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  • Pape François : "Plus de mort ni d'exploitation" - Un message mondial pour l'immigration

    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2016/02/18/01016-20160218ARTFIG00001-pape-francois-plus-de-mort-ni-d-exploitation.php

    L'immigration de masse, l'invasion d'autres pays au mépris des populations qui y vivent depuis des générations, l'abolition totale des frontières, le métissage universel, voilà pour cet  étrange pape la panacée miraculeuse aux maux récurrents des foules humaines du tiers ou du quart-monde!  Nomades, errants, déracinés sur toute la surface de la terre, quel rêve ou plutôt quel cauchemar!  Car c'est l'immigration de masse qui engendre la mort et l'exploitation.

  • Allemagne : Les migrants ont commis plus de 200.000 actes criminels en 2015

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    23h15

    En Allemagne, selon des chiffres officiels partiels, les réfugiés (essentiellement Syriens, Afghans et Irakiens) ont commis 92.000 infractions de plus qu’en 2014, dans l’ensemble du pays. Le nombre de crimes commis par des migrants a donc augmenté de 79% en 2015 par rapport à 2014. Dans le même temps, le nombre de réfugiés a, quant à lui, augmenté de 440%. Dans leurs conclusions, les fonctionnaires mettent  en garde contre une « tendance croissante » des terroristes à se mêler à d’authentiques réfugiés.

     

    Un rapport recensant les crimes et délits commis par les immigrés de janvier à décembre 2015 a été établit par le Bureau pénal fédéral (BKA). Confidentiel et réservé à la police, ce rapport a toutefois été divulgué par le magazine Bild. On notera que les données proviennent seulement de 13 des 16 États qui composent la République fédérale.

    En effet, Hambourg, Brême et la Rhénanie du Nord-Westphalie, (3 États gouvernés par les parlements SPD de centre-gauche), n’ont pas souhaité transmettre leurs données criminelles au BKA. Cela signifie que les vol et les agressions sexuelles de Cologne, perpétrés le 31 décembre 2015, ne sont pas inclus dans ces statistiques .

    Le rapport indique qu’il y eut 240 tentatives de meurtres par les migrants – contre 127 en 2014 – et dans les 2/3 des cas, les auteurs et les victimes étaient de la même nationalité. Un seul Allemand a été tué par des migrants alors que 27 migrants ont été tués par d’autres migrants. Proportionnellement on trouve plus de délinquants chez les migrants originaires d’Érythrée, du Nigeria et des Balkans (Kosovo, Albanie, Serbie).

    Quant aux personnes soupçonnées de terrorisme qui s’infiltrent parmi les réfugiés authentiques, le rapport indique qu’il y a 266 cas de personnes soupçonnées d’être des «combattants et les membres des organisations terroristes à l’étranger. » [...]

    Express.co

  • « Six heures à perdre » de Robert Brasillach. Par Camille Galic

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    Camille Galic, journaliste, auteur, essayiste.

    Rééditée pour le 71e anniversaire de son exécution le 6 février 1945 au fort de Montrouge, Six heures à perdre est la dernière œuvre de Robert Brasillach, publiée à titre posthume chez Plon en 1953 et largement méconnue. Mais s’agit-il vraiment d’un roman comme la présente l’éditeur, « d’un grand roman de l’Occupation, un des plus grands qui soient, malgré l’abondance d’œuvres sur le sujet », insiste son préfacier ? On peut considérer aussi que l’écrivain s’efface ici devant le journaliste pour nous donner un formidable reportage, criant de vérité.

    Si son pays lui « fait mal », Brasillach (1) observe une totale neutralité sur le quotidien des prisonniers en Allemagne et celui des Français pendant les « heures les plus sombres ».
    C.G.


    Dans son érudite préface à ce livre, Philippe d’Hugues (2) rappelle que, préfaçant ce livre dans le tome III des Œuvres complètes de Brasillach parues au Club de l’honnête homme, son ami de la rue d’Ulm et beau-frère Maurice Bardèche affirmait que, « des trois parties que comporte l’ouvrage, c’est la première qui est la meilleure, alors que la troisième lui semble la moins réussie ». Ph. d’Hugues pense « exactement le contraire », trouvant « monotone » l’évocation « insistante » de la captivité de l’écrivain, alors que la deuxième partie intitulée « La Permission » lui semble « scintillante », une « petite merveille, du pur Brasillach d’avant-guerre », tout comme la troisième partie, « Le Drapeau noir », est « la grande réussite du roman ».

    Oserai-je dire que les trois parties me paraissent indissociables et également prenantes ? D’abord, l’argument romanesque : enfin libéré de son Oflag, un officier dont on ne saura rien occupe ses « six heures à perdre » entre deux trains à retrouver l’énigmatique Marie-Ange, rencontrée par son camarade de captivité Bruno Berthier à la faveur d’une permission pendant la drôle de guerre et qui dévoilera peu à peu tous ses mystères. Mais cet argument est surtout la justification d’un documentaire sur le contraste entre l’univers cloîtré du camp et celui, tout aussi étouffant, de la « vraie vie » sous l’Occupation. A l’appui de cette impression, le fait que le style de Brasillach – qui fit paraître ce récit en feuilleton dans Révolution nationale au printemps 1944 avant d’en corriger les épreuves à la veille de son arrestation – se fait moins fluide, moins littéraire. La « petite musique » demeure, mais l’ancien normalien ne recule pas devant les répétitions (il emploie par exemple deux fois le verbe aimer en une ligne) et néglige quelquefois l’imparfait du subjonctif. Oubliée la virtuosité, il veut que sa plume colle au plus près à l’authenticité, rende au plus juste les sensations éprouvées, les portraits qu’il esquisse, les situations qu’il décrit sans esprit partisan, sauf peut-être quand il campe ces « grosses crémières et bouchères » endiamantées grâce au rationnement… et dont se souvint sans doute Jean Dutourd quand il écrivit Au bon beurre huit ans plus tard.

    Après la défaite, Brasillach resta jusqu’en 1941 prisonnier à l’Oflag VI A de Soest, en Westphalie. Il n’en garda pas un si mauvais souvenir puisque, écrit le narrateur qui pourrait se prénommer Robert, le temps passé là a « ressemblé un peu à ma vie d’étudiant ». Promiscuité mais aussi camaraderie, promenades interminables autour du Marschfeld, plaisirs « communs et certains », ingéniosité infinie pour cuisiner des plats raffinés sur des fourneaux improbables (entre deux briques, on fait un foyer élémentaire et on pousse dessous des « bandes de papier » pour fricoter un « civet magnifique » à partir d’un « matou imprudent »), ou monter des spectacles « qui eussent honoré les plus hardies des compagnies parisiennes ». Car « lorsqu’on vit retiré du monde, c’est l’imagination qui devient la reine », qu’il s’agisse de « cristalliser » de manière très stendhalienne une rencontre à première vue éphémère, comme celle du permissionnaire Berthier avec Marie-Ange, ou d’élaborer des tentatives d’évasion. Le narrateur évoque ainsi deux « esprits ingénieux » qui s’étaient confectionné un uniforme feldgrau en papier pour passer inaperçus. Leur belle échoua mais « les Allemands rirent beaucoup, les félicitèrent et leur demandèrent l’autorisation de les photographier ».

    Le temps du dégoût

    Pour dépeindre l’Oflag et l’état d’esprit y régnant reviennent en leitmotive les termes naïf, naïveté, naïvement : afin d’exprimer le retour à une certaine innocence et la relative infantilisation d’hommes faits tout à coup privés de leurs responsabilités professionnelles et familiales ? ou pour exprimer le contraste cruel entre la discipline et la camaraderie du camp, où chacun se réjouissait de la libération d’un compagnon de chambrée, et les arrangements en tout genre et l’aliénation aboutissant au total « confusionnisme », « des idées et des instincts », dans lequel s’embourbaient et souvent se perdirent des civils prêts à croire à tous les miracles mais aussi à toutes les calomnies ? « Temps du dégoût », né « de la hargne, de la violence, des menaces souvent mises à exécution, de la plus complète intolérance », du « mélange bizarre qui se faisait ici de sentiments désintéressés et d’affaires, tout ce salmigondis de révolte et de marché noir, de banditisme sans aveu, d’idéalisme dévoyé ».

    Mais d’un même regard, distancié et pourtant presque empreint de tendresse, le narrateur décrit les jeunes séduits par l’Ordre nouveau et, à l’opposé, leurs contemporains trotskistes ou anars parmi lesquels évolue sans préjugés Marie-Ange, malheureux entraînés « vers de si noires alliances, noires et sordides ». Mais ainsi allait sans doute l’Occupation avec ses profiteurs et ses sacrifiés, ses salauds et ses héros courant vers « de belles morts dignes et graves, plus belles que la vie n’avait été, car il est plus facile de bien mourir que de bien vivre ».

    Propos prémonitoire ? Et prémonition aussi que le titre du récit, Six heures à perdre ? Six heures, c’est ce qui suffit le 19 janvier 1945 à la Cour d’assises de la Seine devant laquelle était déféré Robert Brasillach – qui s’était constitué prisonnier en septembre 1944, après avoir appris l’arrestation de sa mère et de Maurice Bardèche – pour examiner son cas, le déclarer coupable d’intelligence avec l’ennemi et le condamner à mort… après vingt minutes à peine de délibération. Charles De Gaulle, qui avait refusé sa grâce, devait ensuite écrire dans ses Mémoires, à propos du supplicié de Montrouge, que « le talent est un titre de responsabilité ».

    Six heures à perdre doit sa réédition à l’Association des amis de Robert Brasillach (3).

    Camille Galic
    12/02/2016

    Robert Brasillach, Six heures à perdre, éditions Pardès, janvier 2016, 256 pages.

    (1) Voir le poème de Robert Brasillach, «Mon pays m’a fait mal» dans Poèmes de Fresnes (dit par Pierre Fresnay).
    (2) Auteur de Brasillach, éditions Pardès, 2005, collection Qui suis-je ? 128 pages.

    (3) Association des Amis de Robert Brasillach, Case Postale 3563, 1211 Genève 3, Suisse (www.brasillach.ch). Le livre est disponible sur le site : www.librairiefrancaise.fr

    Correspondance Polémia – 14/02/2016

     

  • Sans circonflexes et sans complexes

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    Elisabeth Lévy, fondatrice et directrice de la rédaction de Causeur.

    ♦ Non au langage SMS et des Beurs pour tous! Folle réforme de l’orthographe !

    L’orthographe « rectifiée », une faute grave, c’est ce qu’affirme Elisabeth Lévy, dans cette chronique de Causeur.


    Curieux, ces « rectifications orthographiques » que leurs promoteurs vantent en expliquant qu’elles ne changeront rien et que, de surcroît, elles sont facultatives. De fait, les réformateurs eux-mêmes ne semblent pas très fiers de leur dernière victoire. On dirait que cette réforme, personne ne l’a vraiment voulue, en tout cas pas au sommet de l’Etat. Elle est arrivée toute seule, devenant opérationnelle vingt-six ans après sa conception par la grâce des tuyaux administratifs et la volonté de technocrates inconnus (une parution au JO du 6 décembre 1990, transcrite dans le Bulletin officiel de l’Education nationale du 26 novembre 2015 et finalement intégrée par les éditeurs pour la rentrée 2016).

    Simplification, rationalisation, adaptation : toutes les raisons invoquées par les saccageurs de la langue française s’inscrivent dans ce triptyque et elles sont toutes mauvaises. Il est tout de même effrayant que, s’agissant de cette chose précieuse, raffinée et, il est vrai un brin rigide mais avec tant de charme, qu’est notre langue, on n’invoque jamais l’argument de la beauté – on changerait l’orthographe d’un mot pour qu’il soit plus aimable à l’œil. Non, il faut simplifier, parce que des règles fantasques mais implacables, empilées en strates désordonnées depuis des siècles, sont devenues étrangères à beaucoup de Français, notamment parmi les jeunes. Que la maîtrise de codes complexes, truffés d’arbitraires et hérissés de cas particuliers, permette d’apprendre à penser, c’est une idée qui, paraît-il, n’est pas de notre temps. La moderne attitude, c’est d’assumer son ignorance.

    En somme, adaptons le niveau de langue à celui que nous sommes capables d’enseigner. On ne sait plus écrire « oignon » ? Qu’à cela ne tienne, virez-moi ce « i » trompeur et inutile. Quant aux « chapeaux de gendarme », ne sont-ils pas un discret signe de distinction, un ultime vestige de la prétendue supériorité de la culture sur l’ignorance ? Le circonflexe, c’est, la plupart du temps, une bonne manière qui ne sert à rien, sinon à rappeler un passé révolu : l’archétype du truc réac et nauséabond.

    Avant le langage SMS pour tous…

    Dans cette perspective, beaucoup trouvent que cette réforme ne va pas assez loin. Sur le site de l’Obs, André Crevel, « linguiste et grammairien » plaide aussi pour la suppression des doubles consonnes « quand cela n’a aucun impact sur la prononciation » : « ”Honnête” deviendrait “honête”, “supprimer” se transformerait en “suprimer”. On pourrait également remettre en question les “lettres grecques”. Par exemple, les “h” muet, vestige du grec, ne sont parfois pas utiles (“hippopotame” deviendrait “ipopotame”). »

    Ne nous arrêtons-pas en si bon chemin : éradiquons aussi les apostrophes, énervantes, les tirets, ambigus, et le point-virgule, bien trop indécis, le fourbe.

    De toute façon, comme l’a souligné Alain Finkielkraut au cours de l’émission « L’esprit de l’escalier », aucune réforme ne rattrapera les fautes réelles d’élèves qui conjuguent les substantifs (les pomment). A moins, bien sûr, de passer au langage SMS pour tous, ce qui nous permettra de réduire considérablement nos dépenses d’enseignement.

    … voila venu le temps de l’orthographe à la carte !

    Mais le plus comique, ou le plus sidérant, de l’affaire, c’est que cette réforme soit présentée comme facultative. L’orthographe à la carte, il fallait l’inventer. C’est comme pour le mariage, chacun fait ce qui lui plaît. Qu’est-ce que ça peut te faire que d’autres écrivent « nénufar », puisque tu pourras continuer à écrire « nénuphar » si ça te chante. Au final, au prétexte inavoué de faire disparaître d’antiques distinctions, on en crée une, de taille, entre ceux qui continueront à parsemer leurs textes de clins d’œil au passé et les enfants du nouveau perpétuel.

    Heureusement, les Français sont plus amusants et plus futés que ce que croient les réformateurs qui veulent leur simplifier la vie. Les gens ne veulent pas qu’on adapte l’orthographe aux fautes de leurs enfants, ils veulent qu’on leur apprenne à ne pas faire de fautes. La révolte qui gronde pour les circonflexes évoque furieusement celle qui s’est levée contre la réforme des collèges. On ne veut pas de votre égalité à deux balles, on ne veut pas de votre monde simplifié, sans complexes et sans complexité. Donc sans beauté ni intérêt.

    Elisabeth Lévy
    08/02/2016

    Source : Causeur.fr

    Voir aussi :
    Tiens !… Papa ne porte plus de robe

    Réforme de l’orthographe : le coup de gueule d’un prof

    Correspondance Polémia – 15/02/2016

    Image : Scrabble, jeu de société, à forte connotation pédagogique.

     

  • Le dhimmi du jour est le maire de Courbevoie, Jacques Kossowski

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    17/02/2016 – FRANCE (NOVOpress)
    Pendant la menace d’attentats islamistes et l’état d’urgence, l’islamisation continue. À Courbevoie, les habitants ont pu découvrir leur future mosquée, sur terrain municipal bien sûr.

    Le bail emphytéotique de 80 ans pour un terrain communal de Courbevoie pour la construction d’une mosquée d’une surface au sol de 680m2 avait été signé fin juin. Ce week-end, les Courbevoisiens ont pu découvrir leur future mosquée lors d’une journée portes ouvertes de l’actuelle salle de prière dirigée par l’ACMC, l’association Cultuelle des Musulmans de Courbevoie. Le bâtiment pourra recevoir environ 1 800 fidèles, avec salles de prière pour femmes séparées, bien entendu. Si le style est bien d’inspiration orientale, il ne comporte pas de minaret, c’est toujours ça.
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    Il faut croire que ce projet était d’une grande importance puisque la présentation des maquettes et plans s’est faite en présence du préfet des Hauts-de-Seine, Yann Jounot, du président du Conseil français du culte musulman, Anouar Kbibech, de militants de gauche, en passant par les adjointes de droite de Courbevoie, Aurélie Taquillain et Puteaux.
    Le Parisien relève aussi la présence de « riverains, un peu sur la réserve ». Ce délicat euphémisme dit bien la joie des voisins d’entendre bientôt l’appel à la prière.

    Si la laïcité suppose le respect de toutes les religions, elle n’implique pas d’en favoriser une par l’octroi de conditions particulièrement favorables pour l’implantation de ses lieux de culte, faut-il le rappeler une nouvelle fois. Par l’octroi d’un bail emphytéotique dont le montant des loyers reste mystérieux, la présence de son adjointe à cette journée portes ouvertes, consacrant l’importance que le projet revêt à ses yeux, Jacques Kossowski mérite bien son titre de dhimmi du jour.

    Crédit photo : Agence XXM architecturesvia

  • Nos déconstructeurs

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    16/02/2016 – FRANCE (NOVOpress)
    Depuis plus de trois décennies, nos politiques ont abdiqué toute idée de résistance face aux idées mondialistes et altermondialistes. Ils ont tellement bien appris leur nouvelle leçon qu’ils nous imposent à présent d’oublier ce que nous sommes !

    Avec leur idéologie cosmopolite du bien vivre ensemble, la longue mémoire de la France doit s’effacer devant les valeurs idéologiques de la République, notre peuple doit se fondre dans un système communautariste, notre nation disparaître dans le multiculturalisme et notre histoire commencer avec Mai 68 et la Révolution de 1789. Tout le reste relève de l’anecdote. La crise que nous traversons n’est autre qu’identitaire et de ce fait beaucoup plus sérieuse et plus complexe qu’une simple crise économique qui peut toujours être combattue par des solutions alternatives.

    Certains penseurs, plus éclairés que la moyenne des pseudo-intellectuels modernes, avancent l’idée d’un déclin inévitable. Ils déclarent souvent avec gravité, dans l’indifférence générale, que l’Europe occidentale se trouve dans un état de décadence très avancé et que nos problèmes liés à l’immigration de remplacement ne sont que les révélateurs d’une fin de cycle douloureuse. Qu’après avoir connu la force et la grandeur, l’Occident européen était à bout de souffle, étouffé par un esprit de culpabilité savamment entretenu par ceux qui veulent la mort des frontières, qu’elles soient économiques, financières, politiques ou migratoires.

    De ce fait, assister à l’effervescence médiatique engendrée par à un énième remaniement gouvernemental, qui n’apportera rien de plus que les précédents, me laisse assez sceptique sur notre degré de réaction face aux problèmes réels auxquels nous sommes confrontés. De nos jours, la politique répond uniquement à des intérêts personnels ou de lobbies. Les intérêts du pays, du peuple, de la nation souveraine sont juste devenus avec le temps qui passe des souvenirs lointains et encombrants.

    Aujourd’hui, la France, on aime l’insulter, la rabaisser à un simple lieu de transit ouvert à tous. « Aujourd’hui, la France, tu la détestes ou tu tais ! » pourraient dire en cœur les déconstructeurs. Pour s’en convaincre, il suffit de rendre visite au site Facebook du Bloc identitaire Lyon. Depuis plusieurs mois, pour ne pas dire quelques années, les animateurs de ce site nous rappellent les sorties les plus remarquables de notre élite à propos de leur attachement à la France. Leurs citations se passent de commentaires.

    Pour exemple : « Il n’y a pas de Français de souche » (Claude Allègre), « Oui, il y aura des minarets aux côtés des clochers de nos églises sur le paysage de nos campagnes. Et alors ? » (Bernard Stasi), « J’ai déjà vécu en terre d’islam. Je suis donc prêt à vivre dans une France à majorité musulmane. » (Monseigneur Jean-Pierre Cattenoz), « Il faut que l’Europe se pense comme région d’immigration » (Daniel Cohn-Bendit), « Aujourd’hui, la France profonde est celle des banlieues à majorité musulmane » (Nicolas Sarkozy), « L’islam est en Europe depuis 3000 ans ! » (Jamel Debbouze), « Il faut arrêter de dire qu’il y a eu des viols en Allemagne, on ne sait pas exactement ce qu’il s’est passé. » (Bernard Cazeneuve), « Le ramadan est une fête qui fait partie du patrimoine culturel français. » (Anne Hidalgo). La liste pourrait être sans fin, et je n’exagère pas.

    Tout ça pour répéter une nouvelle fois, au risque de passer pour un rabat-joie, nous n’avons plus rien à attendre d’eux. Ceux qui sont encore dans cette posture d’espoir sont condamnés à vivre de lourdes désillusions.

    Vincent Revel

  • Près de 10.000 SDF ayant composé le 115 en janvier n’ont pas eu d’hébergement

     

    « En janvier, près de 10.000 sans-abri ayant sollicité un hébergement n’ont pas eu de réponse favorable, dont de nombreuses familles avec enfants, selon le baromètre 115 publié aujourd’hui. »

    Alors que le gouvernement se décarcasse pour loger les « migrants »…

    Par ailleurs, selon l’association Les enfants du Canal, un SDF de 66 ans est mort de froid dans la nuit du mercredi 20 au jeudi 21 janvier, dans le huitième arrondissement de Paris, sur la rampe d’un parking dans lequel il avait ses habitudes. […] Les enfants du Canal assurent que le SDF avait effectué une demande d’hébergement d’urgence auprès des services de l’État (SIAO) dès le 9 décembre 2015. Une information confirmée par la préfecture.

    Les Echos via fds

    Ce gouvernement nous fait honte!

  • Fin du calvaire d’un "bébé-sorcier" nigérian sauvé par une Danoise

    http://fr.sputniknews.com/insolite/20160217/1021856722/nigeria-bebe-abandonne-sauve.html

    + TWEETS ET PHOTOS

    Incroyable!

  • Aveyron : l'éleveur a «traîné et tué» la conseillère agricole, selon le procureur

    http://www.leparisien.fr/faits-divers/aveyron-une-inspectrice-meurt-poussee-dans-un-etang-par-un-agriculteur-17-02-2016-5553867.php

    La jeune femme a été noyée dans un étang glacé. Elle avait 25 ans.

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  • Le jeune président de Solidarité Kosovo honoré par l’État Serbe

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    Un communiqué de Solidarité Kosovo qui nous fait chaud au cœur, et une distinction méritée pour son jeune président.

    Le Président de la République de Serbie, Tomislav Nikolic a remis hier [15 janvier], à Belgrade, la médaille d’Or dans l’ordre national du Mérite à Arnaud Gouillon au titre « des mérites éminents acquis au service de la nation serbe ». Cette distinction honorifique lui a été attribuée à l’occasion de la fête nationale serbe devant une assemblée d’élus et de proches solennellement réunis au Palais présidentiel, Novi Dvor […] « J’ai l’honneur de vous remercier pour l’œuvre que vous réalisez au service de la Serbie et de son peuple » a déclaré le Président de la République de Serbie avant de [lui] remettre la plus haute distinction honorifique serbe. Dans son discours de remerciements relayé par la presse, Arnaud Gouillon […] s’est dit particulièrement ému et honoré par cette prestigieuse médaille qui « rend d’abord hommage aux 10 000 donateurs de Solidarité Kosovo ainsi qu’aux nombreux bénévoles qui ont participé aux activités humanitaires au service des chrétiens du Kosovo-Métochie durant ces onze dernières années ». Âgé de 30 ans, Arnaud Gouillon connaît un itinéraire peu commun. Belgradois d’adoption, il est originaire de la région Rhône-Alpes où il a poursuivi ses études universitaires. C’est une fois son diplôme d’ingénieur en poche qu’il se dédie entièrement à sa passion humanitaire en développant et professionnalisant l’activité de Solidarité Kosovo qu’il a fondé en 2004, à l’âge de dix-neuf ans, pour venir en aide aux familles victimes des pogroms antichrétiens. Après onze ans d’un inlassable travail, Solidarité Kosovo est devenue la première ONG de soutien aux Serbes du Kosovo déployant une action multisectorielle en faveur des maternités, de l’éducation, de l’économie, du patrimoine et de l’agriculture. Elle est également à l’initiative de trente-huit convois humanitaires d’une valeur dépassant les trois millions d’€. Arnaud s’est installé avec son épouse, Ivana, en Serbie il y a quatre ans.  Leur foyer a récemment été agrandi avec la venue au monde d’une petite fille.

    Source : Solidarité Kosovo, 16 février 2016

  • « Le TAFTA ? Comme une odeur de totalitarisme », selon une députée allemande qui a lu le texte

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    Venant s’ajouter aux préoccupations sur le très controversé projet d’accord entre les Etats-Unis et l’Union Européenne dénommé TAFTA, la permission a été accordée à quelques députés allemands d’accéder, sous certaines contraintes, au texte de l’accord. Malgré cette initiative plutôt positive, la députée Katja Kipping nous fait part de son inquiétude quant au manque de transparence de ces négociations.

    Même si certains ont accueilli favorablement le fait de pouvoir accéder à la salle de lecture du texte du TAFTA, et ont considéré cela comme une victoire de la transparence, Katja Kipping, du parti Die Linke, a énuméré les nombreuses limitations imposées aux parlementaires à partir du moment où ces derniers cherchent à comprendre les aspects les plus subtils de cet accord.

    Selon les procédures annoncées par le vice-chancelier allemand, Sigmar Gabriel,… les parlementaires doivent  s’enregistrer avant de pouvoir accéder à la salle et ne peuvent y rester que deux heures maximum pour lire les documents. Les téléphones cellulaires et tout autre dispositif électronique doivent être déposés au préalable dans un coffret sécurisé.

    Les documents du TAFTA sont accessibles seulement sur un ordinateur non connecté à Internet. Les parlementaires peuvent prendre des notes, mais il leur est interdit de recopier des extraits du texte, et ils ne peuvent pas partager quelque détail de l’accord que ce soit, ni en public ni au Parlement.

    « Cette procédure d’accès à la salle en dit long [sur ces négociations]. Après m’être enregistrée, on m’a fourni les instructions sur comment utiliser cette pièce, » écrit Mme Kipping dans son compte-rendu de cette expérience. « La première chose qui saute aux yeux, c’est que les termes de ces limitations d’accès ont fait l’objet de négociations entre la Commission européenne et les Etats-Unis. Avez-vous remarqué que le TAFTA n’est pas encore ratifié formellement, et que déjà les pays concernés par ce traité ont perdu le droit de décider qui a le droit de lire ce texte et sous quelles conditions ?« 

    Les parlementaires ne peuvent pas demander l’aide d’experts

    Mme Kipping a également pris ses distances avec l’une des expressions utilisées dans ces procédures, qui veut que l’autorisation d’accès à cette salle soit le « témoin d’une confiance exceptionnelle » accordée aux parlementaires.

    « J’ai toujours pensé que les députés élus avaient le droit à l’information. Pourtant, les personnes en charge des négociations du TAFTA (d’ailleurs, qui leur a donné la légitimité pour ces négociations ?) se comportent comme s’ils accordaient l’accès à ces textes comme une énorme faveur. Qui que soient ceux qui ont écrit cela, pensent-ils vraiment que les parlementaires doivent s’en sentir flattés ? Pour moi, cela a de forts relents de totalitarisme. « Autoriser l’accès » et « accorder sa confiance » ne font pas partie des termes que l’on utilise si l’on croit vraiment dans la démocratie.« 

    « Pour rendre le traité encore plus compliqué à déchiffrer, explique Mme Kipping, les parlementaires n’ont pas le droit d’amener avec eux un expert capable d’interpréter le langage hyper technique utilisé dans le texte, qui est de surcroit fourni uniquement en anglais. »

    « Nous ne pouvons pas nous faire accompagner d’un spécialiste, sous aucune condition, dans la salle de lecture. Ainsi, tout comme le citoyen ordinaire, les experts eux non plus n’ont aucun moyen d’accéder à ces textes secrets. Pour moi, et quoiqu’en disent certains, cela n’est pas synonyme de transparence, » a-t-elle poursuivi.

    Lire les documents ne m’a pas fait changer d’avis

    Les défenseurs de l’accord TAFTA disent que les pays membres bénéficieront en retour d’une formidable stimulation économique, d’un plus grand marché, et que les petites et moyennes entreprises tireront un grand bénéfice de ce traité, qui vise à abattre les barrières commerciales entre les deux continents.

    Même s’il lui est interdit de parler de ce qu’elle a lu, Mme Kipping dit pouvoir partager ce qu’elle n’a PAS vu dans le texte, et affirme que « rien dans ces accords ne soutient de près ou de loin les affirmations de ses partisans.« 

    Elle écrit : « Les deux heures que j’ai passées dans la salle de lecture étaient évidemment loin d’être suffisantes pour lire l’intégralité des documents. Mais cela m’a suffi pour me rendre compte que rien de ce que j’y ai lu ne peut me faire revenir sur l’avis négatif que j’ai depuis le début sur ce TAFTA.« 

    Sigmar-Gabriel« Il est déjà très significatif de voir que le Ministère des Affaires économiques adopte toutes ces mesures pour empêcher que le texte de l’accord ne soit divulgué. En fait, ils ont toutes les raisons de faire comme cela. Car quiconque voudrait entrer dans ces négociations avec l’objectif de protéger l’environnement, le consommateur et les conditions de travail, n’aurait aucune raison d’avoir peur de la transparence. A l’inverse, ceux qui  sont déjà à l’oeuvre pour brader la démocratie n’ont évidemment pas envie de finir sur la sellette de l’opinion publique. Si Sigmar Gabriel (ci-contre) et les négociateurs sont réellement convaincus des bénéfices du TAFTA, pourquoi ne rendent-ils pas le texte public sur Internet ? » a-t-elle conclu.

    Source : VociDalEstero

    Traduction : Christophe pour ilFattoQuotidiano.fr

    source: http://ilfattoquotidiano.fr/le-tafta-comme-une-odeur-de-totalitarisme-selon-une-deputee-allemande-qui-a-lu-le-texte/#.VsKY29DiWjx

    Réseau International

    (merci à Dirk)

     

  • Meerbusch (Allemagne) : appartements neufs pour les migrants

    http://www.fdesouche.com/700973-meerbusch-allemagne-appartements-neufs-pour-les-migrants

  • Un sniper "décapite" un bourreau de Daesh d'une seule balle


    Un sniper tue un bourreau de Daesh d'une seule... par direct-matin

    Positionné à une distance de 1 200 mètres, un sniper de l’armée britannique a réussi le prodige d’abattre d’une seule balle un djihadiste du groupe Etat islamique dans une zone désertique située au nord de la Syrie, comme le rapporte Direct Matin. « Sa tête était là et puis plus rien, elle avait explosé dans la minute », a rapporté un témoin cité par plusieurs médias anglo-saxons. Les faits se seraient produits il y a une quinzaine de jours.

    Selon le Daily Express, cité par le quotidien gratuit, l’arme utilisée par le soldat serait un fusil de fabricationn israélienne. Equipée d’un dispositif spécial, l’arme est connue pour être particulièrement silencieuse et aucun flash ne s’échappe du canon, lui assurant une effacité redoutable et redoutée.

    Comble de la situation, le djihadiste « décapité » sur le coup était visiblement lui-même en train d’enseigner, à de nouveaux disciples, les techniques de décapitation utilisées par le groupe terroriste.

    Contre-info.com

  • Belgique - L'abattage sans étourdissement de nouveau en justice

    http://www.7sur7.be/7s7/fr/1502/Belgique/article/detail/2616634/2016/02/14/L-interdiction-de-l-abattage-sans-etourdissement-a-nouveau-en-justice.dhtml

    media_xll_8004053.jpg mouton.jpg

    (merci à Dirk)

  • Homicides en Allemagne: taux de suspects par nationalité

    http://www.ndf.fr/nos-breves/16-02-2016/homicides-en-allemagne-taux-de-suspects-par-nationalite#.VsO135X2aM8

  • FN - ENL: visite en Serbie et en République serbe de Bosnie

    20 ans après la signature des accords de Dayton, Edouard Ferrand, secrétaire national aux Français de l’Étranger, s’est rendu en délégation en Serbie puis en République serbe de Bosnie. Au Président Milorad Dodik, le député français a réaffirmé l’attachement de son groupe politique au peuple serbe, à l’amitié millénaire unissant nos pays, et au rôle central que doit jouer la Serbie dans l’élaboration d’une nouvelle Europe face à Bruxelles.

    ENL: Europe des Nations et des Libertés

  • Zimbabwe : le retour à la terre des fermiers blancs

     

    Moins de racisme, plus de profit

    À la fin des années 1990, le Zimbabwe était le grenier à céréales du continent. Le pays comptait aussi parmi les premiers exportateurs de tabac au monde. Mais la confiscation des terres détenues par les agriculteurs blancs, lancée dans la violence il y a quinze ans, a mis le pays à genoux. Ces fermiers étaient 4 000 à la fin du siècle dernier, ils ne sont plus que 150 aujourd’hui. Leurs hectares ont été donnés le plus souvent à des soutiens du président Robert Mugabe.

    La plupart des bénéficiaires noirs ont laissé ces terres arables à l’abandon, soit par désintérêt, soit parce qu’ils n’avaient pas été choisis parmi les agriculteurs ayant le savoir-faire requis ou n’avaient pas les fonds et les moyens pour les exploiter. Aujourd’hui, avec la caution et même les encouragements du gouvernement de Mugabe, les Noirs sont de plus en plus nombreux à solliciter l’aide des Blancs qui acceptent volontiers de retourner à la terre. C’est le premier volet de notre série de reportages sur le Zimbabwe.

     

    De notre envoyé spécial à Beatrice,

    Les herbes sont hautes, les buissons touffus et les vieilles clôtures sont à terre. La nature a repris le dessus sur cette parcelle en périphérie de Beatrice, au Zimbabwe. Elle a été confisquée à un fermier blanc en 2003 et donnée à deux vétérans de la lutte pour la libération. « C’est la portion qui est exploitée par mes deux partenaires », explique au volant de son 4x4 Claude Dreyer, un agriculteur blanc âgé de 58 ans.

    Le partenariat commercial que Claude a noué ne porte que sur une partie des terres allouées à ses deux associés : « Pour rendre service, j’ai tout de même planté sur leur portion ce maïs qui arrive à peine aux genoux. Ce n’est pas irrigué, mais ça permet de nourrir un peu la communauté. » Ses deux partenaires noirs n’étaient pas parvenus à exploiter la terre parce qu’ils n’avaient pas les moyens de lever des fonds. Les invasions des fermes tenues par les agriculteurs commerciaux d’origine européenne ont été lancées au début des années 2000 dans la plus grande improvisation. Les deux associés ont donc cherché à s’associer avec un fermier blanc. D’après les termes du contrat de trois ans renouvelables, signé en avril 2015, Claude a l’usufruit d’une parcelle de 20 hectares. Selon le document, validé par le gouvernement, il peut les cultiver comme il l’entend, ses partenaires n’ont aucun droit de regard. En échange, il doit verser à ses deux associés une allocation mensuelle, indexée sur les profits. Claude s’est aussi engagé à aider ses partenaires, qui ont refusé de nous parler, à mieux exploiter les hectares qu’ils ont conservés.

     

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    « Je m’engage dans une terre inconnue »

    En tout, Claude a investi un quart de million de dollars sur ses 20 hectares. « Vous allez voir, on arrive à mon projet, et là c’est autre chose, en plus vous avez de la chance, mes gens sont encore au travail  », explique fièrement Claude, toujours au volant, à l’embouchure d’une piste cabossée.

    Alors que le soleil se couche, une quinzaine d’ouvriers agricoles, payés quatre dollars US la journée, vident des sacs de maïs à l’arrière d’un camion. Un contremaître remplit un tableau au stylo dans son cahier. Derrière le groupe se dressent, sur plusieurs hectares, des tiges de maïs aussi grandes qu’un basketteur du championnat américain NBA. « Ce champ fait partie de ma portion de la joint-venture (société commune NDLR). J’ai dû retaper tout le système d’irrigation sous-terrain  », explique Claude avant de nous emmener sur une berge de la rivière Mupfure. Il nous montre, non sans fierté, les deux pompes qu’il a installées. L’une fonctionne à l’électricité, mais en raison des nombreuses coupures de courant, une autre tourne au diesel.

    Outre l’irrigation, Claude a aussi dépensé beaucoup d’argent pour débroussailler, acheter des équipements, des semences, et il emploie quarante saisonniers. Divorcé, remarié et père de quatre enfants, il a vendu sa maison pour financer cette aventure. «  Je m’engage dans une terre inconnue, reconnaît Claude, le visage creusé de rides. J’ai vendu ma maison. Je n’aurais pas pu monter cette opération sans capital de départ. Les banques ne m’auraient jamais prêté d’argent, car la terre n’est pas à moi et parce que le contrat ne dure que trois ans renouvelables. J’espère dégager des profits d’ici deux ans. Mais je suis prêt à prendre ce risque, car je pense que c’est la marche à suivre pour le Zimbabwe.  »

    Claude avait préalablement consulté le fermier blanc qui était propriétaire de ces terres et qui a été expulsé. « D’un point de vue éthique, je tenais à le voir, et il m’a donné son feu vert. Il m’a même aidé, il m’a indiqué où étaient enterrés certains canaux d’irrigation », se souvient notre hôte, cigarette au bec et sourire aux lèvres.

    Lire la suite du reportage sur rfi.fr

  • Mexique: le pape appelle à demander "pardon" aux indigènes

    http://www.leparisien.fr/pape-vatican/mexique-le-pape-appelle-a-demander-pardon-aux-indigenes-16-02-2016-5550019.php

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  • Orthographe : quand Najat Vallaud-Belkacem fait la leçon à l'Académie française

    http://www.leparisien.fr/societe/orthographe-quand-vallaud-belkacem-fait-la-lecon-a-l-academie-francaise-16-02-2016-5550453.php

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