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  • Un projet de génocide des peuples européens ? Par Guillaume Faye

     14 février 2016 par Guillaume Faye

    Le génocide a été pratiqué depuis la plus haute antiquité. Dans un passé récent, on évoque évidemment la Shoah, les Arméniens, le Rwanda, le Cambodge de Pol Pot (auto–génocide). Le génocide peut prendre deux formes : éliminer directement une population ciblée ou la faire disparaître indirectement par d’autre types de mesures criminelles. Le génocide indirect a été commis de nombreuses fois dans l’histoire. L’actuelle ”crise des migrants” participe de ce projet : la noyade démographique des peuples européens.

    Le soft génocide volontaire et nihiliste

    Les peuples européens sont subrepticement victimes d’une tentative de génocide, d’élimination démographique et culturelle, pilotée par leurs propres élites ethnomasochistes et xénophiles. Une première dans l’histoire. Les autorités françaises sont, avec les belges, les plus impliquées dans cette entreprise de soft génocide. Ce dernier est à la fois physique et culturel.

    Enrobé par l’idéologie antiraciste, il suit pourtant un objectif racial et raciste : éliminer d’Europe, progressivement, – et en particulier de France – les populations autochtones. Les éliminer par cinq moyens : en favorisant une immigration de peuplement de provenance extra-européenne ; en décourageant la natalité des autochtones et en pénalisant les familles des classes moyennes ; en provoquant l’exil des jeunes forces vives autochtones par des mesures de taxation dissuasive ; en privilégiant, sur les plans sociaux, économiques, juridiques et culturels, les populations d’origine extra-européenne par rapport aux autochtones ; en pénalisant et punissant toute opposition au projet global immigrationniste et toute entrave à son idéologie.       

    Certains à droite répètent que le ”système”, le pouvoir, l’État, les autorités de l’UE sont impuissants à maîtriser l’immigration massive et incontrôlée. Impuissants ? Ils sont très puissants au contraire et fort efficaces dans la réalisation de leur dessein : épuration ethnique de l’Europe, et de la France pour commencer.

    En France, l’idéologie trotskiste joue un rôle central dans cette entreprise, dont le PS bourgeois et gauchiste et son conseil, le think tank Terra Nova, sont les fers de lance. Un de ses dirigeants a récemment déclaré qu’il ne fallait pas trop s’inquiéter du votre FN parce qu’il allait décliner en proportion pour des raisons démographiques. C’est une stratégie subtile, cynique, élaborée. Les électeurs mal–pensants vont disparaître au profit de nouveaux. Ce ”grand remplacement” ethnique est souhaité.

    Terra Nova (”nouvelle terre”, nouveau pays, nouvelle population) est un lobby métapolitique fort efficace, qui influence toutes les sphères du pouvoir. Son calcul électoral (séduire les immigrés et délaisser les classes populaires ou moyennes) est motivé par son animosité contre la France ”de souche”. Cette hostilité provient de l’idéologie marxiste–trotskiste, dont l’ ”internationalisme prolétarien ” est le cœur : détruire les appartenances nationales, enfin surtout celles des Européens. 

    Que l’islam soit sexiste, rétrograde, antidémocratique, etc. n’est pas le problème des idéologues trotskistes du PS et de Terra Nova, qui n’ont rien de ”républicains”. Leur objectif obsessionnel est l’éradication de l’identité ethnique des peuples européens et notamment de la France. Cette idéologie trotskiste, ”internationaliste” au départ, n’est-elle pas suicidaire  pour ceux-là mêmes qui la prônent ? Oui, et alors ? Ils s’en moquent. Car ils sont logiques avec eux mêmes, ils sont nihilistes. Leur objectif est la destruction de ce qu’ils haïssent – la civilisation européenne. Pas la construction d’un nouveau monde auxquels ils ne croient pas eux-mêmes.   

    Les axes stratégiques du soft génocide

    Les moyens utilisés, notamment en France, un laboratoire, sont les suivants. On les retrouve évidemment à l’échelle de l’Union européenne. Ils sont à la fois idéologiques, économiques, judiciaires et policiers.

    1) Encourager l’immigration. Laisser faire et favoriser cyniquement par tous les moyens la colonisation de peuplement. La crise des ”migrants ”en est la dernière démonstration. On est passé à la vitesse supérieure. Après une immigration continue depuis trente ans (fuite d’eau) on en vient (inondation) à l’accueil de la déferlante de millions de migrants, sous le label humanitaire de ”réfugiés”. Il n’y a aucune ”impuissance” des autorités européennes à arrêter les flux migratoires ; on note au contraire (l’angélique et folle Mme Merkel en est l’exemple) la volonté de les accentuer. Toute expulsion est rendue impossible.

    2) Favoriser l’islamisation. Tout ce qui est arabo-musulman devient intouchable et sacralisé par le pouvoir, en dépit des attentats islamiques et des gesticulations militaires contre Dae’ch. Le favoritisme envers l’islam est devenu une politique d’État. Et, de ce fait, l’ ”islamophobie” s’impose comme péché capital, délit impardonnable.

    3) Appauvrir et taxer les classes populaires et moyennes autochtones. Et les faires payer pour les autres. Toute la politique fiscale du gouvernement socialiste va dans ce sens : assistanat pour les immigrés même clandestins (pompe aspirante) financé par des ponctions croissantes sur le peuple de souche.   

    4) Mener une politique antifamiliale et antinataliste. En déconstruisant le système des allocations familiales, le gouvernement a réussi à faire baisser la natalité des autochtones en 2015. C’était bien calculé. La famille nombreuse de souche française n’est pas très appréciée…

    5) Pratiquer la discrimination positive. Il s’agit de la préférence étrangère et ethnique dans l’emploi, au nom de l’ ”antiracisme”. Les entreprises privées y sont fortement encouragées et les administrations publiques y ont systématiquement recours dans les emplois peu qualifiés.

    6) Assurer l’impunité judiciaire des délinquants d’origine étrangère. Cette politique, inaugurée depuis trente ans au moins, a été accentuée par le passage de Mme Taubira au ministère de la Justice, dont les orientation idéologiques (schizophrènes par ailleurs) sont parfaitement repérées : animosité envers tout ce qui est labellisé ”franco-européen”.   

    7) Détruire la transmission culturelle dans l’Éducation nationale. Culpabiliser l’histoire de France, démanteler l’enseignement du grec et du latin, démolir la grammaire et l’orthographe, dégrader l’ enseignement de la langue française, déraciner, promouvoir et encenser les cultures des populations immigrées –islamiques, africaines et autres… Tel est le programme suivi par l’État. Cette défrancisation, cette déseuropéanisation, Mme Vallaud–Belkacem, ministre de l’Éducation nationale ”socialiste” et pseudo-féministe, en est l’actrice souriante, après bien d’autres ministres et syndicalistes de formation trotskiste.

    8) Réprimer et punir tous les résistants à l’idéologie dominante.

    Jungle de Calais et des environs : les immigrés illégaux qui commettent des exactions sont impunis ; les Français qui résistent, manifestent et tentent de se protéger sont matraqués, incarcérés et poursuivis. Les répressions contre la ”Manif pour Tous” obéissaient à la même logique. Tout ce qui défend l’identité française est menacé et puni par l’État ”français”. La même répression est observable dans les médias, écrits, audiovisuels ou internet. Les tribunaux et la police sont tolérants envers l’envahisseur occupant et impitoyables envers la résistance. On pourrait appeler ça le syndrome de Vichy, non ?

    Collabos contre résistants

    Les deux camps sont assez bien définis. Les autorités étatiques, médiatiques, judiciaires, policières – ces dernières aux ordres des précédentes – ont pour mission de juguler et de neutraliser la résistance du peuple autochtone et de ses défenseurs. Ils auraient tort de croire qu’ils ont gagné.

    Ceux qui ont semé le vent de la guerre civile à venir en récolteront la tempête. Elle sera probablement sanglante. Ce n’est ni la bêtise, ni l’angélisme qui les a motivés. C’est la haine consciente et le désir de guerre, c’est la collaboration avec l’envahisseur et le pari de sa victoire. Mais ils risquent aussi de perdre la guerre qu’ils ont provoquée. Les résistants ont plus de chance de l’emporter parce qu’ils sont animés par une fidélité à leurs racines alors que les collabos sont soumis à des maîtres qu’ils peuvent toujours trahir .

    Nous verrons bien qui vaincra, mais, à mon avis, ce sera comme toujours L’Armée des Ombres.     

  • Barbara Mazières (FN) : « Nous souhaitons défendre les PME et les TPE qui créent de l’emploi et innovent dans ce pays »

     




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    Entretien avec  la Chargée de mission à la tête de la fédération FN du Maine et Loire :

    Le Front national sort d’un séminaire interne. Il semble que la ligne « Philippot » s’impose à votre mouvement. Qu’en pensez vous ?

    Nous n’avons pas dû avoir les mêmes informations. Il y a eu des discussions franches et libres. Certains points ont pu être affirmés comme la défense de la souveraineté – mais nous sommes tous d’accord là-dessus. Pour le reste, le Front National n’est pas un mouvement monobloc dans lequel un politburo dicterait ce qu’il faut penser de tout. Ce qui nous rassemble c’est la volonté de préserver notre souveraineté.

    Vous venez des milieux catholiques engagés en politique à la faveur de la Manif pour tous. Vous avez même affirmé que le combat contre la loi Taubira était l’une des raisons de votre engagement auprès de Marine Le Pen, vous qui militiez auparavant au RPF de Charles Pasqua et Philippe de Villiers. Comment réagissez vous aux déclarations laïcistes ou néo-jacobines de certains cadres du FN ?

    Concernant la défense de la famille, je note surtout que le FN est le seul parti à affirmer qu’il abrogera la loi Taubira, et je pense que les reniements sur le sujets de bon nombre de ténors républicains, pourtant mis en avant lors des Manif pour tous, devraient faire réfléchir nos amis restés aux LR.

    S’agissant du laïcisme, je crois qu’il faut distinguer deux choses: la laïcité, saine distinction entre spirituel et temporel, concerne l’État, mais la société n’a pas à être laïque. Comme le disait De Gaulle : « La République est laïque, mais la France est chrétienne. » Dans la société, ce qui doit primer, c’est la liberté, notamment la liberté d’expression. L’Etat doit rester dans sa sphère et n’a pas à s’immiscer dans la conscience des citoyens. La religion a toute sa place dans notre société.

    Mais sur l’union des droites que vous défendez également, ne vous opposez-vous pas à la ligne actuelle du FN ?

    Les notions de droite et gauche n’ont plus vraiment de sens aujourd’hui. Je pense que le débat se situe entre mondialistes et souverainistes, atlantistes et partisans d’un monde multipolaire composé de peuples libres et divers. Personnellement, je retrouve dans le Front National les thèmes défendus par Charles Pasqua; j’y retrouve aussi la vision gaullienne qui me tient à cœur. Je me situe clairement dans le camp des souverainistes. Tous les souverainistes doivent s’unir dans le combat de la dernière chance.

    Il est sûr, qu’à titre personnel, je me sens clairement plus proche d’un Philippe de Villiers ou d’un Thierry Mariani que d’un Jean-Pierre Chevènement, mais je remarque que les jeunes ne s’embarrassent pas de ces détails: le syndicat étudiant La Cocarde, présidée par Maxime Duvauchelle est en ce sens une très belle initiative. Il entend intégrer, sans les fondre, les différents courants du souverainisme.

    L’important est de ne pas vouloir être hégémonique. Dans un combat politique, nous pouvons avoir des alliés qui ne soient pas des vassaux et qu’il faut respecter.

    En France, une élection présidentielle ou législative se gagne, on peut le regretter, à deux tours. Nous avons un réservoir de vote énorme à droite; il faut pouvoir dialoguer avec cette droite de conviction qui n’ose pas encore franchir le pas de voter pour nous.

    Il faut en avoir conscience. Nos ennemis jouent de nos divisions et de nos égos.

    M. Taugourdeau, nouveau président de la fédération des Républicains du Maine et Loire, a déclaré dans Angers Mag qu’il était plus proche de l’UDI que du FN qui avait un programme économique d’extrême gauche ? En tant que Chargée de Mission du FN de Maine et Loire, comment réagissez vous ?

    Si M. Taugourdeau se sent proche de l’UDI, je n’ai pas grand-chose de commun avec lui. Mais je ne suis pas sûre que tous ses cadres pensent comme lui… En tout cas, je ne me sens absolument pas concernée par la prétendue vision d’extrême gauche dont parle M. Taugourdeau. J’ai passé un DESS de finance, j’ai été cadre bancaire et j’ai assuré la gestion de plusieurs PME. Je travaille toujours comme directrice financière. Je crois pouvoir dire que je suis bien plus dans l’économie réelle que bon nombre de parlementaires LR !

    La vérité, c’est que les Républicains se sont partagés le pouvoir avec les socialistes depuis 40 ans et que leur politique a conduit le pays au désastre économique que nous connaissons. Désindustrialisation, chômage énorme, fuite de nos jeunes diplômés et de nos entrepreneurs vers des contrées plus clémentes. Et ces gens-là veulent nous donner des leçons d’économie ? On reconnaît l’arbre à ses fruits, dit l’Evangile ; je constate que le fruit de la gestion LRPS n’est pas comestible ! Alors, pour se défendre, ils caricaturent notre programme. Nous serions d’extrême gauche quand nous pronons 40 années de cotisation pour toucher la retraite ? Mais cela n’est pas incompatible avec le droit de travailler au-delà.

    Nous souhaitons défendre les PME et les TPE qui créent de l’emploi et innovent dans ce pays.

    Pour cela il est souhaitable de baisser les charges des entreprises et d’arrêter les aides inutiles et coûteuses qui ne profitent trop souvent qu’aux multinationales. Il faut rapidement revenir sur les 35 heures et simplifier le code du travail en redonnant une sécurité à l’employeur en cas de nécessité de licenciement. Il faut également défiscaliser les bénéfices des PME qui sont réinvestis. Le bénéfice ne devrait être taxé que s’il est sorti de l’entreprise. Cela permettrait d’augmenter rapidement la trésorerie et le fond de roulement de nos entreprises.

    Il s’agit de mesures de bon sens, simples mais efficaces. Mais, pour pouvoir les mettre en œuvre, il faut une réelle volonté politique. Tout cela n’est pas incompatible, bien au contraire, avec un Etat stratège, comme à l’époque du général de Gaulle.

    NDF

  • VIDEOS - Manif pour défendre les libertés publiques: les discours à écouter

    http://fr.novopress.info/198222/%e2%80%aamanif-defendre-les-libertes-publiques%e2%80%ac-les-discours/

  • Secrétariat d’État à l’Égalité réelle : l’improbable CDD d’Ericka Bareigts

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    Existerait-il, donc, une égalité « irréelle » et une autre qui le serait moins, ou ne le serait pas du tout ?

    Inutile de gloser davantage sur les intitulés fantaisistes de nos nouveaux ministères et secrétariats d’État : nos confrères s’en chargent assez bien. En revanche, il n’est pas interdit de se poser quelques questions. Quid du secrétariat d’État à l’Égalité réelle, à la tête duquel vient d’être propulsée Ericka Bareigts, député de La Réunion ?

    Existerait-il, donc, une égalité « irréelle » et une autre qui le serait moins, ou ne le serait pas du tout ? Interrogée par Réunion Première, média ultramarin, Ericka Bareigts assure qu’il s’agit « de faire en sorte que nous puissions avoir l’égalité, quelle que soit notre origine sociale, notre race, notre couleur ou notre religion ». Fort bien. Nonobstant, il ne nous avait pas échappé que le vocable de « race » avait été banni, à la fois de nos dictionnaires et de notre Constitution. De quelle « race » parle-t-elle donc, alors ? De quelle « couleur », aussi… Celle de sa peau ou de sa petite culotte ?

    Là où la donzelle n’a pas tort, c’est lorsqu’elle pointe les cruelles disparités économiques et sociales entre métropole et France du grand large : plus de 50 % de chômage en Réunion, ce n’est pas rien ; diagnostic qui peut aussi valoir pour Martinique et Guadeloupe. Pour ceux qui connaissent un peu ces contrées lointaines permettant, rappelons-le, à la France d’être le deuxième espace maritime au monde, là où le Soleil jamais ne se couche, quelques bémols s’imposent.

    Oui, il y a de la pauvreté en ces confettis de France dispersés en cette vaste Terre. Mais la misère n’y est pas au rendez-vous : même dans les quartiers les plus déshérités de Fort-de-France (Martinique) ou de Pointe-à-Pitre (Guadeloupe), il y a cent fois moins de mendiants qu’à Paris… Contre cet état de fait, Jean-Luc Mélenchon estimait, en un français des plus approximatifs, que « les Outre-Mer subissaient un véritable apartheid social et sont victimes d’un mal-développement structurel ». Certes.

    De son côté, et dans le périodique Vaucluse Avenir de Marion Maréchal-Le Pen, on lisait naguère ces quelques lignes : « Au-delà même de ces défis planétaires, force est d’avouer que cette France du lointain paraît bien lointaine… vue de métropole. Il y a ceux qui prétendent qu’elle nous “coûte cher”… À court terme, peut-être, quoique cela puisse encore évidemment se discuter ; mais, une fois sortis de cette logique de comptables, comment ne pas voir qu’il s’agit là d’investissements stratégiques à long terme ? Car c’est là que se nichent aussi les énergies du futur, un possible vivier alimentaire à venir, à condition toutefois d’exploiter cet immense gisement dans l’indispensable respect de l’environnement. »

    Soit des considérations ayant l’air de passer bien au dessus de la tête d’une Ericka Bareigts, sûrement pleine de bonne volonté, persuadée qu’elle est de pouvoir « assurer une égalité économique entre les Outre-Mer et l’Hexagone ». Vaste programme, mais qui ne saurait se décréter sur l’heure et surtout lorsque le sien, de programme, consiste à rejoindre « très rapidement Paris pour se mettre en lien avec le cabinet du Premier ministre et avoir une réunion pour délimiter le champ de ses attributions et d’établir un planning des prochaines fois sur lesquelles elle aura à travailler », à en croire Les Échos de ce vendredi dernier. Autant dire que ses journées à venir ne devraient pas trop frôler la surchauffe.

    Petit rappel historique : après le 10 mai 1981, fut créé un bidule assez étonnant, le ministère du Temps libre, dont l’éphémère André Henry eut la charge, jusqu’au remaniement ministériel de 1983. L’intitulé portait en lui ses propres limites et le ministère disparut dans l’indifférence générale.

    Son actuel homologue de l’Égalité réelle pourrait bien suivre semblable chemin, tant tout ceci est indubitablement et « réellement » nigaud. La France ultramarine mérite décidément mieux.

     
    NDF
  • Je suis phobe !

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    « Je suis Charlie », la formule a fait florès. La compassion, l’identification à la victime, la solidarité à bon compte et la bonne conscience en prime, avaient le mérite de dissoudre l »événement (c’est-à-dire une grave défaillance de la sécurité) dans une attitude de petite bravade, de petit défi sans grand danger. Je n’ai pas été Charlie parce que ce canard vole trop bas, même si sa vulgarité ne mérite pas pour autant le peloton. Je n’ai pas non plus été Paris, parce que ce n’était pas le gai Paris qui danse et qui chante que des salopards avaient touché, mais la France qui ne s’y attendait pas. Non, moi « je suis phobe », avec conviction, avec application, avec détermination, avec jubilation et aujourd’hui avec provocation. Comme ça fait du bien de dire à tous les moralistes pavloviens, à tous les empêcheurs de penser librement, à tous les directeurs de conscience dénués de cervelle, à tous les inquisiteurs et autres commissaires politiques du microcosme, à tous les enfileurs d’amalgames et obsédés des années noires, à tous ceux qui brandissent les interdits et poursuivent les hérétiques du politiquement correct ou les allergiques à la pensée unique : « phobe je suis, phobe je reste et j’en suis fier parce que ce suffixe qui meuble votre absence de pensée, qui ne veut rien dire ou en tout cas pas ce que vous prétendez, ce petit bout de mot trop petit pour marcher seul, je lui donne son autonomie, et ainsi une vraie grandeur, celle de la liberté. Être « phobe », c’est dire j’aime qui je veux et ce que je veux. C’est revendiquer le droit d’être libre d’exprimer sa pensée. C’est aussi affirmer sa liberté de ne pas aimer ce qui n’est pas aimable et de refuser ce qui n’est pas acceptable. Libre aux autres de ne pas penser comme moi. Mais ne marchez pas sur les plates-bandes de mes idées.

    Et puis ce malheureux suffixe sans défense que vous exploitez sans vergogne, vous l’obligez à dire ce qu’il ne dit pas. La phobie, sa mère, ne lui a pas appris à détester, à mépriser, à rejeter, à agresser qui que ce soit, mais seulement à avoir peur, une peur panique, face au vide, à la foule, à la claustration. Elle parlait grec, sa mère, et en grec « phobos » ça veut dire frayeur. La haine c’est « misos ». Comme quoi le grec et le latin avaient du bon, ça empêchait les incultes à la sauce Valllaud-Belkacem de diriger notre pauvre monde.  Si très calmement, vous dîtes je n’aime pas ceci ou cela, et avec des raisons sérieuses, ce n’est pas de la phobie. C’est une opinion. Alors faisons sortir ce mot de son esclavage, émancipons-le, soyons pleinement, lucidement, joyeusement phobes. Si on ne lui ajoute rien, il ne veut plus rien dire, c’est le carré blanc sur fond blanc de la pensée politique, un grand moment de libération créatrice. »

    Pour le reste, je suis partisan de la préférence nationale, d’une solidarité prioritairement destinée à mes compatriotes. Je continue à penser que le mariage fonde la famille en préparant l’accueil des enfants et ne concerne donc qu’un couple constitué par un homme et une femme. Je crois aussi que l’islam est une religion de conquête et qu’elle est à nouveau conçue comme telle par des musulmans qui vivent en Europe, ce qui présente un risque réel. Je pense enfin qu’il y a des gens qui manifestent un curieux ressentiment à l’encontre de leur propre identité, nationale, religieuse, une attitude qu’on pourrait croire pathologique et qui consiste à se détester soi-même. Je le jure, je n’emploierai pas le mot de christianophobie. Je n’inventerai pas le mot d’héautonphobie ( héauton = soi-même). Je ne dirai même pas qu’ils doivent se soigner. Je leur dirai seulement de réfléchir un peu et de laisser penser les autres.

    Christian VANNESTE

     

    NDF

  • Génocide du peuple européen : des « Fleuves de sang » !

    http://www.autochtonisme.com/2016/01/genocide-du-peuple-europeen-des-fleuves-de-sang.html

    + VIDEOS

     Publié par Antonin Campana sur 15 Janvier 2016, 17:49pm

    Catégories : #Antijaphétisme

    [Le projet de génocide du peuple européen par le métissage a été pensé dès les années 1920. Il a été méthodiquement réalisé à partir des années 1960. Nous joignons (vidéos ci-dessous) un reportage de la BBC  qui montre que le Système a utilisé toute sa puissance pour faire taire les lanceurs d’alertes, tels Enoch Powell, pourtant Secrétaire d’Etat à la Défense du gouvernement britannique (1968)]

  • La secrétaire d’état à l’égalité plaidait pour des jours fériés hindous et musulmans à la place des chrétiens (rediff)


    Bareigts / Valls - Polémique Morano par la1ere

     

    J-1

    30/09/15

     

    14/01/15

    Transférer trois jours fériés chrétiens en faveur des autres confessions ? Voilà une revendication fort ancienne à la Réunion, relayée par le groupe de dialogue interreligieux. La députée PS, Ericka Bareigts, s’apprête à déposer un amendement dans le cadre de la loi Macron ouvrant cette possibilité dans les départements d’Outre-mer.

    (…) Clicanoo.re

  • Naufrage de migrants : photomontage...

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  • Paris, Château Rouge

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  • À Munich, la visite express de Manuel Valls dans un centre d'accueil de migrants

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    Le premier ministre a vivement critiqué samedi la chancelière allemande, Angela Merkel, et réaffirmé que l'Europe ne pourrait pas accueillir plus de migrants.

     
     
     
     

    Envoyée spéciale à Munich

    Un petit tour et puis s'en va. Manuel Valls, qui participait samedi à la conférence de Munich sur la sécurité, s'est rendu dans l'après-midi dans une caserne de la capitale bavaroise reconvertie en centre d'accueil pour migrants.

    Manifestement, le premier ministre n'avait pas l'intention de s'attarder sur place. Car, après son déjeuner avec son homologue russe, Dimitri Medvedev, c'est une visite au pas de course qu'il a fait là. Vingt-cinq minutes montre en main pour, a-t-il dit à la fin de sa courte étape, voir comment sont pris en charge les migrants dans ce centre qui accueille majoritairement des Afghans et des Irakiens. Manuel Valls a d'abord marché dans la grande allée de cette ancienne caserne. Mais la délégation du premier ministre, encadré par des représentants du gouvernement de Haute-Bavière désireux de voir le flot de migrants se tarir en Allemagne, n'a d'abord trouvé là qu'une allée déserte donnant à l'endroit des allures de ville fantôme.

    Ce n'est qu'un peu plus loin que le premier ministre a pu enfin croiser des migrants. Par exemple, devant le gymnase où les mineurs accompagnés font du sport. Ou encore lorsqu'il est entré dans un bâtiment où logent des familles. Le premier ministre ne s'est pas attardé avec les quelques migrants rencontrés. «Where do you come from?», a-t-il lancé à deux sœurs nigérianes, probablement mineures et ayant la charge d'un enfant. Manuel Valls a entraperçu une chambre dans laquelle il n'est pas rentré ou encore une petite salle à manger où il n'a pas pénétré. Le premier ministre voulait rester en retrait. Il y est parvenu.

    Manuel Valls a, au fil de ces derniers mois, singulièrement durci le ton sur le dossier des migrants. En raison notamment des attentats du 13 novembre, mis à exécution par plusieurs terroristes venus en Europe et en France avec le flot des réfugiés. À Munich, ses propos ont été sans la moindre ambiguïté. «Nous ne pouvons pas accueillir plus de réfugiés», a-t-il martelé à de nombreuses reprises à quelques jours du sommet européen des 18 et 19 février. Il y a encore quelques semaines, le premier ministre estimait que l'afflux de migrants en Europe menaçait Schengen.

    Désormais, il est beaucoup plus explicite, parlant «du retour des frontières intérieures» avec «les conséquences économiques que l'on peut imaginer». «Quels pays vont accueillir les migrants?, interrogeait-il vendredi soir au cours d'un échange avec des journalistes. La Suède, le Danemark, la Finlande qui ont déjà beaucoup accueilli? Le Royaume-Uni? Je ne vous fais pas un dessin... L'Italie qui peut, à tout moment, être confronté à une nouvelle vague venue de Libye?»

    Le premier ministre n'est pas favorable à ce mécanisme de répartition permanente pour lequel plaide l'Allemagne qui a déjà ouvert ses frontières à plus d'un million de réfugiés. Il balaie également cette idée de coalition de pays volontaires poussés par l'Allemagne. Il prône au contraire des centres d'enregistrement et des gardes-frontières européens et affirme que la France tiendra son engagement d'accueillir 30.000 réfugiés mais n'ira pas plus loin.

    Manuel Valls a vivement critiqué la chancelière allemande vendredi soir devant les journalistes. «Il a quelques mois, les médias français demandaient ««Où est l'Angela Merkel française? Le Journal Le Monde voulait lui donner le prix Nobel de la paix. Aujourd'hui, on constate le résultat», a-t-il ironisé.

  • Atrophies crâniennes et virus Zika : des médecins suspectent plutôt un insecticide !

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    « Des médecins argentins et brésiliens écartent le virus Zika dans l’apparition de graves malformations crâniennes chez les nouveaux-nés au Brésil. Et mettent en cause l’utilisation d’un insecticide fabriqué par un partenaire de Monsanto censé protéger de la dengue.

    Le virus Zika ne serait pas à l’origine de la dramatique augmentation d’atrophies crâniennes et cérébrales des nouveaux-nés en Amérique du Sud. C’est ce qu’avance un groupe de chercheurs argentins, dans un rapport coordonné par le Dr Avila Vazquez, pédiatre spécialisé en néonatalogie, le 3 février dernier. Pourtant, avec 1,5 million de personnes infectées en quelques mois, le Brésil avait lancé l’alerte en novembre dernier, incriminant le virus transmis par les moustiques dans l’apparition de graves malformations congénitales et de troubles neurologiques.

    « La détection de milliers de cas de malformations congénitales chez des enfants dont les mères, enceintes, habitent dans des zones où le gouvernement brésilien a ajouté du pyriproxifène à l’eau potable, ne relève pas d’une coïncidence, bien que le ministère de la Santé mette en cause le virus Zika dans ces dommages », commentent les médecins. Le pyriproxyfene est un inhibiteur de croissance des larves de moustique, dont l’emploi est recommandé par l’OMS pour lutter contre la prolifération de la dengue.

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  • Réaction de Marine Le Pen à l'interview du Président de la République

      Communiqués / 11 février 2016

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    C’est un Président en fin de règne qui est intervenu ce soir. François Hollande ne fait que commenter son inaction, se perd dans les absurdes méandres du débat sur la déchéance de la nationalité, et donne ce sentiment désolant d’un président qui ne gouverne plus.

    Le problème, c’est que la France et les Français souffrent terriblement de cette inaction. Il est inquiétant de voir que François Hollande termine son mandat, comme son prédécesseur Nicolas Sarkozy, dans l’échec total, dans tous les domaines, sans se remettre aucunement en cause. Les satisfecits qu’il se décerne ont dès lors un caractère attristant.

    François Hollande n’est pas apparu disposé à la moindre réorientation de sa politique. Economie, sécurité, agriculture, immigration, il s’entête à suivre l’orthodoxie fixée par l’Union européenne.

    Chacun sait par exemple qu’on ne pourra lutter efficacement contre la crise migratoire et contre le terrorisme sans mettre fin à Schengen et sans restaurer des frontières nationales.

    Chacun sait aussi que le chômage ne pourra baisser, et nos comptes sociaux se rétablir, tant que l’Etat n’aura pas retrouvé les armes nécessaires dans la mondialisation : patriotisme économique, protectionnisme intelligent, capacité monétaire. Il faudra également faire preuve d’une grande vigilance sur la réforme du code du travail qui doit se concentrer sur le soutien aux TPE et la suppression de normes administratives inutiles, et non précariser les salariés comme Bruxelles le souhaiterait.

    A l’heure d’une conjonction très dangereuse de crises gravissimes (migratoire, économique, financière aujourd’hui), François Hollande et son enième nouveau gouvernement, comme les gouvernements UMP précédents, ne pourront rien changer parce qu’ils ne veulent au fond rien changer.

    C’est finalement le triomphe du conservatisme : ne rien changer, pour ne toujours pas servir les intérêts des Français. Et nul ne doute que ce « nouveau » gouvernement n’a été formé que pour geler d’éventuels concurrents à la prochaine présidentielle, rien d’autre.

    Marine Le Pen appelle à ouvrir les vrais débats sur les sujets fondamentaux de la France aujourd’hui, et sur les conditions de sa souveraineté. Si François Hollande prétend avoir le goût du référendum, comme il l’a montré sur Notre Dame Des Landes, alors qu’il ne s’arrête pas en si bon chemin et qu’il en organise nationalement sur les grands sujets, à commencer par Schengen et le TAFTA. Il est temps de mettre au placard la démagogie permanente du discours UMPS, qui consiste à faire croire qu’on pourra améliorer la situation des Français sans engager les changements radicaux qui s’imposent.

  • VIDEO - Interview de Bernard-Henri Lévy par Anne Sinclair sur la notion de "peuple élu"


    Bernard-Henri Lévy : "l'idée de nation... par Europe1fr

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Le-religieux-Bernard-Henri-Levy-fait-son-preche-sur-Europe-1-37709.html

  • « Cette mosquée en plein Paris ne me dit rien de bon » (Maurras)

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     II n’y a peut-être pas de réveil de l’Islam, auquel cas tout ce que je dis ne tient pas et tout ce que l’on fait se trouve être aussi la plus vaine des choses. Mais, s’il y a un réveil de l’Islam, et je ne crois pas que l’on en puisse douter, un trophée de la foi coranique sur cette colline Sainte-Geneviève où tous les plus grands docteurs de la chrétienté enseignèrent contre l’Islam représente plus qu’une offense à notre passé : une menace pour notre avenir.On pouvait accorder à l’Islam, chez lui, toutes les garanties et tous les respects. Bonaparte pouvait se déchausser dans la mosquée, et le maréchal Lyautey user des plus éloquentes figures pour affirmer la fraternité de tous les croyants : c’étaient choses lointaines, affaires d’Afrique ou d’Asie. Mais en France, chez les Protecteurs et chez les Vainqueurs, du simple point de vue politique, la construction officielle de la mosquée et surtout son inauguration en grande pompe républicaine, exprime quelque chose qui ressemble à une pénétration de notre pays et à sa prise de possession par nos sujets ou nos protégés. Ceux-ci la tiendront immanquablement pour un obscur aveu de faiblesse. Quelqu’un me disait hier :– Qui colonise désormais ? Qui est colonisé ? Eux ou nous ?J’aperçois, de ci de là, tel sourire supérieur. J’entends, je lis telles déclarations sur l’égalité des cultes et des races. On sera sage de ne pas les laisser propager, trop loin d’ici, par des haut-parleurs trop puissants. Le conquérant trop attentif à la foi du conquis est un conquérant qui ne dure guère. Nous venons de transgresser les justes bornes de la tolérance, du respect et de l’amitié. Nous venons de commettre le crime d’excès. Fasse le ciel que nous n’ayons pas à le payer avant peu et que les nobles races auxquelles nous avons dû un concours si précieux ne soient jamais grisées par leur sentiment de notre faiblesse.

    Charles Maurras lors de l’inauguration de la Grande  mosquée de Paris, le 13 juillet 1926.

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  • Coudenhove-Kalergi, l’UE et le génocide du peuple européen

    http://www.autochtonisme.com/2016/01/coudenhove-kalergi-l-ue-et-le-genocide-du-peuple-europeen.html

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    Publié par Antonin Campana sur 3 Janvier 2016, 19:00pm

    Catégories : #Les joies de la nation Frankenstein

    [Coudenhove-Kalergi, « Père fondateur de l’Europe » dont le buste trône à Strasbourg, proposait rien moins que l’abolition de la démocratie, la domination sans partage d’une oligarchie sublimée et le métissage généralisé du peuple européen. Petite plongée au cœur de l’idéologie européiste]

    A lire absolument jusqu'à la fin!

  • Quand Ericka Bareigts voulait remplacer les jours fériés catholiques

    http://www.valeursactuelles.com/societe/quand-ericka-bareigts-voulait-remplacer-les-jours-feries-catholiques-59223

    Ericka Bareigts est la nouvelle secrétaire d'état à l'Egalité réelle

  • Nicolas Bay invité de Grand Angle

    http://www.bfmtv.com/mediaplayer/video/que-faut-il-retenir-de-l-interview-de-francois-hollande-au-20h-23-754482.html