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  • Explosion de l'immigration clandestine: + 48% de 2012 à 2013 - Silence des médias français

    source : article de Euronews du 28 février 2014

    [NDLR : Dix jours après sa parution sur de nombreux sites espagnols, grecs et portugais, cette information rapportée par Fdesouche le 17 février n'a toujours fait l'objet d'aucune publication dans les médias français. ]

    Rappel de l’information : A Athènes, le 17 février, a eu lieu la « réunion  des présidents des commissions de la justice et des affaires intérieures » des 28 pays de l’Union, en présence de Cecilia Malmström, commissaire européenne chargée des Affaires intérieures (nous avons retrouvé le programme en PDF). Au cours de cette réunion, Ilkka Laitinen, Directeur Exécutif de FRONTEX, l’Agence européenne de contrôle des frontières, a indiqué que l’immigration clandestine avait explosé en 2013, avec une hausse de 48% par rapport à 2012.

    Note : L’information a été reprise par le site E&R et par le site du Front National, qui a souligné le silence de la presse française.

    ————— Ci-dessous : notre article du 17 février, avec diverses sources Lire la suite

    François Desouche

     

  • François Hollande ne modifiera pas le statut des animaux

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    http://lejournaldusiecle.com/2014/02/21/francois-hollande-ne-modifiera-pas-le-statut-des-animaux/

    Signez la pétition!

  • En Italie aussi, les parents résistent à la théorie du genre et retirent leurs enfants des écoles

     

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    En Italie aussi, le lobby LGBT et des groupes partisans de la théorie du genre ont réussi à introduire dans certaines régions du pays des changements radicaux dans le contenu éducatif sur la sexualité enseigné aux enfants dans les écoles.

    L’hebdomadaire Tempi a publié une interview de l’avocat Simone Pillon, directeur du Forum des associations familiales de Umbrie, organisme qui s’oppose à l’assaut du lobby gay dans les écoles

    « Les gens sont en train de bouger contre la théorie du genre », déclare Pillon. Elle précise que la semaine dernière de nombreux enfants d’âge préscolaire sont rentrés chez eux en racontant des histoires sur les homosexuels avec des brochures à l’appui. « Aujourd’hui, pour offrir un soutien à de nombreux parents inquiets de ce que les enseignants racontent dans la salle de classe, j’ai écrit un manifeste pour l’auto – défense contre l’idéologie du genre. Douze conseils sur la façon d’agir pour empêcher l’endoctrinement que les organisations LGBT (lesbiennes, gays, bisexuels, transgenres) essaient d’imposer aux enfants »

    –Quelles propositions contient ce manifeste?

    Nous sommes submergés par les demandes de nombreux parents. Ce qui se passe avec ces livres et ces cours inquiète beaucoup de gens habitués à faire confiance à l’école. Maintenant ils se sentent  dépassés  par cette diffusion de contenus contraires à leurs options éducatives. Le concept des 12 conseils aux parents, c’est défendre leur droit à éduquer leurs enfants. Aujourd’hui, nous ne pouvons nous donner le luxe de déléguer davantage, particulièrement sur ces thèmes.

    -En Ombrie, on a été informé par les journaux la semaine dernière à propos d’un livre distribué dans les jardins d’enfants, mais il y avait déjà depuis quelques temps des cours similaires. Comment réagissent les parents?

    Il y a deux semaines, nous avons eu une réunion où environ 250 personnes étaient présentes. Nous avions prévu une réunion d’urgence à Pérouse avec de nombreuses familles prêtes à prendre des mesures face à ce qui se passe. Les gens bougent, ce sont des gens qui ont décidé de prendre les choses en main parce que dans l’école secondaire, depuis des années maintenant, l’association LGBT italienne ARCIGAY peut donner des cours sur la sexualité et cela se fait sans opposition. Il y a d’ailleurs une étude menée par l’organisme ASL2 de Perouse (Service régional de santé publique) qui est spectaculaire par ce qu’elle révèle

    –      De quoi s’agit-il?

    Dans cette étude, les associations homosexuelles rendent compte de leur travail contre les stéréotypes mené dans les écoles primaires de la ville. Au début, ils ont donné aux enfants un questionnaire sur l’homosexualité: ce qu’elle est, si elle est considérée comme un problème ou une variante naturelle, etc … Puis les cours ont été donnés, et deux mois plus tard, ils redonnent le questionnaire. Leurs résultats montrent que 80 pour cent des enfants avait changé d’avis: l’homosexualité est désormais considérée comme une chose merveilleuse. Et les associations pour les droits (civils) sont également obligés de suivre ces cours.. C’est la pointe de l’iceberg. Sur le site web de l’ASL Pérouse, on explique à la perfection la masturbation masculine et féminine et comment avoir une relation sexuelle homosexuelle sûre et c’est ensuite diffusé dans les écoles.

    –      Tout cela se fait dans le dos des parents?

    Oui, bien que l’école et ces associations le nient. La semaine dernière, Lorena Pesaresi, conseiller municipal de Pérouse, déléguée à l’égalité des chances, a nié dans une interview avoir une responsabilité dans ce qui se passe dans les écoles maternelles.  J’ai donc envoyé au journaliste qui l’a interviewé les résolutions signées par elle concernant ces questions. Il est temps pour nous de mettre fin au silence. Ils vont à l’école pour endoctriner les enfants dès le plus jeune âge, cherchant à ce que les enfants pensent que l’homosexualité est une variante naturelle de la sexualité. Et ils sont encouragés à vérifier si leur nature est gay ou hétéro.

    –      Vous êtes arrivé au point de suggérer que les enfants devraient rester à la maison.

    Oui, aux heures où ces cours sont administrés, j’invite à faire une sorte d’objection de conscience.

    MEDIAS-PRESSE-INFO

  • Au tribunal, Robert Faurisson invoque une QPC contre la loi Fabius

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Robert-Faurisson-invoque-une-question-prioritaire-de-constitutionnalite-contre-la-loi-Fabius-23621.html

    E&R - 22 02 14

     

  • Ukraine: des hommes armés s'emparent de l'aéroport de Simferopol en Crimée

    • Publié le : vendredi 28 février 2014
    • Source : E&R

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      Une cinquantaine d’hommes armés, en uniforme, et portant des écussons noirs ont investis l’aéroport de Simferopol en Crimée.

    Des patrouilles ont été mises en place autour et au sein de l’aéroport, dont l’activité n’a pas été perturbée. Les vols prévus pour Moscou et Kiev ont été maintenus.

    Des civils se sont joints à eux pour les assister dans leur mission de sécurisation des lieux.

    « Nous sommes tous des volontaires, présents pour ne pas permettre l’atterrissage de fascistes ou de radicaux venant de l’ouest de l’Ukraine », a déclaré leur porte-parole, un ancien officier de police.

    À la gare de Simferopol, depuis dimanche, cinq militants pro-russes surveillent les quais pour éviter que des éléments venus de Kiev n’y débarquent.

    Hier, une unité de paramilitaires pro-russes a pris le contrôle du parlement local de Simferopol, où la décision a été prise d’organiser un référendum le 25 mai pour plus d’autonomie en Crimée.

    Le nouveau chef du Conseil des ministres de la République autonome de la Crimée, Sergueï Aksenov, vient de prendre ses fonctions et a déclaré qu’il considérait Viktor Ianoukovitch comme président légitime du pays.

    E&R

  • Tarascon : "Le soir dans les coursives de la prison ça sent fort le shit"

    Arles Tarascon / Publié le Vendredi 28/02/2014 à 05H32
     

    Pour le syndicat des agents pénitentiaires UFAP le récent démantèlement d'un réseau de trafic de stupéfiants au centre de détention n'est pas une surprise

    Faits Divers - Justice - Actualités - Tarascon : Le soir dans les coursives de la prison ça sent fort le shit
    Un réseau interne, en lien avec des Toulonnais, à la prison alimentait les détenus de Tarascon en résine de cannabis.

    Photo archives N.V

    Le coup de filet antidrogue opéré mardi matin, simultanément à la prison Tarascon et Toulon, n'a pas surpris les agents pénitentiaires. Loin s'en faut. "On sait que la drogue entre en détention, et en plus grande quantité depuis la suppression des fouilles à corps après les parloirs" commente le représentant du syndicat UFAP, Éric Rouvière.

    Le personnel pénitentiaire est d'ailleurs quotidiennement au contact avec la drogue. "Le soir, ça sent très fort le shit dans les coursives. L'odeur est omniprésente et s'imprègne. À telle enseigne que nous avons même des inquiétudes pour le personnel. L'odeur s'imprègne sur tout le corps et même les vêtements. Un contrôle de police ou de douane à l'extérieur sur nos camarades pourrait s'avérer être positif et des soupçons se porter sur eux" souligne encore le syndicaliste qui envisage même de porter la question devant le Comité d'hygiène, de sécurité et de conditions de travail (CHSCT).

    La drogue franchit les murs de la détention à l'occasion des parloirs, mais aussi par le biais des projections, des colis lancés par-dessus les murs et grillages d'enceinte. "On leur facilite quelque part la tâche, il y a une seule caméra de surveillance à l'extérieur. Et lorsque les "lanceurs" sont surpris par les agents postés aux miradors, ils ont le temps de s'enfuir" poursuit Éric Rouvière dont le syndicat réclame à l'administration pénitentiaire la création d'une brigade canine spécifique pour compléter celles des policiers qui investissement les lieux de temps à autre. Avec succès d'ailleurs, comme le souligne le commandant Hervé Louvel. "Ces opérations nous permettent de réaliser entre 70 et 80 saisies de drogue par an".

    "Il faut imaginer que la prison est le reflet de la société extérieure, à l'intérieur c'est un microsociété, parfois avec un trait un peu grossi, notamment sur la question de la drogue" nous confie un autre gardien. Et il ne rentre clandestinement pas que de la drogue au centre de détention. Chaque année, entre 200 et 300 téléphones portables sont récupérés. Et même de la viande serait introduite.

    "On n'a pas les moyens de contrôler tout ce qui rentre. La fin de la fouille ne nous sert pas. Et les nouvelles technologies sont aussi contre nous : les couteaux en céramique par exemple passent les portiques de détection, tout comme d'ailleurs certains téléphones portables qui ne sont pas détectés par la machine" note le syndicaliste UFAP.

    Le problème c'est que toutes ces intrusions génèrent des trafics à l'intérieur, des conflits pouvant finir en rixe, avec parfois "des agressions de personnel" notre Éric Rouvière. L'UFAP a comptabilisé 200 agressions physiques et 18 prises d'otages. Et fait un parallèle entre les règlements de comptes extérieurs et les détenus. "On s'est rendu compte que beaucoup de victimes sont passées par le centre de détention de Tarascon" révèle Éric Rouvière.

    La Provence


     

    L'enquête

    Agissant sur commission rogatoire, les policiers ont démantelé un réseau à l'intérieur de la prison de Tarascon. Sur les 11 personnes interpellées, 6 ont été mises en examen mercredi dont le chef présumé du réseau transféré à la maison d'arrêt de Nîmes.

  • Un rabbin ukrainien conseille à la communauté de quitter Kiev

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    Revue de presse
    Publié le 24 Février 2014

     

    Article publié dans Haaretz le 18 février 2014

     

    Le rabbin ukrainien Moché Reuven Azman a appelé les Juifs de Kiev à quitter la ville et même du pays, si possible, craignant qu’il ne soient victimes du chaos. 

     

    "J'ai dit à ma congrégation de quitter la ville tous ensemble et si possible le pays", a déclaré le rabbin. "Il y a des alertes constantes concernant des intentions d'attaquer des institutions juives", a-t-il ajouté… Lire la suite.

    CRIF
  • L’Agence juive au secours de la population juive en Ukraine

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    Nathan Sharansky

    Revue de presse
    Publié le 24 Février 2014

     

    Article d’ilan Ben Zion publié dans le Times of Israel le 18 février 2014

     

    L’Agence juive a déclaré samedi 22 février 2014 qu’elle fournirait une aide d’urgence pour les Juifs en Ukraine, au vu de l’agitation politique qui ravage le pays. Nathan Sharansky va faire appel au fonds d’aide financière, créé à la suite de la fusillade de Toulouse en 2012.

     

    « Les événements récents ont montré que nous devons renforcer les mesures de sécurité de ces institutions. Nous avons la responsabilité morale de veiller à la sécurité des Juifs d’Ukraine », a déclaré Sharansky… Lire la suite.

    CRIF
  • Des hélicoptères militaires russes survolent la Crimée

    le 28 février 2014 

    Vendredi 28 février 2014, des hélicoptères militaires russes ont été vus survolant la région de la Crimée en direction de Kertch, filmés depuis la seule route qui mène vers l’aéroport international de Belbelk à Sébastopol.

     

    La route en question était bloquée par des hommes armés en uniforme non identifiés, réunis autour d’un camion militaire.

    L’information a été confirmée par le Service des gardes-frontières de l’Ukraine.

    Sources : dpsu.gov.ua / Youtube / Le JDS

  • EN DIRECT Ukraine: Poutine appelle à éviter 'l'escalade", Ianoukovitch veut revenir

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    Sébastopol: route barrée par des soldats russes 

    http://www.leparisien.fr/international/en-direct-crimee-hommes-armes-dans-les-aeroports-l-ukraine-accuse-la-russie-d-invasion-28-02-2014-3631181.php

     

     

  • Ukraine: l'attitude réservée de Poutine étonnante (Ianoukovitch)

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    Dossier: Règlement de la situation en Ukraine

    18:30 28/02/2014
     
    ROSTOV-SUR-LE-DON, 28 février - RIA Novosti
     

    Viktor Ianoukovitch, qui a déclaré être le président légitime d'Ukraine malgré sa destitution par la Rada suprême (parlement), a exprimé vendredi son étonnement face à une attitude réservée du président russe Vladimir Poutine sur la situation en Ukraine.
     
    "La Russie est un partenaire stratégique (de l'Ukraine, ndlr), elle l'a été, elle l'est et elle le sera de force en différentes circonstances, notamment économiques, historiques et autres (…). Les accords en vigueur entre l'Ukraine et la Russie donnent à cette dernière le droit d'agir (…). A mon avis, la Russie doit et même est obligée d'agir. Connaissant le caractère de Vladimir Poutine, je suis étonné par sa réserve et son long silence", a déclaré M.Ianoukovitch lors d'une conférence de presse à Rostov-sur-le-Don, en Russie. 
     
    "Je me demande pourquoi", a-t-il ajouté.
     
    Un changement de pouvoir s'est produit le 23 février à Kiev. La Rada suprême (parlement) a démis le président Viktor Ianoukovitch de ses fonctions, réformé la Constitution et confié le mandat de chef de l'Etat au président du parlement Alexandre Tourtchinov. Ianoukovitch a qualifié ces événements de "coup d'Etat". Moscou a également déclaré à plusieurs reprises qu'il contestait la légitimité des décisions de la Rada suprême. Ianoukovitch a demandé aux autorités russes d'assurer sa sécurité face aux extrémistes ayant usurpé le pouvoir en Ukraine. Moscou a satisfait sa demande, en l'accueillant sur le territoire russe.

  • Grèce – Dimitrios Papageorgiou (Patria Magazine) : “Nous avons été la frontière de l’Europe pendant mille ans”

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    L’Acropole d’Athènes

     

    27/04/2014 – ATHENES (NOVOPress)
    Dimitrios Papageorgiou est l’éditeur de Patria Magazine, référence de la droite radicale grecque. Observateur avisé de la vie politique de son pays, il a bien voulu répondre aux questions de Novopress pour nous parler de la jeunesse hellénique, de la crise grecque, de l’Aube dorée…


    Bonjour Dimitrios, pouvez-vous vous présenter pour les lecteurs de Novopress ?

    Eh bien, comme disent les Chinois, « je vous maudis à vivre en des temps intéressants ». Être un journaliste à une époque intéressante, je pense que c’est une double malédiction. Car la Grèce traverse des temps “intéressants” en effet. J’ai 32 ans, je travaille dans deux journaux grecs, je suis l’éditeur de Patria Magazine et également, de temps à autre, producteur d’émissions radios. J’ai été engagé dans des mouvements patriotes depuis mes 15 ans et j’ai passé 6 mois, 2 jours et deux heures en prison après avoir été la cible d’un groupe de gauchistes. Mon projet principal est Patria Magazine, qui est bimensuel. J’écris aussi de temps en temps en anglais pour www.alternativeright.com.

    D’après vous, quels sont les principaux responsables de la crise grecque ?

    Cela dépend de jusqu’où vous souhaitez remonter dans l’histoire de la Grèce. Si vous allez suffisamment loin, vous pouvez blâmer l’occupation turque. La Grèce n’a pas connu de révolution industrielle et c’est une société largement agricole jusqu’à la Seconde guerre mondiale. Ensuite, nous avons subi une longue guerre civile qui détruisit la plupart des infrastructures existantes. Puis est venue la “libération démocratique” qui a mené à la corruption et au triomphe idéologique de la gauche. Si vous ne voulez pas remonter aussi loin dans le passé, les années après la junte militaire était un désastre économique total. Népotisme, corruption et bien sûr l’immigration constituent ce que Guillaume Faye appelle la “convergence des catastrophes”. La crise mondiale actuelle a amené la situation à un point de non-retour et notre économie s’est effondrée. Nous verrons si cela est bon ou mauvais, car la crise économique a réussi à saper le bipolarisme politique en Grèce. Les gauchistes comme les nationalistes sont en pleine croissance, nous verrons qui sera le plus fort, et si le système y survivra.

     

    Que pensez-vous de la jeunesse grecque ?

    La jeunesse grecque est à l’image de la jeunesse européenne. Le chômage et l’apathie sont la normale. Bien que de récentes formations politiques radicales aient de plus en plus de supporters. Personnellement, je pense que c’est un phénomène éphémère. Si vous prenez dix jeunes à Berlin, Rome, Paris ou ailleurs, vous trouverez la même personnalité qu’à Athènes. Bien sûr, la jeunesse est notre seul espoir. Mais si nous parlons des jeunes qui ne sont pas engagés dans un mouvement ethnique ou nationaliste, je dois dire que la jeunesse grecque est perdue entre un nationalisme d’avant-guerre et la réalité en cours. Malheureusement, en Grèce, ces cercles n’ont pas une “tradition” ou une école de pensée comme la France en a. Pour beaucoup, le “nationalisme” se réduit au combat contre les Turcs et les Albanais. Bien sûr, c’est mieux que d’être communiste… Mais cela demeure problématique.

    Comment définiriez-vous l’identité grecque ? Est-elle menacée ? Si oui,pourquoi ?

    Un poète grec prix Nobel a dit un jour que si vous « démontiez » le pays, vous vous retrouveriez avec un olivier, un vignoble et un bateau. Mais cela décrit à peu près chacun des pays méditerranéens et je pense que cela pourrait s’adapter à la France bien entendu. Pour moi, l’identité grecque a quelque chose à voir avec une “mentalité de frontière”. Nous avons été la frontière de l’Europe pendant mille ans. Notre identité est cette Frontière. Les Français peuvent comprendre cela au travers de leur histoire. Notre déclin fut celui de l’Europe. Nos heures de gloire furent celles de l’Europe. Dans ces conditions, et après avoir survécu en tant que peuple depuis si longtemps, notre identité est un mélange de “survivances” pendant les heures sombres. Aujourd’hui, l’identité grecque est très touchée par toutes ces saloperies américanisées que vous observez également dans votre pays. Mais nos racines sont toujours là. Vous pouvez les voir dans les traditions que notre peuple continue de suivre, vous les voyez dans les petites choses.

    Avez-vous de l’espoir pour le futur ? Pourquoi ?

    Bien sûr que j’en ai. Le futur a toujours été du domaine de “l’imprévu”. Quand j’étais ado, les “nationalistes” n’étaient qu’une fraction des marginaux. Les temps durs, comme ceux que nous vivons en ce moment, produisent des gens plus durs. Dans ce sens-là, la crise économique peut être une bonne chose. Les Grecs commencent à comprendre qu’ils doivent bâtir leur futur à nouveau. Et ils le feront certainement de la bonne manière.

    Que pensez-vous du mouvement identitaire français ?

    La France a toujours été à l’avant-garde du combat politique ethnique. J’ai été très impressionné quand j’ai découvert les actions telles que celles de Génération Identitaire, mais aussi le travail accompli lors de vos camps d’été. Je suis très impressionné par votre esthétique, domaine que je considère très important. Je suis avec beaucoup d’intérêt ce que vous faites et je suis heureux de voir que vous avez réussi à répondre très rapidement aux nécessités d’un environnement politique qui change rapidement.

    Vous dites qu’il n’y a pas eu de véritable révolution industrielle en Grèce au XIXème siècle, à l’inverse des autres nations européennes. J’ai lu dans la presse française que beaucoup de Grecs ont encore de la famille à la campagne et peuvent y retourner en cas de pénurie énergétique et de graves tensions sociales. N’est-ce pas une certaine force que d’avoir cette possibilité de maintenir le contact avec sa terre à notre époque ?

    En effet. C’est toujours bon d’avoir la possibilité de revenir en arrière. La semaine dernière, j’ai eu la chance de manger les légumes que mon père et ma mère ont fait pousser dans leur jardin. C’est une force mais ça a surtout à voir avec la survie. L’industrie, de nos jours, ne tourne pas autour du textile. Être capable de relocaliser la production de nourriture est important. Mais je souhaite que la Grèce ait une industrie informatique, un programme spatial, etc. Survivre dans des conditions extrêmes est importants. Mais nous avons aussi besoin de garder un œil sur l’avenir que nous voulons bâtir.

    Un dernier mot pour nos lecteurs français ?

    Les Français, les Grecs, les Italiens ont les mêmes problèmes. Je suis autant Européen que je suis Grec, et Athénien. Pour moi, chacune identitaire est le même que chaque activiste grec. Votre combat est le mien.

    Crédit photo : Maksim via Wikipédia (cc).

    Seconde partie de l’entretien samedi 1er mars

  • Esclaves blancs chrétiens, maîtres musulmans - Documentaire

    27/20/2014 – VIDÉO - Un million d’Européens, des équipages entiers, hommes, femmes, enfants, ont été capturés et réduits en esclavage par les musulmans en mer Méditerranée au cours des siècles. Vendus sur les places d’Alger, Fez, Tunis, Tripoli, soumis à la torture et aux travaux forcés, il s’agit d’une page (volontairement ?) oubliée de l’histoire européenne.

  • Arseni Iatseniouka : "l'Ukraine va devenir membre de l'Union européenne"

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    http://lejournaldusiecle.com/2014/02/27/arseni-iatseniouka-lukraine-va-devenir-membre-de-lunion-europeenne/

    28 02 14

  • Mairies FN ? Une bénédiction pour le contribuable ! Par Jean-Yves Le Gallou

     

        
    Le 4 août 2013
    Le bilan financier des quatre maires FN élus en 1995 est remarquable !
           
             

    En mars 2014, de nombreux électeurs seront tentés de voter pour des candidats présentés ou soutenus par le Front national. Ils peuvent avoir des raisons nationales ou locales de le faire par souci identitaire ou sécuritaire. Mais disons-le tout de go : comme contribuables, ils ne devraient pas hésiter !

    Car le bilan financier des quatre maires FN élus en 1995 est remarquable !

    À tout seigneur, tout honneur : Jacques Bompard, aujourd’hui Ligue du sud, élu en 1995 maire d’Orange, a apuré la lourde dette dont il a hérité : aujourd’hui, à Orange, la dette par habitant est 20 fois plus faible qu’à Cavaillon ou Carpentras, 40 fois plus faible qu’à Avignon. Et les impôts locaux ont baissé !

    Par suite de manœuvres, Catherine Mégret n’est restée que quatre ans maire de Vitrolles. C’est court, mais ce fut suffisant pour faire plonger de 15 % l’endettement, baisser le taux des taxes locales et diminuer le prix de l’eau. Tout en maintenant l’effort d’équipement. Chapeau !

    A Marignane, les deux mandats de Daniel Simonpieri furent aussi providentiels pour le contribuable.

    Reste Toulon. Jean-Marie Le Chevalier fut victime d’une dizaine de procès. Il les gagna presque tous mais le retentissement des accusations ruina son image. Pourtant, là aussi, le bilan financier fut honorable. Et c’est la chambre régionale des comptes qui l’a dit dans un rapport portant sur la période 1995/2005 : diminution de l’en-cours de la dette par habitant et amélioration de la capacité d’autofinancement. Principal reproche fait par les magistrats comptables à Le Chevalier : ne pas avoir mis fin à certains avantages sociaux remontant aux années cinquante !

    Bref, si la France avait été gérée comme les mairies FN élues en 1995, le déficit du budget de l’État ne représenterait pas le quart des dépenses publiques, comme c’est hélas le cas, et la signature de la France aurait gardé son triple A.

    On m’objectera : mais alors, comment se fait-il que les médias officiels aient donné, et donnent encore, une si mauvaise image aux mairies FN ? Pour une raison simple : nous n’avons pas affaire à des médias d’information mais à des médias de propagande qui se recopient les uns les autres sans jamais aller aux sources. Vous n’y pensez pas : il faudrait travailler ! Raison de plus pour faire connaître ce salutaire exercice de réinformation. Le vote local FN ? Y a bon pour le contribuable.

    Pour en savoir plus (avec des chiffres détaillés et des références), se reporter à Polémia.

    BOULEVARD VOLTAIRE

  • Ukraine: tension à Sébastopol, deux blindés russes stationnent en ville

    http://www.leparisien.fr/international/ukraine-tension-a-sebastopol-deux-blindes-russes-stationnent-en-ville-25-02-2014-3623733.php

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    + VIDEOS, PHOTOS

  • Ukraine : Arseni Iatseniouk, membre de la Commission Trilatérale, est nommé Premier Ministre

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    Le millionaire Arseni Iatseniouk (Arseniy Yatsenyuk) a été désigné mercredi soir à la tête du gouvernement ukrainien d’union nationale jusqu’aux élections présidentielles anticipées prévue le 25 mai. Quelques semaines avant ces événements, il participait à une réunion de la Commission Trilatérale au sujet de l’Ukraine.

    Arseni Iatseniouk débute sa carrière politique en 2001, comme ministre de l’Economie de Crimée, république autonome russophone au bord de la mer Noire qui clame aujourd’hui son opposition au renversement du régime Ianoukovitch.

    Après un passage par la Banque centrale, il est ensuite nommé ministre de l’Economie (2005-2006) puis des Affaires étrangères (2007).

    Elu ensuite à la tête du Parlement, il devient le deuxième personnage de l’Etat. Candidat à la présidence, il obtient 7% des voix en 2010, et décline la proposition du vainqueur Viktor Ianoukovitch de rejoindre le gouvernement. Deux ans après, son parti, le Front pour le changement, décide de se dissoudre pour rejoindre Batkivchtchina (Patrie), le parti de Ioulia Timochenko, dont il prend les rênes à partir de 2011, quand l’ex-Première ministre est incarcérée.

    Désigné chef de file de l’opposition parlementaire au président Viktor Ianoukovytch, Arseni Iatseniouk conduisit son parti aux élections législatives d’octobre 2012.

    Quelques semaines avant les premiers rassemblements sur la place de l’Indépendance de Kiev, Arseni Iatseniouk participa le 27 Octobre 2013 à Cracovie (Pologne) à une réunion de la Commission Trilatérale présidée par Jean-Claude Trichet (ancien président de la BCE, membre du Groupe Bilderberg) dont le sujet portait sur "l’Ukraine et l’Union Européenne".

  • Nigel Farage: " L'Union européenne mène les pays méditerranéesn vers le niveau des pays du tiers-monde"

    Pour le député anglais au Parlement européen (UKIP, libéral-souverainiste), « il est temps d’en finir avec l’euro, afin que les monnaies des pays méditerranéens soient le reflet de leur niveau économique ».

    NOUVELLES DE FRANCE 27 02 14

  • Les vrais réfugiés, ce sont les Italiens sans travail qui n’arrivent pas à la fin du mois” : le non des maires aux clandestins de Lampedusa

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    22/02/2014 – VENISE (NOVOpress)
    « Non en chœur ». C’est ainsi que le Corriere del Veneto résume la réponse des maires (copie d’écran en Une) à la préfecture de Vicence, qui leur a demandé d’accueillir une partie des « réfugiés » toujours plus nombreux qui débarquent d’Afrique du Nord. Les encouragements incessants donnés aux clandestins par le ministre Kyenge Kashetu y ont-ils été pour quelque chose ? Et l’ostentatoire visite du pape François à Lampedusa ? Les « demandes d’asile » en Italie se sont en tout cas élevées à 43.000 en 2013, plus de trois fois le chiffre de 2012.

    Le flux n’étant pas parti pour se tarir – puisqu’on est décidé à ne rien faire pour l’arrêter –, le gouvernement italien cherche à organiser d’avance la dissémination des nouveaux arrivés sur tout le territoire.
    Fin janvier, le ministre de l’Intérieur a fait écrire par les préfets à toutes les communes d’Italie pour leur demander d’accueillir des clandestins « pour les trois années 2014-2016 ». En jargon administratif, il s’agit de « bien vouloir signaler l’éventuelle disponibilité de structures […], de préférence non-hôtelières, à destiner au possible accueil de ressortissants étrangers demandant une protection internationale. On privilégiera des structures avec une capacité d’accueil moyenne de 20 à 50 personnes, et en tout cas pas supérieure à 100 ».

     

    Le Ministère s’engage à verser aux communes un remboursement de 30 euros (plus TVA) par « réfugié » et par jour, pour couvrir les frais de nourriture, de logement, de gestion administrative, de « médiation linguistique », d’aide à la rédaction de la demande d’asile, la fourniture de vêtements, la blanchisserie et les produits hygiéniques. S’ajoutent à cela 2 euros 50 à verser quotidiennement en espèces à chaque « réfugié », avec une recharge téléphonique de 15 euros.

    "Les vrais réfugiés, ce sont les Italiens sans travail qui n’arrivent pas à la fin du mois" : le non des maires aux clandestins de LampedusaLe préfet de Vicence, en Vénétie, a donc écrit aux 121 maires de sa juridiction. Un mois après, il n’a reçu que des réponses négatives.

    Instruits par les mauvaises expériences précédentes, les maires, même de gauche, ne veulent plus de « réfugiés ». Le refus le plus énergique est venue de Milena Cecchetto (copie d’écran ci-contre), maire de Montecchio Maggiore, de la Ligue du Nord. « Les vrais réfugiés, a-t-elle écrit au préfet, ce sont nos concitoyens qui n’ont pas de travail et qui n’arrivent pas à la fin du mois. Cette municipalité n’a ni ressources ni espaces à mettre à la disposition des réfugiés. Chaque réfugié coûte à la collectivité 30 euros par jour, soit un total de 900 euros par mois: nous avons beaucoup de retraités qui n’arrivent pas à 500 euros par mois, et il y a des chômeurs qui seraient prêts à faire n’importe quel travail pour percevoir ce montant! »

  • Conflit ukrainien et élections européennes: le point de vue de Pierre Hillard

       
      

    Au micro de Sylvain Durain, Pierre Hillard évoque son prochain livre, mais aussi le conflit en Ukraine et les élections européennes 

    E&R