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  • Le président de gauche tchèque : «Les migrants musulmans sont impossibles à assimiler»

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    Milos ZEMAN

     

    19h07
     

    Le président tchèque pour la «déportation» des migrants économiques et des suspects.

    Le président tchèque Milos Zeman, connu pour ses propos anti-migrants, a préconisé ce vendredi la «déportation» des migrants économiques et des personnes suspectées de terrorisme, tout en dénonçant «l’échec complet» de l’UE face à la crise.

    Le dirigeant de gauche n’en est pas à sa première déclaration contre la vague de migrants et de réfugiés arrivant en Europe et il a même participé l’année dernière à un rassemblement contre les migrants, organisé par le mouvement xénophobe Bloc contre l’islam.

    «L’Union européenne a complètement échoué à résoudre la crise migratoire», a dit Milos Zeman lors d’un rassemblement social-démocrate dans la capitale slovaque Bratislava. «La seule solution à la crise migratoire est la déportation des migrants économiques et de ceux qui prônent la violence religieuse, la haine religieuse, bref qui fomentent le terrorisme», a-t-il poursuivi.

    «Les migrants musulmans sont impossibles à assimiler»

    La République tchèque, a ajouté Milos Zeman, accueillera tous les migrants qui veulent s’intégrer, mais «les migrants musulmans sont impossibles à intégrer et à assimiler dans la culture européenne». «Le politiquement correct est synonyme de mensonge», a encore dit le chef de l’Etat.

    (…) Le Parisien

    Merci à chandid

  • Calais: attaque de migrants

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  • VIDEO - Emmanuelle Cosse : une anti-française et immigrationniste fanatique

    https://youtu.be/1862n0u6Mlw

     

    Emmanuelle Cosse, nouveau ministre du Logement, déclarait il y a peu vouloir accueillir « sans limite » les « migrants » !

    Nos 3,8 millions de mal-logés sont entre de bonnes mains !

     

    Par ailleurs, elle déclarait sur le plateau de France 2 en décembre 2013 :
    « Le problème, c’est celui de l’État nation […] Je pense que l’Europe sera d’autant plus intéressante pour tout le monde qu’on arrivera à une dissolution de l’État nation, quelque chose de beaucoup plus intégré. Les écologistes ont toujours été extrêmement clairs là-dessus, moi je crois beaucoup à une Europe fédérale, avec des institutions et un sentiment européen. Il faut aussi arrêter avec ce sentiment national. »

  • [Tribune libre] Mon Général, vous n’avez pas le courage civil

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    12/02/2016 – FRANCE (NOVOpress)

    La scène, racontée par Barrès dans L’Appel au Soldat, est inoubliable. Le parti boulangiste en complète déroute au premier tour des élections municipales de 1890, les animateurs du Comité politique vont en délégation à Jersey, où Boulanger s’est enfui parce qu’il avait peur d’être arrêté. Ils veulent convaincre le Général Revanche de rentrer en France : « Son arrestation sensationnelle peut seule galvaniser les électeurs pour le second tour. Son procès, où nous serions impliqués, ressusciterait le parti. » Ils plaident en vain pendant des heures : Boulanger refuse de quitter son confortable exil, auprès de la femme qu’il aime. « Dieu lui-même, vous m’entendez, messieurs, viendrait me chercher que je ne rentrerai pas ». C’est alors que Déroulède, désespéré « et peut-être heureux de blesser », jette au héros déchu :

    Général, on vous sait le courage militaire, mais vous manquez du courage civil.

    Il était difficile de ne pas penser à ce mot terrible en voyant des généraux en retraite se hâter de prendre leurs distances avec le général Piquemal, puis surtout, hélas, en écoutant les palinodies du général Piquemal lui-même. Le grotesque (quand le brave général explique s’être trouvé à la manifestation de Calais par « une rencontre fortuite ») l’y dispute à l’odieux (quand il dénonce comme « racistes, xénophobes, islamophobes », « extrêmement intolérants voire un peu fascistes » ceux qu’il avait encouragés à manifester derrière lui). Mais le sommet de la lâcheté est ce mensonge délibéré, ce déni froid et conscient, de ses propres propos et de la réalité – à Jean-Jacques Bourdin qui lui reprochait d’avoir parlé « d’immigration de peuplement et de remplacement » : « On est très loin du Grand Remplacement, c’est une évidence ».

    Que le général Piquemal ait des circonstances atténuantes, c’est possible. Des hommes plus âgés que lui, et qui couraient infiniment plus de risques, ont pourtant été capables de tenir tête à leurs accusateurs et de transformer leur procès en tribune. Maurras avait soixante-seize ans quand il lançait à « Monsieur l’avocat de la femme sans tête » :

    La violence n’est pas du tout dans mes paroles, comme il y paraît : elle est dans la situation. La violence, c’est que vous soyez à la place où vous êtes et que je n’y sois pas !

    Comme on aurait voulu que le général Piquemal osât tenir de tels propos : osât dire que la violence, la vraie, la seule qui compte, est celle du déferlement migratoire, du génocide organisé des Français de souche.

    Une certaine droite, la même qui crie « CRS avec nous », est fascinée par les généraux. Elle devrait pourtant savoir que, en temps de paix, le moyen le plus ordinaire de devenir général, a fortiori général quatre ou cinq étoiles, est de courtiser les politiciens. Le parcours du général Piquemal, successivement membre du cabinet des premiers ministres Rocard, Cresson et Bérégovoy, est typique. Ce n’est certes pas l’indépendance d’esprit qui est recherchée dans ces nominations, ce ne sont pas même, ou assez rarement, les talents militaires. Quand vient l’heure de vérité, on s’aperçoit que les généraux sont nus. Dans les premiers mois de la guerre de 14, il fallut, d’un mot nouveau forgé pour l’occasion, en limoger pas moins de 162, qui avaient été nommés pour leur dévouement aux principes républicains : cent soixante-deux ! L’historien militaire Pierre Rocolle en a tiré un livre, L’hécatombe des généraux. À combien de dizaines de milliers de jeunes Français leur incompétence coûta-t-elle la vie ?

    Pareille carrière prépare encore moins au devoir de désobéir. Le chapitre consacré au putsch d’Alger dans les souvenirs du colonel Argoud (La décadence, l’imposture et la tragédie) est – quoi qu’on puisse penser, avec le recul du temps, du fond de la question –, accablant à cet égard. Il y décrit « ces nombreux officiers généraux de l’armée française, dont la prime attribuée par le régime au manque de caractère a favorisé la carrière et qui ne s’imposent que par leurs insignes de grade. » Quelques retraités sauvèrent alors l’honneur des généraux, mais ils furent bien peu nombreux. S’en retrouverait-il au moins autant aujourd’hui ? Ce qu’on a vu ces derniers jours n’incite guère à le penser.

    Certains journaleux s’excitent tout seuls à faire trembler le bobo en évoquant tout de go, à propos du général Piquemal, le spectre du militaire putschiste. Croient-ils vraiment à ce qu’ils écrivent ? Putschiste bien plausible, vraiment, que le général Piquemal ! La vérité est qu’un putsch militaire pour arrêter l’invasion est encore moins probable que la victoire de Marine Le Pen à la présidentielle de 2017. Le système, s’il n’avait que cela à craindre, pourrait dormir tranquille.

    L’histoire de France, pourtant, n’est peut-être pas terminée. Lorsque le peuple aura compris qu’on l’amuse, qu’aucun général ne sortira de sa retraite pour le sauver et que le système électoral est verrouillé, qui peut assurer que ne s’accomplira pas la menace – puisque l’on tient à évoquer la guerre d’Algérie –, de Michel Debré en 1958 :

    Nos dirigeants, prenez garde qu’au jour du désespoir et de la honte, le jour où nous aurons bu le calice jusqu’à la lie, ne naisse un FLN français !

    Flavien Blanchon

  • Qui est Audrey Azoulay, nouveau ministre de la Culture ?

     

    Trois choses à savoir sur le ministre de la Culture nommé le 11 février.

     

    1. Fille du conseiller de Mohammed VI

    Enfant, le nouveau ministre de la Culture passait ses vacances au Maroc où son père André Azoulay, ancien correspondant d’Europe 1, est conseiller personnel du roi. Ce dernier a été officiellement chargé, en 1991, des affaires économiques et de la communication de Hassan II puis de Mohammed VI, ayant par exemple œuvré au rétablissement des relations diplomatiques entre le Maroc et Israël en 1994. Il est un des fondateurs du Projet Aladin, lancé par la Fondation pour la mémoire de la Shoah d’Éric de Rothschild pour promouvoir le « devoir de mémoire » dans les Pays musulmans. En France, André Azoulay participe aux dîners du club Le Siècle depuis 1989 et s’est vu remettre la Légion d’honneur par Michel Rocard.

     

    2. Son dada : le financement public du cinéma

    Sortie de l’Ena en 2000 (promotion Averroès, la même que Fleur Pellerin, qu’elle remplace), Audrey Azoulay a été chef du bureau du secteur audiovisuel public chargée de la stratégie et du financement au Service juridique et technique de l’information et de la communication du ministère de la Culture, avant de rejoindre en 2006 le Centre national du cinéma (CNC) comme directrice adjointe de l’audiovisuel, puis dès l’année suivante, directrice financière et juridique et à partir de 2011, directrice générale déléguée, c’est-à-dire n°2 du CNC.

     

    3. Le CRIF à la culture ?

    Depuis septembre 2014, Audrey Azoulay occupait le poste de conseillère à la Culture à l’Élysée au sein du cabinet de François Hollande. On l’a par exemple aperçue avec le président de la République au Théâtre de l’Atelier en octobre 2014 pour assister à Hôtel Europe, la pièce de Bernard-Henri Lévy. Elle passe pour celle qui, le 23 février 2015, quelques heures avant le dîner annuel du CRIF, a ordonné au patron de France Télévisions d’alors, Rémy Pfimlin, d’acquérir les droits de diffusion du navet d’Alexandre Arcady, 24 jours, pour les chaînes de service public.

  • Assassin pour une assurance-vie : le franco-algérien Jamel Leulmi condamné à 30 ans de réclusion

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    Sébastien Morelli | | MAJ :

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    L’accusé, âgé de 37 ans, a été reconnu coupable d’avoir tué sa femme et commandité l’assassinat (raté) d’une autre pour encaisser leurs assurances vie. (DR.)

    Il se tient la tête entre les mains. La foudre vient de s’abattre pour la deuxième fois sur Jamel Leulmi. Au terme de sept heures de délibéré, la cour d’appel des assises de Paris vient de le condamner ce vendredi après-midi à 30 ans de réclusion criminelle, peine assortie d’une sûreté de 18 ans.

    En première instance devant les assises d’Evry, il avait déjà été condamné à 30 ans de réclusion, mais avec 15 de sûreté.

    Sur le banc des parties civiles, on s’étreint. Les sourires se mêlent aux larmes et un poing se lève. Après un mois d’un procès complexe, parfois tendu où chacun a pu, à un moment ou un autre, douter, c’est le soulagement. « Oui, on a douté, souffle la mère de Kathlyn, Brigitte Thepault. Je suis soulagée, contente que la cour d’appel ait confirmé le verdict. Je tourne la page de ce procès, mais je ne tournerai jamais la page de ma fille. » « On va pouvoir tourner la page. Il est reconnu coupable définitivement. Il est ce qu’il est : un monstre », déclare Julie Derouette à la sortie de l’audience. Pour les proches de l’accusé, le coup est rude et l’on réfléchit à un pourvoi en cassation.
    L’homme de 37 ans, originaire de Brétigny-sur-Orge a été reconnu coupable d’avoir assassiné Kathlyn Vasseur, sa femme, le 30 janvier 2007 à Leudeville et d’avoir tenté de faire assassiner Julie Derouette dans la nuit du 20 au 21 décembre 2009 à Marrakech au Maroc. Des crimes motivés par la perception des assurances décès qu’avaient contractées ces deux femmes à son bénéfice. En 2007, il avait ainsi perçu 1,2 M€ après la mort de son épouse dans ce qui avait alors été pris pour un accident de la route. Puis, en 2009, Julie Derouette était passée tout près de la mort dans ce qui devait aussi ressembler à un accident de la route. Hospitalisée dans un état grave, la jeune femme a porté plainte six mois plus tard pour cet accident provoqué, suivi d’une violente agression. Si elle était morte au Maroc, Jamel Leulmi aurait pu prétendre toucher des montants compris entre 5 m et 7 M€. Mais la jeune femme a survécu et Jamel Leulmi est reconnu coupable d’avoir commandité cette tentative d’assassinat.
    L’accusé et ses quatre avocats ont tout tenté pour convaincre les jurés de son innocence, ou a minima de les faire douter. La version qu’il donne des faits, accident de la route pour sa femme, absence de la connaissance d’assurances décès souscrit par Julie Derouette à son bénéfice et son alibi la nuit de l’agression, soutenu par Céline sa compagne, n’ont pas convaincu la cour. D’autant qu’une troisième femme, Karine, est venue témoigner à la barre de ce qu’en mai 2010, l’accusé lui avait fait souscrire des contrats d’assurance décès. Ce sont les gendarmes qui étaient venus l’avertir du danger qu’elle courait et lui avaient fait résilier ces contrats, avant d’interpeller le suspect le 3 août 2010.
     
    LE PARISIEN
  • La police de la pensée dans l'affaire Piquemal

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    Que s’est-il passé entre le moment où le général Piquemal a été jeté dans les geôles calaisiennes et celui où il a été libéré pour « regretter » ?

    On parlera encore longtemps de la geste du général Piquemal à Calais, qui n’a pas hésité, malgré son âge et son statut, à défier les autorités pour affirmer son amour de la France : le mot « courage » vient du mot « cœur ».

    Incontestablement, le général Piquemal est un patriote, désespéré de constater que la patrie – la terre de nos pères – est mise en grand danger par l’afflux migratoire dont les premières implantations massives menacent la survie même d’une ville française : Calais. Les plus anciens d’entre nous se souviennent d’avoir écouté à l’école communale le récit de ce fameux épisode de la guerre de Cent Ans où Calais, assiégée en 1347 par Édouard III, roi d’Angleterre, n’a plus d’autre solution que de subir l’humiliation d’une reddition, six de ses « bourgeois » étant alors obligés, corde au cou, de remettre les clefs de la ville à l’envahisseur anglais. L’Histoire se répète. Cette fois, la situation est inversée, les envahisseurs (qui ne sont pas français) visent l’Angleterre, qui n’en veut pas, bien sûr. Du coup, les Calaisiens sont, pour certains, contraints de quitter leurs terres et leurs maisons sous la pression migratoire, et le « siège » perdure.

    Mais que s’est-il passé entre le moment où le général Piquemal a été jeté dans les geôles calaisiennes et celui où il a été libéré pour « regretter » ensuite dans les médias sa présence militante à Calais ? On se souvient de l’aventure survenue au maire de Venelles, l’an dernier, qui souhaitait interdire l’islam en France, et qui disparut pendant plusieurs jours avant de réapparaître pour se confondre en excuses et expliquer qu’il souffrait d’un cancer de la langue et, de ce fait (?), avait tenu des propos incohérents qui l’avaient conduit logiquement en hôpital. On se souvient, plus récemment, des paroles de Charlotte Rampling : « C’est du racisme anti-blanc », pour s’élever contre les protestations des acteurs noirs qui se plaignaient de n’avoir reçu aucun « Oscar », et qui fit marche arrière le lendemain. Un militaire, un homme politique, une actrice… Tous les trois n’auraient-ils pas été victimes de manœuvres ou de pressions de la police de la pensée, cette pensée unique, maintenant mondiale, dont la puissance, infiltrée dans tous les rouages de la société, n’a désormais plus de limite ni de garde-fou ?

    Garde-fou ? On aurait parié que le militaire possédait le plus d’atouts dans son jeu pour résister au mieux au lavage de cerveau. Eh bien, non, pas plus que les deux autres.

    Pour entamer un combat décisif, héroïque, révolutionnaire, il faut un caractère déterminé mais aussi une solide formation politique et, surtout, une foi, une spiritualité transcendante pour venir à bout des obstacles d’une manière inflexible.

    Les deux derniers militaires qui ont tenu leurs engagements jusqu’au bout en sont morts : le lieutenant Roger Degueldre et le lieutenant-colonel Jean-Marie Bastien-Thiry, fusillés en 1962 et 1963 pour avoir voulu garder l’Algérie à la France.

     
    BOULEVARD VOLTAIRE
  • VIDEO - « Les ONG annoncent 2,5 millions de migrants en 2016… on va vers une véritable catastrophe » – Entretien avec Thierry Mariani

    https://youtu.be/BIvNfWw2fU4

     

     

    Source : Boulevard Voltaire

    Thierry Mariani, député des Français de l’étranger, a présidé la commission des migrations du Conseil de l’Europe. Il annonce les catastrophes à venir à Calais et ailleurs, au micro de Charlotte d’Ornellas.

  • Remaniement : Audrey Azoulay, nouvelle ministre de la Culture, jusqu'ici, une femme de l'ombre

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    http://www.telerama.fr/scenes/audrey-azoulay-nouvelle-ministre-de-la-culture-jusqu-ici-une-femme-de-l-ombre,138205.php

    D'une famille juive marocaine très proche du roi du Maroc

  • Qui est Jean-Vincent Placé ? Par la revue Faits et Documents pour E&R

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Qui-est-Jean-Vincent-Place-25405.html

  • Le CRIF veut empêcher le voyage de Marion Maréchal-Le Pen en Israël

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    19h33

    La députée FN du Vaucluse prévoit de se lancer dans une importante série de voyages, dont les motifs sont aussi variés que les destinations. Elle pourrait rencontrer le raïs Bachar el-Assad.

     

    (….) Reste enfin le pays le plus polémique de ce circuit: la Syrie. Révélé par Le Monde, ce séjour devrait intervenir «avant l’été». «Ce sera un état des lieux politiques, les choses sont très mouvantes là-bas, l’État islamique recule», explique l’intéressée au quotidien du soir. «Il s’agit de rencontrer les associations qui s’occupent des Chrétiens d’Orient», ajoute un proche. Une rencontre avec Bachar el-Assad, largement soutenu par le Front national, n’est par ailleurs pas à exclure. Au contraire. «Ça sera la surprise du chef», s’amuse-t-on.
    Dernière étape, et pas des moindres: Israël. Antisioniste revendiqué dans le passé, le parti d’extrême-droite a opéré un léger changement de pied ces dernières années. Outre une tentative de rapprochement avec la communauté juive – très hostile au FN du fait des multiples dérapages antisémites de Jean-Marie Le Pen -, certains cadres sont allés jusqu’à se rendre dans l’État hébreu. C’est notamment le cas de l’actuel vice-président du parti, Louis Aliot, qui y a fait une visite surprise en 2011.
    «Nous avons été invités, tout le monde est OK pour nous recevoir là-bas, mais c’est ici que ça bloque», déplore-t-on dans l’entourage de la benjamine de l’Assemblée. «C’est très long et très compliqué car il y a des pressions de la part de ceux qui croient représenter les juifs de France», s’agace encore ce proche, qui accuse nomément le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif). Contactés, ces derniers admettent leur étonnement: «Nous n’étions pas au courant. Mais oui, nous nous y opposons fermement».

    Le Figaro

  • VIDEO - Bernard Cazeneuve : « Nous faisons venir chaque année 299 psalmodieurs du Coran d’Algérie ou du Maroc »

    https://youtu.be/N82NH-sEhbo

     

    16h05

    Sénat – 9/02/16

    Cazeneuve prépare le ramadan 2016 !

  • Les retraités doivent-ils avoir peur du programme économique du FN ?

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    Etions-nous à l’agonie quand notre franc dévaluait régulièrement pour devenir lourd et encore plus lourd ?

    Zemmour et Naulleau recevaient la semaine dernière Florian Philippot sur Paris Première.

    Éric Zemmour a fait remarquer au vice-président du Front national qu’une grande partie des retraités qui votent FN au premier tour des élections ne le faisaient pas au second, par peur de la sortie de l’euro, et donc d’une dévaluation de leur patrimoine et de leur pouvoir d’achat.

    De très nombreux économistes n’affirment-ils pas que l’application du programme économique de Marine Le Pen entraînerait une telle dévaluation ? Il est probable, en effet, qu’une sortie de l’euro verrait notre « Franc Nouveau » se dévaluer de 20 à 30 % par rapport à l’euro européen.

    Et alors ! Faudrait-il en avoir peur ?

    Avez-vous peur, braves retraités français, quand l’euro se dévalue de près de 30 % par rapport au dollar ?

    Il y a deux ans, il était à 1,40 dollar pour 1 euro. Aujourd’hui à 1,10. Quand vous alliez aux États-Unis, vous aviez 140 dollars pour 100 euros ; aujourd’hui 110. Donc, vous n’allez plus aux États-unis et évitez d’acheter des produits américains.

    Avez-vous peur, braves retraités français, quand vos actions en bourse se dévaluent de près de 30% ?

    Il y a un an, le CAC 40 était à 5.000 points. Aujourd’hui, il est à moins de 4.000. Vos 100 euros en actions n’en valent plus que 70.

    Alors, pourquoi auriez-vous peur d’une sortie de l’euro et de la création d’un FN (Franc Nouveau), même avec une dévaluation de 20 à 30 % ?

    Si vous aviez un patrimoine de 100.000 euros, vous disposeriez, dès lors, de 70 à 80.000 francs nouveaux. Mais si vous ne sortez pas de France, cela ne changera rien à votre pouvoir d’achat car, par exemple, la baguette de pain qui coûtait 1 euro vous sera vendue 0,70 à 0,80 FN. Même exemple pour tous les produits français.

    Votre appartement, que vous estimiez à 300.000 euros, vous le vendrez autour de 220.000 francs nouveaux, mais vous pourrez acquérir le même également à ce prix-là.

    Vous ne perdrez de votre pouvoir d’achat qu’en achetant hors de France, mais à la condition que d’autres pays, comme par exemple le Portugal, l’Espagne, l’Italie, la Grèce, etc., ne suivent pas le même exemple que la France.

    Étions-nous dans la misère avant 2002 et l’euro ?

    Étions-nous à l’agonie quand notre franc dévaluait régulièrement pour devenir lourd et encore plus lourd ?

    Je trouve bizarre – je dis bien bizarre – que le silence soit si étourdissant en ce qui concerne la dévaluation de l’euro et la chute du CAC 40 qui frappent le patrimoine des braves retraités bien davantage que ne le ferait une sortie de l’euro et la naissance d’un « Franc Nouveau » !

     
    BOULEVARD VOLTAIRE
  • Hollande critique la Russie

    «Je demande que les actions russes s'arrêtent, a affirmé le chef de l'État interrogé sur la crise en Syrie. La négociation se fera pour un temps avec le régime d'Assad, ensuite il y aura des élections», a lancé la président. Selon lui, Bachar el-Assad massacre sa population, avec l'aide de Moscou, et doit en conséquence être chassé du pouvoir. Un changement qu'il voudrait voir intervenir dans le cadre d'une élection, une fois la situation stabilisée.

    11 02 2016

  • VIDEO - Obsèques en Estonie d’un chevalier de la Croix de Fer

    https://youtu.be/r11beZygQak

     

    Enterrement d’Harald Nugiseks, ancien sergent de la division SS « Estonie », dite aussi 20e division SS de grenadiers. Visiblement, les Estoniens restent fidèles au sabre et au goupillon. Ils n’ont pas encore été touchés par la vague de bien-pensance européiste. Mais ça ne saurait tarder.

     

  • Notre industrie de l’armement : une chance pour la France !

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         Communiqués / 11 février 2016 / Étiquettes : /

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    Communiqué de Thibaut de La Tocnaye, Ingénieur centralien, dirigeant-fondateur d’entreprises industrielles, Membre du Bureau Politique du FN

    Avec environ 16 milliards d’euros de commandes en 2015, les exportations de notre industrie d’armement ont atteint des records, permettant à la France de se placer juste derrière les Etats-Unis. Un succès qui matérialise l’excellence de notre savoir-faire technologique, dans un domaine qui représente 160 000 emplois, pratiquement non délocalisables. De plus la Recherche et Développement effectuée dans le cadre de notre industrie de défense, génère aussi des avancées et des retombées extrêmement importantes dans le domaine civil. Nous l’avons notamment constaté ces dernières années dans le domaine des télécoms, de la thermographie, de l’imagerie médicale, de la maintenance, de la cyber-sécurité, de l’aéronautique civile …

    Or, au moment même où notre pays est confronté à une menace terroriste multiforme, à la fois intérieure et extérieure, le budget de notre défense n’a jamais été aussi bas ! La paupérisation de notre outil militaire vient d’être pointée du doigt par la toute récente mission conjointe de l’inspection générale des finances et du contrôleur général des armées. Elle fait état d’une perte de 1 milliard d’euros sur la rallonge budgétaire de 3,8 milliards décidée l’été dernier, déjà insuffisante.

    Le FN entend, lui, redonner les moyens nécessaires à nos forces armées. Aussi, est-il vital non seulement de porter le budget de nos armées à 3% du PIB, afin que celles-ci soient équipées à la hauteur des missions qu’elles doivent relever, mais aussi de renforcer notre industrie de défense. Un jalon indispensable, à la nécessaire la ré-industrialisation de la France que Marine Le Pen et le FN appellent de leurs vœux.

    NPI

  • La peur s’est installée sur Calais… Témoignages

     




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    La peur régne sur la ville. Ce n’est pas le très bon film d’Henri Verneuil, mais bien la réalité quotidienne de Calais, devenue depuis le camp de Sangatte, la ville maudite. Les témoignages des Calaisiens, si peu relayés par les médias aux ordres d’un pouvoir mollasson, sont éloquents. Additionnés les uns aux autres, ils nous font frémir de honte. Comment peut-on laisser une ville française mourir à petits feux ? Mourir de peur ?

    Ecouter ce marin-pêcheur sur la vidéo de Charlotte d’Ornenas déclarer : « On a peur, peur de sortir. Peur d’être volé. » « Mon radeau de survie a disparu une nuit, et je ne peux plus sortir en mer ». Laissez votre vélo 5 minutes, et vous le retrouverez dans la « jeuneguelle ». Sur la rocade, malgré la présence de mille policiers, CRS et gendarmes, qu’un camion ralentisse, et il est aussitôt pris d’assaut, ses cartons dévalisées, son chauffeur parfois frappé. « Le trafic des transporteurs a d’ailleurs fortement ralenti, affirme un habitant. Leurs patrons préfèrent les faire passer par la Belgique ».

    La page facebook de Kevin R. est éloquente. C’est un jeune homme de 22 ans, né et vivant à Calais qui n’a pas hésité à participer à la manifestation du 6 février. Il voulait écouter ce que le général Piquemal avait à leur dire. Mal lui en a pris : il s’est retrouvé gazé par des policiers sans état d’âme, puis interpellé et relâché après avoir décliné son identité. « Le général a été arrêté alors qu’il venait de nous demander de nous disperser dans le calme. Ce sont les policiers qui ont provoqué la bousculade ». Nombre de ses camarades commentent eux aussi sur sa page la situation de leur ville, hier prospère, véritable grenier des Anglais qui traversaient la Manche pour repartir avec des caisses de vins, de fromages, de denrées typiquement françaises.

    Certains, comme Damien, écrivent : « J’en ai marre de cette ville. Je cherche à partir ». Zoe est plus radicale : « Ca va mal finir, tout ça ! »

    NDF