, tonner que le gouvernement sera « intraitable avec les manipulateurs ». Cette même Najat Vallaud-Belkacem qui assurait, sans rire, le 6 juin 2013, que « la théorie du genre n’existe pas ».

    La dictature soviétique est donc en marche aussi sur ce plan-là, ce qui est logique après la mise en place de la dictature sur la parodie de mariage homosexuel.

    Elle est d’autant plus facile à mettre en place qu’on voit les grands médias jouer à qui ressemblera le plus à la Pravda d’autrefois, dénonçant à qui mieux mieux les « fausses rumeurs » que des « extrémistes » font circuler et qui abusent des parents…

    La vérité est que bien sûr l’enseignement de l’idéologie du genre se répand dans les écoles, puisqu’elle fait partie de l’idéologie officielle.

    Cela dit, à la décharge de Vincent Peillon, ce n’est pas lui qui a commencé. Certes, pour ne prendre qu’un seul exemple, la « ligne Azur » fait enseigner aux enfants, via ses supports pédagogiques, que « l’identité de genre c’est le sentiment d’être un homme ou une femme » et que « pour certains, le sexe biologique coïncide avec ce ressenti ». Mais c’est Luc Chatel, du gouvernement Sarkozy-Fillon, qui a fait de la « ligne Azur » un partenaire de l’Education nationale. Dans le cadre de la lutte contre le sida et contre l’homophobie…

    Le blog d'Yves Daoudal

  • Premières condamnations suite au « Jour de Colère » : Le Monde, Le Point, Le Figaro, etc. publient les prénoms et les noms des jeunes

     

    Racisme social. Curieusement, pour d’autres faits de délinquance, Le Monde et Cie ne publient pas les prénoms (et encore moins les noms de famille) des auteurs des faits. Mais quand les « délinquants » ont le tort de s’appeler Hugues ou Louis-Marie (une fois n’est pas coutume), Le Monde, Le Point, etc ne prennent pas les mêmes précautions et relayent une dépêche AFP qui renseigne même sur les activités de ces manifestants… Il ne manque plus que leur adresse postale. Le « quotidien de référence » et consorts voudraient tuer socialement ces jeunes, ils ne s’y prendraient pas autrement !

    NOUVELLES DE FRANCE

  • C’est la théorie du genre qui est un délire

     

    C’est la théorie du genre qui est un délire. - Nouvelle version de l’arroseur arrosé.

     

    Nouvelle version de l’arroseur arrosé.



    Raoul Fougax
    le 29/01/2014
    Mais qui a parlé le premier de la théorie du genre ? Qui a tenté de la rendre politiquement et sexuellement correcte ? La théorie du genre est peut être exploitée politiquement par des méchants. Ce n’est pas un fantasme. Elle n’est peut-être pas enseignée (encore) officiellement, mais certains tentent de  l’imposer et lancent finalement des ballons d’essais.

    Cette aberration sexiste, véhiculée par quelques intellos déjantés et quelques féministes en folie motivés par la haine des hommes, doit être arrêtée au plus tôt. Alors, on nous explique que ce n’est pas ça. On lutte contre la discrimination sexiste ? Ah bon ! La théorie du genre qui nie le différentialisme au niveau du sexe  inquiète des parents et ils ont bien raison. Le fait que l’école soit obligatoire n’autorise pas les enseignants à enseigner n’ importe quoi.

    Ce qui est important finalement au-delà de la rumeur, c’est la réaction. Dès vendredi 24 janvier, des classes se sont vidées dans une quinzaine de départements : la Seine-et-Marne, la Seine-Saint-Denis, le Doubs, le Rhône… Lundi 27, rebelote en Ile-de-France, à, Metz, à Nancy… « 100 écoles touchées, dans quatorze académies », a dénombré Jean-Paul Delahaye, le directeur de l’enseignement scolaire, mardi, lors d’un point de presse organisé en urgence au ministère de l’Education.

    La rumeur a enflé en fin de semaine dernière, relayée par SMS, galopant sur les réseaux sociaux, portée par de nombreux sites. Des milliers de messages sont tombés sur les portables de parents, pour les avertir que les enseignants s’apprêtaient à enseigner des inepties aux enfants. Au nom de la "théorie du genre", cette idée selon laquelle on est homme ou femme par construction sociale, autant que par différenciation biologique, il était question entre autre d’intervention de transsexuels dans les classes…Ce qui est sûr, c’est que cette théorie est considérée comme blasphématoire par les chrétiens, les juifs ,les musulmans et certains parents de bon sens. 

    Les classes se sont vidées. Dans le mille. Car c'est précisément l'objectif du mouvement «Journée de retrait de l'école», lancé par une certaine Farida Belghoul, 55 ans, militante passée en 30 ans de l'extrême gauche à l'extrême droite. Initiatrice en 1984 de la seconde marche des beurs, aujourd'hui proche de l'essayiste Alain Soral (lui-même lié à Dieudonné) et de son association «Égalité et Réconciliation», Farida Belghoul est partie en croisade contre l'avènement d'une théorie du genre à l'école depuis la rentrée 2013-2014. Elle est passée à l'action le 24 janvier en appelant à un boycott de l'école une fois par mois, via les réseaux sociaux et des SMS diffusés en chaîne.
     
     
    «Vous justifierez l'absence de votre enfant le lendemain par le motif: journée de retrait de l'école pour l'interdiction de la théorie du genre dans tous les établissements scolaires», est-il expliqué sur le site internet du mouvement «JRE2014». Il s'agit d'«une action nationale inédite pour sauver nos enfants», explique le tract. «Le ministre de l'Éducation nationale, Vincent Peillon, sur les traces de son prédécesseur Luc Chatel veut généraliser et officialiser l'enseignement de la théorie du genre (…) à la rentrée 2014 (…) Des centaines d'écoliers sont déjà victimes de ces programmes à titre expérimental», développe le texte en référence aux ABCD de l'égalité, lancés conjointement par Vincent Peillon et Najat Vallaud-Belkacem, dans dix académies. «D'ores et déjà, des militants du lobby LGBT (lesbiennes, gays, bisexuels et transsexuels, s'invitent en classe», explique-t-il. «L'éducation de nos enfants nous appartient», martèle le tract qui milite pour le retour d'«un ministère de l'instruction publique». Sur le site, une soixantaine de contacts locaux assurent le relais du message en régions.

    Le ministre est monté au créneau, bien obligé. Il n'y aura pas d'enseignement de la théorie du genre à l'école, mais une « éducation à l'égalité fille-garçon », a assuré ce mardi 28 janvier Vincent Peillon. Ce n'est que contraint et forcé que Vincent Peillon a dû monter au front pour endiguer certains mouvements de panique. Le ministre veut faire convoquer les parents…. Bon courage.

    Pour Najat Vallaud Belkacem également à l’origine des enseignements sur l’égalité, tout ça est de l’exploitation extrémiste. Mais alors il n’y aurait pas de théorie du genre… ni de volonté de l’imposer par ballons d’essais ? Tout cela serait du fantasme réactionnaire. On n’est pas obligé de le croire. Il y a peut-être exploitation, mais il y a bien une tentative d’intellectuels engagés de saper encore plus les différences qui ont fait les civilisations.
     
    METAMAG 
  • Ils aboient, ils mentent, ils trichent, ils se trompent … ils (f)ont peur!

     

    peurLe patron de Force ouvrière, Jean-Claude Mailly, réagissant aux derniers chiffres du chômage qui, pour bidonnés qu’ils soient, enregistrent cependant la poursuite de la hausse du nombre des demandeurs d’emploi, a dénoncé hier sur France 2 la «fuite en avant libérale» du gouvernement. Il a fait état aussi des révélations sur l’inquiétante rencontre il ya quelques semaines à l’Elysée, entre François Hollande et l’Allemand Peter Hartz. Ce dernier, a noté Marine Le Pen est « tristement célèbre dans son pays pour avoir passé à la moulinette les droits des travailleurs en généralisant les contrats de travail ultra précaires, allant même jusqu’à créer des euro jobs , payés 1 euro de l’heure !». Au micro de RTL, le secrétaire général de la CGT, Thierry Lepaon, a lui aussi fustigé «notre président de la République (qui) est souvent sous les jupons d’Angela Merkel.» Mais la priorité des grands potentats du syndicalisme reste bien la lutte contre le FN pour préserver un Système UMPS qui tabasse et précarise les travailleurs Français mais qui les nourrit grassement.

    Est ainsi organisé ce mercredi soir à Montreuil (Seine-Saint-Denis), par la CGT, la FSU, Solidaires et des pseudopodes rachitiques du PS (Unef, UNL, Fidl), un « grand meeting contre l’extrême droite, ses idées, ses pratiques», précédée d’une journée d’ « ateliers ». Il s’agit de « cibler » «le discours pseudo-social du FN», explique l’apparatchik Pascal Debay, membre du bureau confédéral de la CGT : «On relance une campagne contre ce parti aux idées racistes, qui est vouée à durer autant qu’il faudra. »

    Un discours creux, qui a déjà montré toute l’étendue de son inefficacité, de son incapacité à ramener par le col les ouvriers qui ont fui les vieux rafiots socialo-communistes et votent massivement FN depuis vingt-cinq ans.

    A l’instar des autres officines, structures et lobbies antinationaux, les prébendiers du syndicalisme s’inquiètent des deux derniers sondages plaçant le FN en tête aux élections européennes, le créditant des voix de près d’un électeur sur quatre.

    Marine le rappelait en début de semaine, «les européennes sont une élection très nationale. Si nous arrivons en tête, cela ouvrira une grave crise politique en France. Une crise de contestation de l’intégralité de la construction européenne depuis trente ans. François Hollande sera bien obligé de faire quelque chose», dit-elle, en réclamant «une dissolution de l’Assemblée nationale». C’est bien contre ce scénario, qui ébranlerait le système et menacerait leur hégémonie, que se mobilisent les différents acteurs qui se partagent les gros et gras fromages de la ripoublique.

    Dans Le Monde, Abel Mestre s’étonne pour sa part  que la présidente du FN ait fait part de son souhait de voir la Ligue du Nord italienne, dont le président est désormais Matteo Salvini, «rejoindre l’alliance emmenée par (elle même)  et Geert Wilders (populiste islamophobe des Pays-Bas) pour les élections européennes avec notamment les Flamands du Vlaams Belang et les Autrichiens du FPÖ. » Il y voit une incohérence dogmatique, idéologique, au motif que la Ligue du nord est régionaliste (« séparatiste » affirme même M. Mestre) et «xénophobe».

    Bruno Gollnisch qui avait réussi à mettre sur pied avec succès à l’échelle européenne l’AEMN (Alliance européenne des mouvements nationaux) et avant, le groupe ITS (Identité, Tradition, Souveraineté), est bien placé pour le savoir, il est toujours difficile, voire impossible, de réunir des mouvements nationaux campant tous exactement sur les mêmes positions. Et ce pour d’évidentes raisons culturelles, historiques, politiques, géopolitiques ayant trait aux particularismes des mouvements et des pays en question.

    Certes le FN, contrairement à la Ligue du Nord, défend résolument l’Etat nation (mais sans jacobinisme outrancier), certes nous ne partageons pas forcément tous les tropismes du parti de M. Wilders. Mais ce qui importe c’est d’essayer de mettre en place un môle de résistance à l’euromondialisme autour de grands principes communs, d’être le grain de sable qui enrayera la machine à broyer les peuples et notre Europe des patries libres.

    Refus de la monnaie unique (M. Mestre le concède la Ligue du Nord y est farouchement opposée), de la dictature bruxelloise, des diktats ultra libre-échangistes, de l’immigration-invasion, de la culture de mort; défense de nos libertés, de nos identités, de la famille, des valeurs helléno-chrétiennes…Ce sont autour de ces convictions là que les Européens de bonne volonté peuvent, doivent se réunir.

    Convictions que sont tout simplement celles d’une droite nationale, populaire et sociale dont se réclame Bruno Gollnisch et qui sont le socle du FN. Il est important de le rappeler car les mauvais fantasmes ont la vie dure. En témoigne la lecture du tract baptisé article (involontairement comique) du dénommé blogueur Juan Sarkofrance sur le site de Marianne qui recycle tous les poncifs d’une cellule avinée de militants gauchistes désespérés.

    Dans le même registre, toujours sur le site de Marianne, le blogueur Elie Arié « graphomane » (sic) socialo-chevènementiste, s’efforce lui aussi d’écrire l’avenir du FN à la lumière de sa boule de cristal. Il s’inquiète de ce que « l’idéologie («d’extrême droite classique» soit ) «toujours présente (au FN) dans l’importante minorité regroupée autour de Bruno Gollnisch

    Il suppute aussi l’impasse dans laquelle serait le FN, «coupé de toute alliance possible », «de toute possibilité d’accéder au pouvoir», en l’absence d’ «accords de désistements réciproques» avec la droite classique aux législatives.

    «Ce jour-là, avance le prophète Elie Arié, la stratégie de dédiabolisation de Marine Le Pen aura vécu; on verra le courant Gollnisch reprendre le pouvoir au FN, et celui-ci réintégrer en son sein la droite de la droite, celle qui manifestait dimanche dernier, porteuse de ces valeurs classiques constitutives de l’extrême-droite française que sont le catholicisme intégriste, la xénophobie, le racisme et l’antisémitisme…mais qui l’écarteront, de ce fait, elles aussi, de l’accès au pouvoir.»

    Tant d’aveuglements, de mensonges, d’approximations  peuvent   énerver, mais donnent aussi le sourire. Cette incapacité des adversaires de l’opposition nationale à appréhender l’avenir, les vœux des Français, autrement qu’à la lecture de schémas dépassés, cette impossibilité des antifrontistes à sortir de leurs raisonnements binaires, manichéens, simplistes, en un mot débile au sens étymologique du terme, ne contribue pas peu à ouvrir un boulevard au courant patriotique que nous incarnons.

    Blog de Bruno GOLLNISCH

  • Parlez-vous la novlangue socialiste ?

    http://www.lefigaro.fr/politique/2014/01/22/01002-20140122ARTFIG00076-parlez-vous-la-novlangue-socialiste.php

  • Ces politiques qui viennent soutenir Béatrice Bourges

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/01/ces-politiques-qui-viennent-soutenir-b%C3%A9atrice-bourges.html

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  • La fille de Vincent Peillon chargée de mission à l’ambassade de France en Israël

     

    Salomé Peillon, fille du ministre de l’Éducation nationale et chargée de mission à l’ambassade de France en Israël depuis février 2013, est apparue aujourd’hui (tout à droite) dans un clip destiné aux Français d’Israël et conclu par les vœux de l’ambassadeur Patrick Maisonnave (l’homme qui a comparé Shimon Peres au dieu Pan). En 2010, Salomé Peillon (qui dispose de la fiche Viadeo affichée ci-dessous, où elle confond Paris et Tel Aviv...) avait rendu à l’Université libre de Bruxelles un mémoire de master consacré au « boycott culturel d’Israël ».

     

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    Voir aussi, sur E&R : « L’extrême droite israélienne (au pouvoir) et l’immigration »

  • Insécurité: quand les préfets relaient l'exaspération des policiers

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    Dans une note confidentielle, ils décrivent le «découragement» des forces de l'ordre face au laxisme judiciaire.

     

    La révolte gronde dans les rangs policiers. Alors que le bilan 2013 du ministère de l'Intérieur, fraîchement accueilli, atteste d'une hausse de la délinquance, notamment des cambriolages et des vols à la tire, Le Figaro publie les meilleurs extraits d'un rapport assassin des préfets, en date du 17 janvier, sur ce qui pourrait expliquer cette contre-performance.

    Révélée par Le Canard enchaîné, cette synthèse confidentielle de quatre pages est nourrie des rapports envoyés mois après mois par les préfets des 101 départements de France. Voici ce que la plume préfectorale distille très précisément à un Manuel Valls que ses troupes appellent à résister aux réformes de sa collègue Taubira qui menaceraient, à les entendre, l'équilibre pénal.

    Le sous-titre donne le ton: «Tendues, les forces de l'ordre souhaiteraient être soutenues dans leur action par l'autorité judiciaire.» Suivent les explications: «Après avoir été repris par les médias, le discours du directeur des opérations et de l'emploi de la gendarmerie dénonçant devant une commission de l'Assemblée nationale l'insuffisance de la réponse judiciaire à la délinquance est inégalement relayé sur le territoire où il trouve une oreille attentive.»

    «Quand vous relâchez 65% de ceux qui se sont rendus coupables d'un certain nombre d'exactions, comment voulez-vous que les chiffres baissent ?»

    Le général Soubelet

    On se souvient que le général Soubelet avait brisé l'omerta, le 18 décembre dernier, en déclarant, prenant l'exemple de Marseille pour expliquer la hausse des crimes et délits: «Quand vous relâchez 65 % de ceux qui se sont rendus coupables d'un certain nombre d'exactions, comment voulez-vous que les chiffres baissent? C'est tout à fait impossible. Vous pouvez multiplier par deux les effectifs de gendarmes dans les Bouches-du-Rhône, cela ne changerait rien.» Le haut gradé résumait ainsi en deux phrases, et avec courage, le cauchemar des ministres de l'Intérieur successifs.

    Mais les préfets vont plus loin: «Policiers et gendarmes pointent le fossé entre la fermeté des directives de leur hiérarchie et les suites pénales des interpellations effectuées, notamment en matière de lutte contre les cambriolages. Ils citent, par exemple, la simple convocation devant OPJ (officier de police judiciaire) six mois plus tard d'un cambrioleur interpellé en flagrant délit», écrivent-ils. Les agents auraient ainsi le sentiment de travailler en pure perte.

    Ce n'est pas tout. «Les forces de l'ordre déplorent également la judiciarisation croissante de leur activité, source de lourdeurs administratives et de contentieux, et considèrent que trop de procédure tue la procédure.» Le cas d'un département bourguignon est alors évoqué: «En Côte-d'Or, 120 policiers sur 405 sont affectés à des tâches judiciaires contre 30 il y a une dizaine d'années. L'efficacité des services s'en ressent», assurent les préfets.

    Le sujet de l'immigration est en partie lié à ces difficultés, selon eux. «En matière d'éloignement, par exemple, toute décision fait systématiquement l'objet d'un recours contentieux, ce qui, ajouté aux certificats des ARS (agences régionales de santé) attestant de l'impossibilité des soins dans le pays d'origine ou d'une contre-indication à prendre l'avion, fait échec à l'exécution de la mesure.» On comprend mieux, à les lire, pourquoi Manuel Valls n'a pas fait mieux en 2013 qu'en 2012 en matière d'expulsion de clandestins.

    «Nous assistons à une multiplication des quartiers en sécession»

    Patrice Ribeiro, secrétaire général de Synergie-officiers

    Quelle que soit la matière, au fond, les forces de sécurité se plaignent de ne pas être écoutées. Et les syndicats, qui préparent leurs élections, veulent se faire entendre. Tous, à des degrés divers, mais sans ambiguïté, critiquent les projets de réforme de la Chancellerie qui veut faire de la prison l'exception pour privilégier une «contrainte pénale» jugée fort peu contraignante.

    Mardi dernier, le soir même où les balles sifflaient à Marseille devant une école primaire, lors des vœux de Synergie-officiers à Paris, son secrétaire général, Patrice Ribeiro, mettait en garde Manuel Valls, en sa présence: «Nous assistons à une multiplication des quartiers en sécession, a-t-il déploré. La création d'une peine de contrainte pénale n'est viable que si les délinquants les plus nuisibles ont la certitude d'être neutralisés en prison. (…) Le maintien des peines planchers est un minimum.»

    Le commandant Ribeiro a mis les magistrats à l'index. «Nous pouvons inventer des réformes en permanence: Utec, BST, Patrouilleurs, ZSP… Les incarcérations restent inversement proportionnelles aux résultats de la police! La justice et la responsabilité de ceux qui la rendent sont la clé de tout», a-t-il dit.

    Son collègue Jean-Claude Delage, patron d'Alliance (gradés et gardiens), appelle lui aussi le ministre de l'Intérieur à «s'opposer concrètement aux excès de la réforme Taubira».

    Pour l'heure, dit Jean-Paul Megret, secrétaire national du Syndicat indépendant des commissaires de police, «on a tous constaté que dans les arbitrages, ce n'était pas lui qui gagnait». Ce commissaire de PJ ajoute: «Notre ministre fait ce qu'il peut, mais il n'est pas écouté.» Manuel Valls devra, visiblement, rassurer ses troupes par des actes.


    Le constat glaçant des préfets

    «Entre exaspération et découragement, policiers et gendarmes ont le sentiment d'être condamnés à remplir le tonneau des Danaïdes»

    «La décision de la Cour de cassation d'interdire certaines mesures de géolocalisation a achevé de convaincre les forces de l'ordre qu'on les empêche de faire leur travail»

    «Tendues, les forces de l'ordre souhaiteraient être soutenues dans leur action par l'autorité judiciaire»

    (source: Synthèse des préfets de janvier 2014)

    Le Figaro - 29 01 14

                                                 

  • Perquisition monstre au domicile de Dieudonné et de sa femme : 650 000 euros auraient été saisis

    Une importante somme d'argent liquide a été découverte par la police judiciaire lors de la perquisition du domicile de Dieudonné, mardi. Jacques Verdier, avocat de l'humoriste controversé, refuse de confirmer la somme retrouvée, mais les montants évoqués s'élèveraient à près de 650.000 euros et 15.000 dollars.

    "Il n'y a rien de mystérieux"

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    Pour Me Jacques Verdier, la présence d'argent liquide est "le produit de la billetterie. Tout cela est totalement transparent". Selon lui, ces sommes étaient accompagnées de "toutes les contremarques des tickets" pour des spectacles au théâtre parisien de la Main d'Or ou d'ailleurs.

    Depuis 2009, l'humoriste aurait expédié plus de 400.000 euros au Cameroun. L'avocat justifie ces transferts financiers par la double nationalité de Dieudonné. "Il a des liens avec ce pays, bien évidemment, il peut y avoir des mouvements financiers, mais en aucune façon cela ne peut représenter une évasion fiscale", a précisé Jacques Verdier.

    BFMTV - 29 01 14

     

  • C’était le 29 janvier 1962: attentat de l'OAS contre le PC des barbouzes gaullistes

    29 janvier 2014

    1962 : attentat de l’OAS, contre le PC des barbouzes gaullistes, à El Biar (Alger).

    Lorsque la « villa Andrea » explose, est détruit le lieu où de nombreux membres de l’OAS ou simples partisans de l’Algérie française ont été torturés longuement et sauvagement, et parfois assassinés. Lors de fouilles en 1968, une trentaine de squelettes sont retrouvés dans le jardin de la villa…
    Les « barbouzes », comptant nombre de bandits, de condamnés de droit commun, ont été déployés en Algérie en mars 60 par le pouvoir gaulliste, avec pour objectif d’éliminer toute résistance Algérie française, et visant surtout l’OAS dont l’activité rayonnait (notamment avec ses émissions radio pirates).

    Ci-dessous un récit de la lutte engagée entre ces crapules gaullistes et les militants patriotes (qui seront 400 à être assassinés dans cette infâme opération).
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    Contre-info.com

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  • Des graffitis haineux découverts sur une église parisienne

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    « La seule église qui illumine est celle qui brûle », « Tous les pouvoirs sont assassins, ni Dieu ni maître », « Curé, sale poukave (sic)…» Des graffitis haineux ont été découverts ce mercredi matin sur les murs de l’église parisienne Saint-Jean-Baptiste de Belleville, dans le XIX e arrondissement, à .

     
     

    Ces inscriptions bombées à la peinture noire recouvrent un muret situé à l’arrière de l’édifice.

    Un autre local paroissial de la rue Fessart a également été tagué avec l'inscription «l'enfer est pavé de bonnes intentions» dans la nuit de mardi à mercredi. Toutes les inscriptions ont été nettoyées dans la matinée par les services municipaux.
    Le maire du XIXe arrondissement François Dagnaud a réagi ce matin dans un communiqué en condamnant une «agression insupportable», précisant qu'il avait demandé «au de police de renforcer sans délai la protection autour de l'église».
    «Je ne tolèrerai pas que des lieux de cultes, quels qu’ils soient, soient ainsi pris pour cible. Le principe de laïcité, fondement de notre République, garantit la liberté des croyances et des pratiques religieuses dans le respect de l’ordre public», a poursuivi l'élu.

    Selon le curé de la paroisse Stéphane Escleff, le lieu de culte avait déjà été la cible de graffitis haineux du même type. Le 7 décembre, deux prêtres avaient été agressés par deux adolescents de 13 ans qui avaient été interpellés dans la journée. En tout une dizaine de plaintes ont été déposées par la paroisse ces derniers mois. «Nous sommes exaspérés par le climat qui règne dans le quartier alors que nous essayons d'apporter de la paix et de l'espérance», explique l'ecclésiastique.

    Demain jeudi à 9 heures, l'évêque auxiliaire du diocèse de Paris, Mgr de Dinechin, viendra concélébrer la messe de 9 heures à l'église Saint-Jean-Baptiste de Belleville.


     

     

    LeParisien.fr

  • Dieudonné à Bordeaux : commentaires des spectateurs à la sortie d’Asu Zoa


    Commentaires des spectateurs de Dieudonné 26... par ErAquitaine

     

    Propos recueillis par E&R Aquitaine

    Le 26 janvier 2014, Dieudonné, humoriste, donne son nouveau spectacle Asu Zoa à la patinoire de Bordeaux-Mériadeck. À la sortie, les spectateurs saluent l’excellente performance de l’humoriste et commentent le traitement médiatique et politique qu’il affronte en cette période.